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SÉQUENCE 7

Séance 1
c
Séquence 7 c

A - Observer
1- a) Les éléments centraux sont la lune et devant elle le soleil où est inscrit le mot liberté.
b) La forme de cette tapisserie est rectangulaire. Les couleurs où dominent le jaune et un peu de
rouge font penser aux juifs (étoiles jaunes) et à leur sort (rouge sang). Le blanc, derrière le
mot liberté, évoque la pureté. Le bleu sombre évoque le mal.
2- a) Chaque angle gauche de la tapisserie est rempli par une strophe de poème.
b) Ce texte est un extrait du poème Liberté d’Eluard qui a été étudié dans le cadre de la poésie
engagée (séquence 3).
c) C’est le mot « nom » qui est mis en valeur.

B - Interpréter
1- Les deux astres qui passent l’un devant l’autre font penser à une éclipse.
2- Les motifs tissés à l’intérieur du soleil représentent, à gauche, une main qui tient une torche
au-dessus de laquelle semble pousser un arbre fleuri. À droite, il y a en bas, sur fond blanc, la
fin du poème d’Eluard, Liberté. Sur l’autre astre, on peut distinguer des têtes de mort.
3- Le coq peut symboliser la France puisque c’est son emblème.
4- Non, cette tapisserie a aussi une vocation idéologique, elle prône la résistance et dénonce le sort
fait aux juifs.
5- Cette tapisserie d’Aubusson a été réalisée en 1943, donc sous l’Occupation allemande. C’est
une manière pour les artisans de montrer qu’ils étaient solidaires de la Résistance. Ainsi, elle a
d’ailleurs dû être tissée clandestinement.

C - Conclure
La peinture et la tapisserie n’ont pas seulement des fonctions décoratives. Sous chaque œuvre, se
cache un sens. Une œuvre peut dénoncer l’horreur comme Guernica de P. Picasso, elle peut rire de
son époque et la dénoncer en même temps comme Death by Hamburger de David LaChapelle ou
encore tenter de choquer l’opinion. C’est le cas d’Honoré Daumier avec son Wagon de troisième classe
qui veut dénoncer la pauvreté et les écarts entre les classes sociales en France, à la fin du XIXe siècle.
Les buts de la tapisserie et de la peinture sont donc multiples et ne servent pas qu’à illuminer un
pan de mur dans une pièce.

Séance 2
A - Comprendre
1- Strophe 1 :
a) Le vol noir et les corbeaux font allusion aux nazis qui ont envahi la France.
b) Cette expression montre que les cris ne sont pas entendus par l’oppresseur et qu’ils sont
étouffés.
c) Le pays est présenté comme un prisonnier « qu’on enchaîne » (v. 2).
d) C’est le terme « alarme » qui lance la révolte au vers 3.

© Cned, Français 3e — 77
c
c


Séquence 7

2- Strophe 2 :
a) Ce sont les fusils, la mitraille, les grenades, les couteaux et la dynamite qui sont mis en
œuvre pour la révolte.
b) C’est l’impératif qui est utilisé ici pour exhorter à la révolte car les ordres fusent.
3- Strophe 3 :
a) Les termes qui montrent une situation désespérée sont : « les barreaux de prison » (v. 9)
« la faim qui nous pousse, la misère. » (v. 10), « nous on tue, nous on crève... » (v. 12).
b) Les français sont sous l’occupation allemande et n’ont donc que le choix de subir ou de
devenir résistant.
4- Strophe 4 :
Les résistants peuvent être tués.

B - Bilan
Ce chant est une exhortation à la résistance contre l’oppression nazie. C’est un hymne pour les
résistants et un espoir pour les français. Le rythme est lent, solennel. La jaquette montre bien la
visée de ce chant, dénoncer l’oppression puisque la France (représentée par maisons et clocher),
enchainée, semble libérée par la statue de la liberté. Les corbeaux dans le ciel au loin s’enfuient.

TEXTE B :

A - Observer pour comprendre


1- Le chanteur s’adresse à Anne Frank dans cette chanson.
2- Les termes qui montrent l’état d’esprit du chanteur sont : « J’arrive pas à y croire, c’est comme
un cauchemar…/Sale cafard » (l. 4 et 5).
3- L. Chédid voit revenir le nazisme. Les termes appartenant à ce champ lexical sont : « la nazi-
nostalgie/Croix gammée, bottes à clous, et toute la panoplie/, des adeptes, un parti. » (l. 11,
12, 13).
4- Cette phrase est construite avec la répétition en anaphore de l’expression « les mêmes » termes
et elle a aussi, dans chacune de ses parties la même construction grammaticale. Le chanteur
insiste donc sur la similitude entre hier et aujourd’hui. Les termes se succèdent du plus neutre
(« discours ») au plus violent (« aboiement »).
5 Le chanteur aurait voulu pouvoir assurer à Anne Frank que le cauchemar qu’elle a vécu ne
reviendra jamais mais il ne le peut pas.
6- La nazi-nostalgie se caractérise par un uniforme porté par les membres « Croix gammée, bottes
à clous, et toute la panoplie » (l. 12), et par une organisation de type politique :
« des adeptes, un parti » (l. 13).

B - Bilan
Ce texte dresse le constat que le nazisme n’est pas mort, même de nos jours après l’horreur de la
seconde guerre mondiale. Il cherche donc à éveiller une prise de conscience en rappelant que des
enfants particulièrement vulnérables et innocents comme Anne Frank ont péri injustement, à cause
des nazis. Cette chanson peut donc faire réfléchir l’auditoire et permettre de faire reculer cette
idéologie.

78 — © Cned, Français 3e
A - Comprendre
Séance 3

1- a) Cette lettre est adressée à monsieur Félix Faure, Président de la République.


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Séquence 7 c

b) Cette lettre a été envoyée indirectement à son destinataire puisqu’elle est parue dans le
journal l’Aurore. É. Zola a donc utilisé le journalisme pour que ses revendications soient
connues de tous et aident à réparer une grave injustice.

2- Le titre même de la lettre, « LETTRE À M. FÉLIX FAURE Président de la République », est repris
dans l’article sous la forme d’un sous-titre « LETTRE AU PRESIDENT DE LA RÉPUBLIQUE »,
placé sous le titre « J’Accuse… ! ».

3- Émile Zola accuse le lieutenant-colonel du Paty de Clam, les généraux Mercier, Billot, Boisdeffre,
Gonse, de Peilleux, le commandant Ravary et les experts en écriture : Belhomme, Varinard et
Couard. Il accuse aussi les bureaux de la guerre d’avoir manipulé la presse et accuse les conseils
de guerre de fraude de droit.

4- C’est la répétition des termes « J’accuse », suivis de « le/les » qui met en valeur cette accusation,
la tournure est directe et précise, de par l’emploi d’un déterminant défini.

5- La figure utilisée alors est l’anaphore.

6- Le champ lexical du mensonge est composé des termes : « mensongers, frauduleux » (l. 21),
« égarer l’opinion et couvrir leur faute » (l. 24).

7- a) Le but d’Émile Zola en écrivant cette lettre est de défendre la vérité et la justice.

b) C’est la métaphore qui est utilisée dans les expressions soulignées.

Texte B : Le déserteur, Boris Vian

1- Le verbe « déserter » veut dire : « laisser ou rendre un lieu désert » et dans le domaine militaire,
« quitter son poste, ne pas s’y rendre ».

2- Boris Vian donne comme raison au fait qu’il a l’intention de déserter dans la première strophe,
le fait qu’il ne veut pas tuer des gens.

3- C’est au vers 16 que la décision du poète apparaît.

4- a) Boris Vian évoque sa famille : « mon père », « mes frères », « mes enfants »,
« Ma mère », « ma femme ».

b) Il donne comme autres raisons à sa décision les souffrances infligées à sa famille et celles
qu’il a déjà encourues lui-même quand il a été prisonnier.

5- a) Le verbe du premier vers est conjugué au futur.

b) Les verbes des vers 37 à 40 sont conjugués à l’impératif.

c) Le poète a l’intention de partir sur les routes et de mendier pour survivre, tout en
convainquant les gens, tout au long de sa route de ne pas aller faire la guerre.

6- Il semble que le fait qu’il s’agisse d’une chanson rende le texte plus fort car il se retient plus
facilement et surtout, l’harmonie qui l’accompagne illustre bien les propos du chanteur. De
même, le rythme lent, mélancolique illustre bien le propos, les fortissimo montrent aussi la
colère et rompent la mélancolie du rythme. Par conséquent, la chanson produit plus d’effets.

© Cned, Français 3e — 79
c
c Séquence 7

A - Qu’est-ce qu’un verbe pronominal ?


1- a) Vrai
Séance 4

b) Faux

2- a) Pronom COD
b) Pronom COS

B - Appliquer
a- Les oiseaux se sont enfuis. Verbe essentiellement pronominal.

b- Nous nous sommes parlé. Verbe pronominal de sens réciproque.

c- Ils se sont rencontrés à la plage. Verbe pronominal de sens réciproque.

d- Elle s’est inscrite à l’université. Verbe pronominal de sens réfléchi.

C - Accorder le participe passé d’un verbe pronominal


1-

COD COI COS


Elles se sont rencontrées à la plage. X
Les tempêtes se sont succédé tout l’été. X
Ils se sont réunis pour organiser une fête. X
Je me suis fixé des objectifs ambitieux. X
Ils se sont frotté les mains. X

b) Le participe passé ne s’accorde que lorsque le pronom réfléchi est COD et pas quand il
est COI ou COS.

D - Appliquer
1- a) Ma sœur s’est aperçue de son erreur.
b) Il s’est tu.
c) Elle s’est lavé les mains.
d) Elles se sont évanouies.
e) Il s’est préparé au concours.
2- a) Ils se sont rappelé sa venue.
b) Ils se sont rappelés le soir même.

80 — © Cned, Français 3e
A - Comprendre
Séance 5

1- Les deux personnages se trouvent dans la rue, en direction de Paris après s’être enfuis alors
qu’on les emmenait à l’Exposition coloniale.
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Séquence 7 c

2- a) Les éléments de la ville qui surprennent ces personnages sont : la circulation des
automobiles (« un véritable fleuve automobile » l. 17), le bruit, le métal des ponts, les
lumières artificielles (« publicités électriques » l. 16), les « passages cloutés » et les « feux
tricolores » (l. 20).

b) Badimoin est apeuré (« sa peur » l. 6) car il est loin des éléments qu’il connaît et maîtrise, en
Nouvelle-Calédonie dont il est originaire.

3- Le chauffeur de la voiture se comporte de manière agressive (« s’est mis à hurler » l. 6-7) après
avoir bien regardé Badimoin (« a détaillé » l. 6).

4- a) Le chauffeur de la voiture emploie le terme « chimpanzé » pour s’adresser à Badimoin.

b) Il le tutoie car il n’a pas de respect pour lui.

c) Le tutoiement révèle que le chauffeur considère les personnes de couleur noire comme des
moins que rien.

5- a) Pour les personnages la ville est une « jungle de pierre, de métal, de danger » (l. 15). On peut
penser qu’ils la voient comme un enchevêtrement d’éléments indistincts et inquiétants,
comme un occidental verrait la brousse.

b) Les deux expressions qui décrivent la ville et son activité sont « jungle de pierre, de métal,
de danger » (l. 15) et « Un véritable fleuve automobile » (l. 17).

c) La figure de style utilisée est la métaphore.

6- a) C’est une proposition circonstancielle, complément circonstanciel de conséquence.

b) Cette proposition montre que les voitures démarrent précisément quand les deux hommes
décident d’avancer, pour les empêcher de traverser.

7- Les deux personnages sont considérés « comme des naufragés sur un rivage hostile » (l. 23)
puis, ils deviennent presque invisibles à la fin du texte car le groupe qu’ils suivent est trop saoul
pour se rendre compte de leur présence.

8- Le narrateur veut inspirer de la compassion envers ces personnages ou au moins de la


compréhension. Grâce aux descriptions, le lecteur peut comprendre ce qu’ils vivent et
ressentent.

© Cned, Français 3e — 81
c
c Séquence 7

B - Écrire

Dans un café, deux amis discutent :


— Il faut que je te raconte quelque chose, c’était étrange !
— Ah ?
— Oui, hier, je me trouvais à proximité de l’Exposition
J’ai raconté la scène à un ami.

coloniale car je voulais voir les curiosités ramenées des


colonies. Or, en sortant, qu’est-ce que je vois ? Devine !
Deux bougres plus noirs que l’ébène manquant se faire
renverser par un taxi !
Ils avaient l’air complètement perdus dans notre ville.
Ils ne savaient pas traverser et sont restés des heures à
regarder les gens passer au feu vert. Je me suis demandé J’ai montré les émotions du
s’ils allaient s’en sortir. J’étais un peu embêté pour eux personnage pour ces deux
mais la curiosité était la plus forte : allaient-ils se sortir personnes.
de là tout seuls ? Quelles stratégies allaient-ils mettre en
place pour traverser ?
Hé bien, figure-toi qu’ils n’ont traversé que plus d’une
heure après, en suivant un groupe de jeunes gens éméchés.
Ils ont alors continué leur route vers Paris, je n’avais pas
le temps de les suivre mais je t’avouerai que je ne suis pas
très fier de ne pas les avoir aidé, ils avaient l’air vraiment
désemparés. Je me demande ce qu’il est advenu d’eux…
DOCUMENTS B et C
1- Les slogans pour le savon sont mis en valeur car ils sont soit noirs sur fond jaune ou jaunes ou
rouges sur fond noir.
2- La main de l’homme devient blanche quand il se lave.
3- Cela laisse sous-entendre qu’une personne noire est sale et que si elle se lave elle deviendra
propre.
4- L’homme a l’air joyeux.
5- Cet homme est associé au métier de mécanicien.
6- a) Les panneaux jaunes à la surface plus ou moins craquelée représentent la peau, avant et
après l’utilisation d’un produit Dove. Le message de cette publicité est le suivant : la peau est
plus belle («beautiful») après avoir utilisé un produit Dove qu’avant.
b) C
 es femmes sont placées de celle à la peau la plus foncée à celle à la peau la plus claire. On
a pu interpréter cela comme l’évocation que le produit Dove blanchissait la peau, comme
dans l’affiche précédente. Cependant, ces deux affiches ne sont pas comparables., puisqu’il
s’agit d’une maladresse de communication dans le choix d’une image soumise à plusieurs
interprétations, et non de racisme comme dans l’affiche de 1930.

C - Écriture
La discrimination est le fait de mettre de côté et de traiter différemment certaines personnes par
rapport à d’autres. C’est une attitude qui consiste à écarter quelqu’un de quelque chose qu’il
voudrait obtenir (un emploi, par exemple) pour des raisons liées à ce qu’il est (sa couleur de peau,
sa manière de se vêtir, son handicap…). La discrimination c’est donc une injustice qui consiste à
dire que certains hommes sont parfaits et les autres, à rejeter.
À mon avis, le moyen le plus efficace pour interpeller la population quant aux discriminations est
l’affiche car elle peut être très choquante et faire réagir en une fraction de seconde. Son affichage
public permet aussi une large diffusion. L’affiche présentant un homme noir mettant devant son
visage la photographie d’un homme blanc montre bien que devoir se cacher pour être accepté n’est
pas un état de fait acceptable.
82 — © Cned, Français 3e
A - Les verbes impersonnels
1- - Il a eu ce qu’il méritait.
Séance 6

- Il est tombé des mètres de neige cette année.


c
Séquence 7 c

- Il est tombé dans la cours de récréation.


- Quelle catastrophe il s’est produit !
- Il lui a plu tout de suite.
- Il a plu la semaine dernière.
2- Les participes passés des verbes à la tournure impersonnelle ne s’accordent pas.

B - Le participe passé suivi d’un infinitif


1- Les mots en gras remplacent « la pièce » dans la première phrase, « les fleurs » dans la seconde
et « les voitures » dans la dernière.
2- Le « que » de la première phrase est COD du verbe « répéter », « les » de la deuxième phrase est
sujet du verbe « se faner », et « qu’ » de la dernière phrase est sujet du verbe passer.
3- Il n’y a que le premier pronom, le seul qui soit COD, qui ne commande pas l’accord du
participe.

C - Application
1- a) Les avions passent si haut que nous ne les avons pas entendus venir.
b) Mon amie était en cours : la CPE l’a envoyé chercher.
c) Quels efforts il a fallu faire pour arriver au sommet !
2- a) Quelle bêtise as-tu encore faite ?
b) La CPE a fait appeler mon amie.
c) Ces gâteaux ont été faits par un grand pâtissier.
d) On nous a fait attendre longtemps.

Séance 7
1- L’orateur veut obtenir l’abolition de la peine de mort.
2- L’expression qui montre que l’orateur s’implique personnellement est : « À cet âge de ma vie ».
3- a) Le mot faillible veut dire : « Qui peut faillir, qui est susceptible de tomber dans l’erreur ou de
commettre une faute. »
b) La justice, représentée par le jugement humain ne peut être tout le temps juste, elle peut se
laisser impressionner, distraire et donc commettre des injustices.
4- a) L’orateur caractérise certains jugements comme étant une loterie et dépendant donc du
hasard uniquement.
b) La force de cette expression vient du fait qu’elle sous-entend que tout le monde peut être la
victime de cette « loterie », c’est-à dire d’une erreur judiciaire.

© Cned, Français 3e — 83
c
c


Séquence 7

5- a) L’orateur s’adresse aux députés de l’Assemblée Nationale française.

b) L’orateur interpelle directement son auditoire pour qu’il se sente concerné, pour qu’il
prenne conscience de son pouvoir décisionnaire et de sa responsabilité.

c) Ceci peut aider certains députés à se sentir concernés en tant qu’individus et non plus
seulement comme députés, l’effet de proximité permet alors de mieux faire réfléchir.

6- a) Le texte et l’image parlent tous deux de la volonté d’abolir la peine de mort, en France
pour le texte, dans le monde pour l’affiche.

b) Ce slogan est fort car on retourne le terme « condamnée » contre celle qui condamne à
l’irréparable, par conséquent, on ne lui laisse aucune chance.

7- Écriture :

NON À LA PEINE DE MORT ! J’ai mis un titre à l’article.


Hier, à l’Assemblée Nationale, monsieur Badinter a tenu un long
discours devant un parterre fourni de députés. J’ai fait un chapeau introducteur.
Monsieur Badinter a prononcé un discours très convaincant
en faveur de l’abolition de la peine de mort à l’Assemblée
Nationale hier.
Une certaine conception de l’homme et de la justice J’ai détaillé mon compte rendu
Monsieur Badinter a tout d’abord fait le constat que la en sous parties thématiques
question de l’abolition était liée à une conception de l’homme qui reprennent bien tous les
et de la justice. Il a employé le terme frappant de « justice qui arguments de monsieur Badinter.
tue » pour évoquer la conception de ses adversaires. Il a fait
part de sa conviction qu’aucun homme n’était assez mauvais
pour mériter être tué et que tout un chacun pouvait changer.
La justice humaine est faillible
Il a ensuite évoqué le fait que la justice humaine, parce qu’elle
est telle, est faillible. Il a aussi expliqué que la peine de mort
était bien souvent injuste car un crime identique était pour
l’un puni de mort et pour l’autre non. Monsieur Badinter a
conclu en disant que la peine de mort était en fait une anti
justice et que l’abolir rendrait ses lettres de noblesse à la
justice de notre pays.
Monsieur Badinter a conclu là son discours en appelant J’ai conclu l’article.
chaque député à écouter sa conscience propre, laissant
l’auditoire réfléchir.

84 — © Cned, Français 3e
Je connais
Séance 8

Je suis capable de / d’
c
Séquence 7 c

 Une tapisserie qui reprend le poème intitulé  Citer l’artiste auteur de cette tapisserie :
Liberté. Jean Lurçat.
 Une chanson qui est un hymne à la  Donner le titre de cette chanson : Le Chant
résistance. des partisans.
 Expliquer dans quel contexte elle a été
écrite :
Elle a été écrite en 1943 pendant la seconde
guerre mondiale pour encourager les gens à
résister à l’occupation allemande.
 La lettre d’Émile Zola au président de la  Dire comment on appelle ce type de lettre :
République. Elle s’appelle J’Accuse. Elle Il s’agit d’une lettre ouverte.
défend le capitaine Dreyfus.
 Les verbes pronominaux  Indiquer le sens de ces verbes pronominaux
:
Je sais qu’un verbe pronominal peut être
Il s’est promené : pronominal réfléchi.
de sens réfléchi ou de sens réciproque.
Ils se regardent : pronominal réciproque.
 Les accords particuliers du participe passé  Accorder correctement les participes passés
des verbes entre parenthèses :
- Le participe passé s’accorde avec le sujet si
le verbe est essentiellement pronominal. - Elle s’est enfuie de chez ses parents qui la
battaient.
- Le participe passé des verbes impersonnels
est toujours invariable. - Les toits se sont couverts de neige.
- L’accord du participe passé des verbes - Elles se sont embrassées avant de partir.
pronominaux de sens réciproque et de sens
- Les ouvriers se sont succédé pour terminer
réfléchi se fait si le pronom réfléchi est
la maison à temps.
COD.
- Les enfants étaient fatigués. Leurs mères
- Le participe passé suivi d’un verbe à
ont pensé les garder à la maison.
l’infinitif s’accorde avec le COD du verbe
conjugué si celui-ci est placé avant le verbe
et s’il est sujet du verbe à l’infinitif.

© Cned, Français 3e — 85

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