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Note n°13
Juillet 2015
Plusieurs études de recherche et de développement tels que les projets Girod et Lincons,
ont tout de même permis de mettre en place des formulations de dimensionnement et
d’explorer les performances mécaniques des collages structuraux ainsi réalisés.
Cependant ces projets n’ont pas donné de socles communs et de référentiels de données
de dimensionnement, de mise en œuvre et de suivi utiles aux professionnels.
Dans ce contexte, RBR - qui regroupe les principales entreprises spécialisées dans la
réparation et le renforcement des ouvrages et structures bois par des techniques de
résines - membre de la FIBC, a pris l’initiative de rédiger des règles professionnelles pour
la réalisation de ces travaux.
Ce guide a pour objet de fixer les bonnes pratiques à appliquer dans le cas de travaux de
réparation ou renforcement de structures et ouvrages bois. Il doit être un support pour
tous les acteurs concernés (maitres d'ouvrages, entreprises, bureaux de contrôle...) pour
effectuer les bons choix et obtenir des réalisations de bonne qualité et durables.
N’hésitez pas à utiliser ce document qui synthétise les règles de l’art existantes en la
matière et à faire appel à des entreprises spécialisées qualifiées.
Le Président de RBR
RÉPARATION ET RENFORCEMENT DES OUVRAGES BOIS PAR
DES TECHNIQUES DE RÉSINES
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SOMMAIRE
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8. ENTRETIEN......................................................................................... 36
9. TERMINOLOGIE ................................................................................... 37
9.1. Réparation ............................................................................................ 37
9.2. Renforcement ....................................................................................... 37
9.3. Température de transition vitreuse .................................................... 37
9.4. Greffon .................................................................................................. 37
9.5. Goujons, tiges et broches .................................................................... 37
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1. DOMAINE D'APPLICATION
2.1.1. Diagnostic
2.1.2. Prescription
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2.1.4. Préparation
Un bureau d'études peut éventuellement intervenir dans les travaux. Dans ce cas,
il se chargera des phases de diagnostic, prescription, et justification technique.
L'entreprise ayant alors en charge les phases de préparation, mise en œuvre et
assurance qualité.
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Le maitre d'ouvrage est également responsable lorsque les travaux sont terminés,
de l'entretien des ouvrages réparés ou renforcés, suivant les indications de
l'entreprise.
Toutefois, ces éléments peuvent être inclus sur instruction du maitre d’ouvrage
(chiffrage complémentaire à prévoir).
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3. DIAGNOSTIC DE L'EXISTANT
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Les caractéristiques mécaniques des bois doivent être définies par référence
aux classes des normes NF EN 338 pour les bois massifs, NF EN 14080 pour
les bois lamellés et pour les bois massifs reconstitués. Ces caractéristiques
peuvent être obtenues par plusieurs méthodes :
- sur la base d’un classement visuel suivant NF B 52-001 pour les bois
massifs français, avec éventuel reclassement suivant singularités positives ou
négatives
- classement par essai suivant NF EN 408 et NF EN 384 (nécessite des
prélèvements)
Dans le cas d’une impossibilité de caractériser les bois par ces deux méthodes,
ou dans le cas d’une étude préalable, on peut prendre comme classes par
défaut :
- C16 pour les bois massifs et bois massifs reconstitués résineux
- D18 pour les bois massifs et bois massifs reconstitués feuillus
- GL20 pour les bois lamellés de résineux ou de feuillus
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CONCLUSIONS :
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Pour la réparation des fentes pour les structures en bois lamellé, il convient de se
reporter au guide "Recommandations pour la réparation de bois lamellé collé
structural présentant des fissures ou des fentes" éditée par la FIBC et le SNBL. Ce
document classe les fentes en 3 types :
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Greffon
Goujon collé
Figure 1.b) Exemple de liaison excentrée par rapport à l’appui (éléments en flexion)
Greffon Greffon
Figure 3 : Purge et remplacement des zones dégradées (un renforcement peut être
nécessaire)
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Barre d'acier
Profil métallique
Figure 6 : Renforcement par profilé métallique collé en âme sur zone de rupture
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Joint de colle
Goujon collé Poutre bois
Figure 7 : Renforcement par ajout de section assemblée (par goujon collée par exemple)
Les différentes catégories de matériaux impliqués dans une réparation sont le bois
d’origine, le bois de remplacement, les résines et les éléments de renforts.
La compatibilité entre ces éléments doit être maîtrisée. Ceci permet d’éviter les
contraintes mécaniques causées par les déformations différentielles résultant de :
• la diffusion de l’eau qui est différente pour chaque matériau, comme par
exemple, le retrait/gonflement,
• la variation de température, chaque matériau ayant son propre coefficient de
dilation,
• la réaction au chargement, chaque matériau ayant son propre module
d’élasticité.
S’il est impossible de se procurer l’essence, il convient de choisir un bois dont les
caractéristiques physico-mécaniques sont équivalentes, notamment en terme de
réponse aux variations de teneur en eau (retrait / gonflement) et de réponse aux
chargements (rigidité).
Toutefois, il est possible de mettre en œuvre des matériaux d’ingénierie
reconstitués à base de bois dont les performances sont suffisamment élevées pour
un usage en structure. Le bois lamellé-collé, le LVL (Laminated Veneer Lumber), le
PSL (Parallel Strand Lumber) et le LSL (Laminated Strand Lumber) sont par
exemple utilisables. Pour des raisons esthétiques, il peut être nécessaire de
masquer l’intervention par des placages notamment pour conserver l'authenticité
d'un bâtiment ancien.
Dans tous les cas le bois doit être exempt de défauts majeurs dans la zone
d’assemblage (nœuds, poches de résine, pente de fil …). L’humidité du bois doit
être inférieure à 20 % au moment de l’assemblage.
Les adhésifs utilisés doivent être de types structuraux. Il s’agit le plus souvent de
résines de type époxyde.
La formulation des mélanges collant doit être adaptée à ce type d’assemblages.
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Les performances minimales conseillées des résines époxydes pour leur utilisation
en renforcement sont les suivantes :
• Caractéristiques mécaniques
Valeur minimale
Modules & Contraintes admissibles Symbole Unités
conseillée
Contrainte admissible (traction axiale) σ 15.5 MPa
Module d'élasticité moyen E0 moy 2000 MPa
Masse volumique moyenne ρmoy 1100 kg/m3
• Caractéristiques physico-chimiques
Retrait <1%
Température minimale de transition vitreuse (°C) Q 50°C
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Les nuances d’acier disponibles sont nombreuses, ce qui offre une certaine liberté
quant à la conception. La limite élastique varie de 240 à 640 MPa, et la contrainte
à rupture de 400 à 800 MPa. En outre, un grand nombre de profilés et de
diamètres est disponible pour les tiges.
L’interface acier / adhésif peut se révéler critique en terme de rupture de la
connexion. Ainsi, l’usage d’aciers lisses est déconseillé. L’utilisation d’aciers filetés
est préférable car les filetages permettent une augmentation de la surface de
collage par adhésion et ancrage mécanique. Il est aussi possible d'utiliser des fer-
à-béton à condition qu'ils soient nettoyés et dégraissés avant leur mise en œuvre.
Dans le cas ou les aciers reçoivent un traitement (zingage, galvanisation, etc.), il
faut s'assurer que ceux-ci sont compatibles avec le collage.
Les matériaux composites peuvent constituer une alternative aux métaux. Ils se
présentent sous forme de tiges ou plaques. Leur comportement est fragile, c’est-à-
dire élastique jusqu’à rupture, donc à différencier du comportement mécanique de
l’acier.
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N
GOUJONS SOLLICITES AXIALEMENT (N)
a3 a1 a1 a1 a3
a3 a1 ≥ 3d
a2 a2 ≥ 2,5d
a3
N a1 a2
a2
a1 ≥ 4d
a1 a2 ≥ 2,5d
a2
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α = 0°
V
GOUJONS SOLLICITES LATERALEMENT (V)
a2 a1 a1 a3
a2 a1 ≥ 4d
a2 ≥ 2,5d
a1
a3 ≥ 4d
a2
α = 90°
V
a2 a1 a1 a3
a2 a1 ≥ 4d
a1
a2 ≥ 4d
a3 ≥ 2,5d
a2
7d 7d >3d
3d
α = 90°
V
>7d >4d
2,5d
3d
4d
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• Longueur d'ancrage :
Bien que des études aient montré que les premiers centimètres d'ancrage sont
majoritairement sollicités lors d'un effort de traction on préconise usuellement une
longueur d'ancrage supérieure ou égale à 10 fois le diamètre de la tige ou 200
mm.
De plus, certaines règles préconisent une longueur d'ancrage maximale de 40d ou
800mm.
Les travaux de thèse de Julie Lartigau (I2M) ont permis de développer un modèle
thermique sur du bois parfait. Bien que cette modélisation ne prenne pas en
compte la couche de carbonisation se formant en périphérie du bois exposé au
feu, les préconisations de dimensionnement suivantes peuvent être énoncées :
durée avant que le joint de colle n'atteigne épaisseur minimale de bois autour du joint de
la température de 50 °C (en min) colle (en mm)
15 25
30 40
60 60
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Une attention particulière doit être apportée à la protection des pièces métalliques
susceptibles de conduire la chaleur au sein du joint de colle. Ces pièces
métalliques doivent être protégées, soit par une épaisseur de bois équivalente à
celle définie ci-dessus, soit par tout autre produit adapté.
Depuis le début des années 80, plusieurs séries de travaux ont été menées afin de
prédire la résistance à l’arrachement des goujons collés (résistance instantanée).
Des équations de dimensionnement sont établies à partir de résultats
expérimentaux (STEP, GIROD, Buchanan, NF EN 1995).
Plusieurs formules de dimensionnement sont, à ce jour, disponibles. Dans toutes
les équations proposées par ces auteurs, la force ultime axiale ou la contrainte de
cisaillement maximale des goujons collés sont données en fonction de trois
paramètres : la densité du bois, le diamètre et la longueur de collage du goujon. La
nature de l’adhésif n’intervient que dans un coefficient multiplicatif. Ces formules
de dimensionnement sont applicables à condition que les écartements minimaux
entre goujons et l’éloignement minimal des bords soient respectés.
Rax ,k = 85 ⋅ f v ,k ⋅ d λc
Note : Dans le cadre des travaux de thèse de Julie Lartigau, cette formulation est
vérifiée sur la base des résultats d’une importante campagne d’essais (215
spécimens). Cependant, cette formulation est valable pour le comportement
instantané des assemblages en conditions de service (à savoir pour des
températures inférieures à la température de transition vitreuse des résines
employées).
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k 1 ⋅ k m od ⋅ R ax ,k
R ax ,d =
γM
0 ,9 ⋅ f u ,b ⋅ As
Ft ,R d =
γ Mb
Il convient de vérifier que la force totale transmise par les goujons collés est
inférieure à la résistance de l’aire efficace derrière les goujons. Cette rupture en
bloc met en jeu les résistances en cisaillement sur un ou plusieurs plans (surface
Sc) et en traction sur un plan perpendiculaire (surface St).
La résistance des plans de cisaillement et de traction ne peut être cumulée, et la
résistance de calcul en cisaillement de bloc, correspond à la valeur maximale de
l’un ou de l’autre des plans :
Sc.fv,k
Fbs,Rd = max
St.ft,0,k
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L’aire efficace en traction (St) se calcule en déduisant les surfaces de perçage des
tiges.
3d
N < 6d
St
3d
N
3d
> 6d
St
Les tiges soumises à des efforts tranchants présentent une résistance latérale
fonction de différents paramètres conditionnant les modes de rupture et par
conséquence les résistances de l’assemblage.
Les modes de ruine existants pour ce type de sollicitation sont les suivants :
rupture par formation d’une rotule plastique,
rupture par écrasement,
rupture par fendage du bois.
Lorsque des efforts transversaux agissent sur les assemblages, il convient donc de
vérifier leurs résistances selon les 3 modes de ruine potentiels.
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La résistance latérale de rupture d’un goujon est définie par (formule issue des
Cahier de l'Irabois n°11 (1999) et des travaux de Riberholt (1988) :
σe ⋅ f
R la t ,ru p t = d 2
3
k1 ⋅ k mod ⋅ Rlat ,k
Rlat ,d =
γM
Les termes de cette expression font référence aux significations des formulations
précédentes.
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k1 ⋅ k mod ⋅ Rlat ,k
Rlat ,d =
γM
τ d ≤ kv ⋅ f vd
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Vérification au fendage :
N
N
N N
V V V
f h,0 ,k
f h,α ,k =
k90 sin ² α + cos ² α
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k1 ⋅ k mod ⋅ Rlat ,k
Rlat ,d =
γM
2 2
Nd Vd
+ ≤ 1
n ⋅ Rd ,axial n ⋅ Rd ,latéral
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s'assurer que les efforts transitent bien de la poutre en bois vers le profilé
métallique grâce à la surface d'appui ou à des tiges. Cette vérification se fait
suivant l'Eurocode 5.
2. On considère une inertie composée sur la longueur totale de la poutre
(certains logiciels permettent de réaliser ce calcul). Le calcul se fait suivant
les Eurocodes. Il conviendra de s'assurer que les liaisons entre le bois et le
profilé sont suffisamment résistantes et rigides pour garantir une bonne
transmission des efforts.
Il est fréquent de réparer une poutre ayant subi une rupture localisée grâce à un
profilé métallique assemblé sur une portion de poutre.
Le renforcement se dimensionne alors de la même façon qu'un joint de continuité,
c'est à dire en vérifiant les encastrements.
M M
Dimensionnement
Les profilés ainsi que leurs fixations doivent être dimensionnés suivant l'Eurocode
3 et l'Eurocode 5.
Les valeurs limites pour les flèches de poutres la section 7 de l'Eurocode 5 (NF EN
1995-1-1) et dans son Annexe Nationale.
Les réparations et renforcements doivent dans le cas général être conformes à ces
critères.
Dans certains cas, par exemple pour conserver l'équilibre des efforts ou bien pour
des raisons patrimoniales, il peut être envisagé de dépasser ces valeurs limites
afin de respecter l'homogénéité de la structure existante. Par exemple, dans le cas
d'une réparation d'une solive d'un solivage ancien la solive réparée doit avoir la
même flèche que les autres solives du solivage.
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6.2. COLLAGE
Lorsque l'on procède par remplissage, la tige est généralement positionnée après
remplissage.
Lorsque l'on procède par injection, la tige peut être soit introduite APRES injection,
soit positionnée AVANT injection.
Dans le cas d'une introduction en position verticale de la tige, la colle est
introduite préalablement. Dans le cas d'un collage effectué en position horizontale,
la tige est positionnée en premier. En général, la colle est thixotropique (fluide lors
de l’application, et retour à une consistance très visqueuse ultérieurement). Le
remplissage est facilité par l’usage d’un tube approprié d’un diamètre inférieur
d’environ 1mm à celui du perçage. Ce remplissage débute après avoir bien
dépoussiéré la cavité.
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V = π/4 [Dp²-Dmf² ] le
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Pour une injection du bas vers le haut, l'injection doit se faire à une pression
supérieure à la pression atmosphérique. Des évents ou « cheminées de dégazage »
permettent l’évacuation de l'air sous la poussée de la résine et indiquent lorsque le
perçage est complètement rempli. Les embouts d'injection doivent être
transparents pour permettre de voir le niveau de résine. Les évents intermédiaires,
nécessaires lorsque l'injection se fait sur une certaine longueur, sont pincés au fur
et à mesure. Le volume à injecter est considéré comme atteint définitivement
quand le niveau de résine dans le dernier évent est stable avant le début de la
prise (temps ouvert). Le délai de prise est variable suivant les fournisseurs mais
aussi suivant la température ambiante. Dans tous les cas, l'applicateur ne doit pas
quitter le chantier avant le début de la prise afin de s'assurer que le niveau dans
les évents reste stable. (cf. 6.2.4)
Le coulage du mortier se fait sur des volumes ouverts en partie haute.
Dès que la résine peut assurer sa fonction structurale (selon les prescriptions du
fabricant de résine), les étais et les supports peuvent être retirés (voir chapitre XX
PAQ). Le nettoyage de l'espace de travail et à des retouches esthétiques (ponçage
de la résine) sont effectués.
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7. ASSURANCE QUALITÉ
7.1. CONTENU GENERAL D’UN PAQ
• Bois Existants :
o Contrôle les bois existant (diagnostic suivant 3.3)
• Bois de remplacement
o Contrôle des bois de remplacement (cf. 4.2) : Essence, classe de
résistance, sections, humidité.
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Dans tous les cas, il est nécessaire de se référer aux fiches techniques des
fabricants : elles concernent les conditions de mise en œuvre et les propriétés de
la colle (viscosité, durabilité…), mais également aux FDS (Fiches de Fonnées de
Sécurité) concernant les précautions à prendre lors de la mise en œuvre.
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Des procédures d’autocontrôles doivent être mises en place dans l’entreprise pour
s’assurer que les différents points du PAQ sont respectés à l’atelier et sur le
chantier.
Une fiche d’autocontrôle doit être remplie pour chaque chantier.
Des exemples de fiches de suivis sont disponibles en Annexe.
Le personnel doit être qualifié pour l’utilisation des résines et notamment sur les
exigences en termes de sécurité et de prévention des risques. Ces exigences
devront être formalisées par écrit.
8. ENTRETIEN
Les réparations et renforcements des ouvrages bois ne nécessitent pas en général
d'entretien particulier.
Cependant, il convient d’informer le maitre d’ouvrage sur la nécessité que l'ouvrage
reste bien dans la classe de service pour laquelle il a été conçu.
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9. TERMINOLOGIE
9.1. REPARATION
9.2. RENFORCEMENT
Une structure devra toujours être conçue avec des résines ayant une température
de transition vitreuse nettement supérieure à la température d'utilisation.
9.4. GREFFON
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D'autre part, pour les entreprise intervenant dans des bâtiments anciens
(bâtiments de plus de 50 ans, monuments historiques, etc.), il est nécessaire de
maitriser les techniques traditionnelles et les matériaux anciens et de savoir mettre
en œuvre des solutions techniques d'intervention respectueuses de l'esthétique et
de l'histoire de ces bâtiments.
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Bengtsson C, Johansson CJ. Test methods for glued-in rods for timber structures.
Paper 33-7-8. In Proceedings of 33rd conference of CIB-W18, Delft, Netherlands,
2000.
Bengtsson C, Johansson CJ. GIROD – Glued-In ROD for timber structures. Technical
report, Swedish national testing and research institute, 2002.
Buchanan AH, Moss PJ. Design of epoxied steel rods in glulam timber. In
Proceedings of Pacific timber engineering conference, Rotorua, New Zealand,
1999.
Règles CB71
Annales de l’ITBTP
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• Données générales
Référence chantier :
Date :
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Date de la réparation :
Nom de l'opérateur :
• Notes de l'opérateur :
o Si nécessaire n° de lot de l’adhésif :
o Température :
o Humidité des bois :
o Quantités de mélange (résine + durcisseur) :
o Quantité d’acier utilisée :
o Vérification des usinages : □ OUI □ NON
o Commentaires :
Signature de l’opérateur :
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RBR
6 avenue de Saint-Mandé
75012 PARIS
Tél.: 01 43 45 53 43
Fax.: 01 43 45 52 42
E-mail : fibc@magic.fr
Web : www.batibois.org
RBR est une association dont les membres sont des entreprises spécialisées dans
le domaine du renforcement et de la réparation de structures bois.
L'Association RBR remercie les membres de la commission technique ainsi que les
personnalités consultées ayant participé de près ou de loin à la réalisation de ce
document :