Sunteți pe pagina 1din 10

CHEVALERIE GERMANIQUE VERSUS

CITÉS ITALIENNES : COMMENTAIRE


DE DOCUMENT SUR LE TRAITÉ DE
CONSTANCE (1183)

TABLE DES MATIÈRES

1. PRÉSENTATION DU DOCUMENT ................................................................................. 2

2. COMMENTAIRE DE DOCUMENT .................................................................................. 4

2.1. Les communes lombardes entre féodalité et républicanisme ........................................ 4

2.2. La personne du souverain : Autorité abstraite et présence concrète ............................. 6

2.3. Les regalia épiscopales : L’imperator mobilise le haut clergé ..................................... 7

3. CONCLUSION .................................................................................................................... 8

4. BIBLIOGRAPHIE ............................................................................................................... 9

4.1. Monographies ................................................................................................................ 9

4.2. Périodiques .................................................................................................................... 9

4.3. Encyclopédies, dictionnaires et recueils ........................................................................ 9

1
1. PRÉSENTATION DU DOCUMENT

Le Traité de Constance fut promulgué dans la ville éponyme (aujourd’hui située au Bade-Wurtemberg)
le 25 juin de l’année de l’Incarnation du Seigneur 1183 (l. 60-63). Il est formulé comme s’il s’agissait
d’un document que Frédéric Ier Barberousse (1125-1190) – saint empereur romain germanique (1152-
1190) – émis unilatéralement et magnanimement aux cités d’Italie septentrionale qui s’étaient liguées
pour faire reconnaître leur autonomie. En réalité, ce texte était issu de pourparlers entre l’empereur et
les villes lombardes, ses clauses furent donc l’objet de débats entre ces deux interlocuteurs. La
phraséologie du texte laissant croire qu’il émane de la seule autorité de Frédéric Ier n’était en vérité
qu’un ménagement diplomatique de la susceptibilité impériale1. Conséquemment, ses destinataires
étaient l’empereur aussi bien que la coalition de cités frondeuses.

Vu cette nature « mixte », le Traité de Constance peut être considéré à la fois comme un décret
puisqu’il fut officiellement promulgué par une autorité monarchique ou comme une charte étant donné
qu’il est le produit d’une tractation entre deux entités. Il s’agit donc à la fois d’une législation ayant une
portée juridique normative et d’un pacte bilatéral visant à réguler les rapports réciproques de deux
forces sociopolitiques.

D’abord duc de Souabe (actuel Wurtemberg), Frédéric Barberousse fut élu à la dignité impériale à
l’unanimité par la Diète de Francfort en 1152. Ce chevalier énergique et impétueux a lutté toute sa vie
pour l’agrandissement de son immense monarchie féodale qu’il a réussi à élargir de la Bourgogne à la
Poméranie et qu’il rêvait d’étendre du Jutland à la Sicile. C’est au-delà des Alpes qu’il s’est buté à la
résistance acharnée des citadins lombards qu’il avait sous-estimée2. Comme l’atteste le Traité de
Constance, il parvint en fin de règne à normaliser les relations avec les cités lombardes sans que soit
sacrifié l’orgueil de l’une ou l’autre des parties engagées.

L’Occident du Moyen Âge central fut caractérisé, notamment, par un impressionnant essor urbain.
Artisans et bourgeois des villes s’organisèrent en communes protodémocratiques et arrachèrent aux
princes des chartes garantissant leurs privilèges. Ce mouvement communal fut particulièrement intense
en Italie du Nord. Dynamisées par leur vitalité démographique3 et leur puissance commerciale, ces

1
Marcel PACAUT, Frédéric Barberousse. Paris, Librairie Arthème Fayard, 1990, p. 228.
2
Michel PARISSE et al., Dictionnaire raisonné de l’Occident médiéval. Paris, Libraire Arthème Fayard, 1999, p. 353-354.
3
François MENANT, Campagnes lombardes au Moyen Âge. Paris, École française de Rome, 1993, p. 69-71.
2
prospères agglomérations marchandes acceptaient mal d’être dirigées et de voir leurs ressources
drainées par un lointain suzerain étranger.

C’est dans ce contexte que l’empereur entreprit une première expédition italienne en 1154 pour faire
cesser la violence entre les villes lombardes (et se faire sacrer par le pontife). Mais plutôt que d’être
accueilli en arbitre suprême, Barberousse ne rencontra que des bourgs insoumis, et en représailles sema
la dévastation sur son passage4. Cette campagne inaugura un conflit de trois décennies qui opposât
l’empereur aux cités sises dans la région allant des pieds des monts alpins jusqu’à la limite nord-ouest
des États pontificaux. Le contentieux portait sur le mode d’institution de la magistrature et l’exercice
des droits régaliens (pouvoirs étatiques classiques : police, justice, taxation, travaux publics, etc.)5.
L’événement le plus émouvant de ces guerres fut – du côté lombard – le rasage de Milan et la
déportation de ses habitants en 11626.

Afin de se prémunir contre ce qu’ils percevaient comme la tyrannie germanique, seize communes
(éventuellement vingt-quatre) constituèrent une alliance militaire le 1er décembre 1167. Cette
confédération de cités créa un dispositif défensif et doté d’un commandement commun7. En signe de
défiance, les insurgés relevèrent Milan et bâtirent une nouvelle ville, Alexandrie (au Piémont), qu’un
contingent allemand assiégea sans succès dès 11748. Subséquemment, les troupes de la Ligue lombarde
écrasèrent l’armée impériale à Legnano (en Lombardie) le 29 mai 1176 où Frédéric Ier fut presque tué.

Habile stratège, Barberousse se réconcilia promptement avec le pape Alexandre III (après un schisme
de deux décennies) à Venise en 1177. Cela ébranla la Ligue lombarde : la cause des insurgés n’était
soudainement plus la lutte contre un antéchrist persécuteur. Cette stabilisation des rapports de force et
l’essoufflement des belligérants conduisirent à la négociation du traité ici étudié à la Diète de
Constance en 11839. Une vingtaine de cités italiennes en étaient parties prenantes10.

4
Ivan GOBRY, Frédéric Barberousse : Une épopée du Moyen Âge. Paris, Éditions Tallandier, 1997, p. 64-65.
5
Horst FUHRMANN, Germany in the High Middle Ages (1050-1200). Cambridge, Cambridge University Press, 1986, p.
147.
6
Ivan GOBRY, op. cit., p. 113-115.
7
Jean-Marie MARTIN, « Ligue lombarde », Encyclopédie Universalis. http://www.universalis.fr/encyclopedie/ligue-
lombarde/, consulté le 1er novembre 2012.
8
Ivan GOBRY, op. cit., p. 146-147 et 162-165.
9
Ibid., p. 173-174, 178-179 et 206.
3

2. COMMENTAIRE DE DOCUMENT

Le Traité de Constance se présente d’emblée comme un texte visant à redresser les relations entre deux
partis. Y sont énumérés les droits et devoirs de chaque contractant. Ce partage indique que ce traité est
le fruit de multiples compromis. D’un côté, l’empereur concède à perpétuité aux communes de la
Ligue, « outre la légitimité de leur régime consulaire [… et] le droit d’avoir des fortifications [et des
milices] et de rester liguées11 », de multiples regalia qu’elles possèdent depuis des temps anciens
(juridiction criminelle et monétaire, administration des campagnes environnantes). En sens inverse, les
cités lombardes acceptent de soumettre leurs consuls à l’investiture impériale et que tous leurs citoyens
prêtent serment de fidélité à Frédéric Barberousse, reconnaissant ainsi explicitement sa tutelle. Quant
aux pouvoirs dont la possession est incertaine, le traité stipule que des recherches permettront d’en
déterminer l’attribution.

2.1. Les communes lombardes entre féodalité et républicanisme

L’article 8 (l. 23-33) du Traité de Constance porte sur la nomination des consuls. Le texte affirme que
les cités devaient soumettre leurs résultats d’élections consulaires à l’approbation du représentant
impérial installé provisoirement dans les villes concernées puis qu’après un délai de cinq ans les cités
devraient envoyer elles-mêmes des intermédiaires auprès de l’empereur pour valider ces consulats. Le
candidat était désigné par un corps électoral quelconque, mais cette décision n’était valide que si
l’empereur acceptait de sceller ce choix. Cette interférence impériale avait un précédent dans ce conflit.
Lors de sa seconde expédition en Italie, en 1158, Barberousse avait assiégé victorieusement Milan
parce qu’elle avait oppressé des cités gibelines et refusait l’arbitrage de l’empereur. Comme condition
de capitulation, Frédéric Ier avait imposé à cette métropole que dorénavant les consuls élus par la cité
soient confirmés par lui12. Malgré cette ingérence, le gain des communes à Constance fut non-

10
Trévise, Padoue, Vicence, Vérone, Brescia, Ferrare, Mantoue, Bergame, Lodi, Milan, Novare, Verceil, Plaisance, Bobbio,
Parme, Reggio, Modène et Bologne ; Ibid., p. 229.
11
Marcel PACAUT, op. cit., p. 231.
12
Horst FUHRMANN, op. cit., p. 143 et 147.
4
négligeable, d’autant plus que cette sanction du régime consulaire était assortie d’une autre innovation :
la reconnaissance légale de la citoyenneté.

L’article 12 (l. 36-39) stipule que les « vassaux » – c’est-à-dire les grands magnats fonciers et
magistrats urbains – « feront fidélité » à l’empereur. Rien n’est surprenant ici : Barberousse était le plus
puissant suzerain féodal d’Europe qui exigeait naturellement de ses subalternes le serment d’allégeance
personnelle qui cimente le système vassalique. Mais ce qui est plus singulier est que l’article continue
(l. 37-38) en précisant que « tous les autres [habitants qui ne sont pas des vassaux] de 15 à 70 ans
[devront prêter hommage] en tant que citoyens. » L’obligation de serment de fidélité à l’empereur par
le commun du peuple n’était – comme pour l’investiture consulaire – pas une invention de la Paix de
Constance. Cette exigence avait également comme précédent les modalités de la reddition de Milan en
1158. Frédéric Ier avait alors exigé exactement le même serment de tous les adultes milanais13.

Avec le Traité de Constance, cependant, les non-vassaux devaient prononcer ce serment en tant que
citoyens. Cela sous-entendait l’acceptation de cette catégorie juridique peu répandue dans le monde
médiéval. Nous savons que les jurisconsultes gravitant autour de Barberousse étaient rompus en droit
romain (la législation frédéricienne en est façonnée), et que Frédéric Ier se prenait pour le successeur de
Constantin, Valentinien, Théodose et Justinien14. Nous pouvons, toutefois, raisonnablement présumer
que l’insertion dans le droit impérial de cette citoyenneté italienne fut une exigence des communes.

Nécessairement, la notion de citoyenneté avait au préalable été et ressuscitée par les citadins italiens,
qui se l’étaient réappropriée. « Le mythe de Rome est très efficace : depuis longtemps chaque ville était
une civitas, comme Rome, mais maintenant seulement, ses habitants sont dits comme autrefois cives,
“citoyens”15. » Cette culture civique était particulièrement forte en Lombardie. Un chroniqueur
d’époque explique que les Lombards sont « maîtres de leur liberté, excellents défenseurs de leur propre
droit, ayant le plus souvent combattu pour leur liberté, à juste titre sénateurs d’Italie16. » Cette
identification intense des communes de Lombardie avec son passé romain permet de comprendre
pourquoi elles insérèrent cette terminologie chère dans ce contrat passé avec l’empereur. « La libertas

13
Horst FUHRMANN, op. cit., p. 147.
14
Ibid., p. 147 ; et Ivan GOBRY, op. cit., p. 101.
15
Mario ASCHERI, « La cité-État italienne du Moyen Âge : Culture et liberté », Médiévales. N° 48, 2005, p. 152.
16
Boncompagno de Signa, cité dans Ibid., p. 153.
5
est l’objet des revendications des communes [italiennes], qui utilisent des formules typiques de la
tradition républicaine romaine17. » Ces collectivités n’étaient pas – dans leur projection d’elles-mêmes
– composées de sujets, mais de citoyens, et cela est entériné par le Traité de Constance. L’étude de ce
document est donc pertinente parce qu’elle nous aide à reconstituer la lente transition entre les notions
de sujet et de citoyen dans la culture juridique occidentale.

2.2. La personne du souverain : Autorité abstraite et présence concrète

Plusieurs dispositions du traité préparèrent la venue ponctuelle de l’empereur dans les zones tenues par
la Ligue. Ainsi, une clause (l. 31-32) de l’article 8 prévoyait que lorsque l’empereur serait en
Lombardie, les nouveaux consuls recevraient l’investiture directement de sa main. Tel qu’expliqué
précédemment, l’empereur déléguait auprès des villes lombardes des ambassadeurs qui y agissaient en
son nom. Par cette clause, l’empereur insistait que le recours à ces ambassadeurs ne serait pas
nécessaire s’il se trouvait lui-même à proximité.

Dans le même ordre d’idée, l’article 29 (l. 55-59) annonce que lorsque Barberousse se déplacerait en
pays lombard, les infrastructures publiques de transport (routes et ponts) devraient être en état de servir
et ne pas gêner ses mouvements. De plus, cet article affirme que les cités accorderont au suzerain le
fodrum, c’est-à-dire le droit impérial de réquisition de fourrages et de vivres pour l’armée, applicable
aussi bien au nord qu’au sud des Alpes18, mais considéré en Italie impériale comme un impôt en nature
en retour duquel les communes et la noblesse italiennes étaient exemptées de service militaire dans
l’armée impériale et jouissaient de la protection d’icelle19. Ces ordonnances n’étaient pas que de
simples formalités. Frédéric Barberousse a mené six campagnes en Italie où il a passé 16 de ses 38
années de règne20. Plus qu’une convenance littéraire, cette clause rappelait que l’empereur était
davantage qu’une autorité vague et distante avec laquelle les cités communiquaient exclusivement par
le biais de diplomates interposés, mais qu’il demeurait un souverain tangible au pouvoir réel qui
séjournait périodiquement de plein droit dans la contrée lombarde.

17
Ibid., p. 151.
18
François-Olivier TOUATI et al., Vocabulaire historique du Moyen Âge (Occident, Byzance, Islam). Paris, Boutique de
l’Histoire, 2007, p. 132.
19
Hans PATZE et al., « Frederick I (Holy Roman Emperor) », Encyclopedia Britannica. Édition disque compact, 2002.
20
Horst FUHRMANN, op. cit., p. 142.
6
Le cas de Barberousse en Italie n’était pas singulier : Tous les suzerains de cette période devaient
constamment sillonner leurs territoires pour que leur autorité y reste effective21. L’étude du Traité de
Constance est importante parce que ce document nous fournit une illustration concrète des
complications que pouvait entrainer le « nomadisme » aristocratique.

2.3. Les regalia épiscopales : L’imperator mobilise le haut clergé

La politique de maintien du régime consulaire du Traité de Constance contenait une dérogation : Dans
les lieux où l’évêque tenait le comté par privilège de l’empereur, et où le droit coutumier accordait à
l’évêque la prérogative de nommer les consuls, cette coutume était maintenue (l. 23-25). Nous
touchons ici à un point incontournable de l’administration impériale. Depuis les ottoniens, l’empereur
utilisait largement l’épiscopat (doté de prérogatives étatiques) pour contrôler l’empire, ce qui causa une
friction considérable avec la papauté grégorienne, notamment lors de la Querelle des Investitures
(1075-1122).

Cette clause du Traité de Constance témoigne du droit dont jouissait Frédéric Ier – en vertu du
Concordat de Worms conclut en 1122 et renouvelé aussitôt après son accession au pouvoir en 115222 –
de remettre aux princes-évêques les pouvoirs civils (temporalia) relevant de leur fonction avec
l’investiture par le sceptre. En contrepartie, l’empereur devait s’abstenir de remettre aux évêques leur
charge religieuse (spiritualia) avec l’investiture par la crosse23. En cas de trouble dans l’élection des
prélats par les chapitres cathédraux, l’arbitrage revenait à l’empereur, compétence qu’exerça
Barberousse auprès de l’archevêché de Magdebourg dès 115224. Cet enjeu, qui travaillait le droit
allemand depuis au moins le Xe siècle25, rebondit dans cette clause dérogatoire du Traité de Constance.
Plutôt que de constituer une brèche dans l’autorité impériale, le choix des consuls par l’évêque dans
certaines cités consistait en un renforcement (ou du moins un maintien) du pouvoir impérial. En
investissant les prélats de leur office politique (et parfois religieux), l’empereur influait indirectement

21
Harold BERMAN, Law and Revolution : The Formation of the Western Legal Tradition. Cambridge (Mass.), Harvard
University Press, 1983, p. 445.
22
Ivan GOBRY, op. cit., p. 61-63.
23
Paul-Hubert POIRIER, Christianisme de l’Antiquité et du Haut Moyen Âge. Module XIII : L’Orient et l’Occident au XIe
siècle. Québec, Service de reprographie de l’Université Laval, 2011, p. 14-15.
24
Ivan GOBRY, op. cit., p. 60-62.
25
Geneviève BÜHRER-THIERRY, Évêques et pouvoir dans le Royaume de Germanie : Les Églises de Bavière et de
Souabe (876-973). Paris, Éditions Picard, 1997, p. 173-175.
7
sur le choix des consuls dans ces communes dérogatoires. L’étude du Traité de Constance est donc
aussi pertinente parce qu’elle fournit des données sur la lutte du sacerdoce et de l’Empire.


3. CONCLUSION

Le Traité de Constance est un témoin précoce de la collision du féodalisme monarchique combiné au


rêve d’empire universel avec le républicanisme italien conjugué au principe de subsidiarité. « Au
lendemain de la Paix de Constance, les communes ont désormais acquis leur autonomie, elles sont
désormais des États-cités26. » Parmi les dispositions du traité, transparaissent notamment la dichotomie
entre l’autorité théorique et abstraite et la souveraineté concrète et personnelle du monarque, ainsi que
la question récurrente des prérogatives civiles de l’épiscopat.

Balançant décentralisation communale en échange d’une garantie de coopération avec le suzerain, ce


traité est « d’un gibelinisme tempéré qu’acceptent les guelfes modérés27. » Bien que Frédéric II du
Saint-Empire (1194-1250) le révoqua en 122628, une nouvelle ligue intercommunale menée par
Bologne défit les impériaux à la Bataille de Fossalta-di-Panaro en 1249, consolidant la position des
républiques urbaines lombardes. Dans une recherche ultérieure, nous pourrions nous interroger si la
Paix de Constance a inauguré l’ascension des villes d’Italie du Nord qui culmina avec la Renaissance
du Quattrocento.

26
Pierre RACINE, « Aux origines du droit public : La législation de Frédéric Barberousse à la Diète de Roncaglia (1158) »,
Le Moyen Âge. Vol. 2, N° 114, 2008, p. 367.
27
Marcel PACAUT, op cit., p. 232.
28
Mario ASCHERI, loc. cit., p. 151.
8
4. BIBLIOGRAPHIE

4.1. Monographies

BERMAN, Harold. Law and Revolution : The Formation of the Western Legal Tradition. Cambridge
(Mass.), Harvard University Press, 1983, 657 p.

BÜHRER-THIERRY, Geneviève. Évêques et pouvoir dans le Royaume de Germanie : Les Églises de


Bavière et de Souabe (876-973). Paris, Éditions Picard, 1997, 278 p.

FUHRMANN, Horst. Germany in the High Middle Ages (1050-1200). Cambridge, Cambridge
University Press, 1986, 209 p.

MENANT, François. Campagnes lombardes au Moyen Âge. Paris, École française de Rome, 1993,
1003 p.

PACAUT, Marcel. Frédéric Barberousse. Paris, Librairie Arthème Fayard, 1990, 285 p.

POIRIER, Paul-Hubert. Christianisme de l’Antiquité et du haut Moyen Âge. Module XIII : L’Orient et
l’Occident au XIe siècle. Québec, Service de reprographie de l’Université Laval, 2011, 40 p.

4.2. Périodiques

ASCHERI, Mario. « La cité-État italienne du Moyen Âge : Culture et liberté », Médiévales. N° 48,
2005, p. 149-164.

RACINE, Pierre. « Aux origines du droit public : La législation de Frédéric Barberousse à la Diète de
Roncaglia (1158) », Le Moyen Âge. Vol. 2, N° 114, 2008, p. 361-368.

4.3. Encyclopédies, dictionnaires et recueils

MARTIN, Jean-Marie. « Ligue lombarde », Encyclopédie Universalis.


http://www.universalis.fr/encyclopedie/ligue-lombarde/, consulté le 1er novembre 2012.

COLLECTIF. Monumenta Germaniæ Historica. Legum sectio IV : Constitutiones. Tome I, Hanovre,


Deutsches Institut für Erforschung des Mittelalters, 1896, p. 411-418.

9
PARISSE, Michel, et al. Dictionnaire raisonné de l’Occident médiéval. Paris, Libraire Arthème
Fayard, 1999, 1236 p.

PATZE, Hans, et al. « Frederick I (Holy Roman Emperor) », Encyclopedia Britannica. Édition disque
compact, 2002.

TOUATI, François-Olivier, et al. Vocabulaire historique du Moyen Âge (Occident, Byzance, Islam).
Paris, Boutique de l’Histoire, 2007, 351 p.

10

S-ar putea să vă placă și