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ROCK AND ROLL Fin des années 1950

Le rock’n’roll est un enfant du blues. Il convient ici de distinguer rythm and blues et rock’n’roll, même si la tâche apparaît délicate
de la fin des années 1940 à 1954. L’étiquette rock n’ roll a , dans un premier temps, été utilisée pour distinguer le rythm and blues
des noirs de celui des blancs et ce pour des raisons liées à la politique raciale de l’époque. Il était inadmissible que des artistes
blancs se retrouvent dans les mêmes bacs chez les disquaires que les noirs. Le style particulier du rythm and blues blanc a donc
servi de prétexte pour une nouvelle étiquette « rock n roll ».

Le terme rockabilly désigne la première forme historiquement identifiable de rock’n’roll, il s’agit essentiellement d’un croisement de
rythm and blues et de musique country. Elvis Presley et Bill Haley sont deux précurseurs chez les chanteurs blancs. Elvis Presley
et enregistre ce qui est probablement l’un des tout premiers morceaux de rockabilly avec That’s Alright Mama et collectionnera très
rapidement les succès

The Beatles Les années 1960 La renaissance (britannique) du rock

La réplique ne vient pas d’Amérique mais du Royaume-Uni.. la formation rock elle sera reprise aussi bien en Europe que de l’autre
côté de l’Atlantique : la contrebasse disparaît au profit de la basse électrique, deux guitaristes se répartissent les tâches de la
rythmique pour le premier et des chorus pour le second. Les groupes britanniques s’éloignent ainsi rapidement de leur modèle
américain pour créer une musique originale que les francophones appellent le « rock anglais ».
Le renouveau du rock arrive de Liverpool avec les Beatles : en 1965

Le rock devient contestataire Les années 1970


Si le rock’n’roll a toujours été le fait d’une jeunesse en rupture avec le carcan moral de ses aînés, les textes jusqu’aux années 1960
étaient souvent confinés aux thèmes festifs. C’est avec Bob Dylan que les paroles prennent une tournure à la fois plus poétique et
plus engagée. Sous l’influence de la poésie classique et du mouvement folk, celui-ci devient le chroniqueur de sa génération,
abordant sans complaisance des thèmes politiques ou sociaux. Son impact sera décisif des deux côtés de l’Atlantique. En 1968, il
est le chef de file de la musique contestataire. Les Beatles disent de lui : « il montre le chemin ». Ce qui fut vrai pendant cinq ans
puis Dylan symbolisera seulement la chanson américaine traditionnelle.
Aux États-Unis, les protest songs expriment le désaveu de la guerre froide ou de l’engagement au Vietnam (Jimi Hendrix) tandis
qu’au Royaume-Uni, John Lennon livre des textes plus personnels et recherchés. Le rock devient à la fois un mouvement artistique
qui gagne une caution intellectuelle et un courant de contre-culture. Cette tendance connaît son apogée avec les grands festivals
de la fin des années 1960 : à Monterrey (1968), à Woodstock(1969), à Altamont ou sur l’Île de Wight (1969-1970) des centaines de
milliers de jeunes se rassemblent pour partager à la fois une passion pour la musique mais également une vision du monde. La
pop music réclame de nouvelles légendes, des martyrs.

New wave et electro Les années 1980


À l’approche des années 1980, une partie du mouvement punk évolue vers une production en studio plus aboutie, une attention
plus affirmée à la qualité des textes et une volonté générale plus orientée vers l’expérimentation. Servie par de nouvelles
technologies, le rock devient un phénomène universel et quotidien. Le terme New wave apparaît alors pour désigner cette musique
plus sombre et sophistiquée qui met à profit les progrès des synthétiseurs en contrepoint de guitares éthérées et de basses
pesantes.
Cette révolution commence très précisément en 1982. The Human League se classe n° 1 aux Etats-Unis avec Don’t you want me.
C’est le début de la techno-pop made in England qui envahit les Etats-Unis avec Boy George (Culture Club), Annie Lennox
(Eurythmics), Duran Duran ou encore Wham (avec George Michaël). Le mouvement s’amplifie avec un nouveau medium : le
vidéo-clip. Ainsi plusieurs artistes vont monopoliser les hit-parades des 45 tours comme Michael Jackson avec Thriller, Madonna
avec Like a Virgin, Prince avec Music From Purple Rain et Bruce Springsteen avec Born in the USA. C’est aussi l’époque du
sampling, des remix...

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