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Depuis quelques mois, suite à une série de publications sur le germanium, une cabale se monte
autour de la soi-disant toxicité de cette substance. En Angleterre et au Québec (Canada) notamment,
une campagne virulente est menée contre le germanium et les autorités suggèrent au public “de ne plus
acheter de germanium, car c’est un produit dangereux pour la santé”. A Montréal, il a simplement été
retiré du marché après demande d’informations du journal “La Presse” auprès des autorités
compétentes. Cette information semblerait résulter de certaines nouvelles parvenues du Japon con-
cernant la toxicité du germanium LQRUJDQLTXHauquel les journalistes se réfèrent. Malheureusement la
plupart du temps les médias cherchent l’originalité et bien souvent Ie scandale. Dans ce cas-ci le
résultat est désastreux, car les autorités ont pu ainsi trouver un prétexte (elles en cherchaient un depuis
longtemps) pour interdire la vente du germanium et cela sans essayer de comprendre la vraie valeur de
cette substance. On se demande alors pourquoi, lorsque 23 des  patients atteints d’un cancer sont
décédés d’une overdose de radiations au “Exeter Royal Devon Hospital” en Angleterre, l’on n’a pas
simplement cessé d’utiliser ce procédé agressif et mortel. Sur quoi se base-t-on pour continuer à utiliser
la radiothérapie ou 1’ interleukine (qui a des effets secondaires très violents) et quels sont les critères
permettant d’empêcher l’utilisation d’une substance naturelle que l’on ne connaît pas? En Angleterre,
les laboratoires pharmaceutiques ont mis le paquet:12 millions de livres engagées dans une campagne
publicitaire visant à détruire l’image du germanium auprès du public. Pourquoi dépenser une telle
somme ? Ces laboratoires auraient-ils une vocation philanthropique ? II est vrai que le cas des deux
Japonais décédés après avoir absorbé de fortes doses de germanium inorganique a fini par convaincre
les Anglais de la toxicité du produit. Et se sont ces mêmes Anglais qui au besoin, vont recourir à la
chimiothérapie, à la chirurgie ou à l’interleukine. J’ai reçu dernièrement une lettre d’une Américaine
qui. atteinte d’un cancer avait pris 20 Kg après avoir suivi un traitement à base d’interleukine. Elle a
finalement dû interrompre ce traitement. Pour sauver sa vie tout malade est prêt à mettre sa confiance
dans les méthodes et les produits qu’on lui propose.
Voyons d’abord l’attitude des médias responsables des faux renseignements qui abondent dans les
magazines et dans les journaux. II n’est pas rare d’ailleurs que certains d’entre eux soient condamnés à
des amendes pour cette même raison. Le but ultime de la plupart des médias n’est certes pas la quête de
la vérité et moins encore lorsqu’il s’agit de la santé des gens. Au contraire, ils s’amusent à inventer et
même à se moquer du malade qui cherche de 1 ‘aide. Dans le cas du germanium. pourquoi ne pas
chercher à mieux connaître cette substance et tenir compte des résultats obtenus. Un certain journal
Québécois, par exemple, ironise en écrivant” certains auteurs d’ouvrages” (il n’y en a que deux et l’on
sait par conséquent de qui il s’agit) ont affirmé qu’on pouvait facilement consommer entre 2000 et
3000 mg par jour de germanium. Pourquoi être si ridicule et ajouter un O de plus à la fin ? Mon
ouvrage suggère entre 200 et 300 mg par jour, c’est clair et précis. Les journalistes sont-ils des
illettrés? De plus, il faudrait regarder le germanium sous un autre angle. En se reportant à la page 199,
le lecteur pourra se renseigner sur des expériences menées dans une Université japonaise sur des
malades atteints de cancer et d’arthrite rhumatoïde et traités avec des doses de 1500 mg de germanium
organique par jour. Les résultats sont positifs comme le démontre le tableau. Je suppose que ceux qui
émettent des critiques sur cette thérapie, n’ont pas daigné regarder et lire ce tableau dans les détails.
S’ils l’ont fait, alors pourquoi n’ont ils pas dénoncé ouvertement les expériences menées par les méde-
cins de cette Université.
Voyons maintenant l’attitude de la médecine officielle, très bien commenté par Roy Walford,
directeur des recherches au Centre médical de l’Université de Los Angeles. Il est des domaines dit-il,
où face aux publicités fantaisistes, la médecine officielle réagit en allant trop loin dans la direction
opposée. Dès lors qu’elle adopte une position sur un sujet donné (dans ce cas précis, il s’agit de
combattre globalement et énergiquement le germanium) la médecine officielle tend à considérer les
arguments de deuxième ou de troisième ordre comme de véritables preuves du moment qu’ils viennent
étayer sa position. Et comme il le dit si bien , “l’un des effets pervers de cette attitude est que toute
communication faisant état de la toxicité d’une vitamine reçoit aussitôt un écho sans commune mesure
avec sa véritable portée scientifique”. Les plus récentes recherches scientifiques et médicales par
exemple nous suggèrent de prendre de la vitamines A, C, et E pour éviter le cancer et pour acquérir des
substances antioxydantes et destructrices de radicaux libres. C’est un fait établi, mais par ailleurs des
informations secondaires mentionnent leur toxicité, et en fin de compte leur inutilité Qui croire? C’ est
une situation dramatique qui conduit à la stagnation. Si chaque fois que l’ on établi l’ utilité d’ une
vitamine ou d’ une substance naturelle (tel le germanium organique) pour notre santé on nous brandit le
spectre de la toxicité. La race humaine est loin de s’ améliorer. Pire encore. on commence à affirmer
que toutes les essences de plantes sont cancérigènes et doivent être retirées de la vente.
Si l’ on devait enlever du marché tout ce qui contient des substances cancérigènes, il n’ y aurait pus
grand chose à vendre chez l’ épicier. J’ ai lu récemment dans un journal suisse qu’ un médicament anti-
inflammatoire destiné à combattre l’ arthrite, mis sur le marché en 1980, ne sera plus en vente dès fin
1990, car il provoque de sérieuses hépatites. Il est à noter que ce remède a été mis sur le marché avec
l’ approbation de l’ Office du Contrôle des Médicaments du pays en question qui est supposé avoir
effectué au préalable les tests de toxicologie nécessaire? Mais, il y a mieux encore l’ AZT, dont les
effets secondaires “ dramatiques” sont maintenant bien connus, va être remplacé. II est tout de même
étonnant que l’ AZT ait été utilisé tant aux Etats-Unis qu’ en France, avant même que les phases d’ essais
nécessaires à l’ approbation du médicament aient été achevées. Et voilà que l’ on découvre que I’ AZT
serait susceptible de provoquer des cancers.
Mais poussons un peu plus loin le raisonnement. La toxicité semble être la préoccupation majeure
des services de santé et des médias (sic!) Je prends ici comme référence un ouvrage scientifique sur le
sida intitulé “ Le Sida” et préfacé par Luc Montagnier et Robert Gallo, les deux “ spécialistes” du sida
sur notre planète. Je lis à la page 100: “ La plupart des médicaments, notamment la pénicilline, ont des
effets secondaires et sont toxiques et la pharmacologie doit toujours comparer le dommage fait à
l’ agent pathogène et le dommage fait au malade” . Commençons alors par nettoyer les vitrines des
pharmacies...
Pour en revenir au germanium, il est vrai qu’ il en existe plusieurs types sur le marché, y compris,
malheureusement, le germanium inorganique qui est toxique. Certaines personnes, par ignorance, ont
préféré acheter de ce germanium bien moins cher, mais malheureusement toxique. La véritable
germanium organique n’ a jamais provoqué le moindre effet secondaire. Tous les récents rapports
émanant du Japon le prouvent. Les tests de toxicité aiguë et chronique, menés par de nombreuses
universités sur des souris, des rats et des chiens le démontrent clairement.
Un rapport en date du 9 janvier 1988 présenté par Ie Dr Seiya Okuda, médecin japonais, démontre
que le germanium organique peut être utilisé sans danger. Par contre, le Dr Okuda admet que lors des
test de toxicité plusieurs types de germanium ont été utilisés sur des rats. Entre autres, le dioxyde de
germanium qui a provoqué des troubles rénaux, par contre, rien de semblable n’ a été observé avec le
véritable germanium organique. En fait, les quelques rapports négatifs ne concernent pas le germanium
organique, car ils font allusion à un germanium inorganique (germanium dioxyde) dont la toxicité a été
démontrée par des tests effectués pendant une période de 6 à 20 mois.
Mais d’ un autre côté, pourquoi ne pas dénoncer et interdire la vente de l’ alcool, si une personne qui
en boit un litre par jour pendant un an développe une cirrhose. A ma connaissance, l’ alcool est toujours
en vente.
Seulement voilà, le germanium gêne, pas l’ alcool : l’ alcool (tout comme Ie tabac) étant une source
de revenu pour les gouvernements, ou veux bien fermer les yeux. Cela dit, en l’ espace de quinze ans, je
n’ ai jamais observé des effets secondaires sur mes malades et Dieu sait les milliers de malades que j’ ai
traités durant cette période. Je pense que personne également n’ a traité autant de malades que moi avec
du germanium organique dit également Carboxyéthyle germanium sesquioxyde, dénué de toute

toxicité. II est regrettable que l’ on ne porte pas plus d’ intérêt à ces nouvelles substances et que l’ on
puisse détruire sans aucune justification des espoirs qui sont fondés, alors que les résultats de la
cancérologie et de la lutte contre le sida sont peu convaincants. Les nombreux malades qui ont eu
recours aux bienfaits du germanium et ceux qui luttent désespérément pour leur vie pourront juger de
l’ attitude grotesque et hypocrite des médias et des gouvernements. Il existe d’ ailleurs, comme le
précise le Dr Nieper, une strangulation de la liberté thérapeutique ordonnée depuis vingt-cinq ans par le
gouvernement américain (et d’ autres gouvernements). On parle même de fraude au niveau de la
recherche clinique. Au niveau des statistiques, il existe une grande fraude qui permet d’ obtenir des
fonds pour une recherche inutile. Depuis deux décennies, des milliards de dollars ont été dépensés en
vain. Le président Reagan a réussi, lors de son deuxième mandat, à briser certains “ Instituts du cancer”
qui récoltaient des millions de dollars destinés à remplir les poches des chercheurs au détriment des
malades qui attendent désespérément d’ être guéris.
On comprend alors très bien la réaction de ces gens bien décidés à ne pas laisser commercialiser
une substance pouvant apporter un espoir à des milliers de personnes. Les autorités, pour ce qui est
d’ un produit tel que le germanium, c’ est à chacun de nous qu’ il appartient de fonder sa propre opinion.
Retirer un produit anticancéreux destiné à combattre le cancer n’ empêchera pas le malade qui cherche
un espoir de se le procurer! Quand les gouvernements vont-ils comprendre qu’ il faut aider le malade et
non le condamner? Qu’ il faut combattre la maladie et non ceux qui cherchent des solutions alter-
natives? Empêcher un malade de sauver sa vie revient à faire preuve de “ non assistance à personne en
danger de mort” et c‘est un acte passible de poursuites judiciaires. Malheureusement, ceux qui font les
lois ne les voient jamais se retourner contre eux...


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J’ ai écrit dans la première édition que le germanium a été pour moi un prétexte pour rédiger cet
ouvrage dans lequel je peux exposer mes idées et partager mes expériences sur les maladies que sont le
cancer et le sida. En fait, si à priori je destine cet ouvrage aux malades qui cherchent une solution
alternative, il doit également servir de phare à tous ceux qui voudraient se prémunir contre le cancer et
les maladies dégénératives. La réaction des lecteurs à la première édition a été très positive puisqu’ elle
a permis à de nombreux malades de retrouver un espoir pour leur guérison.
Sans chercher à critiquer, il me semble que le malade a été trop longtemps hypnotiser par les
médias pour pouvoir se tourner vers une autre médecine. Malheureusement, beaucoup trop de malades
ne sont pas encore conscients du danger des méthodes lourdes utilisées en cancérologie et bien souvent,
ils le paient de leur vie. Aujourd’ hui, le public commence à être mieux informé et il se tourne vers des
méthodes moins agressives mais il est souvent déjà trop tard.
Tout en s’ accaparant du droit de guérir, la médecine traditionnelle n’ a pas su résoudre ni vraiment
comprendre le problème du cancer. Elle a prétendu guérir le cancer et maintenant elle promet de
trouver bientôt un remède à ce mal. C’ est vraiment admettre une erreur de stratégie qui dure depuis
cinquante ans. Dans l’ immédiat le malade ne peut pas uniquement vivre de promesses et de faux
espoirs. Il lui faut une solution dans les plus brefs délais. C’ est avant tout dans cette idée que je
m’ occupe de mes malades. En médecine, on a pas le temps de discuter: Il faut s ‘attaquer au problème,
à cette maladie physique et psychique qui s’ appelle le cancer. Et surtout, lorsque la guérison n’ est plus
possible, il est important d’ offrir aux malades une meilleure qualité de vie (physique et morale). C’ est
ce que la médecine néglige de faire actuellement.
Depuis plus de vingt ans, j’ ai pu apprécier la supériorité des méthodes naturelles sur un grand
nombre de malades, mais je constate en même temps qu’ il est plus difficile de traiter une maladie
aujourd’ hui qu’ il y a dix ou quinze ans. A cette époque. le stress et l’ angoisse qui pèsent sur les
malades, plus particulièrement sur les cancéreux, n’ étaient pas aussi importants (c’ est le cas pour les
rhumatismes ou le cancer par exemple). Nous verrons d’ ailleurs que cette angoisse favorise et entretien
la maladie.
Au cours des générations passées, de nombreux facteurs ont contribués à modifier le corps humain.
Nous lui avons fait subir des pressions, des agressions, une pollution à tous les niveaux, sans oublier
toutes les erreurs alimentaires. Auparavant, nous comptions trop sur une santé inépuisable, sur des
médicaments miracles pour guérir nos maladies “ passagères” . Et puis, on s’ est aperçu que les choses
avait changées. En suivant cette voie, l’ homme est devenu un assisté médical, consommant à longueur
d’ années des médicaments. Dans cette ambiance malsaine, les êtres humains entourés d’ un
modernisme démesuré, vivent de plus en plus dans la terreur du cancer et du sida. Nous ne pouvons
passer sous silence toutes les maladies dégénératives qui augmentent de façon inquiétante. Un grand
nombre de malades finissent à moitié paralysés sur une chaise roulante ou sur un lit d’ hôpital à la
charge de la collectivité. Même si cet infirme cherche de l’ aide, on lui répond qu’ il n’ y a pas de
traitement pour sa maladie. Alors, que faire? Accepter, se suicider ou bien chercher ailleurs. Dans une
telle situation, le malade a le droit de chercher ailleurs, ce qui compte avant tout, ce n’ est pas la
méthode utilisée pour lui venir en aide mais bel et bien le résultat obtenu. En 1987, 200.000 personnes
ont défilé devant la Maison Blanche à Washington en brandissant des pancartes qui disaient
“ Combattre le sida, mais ne pas combattre le malade” . C’ est une idée qui laisse à penser si l’ on
considère que malgré son incapacité de trouver une solution efficace contre le sida, la médecine (donc
les autorités) refuse au malade le droit de se guérir et par conséquent la possibilité de sauver sa vie. Il
en est de même pour le cancer si un malade “ condamné” veut s’ en sortir, il doit chercher ailleurs. La
médecine officielle lui ferme les portes au nez en lui disant “ qu’ il n’ y a pas d’ autre traitement que le
sien” .
Cette manifestation réalisée par des Américains a été efficace puisque le gouvernement permet
désormais l’ importation de médicaments destinés à traiter le sida, quelles qu’ en soit leurs origines.
Dans ce livre, j’ offre une solution basée sur l’ utilisation d’ une substance connue sous le nom de
germanium, que j’ ai eu le privilège d’ utiliser pendant plus de quinze ans pour traiter un grand nombre
de maladies, dont le cancer. En 1983, j‘ai également ouvert une clinique pour le traitement des
maladies métaboliques. Nous avons pu expérimenter divers traitements pendant cinq ans, et je suis
maintenant persuadé que le germanium est l’ une des substances les plus extraordinaires que je
connaisse: elle est capable de freiner l’ évolution d’ un cancer et de traiter avec succès la plupart des
maladies dégénératives. La germanium est très efficace pour régénérer l’ organisme, surtout les
fonctions cellulaires, il peut donc prévenir le cancer. Mais plus important encore, plutôt que de
simplement détruire les cellules malades, le germanium va refaire des cellules normales. C’ est une
découverte et un grand progrès dans le domaine médical.
Si nous associons le germanium à un régime équilibré, nul doute que nous serons en mesure de stopper
beaucoup de maladies, et en particulier, le cancer. C’ est une question d’ information et d’ éducation.
Récemment, j’ ai eu l‘occasion de passer quelque temps avec cette grande doctoresse âgée de 86 ans,
qui est le Dr. Kousmine. Nous avons discuté de nos succès thérapeutiques et essayé de voir comment il
était possible de mieux associer sa grande expérience sur l’ alimentation, avec l’ apport de vitamine F, et
l’ utilisation du germanium. C’ est une bonne idée et nous verrons plus loin que le Dr Asaï, le père du
germanium organique, conseille également un régime alimentaire. Les résultats combinant la diète
Kousmine et te germanium pour combattre le cancer s’ avèrent très positifs. Dernièrement, j’ ai soigné
une dame venue de Suisse et atteinte d’ un cancer depuis 1987. Opérée, brûlée aux rayons, traitée aux
antibiotiques, bref, souffrant te martyre, elle a été dirigée vers un centre spécialisé pour les malades en
phase terminale, ou l’ unique soulagement qui lui était proposé, étaient les injections de morphine (je
vous ai parlé tantôt d’ une meilleure qualité de vie que la médecine ne parvient pas à donner au
mourant, en voilà un bel exemple). Plus tard, cette femme a eu connaissance de l’ existence du
germanium qui, associé à la méthode Kousmine, lui a permis (en dehors de toute assistance médicale),
de diminuer, puis d’ arrêter la morphine, et enfin de sortir de cet établissement pour rentrer chez elle et
se prendre en main. Cette situation dépasse la compréhension des “ grands scientifiques” de la
cancérologie qui préfèrent s’ occuper de la maladie plutôt que du malade. Ils préfèrent les méthodes
lourdes et agressives (bien plus rémunérantes) que les méthodes naturelles et économiques. Je pense
que cette combinaison a été d’ un grand secours pour cette personne et nous verrons dans ce livre quel a
été le rôle bienfaisant du germanium.
J’ ai eu la grande chance de faire la connaissance du Dr Asaï, ce scientifique japonais qui, le
premier, a fait le rapprochement entre le germanium, la médecine et la lutte contre le cancer. C’ est une
histoire passionnante. C’ est également la lutte d ‘un homme qui pendant vingt ans a travaillé jour et
nuit pour que le germanium soit transformé en une forme assimilable, car dans sa forme brute il est
inorganique, et toxique. C’ est, à mon avis, l’ une des plus grandes contributions à la science médicale
du XXe siècle. Malheureusement et comme c’ est souvent le cas, son travail de missionnaire n’ a pas été
reconnu de son vivant. Si après la mort du Dr. Asaï le germanium a tout de même suscité un immense
intérêt auprès des chercheurs japonais qui ont largement démontré ses pouvoirs immune-modulateurs
face au cancer, il ne présente cependant que peu d’ intérêt aux yeux de ceux qui prétendent monopoliser
le droit de guérir et cela à cause du “ formidable enjeu économique” qui se joue autour du sida. Pour le
cancer, le problème est le même si en théorie, on avance, au niveau de la pratique et de la prévention
on stagne.
Si la médecine veut vraiment vaincre le cancer, elle devra modifier ses conceptions, changer son
enseignement et choisir ses médecins. Le fait de porter une blouse blanche ne signifie pas que l’ on soit
un bon médecin, et que l’ on puisse prétendre être le seul à pouvoir soigner ou juger. J’ ai eu une
expérience intéressante en donnant une conférence à l’ Université de Genève où j’ ai expliqué en trois
heures l’ origine et la place de la naturopathie dans le monde. J’ ai dit entre autres choses qu’ il fallait
beaucoup d’ intuition, de pratique et de motivation pour pouvoir écouter, diagnostiquer et soigner
correctement. C’ est cela qui fait le vrai médecin. On m’ avait demandé de parler de mes expériences
avec les malades, avec les cancéreux, d’ expliquer pour quelles raisons ils venaient me voir et quels
étaient les résultats obtenus. J’ ai expliqué quelle était mon attitude vis-à-vis du cancer et la stratégie
que j‘utilisais avec le germanium. A ce sujet, j’ ai cité deux phrases tirées d’ un excellent ouvrage
intitulé “ Modes de vie et cancer” de Guy de Thé, directeur du C.N.R.S. Ces deux citations vont nous
permettre de constater la divergence qui existe au sein de la médecine et le mur d’ incompréhension qui
se dresse au niveau pratique. Même si les résultats demeurent peu encourageants Guy de Thé dit:
“ L’ expérience séculaire de la médecine montre qu’ il n’ est pas nécessaire d’ attendre d’ avoir
complètement élucidé un mécanisme morbide pour le prévenir et même le guéri?’ . Curieux, non?! car
si en théorie c’ est écrit, comment le médecin va-t-il intervenir s’ il n’ a rien élucidé de ce mécanisme? et
quels médicaments va-t-il prescrire puisque ceux-ci n’ interviennent que sur des pathologies précises?
Mais le plus important est dans cette phrase: “ il serait irresponsable (à qui le dit-il!) pour la recherche
sur le cancer de ne favoriser qu’ une démarche, car toutes les approches sérieuses doivent être
encouragées (à applaudir) pour tenter de comprendre et, surtout, de prévenir les maladies cancéreuses” .
Après cela on voudrait nous faire croire que ces “ Messieurs” se préoccupent véritablement de notre
santé. Comme le dit si bien M. Beljanski: “ Devant nos sidéens “ en pleine forme” le Ministre de la santé
ne réagit pas” . Les échecs appellent plutôt à réviser les concepts qu’ à critiquer autrui.
II suffirait de construire un pont entre les deux médecines pour qu’ elles collaborent et cela pour
l’ intérêt du malade. Lors de la parution de la première édition, j’ ai reçu des centaines de lettres, toutes
aussi pénibles à lire les unes que les autres (en général écrites par des patients, devenus des épaves de
la cancérologie). L’ une d’ entre elles résume le sens de mes écrits. “ Au début, dit l’ auteur, j‘ai ouvert
votre livre avec beaucoup de scepticisme, mais après l’ avoir lu, je constate que ce n’ est pas, comme
beaucoup de livres, de l’ histoire romancée, mais le fruit d’ une grande expérience” . C’ est cette
expérience que j’ ai cherché à mettre au service de celui qui désire trouver une solution, soit pour lui-
même, soit pour le médecin averti qui veut améliorer l’ état de son malade et cela sans préjugés quant
au traitement utilisé. Les résultats existent, et afin d’ étayer mes affirmations, j’ ai décidé d’ inclure des
cas cliniques illustrés qui démontrent d’ une façon catégorique l’ extraordinaire pouvoir du germanium,
associé à un régime alimentaire et à une technique de soins ne comprenant que des produits et des
méthodes naturelles.
Pour l’ instant, le pont entre les deux médecines n’ est pas encore construit. L’ incompréhension et les
intérêts personnels en sont les principaux obstacles. En attendant, c’ est le malade qui souffre. Il vaut
donc mieux l’ aider dans la mesure du possible et lui apporter un espoir en lui montrant qu’ il existe
d’ autres voies. Voilà sans autres prétentions, le but de ce livre.

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L’ actuelle décennie nous a amenés à mieux connaître les fonctions du corps humain et à mieux
comprendre la nécessité des acides aminés, des acides gras, des vitamines, des minéraux ainsi que des
oligo-éléments. Certaines de ces substances sont fiables, d’ autres moins, et d’ autres encore connaissent
un grand succès bien que leur valeur curative puisse être considérée comme nulle.
La prochaine décennie va nous conduire à découvrir de nouvelles substances provenant de la
nature, que l’ on appelle: “ composés“ . Certaines de ces substances ont déjà été découvertes et sont
utilisées depuis dix ou vingt ans avec plus ou moins de fréquence. Certaines possèdent de véritables
propriétés médicinales anticancéreuses et immunitaires. C’ est le cas du germanium dont l’ histoire ne
manque pas d’ intérêt et qui va être appelé à jouer un rôle important dans la lutte contre le cancer et le
sida. Plus de vingt ans se sont écoulés entre le moment où l’ on a commencé les recherches sur le
germanium et sa percée dans les milieux scientifiques, les laboratoires et les hôpitaux. Mais avant toute
chose, voici une définition du germanium pour ceux qui n’ aurait pas encore entendu parler de cette
substance : C’ est avant tout un composé dont la structure se présente comme un semi-métal de couleur
gris-argenté, mais c’ est également un semi-conducteur possédant des propriétés électrodynamiques,
bien connues d’ ailleurs des ingénieurs.
Le germanium est à la fois un métal et un non-métal, c’ est pourquoi on le retrouve dans d’ autres
éléments terrestres. En fait, le germanium est un véritable enzyme métallique.
II a été découvert en 1886 par le chimiste allemand Clemens Wimbler, alors qu’ il faisait l’ analyse
chimique d’ une roche cristalline. Mais le chimiste soviétique Dimitri Mendeleev qui avait déjà,
quelques années auparavant pressenti l’ existence de ce nouvel élément. Il laissa vide la case de la
32ème colonne du tableau des éléments périodiques et, six ans plus tard, Wimbler découvrit cet
élément qu’ il appela” germanium” , du nom du pays de ses parents.
Germanium: poids atomique72,60; nombre atomique 32; densité 5,36.
Pendant les soixantes années postérieures à sa découverte, le germanium ne reçut que peu
d‘attention bien qu’ il fût un élément très rare.
Dans les années 1946-1948, le hasard voulut qu’ il soit utilisé comme semi-conducteur par certains
laboratoires pour le développement de transistors.
La Compagnie des téléphones Bell a été la première à utiliser le germanium, au cours des années a
joué un rôle majeur dans le développement de la civilisation moderne et du monde de l’ électronique.
En 1946, un ingénieur japonais, K. Asaï, qui travaillait alors pour une compagnie de pétrochimie et
analysait des couches fossiles carbonifères, décela des traces de germanium, substance de laquelle il
avait entendu parler dans certains ouvrages publiés en URSS. Cette découverte lui donna à réfléchir sur
l’ existence et sur la provenance du germanium qu’ il avait découvert dans le charbon correspondant à la
période carbonifère de l’ Europe. Pour lui, pas de doute, ce germanium devait nécessairement provenir
des plantes qui avaient formé ce charbon. II se mit alors à analyser plusieurs variétés de bambous, dans
lesquels il trouva également du germanium.
Cette découverte va conduire Asaï à poursuivre son investigation sur les plantes et plus tard le
mener à la médecine et au traitement du cancer.

/DUHODWLRQGX*HUPDQLXPDYHFOHVSODQWHV&KLQRLVHV

L’ analyse des bambous qui permit de déceler des traces de germanium de l’ ordre de 15 à 20 PPM,
incita Asaï à faire la même expérience avec d’ autres plantes telles que les feuilles de thé, les feuilles de
bouleau et la chlorelle. Ces plantes révélèrent des quantités considérables de germanium. Asaï pensa
alors que le germanium avait un rôle similaire à celui de la chlorophylle et agissait comme un
catalyseur. Si nous considérons les caractères semi-conducteurs du germanium, nous pouvons en
déduire qu’ en plaçant le germanium dans de l’ eau et en l’ exposant au soleil, il va agir comme une
cellule photo-électrochimique qui va électrolyser l’ eau en oxygène et en hydrogène. Le germanium est
probablement essentiel à la vie des plantes. Sur ces entrefaites Asaï apprit qu’ en Corée le cancer était
très rare. Sachant que les Coréens mangent beaucoup d’ au et de racines de ginseng. Il se rendit en
Corée afin de se procurer ces deux éléments. II les analysa et quelle ne fut pas sa surprise d’ y détecter
de grandes concentrations de germanium. Les analyses démontrent, entre autres, les propriétés
anticancéreuses que les saponines ginsenosides et les alcaloïdes lui procurent. Mais on néglige souvent
de mentionner sa richesse en germanium qui joue certainement un rôle clé dans les propriétés
mentionnées. Du reste, il faut préciser que la teneur en germanium varie selon qu’ on analyse les
feuilles, le haut ou le centre de la racine. Le centre de la racine peut d’ ailleurs contenir un pourcentage
de germanium absolument fantastique, de l’ ordre de 4000 PPM. En fait, c’ est à partir de cette
expérience avec le ginseng coréen et l’ ail, également très riche en germanium, qu’ Asaï commença à
s’ intéresser aux plantes chinoises destinées aux traitements du cancer. Pourquoi le ginseng de Corée et
l’ ail, ainsi que les autres plantes chinoises contiennent-ils du germanium et en aussi grandes quantités?
Il y a certainement un facteur géographique qui contribue à la richesse du sol. Plus haut j’ ai
mentionné une teneur de 4000 PPM. Je dois préciser que cette analyse a été faite avec du ginseng
cultivé dans la province de Chinshan en Corée, région qui possède une terre spécialement fertile et
propice à la culture du ginseng. Le ginseng requiert une terre d’ une fertilité exceptionnelle et aucun
engrais chimique ou insecticide ne doit être utilisé. Il faut également le protéger des insectes et des
virus en utilisant, dans les meilleures conditions, des insecticides biologiques, à base de plantes ou
d’ essences de plantes. Or le ginseng n’ est jamais attaqué, jamais malade, et il est fort possible que le
germanium joue un rôle important dans la croissance de cette plante.
Dans son livre Asaï parte d’ une plante la Wisterra Knob (en latin Wisterra flaribunda) qui souligne
- -

l’ importance du germanium dans la vie des végétaux. Lorsque cette plante est attaquée ou des virus,
son mécanisme de défense lui permet de former des protubérances. D’ autres plantes, comme par
exemple le bambou vert qui pousse dans la province de Yalrushima (île dans te sud du Japon)
réagissent de la même manière et possèdent des propriétés anticancéreuses reconnues. Il est certain que
dans certains points du globe on trouve du germanium dans la terre. Ce dernier est absorbé par les
racines et retourne dans la terre lorsque les feuilles pourrissent. C’ est à ce moment que la plante est le
plus vulnérable aux attaques et le ginseng serait certainement vulnérable aux virus et autres bactéries
s’ il n’ était pas riche en germanium. II est maintenant plus difficile de cultiver du ginseng car les
récoltes appauvrissent le sol en germanium. Auparavant. il fallait attendre vingt ans pour produire une
nouvelle récolte de ginseng car le ginseng absorbe les éléments chimiques de la terre en grandes
quantités. Les producteurs de ginseng vont chercher de la terre et des fougères dans les montagnes.
Enfin Asaï s’ était livré à une expérience pour démontrer le rôle que joue le germanium dans la
croissance du ginseng. “ Au milieu du mois d’ avril, j’ ai semé des graines de ginseng dans deux caisses
de bois, remplies de terre, des graines de ginseng. J’ ai arrosé l’ une d’ elles avec de l’ acétate de
germanium dilué. Après six mois, il y avait une différence de 20cm de hauteur entre les deux caisses.
Celle qui avait été arrosée avec le germanium contenant du ginseng mesurait 30cm tandis que le
ginseng contenu dans l’ autre n’ en mesurait que 10cm.”
Asaï se proposa alors de vérifier le pouvoir bactéricide du germanium. Il fit l’ expérience suivante:
il enferma des bactéries et des virus dans des tubes contenant de la gélatine colorée au bleu de
méthylène, des bactéries et des virus. Sur cinq tubes, deux seulement renfermaient du germanium.
Dans les tubes ne contenant pas de germanium, les virus et bactéries agirent en décomposant le bleu de
méthylène et celui-ci étant oxydé, il prit une couleur grise, semi-transparente. Par contre les deux tubes
contenant le germanium restèrent bleus. On peut en déduire que le germanium avait pris soin
d’ éliminer les bactéries et les virus qui s’ y trouvaient. Par la suite, d’ autres travaux ont été menés par
l’ Institut Asaï et plus récemment quatre scientifiques japonais ont mené à bien des travaux prouvant
l’ activité antivirale du germanium en agissant sur l’ interféron. Mais revenons maintenant aux plantes et
au germanium et leurs propriétés anticancéreuses. Peu de temps après son voyage en Corée, Asaï
entendit parler d’ une variété rare de fougères qui pousse dans les montagnes de la région de Shiznoba,
au Japon. Dans cette région, les personnes atteintes de cancer se soignent avec cette plante. Non sans
difficulté, il réussit à se procurer cette fougère, et, en l’ analysant, il découvrit que sa teneur en
germanium était fort élevée. Soljenitsyne s’ est guéri du cancer avec un champignon alors qu’ il était
dans un camp de concentration en Sibérie. Ce champignon est le premier de la liste (“ Shelf Fungus” )
qu’ il nous donne dans son livre, “ Le Pavillon des cancéreux” .

Voici une liste des plantes à propriétés anticancéreuses analysées par Asaï voici une vingtaine
d’ années:

Ganoderma (Ling Shing 1000-2500 PPM


Shelf Fungus (Trametes Cinnabaruna Fr.) 800-2000 PPM
Ginseng (Corée) 750PPM
Ginseng (Japon) 250-320 PPM
Sushi (Angelica Pubescens Maxima) 262 PPM
Sanzubron (Codonopis Tangshen) 257PPM
Waternut (Trapa Japonica Flerov) 239 PPM
Boxthorn seed (Lycium chinese milI) (Olinet) 124 PPM
Wisterra Knob (Wisterra Floribunda) 124 PPM
Du reste ces plantes sont mentionnées dans le “ Kanpo Yaku” (livre des plantes chinoises contre les
abcès, tumeurs et cancers).
D’ autres ouvrages plus modernes mentionnent ces plantes avec descriptions des figures chimiques
et les ingrédients isolés.
Dans une seconde phase, le Asaï analysa les plantes qui sont généralement bonnes pour la santé, et
là encore il décela du germanium, et dans certaines même de grandes quantités.

Ail 754PPM
Consoude (Symphytum officinalis) 152 PPM
Aloès 77PPM
Chlorelle 76 PPM

Ainsi que d’ autres plantes japonaises avec des teneurs allant jusqu’ à 255PPM.
On serait surpris aujourd’ hui de découvrir combien de plantes chinoises possèdent des vertus
anticancéreuses: 150 environ ont été recensées avec de telles vertus. Malheureusement les scientifiques
chinois ne se sont pas penchés sur elles pour analyser leur teneur en germanium, qui demeure encore
inconnue. Par contre, les Japonais s intéressent de plus en plus au germanium et à ses vertus et ont
même commencé à analyser une certaine quantité de plantes chinoises. Par exemple, nous avons nous-
mêmes fait des expériences avec le Ganoderma depuis environ cinq ans pour traiter des infections,
hépatites et certains cancers. On a obtenu des résultats encourageants, qui nous incitent à continuer en
faisant des comparaisons avec le germanium sur des cas de cancer analogues.
Enfin, on peut terminer ce chapitre sur les plantes chinoises et le germanium en mentionnant l’ eau
miraculeuse de certains lieux religieux ou mystiques tels Lourdes ou Yamabuki au Japon. Asaï s’ est
beaucoup intéressé à ce phénomène dit miraculeux, bien qu’ il me fusse pas un “ homme de religion”
comme il le disait. C’ est le livre d’ Alexis Carrel qui le guida dans cette direction. Il analysa l’ eau de
Lourdes et réussit le premier à déceler 30 PPM de germanium dans une solution concentrée à 10%. Est-
ce-là la raison des miracles? Asaï veut rapporter ces miracles au germanium. Mais sans parler de
Lourdes et de ses miracles nous verrons que le germanium lui-même peut souvent accomplir des
miracles. Son extraordinaire film sur le germanium, dont j‘ai la chance de posséder l’ unique copie
existante, visualise les effets miraculeux de l’ eau d’ une station thermale japonaise de caractère


mystique, ainsi que toute l’ histoire des travaux d’ Asai.




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Ma rencontre avec le Dr Asaï remonte à 1974. A cette époque, je commençais à m’ intéresser au


cancer et nous avions planifié, avec un groupe de collègues, un congrès international de médecine
naturelle pour 1975 à Aix-en-Provence. Sur ces entrefaites, je suis allé voir en Suisse le Dr Vogel, que
je connaissais d’ ailleurs pour l’ avoir rencontré au Canada quelques années auparavant. Le Dr Vogel,
qui accepta notre invitation, me parla alors d’ un Japonais qui avait mis au point une substance
anticancéreuse appelée “ germanium” . Toujours enthousiasmé à cette époque par la découverte de
nouvelles substances, je pris contact immédiatement avec le Dr Asaï en l’ invitant à venir en France
présenter son germanium. Malgré ses soixante-dix ans, cet homme extraordinaire accepta l’ invitation
pour un voyage qui, à l’ époque, durait 24 heures via Anchorage et Amsterdam. Ce congrès, qui se
réalisa en avril 1975réunit quelques uns des grands pionniers de notre époque tels que les Drs Jensen,
Vogel et Ann Wigmore. Le Dr Asaï arriva en France avec une extinction de voix due, dit-il, au climat
de Tokyo, au stress causé par la rédaction d’ un ouvrage sur le germanium et au tabac. C’ était un grand
fumeur. Je fis connaissance avec un homme que je qualifie d’ exceptionnel pour la recherche immense
qu’ il avait accomplie depuis 1946 pour essayer de faire la synthèse de son germanium, pour son état
d’ esprit exceptionnel pour un homme de son âge. Encore plus pour son sens du devoir, son intuition et
son respect pour la nature; il n’ était, disait-il, ni un religieux ni un spirituel, mais un homme de science.
Il est rare de rencontrer en Occident des hommes de science qui ne soient pas des matérialistes, qui
soient doués d’ intuition et veuillent servir l’ homme.
Le Dr Asaï présenta son thème intitulé «Les plantes chinoises dans le traitement du cancer».
Comme je l’ ai expliqué, il existe un lien entre le pouvoir thérapeutique de ces plantes et le germanium
qu’ elles contiennent. Son exposé, au cours duquel il présenta également des cas cliniques traités dans
son hôpital, notamment de leucémie et cancer du poumon, ne fut pas pris très au sérieux par l’ auditoire.
Les naturopathes et autres praticiens non médecins (et les médecins certainement) affichèrent un
scepticisme total quant à la valeur de cette substance. Ce ne fut pas mon cas, car j’ admirais cet homme
et à travers lui, son travail. Pendant plusieurs jours nous avons eu l’ occasion de bavarder. Son immense
travail l’ avait quelque peu malmené et, en 1966, il commença à être malade et à souffrir de
polyarthrite. Il ne voyait pas de solution à son état quand il pensa à son germanium, dont il venait tout
juste de faire la synthèse. Il en était encore au stade expérimental sans avoir encore passé par les tests
de toxicité. Malgré tout, il décida d’ être son propre cobaye et, comme il le dit: “ animé par une foi
aveugle, je commençai à me soigner au germanium” . Il essaya de petites doses, qu’ il augmenta au fur
et à mesure et petit à petit commença à se sentir mieux. Entre-temps, il se soignait avec un médecin
acupuncteur pour soulager ses douleurs. Après quelques visites, celui-ci fut surpris de son état
d’ amélioration rapide. Il demanda au Dr Asaï de lui donner du germanium pour l’ essayer sur ses
malades. Là encore, il fut surpris de l’ amélioration rapide de l’ état de nombreux malades, certains in-
curables atteints de cancer, d’ épilepsie, de cirrhose, etc. Encouragé par ces résultats et avec l’ appui
d’ un groupe de médecins, il fonda la «Asaï Germanium Clinic» (la clinique de germanium Asaï) où les
malades étaient traités presque exclusivement avec le germanium.
Le succès de notre congrès encouragea de nombreux collègues à demander la réalisation d’ un
deuxième l’ année suivante. Il se réalisa cette fois-ci à Bienne (en Suisse) et réunît à l’ époque 1600
personnes. Le Dr Asaï accepta encore une fois de participer, bien qu’ il vînt de traverser une série de
problèmes de santé assez graves. Il eut à faire face à un cancer de la gorge qui était la cause de son
enrouement. D’ ailleurs, pour venir en France, il absorba toute une série de médicaments pour la gorge,
sans grand résultat. C’ est en Allemagne, où il se rendit après Aix-en-Provence pour visiter son fils
médecin, que le cancer fut détecté. D’ après les spécialistes, il aurait déjà dû être mort étouffé tant la
tumeur était grosse. Il faut croire que les doses quotidiennes que le Dr Asaï absorbait lui étaient d’ un
grand secours. Il fut opéré immédiatement et aussitôt après il absorba 400 mg de germanium par jour.
Il n’ y eut aucune complication mi métastases. Là encore, le germanium démontra sa puissance à
redonner la santé. L’ année suivante, le Dr Asaï arriva en pleine forme à Bienne après 22 heures de
voyage, et présenta non seulement sa conférence mais également un film extraordinaire sur le
germanium et sur sa clinique.
Ayant, depuis l’ année précédente, entretenu une correspondance suivie avec moi, surtout au sujet!
de mes malades et des doses de germanium à prescrire, le Dr Asaï m‘offrit une copie du film en signe
d’ amitié. Ce film n’ a jamais été présenté en France du fait du manque d’ intérêt des praticiens français.
Par contre, il faut dire qu’ à cette époque, le public suisse ainsi que de nombreux médecins réagirent
avec enthousiasme. Au cours des années, j’ ai présenté le film aux Etats-Unis, au Mexique, en Hollande
et en Grèce. Espérons qu’ un jour j’ aurai l’ occasion de le présenter en France et en Suisse. J’ ai encore
passé plusieurs jours à converser avec le Dr Asaï sur son germanium, sa clinique et la façon pour moi
d’ utiliser le germanium à une plus grande échelle. Notamment à cause des résultats que j’ avais obtenus
depuis l’ année précédente. Le Dr Asaï, qui était d’ une grande générosité, m’ avait donné 2000 doses de
germanium pour expérimenter sur mes malades et il me demanda de lui communiquer les résultats. Il y
en eut quelques-uns, bien que je n’ eusse guère d’ expérience à cette époque. En particulier une femme
de trente-deux ans atteinte de la maladie de Hodgkin, une jeune fille de dix-sept ans avec une
sclérodermie et une autre de dix-neuf ans avec un cancer du pancréas. Ces trois personnes sont toujours
vivantes. Il est alors normal que je me sois plongé avec frénésie dans la recherche sur le cancer et son
traitement d’ emblée avec le germanium.
Outre mes quelques résultats, le Dr Asaï m‘avait communiqué un dossier complet d’ une série de
malades traités avec son germanium: leucémie, cancer du poumon, cancer de la prostate, arthrite et
épilepsie. Tous en provenance de sa clinique. On ne peut pas rester indifférent devant de tels résultats
ou alors il faut nier l’ évidence. Je n’ ai pas ce défaut. Si quelque chose donne un résultat, je cherche à
savoir pourquoi même si, après expérience, les résultats s’ avèrent négatifs.
Le Dr Jensen a commencé à étudier l’ iridologie pour se prouver que cette méthode ne valait rien du
tout. C’ est à peine croyable pour un homme qui est devenu le plus grand iridologue du siècle. Seuls
quelques grands génies de cette trempe peuvent mettre en évidence de grandes découvertes. Jensen en
est un, Asaï en était un autre, au même titre que Pasteur, par exemple. Ni l’ un ni l’ autre ne sont mé-
decins. La seule différence est de savoir pourquoi la médecine a accepté à cette époque les découvertes
d’ un non médecin.
Asaï a été un génie pour avoir d’ abord découvert la relation du germanium avec les plantes et le
traitement des maladies et notamment du cancer, puis pour avoir réussi à en faire la synthèse après 16
ans d’ efforts. Fatigué par tant d’ années de travail et de recherches, le Dr Asaï est mort en 1983, à l’ âge
de 75ans, de complication rénale.

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L’ histoire du germanium comme élément minéral, semi-métallique, utilisé pour la fabrication des
transistors ou diodes, prend un tout autre chemin lorsque d’ un seul coup, cette substance devient un
élément important! dans la santé de l’ homme —mieux, un élément capable de vaincre bon nombre de
maladies. Seize ans se sont écoulés depuis le jour où Asaï réussit à extraire du germanium inorganique
et à le rendre finalement organique.
Grâce à un procédé spécial qu’ il développa, il réussit à extraire du germanium à partir du charbon,
pour le transformer en une substance inorganique pour les besoins de l’ industrie électronique. Après
ses découvertes avec les plantes chinoises, il lui fallut inverser le processus, en changeant le
germanium inorganique en une substance organique pouvant être utilisée en biochimie.
Germanium inorganique, métalloïde semi-conducteur possédant des propriétés électrodynamiques.
La formule chimique de la molécule de germanium est Sesquioxyde carboxyéthyle de germanium (Ge
CH2 CH2 COOH)2 03.
Les tests de toxicologie ont prouvé la non-toxicité du germanium. Les premiers tests ont été
réalisés en 1971 par l’ Institut du Germanium Asaï, par la section des sciences pharmaceutiques de
l’ Universjté de Kitasado, par le département de pathologie de la Faculté de médecine Saitama et en
1972 par le Japan Experimental Medical Research Institut.
Les rapports démontrent sa non-toxicité sur les rats. Le germanium est rapidement éliminé, sans
provoquer le moindre symptôme. Après administration par voie orale et injection i.v. le sang absorbe le
germanium après environ 3 heures et l’ élimination est complète après 24 heures.
Par voie i.v. il est éliminé dans une proportion de 60% par les urines dans la première heure, et 90%
après trois heures.
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HVWpOLPLQpGXFRUSV

J’ ai expliqué que le germanium se combinait avec l’ hydrogène pour être éliminé. C’ est exact et, en
fait, toute trace de germanium se trouve complètement évacuée de l’ organisme par les urines après
une période de 20 à 30 heures. Pour cette raison, le germanium est dénué de toute toxicité. On a
cherché à accuser les méthodes ou les produits naturels contre le cancer d’ être toxiques tels le laetrile,
le viscum album, les physiatrons etc. Je me demande comment on va réagir devant le germanium qui,
par les analyses, démontre une non-toxicité absolue !
Les premières expériences pour connaître de quelle façon le germanium se diffuse dans
l’ organisme ont été menées au Japon dès 1972 par le Japan Experimental Medical Research lnstitut.
Du germanium organique a été donné à une souris en dosant à 30 mg/kg de poids vif.
Une heure et demie plus tard, la distribution du germanium s’ avérait être la suivante:

Poumon 225 PPM


Cœur 2.5 PPM
Estomac 188.0 PPM
Foie 12.0 PPM
Reins 15,0 PPM
Rate 27,5 PPM
Testicules 8,0 PPM
Urine 90,0 PPM
Intestin grêle 522 PPM
Muqueuse de l’ intestin grêle 788 PPM
Cæcum et Cólon 10,5 PPM
Cerveau 21,5 PPM
Sang 43,2 PPM

Le germanium es! également en grande concentration dans les intestins. II faudra une vingtaine
d’ heures, ou un peu plus selon les organismes, pour que le germanium soit complètement éliminé. Les
tests démontrent également qu’ après avoir été transporté par Ie sang jusqu’ aux cellules du corps, le
germanium va pénétrer le foie puis atteindre Ie pancréas, la rate, la vésicule biliaire, les reins, les
surrénales et la thyroïde. Il va régénérer ces organes de même que le cerveau et le cervelet qui, nous le
savons, ont besoin de plus d’ oxygène que les autres organes. La germanium est un puissant
régénérateur des organes vitaux. Nous verrons plus loin qu’ en s’ éliminant de l’ organisme, le
germanium va entraîner avec lui les métaux toxiques qui meus empoisonnent.

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La premier mécanisme d’ action du germanium découvert par Asaï a été celui de I’ oxygène, c’ est-
à-dire son pouvoir oxygénant grâce à ses molécules d’ oxygène. La base de cette théorie du
mécanisme est que le germanium prend la forme d’ un sesquioxyde
D’ abord nous savons que lorsque les aliments sont transformés dans l’ organisme pour donner
l’ énergie nécessaire, en même temps il se produit du dioxyde de carbone (CO2) et de l’ hydrogène
(H2). Le CO2 est expulsé par les poumons tandis que le H2 combine avec l’ oxygène pour être
transformé en eau puis évacué par les urines et la sueur. L’ hydrogène peut être considéré comme un
cation indésirable dans l’ organisme. C’ est un polluant qui, lorsqu’ il s’ accumule, prive I’ organisme
d’ oxygène et l’ acidifie!
La cancer est une maladie qui apparaît lorsque la respiration cellulaire devient anormale. En fait,
pour accomplir ses fonctions normales, I’ organisme doit se débarrasser de l’ hydrogène. Plus
l’ hydrogène s’ accumule, plus nous avons besoin d’ oxygène pour 1‘expulser.
En fait, comme nous le verrons, le germanium est un puissant déshydrogénateur. La structure
biochimique et l’ énergie des cellules sont directement liées à la fonction de l’ oxygène. Les tissus
vivants demandent notamment de grandes quantités d’ oxygène. Dans l’ organisme humain, le besoin
d’ oxygénation cellulaire varie selon l’ activité; mais, surtout, les cellules nerveuses consomment
beaucoup d’ oxygène — environ 20 fois plus que le muscle au repos. L’ anoxie entraîne rapidement de
profondes perturbations humorales acido-basiques, perturbant le pH (potentiel hydrogène) avec
accumulation de CO2. D’ où encore le rôle important que va jouer le germanium. L’ anoxie va être la
cause de nombreux troubles organiques cardio-vasculaires, circulatoires, nerveux, psychiques, etc.,
mais surtout cancéreux. Pour mieux comprendre cela, il faut revenir aux travaux de Warburg et
Donagh, deux Prix Nobel de médecine, qui ont démontré cette théorie, prouvée d’ ailleurs à maintes
reprises. Entre autres par Cameron qui, prouva la formation de cellules cancéreuses dans un milieu
privé d’ oxygène. Contrairement aux cellules normales, les cellules cancéreuses peuvent se développer
dans un milieu pauvre en oxygène. Elles deviennent alors très sensibles à l’ oxygène. Elles sont
incapables de survivre à la présence d’ un niveau normal d’ oxygène.
Les expériences démontrent qu’ en augmentant l’ oxygénation des tissus cancéreux les cellules
auront moins de résistance en présence d’ une attaque du système immunitaire. En fait, en s’ est rendu
compte aujourd’ hui que le système immunitaire avait un besoin constant! d’ oxygène pour se défendre.
Dans un état normal l’ organisme a besoin constamment d’ oxygène pour l’ épuration organique et
surtout pour activer 1‘énergie cellulaire, notamment! les molécules d’ énergie ATP au niveau des
mitochondries, qui sont les accumulateurs d’ énergie pour nos cellules. Nous avons aujourd’ hui deux
facteurs négatifs qui provoquent! l’ accumulation de CO2 et ainsi privent l’ organisme d’ oxygène et
d’ énergie: le stress et l’ excès d’ acidité. Ce dernier est d’ ailleurs causé également par le stress mais
surtout par les abus alimentaires et les aliments industrialisés: café, sucre blanc, alcool, viande,
conserves, etc. Le stress et l’ acidose sont deux facteurs courants dans notre société et sont
certainement à l’ origine de nombreux troubles organiques et de maladies.
Le docteur Kousmine explique clairement cette situation dans son livre ” Sauvez votre Corps” et
suggère des contrôles du pH urinaire. Les déficiences alimentaires, selon elle, produisent une
accumulation anormale d’ acides métaboliques. En conditions normales ils sont expulsés par les urines
et c’ est justement la raison du test. Mais en excès, face à des émonctoires perturbés, les acides vont
s’ accumuler. En fait, le stress est un des facteurs qui vont contribuer à la production et à
l’ accumulation d’ acides métaboliques. Ainsi, une mauvaise alimentation, combinée au stress, est
certainement à la base des nombreux cancers de notre société. Asaï avait également compris ce
facteur et suggéré une diète apte à contrer l’ acidose.
La germanium qui va oxygéner l’ organisme, se combinera avec l’ hydrogène pour l’ expulser hors
du corps. Il va se transporter dans tout l’ organisme, stimulant du même coup le système immunitaire.
L’ organisme va pouvoir en même temps réparer les tissus et organes endommagés, et également
régénérer les organes vitaux nécessaires au rétablissement des fonctions de la vie. Cette notion
d’ oxygénation et d’ acidose ne touche pas encore la médecine classique qui comprend encore mal les
fonctions normales et anormales de l’ organisme. II y a des frontières à abattre entre les médecines,
anciennes médecines et nouvelles. On cherche trop souvent des solutions compliquées alors que
parfois il suffit de comprendre les principes qui régissent la vie et qui peuvent aider l’ organisme
agressé à mieux combattre. Le professeur Léon Schwartzenberg a dit ” qu’ avec l’ immune-thérapie ou
stimulation des défenses, l’ arme de la guérison est produite par le malade lui-même, qui devient son
propre médecin.”
C’ est un principe ancien qu’ il n’ a pas inventé. On peut d’ ailleurs l’ attribuer à Hippocrate lui-même
et à tous les grands pionniers, jusqu’ à notre époque tant combattus pour avoir osé proclamer que le
corps est son propre médecin. Avec un apport supplémentaire d’ oxygène, il est certain que
l’ organisme va récupérer par lui-même. On entrevoit à ce niveau les bienfaits du germanium à titre
prophylactique, comme traitement préventif du cancer, surtout pour les gens qui vivent dans les
grandes villes où l’ oxygène fait tellement défaut. Selon Asaï, 15mg par jour de germanium organique
sont suffisants pour nous protéger de la pollution des villes, du manque d’ oxygène e! du cancer.

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GHVPpWDX[ORXUGV


Nous sommes constamment empoisonnés par des substances toxiques que l’ on trouve en
abondance dans les aliments, l’ eau, les océans, l’ air, etc. En fait, on parle même aujourd’ hui d’ une
invasion des métaux lourds qui va peser très fort sur la santé des générations futures. Depuis 1953
plusieurs centaines de milliers de tonnes de métaux toxiques ont été déversés sur la surface de la terre
et dans les océans. Ces métaux, tels le mercure, le cadmium, le plomb, l’ arsenic, etc. sont la cause de
nombreux désordres organiques, métaboliques, cellulaires et immunitaires. En particulier, ils jouent
un rôle important dans la maladie du cancer. D’ où la nécessité de les expulser et d’ empêcher qu’ ils ne
s’ accumulent. Malheureusement, le problème s’ aggrave, comme c’ est le cas avec le mercure, par
exemple. Au Japon, les chiffres sont alarmants. En Australie, la vente d’ algues comme supplément
alimentaire est interdite à cause de leur teneur en mercure. Par contre, on ne sait pas pourquoi le
poisson, qui en contient autant n’ a pas été interdit. Le mercure, en s’ accumulant, va produire les
fameux radicaux libres dont certains sont à l’ origine du cancer. Plus grave, il va perturber la réponse
immunitaire, dont celle des anticorps, altérer la fonction des tissus lymphoïdes et diminuer la réponse
des cellules T. Le cadmium est un autre métal toxique largement utilisé dans les fertilisants et
l’ industrie pharmaceutique. Il entre dans la fabrication des dentifrices et chewing-gums où la
chlorophylle artificielle remplace la chlorophylle naturelle. La chewing-gum est un véritable poison.
La cigarette est également une source de cadmium qui, de plus, va augmenter le risque de troubles
vasculaires, non seulement chez les fumeurs mais aussi chez les non fumeurs qui respirent leur fumée.
Les concentrations de cadmium dans l’ organisme vont entraver la résistance immunitaire, notamment
la réponse des lymphocytes T, B, phagocytaires et même altérer les fonctions de la moelle osseuse. Le
plomb, lui, demeure 1‘un des plus graves problèmes auxquels notre société doit faire face. II
contribue à la dégénérescence de notre système nerveux. De plus, son accumulation provoque une
mauvaise réponse des anticorps et inhibe la production des lymphocytes B et T ainsi que la réponse
réticulo-endothéliale. L’ excès de plomb provoque des dégâts cérébraux et le cancer rénal.
A long terme, les métaux peuvent altérer le code génétique et créer des mutations cellulaires.
La progression du cancer au cours de la dernière décennie est sans nul doute liée à l’ intoxication
par les métaux lourds.
Comment te germanium va-t-il intervenir?
Grâce à sa structure cubique possédant trois ions négatifs, le germanium va emprisonner les
métaux toxiques à ions positifs dans ce cube, comme dans un filet. Etant soluble et semi-conducteur,
le germanium va se décharger en entraînant avec lui les métaux toxiques.
Plusieurs expériences ont été faites par le professeur Asaï et son équipe. L’ une d’ elles a consisté à
provoquer des dépôts calcaires dans le cortex, les régions médullaire et rénale. Après dix jours de
traitement au germanium, des dépôts calcaires dans te cortex, les régions médullaire et rénale ont été
dissous et ont presque disparu. Après vingt jours, il n’ y en avait plus aucune trace. Dans les tissus
environnants, des cellules mortes ont été détectées. Après trente jours de traitement, les cellules
mortes étaient remplacées par de nouvelles cellules saines.

/DGpWHFWLRQGHVPpWDX[WR[LTXHV

Il existe différents tests et moyens de détection plus ou moins précis.


On peut d’ abord détecter à l’ aide de l’ iridologie les traces de métaux toxiques. C’ est un moyen
simple, rapide, mais qui donne seulement une idée générale. On peut alors mesurer avec précision et
détecter les différents métaux accumulés à l’ aide d’ un test qui se réalise à partir d’ une mèche de
cheveux. Pratiqué depuis longtemps aux Etats-Unis ce test est maintenant disponible en Europe. Il est
alors facile, après un traitement au germanium, de vérifier dans quelle mesure les métaux ont été
expulsés. A titre préventif, quinze milligrammes de germanium par jour sont une bonne dose pour
expulser les métaux toxiques et en empêcher l’ accumulation. Dans les intoxications plus graves qui
entraînent souvent des dégénérescences du système nerveux et immunitaire, il faut alors ou continuer


la dose, ou même l’ augmenter à 20 milligrammes pendant une période de trois mois.


/H*HUPDQLXP
HWOHV\VWqPHLPPXQLWDLUH

Les forces immunitaires, c’ est notre défense naturelle, génétiquement programmée contre les
déséquilibres et créée il y a environ deux millions d’ années. C’ est une puissante association
d’ organes, de glandes, de cellules, de protéines. Le système immunitaire se compose de plus d’ un
trillion de globules blancs qui, à leur tour, produisent des anticorps, de l’ interféron et causent
inflammation et fièvre. Tout cela coopère pour détruire les virus et les bactéries qui auraient pris le
dessus, et les cellules cancéreuses. Chaque jour, notre organisme transforme en cellules cancéreuses
entre 1/4 et 1/2 million de cellules. Seul un système immunitaire intact peut éviter la formation d’ un
cancer.
En fait, oncomprend que cette organisation n’ est pas simple. Elle ne se réduit pas à un organe, ni
juste à une portion de l’ organisme.
Pour aller plus loin, nous avons développé aujourd’ hui une notion plus complète du système
immunitaire, avec la conception d’ un système immunitaire total qui comprend la peau, le côlon, les
reins, les tissus conjonctifs, et autres zones de protection, filtres empêchant les bactéries de pénétrer
dans l’ organisme ou permettant d’ expulser les toxines.
En cancérologie, le système immunitaire est très important parce qu’ il régit le destin de l’ individu
cancéreux par l’ entremise de la relation maladie-défense organique. II faudra absolument rétablir une
proportion correcte afin que le système immunitaire puisse maîtriser le déséquilibre. C’ est aussi
pourquoi la désintoxication est importante, puisqu’ elle nettoie et permet à certains organes de mieux
se défendre contre les virus et bactéries en surnombre. Le foie en est un exemple; il représente une
sorte d’ usine qui contient un très grand nombre de lysosomes, sous-unités cellulaires contenant des
enzymes capables de détruire des produits chimiques actifs. Si le foie se trouve être surchargé par les
toxines provenant d’ excès alimentaires, il ne pourra se défendre correctement.
Notre système immunitaire spécifique consiste en une catégorie de globules blancs qui se divisent
en plusieurs groupes: les lymphocytes B, T, T helper (T4), qui ont pour rôle d’ activer les autres
cellules immunocompétentes que sont les lymphocytes T suppresseurs ou T8 qui doivent freiner,
inhiber les autres cellules immunocompétentes: les lymphocytes ni B et ni T qui se développent en
cellules K (pour Killer) et en cellules NK (pour Natural Killer) chargées, elles, de la destruction de
certaines cellules pathologiques.
II se compose aussi de macrophages jouant un rôle important dans la réponse immunitaire, car
chargés de repérer et de reconnaître l’ antigène et de ce fait déclencheurs d’ une stratégie aboutissant à
leur élimination. Par ailleurs, les macrophages sécrètent des médiateurs capables de modifier le cours
des réponses immunitaires. Il y a notamment le facteur dit: “ lymphocyte activing factor” , LAF ou
Interleukine 1, 14-1, susceptible d’ activer de façon non spécifique plusieurs fonctions des cellules T.
Il se compose d’ anticorps ou d’ immunoglobulines tels que les IgA, IgM, IgG, IgD, IgE qui sont
chargés de combattre les envahisseurs.
Il se compose de lymphokines, substances chimiques solubles dans le sang et sécrétées par les
différentes sous-populations lymphocytaires T. Les lymphokines attirent les macrophages à l’ endroit
de la réaction et les activent.
Il se compose de l’ interféron, c’ est-à-dire de glycoprotéines douées de propriétés antivirales. En
fait, il existe plusieurs types d’ interférons. Certains ont une puissante activité antivirale, comme les
interférons alpha et bêta; l’ interféron gamma, produit par les lymphocytes B et T par induction en
présence d’ un antigène, démontre quant à lui une activité anti-tumorale plus importante que celle des
interférons alpha et bêta.
Les interférons (sécrétés par la plupart de nos cellules corporelles) ont des activités antivirales, des
activités anti-tumorales (stimulation des cellules N.K.), des propriétés immune-modulantes
(administré à forte dose, l’ interféron diminue la production des anticorps; administré à faible dose,
l’ interféron augmente considérablement la synthèse des anticorps).
Donc, voici en gros les facteurs de premier ordre qui composent ce que l’ on appelle “ les défenses
immunitaires” .
Reste à savoir comment l’ organisation des défenses immunitaires se comporte vis-à-vis de la
cellule cancéreuse ou même vice-versa. Cette cellule cancéreuse va mettre en mouvement les
réactions de défense de notre immunité. Notre défense immunitaire va intervenir avec les cellules
naturelles cytotoxiques, surtout les lymphocytes K et N.K., qui se chargent tout spécialement de la
destruction des cellules cancéreuses. Dans les phases précoces des cellules cancéreuses, ce sont les
lymphocytes T qui jouent un rôle important. Les macrophages et les leucocytes jouent aussi un rôle
déterminant dans 1‘immune-surveillance et la destruction précoce de certains cancers débutants. Chez
un individu normal, les mécanismes de l’ immunité cellulaire et humorale détruisent les cellules
anormales qui apparaissent spontanément ou encore sous l’ action d’ un produit cancérigène. On peut
remarquer ce phénomène chez des frères et des sœurs ayant des ancêtres atteints de cancer. Chez l’ un,
les mécanismes fonctionnent, chez l’ autre, ils ne fonctionnent pas et le cancer s’ y déclare. Mais pour
parler clairement, le processus de la destruction immunitaire des cellules n’ est pas simple. Il lui faut
plusieurs conditions: la possibilité de fournir le sang, la capacité de la cellule à corriger et à reprendre
ses fonctions après attaque, ainsi que le type de réponse immunitaire à entreprendre localement.
Peuvent intervenir aussi des facteurs ne permettant pas aux lymphocytes de reconnaître l’ excès de
virus ou de substances pathogènes. La perturbation du micro-environnement et la modification de la
surface de la cellule peuvent également être des facteurs qui retarderont la destruction de la tumeur.
D’ autres théories, que j’ ai pu vérifier, suggèrent que la perturbation électromagnétique de la cellule
l’ empêche de s’ accoupler au système immunitaire. Nieper est l’ un des premiers à avoir avancé cette
théorie. La croissance rapide de la cellule cancéreuse lui confère un rythme vibratoire accéléré la
mettant hors de portée du système immunitaire. C’ est seulement lorsque I’ on parvient à calmer ce
rythme que l’ on peut aider le système immunitaire à entrer en action. Nous verrons tout à l’ heure que
c’ est à ce niveau, justement, qu’ agit le germanium. Enfin, il ne faut pas oublier I’ accumulation de
toxines, les émonctoires bouchés. Ce qu’ on peut appeler “ la toxémie métabolique” va nuire au foie,
aux ganglions, au système lymphatique et réduire l’ attaque des macrophages. La désintoxication est,
de nos jours, un terme défini, notamment aux Etats-Unis, pour signifier l’ aide apportée pour résoudre
le problème d’ inertie du système immunitaire. Les défenses de l’ organisme nous protégent de
l’ invasion d’ intrus, purifient, adaptent, protégent des toxines, des microorganismes, qui doivent être
expulses de notre corps et qui proviennent de l’ ensemble du métabolisme.

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La germanium est un modulateur et un activateur immunitaire. De nombreuses études, menées en


Allemagne et au Japon. démontrent clairement l’ action du germanium sur le système immunitaire. Le
germanium organique (GE-OXY 132) a démontré une importante activité anti-tumorale contre
plusieurs types de cancer.
— Stimulation de la production de gamma-interféron.
— Activation des macrophages.
— Stimulation de l’ activité des cellules N.K.
— Stimulation des cellules T suppresseurs.
On a observé que I’ augmentation de l’ immunité par le germanium était souvent reliée à
l’ augmentation de la production de l’ interféron. Cela a été clairement démontré depuis les tests
effectués par l’ équipe d’ Asaï au Japon. Aux Etats-Unis, sur des volontaires et des malades atteints de
cancer et d’ arthrite rhumatoïde, le germanium a normalisé la fonction des lymphocytes T et B, des
cellules NK et des anticorps. L’ une des particularités du germanium est de stimuler les cellules NK,
en relation avec la production de l’ interféron. Les cellules NK sont les composantes clés des défenses
naturelles de notre corps contre les métastases de la cellule cancéreuse. On comprend mieux, dès lors,
l’ importance du germanium en tant qu’ arme de choix dans la prévention et te traitement du cancer.
Au Japon, une équipe de médecins, sous la direction du Dr Arimari (Tokai University School of
Medicine) a entrepris un test sous contrôle sur huit cas de cancer malin, dont quatre cas de leucémie,
ainsi que sur dix-sept cas d’ arthrite rhumatoïde. Les effets immune-modulateurs du germanium ont
été confirmés sur les sujets atteints d’ arthrite rhumatoïde. Une amélioration clinique des articulations
et de la rigidité naturelle des membres a été confirmée chez quatorze des dix-sept sujets. Chez les
patients atteints de cancer, il y a eu régression des tumeurs et, dans les cas de leucémie, normalisation
des fonctions des tissus hématopoïétiques.
De nombreux tests effectués sur des souris permettent de conclure au pouvoir anti-tumoral
multiple du germanium dans les cas de cancers suivants: AH66, AH44, BC46, 5180, adénocarcinome
et Walker carcinome de Lewis des poumons et d’ autres tels que ceux du pancréas, de la prostate,
de l’ utérus, des poumons, de la leucémie myéloïde chronique, etc..
La germanium possède l’ avantage d’ augmenter d’ une manière significative la durée de vie,
retarde considérablement la croissance de la tumeur et retarde l’ envahissement des métastases chez les
animaux. Parallèlement, des études très poussées sont actuellement en cours au Japon, dans vingt-sept
institutions, y compris des hôpitaux, quant à 1‘action du germanium dans les cas de cancer du
poumon, du côlon et du cerveau, ainsi que dans la leucémie juvénile et dans le lymphome. En 1986,
trois chercheurs ont publié un intéressant rapport sur le rôle joué par le germanium dans la production
des lymphokines et des macrophages contre te cancer.
Les résultats sont les suivants : 1) le germanium stimule la production de cellules T pour produire
les lymphokines; 2) ces lymphokines vont engendrer l’ activité des macrophages; 3) les tumeurs sont
inhibées par l’ activité des macrophages.
Enfin, on peut également rappeler la production de l’ interféron par le germanium et, par
conséquent, son action antivirale. Cette action a d’ ailleurs été prouvée par Asai sur des plantes
,comme je l’ ai expliqué au début de cet ouvrage. Parallèlement, son équipe a démontré que le
germanium augmentait la production d’ interféron.
Plus récemment, des chercheurs japonais : Tshuda, Satoh, Suzuki et Miyoa ont également prouvé
que le germanium augmentait la production d’ interféron.
L’ activité antivirale avec l’ interféron a été vérifiée sur des souris, vingt-cinq heures après
administration de germanium. Les analyses ont conclu que l’ interféron sécrété était du type gamma-
interféron. Le germanium a également provoqué une formation de macrophages actifs dans les
cellules des souris. D’ autres tests ont été menés en supprimant le système immunitaire de souris et de
malades atteints de cancers et d’ arthrite rhumatoïde. Ils démontrent que le germanium normalise la
fonction des cellules T et des lymphocytes B, des cellules NK et stimule la formation d’ anticorps.
Enfin, on a démontré que le germanium était remarquable en combinaison avec les traitements de
chimiothérapie destinés à ne pas épuiser les fonctions immunitaires. C’ est un atout considérable lors-
qu’ on observe les résultats souvent désastreux de la chimiothérapie. Nous aurons l’ occasion de
revenir sur ce sujet un peu plus loin, mais je rappelle encore l’ importance de l’ équilibre système
immunitaire/ maladie qui doit dominer le malade. Dans le cas contraire, c’ est le désastre.
L’ immunothérapie, telle que nous la concevons, doit exercer une surveillance immunitaire
naturelle 1) contre le développement des tumeurs et, 2) pour les détruire; nous pouvons alors
augmenter son action si, pour des raisons quelconques, il y a eu blocage.
Si nous utilisons une chimiothérapie à outrance, c’ est, comme déjà énoncé, un désastre. “ Les
cytotoxiques” sont extrêmement nocifs: on peut dire que ces produits entraînent la disparition de la
tumeur, mais également celle du malade. Bien souvent, lorsque les malades se présentent à la
chimiothérapie, il y a déjà une forte immunodéficience, l’ organisme du patient est altéré par divers
troubles organiques et nerveux, par la fatigue, la malnutrition et la dénutrition provoquées par
l’ évolution de la tumeur. Alors, si on met en action une chimiothérapie et/ou la radiothérapie, cette
immunodéficience va se généraliser. En fait, si l’ on observe les analyses faites sur les malades au
moment de la chimiothérapie, on observe que leur capacité immunitaire est complètement détruite.
Nous verrons des cas semblables dans le chapitre de la leucémie, par exemple de jeunes enfants
incapables de continuer la chimiothérapie tant ils sont affaiblis, et chez lesquels le germanium a pu
restaurer l’ immunité. Il y a beaucoup d’ autres exemples, avec de nombreux malades incapables de
continuer la chimiothérapie mais qui, après une thérapie au germanium, ont pu reprendre le
traitement. Lorsque l’ on ajoute du germanium à la chimiothérapie, ou encore lorsque les analyses
accusent des valeurs basses, le germanium permet, lui, de maintenir ou de rééquilibrer ces valeurs,
entre autres celles des leucocytes, des lymphocytes, des monocytes, des plaquettes, etc.
Pendant longtemps, la science a cru au miracle de l’ interféron; or, aujourd’ hui, non seulement les
succès sont mitigés, mais en plus ils deviennent décevants.
Les effets secondaires sont relativement importants dès que l’ on utilise des doses élevées :
syndromes grippaux, fatigue, troubles digestifs et neurologiques. Par contre, on n’ a pas ces problèmes
avec le germanium, lorsque c’ est l’ organisme qui produit son propre interféron: on n’ observe là
aucune toxicité.
On nous a dit aujourd’ hui que l’ espoir de demain, ce sont les interleukines. Mais déjà les avis sont
partagés tellement les effets secondaires sont violents.
On peut alors essayer de mieux comprendre l’ action du germanium qui, lui, n’ est pas toxique et a
déjà fait ses preuves dans la stimulation du système immunitaire.
La voie immunitaire semble être aujourd’ hui le seul espoir de la médecine pour essayer de vaincre
le cancer; et les hypothèses selon lesquelles le cancer peut se développer par déficience du système
immunitaire, sont de plus en plus soutenues. L’ on ne peut continuer à chercher des substances
toxiques et agressives. C’ est plutôt dans la voie naturelle qu’ il faudra chercher. Là, le germanium va
se présenter comme une arme indispensable.

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La leucémie est une maladie des organes qui forment le sang (hématopoïétiques), et elle se
caractérise par la prolifération exagérée, anarchique, de globules blancs jeunes, anormaux, non encore
complètement formés, dans les organes qui ont pour fonction la formation même des globules blancs:
soit, essentiellement, la moelle des os, la rate, les ganglions.
II existe plusieurs types de leucémies: les leucémies myéloïdes, concernant les globules blancs
formés par la moelle osseuse (ceux qui se développent en globules blancs polynucléaires).
Les leucémies lymphoïdes, concernant les globules blancs formés par les ganglions lymphatiques
et par la rate (ceux qui se développent en lymphocytes).
On distingue encore, selon le second critère:
— les leucémies chroniques;
— les leucémies aiguës.
O» assiste depuis quelques années à une véritable prolifération de la leucémie, surtout chez les
enfants. Les hôpitaux en sont remplis et on ne voit pas comment pallier cette tragédie de la société
moderne.
A mon avis, la leucémie se caractérise par une anomalie métabolique et sanguine de systèmes
immunitaires non encore formés, laissant l’ organisme sans défense face à cette agression. Il ne faut
pas perdre de vue que la leucémie est un cancer et que, comme tout cancer, il existe des causes et
facteurs.
Sans oublier évidemment les tares génétiques, les femmes qui fument pendant la grossesse et dont
les bébés naissent avec des prédispositions pour cette maladie. Nous avons de nombreux exemples qui
prouvent que, selon les futurs parents, il y a souvent de grands risques pour que les enfant naissent
avec la leucémie. Au Portugal, par exemple, le cancer est la seconde cause de mortalité infantile. II
n’ y a pas de quoi être fier. Malgré une technologie hautement avancée, je pense que la médecine
arrive difficilement à prévenir ou à guérir la leucémie. Bien qu’ elle présente des progrès dans le
nombre de guérisons, c’ est, je pense, fausser les chiffres. Les moyens de lutte sont encore très limités
et surtout agressifs. Sur ce point, la médecine vogue dans l’ empirisme; elle refuse ensuite le concours
de méthodes parallèles mais parle beaucoup de nouveaux traitements dans le futur grâce à une
meilleure connaissance du système immunitaire comme moyen de venir à bout de la leucémie. Mais
nous sommes, nous, déjà dans le futur avec le germanium, pour le traitement de la leucémie. Il y a eu
certainement des débuts de résultats voici plusieurs années avec la chimiothérapie sur des organismes
beaucoup moins agressés. Par contre, aujourd’ hui il faut compter avec une chimiothérapie souvent
violente. Il faut utiliser des doses très fortes car les enfant réagissent de moins en moins à de faibles
doses.
Trop souvent, le traitement est stoppé et il n’ y a aucun autre recours, la médecine étant limitée
dans ses moyens d’ action. En somme, les théories et recherches semblent spectaculaires mais, arrivées
à la pratique, devant la maladie elle-même, c’ est la stagnation. Il y a bien I’ espoir de la greffe de
moelle osseuse mais c’ est encore là un domaine très difficile, limité, coûteux et qui, pour le moment,
rencontre de très grands obstacles — entre autres celui du rejet, où les cellules du greffon se
retournent alors, de façon peu prévisible, contre l’ organisme du receveur. On ne peut espérer de
résultats spectaculaires de ce côté. Mais, même s’ il fallait attendre, entre-temps on ne peut rester les
bras croisés et se contenter de rien ou peu. Par contre, le germanium possède vraiment une action
remarquable sur la leucémie et mérite une attention particulière. Asaï avait déjà expérimenté les
bienfaits du germanium sur la leucémie avec de nombreux cas dans son hôpital, et cela dès 1972. Au
Congrès international que nous avions organisé à Bienne à cette même époque il présenta des cas et
alla jusqu’ à proclamer que le germanium guérissait à 100% la leucémie. C’ est quand même un facteur
important qui peut apporter des espoirs. Nous avons eu des exemples assez exceptionnels sur de
jeunes enfants atteints de leucémie et dont les tests démontrèrent une réactivation de la moelle osseuse
après une semaine de traitement au germanium. Ce qu’ il faut cerner ici, c’ est 1‘action immédiate et
bénéfique du germanium au niveau de la moelle osseuse. D’ un autre côté, le germanium est un semi-
conducteur, ses atomes vont s’ accrocher aux globules rouges et empêcher aussi leur destruction. Par
exemple, le germanium empêche les électrons des rayons gamma de les détruire en les dispersant.
Dans une période de quinze ans environ, j’ ai eu souvent l’ occasion d’ observer le pouvoir
extraordinaire du germanium sur la leucémie, en particulier la leucémie myéloïde et lymphoïde. Dans
tous les cas il y a eu des résultats et souvent des guérisons. Malgré le scepticisme et les critiques qui
pleuvent sur les méthodes non chimiques, les résultats existent et surtout avec le germanium.
La leucémie est une des maladies que nous traitons à longueur d’ année. Les âges des patients
varient de six à quarante ans, mais depuis quelques années le nombre d’ enfants augmente
considérablement. Quoi que l’ on puisse dire, croire ou me pas croire, de nombreux enfants, que j’ ai
eus à traiter voici une dizaine d’ années, sont aujourd’ hui bien vivants grâce au germanium. II est
certain que, voici dix ans, il était plus facile de soigner la leucémie, le cancer ou même les
rhumatismes. J’ ai d’ ailleurs expliqué qu’ il fallait aujourd’ hui utiliser des doses de chimiothérapie très
forte sur les enfants. Récemment, jµai eu quelques cas qui illustrent le problème.
Un jour, je reçois la visite d’ une femme qui m’ explique qu’ une de ses amies a sa fille de six ans
internée à I’ hôpital pour leucémie. Les médecins refusent de la laisser sortir tant que les valeurs
sanguines ne se normalisent pas. Apparemment, aucun traitement ne réussissait ce miracle. Que
pouvions-nous faire pour 1‘aider? On ne peut pas se présenter à l’ hôpital avec une valise remplie de
remèdes naturels J’ ai alors eu l’ idée de faire absorber à l’ enfant du germanium organique dissous
-

dans un litre d’ eau, à boire dans la journée. Au bout de quatre jours les valeurs se sont normalisées à
la grande stupéfaction des médecins qui n comprenaient rien, ni le pourquoi, ni le comment de ce
brusque changement. La mère, bien entendu, garda le silence et sa fille put enfin sortir de l’ hôpital
pour venir me consulter.
On convint alors, dans un premier temps, d’ une stratégie avec le germanium, une nutrition
adéquate et la chimiothérapie, parce que le système le veut. Comme le dit si bien le Dr Lagarde dans
son livre “ les cancéreux ne sont pas des êtres humains mais des numéros” . Pire, ils sont des numéros
prisonniers d’ un système qui ne laisse aucun choix. Avec le traitement au germanium, nous avions
maintenu les leucocytes à 6 800, les globules rouges à 4 600 000 et les plaquettes à 300 000, ce qui est
excellent. Malheureusement, le premier traitement de chimiothérapie fut si violent que les plaquettes
baissèrent à 20000; sans compter les réactions secondaires normales causées par ce traitement. D’ un
commun accord avec la mère, nous décidâmes de suspendre la chimiothérapie et, comme nous le
verrons dans les cas cliniques, il n’ y a pas eu de rechute.
Voici un autre exemple concernant une fillette de six ans également, avec le même problème, les
mêmes traitements violents et, en plus, avec de la fièvre en permanence. Aucun traitement hospitalier
n‘arrivait à faire baisser la fièvre et les leucocytes tombèrent à 300. Un véritable problème qui
mobilisa les médecins de l’ hôpital d’ Oncologie, mais personne ne trouva de solution dans le champ
des méthodes cliniques. Après trois jours d’ un traitement au germanium, les plaquettes remontèrent à
1 200 et la fièvre diminua. J’ ai un autre cas avec un garçon de sept ans, hospitalisé depuis deux mois
quand son père vint me voir. Même schéma à la première séance de chimiothérapie, la fièvre apparaît
et les valeurs baissent dangereusement. Un autre traitement est essayé mais aussitôt arrêté. On attend
encore trois semaines pour voir si son état va s’ améliorer, avant de reprendre le traitement. Avec le
germanium absorbé dans le litre d’ eau, l’ état du garçon s’ améliore au bout de quelques jours.
Evidemment, je donne des cas récents, mon pas pour prouver, à ce stade, que le germanium guérit
mais pour démontrer qu’ il trouve une place importante pour pallier une chimiothérapie souvent
violente. Mais des cas anciens de guérisons, il y en a. Un professeur de médecine français, dont je
tairai le nom par respect, dit dans une interview: “ j’ attends qu’ on me montre l’ explication détaillée du
cas d’ un malade effectivement atteint d’ un cancer et guéri grâce à l’ une de ces thérapeutiques, etc.” Je
pense que la chose m’ est pas si difficile, surtout si ce monsieur réclame un seul cas. Je peux prendre
ici l’ exemple d’ un garçon, qui avait six ans à l’ époque, lorsque sa mère me l’ amena. Il avait une
leucémie myéloïde, que nous avons traitée au germanium pendant un an d’ une façon régulière et
ensuite plus espacée. Tout cela sans chimiothérapie. Aujourd’ hui, ce garçon, âgé de onze ans, est en
parfaite santé.
II y a aussi le cas d’ un jeune homme qui, à l’ époque, avait trente ans. C’ était au printemps de
1984. Il avait une leucémie myéloïde chronique et se sentait très mal avec la chimiothérapie. Lors de
sa
première consultation, il venait juste d’ avoir une transfusion sanguine. Malgré tout, il avait un taux
élevé de leucocytes, 220 000/mm3 pour 3 740 000 globules rouges. Après deux mois de traitement au
germanium. les leucocytes se sont stabilisés à 6 000/mm3 et les globules rouges à 4 920 000/mm3.
N’ est-ce pas là une certaine victoire en faveur du germanium ? Peut-on nier les résultats des analyses?
Devant cette amélioration, le malade refusa de continuer la chimiothérapie en faveur de mon
traitement, et cela pendant un an, avec, par la suite, trois visites de routine en trois mois pendant
l’ année suivante. En 1988, ce malade, si on peut l’ appeler ainsi, est bien vivant et n’ a eu aucune
rechute.
En 1981, j’ ai eu à m’ occuper d’ une petite fille âgée de quatre ans. ElIe avait une leucémie traitée
par la chimiothérapie depuis deux ans, avec en plus cobalt et transfusions sanguines. Son cas était
grave; elle avait perdu tous ses cheveux, souffrait de trauma neurophysiologique, irritabilité, grande
fatigue etc. A sa première visite, en mars, elle venait juste d’ avoir une transfusion sanguine. L’ analyse
du sang était la suivante: leucocytes 8 71 l/mm3, globules rouges 5 100 000 et plaquettes 200 000. Je
lui prescrivis un traitement au germanium avec, il faut le dire ici, une diète comme dans tous les
autres cas. Un mois après, son état s’ améliora. Plus calme, moins irritable, meilleur appétit et gain de
poids de 2 kg. L’ analyse sanguine était la suivante: leucocytes 4900, globules rouges 5400000,
plaquettes 250000. Au bout de deux mois, son état s’ améliora à tel point que les médecins modifièrent
la chimiothérapie pour une séance tous les trois mois au lieu d’ une fois par semaine. De plus, elle
n’ eut plus besoin de transfusions sanguines à partir du premier traitement au germanium.
Après trois mois, voici son analyse sanguine: leucocytes 7 500/ mm3, globules rouges
5300000/mm3, plaquettes 250 000/mm3. EIle revint me consulter le 24 mars 1982, c’ est-à-dire un an
après. Ses cheveux avaient totalement repoussé et son état était excellent. Sa mère avait arrêté la
chimiothérapie de sa fille malgré les cris des médecins. Son état continua à s’ améliorer et elle suivit le
traitement au germanium pendant huit autres mois. Aujourd’ hui, âgée de onze ans, elle est en parfaite
santé et je la revois une ou deux fois par an pour une visite de routine.
Des cas similaires, nous en avons eu beaucoup, surtout des enfants qui, aujourd’ hui, sont devenus
des adolescents en pleine santé. II est quand même extraordinaire d’ avoir lutté pour sauver ces enfants
et de les revoir dix ans après, grandis et en bonne santé. On veut trop souvent ignorer les bienfaits,
voire les exploits de la médecine naturelle, ou, disons, d’ un spécialiste qui utilise des méthodes non
conventionnelles. On n’ admet pas qu’ il y a eu guérison ! Soyons sérieux, tous les cas sont véridiques
et vérifiables.
Trop souvent, le malade n’ ose pas avouer à son médecin ce genre de traitement combiné et c‘est
un tort, car les médecins sont surpris de la bonne réaction du malade par rapport aux autres. Lorsqu’ ils
demandent aux malades ce qu’ ils font pour être en aussi bonne forme, ceux-ci, trop intimidés et se
sentant mal à l’ aise, répondent pour la majorité qu’ ils suivent un régime. Quoi qu’ il en soit, nous
avons obtenu, depuis plus de dix ans, des résultats indiscutables avec le germanium dans le traitement
de la leucémie. J’ ai la ferme conviction, fondée sur ces expériences, que le germanium pourra s’ avérer
dans le futur être un remède de premier choix dans le traitement de la leucémie. Pour le moment, il
existe malheureusement un fossé entre la science et la médecine.
Je pense que tout doit être mis en oeuvre lorsqu’ il s’ agit d’ enfants. II est nécessaire de créer une
médecine plus humaine, plus simple, plus tolérable et moins traumatisante peur les enfants. On doit
leur enlever la peur des blouses blanches et des hospitalisations déprimantes. Ce serait d’ ailleurs un
bon moyen de soulager les hôpitaux débordés et de réduire les dépenses extravagantes qu’ entraîne ce
système.

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La cancer du poumon est le type de cancer qui provoque la plus grande mortalité et son
pourcentage ne cesse de croître depuis 1952. On prévoit pour les années à venir, selon l’ O.M.S., une
augmentation de 111,6% chez les hommes et 200 % chez les femmes. Avec les thérapeutiques
actuelles, l’ espérance de vie est de six mois environ et les fameux “ cinq ans de survie” ne concernent
que 8 à 12% des cas.
Les poumons, organes de la respiration, sont particulièrement exposés aux agressions des
poussières, de polluants extérieurs tels que les gaz d’ échappement des voitures et surtout la fumée des
cigarettes. Aujourd’ hui, on accuse le tabac d’ être le principal responsable du cancer des poumons.
Cela est en partie vrai si l’ on considère le rôle de l’ alimentation et la protection contre l’ oxydation
cellulaire. Pendant des siècles, les Indiens d’ Amérique du Nord ont été de grands fumeurs et pourtant
ils n’ ont jamais développé de cancer des poumons. Il est certain que leur alimentation naturelle les
préservait d’ une telle maladie, tout comme l’ air pur qu ‘ils respiraient. Quant au tabac, il n’ était pas
empoisonné comme celui des cigarettes d’ aujourd’ hui. Outre la pollution et les déficiences
vitaminiques, on peut expliquer le cancer du poumon par des conditions pathogènes, dues une
alimentation déséquilibrée. L’ excès d’ acidité favorisant la formation de mucosités va, à la longue,
affecter le système respiratoire notamment en se déposant dans les alvéoles pulmonaires, et provoquer
une mauvaise respiration. Si en plus nous fumons, les composés de carbone sont attirés dans cet
environnement collant et, selon des circonstances précises, cela peut donner naissance à une tumeur.
Ce sont des facteurs à ne pas négliger et qui méritent une attention tout aussi spéciales que le tabac.
J’ ai expliqué que des conditions morbides pouvaient être à la base du cancer des poumons; mais
c’ est également vrai pour les autres cancers. Dans les poumons, le flux sanguin est important. Or,
d’ après le professeur Hans Selye de la faculté de médecine de l’ université de Montréal, la quantité de
sang circulant vers un organe est sensiblement réduite en bloquant un des vaisseaux sanguins.
L’ organe va ainsi entrer dans un état de morbidité du fait de la diminution du flux sanguin, qui va
réduire l’ apport en oxygène.
J’ ai expliqué en détail ce problème dans ma théorie du cycle des transferts morbides et la thérapie
S.J. injectable que j’ utilise dans te traitement du cancer. L’ une des actions de cette thérapie consiste à
restaurer la circulation vasculaire et nerveuse qui irrigue 1‘organe malade. Dans un cancer, par
exemple, il y a étranglement des vaisseaux sanguins, capillaires et ramifications nerveuses, provo-
quant une importante diminution du flux sanguin. Cela veut dire déficience en oxygène, en éléments
nutritifs, en énergie, sans parler du blocage hormonal et enzymatique.
La cellule pulmonaire est donc attaquée sur plusieurs fronts: la pollution environnante et l’ état
morbide compliqué par un sang veineux vicié et non oxygéné. Quand je dis “ vicié” , je veux dire
pollué par des substances toxiques de provenance intestinale. Or, on s’ aperçoit que si l’ état de
l’ environnement extérieur empire, les agressions provenant des intestins augmentent également dans
les pays industrialisés. On peut comprendre alors pourquoi la fréquence du cancer s’ accroît, même
chez les non-fumeurs.
Devant la complexité du cancer du poumon, les traitements classiques sont décevants - chirurgie,
-

cobalt et chimiothérapie se montrent incapables de sauver le malade.


Etant donné sa nature, le cancer du poumon est très difficile à traiter. En 1974, le Dr Asaï avait
présenté à Bienne dans sa conférence, 20 cas de cancer traités au germanium, avec 90 % de guérisons.
C’ est un chiffre énorme. J’ admets que, voici dix ou quinze ans, il était beaucoup plus facile de traiter
un cancéreux avec des méthodes naturelles variées et avec le germanium. Je le remarque de plus en
plus au fil des ans.
Malgré tout, et en fonction de mon expérience avec le cancer du poumon, je place le germanium
en première position, comme étant un remède extrêmement efficace. Nous avons réussi à obtenir des
résultats absolument remarquables sur de nombreux cas de cancer des poumons. A I’ heure actuelle,
nous en avons plusieurs en traitement dont les radiographies affichent un changement assez important
après deux ou trois mois de traitement au germanium. J’ ai eu le cas d’ une chanteuse portugaise qui,
malheureusement, avait été opérée d’ un cancer au sein. Mais, un an après, un check-up avait décelé
des métastases infiltrées dans les deux poumons. Après un mois de traitement au germanium, un
poumon était absolument guéri: aucune trace de métastase. Pour un tel cas, aussi bien que celui d’ un
cancer des poumons, la dose de germanium peut varier de 200 mg à 400 mg par jour.
Le germanium est total d’ abord un puissant antioxydant de la cellule pulmonaire, et, selon le
professeur Waltenburg de l’ Université du Minnesota, les antioxydants peuvent inhiber la formation
d’ un cancer dans les poumons. C’ est un puissant stimulant et oxygénateur sanguin et cellulaire,
permettant à la cellule de mieux se défendre, sans parler de son action au niveau du système
immunitaire. On comprend mieux alors son action remarquable sur le cancer des poumons et sur l’ état
du malade lorsque celui-ci suit un traitement au cobalt avec le germanium. II y a aussi l’ alternative de
ne pas employer le cobalt et de suivre un traitement à base de germanium uniquement. Nous avons pu
établir ce graphique après cinq ans d ‘observations sur nos malades ainsi que sur des malades en
traitement dans d’ autre établissement hospitalier. Le graphique indique bien que la meilleure chance
d’ atteindre le cap des cinq ans de survie est celle du traitement avec le germanium ce résultats obtenus
avec ce traitement -40% de guérisons- sont supérieurs aux résultats obtenus avec des traitements
classiques. Il serait, intéressant de pouvoir continuer de telles expériences sur un plus grand nombre
de malades et en milieu hospitalier.

TRAITEMENT DE 100 CAS DE CANCER DU POMON

TAUX DE SURVIE
TRAITMENT Nombre de
EFFECTUE Malades 1re année 3e année 5e année

Traitement au 48 25% 0% 0%
Cobalt

Traitement au
Cobalt plus 25 75% 40% 32%
Germanium

Traitement au
Geramnium 27 85% 60% 40%
400mg/jour
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Le germanium possède une action polyvalente sur le cancer, comme vont l’ expliquer les chapitres
suivants de ce livre. Mais je tiens quand même à démontrer déjà son action générale. Que ce soit au
niveau de l’ oxygénation cellulaire, du système immunitaire, comme antioxydant, comme régénérateur
organique et surtout énergétique, on comprend alors son action sur différents types de cancer et
surtout son action sur les causes du cancer.
Je ne présente pas une substance qui, comme les médicaments chimiques, agit uniquement au
niveau du mécanisme tumoral tout en attaquant 1 ‘organisme; mais une substance qui non seulement
contrarie directement la cellule cancéreuse, mais agit en même temps sur les causes: nervosité, stress,
désordre endocrinien et hépatique, constipation chronique, etc.
Le germanium va réparer, corriger les désordres organiques et réactiver les échanges
métaboliques et enzymatiques.
Cancer veut dire, entre autres, blocage enzymatique, qu’ on le veuille ou non. D’ ailleurs, tant que
le système enzymatique ne fonctionne pas, il n’ est pas question de guérison ni de grands résultats.
Cette théorie, je la mets en pratique depuis un certain nombres d’ années avec des résultats
appréciables. Les enzymes sont les véritables mécaniciens cellulaires chargés de réparer les segments
endommagés avant que la cellule se dédouble. D’ autres enzymes agissent comme de véritables radars
chargés de détecter d’ éventuelles cellules cancéreuses circulant dans le sang. En outre, les réactions
chimiques de l’ organisme dépendent principalement des enzymes. On ne peut concevoir de vie sans le
système enzymatique.
Le germanium, qui est une véritable enzyme métabolique et un biocatalyseur, va favoriser et
stimuler la vie enzymatique bloquée en la réactivant et, par la même occasion, réactiver les fonctions
vitales. C’ est un aspect encore bien négligé mais que tôt ou tard la science va certainement aborder.
Le cancéreux est en général un nerveux, un stressé, un carencé, un individu intoxiqué par des
surcharges métaboliques, causées par les excès alimentaires et par le stress, qui bouchent les
émonctoires.
II est en plus déprimé psychiquement par sa maladie, d’ autant plus que, bien souvent, celle-ci a
été déclenchée par des facteurs affectifs ou par des traumatismes psychiques. A ce niveau, le germa-
nium fortifie le système nerveux et psychique et permet au malade de mieux combattre et de supporter
sa maladie. Enfin, le germanium agit sur l’ ensemble du système immunitaire pour que celui-ci puisse
détruire de lui-même l’ hôte indésirable. Les résultats sont toujours spectaculaires, surtout si nous
traitons un cancer dès le début et jusqu’ à la limite de l’ irréversibilité.
Les enfants cancéreux répondent d’ une manière très positive au germanium, souvent dans des
proportions de 100%.
J’ ai eu à m’ occuper tout au long de mes années de pratique de tous les différents types de cancer
tels que ceux du larynx, de I’ estomac, de la prostate, des intestins, de la langue, des seins, de l’ utérus,
du pancréas, du foie, du cerveau, des os, des poumons, et les leucémies. Et avec des malades du plus
jeune âge jusqu’ au plus avancé. J’ ai aussi apprécié les résultats du germanium sur ces cancers et je
n’ exagère pas lorsque j’ avance Ie chiffre de dix mille cancéreux. Il faut un nombre suffisant de
malades pour pouvoir juger la valeur réelle et le pouvoir curatif du germanium. Les meilleurs résultats
apparaissent surtout pour le traitement du cancer des poumons, du sein, et de la leucémie, la maladie
de Hodgkin.
J’ ai d’ ailleurs dressé un graphique qui indique les pourcentages de guérison obtenus pour chaque
maladie. Dans les cas irréversibles le germanium permet d’ obtenir la prolongation de la vie du malade
dans de meilleurs conditions. Dans les cas les plus graves il soulage le malade en stimulant la
sécrétion d’ endorphines et ce qui les douleurs. C’ est d’ ailleurs, une des grandes victoires du
germanium réconfort au cancéreux, qui dans les derniers moments, souffre physiquement et
psychiquement. J’ ai eu des cas où le malade s’ est tranquillement éteint pendant son sommeil.
Personne ne veut parler de panacée mais, à ce stade, le germanium peut vraiment être comparé à une
substance quasi- miraculeuse Asaï qui n’ a jamais était un religieux n’ a jamais cru au miracles, mais il
.

dû reconnaître, grâce à son sens de l’ observation, à son intuition et à son savoir, les bienfaits du
germanium.
Je me rappellerai toujours de mon premier malade traité au germanium. Il était venu me consulter
car il avait une tumeur à l’ hypophyse, et avait perdu 90% de la vision de l’ œil gauche. Son opération
était marquée pour la semaine suivante. Refusant la chirurgie, il a préféré suivre le traitement au
germanium. A cette époque, j’ avais pris un grand risque.
Néanmoins, au bout de trente jours il recouvrait totalement la vue et après deux mois la tumeur
avait disparu. Ce n’ était peut-être pas un cas spectaculaire, mais j’ avais déjà une idée du pouvoir du
germanium. Ce pouvoir s’ est confirmé tout au long de mes années de pratique et certains de mes
malades se sont totalement rétablis et plus. Notamment avec des carcinomes du sein, des cancers de la
prostate, de l’ utérus et des leucémies. Dans le chapitre précédent sur le germanium et la leucémie, je
donne des détails plus précis. Les échecs dans la leucémie sont très rares avec le germanium. Le
germanium n’ étant pas toxique, on peut en varier les doses pour obtenir le résultat désiré. Chez
certains malades, 200 à 250mg sont suffisants et chez d’ autres il en faudra de 300 à 400 mg par jour
pour que l’ organisme commence à réagir. Là encore, il faut comprendre l’ action générale du
germanium et non pas uniquement son action au niveau du système immunitaire. En fait, pour
comprendre la maladie il faut en connaître les causes.
On voudrait nous faire croire, à la veille de O¶DQ  TXH OH FDQFpUHX[ HVW XQ LQGLYLGX
SDUIDLWHPHQW VDLQ GH FRUSV et que le cancer est son seul trouble. Est-ce là une théorie sérieuse?
Certainement pas, et on le prouve très bien. Mais de là à changer le système et à adopter une autre
stratégie, il faudra plusieurs générations. Tout comme pour en arriver à admettre que l’ organisme est
son propre médecin. C’ est, semble-t-il, le nouveau chemin d’ investigation de la médecine
scientifique. C’ est parfait, mais pas nouveau, c’ est même très ancien.
Ensuite, pour que l’ organisme soit son propre médecin, encore faut-il lui en donner l’ occasion. Ce
n’ est pas en YDFFLQDQW un organisme délabré que celui-ci va pouvoir être son propre médecin! Bien
que nous vivions dans une époque de perfectionnisme, de recherche poussée, c’ est là un côté très
négligé, c’ est une stagnation et une perte de temps considérable qui freinent la possibilité de vaincre le
cancer.
Un autre exemple: dans le cancer nous avons deux facteurs importants à considérer, la condition
actuelle des fonctions organiques, métaboliques et enzymatiques, et le cancer lui-même. Ce sont deux
facteurs qui appellent même des subdivisions, comme le côté psychique qui, aujourd’ hui, caractérise
de nombreux cas de cancers et dont sans doute on accepte mieux aujourd’ hui la relation. Certains
chocs et traumatismes neuropsychiques sont à l’ origine du cancer. Voici des années, j‘avais
commencé à remarquer ce facteur chez des cancéreux avec d’ abord l’ iridologie et ensuite, d’ une
manière plus flagrante, avec le T.M.S.
Il est indispensable de comprendre cette vision totale, celle que l’ on appelle de “ O¶KRPPHWRWDO”
dans ce cas, du “ PDODGHWRWDO“ . L’ on comprend mieux alors 1‘action du germanium sur la maladie du
cancer. Pour comprendre la ou les maladies, il faut avant tout comprendre ce qu‘est la santé, les
principes de la santé et quels sont les facteurs qui vont la perturber. Je ne crois pas que la science et la
médecine soient arrivées à ce résultat. Il n‘y a pas un facteur unique de santé ni un facteur unique pour
guérir une maladie c’ est là, la grande erreur de la médecine.
Pendant des années nous avons traité et observé des cancéreux et nous retrouvons chez tous ces
mêmes caractéristiques, qui échappent encore à 1‘oncologie moderne. Il est vrai que nous pratiquons
un système différent mais qui progresse suivant les nouvelles découvertes de la biologie et de la
neurobiologie. Nous avons des théories empiriques mais qui deviennent de plus en plus populaires et
se confirment de jour en jour. Nous comprenons les malades beaucoup mieux que le spécialiste qui ne
s’ intéresse qu’ au processus du mécanisme du cancer et rien de plus. J’ ai certainement eu de la chance
de pouvoir mettre en pratique mes propres théories ainsi que plusieurs méthodes, remèdes naturels,
etc., de pouvoir comparer, observer, améliorer sans être constamment tracassé comme beaucoup de
collègues le sont. C’ est ce qui d’ ailleurs, empêche les travaux cliniques en médecine alternative de
progresser, voire même de s’ affirmer. Cette marginalité empêche vraiment de faire du travail sérieux
et de prouver le fondement de nos méthodes. Par contre, notre Institut a réellement pu travailler d’ une
manière systématique pour comparer, sur plusieurs années, l’ action du germanium par rapport à
d’ autres méthodes. Comme résultat, je suis certain de la supériorité du germanium et ne suis pas seul à
l’ affirmer.
Plusieurs collègues hautement qualifiés, notamment de Hollande, d’ Angleterre et des Etats-Unis
utilisent comme moi le germanium. Le Dr Jan de Vries, qui dirige une très grande clinique de
médecine alternative en Ecosse, utilise depuis de nombreuses années le germanium. Il a connu le
professeur Asaï lorsque nous avions organisé le grand Congrès de Bienne en 1974. Tout comme moi,
il a compris l’ action extraordinaire du germanium dans la lutte contre le cancer et la leucémie. Jan de
Vries est une personnalité en Ecosse; c’ est un vrai professionnel et un spécialiste dans le traitement du
cancer et de la leucémie, auteur d’ un ouvrage sur ce thème dans lequel il décrit ses propres
expériences avec le germanium. Nous avons la chance, tous les deux, de pouvoir traiter, quelques
centaines ou plus de cancéreux chaque année, de pouvoir vérifier les résultats avec un éventail de tests
qui comprend d’ abord les classiques: échographie, scanographie, paramètres immunologiques puis le
fameux test T.M.S., l’ iridoscopie, la diaphanoscopie. Il est donc difficile de se tromper sur les
résultats.
Je pense que nous avons échafaudé une structure permettant vraiment de juger nos méthodes avec
les meilleurs atouts possibles. ,,Q¶HVWSDVTXHVWLRQGHVHFRQVWUXLUHXQHSXEOLFLWpVXUGHVFDVLPD
JLQDLUHV, comme le répètent les ennemis de ce système. D’ ailleurs, il est clair que les critiques vont
commencer à pleuvoir, surtout de la part de ceux qui se considèrent comme des sommités en la
matière, de ceux qui dénoncent les traitements “ farfelus” , comme ils aiment à le dire, avec le concours
des médias, point trop intéressés d’ ailleurs à chercherODvérité ou à vraiment aider le public$XFXQ
G¶DLOOHXUV Q¶D MDPDLV HX OH FRXUDJH GH SXEOLHU XQ FDV GH FDQFHU DYHF SUHXYHV j O¶DSSXL HW
SKRWRVJXpULSDUXQHPpWKRGHDOWHUQDWLYH
Pourtant, des résultats il y en a… et même beaucoup, surtout avec le germanium. On tourne trop
souvent en ridicule les possibilités qu‘offre un traitement alternatif. J’ ai eu deux cas récemment de
cancers guéris - selon les tests hospitaliers: l’ un, une jeune femme de trente-deux ans et l’ autre un
homme de cinquante-deux ans. Pour ce dernier, qui avait eu un cancer du poumon, les médecins, qui
ne comprenaient rien à sa guérison, lui ont alors demandé ce qu’ il avait fait. Contrairement à la
plupart des malades qui, dans un tel cas,n’ osent pas répondre et dire la vérité, il a expliqué en détail
mon traitement. Les médecins ont alors mis un terme à l’ entretien et classé son dossier. La mauvaise
foi de la médecine est prouvée, ainsi que son manque de compréhension dans un domaine qu’ elle
n’ arrive pas à saisir. Pourquoi ne pas démontrer au moins une certaine curiosité? Pourquoi ne pas
chercher à en savoir plus? Pourquoi ne pas essayer la méthode sur quelques malades qui, dans le fond,
ne risquent rien? On cherche plutôt à protéger un domaine où le prestige passe avant l’ intérêt du
malade. Il est prouvé que bien plus de gens vivent du cancer qu’ ils n’ en meurent!
On a toujours prétexté que tel ou tel remède naturel démontrait une toxicité et était donc
” dangereux” pour les malades. A croire que la chimiothérapie est douce, inoffensive, ne fait pas
vomir, ne coupe pas l’ appétit, ne provoque pas de vertiges, ne fait pas tomber les cheveux, bref
qu’ elle est sans danger, tout comme les radiations «ailleurs. Hier, j‘ai eu une conversation avec une
femme, pas sotte du tout. En traitement hospitalier, elle a subi 21 traitements de radiations pour un
cancer à l’ utérus. Mais là s’ est arrêtée son illusion avec ce genre de thérapie. Elle a vu de ses yeux des
femmes complètement brûlées par les radiations et m’ a dit ne pas comprendre pourquoi elles
continuaient un traitement aussi dangereux. On aime pourtant répéter que nos substances naturelles
“ provoquent des réactions secondaires” . C’ est vraiment à dormir debout!
Mais enfin, admettons que certaines plantes puissent à très haute dose, provoquer des réactions
secondaires. Mon expérience de vingt ans de pratique avec plusieurs méthodes ne présente que peu de
cas ayant entraîné des réactions secondaires. Disons quelques vertiges dans certains cas avec le
fameux laetrile, qui passent lorsqu’ on ajoute de la vitamine C. Mais pas plus: pas de vomissements,
pas de perte d’ appétit, pas de fatigue, pas de chute de cheveux, rien de tout cela. Mais puisque la
chimiothérapie provoque vraiment des effets secondaires graves, pourquoi ne pas la supprimer,
puisque FHVHIIHWVSHXYHQWrWUHGDQJHUHX[SRXUOHPDODGH
Par contre, avec le germanium, je suis absolument certain de sa non-toxicité. II est même expulsé
trop vite par l‘organisme! Il ne peut en aucun cas provoquer de réactions secondaires. C’ est, je pense,
un point très important, sur lequel les médecins classiques me pourront l’ attaquer. Les tests menés
déjà par des universités, laboratoires et cliniques de plusieurs pays sont formels à ce sujet : le
germanium n’ est pas toxique.
Dernier point important pour l’ application du germanium dans le traitement du cancer: on ne peut
juger globalement un remède d’ après un nombre restreint de malades. Nous sommes, de notre côté,
tout disposés à entrouvrir nos dossiers pour montrer l’ efficacité du germanium sur la maladie du
cancer. Autre point important, il faut suivre 1‘amélioration totale du malade et non pas uniquement
contrôler l’ évolution de la tumeur. Même si celle-ci ne diminue pas dans un premier temps, le malade
a un tout autre aspect: il a meilleure mine, retrouve l’ appétit et reprend du poids; c’ est donc une
amélioration déjà appréciable.
En application, par le test du sang avant le traitement et un mois après, on observe dams 90 % des
cas un net changement - sauf dans les cas irréversibles (j‘ai déjà eu des surprises avec des cas
irréversibles, qui ont vécu cinq ans et plus). La structure sanguine se reforme, les lacunes rétrécissent,
les métastases diminuent. C’ est quelque chose d’ appréciable, rapide et efficace. Je me rappelle le cas
d’ um jeune médecin qui était venu me voir voici cinq ans, assez sceptique d’ ailleurs, pour sa mère
déjà opérée pour trois tumeurs cancéreuses et sans espoir. Son test sanguin montrait un état
irréversible. Malgré tout cela, il était disposé à tout faire car “ c’ était sa mère” . II semble que le
traitement au germanium ait été efficace car aujourd’ hui, en 1988, cette personne est toujours vivante.
A l’ époque, il m’ avait communiqué le dossier hospitalier de sa mère et, dans une lettre personnelle,
l’ explication de l’ évolution du traitement. Entre parenthèses, ce médecin dirige aujourd’ hui un centre
de médecine naturelle. Ce jeune docteur a vraiment ouvert les yeux et cherché n’ importe quel moyen
pour essayer de sauver sa mère. C’ est là la différence avec ceux qui veulent rester aveugles. Peut-on
toujours affirmer, sans rougir: “ on me peut rien faire” ou “ il n’ existe aucun médicament” ?
J’ ai eu à m’ occuper, voici un an, d’ un cas assez exceptionnel, non pas de cancer, mais de cirrhose,
chez une fillette de dix-sept mois, contractée avec une transfusion dès sa naissance. C’ était un cas
sans espoir et, d’ après les médecins, il ne lui restait plus que six mois à vivre. J’ aurais alors pu répéter
au père: “ on me peut rien faire” . Malgré tout, j‘ai misé sur le germanium qui est, à ma connaissance,
la seule substance capable de régénérer les cellules hépatiques. Le résultat après deux mois, a été
spectaculaire; et mois après mois, on a pu observer un changement extraordinaire, physique,
morphologique mais également psychologique — car au début elle ressemblait à une bête traumatisée.
Après un an on la considère comme sauvée et cela grâce au germanium. Soyons donc observateurs,
soyons ouverts, soyons intuitifs, soyons aussi honnêtes avec nous-mêmes pour appliquer le
germanium dans le cancer et ainsi apporter soulagement et guérison avec, peut-être, une substance
que je considère comme vraiment anticancéreuse, ce qui est aujourd’ hui largement confirmé par le
monde scientifique.

/H*HUPDQLXP
HQFKLPLRWKpUDSLH


Les traitements de chimiothérapie sont destinés à détruire les cellules cancéreuses, soit en gênant
leur développement, soit en empêchant leur reproduction. Le but principal, (si ce n’ est l’ espoir de
guérir qui, selon l’ Institut Fédéral du Cancer des Etats-Unis, est réalisé dans 15% des cas cliniques)
est d’ essayer de stopper la croissance de la tumeur ou de réduire les douleurs en accordant ainsi au
malade une prolongation de vie.
Dans bien des cas, la chimiothérapie n’ a aucun effet sur la croissance de la tumeur. Il existe
plusieurs raisons à cela. Dans certains cas, la multiplication des cellules cancéreuses est plus rapide
que l’ effet du traitement lui-même. Enfin, l’ inconvénient majeur de la chimiothérapie est son
agression au niveau de l’ organisme, car elle apporte des substances très toxiques. En effet, si la
chimiothérapie est destinée à détruire les cellules cancéreuses, elle nuit malheureusement aussi aux
cellules saines, tout spécialement à celles qui se développent rapidement ainsi qu’ à celles qui ne sont
pas encore parvenues àmaturité.
Comme organes concernés par ce propos, nous pouvons donc citer: la bouche, l’ estomac, les
intestins, les racines des cheveux et la moelle osseuse.
En France, on utilise pour la chimiothérapie une trentaine de substances toxiques. Elles sont plus
agressives les unes que les autres et, outre les organes déjà cités, elles toucheront encore le foie et les
reins. Mais l’ atteinte la plus grave reste celle de la moelle osseuse, car alors sont détruits du même
coup les globules rouges, les leucocytes, et les plaquettes sanguines. Les conséquences sont faciles à
évaluer. Le manque de globules rouges, déjà, va empêcher l’ organisme d’ absorber l’ oxygène
nécessaire à son activité, ce qui est encore plus important dans le cas du cancer. Le manque de
leucocytes laisse l’ organisme ouvert aux infections. Même un rhume devient alors un vrai problème.
Dans une telle situation, le médecin prescrit des antibiotiques. J’ ai eu plusieurs cas de leucémie en
traitement alternatif qui sont décédés après absorption massive d’ antibiotiques. Dans d’ autres cas,
surtout chez les enfants vivant en province, la prescription d’ antibiotiques lors de fièvres avait
passablement aggravé l’ état du malade.
A côté de cela, il ne faut pas négliger d’ énoncer tous les symptômes provoqués par la
chimiothérapie: vomissements, maux de tête, perte d’ appétit, nervosité.
Les Chinois, de leur côté, ont bien vite saisi le problème en permettant au malade interné à
l’ hôpital de médecine traditionnelle, de recevoir, parallèlement à la chimiothérapie, un traitement à
base de plantes et autres substances naturelles destinées à en amoindrir les effets nocifs. Par ailleurs,
si le malade réagit mal à la chimiothérapie, il est uniquement soigné avec des substances naturelles,
cela principalement, afin de soutenir le système de défense immunitaire.
Ici, dans nos hôpitaux, de tels cas restent à trouver. Pourtant, lors du dernier congrès mondial de
cancérologie tenu à Pékin, le Figaro Magazine avait publié un reportage sur la visite, par d’ importants
cancérologues français, d’ un tel hôpital chinois. Selon l’ article, l’ association chimiothérapie + plantes
était l’ espoir du futur.
Les Chinois sont conscients que le traitement du cancer peut être aussi traumatisant que la maladie
elle-même. Ils ont expérimenté, pendant huit ans, une combinaison chimiothérapie/plantes sur diffé-
rentes catégories de constitution: 1) forte, 2) faible, 3) faible avec rapide détérioration d’ énergie et de
substances.
En général, les patients atteints de cancer étaient classés dans la catégorie des constitutions
faibles. En effet, la tumeur apparaît lorsque le système immunitaire n’ arrive plus à jouer son rôle de
surveillance.
Mais il existe aussi, d’ après mon expérience, une catégorie de malades capables de vaincre le
cancer, même lors de traitements au cobalt, leur constitution étant encore capable de réagir et ce sans
détérioration d’ énergie.
Bref, les Chinois ont présenté leurs travaux cliniques ainsi que leurs recherches en laboratoire lors
d’ une réunion internationale à Pékin à laquelle je fus également convié. Cette réunion, historique,
avait été patronnée par l’ Académie de Médecine Traditionnelle Chinoise, le ” Health Science Center”
de Houston et le Laboratoire Pharmaceutique de Newport (Californie). Les résultats ont été commu-
niqués dans des journaux spécialisés tels que celui de l’ American Medical Association, le Medical
Times et d’ autres encore comme le New York Times. C’ est quand même une première approche
théorique de l’ Occident, qui parait stagner depuis des années et UpSXJQH j YRXORLU XWLOLVHU GHV
PR\HQVQDWXUHOVSRXUFRPEDWWUHOHVPpIDLWV GHODFKLPLRWKpUDSLH


Action du Germanium

Nul doute quele germanium combat d’ une manière favorable les méfaits de la chimiothérapie.
Notamment il stimule la production de la moelle osseuse.
Il empêche la destruction des globules rouges car, étant semi-conducteur, il s’ accroche à eux (le
sang et certaines cellules ont également des propriétés de semi-conductrices).
Le germanium est un puissant protecteur des cellules hépatiques. organe souvent attaqué par les
chimiothérapies. De cette vertu, j‘ai eu la preuve certaine lors de traitements de cirrhoses hépatiques
avec grand succès.
Oxygénateur cellulaire puissant, nul doute qu’ il régénère l’ organisme et le soutient, lors de
chimiothérapies notamment.
J’ ai eu à m’ occuper de centaines de patients en chimiothérapie, dont surtout des femmes et des
enfants obligés d’ arrêter les traitements à cause de la destruction des globules blancs et autres symp-
tômes négatifs. J’ en ai déjà donné des exemples, notamment parmi les cas de leucémie.
Dans d’ autres cas de patients qui suivaient les deux traitements en même temps, chimiothérapie et
germanium, les médecins durent s’ étonner de l’ absences totale de symptômes secondaires: ni fatigue,
ni perte de poids, ni nervosité, ni vomissements...
Plusieurs de mes patients français sont soignés ainsi.
Un jour, j’ ai eu la visite d’ une femme dont le mari, hospitalisé pour cancer des poumons, ne
pouvait plus suivre la chimiothérapie. Ayant développé une bronchite, il était soigné à coups
d’ antibiotiques. Le traitement au germanium lui permit de reprendre le traitement prescrit par son
médecin.
Voir, à ce propos les deux analyses ci-après d’ un malade de 62 ans, qui fait de la chimiothérapie
et des rayons pour un cancer aux poumons. Observez la différence entre les deux analyses. Notam-
ment l’ augmentation des globules rouges et blancs et surtout des lymphocytes dans la seconde. Il a eu
un traitement comprenant trente séances de rayons et deux séries de quatre séances de chimiothérapie.
Le malade a commencé le germanium juste avant le traitement. La première analyse date du 8/4/88.
En date du 27/4/88, on peut constater que, même après toutes ces séances, il n’ y a ni chute de globules
blancs. ni affaiblissement du système immunitaire, bien au contraire!
Je pense que le germanium est absolument indispensable lorsqu‘un malade doit ou veut suivre une
chimiothérapie tout comme un traitement de rayons.

7$%/($8'(&203$5$,621

&KLPLRWKpUDSLH *HUPDQLXP
 
— Attaque la moelle osseuse provoquant la — Stimule la fonction de la moelle osseuse
destruction des leucocytes, globules rouges — Stimule la production des globules rouges.
et plaquettes. — Protége le foie.
— Attaque le foie, les reins, les intestins et — Stimule le système immunitaire
l’ estomac.
— Perturbe le système immunitaire et
déclenche des infections
— Provoque des mutations.
.

)HPPHGHDQV
Opérée en juin 1988 d’ un carcinome du sein gauche; une mastectomie était nécessaire, suivie de
rayons et de chimiothérapie. A dû être réopérée pour extraction d’ une métastase, suivie d’ un autre
traitement de chimiothérapie tellement violent qu’ elle a dû 1’ arrêter. A des douleurs très fortes dans
les omoplates, se sent fatiguée.
Son état nécessite un renforcement du système immunitaire.

1er. analyse:
G.R. 3800000
G.B. 1700
Hémoglobine 6,3
Lymphocytes 10
Traitement au germanium à raison de 300 mg/jour
Après 15 jours:
G.R. 4200000
G.B. 2300
 Hémoglobine 9,3
Lymphocytes 30
A noter que les douleurs s’ atténuèrent considérablement, grâce au germanium.
La malade a décidé de me pas reprendre la chimiothérapie mais plutôt de suivre mon traitement à
base de germanium et la stratégie complète.

)HPPHGHDQV
A été opérée en 1985 d’ un carcinome au sein gauche et a reçu ensuite des rayons: destruction des
globules blancs qui a nécessité une transfusion sanguine. Elle a fait ensuite une fièvre intestinale. On
a repris la chimiothérapie et les rayons qui ont brûlé les poumons. En 1988 les médecins décèlent en
plus, des ganglions au sein droit et plusieurs grosseurs. Une biopsie est faite, indiquant un cancer.
Elle subit 2 traitements de chimiothérapie. Trop épuisée, elle est obligée d’ arrêter les traitements.
1re analyse:
G.R. 2700000
G.B. 1 850
 Hémoglobine 5,6
Lymphocytes 11
Traitement au germanium à raison de 300 mg/jour

Après 30 jours:
G.R. 4500000
G.B. 4600
Hémoglobine 11
Lymphocytes 35

*DUoRQGHDQV
Hospitalisé depuis 2 mois pour une leucémie aiguë
Dans l’ attente d’ une amélioration de son état pour reprendre la chimiothérapie. Celle-ci, violente,
a détruit les globules blancs qui ont dangereusement diminué. Il a fait une infection avec fièvre.
1er. analyse
G.R. 2800000
G.B. 1800
Hémoglobine 8,1
Traitement au germanium à raison de 100 mg/jour dams un litre d’ eau.

Après 5jours:
G.R. 3500000
 G.B. 5400
Hémoglobine 12

)LOOHWWHGHDQV
Hospitalisée depuis 3 semaines pour une leucémie. En attente d’ une amélioration de son état pour
reprendre la chimiothérapie.

1er. analyse:
G.R. 3500000
G.B. 600
Hémoglobine 7,7
Traitement au germanium à raison de 250 mg/jour dams un litre d’ eau
Après cinq jours
G.R. 3800000
G.B. 1200
Hémoglobine 9,8

([HPSOHGHPDODGHWUDLWpSDU
FREDOWHWFKLPLRWKpUDSLHFODVVLTXH

Sans traitement desoutien, le malade perd rapidement ses forces tandis que le cancer progresse.

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Patient: Monsieur G.D.
Né le 12. 04. 1922

— Novembre 1987: 'pSLVWDJHG¶XQFDQFHUSXOPRQDLUHDYHFPpWDVWDVHVjODKDQFKHGURLWH


— du 2 au5décembre 1987: Hospitalisation pour 1er. séance de chimiothérapie (cysplatil).
— du 16au 29 décembre 1987: 8 séances de radiothérapie sur les hanches et les poumons.
Remarques: rayons très mal supportés. Grande fatigue et les douleurs sur les hanches ne diminuent
pas.
— du 11 au 15 janvier 1988: 2e séance de chimiothérapie
Remarque: traitement très mal supporté, très fatigué, reste au lit. Pas d’ amélioration.
— 2 février 1988: Anémie. Globules rouges 1 460 000 / mm3
Après 4 transfusions sanguines
18.02.1988: Hématologie . Globules rouges 3 650 000/mm3

Etat général: très amaigri. Plus de forces dans les jambes. Se nourrit mal, ne tolère que la nourriture
liquide. Etant donné les douleurs, hanches et dos, est actuellement sous morphine.

/H*HUPDQLXPHW
ODUDGLRWKpUDSLHDXFREDOW


En juillet 1988, au Exetes Royal Devon Hospital en Angleterre, 23 patients sur 150, atteints de
cancers, sont décédés d’ une overdose de radiations.
Quelles que soient les erreurs commises, elles sont injustifiables car les radiations sont
dangereuses et ne peuvent en aucun cas représenter une solution dans le traitement du cancer. Chaque
année, 900 000 personnes sont traitées aux Etats-Unis pour le cancer et plus de la moitié sont traitées
avec des radiations. Les doses utilisées peuvent aller jusqu‘à 10 000rad répartis en une série de
séances. Une seule dose de 700rads administrée dans l’ organisme peut être fatale pour le malade.
C’ est donc une méthode à utiliser avec de grandes précautions. Ce qui, malheureusement, n’ est pas
toujours le cas. Bien souvent le malade est malmené et bombardé jusqu’ à un degré qui provoque de
fortes brûlures, entraînant bien souvent sa mort. Si, en théorie, aucun cancer ne peut résister à la
radiothérapie, en pratique on aborde toute une série de problèmes de conséquences allant jusqu‘à la
mort du malade. S‘il est vrai que ces traitements ont permis de prolonger la vie du malade de deux ou
trois ans, bien souvent sa mort sera plus douloureuse. Il est certain que, pendant une période, les
radiations éliminent les douleurs en détruisant les tumeurs cancéreuses et en éliminant les pressions
environnantes, notamment des ramifications nerveuses. Dans les cas de cancer du cerveau, par
exemple, les radiations éliminent les métastases, ce qui arrête les symptômes du genre vomissements,
nausées et troubles de la vue. Par contre, c’ est une action bénéfique en apparence mais momentanée.
A long et à moyen terme, les radiations n’ agissent plus et viennent à bout des défenses immunitaires,
les douleurs réapparaissent et, finalement, le malade se meurt. Que peut-on faire alors? Prenons le cas
par exemple d’ une femme qui habite en France, opérée d’ un carcinome au sein droit et ayant suivi
ensuite des séances de radiothérapie. Je prends ce cas particulier car nous allons voir que, dix ans
après, son problème n’ est pas réglé pour autant. La question des cinq ans est encore très incertaine.
D’ autant plus que, comme je l’ ai expliqué, avec la chimiothérapie il y a toujours un grand risque de
développer un second cancer. Dans son cas, je précise qu’ elle a suivi également une chimiothérapie.
En 1985, son état a empiré; elle subit alors des séances de radiothérapie sur les vertèbres dorsales, en
1986 sur les cervicales et sur la hanche gauche et en 1987 sur la poitrine. Depuis septembre 1988, elle
a de très fortes douleurs, intolérables, sous les omoplates et bouge les bras avec difficulté. On lui fait
des séances de radiothérapie sur les vertèbres, des omoplates jusqu’ à la ceinture. En tout, dix-sept
séances et les douleurs sont toujours aussi intolérables. Pour l’ aider, on lui prescrit des calmants et de
l’ hydrocortisone. Est-ce là un traitement scientifique et sérieux? Est-ce là la réponse de la médecine
qui prétend être la seule à pouvoir soigner le cancer? Je m’ efforce de ne pas entrer dans des
polémiques car ce n’ est pas le but de ce livre, mais lorsqu’ on regarde la photo de cette jeune femme
avec le dos complètement brûlé par les radiations, on ne peut demeurer insensible.
J’ ai eu le cas d’ une femme de 30 ans, venue de New York avec un cancer de la bouche. Elle avait
subi quarante traitements de radiations. Ses douleurs s’ intensifiaient et elle ne pouvait plus articuler
un mot. Un autre cas avec une femme de 37 ans qui avait subi en juin 1988 une mastectomie du sein
gauche suivie de radiations et de chimiothérapie. Elle a dû se faire réopérer pour extraction d’ une
métastase puis subir encore une chimiothérapie particulièrement violente qui l’ a obligée à arrêter.
Venue en consultation à notre Institut, elle souffrait énormément. Mais nous avons réussi à contrôler
les douleurs de la malade sans l’ aide de substances chimiques. Ce sont là quelques exemples qu’ on se
doit de ne pas oublier avant de vouloir entreprendre de tels traitements. Et, tout comme la chimio-
thérapie, la radiothérapie entraîne des réactions secondaires similaires. Les conséquences peuvent être
parfois plus graves, entraînant à la longue la stérilité et des troubles de la croissance osseuse. De plus,
les radiations sont mutagènes et peuvent alors, comme la chimiothérapie, provoquer un second cancer.
Aux Etats-Unis, où la stérilité devient un facteur préoccupant, on peut très bien penser que ce genre de
traitements, combinés à un pourcentage exagéré de radiographies, exigées souvent par les compagnies
d’ assurances ou les hôpitaux, en est une des causes.
La célèbre nutritionniste Adelle Davis, qui a publié plusieurs ouvrages spécialisés, dont un traduit
en français “ Les vitamines ont leurs secrets” , est décédée d’ un cancer des os causé par une série de
trente-huit radiographies. On peut évidemment se demander comment une telle femme s’ est laissée
irradier alors qu’ elle connaissait les dangers de ce procédé. Si on doit suivre une radiothérapie - ou
même se faire radiographier- il convient donc de mettre le maximum de chances de son côté pour
réduire la marge de dégâts causés par ce genre de traitements.

$FWLRQGXJHUPDQLXP

Encore une fois, le germanium va se montrer indispensable. Nous savons que les radiations du
cobalt, qui sont des rayons gamma, émettent des électrons qui détruisent les cellules cancéreuses et les
tissus. Par la même occasion, ces rayons vont détruire les globules rouges et les leucocytes et sont
souvent responsables de la mort du patient. Les recherches effectuées ont démontré alors que les
atomes du germanium allaient se fixer aux globules rouges et protéger ces cellules contre l’ attaque des
électrons en les concentrant autour d’ eux-mêmes. On a également vu, au chapitre de la leucémie, que
le germanium empêche la destruction des tissus de la moelle osseuse soumise à des radiations.
Certains cancers, comme ceux des poumons, sont à mon avis incurables si l’ on administre une
radiothérapie. Nous traitons là un organe très sensible et vital. Les complications entraînées par les
radiations sont fatales pour le malade.
Le cancer étant alcalin-oxydé, les radiations vont augmenter cette alcalinité et, bien souvent, cela
entraîne des rétentions de liquide dans les poumons et des complications incalculables. J’ ai toujours
fait mon possible pour expliquer au malade ce qui l’ attend, surtout lorsqu’ il s’ agit d’ un cancer des
poumons. Un jour, j’ ai eu à m’ occuper d’ un médecin pneumologue qui, malheureusement pour lui,
avait un cancer des poumons.
Dans le chapitre des désespérés du cancer j’ ai expliqué le cas d’ un médecin-pneumologue qui,
hélas, malgré mes conseils continua la radiothérapie. Six mois après il mourut, non pas du cancer mais
de troubles respiratoires avec rétention d’ eau dans la plèvre.
C’ est seulement un petit exemple mais qui a son importance. A une autre échelle, il faut voir ce
qui se passe dans les hôpitaux avec les femmes complètement brûlées par la radiothérapie, sans
compter les enfants, dont le nombre augmente dangereusement. Au Portugal, le cancer représente la
seconde cause de mortalité infantile. En France, on en recense 2000 cas par an. C’ est quand même
une grande tragédie. En décembre 1987, j’ ai reçu une lettre de France, d’ un monsieur qui est le maire
d’ une ville dont je tairai le nom. Il m’ explique que sa fille de 10 ans est atteinte d’ un cancer des os et
subit un traitement à base de chimiothérapie. Il dit également qu’ il n’ a trouvé personne, malgré ses
recherches, capable de lui apporter les réponses aux questions qu’ il se posait. Ayant entendu parler de
mon traitement au germanium, il me demandait alors tous les renseignements possibles. Je me suis
empressé de lui répondre, pour aider sa fille. Ma lettre est restée sans réponse. Mais en septembre
1988, je reçois un appel téléphonique d’ une personne proche, agissant au nom du père de cette fillette
et me demandant l’ envoi immédiat d’ un traitement au germanium. Bien entendu, j’ ai manifesté mon
étonnement et ma déception quant au silence à ma lettre depuis presque un an. Tout simplement, la
famille, sûrement influencée par les spécialistes, avait gardé confiance en la chimiothérapie. Après un
an, l’ espoir s’ amenuisant, la famille s’ est souvenue du germanium, peut-être trop tard. Je pense que
cette histoire illustre d’ abord la tragédie des enfants atteints de cancer, celle d’ un père qui hésite entre
un traitement et un autre, se tourne vers l’ un mais ne veut pas abandonner l’ autre. Mais quand l’ un
n’ agit plus, il espère des miracles de la part de l’ autre. Enfin, pour conclure, si l’ on doit soumettre les
enfants à la radiothérapie, il est essentiel d’ accompagner ce traitement d’ une dose journalière de
germanium, de l’ ordre de 200 à 250mg. Aussi bien pour la chimiothérapie que pour la radiothérapie,
la dose journalière de germanium sera de l’ ordre de 200 à 250mg chez les adultes. C’ est un bon
moyen de protection qui apporte un soutien au système immunitaire trop malmené déjà par la
chirurgie ainsi que par une mauvaise nutrition. En outre, ce genre de traitement, avant même de
commencer, traumatise le malade encore plus si c’ est un enfant. Dans ce cas, le germanium soutient le
système
nerveux.

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5$',27+(5$3,( *(50$1,80

- Troubles de la croissance osseuse - Antimutagène

- Mutations - Stimule la production de globules rouges et des


leucocytes

- Stérilité - Freine l’ attaque des rayons gamma sur les


cellules saines

- Destruction des globules rouges et des


leucocytes


*HUPDQLXPHW,QWHUIpURQ


Pendant ces dernières années la cancérologie avait misé sur l’ interféron pour le traitement du
cancer. En 1980, l’ American Cancer Society avait monté une campagne gigantesque afin de
promouvoir l’ interféron, le présentant comme “ le plus grand espoir des dernières décennies dans la
lutte contre le cancer” . Là encore, cela a contribué à engager des dépenses énormes, poussées par des
intérêts financiers. Le National Cancer Institut investit plus de 6 millions de dollars à l’ époque dans
cette recherche, qui n’ a abouti à rien de positif, comme nous le verrons.
L’ interféron est une molécule de protéine découverte en 1957 par deux scientifiques anglais, Alick
Issacs et Jean Lindenman. Cette molécule est la réponse de notre organisme aux infections, virus et
bactéries. D’ ou le nom “ interféron” , c’ est-à-dire qui interfère avec les infections virales. Mais
l’ interféron peut également jouer un certain rôle dans le cancer car il modifie le niveau auquel les
leucocytes se reproduisent et stimulent la production de lymphocytes et macrophages.
Il existe plusieurs types d’ interféron; certains sont induits par les virus et présentent une puissante
activité antivirale, c’ est-à-dire les interférons alpha et bêta. Quand à l’ interféron gamma, qui est
produit par les lymphocytes B et T après induction par un antigène, son activité anti-tumorale est plus
importante que celle des interférons alpha et bêta.
Les interférons ont donc des activités antivirales, des activités anti-tumorales (stimulation des
cellules N.K.) et même des propriétés immune-modulantes. Administré à forte dose, l’ interféron
diminue la production des anticorps. Administré à faible dose, l’ interféron augmente
considérablement la synthèse des anticorps.
La science s’ était lancée avec fracas dans la production fort coûteuse d’ interféron humain. Voici
quelques années, il coûtait quelques chose comme cinquante millions de dollars le gramme. Il y eut
bon nombre de critiques quant aux dépenses extravagantes qui ont coûté des millions de dollars aux
contribuables, alors que l’ on refusait d’ expérimenter des méthodes nutritionnelles capables de
stimuler l’ ensemble du système immunitaire.
Malgré tout, les spécialistes se sont obstinés et on connaît les résultats - plus que décevants. Les effets
-

anticancéreux ont été presque nuls et, de plus, l’ interféron humain a démontré sa toxicité. Entre autres,
en 1982, quatre malades sont décédés en France d’ une crise cardiaque après un traitement
d’ interféron.
Il serait alors logique de changer d’ optique et de se concentrer sur un moyen qui permettrait à
l’ organisme de produire son propre interféron sans toxicité. Il serait aussi intéressant de trouver un
moyen beaucoup moins onéreux. La réponse pourrait bien être dans le germanium qui a prouvé sa
capacité à stimuler la production d’ interféron gamma, c’ est-à-dire celui qui est destiné à lutter contre
le cancer. Asaï a été le premier à vérifier ce facteur et aujourd’ hui les recherches scientifiques
confirment ses travaux. Entre autres, on a fait la comparaison entre l’ interféron et le GE 132, avec des
résultats similaires.
Les tests menés sur des cancéreux démontrent une sécrétion maximum d’ interféron après quatre
jours de germanium. On serait alors tenté de considérer le germanium comme le meilleur moyen
actuel pour stimuler la production naturelle d’ interféron sans effets toxiques.










&RPSDUDLVRQHQWUH,QWHUIpURQHW*(
effet dans la réponse libre

())(7VXUODSURGXFWLRQ ,17(5)(521 *(


G¶LQWHUIpURQ

Cellules NK (Killer) augmentées augmentées
T cytotoxiques augmentées augmentées
Hypersensibilité retardée diminuée diminuée
Récepteurs FC MU diminués diminués
Récepteurs FC gamma augmentées augmentées
Antigènes Ly 1 diminués diminués
Antigènes Ly 2 augmentées augmentées


3UpYHQLUOHFDQFHU
DYHFOHJHUPDQLXP

Dans l’ excellent ouvrage intitulé “ Modes de vie et cancer» rédigé par le Dr Guy de Thé et Annie
Hubert (Guy de Thé est directeur de recherche au CNRS) il est écrit ceci: “ Il serait irresponsable pour
la recherche sur le cancer de ne favoriser qu’ une démarche, car toutes les approches sérieuses doivent
être encouragées pour tenter de comprendre et surtout de prévenir les maladies cancéreuses. Ilrestera
pendant longtemps beaucoup plus facile de prévenir la plupart des cancers que de les guérir” . Si on
doit considérer les approches sérieuses pour prévenir le cancer, il est certain que le germanium se
trouve placé en haut de l’ échelle. Le Dr Asaï croyait fermement au pouvoir de prévention du
germanium contre le cancer.
Il est évident que le mystère du cancer demeure, malgré un énorme progrès de la biologie. Et, avant
de tout comprendre, il reste encore un grand chemin à parcourir. Elle est bien loin, la théorie du virus
comme cause principale du cancer! Pourquoi avons-nous telle ou telle maladie, et notamment le
cancer? Nous sommes tous liés à des facteurs biologiques et chimiques qui diffèrent selon notre
hérédité, notre constitution, notre type, notre terrain, notre mode de vie, c’ est-à-dire notre
comportement psychosomatique. Selon cet ensemble de facteurs, nous allons développer certaines
maladies. Le cancer, lui, se déclenchera au niveau d’ une cellule dont la mutation somatique a modifié
totalement le programme génétique. Encore faut-il préciser que d’ autres circonstances vont permettre
cette mutation.
Voyons d’ abord l’ étape précancéreuse, difficilement détectable par les moyens classiques mais que
l’ on peut aborder par des méthodes alternatives, tout au moins empiriquement. Si une cellule est
saine, elle va être capable de bloquer la multiplication du virus par l’ intermédiaire d’ enzymes
cellulaires et, dans ce cas, le virus demeurera latent. C’ est d’ ailleurs pour cette raison que le cancer est
certainement lié à un blocage enzymatique, qui empêche la défense cellulaire. Mais si elle doit lutter
sur d’ autres fronts (stress, auto-intoxication cellulaire et métabolique, excès de métaux toxiques, etc.).
La cellule va perdre de sa résistance et, à ce moment, le virus va se réveiller. Si la cellule me parvient
pas à le détruire ou à l’ inhiber. celui-ci peut s’ introduire dans le noyau et s’ intégrer dans le patrimoine
génétique et héréditaire. Il est ainsi reproduit à chaque division cellulaire comme le sont les gènes
originaux de la cellule. Dans ces circonstances, il peut agir sur la cellule en activant des gènes qui
contrôlent la division cellulaire, permettant une prolifération anarchique. Indirectement, le virus va
provoquer le cancer en éveillant des oncogènes. c’ est-à-dire des gènes responsables de la
transformation cancéreuse de la cellule. D’ autres substances mutagènes, dérivées de la dégradation de
certains aliments, empoisonnent le tube digestif: si l’ organisme n’ arrive pas à s’ en débarrasser, elles
provoqueront un cancer, celui du côlon par exemple. Encore faut-il préciser qu’ un ensemble de
facteurs vient s’ ajouter à cette condition. Le cancer me se déclenche pas dans un organisme sain,
résistant et capable de se défendre.
Effondrement des fonctions physiologiques, profonde auto-intoxication provoquée par une
constipation chronique, désordres neurovégétatifs sont quelques-uns parmi ces facteurs qui sont en
partie responsables de la maladie du cancer. Mais on peut partir du principe que le cancer ne se
déclenchera pas si les fonctions organiques et immunitaires sont normales. C’ est donc à nous d’ y
veiller.
Il y a quelques décennies, l’ être humain pouvait se permettre toute fantaisie car sa résistance
physique était encore en bon état. Sa génétique était bomme. Malheureusement, la dégradation rapide
de notre état de santé, de génération en génération, est à la base de ce désastre dont la médecine est en
grande partie responsable. Si, comme la science l’ indique, le cancer se développe plus fréquemment
aujourd’ hui à cause de la longévité de l’ homme, comment allons-nous expliquer le cancer juvénile,
qui se développe dans des proportions effrayantes? On comprend très bien la complexité des facteurs
qui, à un moment donné de notre vie, déclencheront un processus de cancer. Mais, dans ces
conditions, il vaut toujours mieux chercher à prévenir, même si l’ on me comprend pas tout. La
médecine a préféré et continue à préférer le traitement de la maladie et la recherche consiste
davantage à étudier la pathologie que la prévention. Pourquoi? Parce que le prestige est en jeu. La
prévention s’ étend sur des années et semble coûter cher. Mais elle coûte certainement moins cher que
le remboursement des médicaments et des hospitalisations, qui ruinent les gouvernements.
Les fonds alloués à la recherche sur la prévention alimentaire sont dérisoires en comparaison des
fortunes allouées aux “ recherches en pathologie” . Malgré tout, quelque chose bouge et on commence
à prendre plus au sérieux la prévention, même au prix d’ un certain empirisme.
L’ utilisation du germanium, qui a démontré à quel niveau du système immunitaire il agit,
comment il oxygène et renforce l’ organisme, pourrait être certainement une arme appréciable à mettre
en valeur dans les états précancéreux ou chez toute personne désirant améliorer sa résistance.
N’ oublions pas que le cancer comme le sida est devenu une psychose dans notre société moderne.
Le tableau que j’ ai élaboré démontre les différentes étapes qui peuvent amener au cancer. Il est
donc nécessaire d’ agir juste avant la troisième étape et juste avant que le cancer se déclenche clinique-
ment. A cette étape, le T.M.S. détecte dans 90 % des cas un état précancéreux ou même un cancer qui
ne s’ est pas encore manifesté. Tout autre test ou paramètre immunologique est utile. L’ administration
d’ une dose de germanium allant de 100 à 150mg par jour est suffisante comme traitement préventif.
On peut le prendre pendant trois mois et refaire le test pour évaluer le résultat. Le T.M.S., facile,
rapide et efficace, apporte un premier résultat toujours visible. Ce serait un moyen utile pour les
responsables de la CEE, dépassés par le problème du cancer et qui, aujourd’ hui, mettent sur pied des
“ services d’ information publique par téléphone». On pourrait conseiller alors à ces gens de suivre un
meilleur régime et de faire une cure de germanium.
J’ ai été récemment approché par le Centre Allemand de Recherche sur le Cancer qui vient d’ ouvrir
un département d’ information par téléphone. De nombreuses personnes téléphonent et s’ informent sur
certains produits naturels qui ont donné des résultats dans tel ou tel cas de cancer. Le Centre m’ a
demandé des conseils sur une plante que j’ utilise depuis des années dans le traitement da cancer, avec
un protocole précis sur les résultats obtenus. C’ est déjà un premier cas. Avec le germanium, on obtient
de biens meilleurs résultats et je m’ apprête à en faire la communication. Je suis certain que, dans un
proche avenir, on sera plus conscient de la nécessité d’ utiliser des substances naturelles et efficaces,
telles que le germanium, pour la prévention du cancer, chez les sujets à risque en particulier.

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JHUPDQLXPVXUOHFDQFHU

L’ existence de I’ être humain et de son équilibre physique-mental est gouvernée par les forces
magnétiques qui animent notre planète et le cosmos. Nous vivons dans un immense champ
électromagnétique qui résulte d’ échanges permanents entre la terre et le cosmos. Tout être humain est
une machine électromagnétique branchée aux harmonies du cosmos. Nous savons aujourd’ hui que
notre corps est activé par une masse de particules électriques et que chaque organe fonctionne sur sa
propre concentration de ces particules.
Chaque individu possède son propre potentiel électrique, dirigé et animé par son mode de vie et
son milieu. Nous devons par exemple manger des légumes et des fruits crus, non seulement pour leur
apport en substances nutritives mais également pour leurs charges électriques. Des recherches
suggèrent que les légumes fournissent une charge électrique nécessaire pour recharger l’ organisme et
renforcer ses vibrations. Les légumes reçoivent cette énergie du soleil, qui est la source même de
l’ énergie, à la base de toute vie sur terre. C’ est également un puissant émetteur d’ ondes
électromagnétiques. On trouve par exemple, à la surface de la terre, des cristaux qui ont une résonance
magnétique et qui sont capables de recharger en énergie le corps humain. De même, le germanium qui
est un métalloïde dispersé sur la surface de la terre est doué de propriétés électromagnétiques. Les
électrons du germanium possèdent des propriétés uniques, que l’ on ne retrouve dans aucun autre
atome. Cet atome est en outre entouré d’ un champ énergétique et vibratoire lui conférant des qualités
exceptionnelles pour recharger en énergie le corps humain. C’ est pour cette raison que le germanium
régénère les organismes affaiblis. Au niveau de la maladie, celle-ci apparaît lorsque l’ équilibre
vibratoire cellulaire est perturbé. Il suffit de ramener la cellule à son niveau énergétique normal pour
rééquilibrer sa fonction. Le germanium agit justement à ce niveau, non seulement grâce à ses
propriétés électromagnétiques mais également en utilisant les effets semi-conducteurs.
Dans un cancer par exemple, le potentiel de la cellule est très différent de celui de la cellule
normal. Ce potentiel, au niveau de la membrane, est très élevé puisque les cellules cancéreuses se
multiplient rapidement. Le germanium, lui, va éliminer les électrons et ainsi réduire le potentiel
électrique. Cet avantage permet de stopper le rythme accéléré de la croissance cellulaire et ainsi de
mieux contrôler le traitement sans avoir recours à des médicaments toxiques. En fait, c’ est grâce à ces
propriétés que le germanium élimine bien souvent les douleurs chez les cancéreux. Ce semi-
conducteur va stopper les électrons qui partent des cellules nerveuses, provoquent la douleur et se
dirigent vers le cerveau. Sans compter également sur la sécrétion d’ endorphines, opiacés naturels que
le germanium aidera le cerveau à produire.

/¶KRPPHHWVDUHODWLRQ
DYHFODSODQqWHHWOHFRVPRV

L’ organisme humain est une réplique des lois et des forces du cosmos, avec lequel il est en étroite
relation. Bien des mystères demeurent sur la question de l’ homme et de sa place sur cette planète.
Bien des mystères demeurent sur la question de savoir quelles sont les véritables forces qui l’ animent.
Néanmoins, des recherches récentes suggèrent de plus en plus que l’ être humain dépend des forces du
cosmos, du phénomène des biorythmes, pour son existence.
La planète recèle des forces vibratoires tout comme certaines substances nécessaires à
l’ existence et au maintien de la vie, qu’ elle soit humaine, animale ou végétale. Le germanium est un
de ces mystères que la nature recèle et tient à la disposition de l’ homme pour sa survie, pour son
maintien et pour combattre les maladies. L’ homme n’ a pas toujours su comprendre les mystères qui
l’ entouraient ni même cette nature nécessaire à son existence, qu’ il détruit avec mépris. Aujourd’ hui,
le combat pour notre survie dépend de notre attitude et de notre compréhension pour mieux accepter
les forces cachées de la nature.
Le cancer préoccupe les gouvernements et le sida prend une place encore plus importante. La
pollution, qui d’ ailleurs est cause de cancer, est une autre préoccupation. Alors comment peut-on
éviter le cancer tout en continuant à polluer la planète et à perturber les forces électromagnétiques,
avec ce que l’ on appelle la pollution électrique par exemple? Notre atout réside dans le maintien d’ un
équilibre de nos énergies, selon notre disponibilité et nos moyens. Avec le germanium nous pouvons
aider l’ organisme à conserver cet équilibre.




/HFDQFHUGXVHLQ


Dans les pays occidentaux, le cancer du sein est le plus fréquent et le plus meurtrier des cancers
féminins. Il fait peur parce que son évolution est insidieuse, imprévisible même et que la mutilation
entraînée par le traitement chirurgical est souvent ressentie comme une agression personnelle et
intime chez les patientes. C’ est à la fois une tragédie pour la femme, quoiqu’ elle soit en partie
responsable du fait d’ un mode de vie agressif et d’ un laisser-aller dans des domaines qui nécessitent
une meilleure compréhension de son organisme. Le tabac, ajouté à la pilule, y est également pour
quelque chose. On ne cherche plus tellement à percer le mécanisme qui déclenche ce cancer mais on
se concentre davantage sur une prévention précoce, destinée à éviter la mutilation. La cause du cancer
du sein demeure inconnue pour la médecine. Ouvrons toutefois une grande parenthèse. Il se pourrait
bien que la constipation, chez les femmes, soit responsable en partie de ce cancer. Cela fait bien des
années que empiriquement j’ avais observé ce phénomène avec l’ iridologie.
On remarque d’ ailleurs que tous ces cas s’ accompagnent d’ un état chronique de constipation.
Voici quelques années, nous avions dressé une statistique portant sur 1500 cas tirés de nos fichiers
pour essayer d’ y voir plus clair dans la relation entre cancer du sein et constipation. Or il s’ avéra que,
chez les femmes dont les intestins fonctionnent tous les 2 jours seulement, le taux de cancer est plus
élevé. Voici 2 ou 3 ans, une équipe de scientifiques de l’ Université de San Francisco a réellement
confirmé cette théorie en analysant les liquides mammaires de 1400 femmes particulièrement
constipées pour y déceler des cellules cancéreuses. C’ est quand même un pas en avant qui prouve que
la prévention ne doit pas se faire uniquement au niveau de la détection mais également à celui de la
bonne alimentation et surtout de la désintoxication. Un autre facteur d’ importance, de plus en plus
considéré par la science, est le stress et les chocs psychosomatiques, notamment chez les femmes
mariées, divorcées et veuves.
C’ est un facteur que j’ observe depuis plus de dix ans avec l’ iridologie mais plus particulièrement
avec le T.M.S. Le taux de mortalité par cancer du sein pour 100 000 femmes est le suivant:

— Célibataires 15,00
— Mariées 24,50
— Divorcées 29,30
— Veuves 74,40

D’ ailleurs le cerveau et le système immunitaire ont un dialogue constant. On commence à


démonter les mécanismes qui, partant du cerveau, pourraient contraindre le système immunitaire à
devenir déficient face à des microbes et surtout à des cellules cancéreuses.
On a toujours constaté que, chez les femmes combatives et décidées à vaincre, le taux de guérison
était beaucoup plus élevé que chez celles qui se laissaient aller au désespoir. C’ est malheureusement
un aspect très difficile du problème car cela exige une grande dépense d’ énergie pour essayer de
remonter le moral de la malade. Dans les deux cas le pourcentage de “ guérisons” varie entre 35% et
75%.
On se trouve alors dans un cercle vicieux difficile à vaincre. Stress de la vie moderne, stress dans
la famille, stress du travail, pollution, tabac, mauvaise alimentation et constipation sont un ensemble
de facteurs parfois difficiles à éliminer à 100 %
Notre expérience a démontré que, tant du point de vue de la prévention que du point de vue de la
thérapie, nous pouvions appliquer des moyens plus simples, plus rapides, plus efficaces.
Je parlerai ici du germanium qui nous intéresse particulièrement. Mais pour ne pas laisser le
lecteur dans le doute, nous utilisons comme moyen de détection immédiate la diaphanoscopie sur
vidéo et le T.M.S. qui va également montrer si un état de stress est à la base du cancer. Ainsi que
l’ iridologie pour visualiser la fonction intestinale et même le stress. Avec ces trois méthodes, nous
sommes vite et bien renseignés sur la maladie.
Maintenant, comme moyen préventif et curatif, le germanium est absolument indiqué. En effet on
comprend très vite comment il va agir sur ces différents facteurs:
A Il oxygène l’ organisme.
-

B Il nettoie les intestins et corrige la constipation chronique.


-

C Il régénère le système nerveux et l’ organisme en général.


-

D Il stimule le système immunitaire.


-

J’ ai observé que le germanium agissait positivement sur les femmes déprimées par le cancer.
Après un premier traitement elles se sentent beaucoup plus fortes et plus courageuses pour affronter la
maladie. Néanmoins, il faut toujours penser qu’ il existe un “ profil” de la maladie qui, chez certaines
malades, est difficile à combattre. Il se trouve, comme l’ indiquent d’ ailleurs les statistiques que nous
avons dans notre Institut, que le cancer du sein peut toucher davantage les veuves et les femmes qui
ont des problèmes avec leurs maris. Cela nous a permis d’ accumuler une expérience très utile pour
pouvoir éviter et traiter cette maladie.
Je conseille fortement aux femmes qui ont des doutes de me pas trop s’ exposer aux
mammographies et autres méthodes parfois dangereuses. Ce qui ne veut pas dire que je les exclue
catégoriquement. Mais un simple T.M.S., qui demande seulement une prise de quelques gouttes de
sang sur le bout du doigt, pourra vous renseigner sur une éventuelle tendance ou même une tumeur en
voie d’ éclosion. Dans ce cas-là il faut alors adopter un régime alimentaire du type lait-végétarien, ou
tout autre indiqué dans ce livre. Une désintoxication n’ est pas à négliger, notamment avec du jus de
carotte et surtout avec mon bain chaud osmotique à base de plantes. Ce bain va permettre un
décrassement du système lymphatique; il stimule le système immunitaire et fait diminuer le volume
de la tumeur.
Comme thérapie préventive ou curative, prendre dans le premier cas 150mg de germanium par
jour jusqu’ à l’ obtention du résultat désiré. Dans le deuxième cas, la dose varie entre 250 et 350 mg
par jour. Mais il vau mieux être suivie par un médecin, naturopathe ou homéopathe compétent. Il reste
que beaucoup de femmes ont été mutilées, irradiées, et que dans ces cas le cancer apparaît à l’ autre
sein, quand ce ne sont pas des métastases au poumon. Il ne faut pas chanter victoire après une telle
opération suivie de chimiothérapie et de cobalt, même plusieurs années après. Des cas semblables, il y
en a des dizaines de milliers. J’ ai moi-même eu à m’ occuper de ces cas qui espéraient avoir vaincu le
cancer. Je me rappellerai toujours une très belle femme dans la quarantaine que j’ avais rencontrée par
hasard sur une plage en Tunisie. Son mari était médecin. Un an plus tard, elle se présente à mon
Institut, mutilée des deux seins. Après un premier cancer dont elle avait été opérée, elle pensait avoir
vaincu. Six mois plus tard le verdict tombait: il faillait enlever l’ autre sein et c’ était le grand
désespoir. Elle venait me consulter bien trop tard, déçue par la médecine et certainement par son mari,
qui avait soutenu les spécialistes. Des métastases avaient atteint les poumons. J’ allais la soigner
pendant un an avec des moments d’ améliorations mais c’ était sans espoir.
Pourquoi cela? Parce qu’ avant et après la chirurgie et pendant la chimiothérapie, rien n’ est prescrit
par le médecin pour soutenir le système immunitaire, pour renforcer le système nerveux et pour
empêcher que la maladie ne récidive, lorsque l’ on croit qu’ elle est guérie. C’ est là la grande erreur.
S’ il faut accepter une chirurgie, passe encore. Mais il faut être conscient qu’ elle n’ apporte pas une
guérison définitive. Si les spécialistes ne s’ arrêtent pas à ce détail (qu’ ils combattent d’ ailleurs dans
les hôpitaux) au moins la malade doit-elle se défendre elle-même.
Le germanium va permettre au système immunitaire de détruire les cellules cancéreuses qui
circulent avant qu’ elles atteignent les poumons. Même dans ces cas-là le germanium peut se montrer
efficace. Néanmoins, il vau mieux le prendre aussi précocement que possible; c’ est le conseil que je
donne aux femmes.





/HJHUPDQLXPGDQVOHVPDODGLHV
FKURQLTXHVHWGpJpQpUDWLYHV

Si cet ouvrage explique l’ action du germanium sur le cancer et le sida, on ne peut passer sous
silence son action remarquable sur d’ autres maladies telles que le rhumatisme rhumatoïde, la poly-
arthrite rhumatoïde, la maladie de Raynaud et la sclérose en plaques.
Ces maladies sont causées par l’ accumulation de substances toxico-réactives qui sont des dérivées
de l’ oxygène et de substances issues du métabolisme alimentaire. Le résultat va aboutir à une variété
de substances toxiques pour la cellule même qui les produit. Nous en avons un exemple avec les
radicaux libres. L’ organisme a aussi développé des modes naturels de neutralisation ou de destruction
de ces substances toxiques. En cas de défaillance de ces mécanismes une maladie dégénérative va se
développer.
Nous savons quel fléau représentent aujourd’ hui ces types de maladies, qui augmentent dans des
proportions effrayantes. Actuellement, 80 % des maladies modernes à soigner sont des maladies
chroniques avec un pourcentage flagrantde rhumatismes et arthrites. A ma connaissance, les maladies
chroniques ne sont ni plus ni moins que le résultat de traitements allopathiques répétés servant à
juguler et à étouffer des symptômes de maladie aiguë. Ajoutons également d’ autres facteurstels que
la prédisposition génétique, des désordres métaboliques, une carence en sels minéraux, sodium en
particulier, mauvaises habitudes alimentaires et surtout, des excès de viande et d’ hydrates de carbone.
Ces facteurs vont entraîner certaines perturbations du système immunitaire qui sont en partie la cause
de maladies telles que I’ arthrite rhumatoïde. Selon des scientifiques anglais, cette maladie pourrait
être causée par une accumulation de fer dans les membranes synoviales, ce qui va provoquer une
accumulation de cellules immunitaires qui vont sécréter des substances qui, en se mélangeant avec le
fer, produiront des radicaux hydroxyles, c’ est-à-dire des radicaux libres. On pense alors que ce sont
ces radicaux libres qui produisent les douleurs et endommagent la synoviale. Il est certain que cette
théorie peut avoir sa valeur. En fait, j‘ai moi-même toujours observé une accumulation de radicaux
libres dans ce type de maladie, d’ où l’ importance d’ une thérapie visant à détruire les radicaux libres.
Certaines formes de rhumatisme sont également le résultat d’ un désordre auto-immunitaire. La
synoviale va s’ enflammer avec, en conséquence, l’ accumulation de cellules lymphoïdes provenant de
la dégénérescence des os, des cartilages. des tendons et des ligaments. Certains virus peuvent être la
cause initiale de l’ inflammation des articulations, mais nous verrons que le terrain, lui aussi, est une
cause. Ce qui aura comme effet la production d’ anticorps. A ce niveau, le facteur génétique peut
intervenir. La production d’ un gène défectueux va tromper les anticorps, qui l’ identifieront comme un
corps étranger. Le système immunitaire va alors provoquer une attaque massive contre cet antigène.
Les douleurs ne seraient que le résultat de l’ attaque du système immunitaire. Il ne faut pas non
plus négliger le terrain qui est toujours responsable, directement ou indirectement, du processus
dégénératif osseux. Je parle d’ un terrain acide, qui est particulièrement nuisible à l’ organisme.
L’ action agressive de l’ acidité oblige le corps à réagir en la neutralisant avec les réserves de tels
minéraux, notamment le calcium et le sodium. A la longue, ce processus va entraîner une
déminéralisation de l’ organisme en général et des os en particulier. On comprend très bien alors
pourquoi, dans la polyarthrite chronique évolutive, toutes les articulations seront finalement atteintes.
Elles baignent dans ce terrain acide. Parallèlement, pour des motifs d’ ordre alimentaire, les déchets
morbides s’ accumulent dans les tissus sous-cutanés sous forme de nodules. Les vaisseaux sanguins,
obstrués par les dépôts. souffrent d’ inflammation ou se bouchent (c’ est pour cette raison d’ ailleurs que
j’ ai mis au point, voici une dizaine d’ années, un bain spécial destiné à déboucher les vaisseaux
sanguins et lymphatiques, dont je donne des détails dans mon livre «Le lapacho et le cancer»). Mais
ce sont surtout les reins qui subissent des agressions sévères à cause de la masse de déchets qu’ ils
doivent éliminer.
En générai, ce problème existe déjà et est le facteur qui conduit à ce type de maladie. Le malade,
ne recevant aucun conseil alimentaire et continuant à suivre les mêmes habitudes, ne peut certaine-
ment pas guérir ni aller mieux; bien au contraire.
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L’ action da germanium au niveau des maladies chroniques et inflammatoires du type arthrite,
rhumatisme rhumatoïde etc., s’ explique très bien, sur deux volets.
Premièrement, le germanium va neutraliser l’ acidité, les déchets morbides et les autres éléments
toxiques. Ces substances vont être expulsées à travers les reins. Dans de nombreux cas, le traitement
au germanium va provoquer de fortes douleurs pendant les trois premiers jours. dues à 1 ‘expulsion
des acides et des radicaux libres au niveau des articulations. Avec Ie germanium, on va d’ abord agir
au niveau du terrain, qui, à mon avis, demeure le premier facteur sur lequel il faut agir. Sans changer
le terrain, on ne peut espérer de modification sensible. Deuxièmement, le germanium agit sur le
système immunitaire et réduit considérablement les états inflammatoires.
De nombreux tests, menés en Allemagne, semblent indiquer que le germanium est capable de
restaurer le niveau des IL-1 (interleukines). Les IL-1 que l’ on rencontre dans le fluide synovial des
malades souffrant d’ inflammation chronique vont activer des macrophages qui. eux, jouent un rôle
immune-régulateur dans la stimulation des cellules synoviales pour produire du collagène et des
prostaglandines. D’ autre part. le germanium va agir pour augmenter l’ activité des lymphocytes
suppressives (in vivo chez les rats). Une activité déficiente des suppressives est impliquée dans la
pathogenèse des maladies auto-immunes, comme l’ arthrite rhumatoïde.
Au début, j‘ai également mentionné la maladie de Raynaud et la sclérose en plaques, tout
simplement à cause des résultats obtenus avec le germanium sur ces deux maladies. Je pourrais
également citer la sclérodermie, dont j‘ai traité le premier cas voici une quinzaine d’ années avec le
germanium. C’ était d’ ailleurs l’ un de mes premiers malades que je traitais avec le germanium, dont je
ne connaissais que l’ action anticancéreuse; je n’ avais à l’ époque aucune expérience de cette
substance. De surcroît, je n’ avais aucune expérience non plus du traitement de cette maladie.
C’ était une jeune fille de dix-sept ans qui, avec sa mère, était arrivée en pleurs dans mon bureau.
Le médecin lui avait annoncé qu’ elle n’ avait que plus que deux ans à vivre et lui suggérait de voyager
avant de mourir. Pas bien encourageant, de la part d’ un représentant d’ une médecine qui prétend
“ guérir les malades” et en monopolise le droit. Ne sachant exactement que faire, excepté un traitement
de naturopathie classique, c’ est-à-dire désintoxication, modification du terrain et renforcement de
l’ organisme. j’ ai pensé que si le germanium agissait, comme nous le savons, pour restaurer
l’ organisme, il devait nécessairement agir sur cette maladie. J’ ai eu raison car, après six mois de
traitement, la malade était en pleine forme. Aujourd’ hui, elle est mariée, a des enfants et n’ a plus
jamais été malade, ni n’ a ressenti quelques symptômes de cette maladie que ce soit. J’ ai eu d’ ailleurs
d’ autres cas, qui ont connu le même succès. Dans la maladie de Raynaud, le germanium améliore la
circulation sanguine, notamment pendant la saison d’ hiver, particulièrement douloureuse pour les
malades. En général, les jambes prennent une teinte très foncée pendant les périodes de froid. Avec le
germanium, la peau reprend une teinte normale. Dans de nombreux cas, la gangrène se développe,
nécessitant parfois l’ amputation. Nous avons réussi, grâce au germanium, à éviter d’ en arriver là.
La sclérose en plaques a certainement été l’ une des maladies les plus difficiles à traiter pour moi.
Cette maladie touche le système nerveux cérébro-spinal. La sclérose en plaques est une maladie qui se
caractérise par la formation de plaques scléreuses en différents points da système nerveux central. Le
résultat, on ne le sait que trop bien, se caractérise par une diminution fonctionnelle des nerfs atteints,
diminution qui va aller jusqu’ à une déficience totale entraînant une paralysie complète.
La sclérose en plaques est une “ maladie en profondeur” , comme nous l’ appelons en naturopathie.
Elle s’ installe progressivement une fois qu’ il y a eu atteinte, non seulement du système nerveux mais
des fonctions métaboliques, sans oublier une profonde intoxication. Elle est dépendante du terrain, qui
a subi une modification permettant à la maladie de se développer et de progresser. Ce terrain,
d’ ailleurs, peut expliquer l’ évolution lente ou rapide de la maladie, suivant sa dégradation. Il ne faut
pas oublier que les filets nerveux sont irrigués par le sang et, de ce fait, en rapport avec l’ organisme.
De la qualité et de la composition du sang dépend la résistance des nerfs. En allant à la source, il
faudrait alors vérifier le bon fonctionnement intestinal car dans toutes ces maladies il y a auto-
intoxication du côlon causée par une constipation chronique; donc une absorption des toxines à
travers les vaisseaux sanguins et la paroi intestinale.
La gaine de myéline et les filets nerveux peuvent se réparer ou se régénérer selon l’ état sanguin
lui-même. On comprend alors que, si le sang véhicule de grandes quantités de déchets ou substances
toxiques et de médicaments destinés à agir sur le système nerveux, nous ne pourrons pas apporter de
changement dans l’ état du malade.
A cette date, il n’ existe aucune référence mentionnant la relation entre la sclérose en plaques et
son éventuel traitement par le germanium.
Je peux tout de même préciser que nous avons traité pendant des années cette maladie avec des
doses de 2 à 3 g de germanium par jour, qui a permis d’ obtenir une stabilisation de l’ état du malade.
Dans tous les cas, il faut compter un délai de trois mois pour observer un premier résultat vraiment
notable. Au bout de cinq à six mois, le malade commence vraiment à voir ses mouvements
s’ améliorer.
Je me rappelle le cas d’ un prêtre, âgé de trente-cinq ans. Sa vie était devenue un enfer et c’ est bien
le mot pour un représentant de Dieu. Il ne pouvait plus tenir un crayon à la main, ne pouvait plus dire
la messe. Il était bibliothécaire au siège de son Ordre, à Lisbonne. Son état lui provoquait une telle
fatigue qu’ il devenait incapable d’ assumer sa fonction. Je l’ ai traité régulièrement pendant un an et cet
homme a repris une vie normale. Aujourd’ hui. après quatre ans, il est en pleine santé et la sclérose en
plaques n’ est plus qu’ un mauvais souvenir.
Je pense fortement que le germanium peut représenter un grand espoir pour ceux qui sont atteints
de cette maladie, sans aller jusqu’ à parler de guérison miraculeuse. Dans ces deux types de maladies,
il y a toujours accumulation de radicaux libres, comme je l’ ai déjà expliqué pour les rhumatismes
rhumatoïdes. Or le germanium est un puissant destructeur des radicaux libres. Plus l’ organisme est
malade et moins il réagit, plus il y aura accumulation de radicaux libres entraînant à la longue une
dégénérescence total et une mort lente. Avec son pouvoir oxygénateur, réparateur, stimulant du
système immunitaire et modificateur du terrain, on conçoit aisément comment le germanium peut être
bénéfique dans le combat contre la sclérose en plaques. Donc, que ce soit pour cette maladie ou les
rhumatismes rhumatoïdes. ou encore dans la maladie de Raynaud. je ne peux que conseiller le
germanium, qui m’ a toujours permis d’ obtenir les meilleurs résultats.
J’ ajouterai qu’ il ne faut jamais oublier la notion de régime dans le traitement de n’ importe quelle
maladie, même avec du germanium. Si l’ excès de viande provoque des maladies telles que l’ arthrite,
il faut en diminuer la consommation, voire même l’ éliminer complètement de l’ alimentation.
A une certaine époque, j’ ai eu à traiter plusieurs patients qui travaillaient en Arabie Saoudite, dans
les forages de pétrole. Or, ces personnes, après une année ou plus dans ce pays, développaient de
1‘arthrite et des rhumatismes rhumatoïdes.
Ce phénomène était lié sans aucun doute à une alimentation fondée en grande partie sur la viande.
Ces patients s’ étaient plaints d’ ailleurs qu’ ils ne trouvaient que de la viande dans leur alimentation,
pas de poisson et peu de légumes. Sur place, les médecins étaient incapables de les soulager.
Mon traitement à base de germanium, accompagné d’ un régime, a permis à ces patients de se
guérir en deux à trois mois puis de retourner à leur travail.
Pour en revenir à Il sclérose en plaques, le régime alimentaire est semblable et doit même être
exclusivement végétarien si l’ on veut atteindre quelque résultat. Dernièrement, j’ ai eu la visite d’ une
femme de trente-deux ans avec une sclérose en plaques pas trop avancée, mais qui. à plusieurs
reprises, était restée complètement paralysée pendant une semaine. Elle comprenait très bien mon
explication et la nécessité de se soumettre à une diète. Je lui ai bien précisé que les premiers résultats
apparaîtraient après deux ou trois mois, quoiqu’ un bien-être puisse s’ installer après un mois de traite-
ment. Elle revint au bout d’ un mois, accompagnée de son mari et de ses deux fillettes âgées de quatre
et sept ans, pour les faire examiner et voir si éventuellement elles pouvaient avoir des tendances vers
cette maladie.
Elle-même avait rigoureusement suivi la diète ainsi que le traitement et avait fini par sentir une
nette amélioration au bout de vingt-cinq jours. Dans cette diète, j’ avais supprimé viande, lait, œufs et
fromage, qui surchargent le foie et acidifient le sang. En plus du germanium, à raison de 2,4g/jour,
j’ avais ajouté du sélénium à raison de 300 micro-grammes / jour, de la vitamine E à 500 unité/jour et
surtout le squalène, à raison de 220 mg/jour, grâce auquel les résultats sont encore plus spectaculaires.
Je l’ utilise d’ ailleurs également dans les cas d’ arthrite et de rhumatismes rhumatoïdes. Le squalène
agit sur le système des stéroïdes responsables de l’ élimination et de la programmation du système
immunitaire. Dans le cas de la sclérose en plaques, ces stéroïdes (déshydroxy-stéroïdes) sont
facilement perturbés ou endommagés par des facteurs exogènes. A ce niveau, on peut citer les métaux
toxiques ou l’ eau empoisonnés par le chlore ou le fluor.
Je pense qu’ il est possible d’ obtenir des résultats allant jusqu’ à 85% de succès, si le malade est
traité à temps. Dans un stade précoce, la maladie est, la plupart du temps, complètement vaincue, à
condition que le malade comprenne l’ importance du régime ainsi que du programme de soins.

Un exemple :

Dossier 1499 – F – Age : 17 moins.


Pathologie : cirrhose hépatique
Chances de survie : 6 mois maximum

Les parents se présent à mon Institut avec leur fille, le 25 mai 1987. L’ enfant est extrêmement
pâle, amaigrie, l’ abdomen est très gonflé. De plus, elle est absolument traumatisée par les
hospitalisations. En définitive, une biopsie avait tranché sur l’ incertitude et confirmé le verdict d’ une
cirrhose du foie avec 6 mois de survie au maximum.
Après avoir discuté avec le meilleur spécialiste, le père était resté très sceptique quant à ce que je
pouvais faire pour sa fille. Il accepte néanmoins d’ entreprendre tout ce qui est susceptible de la
sauver. Je décide de pratiquer un T.M.S. pour évaluer ses défenses immunitaires. Le résultat est assez
décourageant mais la tentative est ouverte. Le traitement que je propose est le suivant:
—germanium: 75 mg/jour;
—S.O.D. (superoxyde dismutase): 5000 unités/jour;
—Apizellin: une ampoule de 75ml/jour (c’ est un complexe vitaminique hormonal, biocatalyseur et
enzymatique, que j’ ai mis au point pour mes besoins cliniques).
Le 27 juin, les parents m’ annoncent qu’ il y a une nette amélioration de l’ état de leur fille, meilleur
appétit et, surtout, l’ abdomen est moins enflé. Je continue le traitement en augmentant la dose de
germanium à 100 mg/jour. Le 23 octobre, nous observons vraiment une nette amélioration, non
seulement physique mais aussi physiologique, lors d’ analyses faites par des spécialistes. Le traitement
reste le même et, le 10 février 1988, l’ enfant présente un aspect extraordinaire: elle a grandi, grossi,
son abdomen est parfaitement normal. Le père est radieux, quoiqu’ il n’ arrive pas à comprendre com-
ment, après le pronostic prononcé par les spécialistes, elle a pu récupérer d’ une façon aussi
spectaculaire.
Grâce au germanium, il a été possible de vaincre la cirrhose et de redonner la vie.
La malade continue le traitement jusqu’ à récupération totale.

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Un nombre impressionnant de tests scientifiques ont été menés au Japon pour vérifier le pouvoir
immunologique du germanium. Ces tests font suite aux premiers travaux effectués par l’ Institut Asaï
et démontrent l’ intérêt des organismes officiels japonais pour une substance qui a permis d’ obtenir
des résultats exceptionnels sur de nombreux malades. Entre autres pour cancers, arthrite rhumatoïde,
diabète, etc.
Beaucoup de ces travaux sont malheureusement rédigés en japonais, langue particulièrement
difficile à traduire dans un langage occidental. Malgré tout, je suis allé frapper à de nombreuses portes
au Japon et, grâce à la complaisance de chercheurs japonais, j’ ai réussi à me procurer un certain
nombre de rapports rédigés en anglais. D’ abord, ceux-ci confirment pleinement les travaux initiaux da
Dr Asaï, notamment sur les pouvoirs analgésiques da germanium, son action dans la stimulation de
l’ interféron, pour activer les macrophages et les cellules NK, son action antimutagène et son principal
effet sur le cancer du poumon. Ce sont des points que j’ ai abordés dans les précédents chapitres de ce
livre et ces tests ne font que prouver les résultats que nous observons depuis des années avec le
germanium.
Parallèlement et curieusement, des travaux très sérieux ont été menés aux Etats-Unis, mais
exclusivement par des scientifiques japonais qui communiquent ensuite leurs rapports au Japon.
Ceux-ci sont introuvables aux Etats-Unis même. Je cite à titre d’ exemple des travaux sur l’ interféron
et le germanium menés par Fujio Suzuki à l’ Université du Texas, département de médecine interne,
division des maladies infectieuses.
Enfin, un certain nombre de malades ont été traités avec le germanium et nous verrons plus loin les
résultats obtenus. Ce livre n’ étant pas un document consacré à la recherche du germanium, mais à la
pratique et aux résultats obtenus, je pense qu’ il est quand même utile d’ ajouter des reproductions de
certains documents. Les nombreux travaux nécessiteraient une publication complète. Par contre, je ne
vois aucun inconvénient à communiquer ces documents aux médecins, naturopathes ou chercheurs qui
en feraient la demande.
Ces documents sont archivés dans la bibliothèque de notre Institut à I’ intention des chercheurs qui
viennent souvent sur place pour se documenter.


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Cc document présente sept cas de cancer et dix-sept cas d’ arthrite rhumatoïde. L’ expérience a été
réalisée par la faculté de médecine de l’ Université de Tokyo au Japon.
Les sept cas de cancer  prostate, pancréas, utérus, poumon, leucémie, myélome multiple et
thrombocytose) ont été traités avec des doses de 1500 mg de germanium par jour (dose extrêmement
élevée). Certains malades avaient des ramifications au niveau du foie, des os, du rectum, et de
l’ estomac. Certains ont été traités exclusivement avec le germanium et d’ autres avec le germanium en
combinaison avec une immune chimiothérapie.
Dix-sept patients atteints d’ arthrite rhumatoïde ont été traités exclusivement au germanium ou
avec celui-ci associé à de faibles doses 5mg) de prednisolone.
Des tests divers ont été réalisés pendant ces traitements, entre autres pour contrôler les
lymphocytes circulants, les lymphocytes T et B, les cellules N.K., l’ activité de l’ interféron, etc.
Les résultats obtenus sont excellents et les patients atteints de cancer ont conservé un bon état
général. Seul le malade avec un adénocarcinome de la prostate et des métastases au niveau des os et
de l’ estomac est décédé. Les autres sont en bonne condition. La femme qui avait un cancer à l’ utérus
et des ramifications au rectum a été guérie au bout de 16 mois. Sur deux malades, une dose unique de
germanium a été administrée pour évaluer l’ induction d’ interféron «in vivo».
Dans les dix-sept cas d’ arthrite rhumatoïde, certains ont été observés cliniquement quant à
l’ évolution de l’ ankylose avec seulement du germanium et d’ autres avec une prescription de
prednisolone sur une période de 3 à 6 mois avec le germanium.

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Les effets bénéfiques obtenus avec le germanium sur le cancer et sur l’ arthrite rhumatoïde
démontrent son action immunologique. Les paramètres immunologiques (lymphocytes T et B, ADCC,
cellules N.K. et interféron) ont été normalisés chez plusieurs malades.
Si ces travaux ont été réalisés sur des souris, avec quand même des résultats positifs sur le cancer
du poumon, des recherches cliniques plus récentes montrent qu ‘en termes statistiques, le germanium
organique prolonge en effet la vie du malade, fait diminuer la tumeur, apporte une amélioration de
1‘état fonctionnel et des paramètres immunologiques. Un rapport a été présenté en 1984 à la première
conférence internationale sur le germanium, tenue à Hanovre, avec des statistiques cliniques. Les
malades ont été divisés en deux groupes, en fonction du type de cancer. Le traitement comprenait
également chimiothérapie et GE 132, ou chimiothérapie et placebo administré en «secret», c’ est-à-
dire que ni le médecin, ni le malade ne savaient ce que c’ était: germanium ou placebo?
Les résultats ont démontré qu’ il existait une grande différence entre l’ état de ceux qui avaient pris
les placebos et celui de ceux qui avaient pris le GE 132, dans la proportion d’ un avantage partiel, qui
fut complet dans le cas de traitement avec le germanium organique. Cela ne fait que confirmer les
expériences que nous avons nous mêmes relatées en détail dans le chapitre sur le germanium et le
cancer des poumons.

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