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49517376.doc - 15/01/2010 12:35:00 O1/P1 B.

du Marais - VERSION FINALE 1

Droit public des affaires


Bertrand du MARAIS
Courriel : bdumarai[at]u-paris10.fr
Programme des séances 2009
Attention : début du cours à 17h00 Amphi C

Sommaire
1 8/10/09 : Présentation du cours; rappels sur l’utilisation de la documentation juridique;
Éléments d’économie publique.......................................................................................................2
2 15/10/09 : Rappels sur la spécificité de l’organisation juridique française : L’État français,
un animal juridique singulier. Perception de l’importance de l’influence du droit
international ...................................................................................................................................3
3 22/10/09: La notion traditionnelle de service public et le régime du service public.................5
4 29/10/09 Les services publics industriels et commerciaux..........................................................7
5 12/11/09 Service public et droit de la concurrence (I)................................................................9
6 19/11/09 et 26/11/09 Service public et droit de la concurrence (II) : Les lieux de la
contradiction .................................................................................................................................10
7 3/12/09 – La notion de secteur public ......................................................................................12
8 10/12/09 La gestion du Secteur public et « le gouvernement d’entreprise publique »............13
9 17/12/09 Les contrats publics : les marchés publics ................................................................15
10 14/01/10 Les contrats publics : les délégations de service public...........................................19
1 8/10/09 : Présentation du cours; rappels sur l’utilisation de la
documentation juridique; Éléments d’économie publique

1.1 Section I: Les fondements théoriques de l’influence déterminante de la


concurrence sur l'équilibre économique

1.1.1 Rappels sur la théorie de l'équilibre général de l'économie


1.1.1.1 Les notions fondamentales de la théorie du bien-être : l’hypothèse de la rationalité économique de l'être
humain
1.1.1.2 Les résultats de la théorie de l’équilibre général et du bien-être économique
1.1.1.2.1 L'équilibre des échanges
1.1.1.2.2 L’'équilibre général de la production

1.1.2 Le rôle crucial de la concurrence


1.1.2.1 Rappels sur la notion de concurrence
1.1.2.2 La concurrence pure et parfaite, condition nécessaire de l'équilibre économique

1.2 Section II : Premières justifications: restaurer les conditions du


fonctionnement normal du marché

1.2.1 Le problème de la qualité de l'information


1.2.1.1 Les effets de l'incertitude: aléa moral et sélection adverse
1.2.1.2 L'asymétrie d'information

1.2.2 La lutte contre les monopoles


1.2.2.1 Situation de "monopole pur"
1.2.2.2 Causes et conséquences d’une situation de monopole « pur »
1.2.2.3 Les interventions publiques contre les situations de monopole

1.3 Section III : Deuxièmes justifications: compenser des situations


particulières « hors marché »

1.3.1 L'absence de marché


1.3.1.1 Les biens collectifs ou biens publics
Tableau [ ]: Matrice des biens : des biens privés purs aux biens collectifs purs 1

Exclusion Non-exclusion
Rivalité Bien privé pur « Bien en commun »
Exemples: "Vaines pâtures", « bois
communaux »: on ne peut exclure ex-ante des
consommateurs, qui se font pourtant
concurrence entre eux pour l'utilisation de la
ressource
Non-rivalité « Bien de club » Bien collectif pur.
Exemples: pont à péage, spectacle privé: il Exemple: l'air, l'eau, etc.
est possible d'exclure des consommateurs en
fixant un prix, mais l'utilisation des
ressources des uns n'affecte pas (ou à la
marge) la consommation des autres.

1.3.1.2 L’absence de production rentable: effet d’apprentissage et courbe d'expérience


1.3.1.3 Les causes de défaillances "hors marché" : les externalités

2 15/10/09 : Rappels sur la spécificité de l’organisation juridique


française : L’État français, un animal juridique singulier. Perception
de l’importance de l’influence du droit international

2.1 Section I: La personnalité juridique de l’État : les fondements du droit public

2.1.1 L’État français, « un animal juridique singulier »


2.1.1.1 Une tradition historique de la prééminence de l’État.

1
F. Lévêque, Economie de la réglementation , Paris, Repères La Découverte, 1998, p.
2.1.1.2 La réaction révolutionnaire aux pratiques de l'Ancien Régime :

2.1.2 Le droit administratif : un droit « résiduel »


2.1.2.1 2.1 Les causes historiques de l’instauration d’un contrôle juridictionnel étendu sur l’administration
2.1.2.2 2.2 Principes constitutionnels de la séparation des ordres de juridiction administratif et judiciaire.

2.2 Section II : Les sources nationales du droit public économique

2.2.1 Les textes de droit interne

2.2.2 La jurisprudence

2.3 Section III : Les sources communautaires du droit public économique

2.3.1 Principes généraux de l’insertion en droit interne des normes internationales

2.3.2 Les instruments du droit communautaire

2.3.3 Le juge administratif est le juge de droit commun de l’application du droit


communautaire aux actes administratifs

2.3.4 La démarche profondément originale du droit communautaire


2.3.4.1 L’Union européenne, une organisation internationale d’un genre unique
2.3.4.2 L’UE, mouvement perpétuel plutôt qu’institution statique

2.4 Section IV : Les sources internationales du droit public économique

2.4.1 L’influence croissante du droit international classique sur le droit public


économique

2.4.2 La liaison entre commerce international et libéralisation interne : l’OMC

2.4.3 Le droit public économique français inséré dans un réseau de contraintes juridiques
internationales

2.4.4 Section V : Spécificité française et droit public anglo-saxon


3 22/10/09: La notion traditionnelle de service public et le régime du
service public

3.1 Section I: La notion traditionnelle de service public

3.1.1 Définition historique et enjeux du service public


3.1.1.1 Un concept ancien
3.1.1.1.1 L’enjeu du concept de service public n’apparaît cependant qu’après la seconde guerre mondiale:

3.1.2 Des définitions intangibles mais ambiguës


3.1.2.1 La définition traditionnelle du service public selon L. DUGUIT.
3.1.2.2 La confusion avec d'autres notions: secteur public, agents publics
3.1.2.3 L’état de la question après le rapport Denoix de Saint-Marc

3.2 Section II : Les critères actuels d'identification du service public par le juge

3.2.1 Un critère finaliste : une mission d'intérêt général


3.2.1.1 Service public constitutionnel, service public national
3.2.1.2 L'identification d'un intérêt général
3.2.1.2.1 La qualification d’intérêt général par l’acte constitutif
3.2.1.2.2 L intérêt de l'activité doit être collectif.

3.2.2 Un critère matériel : des prérogatives de puissance publique


3.2.2.1 Divers types de prérogatives de puissance publique
3.2.2.2 Le cas particulier du monopole ou des droits exclusifs

3.2.3 Un critère organique : le contrôle de la collectivité publique organisatrice

3.2.4 Les règles gouvernant la création du service public


3.2.4.1 Exclusivité de la compétence des collectivités publiques.

3.2.4.2 Compétence de création au sein de la collectivité publique.


3.2.4.2.1 Compétence de droit commun des organes délibérants pour les services publics locaux
3.2.4.2.2 Services publics de l'État : un partage des compétences entre loi et règlement
3.3 Section III Le régime des services publics : Les grands principes ou « lois »
du service public.

3.3.1 Principe de Continuité


3.3.1.1 Un principe contraignant

3.3.1.2 Une garantie pour usagers et opérateurs : la couverture de certains risques d’exploitation

3.3.2 Principe d’Egalité des usagers devant le service public


3.3.2.1 Le principe

3.3.2.2 Les limites au principe d'égalité: accès privilégié et discrimination tarifaire

3.3.2.3 Pertinence économique des solutions jurisprudentielles relatives aux discriminations tarifaires

3.3.2.4 Les corollaires de l’égalité: universalité et neutralité

3.3.3 Principe d’Adaptabilité ou mutabilité


3.3.3.1 Le principe

3.3.3.2 Une double portée

3.4 Section IV : La revendication de nouveaux principes du service public ?

3.4.1 Principe de Transparence


3.4.1.1 La transparence : absence de principe général
3.4.1.2 Des prescriptions spécifiques

3.4.2 Les principes de responsabilité et de participation


3.4.2.1 Vers la transposition des principes de « accountability »

3.4.2.2 L’essor du principe de « participation » en droit interne


3.4.2.2.1 le cas particulier de l’environnement : l’article 7 de la Charte de l’environnement

3.4.3 L'absence de principe de gratuité: les règles relatives à la rémunération par


redevance pour service rendu
4 29/10/09 Les services publics industriels et commerciaux

4.1 Section I : La catégorie particulière des SPIC : présentation et définition

4.1.1 La distinction historique gestion publique - gestion privée


4.1.1.1 L’arrêt Terrier en matière de responsabilité contractuelle

4.1.1.2 L’application du régime de droit privé à l’ensemble d’un service public : la naissance des SPIC

4.1.2 Les critères de détermination du service public industriel et commercial


4.1.2.1 La dénomination législative

4.1.2.2 L’objet du service

4.1.2.3 Le mode de financement

4.1.2.4 Les modalités d’organisation

4.1.3 Une qualification objective qui distingue l’organisme de ses fonctions

4.2 Section II Un régime juridique compliqué : l’arrêt Bac d’Eloka, une erreur
de jugement ?

4.2.1 Responsabilité civile des SPIC

4.2.2 Droit des personnels : prééminence du droit du travail dans les SPIC

4.2.3 Des relations avec les usagers complexes


4.2.3.1 Le principe général : la relation de prestation entre SPIC et usager est une relation commerciale

4.2.3.2 Le caractère administratif des actes d’organisation du service

4.2.4 L’impératif d’équilibre financier des services publics locaux à caractère industriel
ou commercial
4.2.4.1 Le principe de l’équilibre financier et ses conséquences

4.2.4.2 Les exceptions au principe d’équilibre

4.2.5 La distinction entre SPA et SPIC : une source d’insécurité juridique


4.3 Section III : Une distinction neutre au regard des diverses modalités
organiques de fourniture du service public

4.3.1 La notion de régie

4.3.2 Le service public personnalisé : les établissements publics

4.3.3 La gestion déléguée

4.4 Section IV: Conclusion: les critiques et les limites de la théorie du service
public.
5 12/11/09 Service public et droit de la concurrence (I)

5.1 Section I: La réception du principe de concurrence en droit interne : de la


réticence à l’engouement

5.1.1 Une "révolution communautaire »

5.1.2 La notion de concurrence était déjà connue


5.1.2.1 La conception traditionnelle de la liberté du commerce et de l’industrie
5.1.2.2 Concurrence et pluralisme de l'information
5.1.2.3 Le contrôle des concentrations économiques
CE, Sect. 9 avril 1999, The Coca Cola Company

5.1.3 La reconnaissance du « principe de concurrence » : un revirement rapide


5.1.3.1 Une « révolution comunataire »
5.1.3.2 Un revirement rapide

5.2 Section II : La pleine application du principe de concurrence en droit


administratif français

5.2.1 Un partage de compétence clarifié: le critère de la nature de l’acte par l’existence de


procédés de puissance publique

5.2.2 Un champ d’application exhaustif


5.2.2.1 Le champ d’application rationae personae : tous les organismes publics
5.2.2.2 Le champ d’application rationae materiae : toutes les catégories d’actes, dans tous les domaines de la
vie administrative

5.3 Section III: Le contenu juridique du principe de concurrence d’origine


national

5.3.1 La démarche particulière du contrôle de la concurrence

5.3.2 Le droit de la concurrence est d'abord un droit national : partage des compétences
et des concepts
5.3.2.1 La compétence d’attribution des autorités communautaires
5.3.2.2 Des concepts équivalents

5.3.3 Les règles substantielles de portée générale : la répression des pratiques anti-
concurrentielles
5.3.3.1 Ententes et abus de position dominante
5.3.3.2 L’abus de position dominante automatique
5.3.3.3 Les "Infrastructures essentielles"
6 19/11/09 et 26/11/09 Service public et droit de la concurrence (II) :
Les lieux de la contradiction

6.1 Section I : La boîte à outils spécifique du droit communautaire de la


concurrence

6.1.1 L'effet des principes généraux affirmés par le Traité


6.1.1.1 Non discrimination et égalité de traitement
6.1.1.2 Effets des quatre libertés instituées par le Traité CE

6.1.2 L’application restrictive des exceptions ouvertes par le Traité à la libre circulation

6.2 Section II : Les aides d'État

6.2.1 Les stipulations du Traité

6.2.2 Eléménts constitutifs d’une aide d’Etat

6.2.3 L’effet de l’aide : une présomption d’affectation des échanges et d’altération de la


concurrence

6.2.4 Les dérogations

6.2.5 Procédure et règles de fond relatives aux dérogations

6.2.6 Le contrôle juridictionnel des décisions de la Commission

6.3 Section III : Le contrôle des entreprises publiques et des droits exclusifs

6.3.0 L’article 86.1

6.3.1 Les services d’intérêt économique général


6.3.1.1 La dérogation générale au droit de la concurrence en faveur des SIEG
6.3.1.1.1 La portée de la dérogation
6.3.1.1.2 Les conditions de fond à la dérogation
6.3.2 2 L’évolution politique à l’égard des SIEG : reconnaissance sous surveillance

6.4 Section IV: La notion de service universel

6.4.1 La notion américaine de service universel

6.4.2 Le service universel : le concept communautaire


6.4.2.1 Définitions
6.4.2.2 Eléments constitutifs et principes d'application
6.4.2.3 Méthodes de financement
6.4.2.4 Financement du service universel et art. 86.2

6.4.3 Le service universel : une notion promise à de nombreux développements

6.5 Section V : Les politiques communautaires de libéralisation : l’avènement


de la « régulation »

6.5.1 Le processus communautaire de libéralisation : une vision synthétique

6.5.2 Quel modèle institutionnel sous- jacent?


7 3/12/09 – La notion de secteur public

7.1 SECTION I: LES CRITERES D’APPARTENANCE AU SECTEUR PUBLIC

7.1.1 Introduction : Les critères organiques

7.1.1.1 La diversité des statuts d’entreprise publique8


7.1.1.2 Secteur public et service public

7.1.2 Les critères fonctionnels


7.1.2.1 Le critère constitutionnel
7.1.2.2 Les critères fonctionnels spécifiques

7.1.3 Le critère de la détention majoritaire

7.1.4 Le réalisme communautaire

7.2 SECTION II: LES PRINCIPES JURIDIQUES DE L'ENTREE DANS LE SECTEUR


PUBLIC: LES NATIONALISATIONS

7.2.1 Le contrôle au fond sur la décision de nationaliser


7.2.1.1 Les critères de compétence
7.2.1.2 Le contrôle de la justification des nationalisations

7.2.2 Le contrôle sur les modalités de la nationalisation


7.2.2.1 Les modalités: l'indemnité "préalable"
7.2.2.2 Les modalités: l'indemnité "juste"

7.2.3 Les applications contentieuses


7.2.3.1 Une relative absence de contentieux
7.2.3.2 Le contentieux de l’indemnisation : les règles d’évaluation des entreprises privées
8 10/12/09 La gestion du Secteur public et « le gouvernement
d’entreprise publique »

8.1 SECTION I Entreprise ou vitrine ? La « démocratisation du Secteur Public »

8.1.1 Les principes de la démocratisation du secteur public

8.1.2 Les problèmes posés par la loi de démocratisation du secteur public de 1983

8.1.2.1 Les dysfonctionnements du conseil d’administration


8.1.2.2 La nomination hybride des Présidents

8.2 Section II : les modalités de contrôle et de tutelle des entreprises publiques.

8.2.1 La tutelle et les contrôles a priori

8.2.2 Les contrôles a posteriori

8.2.3 Y a-t-il un gouvernement dans ces entreprises ? Le peu d’effectivité d’une


multiplicité de contrôles

8.3 Section III: Le mouvement de privatisation

8.3.1 Principes juridiques de la sortie du secteur public selon une procédure de


privatisation de droit commun
8.3.1.1 Les règles de fond: ce qui est privatisable

8.3.1.1.1 La compétence initiale du législateur: la désignation des entreprises privatisables et la fixation des
modalités
8.3.1.1.2 Les limites de fond à la privatisation

8.3.2 Les garanties offertes par la procédure

8.3.2.1 La défense des « intérêts patrimoniaux de l’État »


8.3.2.1.1 Les conditions relatives au niveau du prix de cession
8.3.2.1.2 Les garanties offertes par la procédure d'évaluation

8.3.2.2 Le « respect de l’indépendance nationale ».


8.3.2.2.1 Des seuils de détention maximum
8.3.2.2.2 L'action spécifique ou « Golden Share »

8.3.3 Les procédures dérogatoires de "respiration" du secteur public et de privatisation


d’entreprises de second rang
8.3.4 Les autres modes de sortie du secteur public et la quasi-impossibilité de faire faillite
8.3.4.1 Le régime de la dissolution des entreprises publiques
8.3.4.2 Les défaillances d’entreprises publiques
8.3.4.2.1 Les sociétés d’économie mixte locales : l’application entière du droit des entreprises défaillantes
8.3.4.2.2 Les établissements publics : l’application exclusive de la responsabilité administrative
8.3.4.2.3 Les entreprises publiques à statut de droit privé : un régime ambigu

8.3.4.2.3.1 Une construction jurisprudentielle complexe

8.3.4.2.3.2 Créanciers des entreprises publiques : des voies de recours résiduelles


9 17/12/09 Les contrats publics : les marchés publics

9.1 Section I : Le droit des marchés publics : sources et champ d’application

9.1.1 Les sources communautaires du droit des marchés publics


9.1.1.1 L’influence déterminante du droit communautaire

9.1.1.1.1 Les stipulations de droit commun des traités européens


9.1.1.1.2 Le droit dérivé applicable aux marchés publics

9.1.1.2 Les incertitudes sur le champ d’application de la notion de marchés publics


9.1.1.2.1 La notion de pouvoir adjudicateur

9.1.1.2.1.1 Définition

9.1.1.2.1.2 La notion « d’organisme public » au sens des directives « marchés »

9.1.1.2.1.3 L’introduction en droit français de la notion de pouvoir adjudicateur

9.1.1.2.2 Les ambiguïtés qui pèsent sur la notion communautaire de marché de travaux
9.1.1.2.3 Des seuils supplémentaires, dus à des obligations communautaires spécifiques

9.1.2 Les droits nationaux des marchés publics


9.1.2.1 Des sources législatives marginales du droit des marchés publics
9.1.2.2 L’origine réglementaire du droit des marchés publics

9.2 Section II : Les principes généraux du droit des marchés publics

9.2.1 Le champ d’application du code des marchés publics


9.2.1.1 Un champ d’application ratione personae commun à l’Etat et aux collectivités locales

9.2.2 Un champ d’application ratione materiae précisé


9.2.2.1 La nature administrative du contrat de marchés publics :
Art.2 de la loi du 11 décembre 2001 dite MURCEF
9.2.2.2 L’applicabilité du code des marchés publics aux contrats entre organismes publics : le notion de « In
House »

9.2.3 La mutualisation de la fonction d’achat public : les groupements de commandes

9.2.4 La distinction entre marchés publics et délégation de service public


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Quelques éléments de classification des différents contrats publics utilisés pour des achats publics et de long terme

BEA CP
BEA CP avec CP
DSP droit LOPSI / BEH AOT - LOA risque droit MP
commu LOPJ commerci commu
n al n
Mission globale et Prestation
Bien immobilier mis à Bien immobilier mis à
Déléguer la gestion d'un longue confiée à un répondant à un
Objet disposition à un délégataire disposition est à
service public tiers par un contrat besoin de
dans le cadre mission de SP construire
flexible l'administratio
Etat Non compétent
Personne Compétent
Collectivité
s Compétent Compétent
territoriale
publiques Compétent
concerné Etablissement
Non compétent
es public
EPCI Compétent Non compétent
Restreint :
Large : tout prestation de
Large : tout type équipement fournitures,
Le champ fonctionnel du Restreint : répondre aux besoins principalement
d'investissement avec concourant à services,
contrat immobiliers
financement l'accomplissement travaux dont a
d'un service public besoin la
collectivité
En fonction de la
En fonction de la durée
La durée du contrat De 18 à 99 ans 70 ans maximum durée 4 ans maximum
d'amortissement
d'amortissement
Evaluation préalable du
Non Oui Non Oui
contrat obligatoire

Manière de savoir quand A la


Document détaillé définissant en
les besoins de la personne demande Programme fonctionnel établi par le service concerné
amont les besoin de la collectivité
publique sont satisfaits de l'Etat
Transfert
de la Détaillé Non Oui Non Oui
maîtrise Oui
d'ouvrage Implicite Oui Non Oui Non
public
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Intervention d'une
En fonction
commission ad hoc, Procédure libre L'offre économiquement la plus avantageuse en prenant les
de la
mise en concurrence mais critères de la consultation, ceux de l'évaluation éventuellement
Procédure de sélection du consultatio
après délibération traditionnellement précisés en fin de dialogue compétitif s'agissant du contrat de
cocontractant n "offre
favorable, puis de type partenariat, ou bien d'une procédure d'appel d'offre s'agissant d
jugée la
négociation avec performantiel marché public
meilleure"
l'exécutif
Partie qui assume Personne
Opérateur Opérateur Personne publique Opérateur
principalement les risques publique
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9.3 Section III : Les procédures particulières de passation du marché


3.1 Unification des procédures
3.2 La procédure usuelle : les « marchés sans formalités préalables / marchés à procédure adaptée »

3.3 Une procédure mixte au formalisme aménagé : la « mise en concurrence simplifiée » / « dialogue
compétitif »
3.4 La « procédure négociée », procédure exceptionnelle
3.5 Le droit commun: l’appel d’offres

9.4 • Section IV : Les objectifs réitérés du droit de la commande publique :


contrôle et moralisation

9.4.1 La moralisation par une démultiplication des contrôles


9.4.1.1 Un accroissement récent des contrôles
9.4.1.2 Les contrôles internes à l'acheteur public
9.4.1.3 Les contrôles externes à l'acheteur public

9.4.2 La « pénalisation » du droit des marchés publics comme panacée de la moralisation?


9.4.2.1 La prévention de la corruption au sens large
9.4.2.2 Le délit de favoritisme : art. 432-14 du Code Pénal
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Vacances de noël

10 14/01/10 Les contrats publics : les délégations de service public

10.1 Section I: Le concept de délégation de service public

10.1.1 L’économie d’une délégation de service public:


10.1.1.1 Le contexte de gestion: le choix entre régie ou externalisation
10.1.1.2 L’approche en termes d’économie financière : le « Project Finance »
10.1.1.3 L’économie juridique d’un contrat : l’affectation des risques

10.1.2 Définitions et champ d'application de la délégation de service public


10.1.2.1 L’enjeu de la définition d’un champ d’application précis
10.1.2.2 La distinction entre marché public et délégation de service public: le critère de la nature des
ressources de l'opérateur

10.1.3 Les différents modes de délégation du service public


10.1.3.1 Les concessions
10.1.3.1.1 La concession de travaux publics
10.1.3.1.2 Les concessions mixtes, de travaux et de service
10.1.3.1.3 Les concessions d’endigage

10.1.3.2 L’affermage

10.1.3.3 Deux cas particuliers de partenariat public-privé en droit français


10.1.3.3.1 La régie intéressée
10.1.3.3.2 2 Le contrat de gérance, « marché public de gestion déléguée »

10.1.4 Les « contrats exotiques » ou contrats publics à finalité économique ou contrat de


PPP
10.1.4.1 Le cas particulier du bail emphytéotique administratif
10.1.4.2 Le Contrat de Partenariat

10.2 Section II: La difficile problématique du choix du délégataire : l’intuitus


personae

10.2.1 Les modalités de sélection du partenaire privé


10.2.1.1 En droit communautaire, la "menace" de l'application du régime des marchés publics
10.2.1.1.1 Le cas simple de la concession de travaux publics
10.2.1.1.2 Délégations de service public et marchés publics
10.2.1.1.3 Les principes communautaires pour la sélection du délégataire
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10.2.2 En droit interne, un régime de publicité sans appel d'offres


10.2.2.1 Le régime particulier des concessions de travaux
10.2.2.2 Le régime applicable aux délégations de service public de droit commun

10.3 Section III : Les principes favorisant indirectement la pérennité financière de


l’opération en assurant la continuité du service

10.3.1 L’allocation des risques : l’efficacité particulière de la responsabilité contractuelle


en droit public français 18
10.3.1.1 La responsabilité contractuelle en droit administratif

10.3.1.1.1 La théorie de « l’imprévision »

10.3.1.1.1.1 Le champ d’application de l’imprévision

10.3.1.1.1.2 Le régime de l’indemnité d’imprévision

10.3.1.1.2 Le « fait du Prince »

10.3.2 La cession des contrats publics


10.3.2.1 Un régime apparemment sévère : le principe d’approbation préalable du cessionnaire
10.3.2.2 Une application plutôt libérale par la jurisprudence

10.3.2.2.1.1 Peu d’exigences quant à la forme de l’agrément

10.3.2.2.1.2 Les conditions de fond de l’obligation d’agrément : modalités de la cession et


modification des conditions essentielles de l’exécution du contrat

10.3.2.2.2 Une doctrine qui limite l’optimisation économique des contrats publics

10.3.2.2.2.1 La remise en concurrence ne s’impose que lors de modifications des « conditions


essentielles de l’exécution du contrat »

10.3.2.2.2.2 Une incitation à la concentration des partenaires des collectivité s publiques ?

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