1. Nom et prénom de l’étudiante : Sánchez García Carolina
2. Période concernée : 1955-1980 3. Genre concerné : Poésie : Amen. Récitatif. La Tourne. 4. Référence bibliographique complète Armstrong, Joshua. Fine lines: Jacques Réda’s Poetics of Place. University of Wisconsin- Madison. « Un Réalisme lyrique » Étude sur : James Sacré, Jacques Réda, Jean.Michel Maulpoix, Lionel Ray. Biographie, Jacques Réda http://www.bacfrancais.com/bac_francais/biographie-jacques-reda.php 5. Présentation générale Jacques Réda, écrivain et critique musical français, est né à Lunéville en 1929. Cet écrivain de la post-guerre expose encire l’héritage surréaliste, comme l’influence de l’écriture automatique, et il incarne un sujet de la modernité, le flâneur dont Baudelaire avait parlé en avant; pour cette raison l’œuvre de Reda a certaine emphase dans les promenades, et l’espace. « Réda recherche avant tout la présence dans les endroits les plus ordinaires et les plus monotones ». Il a écrit Amen (1968), Les ruines de Paris (1977), L’herbe des talus (1984); et pour la critique musicale « L’improviste » (1980) et « Jouer le jeu » (1985) dans la revue Jazz Magazine, et « Autobiographie du jazz », où : « Il trace des parallèles entre le musicien qui s’exprime à travers son instrument et le poète à travers ses mots », il n’était pas le premier qui essayait concilier le monde de la musique et le monde littéraire; Marcel Proust l’avait exprimé dans un préface du l’œuvre À la recherche du temps perdu, il ressemble beaucoup et complète l’ouvre de Julio Cortázar sur le jazz, qui avait aussi un grand amour pour la musique jazz.
6. Raisons ayant fondé le choix de ce texte
Dans ce compte rendu, on présente trois poèmes de Jacques Reda, qui corresponde aux titres de ses recueils : « Amen », « Récitatif » et « La Tourne », principalement pour les difficultés que j’ai eues pour trouver les poèmes, bien que son ouvre m’attirait l’attention et j’avait l’envie de le lire. En plus, quand j’ai lu qu’il était critique de jazz j’ai pensé instantanément à Julio Cortázar et le conte « El perseguidor », j’ai trouvé que les écrivains qui ont un lien avec l’art musical exprime la musique dans ses lettres, et dans ce cas, la poésie, et presque impossible de séparer la musique, et le rythme des lettres. En plus, j’ai trouvé des références aux techniques surréalistes. 7. Éléments pour comprendre l’inscription du texte dans sa période historique Dans la poésie de Réda, il y a un essai d’exprimer la réalité dès une perspective lyrique, comment est la réalité, comment elle se sent. On rappelle au flâneur, le phénomène qui est né dans la ville, la personne qui va vaguer et découvrir la terrible solitude entre la masse de gens autour elle, et les chemins pas conventionnels qu’elle peut trouver dans ses promenades. Le poème « Amen » montre l’independence et l’angoisse de l’homme, « Nul seigneur je n’appelle, et pas de clarté dans la nuit./ La mort qu’il me faudra contre moi, dans ma chair » (Réda, Amen), ici, on voit comme la présence ou l’oration à Dieu ce n’est pas une option; l’humain devait se faire responsable de tout ce qu’il avait fait, le grands guerres n’étaient pas commandées par Dieu, sinon pour les humains qui se tuaient entre eux pour la terre dans laquelle ils habitaient déjà, l’envie de pouvoir c’est le pire pour l’humain, pouvoir sur quoi? « est la pierre d’humilité que je dois toucher en esprit/ le degré le plus bas, la séparation intolérable », c’est une réflexion sur le lieu de l’humain mortel devant le monde, l’existence, l’acceptation de la vie à travers de la mort, Réda finit ce poème en disant « Cendre embrassant la cendre et vent calme qui la bénit. », dans l’acceptation de notre mortalité se trouve la paix. 8. Axes probables d’analyse Le poème « Récitatif » fait une reconnexion entre l’esprit, ou la conscience, et la matière, la nature, qui sont ressemblées à travers du temps, pour attirer l’attention à la vie, création de cette connexion, les êtres vivants, et le cycle de la mort et la vie. 9. Textes critiques permettant d’approfondir la lecture Armstrong, Joshua. Fine lines: Jacques Réda’s Poetics of Place. University of Wisconsin- Madison. « Un Réalisme lyrique » Étude sur : James Sacré, Jacques Réda, Jean.Michel Maulpoix, Lionel Ray. 10. Remarques personnelles Réda montre en sa prose poétique « La Tourne » la présence d’un moi qui parle sur l’œuvre, ses motifs, sa structure, comme une métatextualité, par exemple: « c’est un simple fragment qu’il faudrait combiner à d’autres » en quelques lignes après « Alerté puis déçu, puis appelé de nouveau comme si un cataclysme n’avait laissé debout que les ruines d’une volonté pareille à une phrase encore claire dans le mot-à-mot, mais qui faute d’un verbe rétroactif maîtrisant l’émiettement du sens demeure intraduisible, ainsi que je comprenais… », et à la fin il y a une mention à l’écriture automatique et les conclusion des réflexions du voix poétique, qui a des caractéristiques remarquées d’un narrateur.