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Nadine GUILHOU, chercheur associé à l’Institut d’égyptologie François-Daumas, Université

Montpellier 3 Paul Valéry


Ve Rencontres archéozoologiques de Lattes, UMR 5140 - CNRS, Université Paul-Valéry
Montpellier 3, 24 juin 2011.

Insectes indésirables : la protection des denrées alimentaires


dans le mobilier funéraire d’après les sarcophages du Moyen Empire
en Égypte

Résumé : Dans l’Égypte ancienne, la protection contre les insectes nécrophages concerne au premier chef le
cadavre. Objet d’une partie des pratiques de momification, elle est complétée par des rituels, comme les veillées
horaires et des écrits et représentations magiques, comme le chapitre 36 du Livre des Morts et la présence de
génies funéraires brandissant serpents et geckos. Mais elle concerne également les denrées alimentaires déposées
auprès du défunt, comme en témoignent des représentations originales dans quelques sarcophages du Moyen
Empire.

Les offrandes alimentaires constituent une part importante du mobilier funéraire. Elles sont
attestées par la documentation archéologique dès les plus hautes époques 1, puis par les listes,
dites « pancarte » ou « menu », dès la IVe dynastie 2. Pains variés, fruits, pièces de viande
pour les plus fortunés, toutes offrandes bien réelles, sont déposés dans la tombe. Hélas !
Maintes fois, des insectes ravageurs ont englouti les provisions 3. Pour pallier cela, maintes
solutions ont été envisagées : les différents produits sont inscrits sur la liste d’offrandes ; ils
sont figurés sur la table d’offrandes bien garnie devant laquelle est attablé le défunt. Dans les
mastabas, c’est la représentation de l’ensemble de la chaîne de production, dans le cadre des
travaux agricoles, qui a aussi pour fonction d’en assurer indéfiniment la réalité. Certains
sarcophages du Moyen Empire proposent une méthode supplémentaire et originale.

1
Voir par exemple pour Adaïma N. BUCHEZ, « Le mobilier céramique et les offrandes à caractère alimentaire au
sein des dépôts funéraires prédynastiques : éléments de réflexion à partir de l’exemple d’Adaïma », Archéo-Nil
8, décembre 1998, p. 85-103. en particulier p. 91-97.
2
Pour le contenu de ces listes, voir W. BARTA, Die altägyptische Opferliste von der Frühzeit bis zur griechisch-
römischen Epoche, Münchner Ägyptologische Studien 3, Berlin, Verlag Bruno Hessling, 1963.
3
Pour un exemple archéologique prédynastique, voir Th. SCHLÜTER, G. DREYER, « Subfossile Schwarzekäfer-
Reste aus dem frühzeitlichen Königsfriedhof von Abydos/ Oberägypten (Coleoptera : Tenebrionidae) »,
Entomologie Generalis 10, Stuttgart, 1985, p. 147-148. À l’autre bout de l’histoire égyptienne, une tombe de la
région de Minieh, du IIe siècle de notre ère, contenait un flacon de verre hermétiquement fermé, plein de débris
d’insectes (Dermestes Frischi Kug.), dont on s’est demandé s’ils avaient été placés là intentionnellement – en
geste rituel de protection ? Il n’est pas rare cependant, dans la vie ménagère, de voir éclore et se développer des
larves dans un bocal renfermant des aliments que l’on croyait hermétiquement clos ! Pour cet exemple, voir
M. JUNGFLEISCH, « Une étrange pratique funéraire datant de l’époque gréco-romaine en Égypte », ASAE 55,
1955, p. 57-61. Des dépôts de coléoptères sont également mentionnés à l’époque prédynastique. Voir N. Buchez,
op.cit., p. 103.
Ainsi, sur la paroi de devant du sarcophage intérieur de Mesehti 4, nomarque
d’Assiout, est représenté un choix d’objets du mobilier funéraire, dont des offrandes
alimentaires 5 (fig. 1). Parmi elles figurent des « pièces de viande préparées », selon la
description de Lacau 6. Ce sont les « morceaux de choix » (sTp.wt), comme l’indique la
légende, inscrite au-dessus. Au-dessus, « deux coffres identiques » 7, à couvercle cintré, sont
posés sur une petite desserte. Jéquier 8 suppose à juste titre que ces coffres contiennent des
aliments :
« Parmi les coffrets qui ne sont pas nommés, il en est deux, très ornementés, qui, à
juger par les objets qui les environnent, doivent être considérés comme contenant des
aliments ou quelque chose ayant rapport à la table, bien que leur décoration soit de
nature essentiellement symbolique. »
Les pièces de viande disposées au-dessous n’en constituent cependant pas forcément
le contenu. En effet, le contenu d’un coffre est régulièrement représenté au-dessus de lui 9,
plutôt qu’au-dessous.
Ce qui est ici remarquable 10, c’est le décor de ces coffres (fig. 3). Les montants sont
en effet constitués d’un avant-bras. Au centre figure un scarabée de grande taille. Entre les
montants / mains et le scarabée, de chaque côté, un signe r. L’ensemble peut se lire dr,
chasser. Dans ce contexte, le scarabée ne doit pas représenter le bousier (Scarabaeus
sacer) xpr, mais bien plutôt un insecte ravageur, qu’il s’agit d’éloigner des précieuses denrées
renfermées dans le coffre. Ces animaux appartiennent en effet à différentes familles 11 et
espèces, comme en témoignent les données archéologiques et les représentations même qu’en
ont faites les Égyptiens pour illustrer la vignette du chapitre 36 du Livre des Morts, consistant
en une « Formule pour repousser l’insecte nécrophage » 12 (fig. 4) :

4
JE 30966 = CG 28118 = S1C ; publié par P. LACAU, Sarcophages antérieurs au Nouvel Empire II, Le Caire,
1906, p. 101-128 et pl. IX, 1-2. L’ensemble des deux sarcophages de Mesehti fait actuellement l’objet d’une
thèse de doctorat de B. Arquier, grâce à qui j’ai pu voir une image présentant l’ensemble de la paroi me
permettant de préciser la description de Lacau, ce dont je le remercie.
5
Comme nombre de sarcophages d’Assiout, ce sarcophage ne comporte pas de frise d’objets, ce qui fait que des
éléments choisis du mobilier funéraire sont mêlés aux offrandes alimentaires traditionnellement représentées sur
la paroi de devant. L’organisation de cette paroi n’a pas été définie pour les sarcophages d’Assiout par
H. WILLEMS, Chests of life, en raison de sa grande variabilité (p. 57, 228-229). Pour la typologie de ces
sarcophages, voir G. LAPP, Typologie der Särge und Sarkammern von der 6. bis 13. Dynastie, SAGA 7,
Heidelberg, 1933, p. 133-134 = § 298-301, pour la paroi de devant.
6
Op.cit., p. 124, n° 7 de la liste de Lacau.
7
Ibidem, n° 6 et fig. 8, pl. XXX.
8
G. JEQUIER, Les frises d’objets des sarcophages du Moyen Empire, MIFAO XLVII, 1921, p. 249.
9
Par exemple dans les défilés de porteurs du mobilier funéraire dans les tombes de la XVIIIe dynastie.
10
Il s’agit d’un type de coffre original, ce pour quoi Jéquier en donne une reproduction ; op.cit., p. 249, fig. 657.
11
Essentiellement Desmertidae, Tenebrionidae et Cleridae. Se reporter aux études fondamentales de L. KEIMER,
« Pendeloques en forme d'insectes faisant partie des colliers égyptiens », ASAE 31, 1931, p. 145-186, en
particulier n. 2, p. 145-146, avec références sur les insectes dans les tombes égyptiennes ; et surtout « Suite »,
ASAE 33, 1933, p. 97-130 et « Notes additionnelles », ASAE 37, 1937, p. 155-156. On pourra voir des
représentations de ces différents insectes chez L. AUBER, Atlas des coléoptères de France, Belgique, Suisse,
Paris, 1976 (4e éd.), II, pl. V, 114, 116, 117 ; pl. X, 244. Également M. CHINERY, Les insectes d’Europe en
couleur, Un multiguide nature Elsevier, Paris-Bruxelles, 1976, pl. 51 à 53.
12
Le titre de la formule utilise généralement un autre verbe : xsf, « repousser ». Pour les différentes
représentations de l’insecte nécrophage, voir N. GUILHOU, « La protection du cadavre dans le Livre des Morts :
gestes rituels et devenir de l’être », Egypte Afrique et Orient 43, 2006, p. 27-34. On y a ajouté ici les reliefs de
Ouahibrê-emakhet, exemple monumental du chapitre 36, texte et vignette, datant probablement du règne de
Psammétique Ier ; voir J.H. TAYLOR (éd.), Journey through the afterlife. Ancient Egyptian Book of the Dead,
.
Les insectes incriminés varient en effet en fonction des aliments et, pour ce qui est du
cadavre, de son état de décomposition 13. En l’absence de tout complément phonétique, il est
impossible ici de proposer une lecture pour l’idéogramme du scarabée. On peut cependant
déjà penser à apSAy, terme qui le désignera dans le chapitre 36 du Livre des Morts 14.
Ce chapitre n’a pas de prototype dans les Textes des Sarcophages. Cependant, les
dieux gardiens du Livre des Deux Chemins, brandissant serpent et geckos, qui accompagnent
les TS 1076 et 1077, assument déjà la fonction de neutraliser le nécrophage. En tant que
protecteurs du chemin, ils éloignent du défunt tout danger, en particulier l’insecte vorace 15. À
la même époque, les coffres du sarcophage de Mesehti jouent un rôle similaire, écartant cette
fois les ravageurs non pas du cadavre, mais des provisions indispensables à sa survie.
Cet exemple semble unique. Cependant, la graphie très claire du verbe dr, « chasser »,
permet d’interpréter de la même façon l’un des coffrets du sarcophage de Nakht, conservé à
Hildesheim (fig. 2) 16. L’organisation de la paroi de devant y est très comparable à celle du
sarcophage de Mesehti, dont elle reprend certains motifs, agencés de façon un peu différente
(fig. 6a-b). Il y a eu permutation entre les dessertes d’offrandes alimentaires (groupe 3) et la
table d’offrandes (2). Les premières sont passées sous le groupe constitué par les aiguières sur
leur dressoir et la fausse-porte (1), tandis que la table d’offrandes occupe désormais toute la
hauteur du registre 17. Les grains d’encens et les ballots d’étoffe accompagnent toujours la
table d’offrandes, mais sont regroupés un peu différemment. Les sandales ont disparu. Dans le
dernier bloc (4), les bracelets sont au-dessous, et non plus au-dessus du devanteau.
Le nombre des offrandes alimentaires est réduit. Elles sont rassemblées sur une longue
desserte dans le sous-registre inférieur gauche. À l’extrémité gauche, notre coffre a un
couvercle en pain de sucre. Les bords latéraux sont toujours constitués par des avant-bras,

Londres, 2010, p. 194 (BM 537-540 et 546). Également le papyrus de Ânkhouahibrê, BM EA 10558/7, ibidem,
p. 192, n° 99. Sur les deux exemples, l’insecte est figuré comme un scarabée allongé (fig. 5, n° 10 et 11).
13
L’invasion du cadavre se fait par vagues successives. Voir J.B. HUCHET, L’Archéoentomologie funéraire : une
approche originale dans l’interprétation des sépultures », Bulletins et Mémoires de la Société d’Anthropologie de
Paris (N.S.) VIII (3-4), 1996, p. 289-302 ; Idem, Archaeoentomological study of the insect remains found within
the mummy of Namenkhet Amun (San Lazzaro Armenian Monastery, Venice/Italy), Advances in Egyptology 1,
2010, p. 59-80.
14
Le Wörterbuch ne signale pas d’attestation antérieure au Nouvel Empire pour les divers exemples du mot : Wb
I, 181, 18 pour le « scarabée » apSAj avec référence au chapitre 36 ; Wb I, 181, 1 pour le « criquet » apSAj.t, même
référence ; Wb I, 182, 1 pour l’insecte apSAw.t dans son utilisation médicale. Les deux premières graphies
reflètent diverses apparences, le dénominateur commun étant la menace pour le défunt ; la troisième,
catégorielle, classe l’insecte comme animal, avec le déterminatif de la peau (F 27). Pour ces termes, voir en
dernier lieu D. MEEKS, « De quelques "insectes" égyptiens. Entre lexique et paléographie », Perspectives on
Ancient Egypte, Studies in honor of Edward Brovarski, CASAE 40, p. 289-290.
15
Voir N. GUILHOU, « Lézards et geckos dans l’Égypte ancienne », IVe Rencontres archéozoologiques de Lattes,
UMR 5140 - CNRS, Université Paul-Valéry Montpellier 3, 26 juin 2009, en ligne.
16
Sarcophage de Nakht, Hildesheim 5999 (S1Hil), paroi de devant, d’après R. HANNIG, « Sarg des Nacht », in
A. EGGEBRECHT (éd.), Suche nach Unterblichkeit, Mainz, 1990, p. 58-61 ; également R. SCHULZ, in B. SCHMITZ,
« Ägypten in Hildesheim. Aus des Geschichte der Pelizaeus-Museums », in Pelizaeus-Museum Hildesheim. Die
Ägyptische Sammlung, Zaberns Bildbände zur Archäologie 12, Mainz-am-Rhein, 1993, p. 41-43, fig. 32-33.
17
Dans sa typologie, G. Lapp distingue fausse-porte (champ 1) et dressoir des aiguières nécessaires à la
purification (champ 2). Ensuite vient la table d’offrandes (champ 3). Le reste des offrandes (offrandes
alimentaires, parure, vêture, et les éléments du mobilier funéraire, non pris en compte ici, qui occupent la suite
de la paroi de devant), constitue le champ 4. J’ai distingué ici offrandes alimentaires et accessoires de parure. Les
références sont données en note 5.
encadrant le scarabée placé au centre, mais les deux r ont disparu, ce qui empêche toute
lecture du groupe, n’était la comparaison avec le coffret de Mesehti. D’autant plus qu’ici, on
ignore le contenu du coffre, même si la présence des vases et les légendes qui les
accompagnent indiquent qu’il s’agit bien de denrées alimentaires.
Il est peu probable que de tels coffrets aient réellement existé. Mieux vaut les
considérer comme une écriture explicitant leur fonction : chasser les insectes et protéger leur
contenu. Ils s’ajoutent ainsi à l’arsenal de protection magique de l’offrande virtuelle. Ce qui
nous offre l’occasion de noter, une fois de plus, l’identité du réel et du virtuel dans l’Égypte
ancienne : non seulement on met à l’abri l’offrande alimentaire réelle dans des récipients et
coffrets. Mais on protège aussi l’offrande virtuelle par l’écrit et la parole, afin d’en assurer la
pérennité.
Table des figures

Figure 1 : Disposition du mobilier funéraire sur la partie nord de la paroi de devant de S1C.
Dessin N. Guilhou d’après photo De Buck conservée au Musée de Leyde.
Figure 2 : Disposition du mobilier funéraire sur la partie nord de la paroi de devant de S1Hil.
Dessin N. Guilhou d’après photo du catalogue Pelizaeus-Museum Hildesheim. Die Ägyptische
Sammlung, Zaberns Bildbände zur Archäologie 12, Mainz-am-Rhein, 1993, p. 42-43, fig. 32-
33.
Figure 3 : Détail d’un coffre du sarcophage de Mesehti (S1C), d’après LACAU, Sarcophages,
pl. XXX, fig. 8.
Figure 4 : Vignette du chapitre 36 du Livre des Morts du papyrus Louvre I 3248 et du
papyrus Ryerson (voir ci-dessous, n° 2 et 7).
Figure 5 : Insectes représentés sur la vignette du chapitre 36 du Livre des Morts. Dessins
N. Guilhou d’après les sources indiquées ci-dessous.
-1 : Papyrus de Nakhtamon, Berlin 3002, E. NAVILLE, Aegyptische Todtenbuch der XVIII bis XX Dyn.,
I, pl. 19 et II, p. 102, Ba ; XIXe-XXe dyn.
- 2 : Papyrus Louvre I 3248 (5), reproduit par P. BARGUET, Le Livre des Morts des anciens
Égyptiens, LAPO 1, Paris, 1967, p. 78.
- 3 : Papyrus de Iouef-ânkh, Turin 1791, R. LEPSIUS, Das Totenbuch der Ägypter nach dem
hieroglyphischen Papyrus in Turin, Leipzig, 1842 ; époque saïte.
- 4 : Papyrus de Ouah-ib-Rê, Bibliothèque Nationale 112/117, Description de l'Egypte II, pl. 68.
- 5 : Sarcophage du Musée du Caire 41004, A. MORET, CG, Sarcophages de l'époque bubastide à
l'époque saïte, Le Caire, 1912-1913, p. 86 et pl. 12.
- 6 : Sarcophage Caire 41009, MORET, Sarcophages, pl. 17.
- 7 : Papyrus Ryerson OIM 9787, T.G. ALLEN, OIM, pl. 20 et p. 120 : époque perse ou ptolémaïque.
- 8 : Papyrus Milbank OIM 10486, T.G. ALLEN, The Egyptian Book of the Dead Documents in the
Oriental Institute Museum at the University of Chicago, Chicago, 1960, pl. 66 ; époque ptolémaïque.
- 9 : Papyrus de Iâhtesnakht, P.Colon.Aeg. 10207, U. VERHOEVEN, Der saitische Totenbuch der
Iahtesnacht, Bonn, 1993 (en ligne sur le site de l’Université de Heidelberg : www.ub.uni-
heidelberg.de/helios/fachinfo/fachref/aegypt/online.htm), image n° 8 ; saïte.
- 10 : BM EA 10058 (Ânkhouahibrê), d’après J.H. TAYLOR, Journey through the afterlife. Ancient
Egyptian Book of the Dead, p. 192, n° 99 ; fin XXVIe dynastie.
- 11: BM EA 537 (Ouahibrê-emakhet), J.H. TAYLOR, ibidem., p. 194; époque de Psammétique Ier.
- 12 : Papyrus de Paqerer, Leyde T 4, NAVILLE, Todtenbuch I, pl. 19 et II, p. 102, Le ; XIXe-XXe dyn.
- 13 : Papyrus de Nakht, BM 10471.16, R.O. FAULKNER, The ancient Egyptian Book of the Dead, New
York, 1972, p. 58 ; XIXe dyn.
Figure 6 : Organisation du mobilier funéraire sur la partie nord de la paroi de devant de S1C
(6a) et de S1Hil (6b).
Figures

Figure 1 : Offrandes sur la paroi de devant (partie nord) du sarcophage intérieur de Mesehti (S1C)

Figure 2 : Offrandes sur la paroi de devant (partie nord) du sarcophage de Nakht (S1Hil)
Figure 3 : Détail d’un coffret Figure 4 : Vignette du chapitre 36 du Livre des Morts
p. Louvre I 3248 p. Ryerson

1- Berlin 3002 (Nakhtamon) 2- Louvre I 3248 3- Turin 1791 (Iouef-ânkh)

4- BN 112/117 (Ouahibrê) 5- Caire CG 41004 6- Caire CG 41009

7- P.Ryerson OIM 9787 8- P.Milbank OIM 10486 9- P.Colon.Aeg. 10207 (Iâhtesnakht)

10- BM EA 10058 (Ânkhouahibrê) 11- BM EA 537 (Ouahibrê-emakhet)

12- Leyde T4 (Paqerer) 13- BM 10471 (Nakht)

Figure 5 : Insectes représentés sur la vignette du chapitre 36 du Livre des Morts


3
1 Offrandes alimentaires
Fausse-porte
+ (= champ 4, indifférencié, de Lapp)
aiguières
3 Bijoux 3
(= champs 1 et 2 de
Lapp)

2 4
Table Lit
d’offrandes +
devanteau
(= champ 3 de Lapp)
(= champ 4, indifférencié, de Lapp)

Figure 6a : organisation de la partie nord de la paroi de devant de S1C

1
Fausse-porte 2 4
+ Table [Lit]
aiguières d’offrandes +
devanteau
+
bijoux
3
Offrandes
alimentaires

Figure 6b : organisation de la partie nord de la paroi de devant de S1Hil

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