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Antanimena : Une famille malgache expulsée de sa maison par une Karana

Redaction Midi Madagasikara 6 octobre 2017 1 Comment

Hier, des agents de la commune urbaine d’Antananarivo accompagné par un huissier sont venus à
Antanimena pour procéder à l’expulsion des occupants d’un immeuble sis à Antanimena. Ils étaient
là pour exécuter la décision de la commune urbaine d’Antananarivo. Une décision que les expulsées
qualifient d’arbitraire et illégale. Non seulement, elles affirment ne pas avoir été avertis dans le délai
réglementaire pour un cas similaire d’une part, et d’autre part, cet immeuble fait encore de la
propriété dite « Don Céleste 2 » qui fait encore l’objet d’un litige auprès du Tribunal. La Karana qui
prétend être la nouvelle propriétaire et a demandé cette décision de démolition n’est pas du tout,
selon les explications de l’avocat de la famille expulsée, la propriétaire des lieux. Une décision
judiciaire en date du 25 septembre 2017 a annulé l’acte de vente qu’elle détient. Le problème est
que le bâtiment à démolir fait partie des héritages communs. Mais, trois des héritiers ont réussi à
s’emparer de la totalité de ces biens pour revendre la partie à cette Karana. Selon le récit de l’avocat
de la famille expulsée, la propriété « Don Céleste était inscrite au nom de Raolina Paul mais
appartient en réalité aux héritiers du feu Raoelina. Le 15 décembre 2015, la Cour d’appel a ordonné
le partage de tous les immeubles inscrite au nom de Raoelina et de Raoelina Paul en 6 parts égales.
Entretemps, en vertu du testament de Raoelina Paul, ses légataires, à savoir, les trois Raoelina Jean
Herimanana ont vendu la propriété « Don Céleste 2 » à la Karana sus mentionnée. Or le testament de
Raoelina Paul a été déclaré nul et de nul effet suivant l’arrêt susvisé. Ce qui a impliqué l’annulation
de l’acte de vente entre la Karana et les trois frères.

T.M.
Analakely : Karana 19 mpibizina firavaka nosamborina

Redaction Midi Madagasikara 28 décembre 2013 Faits-Divers : Analakely; Karana; polisy;


Tsaralalàna; SCST ;visa

Ao amin’ny hotely ipetrahany ihany no anamboarany ireo firavaka amidiny

Ao amin’ny hotely ipetrahany ihany no anamboarany ireo firavaka amidiny

Fizahantany no nahatongavan’ireo karàna maro, nefa dia zavatra hafa no nataony

Omaly antoandro, teo anelanelan’ny tamin’ny 10 ora ka hatramin’ny 12 ora, nidina teny amin’ny
faritra maromaro eto afovoan-tanàna ny polisy avy ao amin’ny “Service central de la Surveillance du
Territoire” nanao ny fisamborana teratany karàna miisa hatrany amin’ny 19. Izy ireo dia
mandehandeha eny Analakely, Tsaralalàna, Petite Vitesse sy eny amin’ny avenue, mivarotra firavaka.
Raha ny tena marina, tonga eto amintsika ireo olona ireo amin’ny maha mpizaha tany azy. Tsy izany
anefa no voalazan’ny vaovao fa ataony. Mivarotra ireny karazana firavaka samihafa ireny izy ireo ka
izany no antony nisamborana azy. Manamafy ny avy ao amin’ny polisy fa misy lalàna eto amintsika
momba izany zavatra izany ka tokony hanaja izany ny rehetra, indrindra ireo vahiny tonga eto.
Tamin’ny fanadihadiana nataon’ny mpitandro filaminana azy ireo dia fantatra fa ao amin’ny hotely
ipetrahany ihany no anamboarana’izy ireo ny firavaka amidiny, 10 000 ariary ny iray. Tafiditra ao
amin’ny asan’ny SCST ny fisavana ireo vahiny mivezivezy andro aman’alina eto amin’ny firenena ka
anisan’izany ny fisavana ny visa any amin’izy ireny.

Nangonin’i r.s.
Un réseau de « dahalo » identifié : Des « Karana », un député et un auxiliaire de Justice cités

Redaction Midi Madagasikara 25 septembre 2015 8 Comments featured

Omby-(3)Mises à part de nombreuses armes à feu confisquées, de nombreuses fiches individuelles


de bovidés falsifiées auraient également été saisies. Malgré les remarques négatives émises
notamment par les organisations et associations œuvrant pour la défense des droits de l’homme, l’ «
Opération Fahalemana 2015 » se poursuit au niveau des localités considérées comme des zones
rouges en matière d’insécurité. Selon un haut responsable au sein des Forces de l’ordre, l’enquête
évolue actuellement à une vitesse grand « V ». Avec la présence massive des militaires sur le terrain,
les habitants d’Ankazoabo Sud commenceraient à dénoncer les noms des membres d’un réseau,
impliquant entre autres, des personnes s’occupent uniquement du blanchiment des bovidés volés,
des fournisseurs d’armes et de munitions et une équipe destinée à cacher les bovidés en attendant
leur transfert vers les acheteurs. Les noms cités concernent généralement des personnes issues des
familles très connues dans cette partie Sud de la Grande Ile. Si l’on en croit nos sources, un opérateur
« karana », soupçonné de fournir des armes et des munitions aux voleurs de bovidés est
actuellement recherché par les Forces de l’ordre. Il serait en cavale depuis quelque temps avec ses
deux fils, également suspectés d’être impliqués dans plusieurs attaques de « dahalo » ayant causé la
mort de nombreux citoyens et des éléments des Forces armées. D’après les informations, cet
opérateur « karana » aurait déjà été grièvement blessé au cours d’un accrochage avec les militaires.

Enquête. L’enquête aurait également révélé l’implication d’un auxiliaire de Justice et d’un député élu
dans cette partie Sud de la Grande Ile dans ce fléau. S’occupant de l’assainissement des bovidés
volés, ils seraient des membres influents au sein du réseau. La question est de savoir toutefois si
l’équipe de l’ « Opération Fahalemana 2015 » dont l’objectif est de mettre fin au phénomène «
dahalo », vont oser dénoncer ces hauts responsables pour les traduire en Justice. Selon toujours nos
sources, la population d’Ankazoabo Sud aurait également dénoncé un chef des voleurs de bovidés
surnommé « Regana ». Un notable résidant au « fokontany » Manapaha et dont la mission serait de
cacher les bovidés volés. Il serait en contact permanent avec un fils d’un boucher local qui achète les
bovidés pour les vendre sur le marché aussi bien à Ankazoabo Sud que dans d’autres localités. En
attendant le dénouement de l’enquête, les habitants d’Ankazoabo Sud continuent de vivre dans la
terreur. Suite à cette dénonciation, une nouvelle menace d’attaque aurait encore été reçue la
semaine dernière. En tout cas, selon nos sources, les Forces de l’ordre auraient recensé plusieurs
noms de « dahalo ». D’ailleurs, mises à part de nombreuses armes à feu confisquées, de nombreuses
fiches individuelles de bovidés falsifiées auraient également été saisies. Histoire à suivre.

Davis R
La Vie des Entreprises : Le développement inclusif, une réalité chez le groupe SMTP

Redaction Midi Madagasikara 6 mars 2015

Danil Ismaël, PDG du groupe SMTP.

Danil Ismaël, PDG du groupe SMTP.

Fondé en 1987 par Danil ISMAEL, le Groupe SMTP est un conglomérat malgache de 17 entreprises
actives sur divers secteurs d’activités à Madagascar.

« La communauté Karana investit et bâtit à Madagascar. C’est une marque d’attachement au pays»
Pour Danil Ismaël, PDG du groupe SMTP, Madagascar est une patrie. Originaire du Sud, l’homme,
tout en ne niant pas son origine indopakistanaise, est aussi fier d’être Malgache. D’ailleurs, ses
ancêtres, depuis plusieurs générations, ont habité à Madagascar et ceux qui sont morts y sont
enterrés, et s’il arrive qu’un membre de la famille meure à l’extérieur, le corps est rapatrié au pays.
En expliquant certaines réalités sur la communauté Karana forte de 20 000 personnes à Madagascar,
Danil Ismaël, un opérateur économique qui réussit, tient à exprimer son attachement à son pays.

Concept. Un pays qu’il sert à travers les investissements réalisés au sein de la Société Malgache de
Transformation des Plastiques (SMTP) un groupe qui comprend plusieurs sociétés. Entre autres, la
société d’Emballage de Madagascar (emballage et plastique), IDF (société immobilière et de gestion
de centres commerciaux), Tartine (boulangerie), Europaint (peinture), DISCOI (distribution de pièces
détachées et enfin Agrivet, Agrifarm, Agrima, les branches du groupe qui s’occupent de l’agriculture,
de l’élevage, et de la production d’alimentation animale. C’est dans cette dernière branche que le
groupe démontre sa volonté de pratiquer le concept de développement inclusif. Un concept qui
séduit d’ailleurs les bailleurs de fonds puisque le groupe bénéficie, dans la réalisation de ses projets,
du soutien de partenaires internationaux : le PNUD, l’Union Européenne, la Banque Mondiale, le
projet Pôle Intégré de Croissance (PIC), la Société Financière Internationale (SFI) la GTZ et l’AROPA.

MABEL. Le concept du groupe est simple et associe particulièrement le monde rural. C’est ainsi, par
exemple, qu’Agrival fait vivre des milliers de paysans en leur achetant du maïs qu’elle va elle-même
transformer pour l’alimentation animale. Agrifarm, pour sa part, contribue au développement d’une
frange non négligeable d’agents économiques en produisant et fournissant des poussins pour
l’élevage de poulet de chair, et en prodiguant des formations aux éleveurs. En somme, beaucoup
d’intervenants tirent profit de ce genre d’investissements. Des projets qui ne vont pas s’arrêter là
puisque le groupe SMTP va encore aller plus loin en matière de développement inclusif par le biais du
projet Mabel, qui consiste en la création d’un abattoir pour volailles. L’usine qui sera installée dans la
commune d’Alasora est en phase avancée de réalisation, mais rencontre un certain nombre de
problèmes en raison de l’opposition incompréhensible d’un membre du conseil municipal qui fait
tout pour le bloquer. Et ce, même si le projet a reçu l’aval et l’autorisation des entités administratives
compétentes comme l’APIPA, le Service Régional de l’Aménagement du Territoire, l’ONE, le ministère
de l’Elevage. Mieux, après une enquête publique réalisée par l’ONE, 90% de la population s’est
déclarée favorable à ce projet d’abattoir à volailles moderne répondant aux normes internationales
en vigueur et qui générera environ 300 emplois directs et, bien évidemment, beaucoup d’emplois
indirects.

BOVIMA. L’autre grand projet concocté par le groupe SMTP s’appelle BOVIMA ou Bonne Viande
Malgache. Un projet d’abattoir pour bovin, ovin et caprin qui sera installé à Fort Dauphin. Un projet
intégré également puisqu’il mettra à contribution pratiquement tous les intervenants de la filière :
collecte, entraissement, abattage. Mieux, le projet BOVIMA réalisera à terme une amélioration
génétique du secteur de l’élevage bovin. « L’objectif de ce volet amélioration génétique est de faire
en sorte que dans son ensemble le bovin malgache soit indemne de toute maladie, et de pouvoir
ainsi l’exporter sur le marché international » explique, sur ce point, Rina Rasamimantsoa, Directeur
Général de SMTP. Un projet d’avenir en somme.

R.Edmond.
Trafic d’armes : La police traque le cerveau de l’affaire

Redaction Midi Madagasikara 30 novembre 2013 Trafic d’armes

BASYLe tribunal a donné une délégation judiciaire à la police pour pouvoir continuer l’enquête, et
mettre la lumière sur le trafic d’armes dans la Grande Ile, afin de capturer le cerveau de cette bande
de trafiquants. D’après nos informations, le numéro un de cette mafia est un grand opérateur
économique karana, et il serait mêlé à d’autres affaires louches. La saisie de 107 fusils à Tuléar, trafic
d’or, enlèvements et corruption entre autres. Objet de plusieurs enquêtes de police, il aurait été
frappé d’interdiction de sortie à maintes reprises. Selon toujours une source proche du dossier, ce
présumé commanditaire travaille avec plusieurs hommes de main, dont la plupart sont membres de
sa famille, pour accomplir les missions, tant à Madagascar qu’à l’étranger. Après l’arrestation d’Aziz
Célestin à Talatamaty, avec ses deux comparses, les enquêteurs sont sur une piste sérieuse, mais
pour l’heure aucune interpellation n’a été effectuée.

Faut-il rappeler que lundi dernier la police a mis la main sur 99 fusils de chasse de marque Baïkal, et
93 250 cartouches au domicile de Santilal à Amborompotsy Talatamaty. Après leur passage devant le
Parquet, Aziz et son chauffeur ont été placés en détention préventive à la maison centrale
d’Antanimora. Le septuagénaire, également d’origine karana quant à lui, est encore alité, suite à une
grave maladie. D’après Aziz, les armes ont été envoyées par bateau depuis la France par un certain
Issoufaly. Mais il n’a jamais rencontré ce dernier, il l’appelle toujours avec un numéro masqué. Ce
vaste coup de filet de la police, démontre une fois de plus que le trafic d’armes existe bel et bien à
Madagascar, et serait à l’origine de l’insécurité et des actes de banditisme. Les limiers sont désormais
à la traque du cerveau de ce trafic, mais quid des douaniers qui sont de mèches avec ces
malfaiteurs ?

A.R.
PROTOCOLE DE RECHERCHE

Thème : Le phénomène Karana : son influence sur/à Madagascar (reformulation/cause : délimitation


plus précisément la capitale)

Définition : Les « Karana » sont pour la plupart des émigrés à Madagascar. Ils ont décidé d’établir leur
domicile à ici, il y a de cela des années. De ce fait, la communauté a grandi, et évolué en nombre tant
est qu’aujourd’hui l’on compte autant de « Karana » que de malgaches.

Concepts scientifiques : l’influence du phénomène de migration « Karana » sur Madagascar

• Définitions :

- Phénomène migratoire : le fait de passer d’un pays à un autre pour s’y établir (de manière
permanente)

- Intégration sociale : le fait de s’adapter à un pays et à une culture

Contexte : Suite à la hausse du nombre d’indo-pakistanais à Madagascar, il serait intéressant de se


pencher sur leur apport social, économique et culturel sur notre pays.

Justification : Dans un premier temps, en raison de l’originalité du sujet qui n’a non seulement peut-
être pas encore été traité mais et mérite une exploitation approfondie. Dans un deuxième temps,
pour pouvoir comprendre cette hausse, son impact sur la vie quotidienne malgache et son apport à
cette société. Enfin, dans un troisième temps, car la population « Karana » est l’une des plus
nombreuses à Madagascar et donc est par conséquent un facteur important méritant une étude.

Problématique : Dans quelle mesure l’intégration sociale des « Karana » migrants a-t-elle influencée
la capitale malgache ?

Objectifs :

• Comprendre le sens du mot « Karana » et son évolution à travers le temps

• Démontrer leur apport dans les divers secteurs politique/économique/social

Développer la cause de l’acculturation chez les « karana »

• Énumérer les fondamentaux des droits des étrangers à Madagascar

• Remonter jusqu’à l’origine de ce phénomène afin de mieux cerner son influence aujourd’hui

• Définir la place de la femme dans la communauté « karana »

• Parler des entreprises immunisées des contentieux juridiques

• Démontrer la portée de l’influence des Karana à Madagascar ainsi que ses limites

Population : « Karana » à Antananarivo


- Définir la communauté « Karana » : commerçants, chefs d’entreprise, bijoutiers, chefs de
conglomérat

- Comparaison entre les différentes communautés

- Hommes

Terrain : Antananarivo

Les méthodes d’informations :

- Tout articles de presse

Délimitation dans le temps :

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