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Pour mettre en évidence un SA Pour mettre en évidence un SARM, le moyen le plus utilisé consiste à

mettre en culture le prélèvement nasal (ou autre) dans un milieu nutritif adapté, qui se présente
généralement sous forme d’une mince couche de gélose nutritive placée dans une boîte plate appelée
boîte de Pétri, que l’on incube ensuite à 37°C. Cette manière de procéder apporte un diagnostic de
certitude mais il peut s’écouler 1 ou 2 jours avant que les colonies de SARM apparaissent en culture.
Des méthodes moléculaires, plus rapides, peuvent également être utilisées. Elles consistent à mettre en
évidence un gène spécifique du SARM dans le prélèvement, par exemple le gène mecA qui confère la
résistance à la méthicilline, à l’oxacilline et en fin de compte à toutes les béta-lactamines. Le résultat
d’un tel test moléculaire peut être obtenu en quelques heures seulement.

Quand est-il prescrit ?

Le MRSA est apparu dans les années 1960 et a causé de multiples épidémies dans les hôpitaux,
cliniques, maisons de retraite ou autres collectivités. Les infections à Staphylococcus aureus peuvent
être graves (infections osseuses ou cardiaques par exemple), voire mortelles (septicémies). Les
infections par les SARM entraînent des séjours hospitaliers plus long et un coût de traitement plus
important avec plus d’effets délétères. Les hôpitaux considèrent donc le SARM comme un des
principaux ennemis bactériens à combattre. C’est pourquoi de nombreux services hospitaliers dépistent
les patients porteurs de cette bactérie afin d’isoler les porteurs et de les décontaminer, surtout dans les
services où les patients sont

Pour mettre en évidence un SARM, le moyen le plus utilisé consiste à mettre en culture le prélèvement
nasal (ou autre) dans un milieu nutritif adapté, qui se présente généralement sous forme d’une mince
couche de gélose nutritive placée dans une boîte plate appelée boîte de Pétri, que l’on incube ensuite à
37°C. Cette manière de procéder apporte un diagnostic de certitude mais il peut s’écouler 1 ou 2 jours
avant que les colonies de SARM apparaissent en culture. Des méthodes moléculaires, plus rapides,
peuvent également être utilisées. Elles consistent à mettre en évidence un gène spécifique du SARM
dans le prélèvement, par exemple le gène mecA qui confère la résistance à la méthicilline, à l’oxacilline
et en fin de compte à toutes les béta-lactamines. Le résultat d’un tel test moléculaire peut être obtenu
en quelques heures seulement.

Quand est-il prescrit ?

Le MRSA est apparu dans les années 1960 et a causé de multiples épidémies dans les hôpitaux,
cliniques, maisons de retraite ou autres collectivités. Les infections à Staphylococcus aureus peuvent
être graves (infections osseuses ou cardiaques par exemple), voire mortelles (septicémies). Les
infections par les SARM entraînent des séjours hospitaliers plus long et un coût de traitement plus
important avec plus d’effets délétères. Les hôpitaux considèrent donc le SARM comme un des
principaux ennemis bactériens à combattre. C’est pourquoi de nombreux services hospitaliers dépistent
les patients porteurs de cette bactérie afin d’isoler les porteurs et de les décontaminer, surtout dans les
services où les patients sont

Pour mettre en évidence un SARM, le moyen le plus utilisé consiste à mettre en culture le prélèvement
nasal (ou autre) dans un milieu nutritif adapté, qui se présente généralement sous forme d’une mince
couche de gélose nutritive placée dans une boîte plate appelée boîte de Pétri, que l’on incube ensuite à
37°C. Cette manière de procéder apporte un diagnostic de certitude mais il peut s’écouler 1 ou 2 jours
avant que les colonies de SARM apparaissent en culture. Des méthodes moléculaires, plus rapides,
peuvent également être utilisées. Elles consistent à mettre en évidence un gène spécifique du SARM
dans le prélèvement, par exemple le gène mecA qui confère la résistance à la méthicilline, à l’oxacilline
et en fin de compte à toutes les béta-lactamines. Le résultat d’un tel test moléculaire peut être obtenu
en quelques heures seulement.

Quand est-il prescrit ?

Le MRSA est apparu dans les années 1960 et a causé de multiples épidémies dans les hôpitaux,
cliniques, maisons de retraite ou autres collectivités. Les infections à Staphylococcus aureus peuvent
être graves (infections osseuses ou cardiaques par exemple), voire mortelles (septicémies). Les
infections par les SARM entraînent des séjours hospitaliers plus long et un coût de traitement plus
important avec plus d’effets délétères. Les hôpitaux considèrent donc le SARM comme un des
principaux ennemis bactériens à combattre. C’est pourquoi de nombreux services hospitaliers dépistent
les patients porteurs de cette bactérie afin d’isoler les porteurs et de les décontaminer, surtout dans les
services où les patients sont
RM, le moyen le plus utilisé consiste à mettre en culture le prélèvement nasal (ou autre) dans un
milieu nutritif adapté, qui se présente généralement sous forme d’une mince couche de gélose nutritive
placée dans une boîte plate appelée boîte de Pétri, que l’on incube ensuite à 37°C. Cette manière de
procéder apporte un diagnostic de certitude mais il peut s’écouler 1 ou 2 jours avant que les colonies de
SARM apparaissent en culture. Des méthodes moléculaires, plus rapides, peuvent également être
utilisées. Elles consistent à mettre en évidence un gène spécifique du SARM dans le prélèvement, par
exemple le gène mecA qui confère la résistance à la méthicilline, à l’oxacilline et en fin de compte à
toutes les béta-lactamines. Le résultat d’un tel test moléculaire peut être obtenu en quelques heures
seulement.

Quand est-il prescrit ?

Le MRSA est apparu dans les années 1960 et a causé de multiples épidémies dans les hôpitaux,
cliniques, maisons de retraite ou autres collectivités. Les infections à Staphylococcus aureus peuvent

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