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Introduction :

La comptabilité a connue beaucoup de changements ainsi que toutes les sciences, a cause
des relations commerciales et du développement du commerce qui a changé la structure des
entreprises. Ces changements nous ont obligé de tenir la comptabilité en utilisant les registres
et les livres pour enregistrer toutes les opérations commerciales et les mouvements financiers
de l’entreprise.
L’étude du mécanisme de la numérotation, nous emmène à dénombrer des unités ou
valeurs en mouvement.
Ceci permet d’expliquer les règles auxquelles le dénombrement des « entrées » et « sorties »
doit obéir à une approche exacte et rationnelle qui caractérise la méthodologie comptable.
Les unités en mouvement peuvent être quelconques : pièces, machines, boulon etc.…et c’est
d’ailleurs ce qui caractérise l’universalité de la comptabilité, laquelle, à travers le compte ou
virement de fondre les unités distinctes présentant, dans un temps ponctuel une situation bien
définie.
Les causes de la tenue comptable ;
Les unités économiques sont devenues plus vastes et plus complexes donc il faut utiliser des
registres exacts pour savoir la situation de ces unités.
La comptabilité nous permet de contrôler le travail de l’administration par exemple : le cas
des sociétés par actions qui sont gérées par des administrateurs qui ne sont pas les
propriétaires de ces sociétés.
La concurrence : les données enregistrées dans les registres comptables sont devenus très
importants pour l’administration et les entreprise privés en vue de la maîtrise des prix.
La variété des produits, les lieux de livraison et la nature des services.
Impôts et le contrôle de gouvernement : c’est la meilleure méthode pour le contrôle externe
effectué par l’état.
Donc la loi oblige les commerçant a tenir la comptabilité pour cela il faut avoir :
* Des documents comptables justificatifs, qui sont la base de toute opération comptable et
ceux-ci se distinguent en deux types :
- documents internes : les reçus des entrées et sorties de l’entreprise qui concernent tous les
traitements internes.
- les traitements externes qui nous oblige a utiliser des documents spéciaux qui possèdent des
fort arguments en cas de litige, par exemple : les factures des fournisseurs, les quittances de
l’électricité, gaz, l’eau et téléphone.
* les registres ou les livres : le journal ; le grand livre et la balance
Il est bien compris que l’objet de la comptabilité est la recherche des moyens propres a
garantir les droits de l’entreprise, et ceux des tiers en relation avec cette dernière.
Cette donc un moyen de preuve irréfutable et une base certaine au règlement des litiges qui
surgir entre les acheteurs et les vendeurs.
I. Notion de la comptabilité
1-Définition :
La comptabilité est un moyen d’information pour connaître la situation de l’entreprise à un
moment donné.

2-Objet :
- de faire apparaître la situation active et passive et passive du patrimoine commercial.
- De déterminer le résultat global de l’exploitation.

3-Etude du plan comptable national :

A- Le compte :
C’est un tableau qui nous permet d’enregistrer toutes les opérations effectuées, il est composé
en deux parties :
La partie gauche appelée « Débit »
La partie droite appelée « Crédit »

B- Le tracé réduit du compte le tracé général du compte


Débit N° du compte Crédit
Date Libellé Débit Crédit

Le solde égale la différence entre les débits et les crédits

Débit > Crédit Solde débiteur

Débit < Crédit Solde créditeur

Débit = Crédit Solde = 0 Compte fermé.

C-Les différentes classes du Plan Comptable National :

Classe (1) Fonds propres : comprend les moyens de financement laissés à la disposition de
l’entreprise de façon durable par le ou les propriétaire (s).

Classe (2) Investissements : comprend l’ensemble des biens et valeurs durable acquis ou
créés par l’entreprise.

Classe (3) Stocks : comprend l’ensemble des biens acquis ou créés par l’entreprise et qui sont
destinés à être consommés pour les besoins de la fabrication ou de l’exploitation.

Classe (4) Créances : comprend l’ensemble des droits acquis par l’entreprise par suite de ses
relations avec les tiers.

Classe (5) Dettes : comprend l’ensemble des obligations contractées par l’entreprise.

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Classe (6) Charges : se sont des emplois et coûts nécessaires à l’exploitation de l’entreprise
au cours d’une période précisée.

Classe (7) Produits : tout les revenus acquis par l’entreprise à cause des opérations
d’exploitations

Classe (8) Les résultats : le compte de résultat nous permet de constater quels sont les postes
ou opérations qui sont à l’origine du bénéfice ou de perte.

4-Le Bilan :
A- Définition : Le Bilan est un document comptable qui présente l’ensemble des comptes
retraçant le patrimoine d’une entreprise à un moment donné.
Le Bilan se présente comme un tableau dans lequel il y a deux colonnes :
Celle de gauche est appelée Actif.
Celle de droite, passif.

L’Actif représente tout ce que l’entreprise possède « terrains, constructions, matériels, stocks,
créances auprès de la clientèle, dépôts bancaires, caisse…. »

Le passif représente tout ce que l’entreprise doit à ses actionnaires « capital social et
réserves » et à ses prêteurs « emprunts » à long, moyen et court terme »

B- Les types du Bilan : on distingue deux types du bilan ;

1/- Bilan d’ouverture : c’est un bilan qu’on doit le préparer dés la construction au début de
l’exercice là ou on trouve une égalité entre l’actif et le passif.

2/- Bilan final : c’est un tableau que l’entreprise doit le préparer à la fin le l’année financière
on distingue trois cas :
Bénéfice, perte, ou égalité.
Actif > Passif = Bénéfice
Actif < Passif = Perte
Actif = Passif = égalité.
C- Tracé du Bilan

Actif Somme Passif Somme

Classe (2) : Investissements Classe (1) : Fonds propres

Classe (3) : Stocks Classe (5) : Dettes

Classe (4) : Créances

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5- Le Tableau des Comptes de Résultats (TCR)
Le résultat global d’une entreprise est décomposé en résultats partiels après avoir utilisé les
comptes de gestion.

A- Les comtes de gestion ;


1- Les charges : se sont toutes les dépenses ou les frais : achats, frais du personnel, impôts et
taxes, travaux, fournitures et services extérieurs, transports et déplacements, frais divers de
gestion, frais financiers, réductions sur ventes, amortissement.
2- Les produits : se sont toutes les recettes perçues : ventes, rabais et remise obtenus,
produits accessoires, produits financiers.

B- Présentation du tableau des comptes de résultat :

N° de compte Libellé Débit Crédit


70 Ventes de marchandises
60 Marchandises consommées

80 Marge brut
80 Marge brut
71 Production vendue
72 Production stockée
73 Production immobilisée
74 Prestations fournies
75 Transfert de charges de productions
61 Matières et fournitures consommées
62 Services
81 Valeur ajoutée
81 Valeur ajoutée
77 Produits divers
78 Transfert de charges d’exploitation
63 Frais de personnel
64 Impôts et taxes
65 Frais financiers
66 Frais divers
68 Dotations aux amortissements et provisions

83 Résultat d’exploitation
79 Produits hors exploitation
69 Charges hors exploitation

84 Résultat hors exploitation


83 Résultat d’exploitation
84 Résultat hors exploitation

880 Résultat brut de l’exercice


889 Impôt sur les bénéfices
88 Résultat de l’exercice

II. Documents comptables

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1- Le Journal :
A- Définition et utilité du journal :
Selon le code de commerce, la comptabilité des entreprises commerciales doit comporter
obligatoirement les livres suivants :
1/ un livre journal, ou plus simplement, un journal.
2/ un livre de copies de lettres, constitué actuellement par la liasse les lettres reçues et la
liasse des double de lettres envoyées, classées en principe par ordre chronologique.
3/ un livre d’inventaire, sur lequel on noté la fin de chaque exercice le résultat de l’inventaire
qui est effectué.
Le code ne donne au qu’une indication concernant la méthode comptable qu’il y a lieu
d’employer. Il prévoit seulement la manière suivant la quelle doivent être tenus les livres
obligatoires, pour qu’ils puissent être représentes et faire foi en justice, et être admis par les
tribunaux de commerce pour faire preuve entre commerçants en cas de contestation.
La tenue des livres doit répondre à cet effet aux prescriptions suivantes :
1/ les opérations sont inscrites par ordre de dates (chronologiquement) sans blancs, lacunes ni
transports en marge.
2/ les livres sont cotés, paraphés et visés, soit par un juge de tribunal de commerce, soit par le
maire ou son adjoint.
La cote est un simple numérotage de tous les feuilles des registres le paraphe est la signature
apposée par le juge, le maire ou son adjoint, à coté du numéro des feuilles, le visa est un
procès verbal consigné sur la première page des registres constatant que les formalités de cote
et de paraphe ont été dûment accomplies.
3/ les livres sont conservés pendant dix nans.
B- Nécessité du journal :
L’enregistrement des opérations courantes dans les comptes ne peut se faire immédiatement
en raison de leur multiplicité, cet enregistrement direct serait en effet la source de
nombreuses erreurs (compte mouvementé à la place d’un autre, compte débiter au lieu d’être
crédité, etc.) et omissions un comptable peux scrupuleux pourrait facilement commettre des
fraudes,
Le contrôle s’avérerait très difficile.
Ce mode de comptabilisation ne répond pas, d’autre part, aux prescriptions du code de
commerce, qui ordonne la relation chronologique de toutes les opérations de l’entreprise sur
un livre spécial, il faut donc prévoir une inscription préalable des faits économiques sur le
registre appelé journal établi au jour le jour le journal constitue la base de la comptabilité.

C- Disposition et rédaction du journal :


1- Disposition du journal :
Le journal se présente sous forme d’un registre fréquemment cousu, comportant sur chaque
page de gauche à droite :
Une marge
Une ou deux petites colonnes destinées à recevoir le numéro des comptes, lorsque
l’importance de l’entreprise justifier les travaux de report dans les comptes.
Un espace important ou seront notés la date les noms des comptes mouvementes le « libellé »
relatifs à chaque opération.
Deux colonnes de sommes dont l’une est destinée à l’inscription des débits et l’autre à
l’inscription des crédits ces colonnes sont rayées verticalement afin de faciliter l’alignement
des chiffres et de faire apparaître leur grattage éventuel on fait l’addition des colonnes en bas
de page.
2- Rédaction du journal :

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Chaque opération donne lieu à la création d’un article c'est-à-dire un ensemble d’écritures
comprenant :
La date de l’opération placée entre deux traites sur la première ligne.
Le nom du ou des comptes crédités inscrits à gauche les uns au dessous des autres sur des
lignes différentes
Le nom du ou des comptes crédités décalés vers la droite « le crédit correspond, en effet à la
partie droite des comptes » et inscrits également sur des lignes différentes, on fait souvent
précéder l’intitulé de ces comptes de la préposition « à »
Les sommes à porter au débit au crédit des comptes inscrits sur la même ligne que les comptes
correspondants dans les colonnes du débit ou du crédit
Le « libellé » explicatif c'est-à-dire une indication succincte de l’opération devant
nécessairement comporter le numéro de référence des pièces justificatives.
Préconisée par le plan comptable, est préférable.
Enfin, les deux traits entre lesquels on écrit, s’il y a lieu, la date de l’opération suivante. Pour
répondre aux prescriptions du code de commerce, il est indispensable de ne laisser aucune
ligne en blanc. Dans ce but, les lignes qui resteraient blanches, enfin de page par exemple,
devraient être barrées par un trait oblique.

2-Le grand livre :


A- Définition : on appelle grand livre, le volume constitue par la réunion de tous les comptes
ouverts dans une entreprise. Bien que son importance soit considérable, puisque les opérations
commerciales …sont classées par nature dans les comptes, le code de commerce ne rend pas
son emploi obligatoire.
B- Tenue matérielle du grand livre :
1- Grand livre tenu « à livre ouvert » : la page de gauche du registre est dans ce cas,
réservée au débit d’un compte, et la page de droite au crédit du même compte, chacune de ces
pages présente la même réglure, comportant :
Une colonne de dates, une colonne de libellés, et une colonne de sommes.
On ajoute souvent une colonne de référence des folios du journal où sont notés les articles
reportés ensuite dans les comptes. Sir certains grands livres figure, on outre, une colonne
supplémentaire qui reçoit inscription des totaux mensuels du débit ou du crédit, ou des soldes,
le débit et le crédit de chaque compte sont ainsi nettement séparés et les erreurs de report des
libellés et des sommes sont peu fréquentés, car elles ne peuvent être causées que par une
distraction évidente du comptable.
Cette disposition donne bien toutefois à critique dans la mesure où il faut écrire sur une même
ligne horizontale les totaux du débit et du crédit au moment de l’arrêté du compte. On ne
saurait, en effet, effectuer les totaux immédiatement au dessous des dernières sommes
inscrites au débit et au crédit.
Beaucoup de comptes reçoivent plus d’inscriptions sur l’une des pages que sur l’autre, et
après quelques jours de reports, les opérations d’une même journée ne seraient plus en regard
les unes des autres. Il faut donc laisser en blanc, puis barrer un ombre de lignes par fois très
important. Cette grande consommation de papiers exige naturellement un livre volumineux
d’autant plus épais qu’il est destiné à recevoir tous les comptes de l’entreprise.
2- Grand livre tenu « à livre fermé » :
Pour réaliser une économie de papier, on peut réunir sur une seule page les deux parties de
chaque compte, le registre est ainsi tenu « à livre fermé » la rédaction de la largeur des
colonnes « libellés » qui en résulterait risquant toutefois de nuire à la clarté des justifications
données aux écritures, on adopte fréquemment dans ce cas un tracé du compte qui comporte
des colonnes communes au débit et au crédit pour les dates, les libellés et les références. Deux

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colonnes placées dans la partie droite de la page sont réservées, l’une à l’inscription des
sommes au débit du compte, l’autre à l’inscription des sommes au crédit.
Grand livre tenu sur feuilles mobiles :
Les inconvénients énumérés ci-contre ou fait abandonner les registres cousus. On a recours,
aujourd’hui, aux grands livres à feuilles mobiles réunis dans une reliure démontable. Chaque
compte est alors représenté par un ou plusieurs feuilles que l’on peut déplacer à volonté.
Reports du journal au grand livre :
Les opérations inscrites préalablement au journal sont ensuite reportées dans les comptes.
1- Procédé théorique : les reports doivent s’effectuer en principe article par article en
considérant successivement les comptes débités ou crédités au journal. Le comptable ouvre le
grand livre au folio du premier compte débité à l’aide des numéros indiqués dans les petites
colonnes de gauche du journal ou à l’aide du répertoire alphabétique. Il transcrit alors au débit
du compte les indications fournies par l’écriture de journal, soit :
1/- la date de l’opération
2/- le libellé accompagné parfois du nom du compte mouvementé en contre partie.
3/- le folio du journal
4/- la somme.
Le comptable prend ensuite les deuxième, troisième, etc., comptes débités ou crédités et
effectue un travail identique. Il est bon de pointer au journal par un petit trait oblique au
crayon dans la marge ou dans l’une des petites colonnes de gauche, les comptes qui viennent
de faire l’objet d’un report. Cette pratique permet, en effet, d’éviter des omissions ou des
doubles emplois au grand livre.
B- Procédé pratique :
Le procédé envisagé ci-dessus présente l’inconvénient d’occasionner une perte de temps
appréciable, il faut feuilleter continuellement le grand livre à la recherche des comptes, dont
certains ont pu déjà être imputés. Il parait préférable de procéder compte par compte, de la
manière suivante :
Le journal étant ouvert à sa gauche, on cherche le premier compte à débiter, « caisse » par
exemple ; on transcrit l’opération au grand livre, et l’on point sur le journal le report –
effectué. Puis, en descend la suite des comptes débités au cours des articles successifs pour
s’arrêter quand le compte « caisse » réapparaît. On opère la nouvelle transcription nécessaire
et le pointage. Cette recherche peut s’effectuer dans la colonne du journal ou sont portés, en
référence, les numéros des comptes, mais l’attention et mieux attirée, en général, par la vision
du nom, que par, du numéros. Lorsqu’on a épuisé toute les écritures intéressant le débit contre
« caisse »on revient au début des article à reporter et l’on exécute, en utilisant les procédés,
les reports relatifs au crédit du compte « caisse ». le même travaille sera effectué pour chacun
des comptes en suivant dans lequel il se succèdent au journal le pointage évite les erreurs .

3- La Balance ;h
A- Notion de la balance :
La balance est un tableau récapitulatif des totaux Débit et Crédit et des soldes de tous les
comptes ayant joué simultanément du fait des opérations commerciales effectuées au cours
d’une période comptable déterminée.
B- Confection de la balance et contrôles arithmétiques :
1- Etablissement de la balance :
Pour établir la balance, il y a lieu de suivre le processus suivant :
1. On additionne au crayon sur le grand livre le total des débits et le total des crédits de
chaque compte.
2. Après avoir inscrit sur la balance le numéro du compte et son titre, on reporte pour chaque
compte le total des débits dans les colonnes « totaux » de la balance ;

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3. on tire le solde du compte sur la balance, et on l’inscrit dans une des colonnes « Soldes » ;
dans la colonne « Débit », si le solde est débiteur, dans la colonne « Crédit », si le solde est
créditeur ;
4. On additionne les colonnes de la balance (colonnes de totaux et colonnes de soldes).
2- Contrôles fournis par la balance :
Une balance exacte fait apparaître une triple égalité :
1. Egalité des totaux des colonnes « Débit » et « Crédit » entre eux.
Cette égalité résulte du principe de la comptabilité en partie double, des sommes égales ayant
été portées à la fois au débit de certains comptes et au crédit d’autres comptes.
2. Egalité des totaux des colonnes « Débit » et « Crédit » avec ceux du journal.
Cette deuxième égalité provient du fait que toutes les sommes inscrites au journal ont été
reportées au grand livre. Elle permet de vérifie par cela même l’exactitude des travaux de
report.
3. Egalité des totaux des colonnes de soldes débiteurs et créditeurs.
Le calcul du solde d’un compte revient à soustraire de ses totaux Débit et Crédit une même
somme : le total Crédit ; s’il est le plus faible ou, inversement, le total Débit.
Au point de vue arithmétique, on enlève donc la même somme globale à la fois au total de la
colonne Débit et au total de colonne Crédit de la balance (la démonstration numérique ci-
contre éclairera ce point).
Si les conditions ci-dessus sont remplies, on peut présumer de l’exactitude des reports du
journal au grand livre.

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III. Exercice d’application :

Le 01/01/x, le Bilan de la société X se présente ainsi :

N° de Actif Somme N° de Passif Somme


compte compte

02 Investissements 01 Fonds propres


240 Consommations 55000 110 Fonds d’exploitations 195000
243 Matériel et outillage 14200
244 Matériel de transport 66800
03 Stocks 05 Dettes
30 Marchandises 40000 521 Crédit bancaire 10000
04 Créances 522 Crédit d’investissement 37600
470 Clients 6400 530 Fournisseurs 17400
485 Banque 70000
487 Caisse 7600

Total 260000 Total 260000

Pendant le mois de janvier l’entreprise effectue les opérations suivantes :


2/1 vente marchandise en compte 17000 DA coût d’achat 14500 DA.
4/1 Règlement des dettes envers ses fournisseurs par chèque de 7500 DA.
8/1 Achat marchandise en espèce de 1500 DA et en compte de 3000 DA.
16/1 Les clients ont réglé leurs dettes en espèce de 12000 DA.
17/1 Règlement les frais de téléphone en espèce somme de 115 DA.
22/1 Achat équipements de bureau en compte d’une somme de 2400 DA.
24/1 Ouverture d’un compte CCP et versement à ce compte d’une somme prise chez la
banque de 1000 DA.
26/1 Règlement en espèce le loyer du mois de janvier de 450 DA.
28/1 Les salaires du mois selon le relevé de salaire de 15000 DA.

L’enregistrement des opérations du mois de janvier dans le journal, le grand livre, la balance,
TCR et le Bilan final au 31/01/X.

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1-Le Journal :

N°C N°C Libellé Débit Crédit


01/01
55000
240 Consommations 14200
243 Matériel et outillage 66800
244 Matériel de transport 40000
30 Marchandises 6400
470 Clients 70000
485 Banque 7600
487 Caisse 195000
110 Fonds d’exploitations 10000
521 Crédit bancaire 37600
522 Crédit d’investissement 17400
530 Fournisseurs
L’écriture d’ouverture

01/02
17000
470 Clients 17000
70 Vente de marchandise
M/Facture N°…

// 14500
60 Marchandise consommée 14500
30 Marchandise

04/01
530 Fournisseur 7500
485 Banque 7500
Règlement une somme des dettes

08/01
380 Achat de marchandise 4500
487 Caisse 1500
530 Fournisseur 3000
Achat marchandise fact N°…..

//

30 Marchandise 4500
380 Achat marchandise 4500
Entrée de la marchandise

A reporter………. 308000 308000

10
Reports………. 308000 308000

16/01
487 12000
470 12000
Caisse
Clients
Règlement des dettes
628 115
17/01
487 115
P et T
Caisse
Règlement fac de tél Fac N°…..
245 2400
22/01
52 2400
Equipements de bureau
Dettes d’investissements

Achat Equip Fac N°……


486 10000
24/01
485 10000
Comptes postaux
Banque

Ouverture d’un compte CCP


621 450
26/01
487 450
Loyers et charges locatives
Caisse
Loyer commercial

28/01
63 15000
563 15000
Frais du personnel
Personnel
Enregistrement des frais du personnel

Total 347965 347965

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2- Le grand livre :

Reports du journal au grand livre

C/240 Constructions C/243 Matériel et outillage

55000 14200
5500 14200
S.D S.D

55000 55000 14200 14200

C/244 Matériel de transport C/30 Marchandises

66800 40000 14500


4500
66800 30000
S.D S.D

66800 66800 44500 44500

C/470 Clients C/485 Banque

6400 12000 70000 10000


17000 7500
11400 52000
S.D S.D
23400 23400 70000 70000

C/487 Caisse C/110 Fonds d’exploitation

7600 1500 195000


12000 115 195000
450 S.C
17535
S.D
19600 19600 195000 195000

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C/521 Crédit bancaire C/52 Dettes d’investissements

10000 37600
10000 2400
S.C 40000
S.C

10000 10000 40000 40000

C/530 Fournisseurs C/70 Ventes

7500 17400 17000


3000
12900 17000
S.C S.C

20400 20400 17000 17000

C/380 Achats marchandises C/60 Marchandise consommée

4500 4500 14500


14500
S.D
//

4500 4500 14500 14500

C/628 Pet T C/63 Frais du personnel

115 15000
115 15000
S.D S.D

115 115 15000 15000

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C/245 Equipements de bureau C/486 Comptes postaux

2400 10000
2400 10000
S.D S.D

2400 2400 10000 10000

C/621 Loyers et charges locatives C/563 Personnel

450 15000
450 15000
S.D S.C

450 450 15000 15000

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3- La Balance :

N° C Nom du compte Les totaux Les soldes


Débit Crédit Débit Crédit
110 Fonds d’exploitations 19500 195000
240 Consommations 55000 55000
243 Matériel et outillage 14200 14200
244 Matériel de transport 66800 66800
245 Equipements du bureau 2400 2400
30 Marchandises 44500 14500 30000
380 Achat marchandise 4500 4500
470 Clients 23400 12000 11400
485 Banque 70000 70000 52500
486 Comptes postaux 10000 10000 10000
487 Caisse 19600 19600 17535
521 Crédit bancaire 10000 10000
52 Dette d’investissements 40000 40000
530 Fournisseurs 7500 20400 12900
563 Frais du personnel 15000 15000
60 Marchandise consommée 14500 14500
621 Loyers et charges locatives 450 450
628 P et T 115 115
63 Personnel 15000 15000
70 Ventes 17000 17000
∑ 343465 343465 289900 289900

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4- Le TCR :

N° C Libellé Débit Crédit


70 Ventes de marchandises 17000
60 Marchandises consommées 14500

80 Marge brut 2500


80 Marge brut 2500
71 Production vendue
72 Production stockée
73 Production immobilisée
74 Prestations fournies
75 Transfert de charges de productions
61 Matières et fournitures consommées
62 Services 565
81 Valeur ajoutée 1935
81 Valeur ajoutée 1935
77 Produits divers
78 Transfert de charges d’exploitation
63 Frais de personnel 15000
64 Impôts et taxes
65 Frais financiers
66 Frais divers
68 Dotations aux amortissements et provisions

83 Résultat d’exploitation 13065

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5- Le Bilan final :

N° de Actif Somme N° de Passif Somme


compte compte

02 Investissements 01 Fonds propres


240 Consommations 55000 110 Fonds d’exploitations 195000
243 Matériel et outillage 14200
244 Matériel de transport 66800
245 Equipements de bureau 2400 05 Dettes
03 Stocks 521 Crédit bancaire 10000
30 Marchandises 30000 522 Crédit d’investissement 40000
04 Créances 530 Fournisseurs 12900
470 Clients 11400 563 Personnel 15000
485 Banque 52500
486 Comptes postaux 10000
487 Caisse 17535
Perte 13065

Total 272900 Total 272900

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Conclusion :

Ainsi donc la tenue régulière d’une comptabilité permet de prendre les décisions en
relation avec les divers renseignements enregistrés par la comptabilisation des documents
fiables pour assurer une bonne gestion comptable et être en conformité avec la loi.

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