Documente Academic
Documente Profesional
Documente Cultură
r i e z l e s p laisirs
Va n o t r e
a v e c m e d e sa u c e s
gam ales moules.
spéci
Mytilimer – 11, rue de l’huîtrier – 35 260 Cancale – Tél : +33 (0)2 99 80 83 83 – www.lacancalaise.fr
Dossier ❘ INNOVATION
INNOVATION
Les grandes causes inspirent
Des produits sains, bons pour le consommateur mais aussi pour la planète et les producteurs :
ce sont ces grands enjeux qui stimulent aujourd’hui l’innovation alimentaire, et c’est tant mieux.
Ils ont bien inspiré les candidats aux Coups de cœur de l’innovation de PDM.
L ’appel à candidatures en produits de la mer ou d’eau douce innovants a été lancé le 27 jan-
vier, et le délai de remise prolongé d’un mois, au 22 mai, dans le contexte du confinement.
Avec une cinquantaine de produits présentés, et d’autres repérés par la rédaction, 25 produits
ture de ses bâtons Pesk Biz. La Cancalaise,
pour sa rillette de moule, témoigne du défi
technique : « Cette matière première est
ont été sélectionnés sur la base de leurs descriptifs et argumentaires. Les critères : innovation, complexe à travailler car sa couleur évo-
apport sur le marché, durabilité... Le choix a été rude face à la qualité des candidatures. Des lue rapidement ainsi que sa texture. » De
produits ont été écartés à regret pour privilégier la diversité des préparations et des sociétés même pour Cultimer avec « plus d’un an
finalistes. Car certaines ont innové à tout va et présenté plusieurs produits, aussi tentants les de R&D » pour sa moule en refresh, projet
uns que les autres. annoncé il y a un an (lire PDM 195).
S.L.R.
S.L.R.
Le clean label à toutes les sauces.
Un constat sans appel : les entreprises ont
Environnement : des garanties et pas de
gaspi. Sur l’impact environnemental, le bio + de 2 000 Bien répartir la valeur. Acheter local,
pour limiter son empreinte écologique et
adopté le clean label en supprimant les apporte des garanties mais ne couvre pas nouveaux produits soutenir les producteurs, a encore plus le
additifs, conservateurs et colorants des la pêche. Chez nos finalistes, l’écolabel est par an en alimentaire, vent en poupe qu’avant le confinement.
ingrédients. On n’en trouve que chez un quasiment toujours de mise à l’import. Escal secteur avec le plus fort Cet enjeu se reflète aux Coups de cœur :
de nos 25 finalistes ! Même les crevettes a ainsi soigné son sourcing pour mettre taux d’innovation. maquereau de Boulogne, roussette de Port-
grises cuites d’Oppan Marée se passent de 100 % de fruits de mer certifiés ASC ou MSC en-Bessin, coquilles et moules de bou-
métabisulfite. Le côté sain passe aussi par dans son cocktail Frutti di Mare. Quasiment chot de France, algue bretonne, thon ger-
le bio, adopté par une poignée de fina-
listes. Et le Nutriscore, peu mis en avant
un prérequis à l’import, on retrouve peu
l’écolabel sur les produits locaux, qui offrent
50 % mon de Bretagne et Vendée, crevettes de
Noirmoutier, huîtres Marennes - Oléron,
des produits qui seront
dans la sélection. Ni en général. « Il n’est déjà un bon encadrement des pratiques. encornet du Pays basque… Des origines
vendus en GMS dans
apposé que sur 30 % des produits alimen- AMP Saumon de France développe un cinq ans n’existent pas valorisées par les labels Pavillon France,
taires, constate une enquête du Crédoc modèle vertueux, l’aquaponie : production encore aujourd’hui. Origine France Garantie, et Produit en
publiée en mai. Et seuls 41 % des Français urbaine, vente en circuit court, eau en circuit Bretagne, ou via une forte identité terroir.
le connaissent. » On trouve ces consomma- fermé et utilisation des chutes en rillettes. Gendreau affiche ainsi l’origine Saint-Gilles-
teurs surtout parmi les catégories les plus
éduquées et les classes sociales les plus
La cuisine de coproduits ou d’espèces peu
valorisées se développe. « Les besoins en 26 %
Croix-de-Vie et Fabrication française pour ses
anchois. La filière intégrée, de la production
élevées alors que l’objectif était de gui- protéines augmentent, or l’offre est limi- La notoriété jusqu’à la vente finale, est aussi un moteur
der les plus défavorisés. Nos finalistes ne tée », souligne La Cancalaise, qui valorise du Nutriscore chez pour garder la valeur ajoutée. Celtigel gère
se privent pas de vanter les apports en pro- les moules sous-taille. Olivier Briand, restau- les non-diplômés et de la pêche aux recettes. La Compagnie des
téines et oméga-3 des produits de la mer, rateur à Caen, fume des filets de roussettes, titulaires d’un CAP pêches Saint-Malo avec ses Pesk Biz regroupe
entre autres bienfaits. Bord à Bord vante poisson mal aimé mais abondant et abor-
ou brevet des collèges, ses activités pêche, transformation et distri-
contre 51 % chez
ses chips soufflées : « Source de protéines, dable. Les arêtes servent aux bouillons ou bution. La coopérative Oppan Marée, avec
ceux ayant au moins
riche en fibres, faible teneur en matière sauces et les parures aux assaisonnements. une licence. ses crevettes grises cuites, valorise le travail
grasse, produit sans gluten. » Iodyssée De même, la poissonnerie Chez Vincent a des marins avec « de nouveaux débouchés
avec son tartinable aux légumes, épices et créé La Fabrique pour utiliser ses déchets et une meilleure rémunération de la filière ».
algues, veut « remplacer les apéritifs trop de filetage, par exemple en soupe. Avec ses Idem avec les groupements de mytiliculteurs
gras ». Et La Belle-Îloise entend « montrer cubes à poêler, Delpierre valorise la queue maîtrisant les produits finis. Et en aquacul-
qu’il est possible de manger sain tout en se de cabillaud « habituellement transformée ture avec AMP Saumon de France en circuit
faisant plaisir » avec son maquereau cuisiné en miettes de poissons ». Et le leader mon- court, l’éleveur croate Cromaris qui investit
sans huile, riche en fer, calcium, oméga-3, dial du saumon Mowi valorise tous les mor- le rayon LS, ou à une autre échelle, Mowi
phosphore et magnésium. ceaux hors découpe. apposant sa marque.
❱ Salmoniculture
La Pisciculture
de l’Eure
❱ Aquaculture marine
GMG
Saumon de France
❱ Aquaponie
Les Jardins
du Saumonier
lab
Le Jean-Charles PATIN
2O2O
jean-charles.patin@amp-aquaculture.com
06 58 63 60 19
de
l’innovation www.saumonfrance.fr
Dossier ❘ INNOVATION
Dégustation par le jury : moment de vérité Toastimer sous la marque Phare d’Eck-
mühl : maquereau houmous de pois chiche
Le 19 juin, un jury composé de professionnels de la filière a goûté et noté les 25 produits finalistes selon et cumin bio. Et chez Pêcheur de saveurs
une grille de notation et a élu un vainqueur par catégorie. avec un houmous au saumon et à l’aneth.
Des produits tous sortis ce printemps. Aussi
Les membres du jury sont :
hors-sélection, les pestos aux algues de Bord
> Franck Bardet, responsable filière du réseau Biocoop
à Bord et la terrine de raie Algu’agrumes du
> Marie Bercegeay, fondatrice et directrice générale de la société Marie Luxe
restaurateur Olivier Briand.
> Florian Dhaisne, co-fondateur de ProcSea
> Séverine Durand, responsable région marée à Casino France
Prendre le consommateur par la
> Laurent Froget, chef de marché enseignement, référent produits de la mer - relais développement
main. La praticité n’est plus un axe majeur
durable, Sysco France
d’innovation, mais reste mise en avant : cre-
> Angeline Pignon, directrice adjointe du pôle de compétitivité Aquimer
vettes géantes « décortiquées, idéales à gril-
La grille de notation : ler » chez Costa, découpes de filets, pavés
Degré d’innovation du produit dans sa catégorie et bénéfice consommateur : sur 20. panés et cubes à poêler « faciles et rapides
Réflexion marketing (prix, packaging, circuit de distribution…) : sur 10. à préparer ». « Le poisson reste une matière
Originalité dans la démarche interfilière : sur 10. première qui fait peur à de nombreux
Réflexion autour de la valorisation de la matière première : sur 10. consommateurs, argumente Delpierre. Ils
Réflexion autour de la responsabilité environnementale et sociétale : sur 10. disent vouloir consommer plus de poisson et
Réflexion sur la culinarité et les usages culinaires : sur 10. pourtant il est difficile pour eux de passer à
Dégustation : sur 30. l’acte d’achat car ils craignent de rater la cuis-
son, de ne pas savoir comment le cuisiner,
Les produits ont été préparés par la cheffe Émilie Robin au Centre culinaire contemporain de Rennes, l’accommoder… » Enfin, certains innovent
partenaire de l’événement. Avec de son côté, quelques déconvenues sur les temps de préparation indiqués, dans le marketing. Par exemple en racon-
parfois inadaptés. Le jury a aussi eu son lot de surprises : des produits parfois favoris sur le papier ont tant une belle histoire autour du produit,
déçu en dégustation. D’autres ont suscité un enthousiasme inattendu. Ou encore des questionnements comme Groix & Nature avec sa tholognaise
sur le positionnement. Un moment passionnant, grâce à la diversité des regards apportés par le jury. « très ancrée dans l’histoire du patrimoine
culinaire de l’île ». Ou en l’accompagnant de
recettes, comme La Belle-Îloise qui commu-
nique sur ses filets de maquereaux comme
ingrédient en quiche, budda bowl, maki…
La gourmandise n’est pas un péché.
Côté goût, le Label rouge, gage de qua-
première fois en poche sous vide à basse
température pour garder le goût du pois- 25 L’emballage affiche aussi le positionnement,
avec un retour des bocaux en verre Weck « à
lité, apposé sur les saint-jacques de Celtigel, son avant mélange à chaud avec les autres produits finalistes, cinq l’allure authentique et raffinée », souligne la
reste une valeur sûre. Et beaucoup d’inno- ingrédients, mise en pot et stérilisation. pour chacune des cinq Fabrique Chez Vincent, orientant sa chipi-
vations visent à stimuler la consommation catégories : frais marée ronnade sur le haut de gamme.
par des recettes nouvelles, comme Findus Apéros, tapas, repas : les codes LS, épicerie, traiteur Face à ces enjeux multiples, beaucoup des
avec ses panures pour « mettre les sens en explosent. Les rayons épicerie et traiteur de la mer, surgelé et produits de la sélection des Coups de cœur
concept.
éveil ». Ou Pêcheur de saveurs qui renou- de la mer inspirent. Et surtout les moments cochent plusieurs cases avec des produits
velle le genre de la coquille cuisinée avec des de consommation en vogue : apéritif, repas gourmands, d’origine contrôlée, pratiques,
recettes originales concoctées avec un chef. sur le pouce. « Fini l’entrée-plat-dessert, le bons pour le producteur, le consommateur
La nouveauté passe aussi par une présenta- repas n’est plus un cérémonial codifié, c’est et l’environnement. n
tion inédite, comme l’encornet, la moule ou un moment de partage et de liberté », sou-
le foie de morue en tartinables. « L’objectif ligne La Sablaise. « L’apéritif est une formi-
était de répondre aux non-consommateurs dable bulle de croissance sur tous les rayons,
de foie de morue n’appréciant ni l’aspect
ni le trop-plein d’huile exsudée », explique
constate Meralliance, sortant une gamme
style tapas « qui couvre tous les usages et
Remise des prix :
Chancerelle. La présentation surprend aussi moments liés à l’apéritif, facile à manger, rendez-vous le 17 septembre
pour les huîtres cuisinées surgelées du trai- accessible aux petits comme aux grands ».
teur Laurent Angot. Certains jouent sur
des ingrédients insolites : amer bière, cho-
rizo, blé noir… Plusieurs finalistes pointent
Les chips aux algues « en-cas, apéritif, sup-
port de toast… » sont sur ce créneau. Sur
ce marché de l’apéritif, de nombreux tarti-
L es jurés ont délibéré, à votre tour ! Toute la filière est
invitée à voter pour les Coups de cœur du public, sur
un sondage mis en ligne à la parution de ce numéro en
aussi les procédés pour conserver les qua- nables ont été proposés aux Coups de cœur, août. Les résultats des Coups de cœur, sélection du jury
lités organoleptiques : emballage du pois- les six retenus n’en illustrant qu’une partie. comme vote du public, seront dévoilés au Labo de l’inno-
son en pré-rigor, cuisson de la crevette aussi- Ainsi, si La Sablaise avec son association vation de PDM à Rennes le 17 septembre. Un événement
tôt débarquée, traitement HPP, poisson cuit légumineuses-poissons évoque « une pre- où il sera question de l’accélération du numérique et des
au court-bouillon avant d’être emboîté... mière sur le marché des tartinables hou- garanties à apporter au consommateur, organisé en par-
Ainsi, à la Conserverie Saint-Christophe, mous », on retrouve la même idée chez tenariat avec le pôle Aquimer, le Centre culinaire contem-
les rillettes de maquereau sont cuites une Chancerelle avec, hors-sélection, la gamme porain et FranceAgriMer.
“
DR
piliers. D’abord, des études qualitatives Or les acheteurs soucieux de la santé et de
avec des entretiens approfondis auprès la durabilité ne sont pas fans des grosses
d’utilisateurs des produits – consomma- Il faut mettre l’utilisateur marques centrées sur le mass market. On
teurs, chefs ou industriels – pour cerner au centre de la démarche. voit ainsi dans les grandes entreprises
les attentes, besoins et contraintes. Puis émaner de petites marques pour les pro-
la phase de créativité, avec des séances duits plus sains et responsables. Comme
3 000
d’un à deux jours avec les acteurs du pro- Danone qui, à côté de millions de tonnes
centrée sur l’expérience utilisateurs, en pri-
jet et des regards extérieurs : designers, à de Danette et Velouté, a lancé la société
vilégiant les regards croisés.
experts, utilisateurs… Elles font émerger Les deux vaches pour le bio. Des start-
des concepts à concrétiser via le 3e axe, le
prototypage en cuisine, avec nos chefs. On
15 000 € Quels sont les leviers d’innovation
actuels ?
up adossées à de grands groupes déve-
loppent ces offres, avec une communica-
Le coût des étapes
peut vite tester les recettes dans le restau- Il y a une prise de conscience très forte tion souvent plus débridée et plus centrée
étude, atelier créativité,
rant de notre bâtiment, où 200 à 250 per- prototypage et autour du mieux-manger. Le consomma- sur les attentes actuelles.
sonnes mangent le midi, avec un retour cartographie culinaire, teur veut reprendre la main sur son alimen-
Comment stimuler l’innovation en
spontané par questionnaire. On explore selon leur ampleur. tation et pousse l’industrie à se remettre
interne ?
aussi les fonctionnalités culinaires d’un en cause, à produire de manière plus res-
16
C’est un état d’esprit. Certains se nour-
produit via des cartographies d’usage, des pectueuse pour la santé et l’environne-
à rissent chez nous de tendances culinaires,
tests de performances comparées. Ça per- ment. Il est très friand des outils Nutriscore,
semaines. La durée expériences, dégustations. Une séance de
met d’affiner la recette et l’argumentaire. Yuka, Siga, ScanUp, ces derniers intégrant
des dossiers selon créativité peut insuffler cette démarche, en
Enfin, 4e pilier, la communication : recettes, la transformation. Ça se concrétise par le
la complexité et croisant les expertises du marketing, de
photographies ou vidéos culinaires, rédac- clean label : on allège la liste d’ingrédients,
les itérations. la R&D, du process, des achats. Les com-
tionnel… On peut bien sûr piocher dans ce on substitue additifs, colorants, conserva-
merciaux entendent souvent sur le terrain
processus. L’offre est toujours sur-mesure, teurs par des produits naturels. Et le low-
des doléances, sans les capitaliser. Susciter
process : on transforme moins. La culina-
des moments de co-construction hors des
rité va de pair avec le clean label : l’industrie
murs est très riche. Les plus belles innova-
Une petite équipe passionnée redécouvre les trucs de cuisiniers. Une purée
de fruits ou de légumes amène de l’onc-
tions émergent en croisant ces visions. Lors
de ces rencontres, nous amenons des gens,
L
tuosité et du goût et évite l’ajout d’arômes
e Centre culinaire réunit sept personnes (6,4 ETP) : Marie-Loïc parfois en opposition, à écouter et à ne pas
ou d’amidon. Le citron ou le thym sert de
Garin, au Centre depuis quinze ans, après dix passés dans l’ana- s’autocensurer, à abandonner le « non »,
conservateur. Des signaux montrent aussi
lyse sensorielle et la R&D ; une cheffe de projet innovation-études ; « trop cher », « ça ne passera pas sur ma
l’attention croissante sur la RSE, comme la
une designeuse ; l’administration ; et trois chefs aux profils diffé- ligne ». Et si c’était possible ? Quand les
démarche C’est qui le patron.
rents, centrés sur la gastronomie, la restauration collective ou l’in- équipes s’ouvrent, on voit naître des idées
dustrie. « Petite équipe, grandes envies », résume Marie-Loïc Garin. Y a-t-il des tendances spécifiques aux communes à faire vivre ensemble, ce qui
Ils accompagnent autant de petits porteurs de projet que de grands produits de la mer ? crée une émulation.
groupes, avec un partage à 50/50 entre le food service et la grande Il y a pas mal d’initiatives sur l’utilisa-
Propos recueillis par Solène LE ROUX
consommation. tion de coproduits : des moules sous cali-
Sélection
Chipironnade
La Fabrique chez Vincent
Ce tartinable d’encornets aux airs de
tapenade est composé à 61 % d’encornets,
dits chipirons sur la région basco-landaise. Catégorie
Ce produit est Traiteur de la mer
vendu dans
les quatre
poissonneries Chez
Vincent et peut Filets de roussette fumés
être conditionné
sous atmosphère Olivier Briand
modifiée en barquette Le restaurant Ty
de 1 à 3 kg. Coquille Saint-Jacques MSC Gibus à Caen
au blé noir propose des conserves
◗ CE QUI A SÉDUIT LA RÉDACTION
Pêcheur de saveurs stérilisées de filets de
La forte identité terroir. Le bocal roussette fumés, avec
en verre à corolle Wek. La liste Cet acteur historique a soumis trois recettes de gros sel, huile de colza
d’ingrédients prometteuse : encornet, coquilles Saint-Jacques, d’approvisionnement France et aromates (ail, thym,
poivron grillé, échalotes, tomates ou MSC, aux Coups de cœur. Cette recette imaginée romarin). À consommer
confites, olives noires, ail et persil. par le chef Henri Pellen (île Tudy) est à base de noix froid en salade, sur toasts
MSC et incorpore des grains de blé noir. comme condiment à l’apéritif…
Ou avec des pommes de terre chaudes.
◗ CE QUI A SÉDUIT LA RÉDACTION
L’originalité des ingrédients, le blé noir ◗ CE QUI A SÉDUIT LA RÉDACTION
renforçant la touche bretonne. La valorisation d’un produit
Et l’inventivité du service injustement mal-aimé, à la ressource
R&D avec plusieurs recettes disponible, issu de la pêche côtière
originales. de Port-en-Bessin et traité le jour de
la pêche. Le beau conditionnement.
POÊLÉE DE
CALAMARS
À L’AIL
Gourmet et spécialiste
du monde de la pêche depuis plus de 20 ans, SOUPE DE PAVÉ DE
ma passion est de vous faire partager le meilleur POISSONS SAUMON
de la mer à votre table. Votre satisfaction est
mon engagement.
Site :: www.leshuitresdandre.fr
Site www.leshuitresdandre.fr Site : www.la-mer-chez-vous.fr
Elafood SAS 28 rue du Poitou 94150 RUNGIS Tél. : +33(0)1 45 60 65 36 teamfrance@elafood.com www.elafood.fr
Découvrez le nouveau film d’animation PAVILLON FRANCE
sur notre chaîne YouTube, une ode à la filière pêche française CAMPAGNE DIGITALE
engagée pour la qualité et la fraîcheur, Retrouvez depuis le 24 juin les formats
animés de la campagne sur Le Monde,
dans le respect des océans. 20 minutes, Marmiton, etc.
Déjà plus
de 1 100
et points
de vente
inscrits !
CARTE INTERACTIVE
Inscrivez-vous sur la carte interactive de la pêche française,
un outil pour guider le consommateur en temps réel
Rendez vous dès maintenant sur vers les points de vente qui sont fiers de proposer
pavillonfrance.fr/formulaire-carte-interactive. des produits de la pêche française.
Dossier ❘ INNOVATION
Sélection
Catégorie
Surgelés
Retrouvez-nous à Boulogne-sur-Mer
et à Saint-Pair-sur-Mer IDENTIFICATION DES
PARTENAIRES ET
PRESTATAIRES
Hauts-de-France
Normandie VEILLE
SPÉCIFIQUE
MONTAGE ET DÉPÔT DE
DOSSIERS DE
VOS BESOINS
FINANCEMENT
VOTRE
PROJET
SUIVI TECHNIQUE ET
ADMINISTRATIF DU PROJET
Sélection
Catégorie
Concept