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atelier d’image dans le milieu

esapv 2009-2010
1 bachelier
re
Julie RESPONDEK
1re bachelière

Mon travail est une interrogation sur mon image, mon reflet,
le fait d’être confrontée à moi-même,
le fait d’être une femme, un “genre”, un modèle (?),
le fait de vouloir représenter, de faire valoir mon monde intérieur par rapport à mon apparence.

Quand je me regarde, je ne me vois pas, mon conscient n’enregistre pas mon image.
Pourtant je m’aime et j’en suis fière, je me battrai pour être telle que je suis mais je n’ai aucun souvenir
de mon reflet, de ce que le monde voit de moi.

J’ai construit ces différents projets en m’utilisant, en me mettant en scène avec ironie ou en me glorifiant.

J’ai été chercher en moi ce que j’avais toujours renié, pour pouvoir enfin espérer m’accepter.
J’ai été chercher en moi ces imperfections (qui ne sont pas nécessairement des défauts) que j’essaie de
cacher pour paraître forte et assumée alors que je ne suis qu’une petite boule de fil barbelé, bien trop
stressée et peureuse.

Cette année en IDM a été comme une séance chez mon psy.-

Couronne en fil de fer barbelé 40 x 30 cm Couronne renversée en carton 40 x 30 cm


Installation : bâches imprimées 180 x 100 cm + miroir + couronnes + photographie
Coline HONORÉ
1re bachelière

Oppression, Pression, Compression, viennent du ciel et de la vaste entité appelée Les Autres, ou
d’autres vastes choses comme le Monde et la Société.

En cas d’averse on rentre chez soi. En cas de guerre on se barricade.

1: Aller vers les autres est important mais pour s’en sortir il faut aussi surtout retenir beaucoup en soi.

2 : Être cruel et subir la cruauté comme une habitude, en offrant le dos au lieu de la deuxième joue.

3 : Mener deux combats, en intérieur et contre tout, c’est très fatiguant, or il ne faut pas s’endormir.

J’ai essayé de faire poète mais l’art ne facilite pas la tâche, l’art ne m’a pas rendu heureuse, il était juste
là, et le contraire aurait été inenvisageable. L’art contre le nihilisme à armes égales.

On nous enfonce beaucoup d’aiguilles dans les pieds, mais il faut vite les arracher et courir, sauter,
danser et marcher dessus avant qu’elles ne sortent du sol.

Mobile : punaises, tiges métalliques, mots + moteur 150 x 150 cm


Installation : 500 cm x 200 cm, Papier, feutre, bic

Impression : 588 cm x 60 cm, détail page suivante


Installation : détail de peintures, dessins, mobiliers, objets, photos découpées, tape... dimensions variables
Charlotte LORENT
1re bachelière

Tout commença à la mort de Chipie, un stupide chat de gouttière.

Une petite fille peut être trop fragile se retrouva anéantie par la mort de celui-ci.

Sa maman ne comprenait pas comment autant de larmes pouvaient tomber pour ce si laid chat !
Le grand père de la gamine lui offrit une poupée en guise de consolation mais même cette si jolie
poupée ne parvenait pas à la réconforter.

Les années passèrent et la gamine est devenue grande. Elle prit beaucoup de maturité suite à une
adolescence peu tranquille. Elle croisa tout au long de sa route quelques personnes fascinantes mais
également beaucoup de cons.

Un dimanche midi, alors qu’elle était coincée dans ce que l’on peut appeler un repas de famille, la jeune
fille reconnut la voiture de son meilleur ami au journal parlé. La voiture se trouvait sur un bord
d’autoroute et était complètement sinistrée. Les étoiles commencèrent alors à tomber du ciel et les
grosses bêtises à s’enchaîner. Mais il faut lui pardonner ! L’adolescente n’était pas bien méchante mais
juste un peu paumée.

Un beau jour, la jeune fille rencontra l’amour et ses belles promesses, mais son amour la quitta pour une
bien plus jolie princesse. Alors qu’une autre fille de son âge aurait connu son premier chagrin d’amour
et déversé toutes les larmes de son corps, l’adolescente ne trouva rien de mieux à faire que de rêver au
bonheur à coup d’acide dans le nez. Sans le savoir, elle s’était engagée dans un tour sans fin de
montagne russe.

La jeune fille s’intéressant à l’art se retrouva à l’ESAPV et après de longues discussions avec ses chefs
d’atelier, elle décida une fois pour toutes d’assumer son passé.
Installation: détail sol 650 x 700 cm
sculpture réalisée à partir des bandes autocollantes décollées du sol, 60 cm de hauteur
Extrait vidéo: Quand Alechinsky rencontre Allen Jones
Alicia RANDAZZO
1re bachelière

Alicia avait envie de travailler le textile.


Encore fallait-il qu’elle trouve le fil… conducteur.
De fil en aiguille, du labyrinthe à la poche,
l’appel à la surprise ne tenait qu’à un fil.

Alicia voulait provoquer la curiosité des gens


et les surprendre par leur sens du toucher
avec des poches surprises.

Et puis pourquoi ne pas les intriguer avec un mobile un peu surprenant.


Quelques pelotes, des aiguilles, des bouchons de liège et le tour était joué.

Et par la suite, leur faire entrevoir un labyrinthe invisible,


comme les fils d’une toile d’araignée,
n’apparaissant qu’à la lumière du jour.
Ainsi qu’un labyrinthe ne résistant pas à la domination de la gent féminine,
écrasant tout sur son passage.
Installation: poches de tissu à fouiller + fausses poches de papier

Sculpture : grande poche de tissu + Albert Baronian


Mobile 200 cm de largeur
2 bachelier
e
Installation sculpture sonore interactive: bandes magnétiques, enceinte sonore, mini jack, hauteur 400 cm - dim. variables
Arnaud EECKHOUT
2e bachelier

titre : Quels sont ces choses?

pièces : mobile sonore, symphonie quotidienne, table de ping-pong, piano visuel


Ping Song: table de ping pong sonore interactive : collaboration entre Arnaud Eeckhout et Sébastien Herickx
Sébastien HERICKX
2e bachelier

En deuxième

Des dessins géométriques avec plans, volumes, perspective.

La perception de profondeurs, volumes tronqués pleins, creux.

Des découpages en déformation, construction.


Des ballons et un livre, une balle, un poing.

Une série sur l’extension, la pression, l’assemblage.

Du papier plié en masse, en équilibre.

Un tapis à l’horizontale et rassemblement.


Des photos et mes pieds, ma tête, mes jambes.

Jeu sur un cadrage, avec objets courants, dans une chambre.

Photographie 42 x29,7 cm

sculptures ballons gonflables


Photographie A3 au mur + papiers A4 pliés
Papiers découpés 70 x 40 cm
Sculpture: tuyaux de plomberie, morceaux de verre, coussin , bois, 120 cm x 60 cm
Virginie HUYGHEBAERT
2e bachelière

Impulsion - incident bénéfique - évasion - distance face au réel - spontanéité - conscience de mes
actes - tension - espace - état brut - absence ou pas de choix - temps intermédiaires - patience -
instinctif - bordélique -…………………. - …………………. - (à remplir par vous ?)

Dominer ce que je fais ?


Concentrer mon énergie ?
Comment, en mon absence, le spectateur va-t-il comprendre ce que je veux dire ?
Destruction du travail par le discours ?

Que se passe-t-il à ce moment même ?


La naissance comme référence.
Comment penser le temps ?
On ne peut mettre le doigt dessus.
Quelles formes lui donner ?
L’expérience de l’instant est rare.
Le moment où je parle est déjà derrière moi.

Hasard - imprévu - coïncidence - incertitude - …………………………………..


« On n’est jamais aussi bien servi que par le hasard » (Balzac).
Vidéo : escargots - peintres + résultat de leur travail

Sculpture : étagère en bois + objets variables

Sculpture suspendue, hauteur 300 cm


3 bachelier
e
Enfant, je me jetais sur les sucreries pour me sentir moins vide, tout en sachant que ça fonctionnerait pas.
aujourd’hui, j’utilise les gâteaux comme des liens.
J’échange ma peur du vide contre les vôtres; des muffins légers comme des bulles d’air, contre les peurs qui vous encombrent.
Mona MARCHETTI
3e bachelière

Installation : muffins disposés sur une table + mini-enceintes


placées dans des ramequins en papier, reliées à des amplis,
et diffusant les peurs enregistrées lors de la performance.
Vide(o) (2min28) texte écrit et chiffonné inlassablement sur des feuilles de papier iridiscent prenant de plus en plus d’ampleur,
jusqu’à provoquer l’étouffement.
1 master
er
Aline FAGNART
1er master

Un trouble envahit mon esprit. Une fumée, un épais brouillard rend mes pensées confuses.
Je suis perdue.
Cela m’inquiète.
Je me ronge les ongles. De nervosité, mais aussi par impatience du temps qui passe...
Vouloir sortir rapidement d’un moment ennuyeux, ou gênant...
Accélérer le temps.
Et en même temps, peur du peu de temps disponible.
Ralentir le temps.
Comment faire tout ce qu’on a à faire? Ce qu’on voudrait faire?
Une vie ne suffit pas...
Nous croyons nos existences importantes.
Cependant, nous nous infligeons des obligations qui deviennent nos priorités!
L’envie de vivre laisse place à l’envie de temps.
Du temps pour pouvoir faire tout ce qu’on nous donne à faire.
A quoi ça sert de naître si c’est pour vivre la moitié?
A quoi ça sert de vivre si c’est pour mourir un jour?
Naître tue!
La vie est une partie de jeu.
L’art est un sourire.
L’artiste est un pitre.
Et moi je suis une blague.

Installation pieds + chaussettes

Sculpture doigt : polystyrène peint 60 x 50 cm


Installation dans une pièce occultée avec vidéo projection
Flaviano MUCCEDA
1er master

La fête est finie...


Les adultes jouent comme des enfants,
Les déchets s’amassent, prennent forme...
Les oreilles sifflent, le sol colle...
La présence des participants se fait encore sentir, on se rappelle, on rit...

Mais au bout du compte, la fête est-elle vraiment finie...?

Installation confettis, ballons dessinés, platine dj stéréo en feutre interactive


2 master
e
Guillaume D’AGARO
2e master

Installation vidéo et peintures

1 : Triangulation
L’individu dans l’espace

Installation vidéo sur la place de l’homme dans son espace.


Structure triangulaire en rotation sur laquelle sont projetées 3 images elles-mêmes en mouvement.

Ce double mouvement a pour but de poser un regard sur le positionnement de l’individu dans ses attitu-
des personnelles ou plus conditionnées.. Les images projetées opposent l’idée de déplacement
du groupe et de l’individu au coeur d’un espace improvisé ou destiné à l’attente.
Ces instants et lieux prévus pour telle ou telle action révèlent chez l’homme des sentiments, une histoire,
une identité.

2 : Textiles
La trame comme fondement

La série « Textiles » examine les fragments d’un tissu industriel et les amènent, par une interprétation
géométrique, vers une approche architecturale.
La trame évolue par l’intervention de la peinture créant une confusion de genres et de plans entre le
manuel et le mécanique.

Tableaux 100 cm x 100cm


«...gaspiller de l’énergie» / « occuper l’espace »
Maxime TOUSSAINT
2e master

En sachant que les cours de la bourse gèrent le monde, que nous


vivons dans un monde de surproduction
et de sur-consommation (dans l’art aussi) : comment pirater ce
système, ne pas rentrer dedans ?
“Restons au lit jusqu’au soir ça fera baisser le cours du dollar”
dit Monsieur Roux.
Ne rien faire, ne rien produire ?
Impossible, mais par contre je peux produire moins et prendre le
temps de vivre.
Ne pas devenir un fonctionnaire de l’art, ne pas envisager l’art
comme un travail.
Alors j’assemble, je m’amuse, j’espère vous amuser, je rebondis sur
des phrases, des idées, des gestes quotidiens, des actions que je
transforme en sculptures, en assemblages, en vidéos…

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