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 Sujet : La déontologie médicale. Le Serment d’Hippocrate.

1. Lisez l’information concernant le Code français de déontologie médicale.

C'est en 1825 que le mot "déontologie" apparaît pour la première fois en langue française, dans la
traduction de l'ouvrage du philosophe utilitariste anglais Jeremy Bentham intitulée "Essai sur la
nomenclature et la classification des principales branches d'Art et Science". Il a formé ce terme à partir
des racines grecques « logos » : discours et « déontos » ; ce qu’il faut faire. Il s’agit de dire « si telle ou
telle action doit ou ne doit pas être faite ».

La déontologie médicale concerne le médecin qui exerce une profession - au sens strict du terme, qui
suppose une certaine autonomie de pratique et de régulation - à laquelle les lois françaises donnent
depuis près de deux siècles un monopole dans le domaine de la santé. Elle sert de référence aux
instances juridictionnelles de l'Ordre des médecins, mais d'abord de guide aux médecins dans leur
pratique quotidienne, au service des patients. Le présent code de déontologie est la cinquième version,
après le premier code de 1947, une deuxième version de 1955, la troisième de 1979 et la quatrième de
1995.

L’actualisation du code répond à divers soucis de forme et de fond :

- celui d'améliorer la rédaction des articles, en éliminant quelques obscurités ou redondances, et d'en
remanier parfois l'ordre, pour mettre en relief les principes fondamentaux de la déontologie avant de les
développer dans le cadre des différents modes d'exercice, ainsi que pour rapprocher les articles ayant un
objet voisin ;

- celui d'intégrer apports de la jurisprudence et références aux législations nouvelles ;

- celui de faire sa place au progrès scientifique et technique, notamment au développement de


l'informatique ;

- celui de tenir compte de l'évolution des pratiques professionnelles dans des domaines tels que la
médecine de groupe, la médecine d'urgence, l'exercice salarié, la télémédecine ;

- celui de faire écho aux grands débats éthiques : dons d'organes et de produits issus du corps humain,
recherche sur la personne humaine, essais thérapeutiques, fin de vie, assistance médicale à la
procréation, tests génétiques.

Des principes généraux se dégagent d'une rédaction qui doit tenir compte de nombreux facteurs, sans
pouvoir toujours respecter la simplicité souhaitable.

2. Expliquez les besoins d’actualisation des articles du Code de déontologie  :

La mise à jour des articles du code déontologique a été nécessaire en raison des progrès
scientifiques, l'émergence des nouvelles subdivisions de la science médicale a représenté le pilier
des nouveaux changements dans la plupart des articles.
Le Code de déontologie comprend cinq chapitres, chaque chapitre comporte des articles :

TITRE : Pas d'intitulé (Article 1)


Titre 1 : Devoirs généraux des médecins. (Articles 2 à 31)
Titre 2 : Devoirs envers les patients. (Articles 32 à 55)
Titre 3 : Rapports des médecins entre eux et avec les membres des autres professions de
santé. (Articles 56 à 68)
Titre 4 : De l'exercice de la profession
1. Règles communes à tous les modes d'exercice. (Articles 69 à 84)
2. Exercice en clientèle privée. (Articles 85 à 94)
3. Exercice salarié de la médecine. (Articles 95 à 99)
4. Exercice de la médecine de contrôle. (Articles 100 à 104)
5. Exercice de la médecine d'expertise. (Articles 105 à 108)
Titre 5 : Dispositions diverses. (Articles 109 à 113)

3. Expliquez avec vos propres mots le contexte de fonctionnement des articles tirés du Code de
déontologie médicale. Vous pouvez donner des exemples issus des pratiques médicales
connues. (Ecrivez vos réponses en Italic)
Article 3
Le médecin doit, en toutes circonstances, respecter les principes de moralité, de probité et de
dévouement indispensables à l'exercice de la médecine.

Les actes médicinaux n'ont qu'à prouver à leur entourage le professionnalisme et nous pouvons
les utiliser pour eux Le médecin vous proposera son aide inconditionnelle et gratuite.

Article 4
Le secret professionnel, institué dans l'intérêt des patients, s'impose à tout médecin dans les
conditions établies par la loi. Le secret couvre tout ce qui est venu à la connaissance du médecin
dans l'exercice de sa profession, c'est-à-dire non seulement ce qui lui a été confié, mais aussi ce
qu'il a vu, entendu ou compris.

Le médecin a l'obligation de garder secrètes les informations concernant la santé du patient,


personne en formation personnelle ne doit laisser que deux personnes, le médecin et le patient, il
y a des exceptions uniquement strictement faites avec le consentement du patient.

Article 33
Le médecin doit toujours élaborer son diagnostic avec le plus grand soin, en y consacrant le
temps nécessaire, en s'aidant dans toute la mesure du possible des méthodes scientifiques les
mieux adaptées et, s'il y a lieu, de concours appropriés.

Chaque patient représente avant tout une personne en détresse, tout diagnostic erroné représente
l'erreur du médecin et remet en cause son professionnalisme. Chaque patient doit être traité et
rien ne doit lui faire de mal, qu'il le veuille ou non.

Article 35
Le médecin doit à la personne qu'il examine, qu'il soigne ou qu'il conseille, une information
loyale, claire et appropriée sur son état, les investigations et les soins qu'il lui propose. Tout au
long de la maladie, il tient compte de la personnalité du patient dans ses explications et veille à
leur compréhension. Toutefois, dans l'intérêt du malade et pour des raisons légitimes que le
praticien apprécie en conscience, un malade peut être tenu dans l'ignorance d'un diagnostic ou
d'un pronostic graves, sauf dans les cas où l'affection dont il est atteint expose les tiers à un
risque de contamination. Un pronostic fatal ne doit être révélé qu'avec circonspection, mais les
proches doivent en être prévenus, sauf exception ou si le malade a préalablement interdit cette
révélation ou désigné les tiers auxquels elle doit être faite.

Le désir du patient doit être pris en considération par le médecin, ensemble ils doivent parvenir à
un consensus et communiquer ouvertement, notamment en ce qui concerne son état physique et
mental.
Article 58 (abrogé au 8 août 2004) 

Le médecin consulté par un malade soigné par un de ses confrères doit respecter :
- l'intérêt du malade en traitant notamment toute situation d'urgence ;
- le libre choix du malade qui désire s'adresser à un autre médecin.
Le médecin consulté doit, avec l'accord du patient, informer le médecin traitant et lui faire part
de ses constatations et décisions. En cas de refus du patient, il doit informer celui-ci des
conséquences que peut entraîner son refus.
Il devrait y avoir une communication amicale et professionnelle entre chaque médecin
spécialiste, et le fait que le patient choisisse son spécialiste seul ne devrait pas entrer en conflit
les uns avec les autres.
Article 69
L'exercice de la médecine est personnel ; chaque médecin est responsable de ses décisions et de
ses actes.

Tout choix doit être correct, le travail doit être bien fait, être tenu en charge ou simplement
examiné médicalement, il n'est pas bon que le médecin soit indécis et non qualifié, cela affectera
son image.

Article 110
Toute déclaration volontairement inexacte ou incomplète faite au conseil de l'ordre par un
médecin peut donner lieu à des poursuites disciplinaires.

Sécurité - c'est ce qu'un médecin doit imprimer dans l'esprit du patient, qu'il lui fera confiance en
tant que spécialiste et s'il devra lui confier sa liberté d'action.

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