Documente Academic
Documente Profesional
Documente Cultură
d’Alger
EHEC
Option : Management
THEME :
25ème Promotion
Juin 2012
Ecole des Hautes Etudes Commerciales
d’Alger
EHEC
Option : Management
THEME :
25ème Promotion
Juin 2012
DEDICACES
Si sur la page de garde il n’est indiqué que deux simples noms, entreprendre un mémoire
est une chose qui n’est pas aisée, et dont la réalisation ne peut se faire seul nous trois .de fait,
Nous souhaitons tout d’abord témoigner notre sincère reconnaissance à notre maître de
mémoire, Monsieur Khetaoui , pour s’être toujours rendu disponible et avoir été de bon
conseil, que ce soit sur le fond, en nous aidant à réorienter notre problématique, que sur la
forme, en nous apportant une méthode et une structure nécessaire à la rédaction d’un
ont manifesté un intérêt considérable pour la présente recherche et qui n’ont ménagé aucun
leur précieux conseil et leur orientation tout au long de notre stage pratique. Merci pour
votre disponibilité.
Nous tenons à remercier également toutes les personne qui se sont rendues disponibles pour
discussions nous ayant permis de mieux cibler les enjeux liés à notre sujet.
Nous remercions enfin nos parents, pour leur soutien tout au long de notre vie étudiante, et
pour avoir apporté un regard neuf à notre mémoire, une vision extérieure, puisque leurs
Introduction générale
Les changements et les évolutions constatées pratiquement dans tous les domaines
marqués par l'avènement de la mondialisation des marchés et de la globalisation financière.
Les entreprises sont, de plus en plus, ouvertes à une concurrence mondiale où les facteurs
contribuant à la compétitivité tels que la qualité, les prix concurrentiels et la livraison dans les
délais sont amenés à jouer un rôle primordial.
La devise « Le client est roi » se vérifie encore plus de nos jours. A mesure que s'améliore la
qualité de la vie, la demande de produits et de services de meilleure qualité augmente
également. Partout dans le monde, les clients exigent que le produit ou le service pour lequel
ils ont payé corresponde à leurs spécifications, réponde à leurs attentes ; et qu'il fonctionne
comme prévu. La qualité est alors vue comme la capacité de répondre aux attentes du
consommateur à un coût et à un prix, tous les deux, « acceptables » l'un par l'entreprise, l'autre
par le client.
Il n'est possible aujourd'hui d'atteindre un niveau de qualité requis dans un produit qu'en
utilisant un système de management de la qualité digne de ce nom. Plusieurs entreprises, de
par le monde, l'ont compris et l’ont intégré dans leurs stratégies ce management de la qualité.
C'est pour faciliter cette activité, qu'est arrivée la série de normes ISO 9000, se présentant
comme une alternative au management, susceptible de conduire une entreprise à l'efficacité et
à l'efficience, et ainsi donc vers l'excellence. L'objectif de cette série de normes sera alors de
fournir un mécanisme permettant de déterminer et de répondre aux besoins des clients, éviter
les erreurs lorsque cela est possible, et lorsque ce n'est pas le cas, les détecter et les corriger
de façon à améliorer le procédé et à répondre aux besoins des clients de façon cohérente, au
moindre coût. De cette série, la norme ISO 9001 en sa version 2008 aide beaucoup les
entreprises, en ce qu'elle spécifie particulièrement les exigences pour un système de
management de la qualité et porte sur l'efficacité du système à satisfaire les exigences des
clients, ainsi que les exigences réglementaires et légales.
En Algérie comme partout ailleurs, le management de la qualité s'impose à toute entreprise
désireuse de satisfaire une clientèle de plus en plus exigeante, tout en étant aussi compétitive.
Aujourd'hui, le client est l'un des acteurs les plus importants pour l'entreprise, puisque c'est lui
qui achète le produit et/ou sollicite le service et fait prospérer l'entreprise. Il doit être pris en
compte à tous les niveaux de l'entreprise.
Introduction Générale 3
A l’issu de notre mémoire nous espérons réussir à répondre à notre problématique ainsi
qu’à toutes les questions secondaire inhérentes à celle-ci.
CHAPITRE 1 : LA NOTION DE LA QUALITE 7
1-Définition de la qualité:
Bien souvent, le terme « qualité » est interprété de manières très diverses. Dans le langage
courant, on parle de produit ou service de première qualité, ce qui signifie que le client est
satisfait, que la marchandise et /ou services offerts répondent à ses besoins. Pour lui, la
qualité est synonyme de satisfaction. Pour l'entreprise en revanche, la qualité implique par
exemple la rapide disponibilité des produits à des coûts avantageux.
1
KAMISKE (G.F) et BRAUER (J.P) : Management de la qualité de A à Z, éditions Masson, Paris, 1994,
PP.17-22.
CHAPITRE 1 : LA NOTION DE LA QUALITE 8
P.Vandeville : « Le produit de bonne qualité est celui qui donne aussi complète satisfaction
que possible à son utilisateur , tant par ses propriétés et ses performances techniques ,que
par son prix,sa disponibilité ,sa sécurité d’emploi ,sa durée de vie,sa facilité d’entretien et
son délai d’acquisition »
Ainsi, Henry MINTZBERG disait " On ne peut définir la Qualité, on la reconnaît quand on
la voit. ".1
Cela est toujours vrai aujourd'hui ; On peut affirmer aussi que la qualité est un ensemble de
caractères, de propriétés qui font que quelque chose correspond ou non à ce que l'on en attend.
C’est l’aptitude d'une entité, service ou produit, à satisfaire les besoins exprimés ou potentiels
des utilisateurs.
La qualité se perçoit également à travers différents niveaux de définitions. Elle peut être
caractérisée par :
1
http://www.dissertationsgratuites.com/sujets/henry-mintzberg-organisation (13/02/2012 à 20h00).
CHAPITRE 1 : LA NOTION DE LA QUALITE 9
« En résumé, la qualité externe porte intérêt aux produits, la qualité interne aux processus »
1
http://www.performancezoom.com/qualite-age-amelioration.php (15/02/2012 à 16h36)
CHAPITRE 1 : LA NOTION DE LA QUALITE 11
1
BOERI (Daniel) : Maîtrise de la qualité et le management éthique, tout sur la certification et la qualité
totale, édition AFNOR, Paris, 2OO1, P.17.
2
BOERI (Daniel) : Maîtrise de la qualité et le management éthique, tout sur la certification et la qualité totale,
édition AFNOR, Paris, 2OO1, P.19.
CHAPITRE 1 : LA NOTION DE LA QUALITE 12
Or, la réponse aux exigences des clients bouleverse les comportements isolés des
départements ou directions dans l’entreprise. La nécessité de remettre en cause les processus
transforme les pratiques tant du point de vue de l’organisation que du management.
Durant cette période les normes ISO 9000 ont été élaborer par l’organisation Internationale de
Normalisation, ces derniers ont permis de répondre aux attentes des entreprises industrielles et
de services de disposer de référentiels sur le management de la qualité qui permettent
d’améliorer leur efficacité, fonctionnement et performance économique, ainsi que la qualité
de leurs produits et services.
Excellence
Confiance
Prix Qualité
9000:2000
Constat
d’échec Contrôle
Contrôle Statistique Méfiance
Traditionnel En réception
De nos jours, l'impact de la qualité s'est profondément élargi, puisqu'elle ne touche pas
seulement le produit, mais aussi les procédés de fabrication, les équipements et les hommes,
l'organisation et toutes les procédures de travail au sein de la structure. Au-delà de la qualité
du produit, il faut entrevoir tous les aspects et facteurs concourant au produit fini. Il convient
donc de se familiariser avec le management de la qualité et le mangement de la qualité totale.
CHAPITRE 1 : LA NOTION DE LA QUALITE 13
1
THIETRAT (R.A), Que sais-je ? Le management, Presses Universitaires de France, Paris.
CHAPITRE 1 : LA NOTION DE LA QUALITE 14
Source : http://commons.wikimedia.org/wiki/File:RoueDeDeming.PNG?uselang=fr
(16/02/2012 à 22h12)
Le cycle PDCA de Deming s'applique à toutes les situations et à tous les domaines où la
maîtrise de la qualité est souhaitée. Il s'agit d'un modèle universel qui couvre toutes les
activités relatives à la maîtrise de la qualité, ainsi qu'à l'assurance de la qualité et à
l'amélioration de la qualité.
Selon un « grand principe » de base du management de la qualité, « Je dis ce que je fais,
j'écris ce que je viens de dire et je fais ce qui est écrit ... ».
Ecrire, dans chaque service, les procédures opérationnelles liées aux processus ayant une
incidence sur la qualité est indispensable pour la pérennité du niveau technologique atteint (un
changement de personne sur un poste de travail par exemple). Ces procédures permettent
d'éviter les dérives de l'exploitation du système de management de la qualité. Elles évitent,
également, les improvisations qui la plupart du temps se traduisent, au bout du compte, par
des dépenses qui viennent gonfler les coûts de la non qualité.
CHAPITRE 1 : LA NOTION DE LA QUALITE 15
1
BERNARD (Claud-yves) : Le management par la qualité totale, l’excellence en efficacité et en efficience
opérationnelle », édition AFNOR, France, 2000, PP.8-10.
2
SHIBA (Shoji), GRAHAM (Alan) et WALDEN (David) : TQ M: 4 révolutions du management, édition
DUNOD, France, 2000, PP.5-6.
CHAPITRE 1 : LA NOTION DE LA QUALITE 16
A- Objectifs externes :
L'entreprise doit satisfaire le client. Elle est conduite à épouser le point de vue de celui-ci
quant à la qualité. Elle doit lui procurer la qualité voulue et les éléments de confiance en cette
qualité. Aussi, envers les clients liés à elle par contrat, l'entreprise doit respecter les clauses
contractuelles en matière de qualité, de prix et de délai.
B- Objectifs internes :
Les objectifs « internes » de l’entreprise viennent des obligations de cette dernière envers son
personnel et envers ses actionnaires ; ou d'une façon générale, envers ceux qui mettent les
moyens à sa disposition. Elle recherche la rentabilité, la compétitivité, la pérennité, la
progression.
L'amélioration de la qualité de ses fournitures et prestations, acquise par une meilleure
maîtrise des processus, est un facteur essentiel de rentabilité et de compétitivité. Car, selon la
« réaction en chaîne » enseignée par Deming7 (*) aux Japonais dès 1950, cette amélioration de
la qualité permet, avec la réaction des coûts de la non qualité et des prix de revient, de
« gagner des parts de marché, grâce à une meilleure qualité et à des prix plus faibles ».
Section 2 : La normalisation
1-1- La normalisation :
Normaliser, les anglo-saxons disent « standardiser », c’est s’accorder sur une procédure, sur
une règle, qui sera utilisée par le plus grand nombre. Une règle qui doit constituer un progrès.
Lorsque nous écrivons que la norme est une règle prise pour le plus grand nombre, cela ne
signifie pas prise pour tous. Par exemple les Anglais et les Japonais, plus quelques autres,
persistent à rouler à gauche sans que le reste de la planète ne fustigent leur refus de la norme
majoritaire !
L’organisation internationale des normes (ISO) définit le concept de normalisation comme
étant : «« Une activité propre à établir face à un des problèmes réels et potentiels, des
dispositions destinées à un usage commun et répété, visant l’obtention de degré optimal
d’ordre dans un contexte donné ».1
La normalisation est une activité qui vise l'élaboration des normes dans un cadre faisant
intervenir toutes les parties concernées.
1
http://www.utc.fr/~tthomass/Themes/Unites/unites/infos/normes/Les_normes.pdf (16/03/2012 à 10h23).
CHAPITRE 1 : LA NOTION DE LA QUALITE 19
1-2- La norme :
La norme est un document écrit, accessible au public, établissant une règle du jeu évolutive
concernant les lignes directrices ou les spécifications techniques, dont l’observation n’est pas
obligatoire, élaborée par un organisme reconnu, dans un cadre faisant intervenir l’accord de
toutes les parties concernées, destinée à une application répétitive et continue et visant
l’avantage optimal de la communauté dans son ensemble.
Les normes examinées et adoptées dans un cadre regroupant toutes les parties
concernées sont validées par une enquête publique permettant de s'assurer que les
normes correspondent à l'intérêt général.
Les normes contribuent à simplifier et à accroître la fiabilité et l'efficacité des biens
et services et constituent les référentiels de base pour tout système de certification et
un outil incontestable pour le contrôle de la qualité et de la sécurité des produits et
services.
Les normes sont soumises à un mécanisme d'actualisation leur permettant de refléter
en permanence l'état de la technologie et de constituer un outil indispensable pour
l'amélioration des exportations et la protection des consommateurs.
Une norme est une règle à laquelle se référer pour concevoir ou fabriquer un produit.
Il existe des normes dans tous les domaines, pour des applications très diverses, il y
a des normes techniques (matériaux) ou des normes relatives à l'organisation.
Certaines normes, notamment celles de la sécurité, sont obligatoires (et peuvent
entraîner un marquage comme la marque CE sur les équipements de sécurité).
Cependant, la plupart des normes sont facultatives mais servent à établir une donnée objective
lors de l'établissement d'un contrat entre deux parties.
De nos jours la norme est devenue un formidable outil de gestion économique pour les
entreprises, que ce soit pour réactiver un marché qui s’essouffle (une nouvelle norme obligera
à se séparer des produits encore en usage), que ce soit pour obtenir un avantage concurrentiel
sur le voisin (le produit hors normes se vendra moins).
Si les normes n'existent pas, nous le remarquerions sans tarder. La contribution des normes,
bien qu'elle soit très souvent imperceptible, est considérable dans la plupart des aspects de nos
vies. L'importance des normes se manifeste lorsque celles-ci font défaut. Ainsi, en tant
CHAPITRE 1 : LA NOTION DE LA QUALITE 20
Les normes internationales sont très utiles. Elles sont utiles aux organisations industrielles de
tout type, aux gouvernements et aux instances de réglementation, aux dirigeants de
l'économie, aux professionnels de l'évaluation de la conformité, aux fournisseurs et aux
acheteurs de produits et de services, dans les secteurs tant public que privé et, enfin de
compte, elles servent les intérêts du public en général lorsque celui-ci agit en qualité de
consommateur et d'utilisateur.
Ces normes contribuent à un développement, à une production et à une livraison des produits
et des services plus efficaces, sûrs et respectueux de l'environnement, ainsi qu'à des échanges
facilités et plus équitables entre les pays. Elles fournissent aux gouvernements une base
technique pour la législation en matière de santé, de sûreté et d'environnement. Elles facilitent
le transfert de technologies aux pays en voie de développement.
Ces normes servent également à protéger les consommateurs, et les utilisateurs en général, de
produits et services et à leur simplifier la vie.
Quand tout fonctionne bien - par exemple, quand les systèmes, les machines et les dispositifs
fonctionnent en toute sécurité - c'est qu'ils sont conformes aux normes.
L'organisation responsable de plusieurs milliers des normes utiles aux collectivités dans le
monde entier est l'ISO.
économique et aux besoins de la société, notamment ceux de parties prenantes comme les
consommateurs et les utilisateurs.
Les travaux de l’ISO sont réalisés par des experts des industriels, techniques et économiques,
en association avec d’autres spécialistes tels que les représentants d’agences
gouvernementales et de laboratoires d’essais , les 'associations de consommateurs et les
organisations non gouvernementales, formant « le comité technique de l’ISO » .
L’ISO a élaboré depuis sa création 13 000 normes internationales volontaires, sur la base du
consensus, dans presque tous les domaines de l'activité industrielle, économique, scientifique
et technique.
Parmi ces 13000 normes la série de normes ISO 9000 ‘ Qualité et système management
qualité’ est l'un des plus grands succès de toute l'histoire de l'Organisation Internationale de
Normalisation et plus de 80 pays l'ont intégrée à leurs normes nationales ; elles sont devenues
une référence internationale en matière d’exigences de la qualité dans les échanges entre
entreprises.
Trois ans après leur publication, l’organisation décide de réviser l’ISO 9000.
Cette révision a été réalisée en deux phases :
1
http://www.kcg.com.sg/history-iso9000.html (16/03/2012 à 19h22).
CHAPITRE 1 : LA NOTION DE LA QUALITE 22
Première phase :
Elle a débuté en 1990 et a consisté à réviser les textes des normes ISO 9000 version 1987, afin
de corriger certaines erreurs constatées lors de leur utilisation. Cette révision a abouti à une
focalisation sur le client comme étant le centre d’intérêt de l’entreprise, en développant la
notion de prévention.
Deuxième phase :
Elle a débuté en 1993 et a consisté à écrire de nouveaux textes résultant de la révision réalisée
lors de la première phase.
C’est ainsi qu’une nouvelle série de normes sont plus claires et plus cohérentes ; l’orientation
vers le client commence à se profiler et ces normes contiennent des exigences additives
concernant la conception, les actions préventives, la revue des contrats etc.
Les changements qui été apportés aux normes ISO 9000 version 1994 portent sur :
- L’adaptation des normes aux quatre catégories génériques de produits : produits matériels,
logiciels et intellectuels, les produits issus du processus continu et les services ;
- La définition d’un lien logique entre les processus de l’entreprise et son système qualité ;
1
http://www.kcg.com.sg/history-iso9000.html (16/03/2012 à 21h37).
CHAPITRE 1 : LA NOTION DE LA QUALITE 23
Cette nouvelle version de normes n’est pas une simple amélioration, comme celle apportée
aux normes ISO 9000-1987, mais une refonte complète, elle est caractérisé par :1
La réduction du nombre de normes (qui passe de quinze (15) normes pour la version
1994 à seulement quatre (04) pour la version 2000) ;
Une simplification du nombre de documents exigés ;
Une simplification du vocabulaire utilisé ;
Une concentration sur les exigences du client ;
Une seule norme d’exigences pour la certification ISO 9001-2000, avec la
possibilité d’exclure certaines exigences dans certains cas ;
L’approche processus et la formulation d’un modèle : « modèle de processus » ;
Le renforcement du rôle de la direction et du management ;
La nécessité d’amélioration continue du système de management de la qualité ;
Le rôle du personnel avec le concept de compétence, la nécessité d’évaluer
l’efficacité de la formation.
L’apparition de la notion d’environnement de travail.
L’une des particularités des nouvelles normes ISO 9000 version 2000 est le passage de trois
modèles d’assurance de la qualité déjà existants (ISO 9001, 9002, 9003 version 1994) à un
seul modèle qui constituera la nouvelle norme ISO-9001/2000.
Cette norme a pour principale mission d’orienter les entreprises utilisatrices vers deux
objectifs liés entre eux :
Les objectifs internes : Qui consistent à manager et améliorer les processus.
Les objectifs externes : Qui consistent à concentrer tous les efforts sur la
détermination et la satisfaction des besoins des clients, d’une part, et la création d’un
esprit de partenariat avec les fournisseurs, d’autres part.
Ces nouvelles normes visent aussi à la constitution d’un couple cohérent des normes ISO
9001 et 9004 version2000, qui avaient dans la version 1994 des structures différentes.
Le 15 décembre 2005, eut lieu la publication de la série des normes ISO 9000 version 2000
(9000, 9001,9004).
Le 15 novembre 2008, l’ISO publie la norme ISO 9001:2008, quatrième édition de la norme
publiée pour la première fois en 1987, dernière version de la norme internationale qui, dans
175 pays, sert de cadre pour les systèmes de management de la qualité (SMQ) des organismes
et entreprises.
1
JENSEN (P.B) : Guide d’interprétation des normes ISO 9000, édition AFNOR, France, 2002, P.28.
CHAPITRE 1 : LA NOTION DE LA QUALITE 24
1
BOUCHER (F) et CROQUENNEC (B) : Comprendre ISO 9001 :2008, édition AFNOR, France, 2008, P.6.
CHAPITRE 1 : LA NOTION DE LA QUALITE 26
A- Le manuel qualité :
Le manuel qualité est un document de base, il décrit scrupuleusement l'organisation de
l'entreprise ainsi que le système qualité mis en place au sein de cette dernière.
Il comporte :
le domaine d'application du système de management, y compris le détail et la
justification des exclusions.
les procédures documentées.
Il décrit les interactions entre les différents processus de management de la qualité.
Généralement le manuel qualité est scindé en deux parties :
1- La description de l'organisation :
Sommaire
Présentation de l'entreprise
Politique
Objet et domaine d'application
Gestion du manuel qualité
Les responsabilités et autorités concernant la qualité.
2- Le système de management de la qualité :
Descriptions des réponses apportées à la norme, en reprenant les paragraphes de celle-
ci, point par point.
CHAPITRE 1 : LA NOTION DE LA QUALITE 28
Le manuel qualité est un document interne à l'entreprise qui permet, lors d'un remplacement
par exemple, d'avoir une vision claire et globale sur les différentes fonctions à assumer ainsi
que son rôle et sa place au sein de l'organisation.
B- Les procédures :
L’ISO décrit une procédure comme une manière spécifiée d’effectuer une activité ou un
processus. Les procédures complètent la modélisation des processus dans la description des
règles de l’entreprise avec un niveau plus détaillé, à l’usage des acteurs. Elles permettent de
capitaliser, de faciliter l’adaptation des employés et surtout les nouveaux, au poste de travail
et elles facilitent la polyvalence de l’entreprise.
Ces procédures sont rédigées dans la norme mais ne sont en aucun cas exhaustives, l'institut
adapte la norme en fonction de son travail, ses prestations, son organisation et ses
compétences. Le but est de mettre par écrit sa façon de travailler, son organisation.
Dans certains cas, c'est grâce à ce genre d'exercice que l'on constate des inefficacités
flagrantes qui mènent le plus souvent à des corrections organisationnelles.
Il suffit de se poser les bonnes questions : Qu'est-ce qui doit être fait ? Par qui ? Comment ?
Ou classer ces dossiers ? Selon quel critère ? Selon quelle méthode d'archivage ? Etc.
La remise en cause constante permet l'amélioration continue et donc une amélioration de la
qualité.
Voici les 6 procédures exigées par la norme ISO 9001, version 2008 :
Maîtrise de la documentation ;
Maîtrise des enregistrements qualité
Audit interne ;
Maîtrise du produit non conforme ;
Action corrective ;
Action préventive.
D- Les enregistrements :
Afin de démontrer la conformité aux exigences, le responsable réalise des enregistrements
afin de prouver l'efficacité du système qualité non seulement à ses clients mais également aux
auditeurs. Ces enregistrements vont permettre de déceler les problèmes ou
dysfonctionnements. Pour conclure, un planning précis en vue de la certification doit être
défini afin de conférer un objectif de travail.
La démarche de la qualité est un système sans fin qui met en place tous les acteurs afin que
chacun collabore et pas uniquement les personnes qui en sont responsables.
ENGAGEMENT DE LA
DIRECTION
Ecoute client
Politique qualité
Planification :
Revue de direction -Objectifs qualité
- Planification
qualité
Responsabilité, Autorité
et communication
Engagement de la direction
Responsabilité et Autorité et
Représentant de la Direction
Après l’engagement de la direction, ce qui importe c’est de disposer des moyens nécessaires.
Pour cela, l’entreprise va pouvoir agir sur :
Les ressources humaines qui doivent être compétentes, formées en conséquence et
motivées.
CHAPITRE 1 : LA NOTION DE LA QUALITE 31
Les moyens matériels ou les infrastructures qui comprennent les bâtiments, les
équipements et tous les moyens qui agissent en supports, tels que les moyens
logistiques et ceux de communications.
Les environnements de travail qui conditionnent aussi le niveau de qualité des
produits fabriqués.
Infrastructures
Ressources humaines
Environnement de travail
Compétences,
sensibilisation et
formation.
Les données de sortie de la conception sont vérifiées et validées par rapport aux données
d’entrée.
A chaque phase de la conception, des revues de conception sont menées et enregistrées.
Aussi, l’entreprise doit évaluer et sélectionner ses fournisseurs, selon des critères définis, pour
assurer la qualité de son produit fini.
Elle doit être explicite dans les informations relatives aux produits à acheter. Elle doit,
ensuite, contrôler le produit acheté selon des modalités définies, avant de l’introduire dans la
chaîne de production.
Quant aux activités de production et de livraison, elles doivent être planifiées et maîtrisées.
L’entreprise doit donc déterminer quelles sont les informations, les documents, les
équipements et les matières nécessaires à la production pour éviter les non conformités.
Elle doit s’assurer que le résultat obtenu est conforme aux exigences spécifiées et que le
produit a été vérifié, conformément aux dispositions établies.
Si la traçabilité est une exigence client ou réglementaire, l’entreprise doit maîtriser et
enregistrer l’identification unique du produit. Elle doit aussi maîtriser les dispositifs de
surveillance et mesure et enregistrer les résultats d’étalonnage et vérification.
Planification de la réalisation
Processus liés aux cycles
de vie
Processus relatifs au
client
Conception et
développement
Détermination des
exigences produits.
Achat
Production et
préparation du service
Maîtrise dispositifs de
surveillance et de
Communication avec les mesure.
clients.
Satisfaction client
Maîtrise du produit
non conforme
Audit qualité
Amélioration :
-Actions
Surveillance et correctives.
-Actions
mesure du préventives
produit
La norme ISO 9001/2008 encourage explicitement l’adoption d’une approche processus lors
du développement d’un système de gestion de la qualité afin d’accroître la satisfaction des
clients par le respect de leurs exigences. Afin de maîtriser et améliorer son fonctionnement,
l’entreprise doit identifier et gérer plusieurs activités corrélées.
La maîtrise permanente des relations entre les processus, au sein du système de processus, est
l’avantage le plus important de cette approche.
Le modèle système qualité fondé sur les processus se base sur les relations entre les processus
suivants (Figure 7) :
- Responsabilité de la direction.
- Réalisation du produit.
Section 3 : La certification
1-Définition :
La certification est une procédure par laquelle une tierce partie, l’organisme certificateur,
donne une assurance écrite qu’un système d’organisation, un processus, une personne, un
produit ou un service est conforme à des exigences spécifiées dans une norme ou un
référentiel.
La certification est un acte volontaire qui peut procurer aux entreprises un avantage
concurrentiel. C’est un outil de compétitivité qui établit la confiance dans leurs relations avec
leurs clients. Elle est délivrée par des organismes certificateurs indépendants des entreprises
certifiées ainsi que des pouvoirs publics.
2- Certification et qualité :
La qualité et certification apparaissent le plus souvent comme complémentaires car la
certification permet à une entreprise de valoriser les efforts qu’elle a accomplis dans le sens
de la qualité. Cependant, la mise en œuvre d’une démarche qualité n’est pas toujours liée à
une recherche de certification. De même, l’obtention d’une certification n’est pas forcément
un gage de la qualité des produits ou des services offerts par l’entreprise puisqu’elle constate
la conformité à des « exigences spécifiées » qui peuvent être fixées à un niveau qui ne
correspond pas aux attentes des consommateurs.
1
PINET (Claude) :10 clés pour réussir sa certification ISO 2001/2008, édition AFNOR, France, 2009, PP.23-
24.
CHAPITRE 1 : LA NOTION DE LA QUALITE 39
· Simplifier l'organisation.
1
http://www.certiconseil.com/ (23/03/2012 à 23h00).
CHAPITRE 1 : LA NOTION DE LA QUALITE 42
1
http://www.qualite-info.net/Articles/Art22_preparerauditcertif.htm (24/03/2012 à 00h17).
CHAPITRE 1 : LA NOTION DE LA QUALITE 43
1
CATTAN (Miche) : Pour une certification qualité gagnante. Avant, pendant et après, édition AFNOR, France,
2003, P.205.
CHAPITRE 2 : L’AUDIT QUALITE 45
L’audit, que de controverses autour d’un terme utilisé par de nombreuses fonctions de
l’entreprise mais véhiculant chaque fois une signification particulière. Pour bien comprendre
cet amalgame, il est important de donner un sens à l’audit. Tout d’abord il convient de
préciser que les qualiticiens ont emprunté ce terme aux financiers.
En effet, l’audit est plus connu sous son acception définie par le dictionnaire Larousse :1
Ainsi, l’audit est avant tout une pratique ayant un rôle de surveillance et de contrôle des
aspects financiers selon des règles décrites par la législation et/ou définies en interne.
L’audit qualité se définit dans le cadre d’une politique d’assurance qualité menée au sein de
l’entreprise, il a pour but de vérifier la validité de procédures par rapport aux objectifs définis.
Par ailleurs il doit aussi vérifier que les personnes concernées connaissent et appliquent les
recommandations de l’assurance qualité.
Désormais, la norme ISO 9001 relative aux principes essentiels et au vocabulaire définit
l'audit qualité comme étant « un processus systématique, indépendant et documenté en vue
d'obtenir des preuves d'audit et de les évaluer de manière objective pour déterminer dans
quelle mesure les critères d'audit sont satisfait ».
Commentons cette définition :
1 - L’audit qualité s’applique essentiellement, mais n’est pas limité, à un système qualité
ou à des éléments de celui-ci, à des processus, à des produits ou à des services.
De tels audits sont couramment appelés : "audit de système qualité", "audit qualité de
processus", "audit de qualité produit", "audit de qualité de service".
2 – Les audits qualité sont conduits par une équipe n’ayant pas de responsabilité directe
dans les secteurs à auditer et de préférence en coopération avec le personnel de ces secteurs.
3 – L’un des buts d’un audit qualité est d’évaluer les besoins d’actions d’amélioration ou
d’actions correctives. Il ne faut pas confondre l’audit avec les activités de "surveillance" ou de
"contrôle"
Conduites dans le but de maîtrise d’un processus ou d’acceptation d’un produit.
1
Le petit Larousse, Dictionnaire encyclopédique illustré, édition 1998, P.78.
CHAPITRE 2 : L’AUDIT QUALITE 46
4 – Les audits qualité peuvent être conduits pour les besoins internes ou externes.
5 – Les audits qualité peuvent être regroupés avec l’examen d’autres techniques :
environnement, Outil d’investigation, l’audit constitue le moyen, pour les organismes de
certification, de juger de la conformité du système qualité au référentiel
Les normes ISO 8402-1986 et 10011-1990 (Management de la qualité et assurance de la
qualité vocabulaire) définit l’audit qualité de la façon suivante :
« Examen méthodique et indépendant en vue de déterminer si les activités et les résultats
relatifs à la qualité satisfont aux disposions préétablies, et si ces dispositions sont mises en
œuvre de façon effective et aptes à atteindre les objectifs».
1
VILLALONGA (Christophe) : l’audit qualité interne, une approche innovante et pragmatique pour manager
avec efficacité son processus d’audit , édition DUNOD, Paris, 2003, PP.6-12.
CHAPITRE 2 : L’AUDIT QUALITE 47
Le tableau (3) permet de bien comprendre que l’audit qualité interne s’inscrit
comme une donnée essentielle de la mesure, de l’analyse et de l’amélioration d’un
système de management de la qualité.
CHAPITRE 2 : L’AUDIT QUALITE 48
dysfonctionnements et de proposer les mesures utiles pour les résorber après en avoir examiné
tous les aspects, en concertation avec toutes les parties.
Les audits sont réussis s'ils permettent de détecter au plus tôt les problèmes et de les résorber
efficacement. Dans ce but, ils doivent prendre en compte la globalité de l’organisme, y
compris sa gestion, sa stratégie technique et commerciale et sa rentabilité.
- L'audit qualité interne a trois aspects :
• Une dimension informative : Qui permet de prendre connaissance en détail d'une
activité, de son déroulement et de ses problèmes.
• Une dimension d'amélioration.
• Une dimension de contrôle : l'audit doit bien entendu vérifier que l'activité se
déroule de façon ordonnée, c'est-à-dire en respectant les règles de travail utiles, sachant que la
notion de conformité au référentiel doit être considérée avec du recul.
Tout audit a ces trois dimensions, mais en modulant leur importance relative, on obtient une
grande variété d'audits, qui permettent de s'adapter aux différentes situations. On trouve ainsi
par exemple les cinq types d'audits qualité internes suivants, sachant que toutes les
combinaisons et tous les intermédiaires sont possibles :1
• Les audits "découvertes" : Ce sont les audits interservices, lorsque le commercial est
audité par la fabrication, l'après-vente par les achats… Ces audits présentent le grand intérêt
de faire découvrir les autres Services et de renforcer la compréhension par chacun des
problèmes et des contraintes des autres. Ils peuvent aussi être utiles pour les nouveaux…
Ce sont des audits axés sur la dimension informative. On ne leur demande pas d'améliorer où
de mener des contrôles élaborés (les auditeurs n'y sont généralement pas aptes).
• Les audits "d'améliorations" : Ce sont les audits menés sur une activité qui fonctionne
mal, dans le but de réfléchir aux améliorations. Ces audits doivent être menés par des
auditeurs compétents et expérimentés dans le domaine concerné (nous parlons bien du
domaine "organisationnel", par exemple le commercial, les études… et non du domaine
technique). Dans les cas difficiles, des auditeurs externes peuvent être la bonne solution. Une
participation de la Direction est souvent souhaitable.
• Les audits de "contrôle" : Ils portent sur les points dont on n'arrive pas à faire respecter
les règles, par exemple le rangement des dossiers, la propreté ; le port des équipements de
sécurité, etc. Ces audits seront souvent ponctuels. Ils seront effectués par des personnes
1
MOUGIN (Yvon) et KREBS (Geneviève) : Les nouvelles pratiques de l’audit qualité interne, édition AFNOR,
Paris, 2007, PP.4-6.
CHAPITRE 2 : L’AUDIT QUALITE 50
rigoureuses et ayant une bonne connaissance "technique" du problème. Ils pourront être
répétés régulièrement, par exemple tous les mois, toutes les semaines… jusqu'à ce que les
bonnes habitudes soient prises. Notons qu'il s'agit bien d'audits et non seulement de contrôles.
Ils doivent conserver une certaine dimension d'analyse des causes du dysfonctionnement et de
proposition d'améliorations, à partir des suggestions recueillies.
• Les audits de "surveillance" : Ce sont les audits menés régulièrement sans raison
précise, pour vérifier le bon fonctionnement d'une activité, de façon à détecter les amorces de
dérives et les problèmes sous-jacents, qui n'apparaissent pas. Ils sont un peu la synthèse des
précédents, sans spécialisation précise. Ils peuvent être menés régulièrement (une fois par an,
par exemple).
• Les audits de "pré certification" : Ces audits seront axés sur la vérification du respect
des normes et le rappel des exigences de celle-ci, la tenue à jour des procédures et leur
application, la bonne mise en œuvre des actions décidées…
Ils peuvent se combiner utilement avec les audits précédents de façon à maintenir le
certificat. Cette partie de l'audit peut être assurée par exemple par le responsable qualité ou un
bon spécialiste de la norme; qui sera membre de l'équipe d'audit.
1
http://fr.wikipedia.org/wiki/Audit#L.27audit_externe (18/03/2012 à 23h13).
CHAPITRE 2 : L’AUDIT QUALITE 52
éventuellement, par un expert technique ayant une maîtrise technique des activités de
l’entreprise.
L’équipe d’audit émet un rapport d’audit et les comités de certification de l’organisme
certificateur statuent, en attribuant, ou non, la certification. Si, au cours de l’audit
d’évaluation, des non conformités sont misent en évidence, le comité de certification peut
demander un audit complémentaire.
L’audit de suivi :
Après l’obtention de la certification, un audit de suivi est réalisé régulièrement. Un seul
auditeur réalise l’audit d’une partie seulement du système qualité. Il s’assure également que
les actions correctives, suite aux éventuelles remarques effectuées au cours de l’audit, ont bien
été mises en œuvre et que les actions sont efficaces.
L’audit de renouvellement :
Cet audit a lieu trois ans après l’audit d’évaluation ; il est réalisé par une équipe composée de
deux personnes : un responsable d’audit et un auditeur et il reprend l’ensemble des exigences
du model d’assurance qualité choisi par l’entreprise. Son objectif essentiel est de rendre
compte des progrès réalisés par l’entreprise dans le domaine de la qualité.
L’audit complémentaire :
L’audit complémentaire peut être programmé à l’issu d’un des audits précédemment définis,
lorsque des non-conformités ont été constatées, il s’agit, pour l’auditeur de s’assurer que des
actions correctives ont bien été mises en œuvre et que ces actions sont efficaces.
1-1- L’auditeur :
La performance d’un auditeur est fonction de trois composantes majeures pouvant être
représentées sous forme pyramidale (figure 1).
Figure n° 8 : Les compétences des auditeurs de système de management de la qualité
Maîtriser les
techniques
Expérience
d’auditeur
Formation à
l’audit
Education
Formation à la communication
Les qualités
Les compétences
requises
Ouverture Etre capable de prendre en considération des idées ou des points de vue
d’esprit différents.
Etre capable de faire preuve de tact et d’habileté dans les relations avec
Diplomate
autrui.
Etre capable d’observer en permanence son environnement en poursuivant
Observateur
des investigations.
Etre capable de suivre ses idées sans faire preuve d’entêtement caractérisé
Perspicace
(éviter les marottes).
Etre capable de s’adapter à différentes situations et d’assimiler le contexte
Polyvalent
d’intervention.
Esprit de Etre capable de tirer des conclusions fondées sur un raisonnement et une
décision analyse logique.
Etre capable de travailler en « solo » tout en établissant des relations
Autonomie
efficaces avec les autres.
Esprit de Etre capable de distinguer l’essentiel du superficiel, l’important du
synthèse dérisoire.
Empathie Etre capable d’auditer sans tenir compte de « l’individu » en tant que tel.
-Le sens de l’écoute.
-La curiosité.
Autre qualités
-La volonté de comprendre.
personnelles
-l’objectivité.
-La pertinence.
1-2-1- La direction :
La direction doit être impliquer et convaincu que l’audit qualité interne est une donne rentable
au service de son système de management de la qualité et de ses clients, et doit le considérer
comme un outil de progrès, et mettre à disposition les ressources nécessaires, exploiter
CHAPITRE 2 : L’AUDIT QUALITE 57
efficacement les résultats, compiler les données, faciliter les relations humaines, impliquer,
sensibiliser, et motiver le personnel …
Cependant, la direction doit encourager la réalisation des audits en intervenant sur deux
phases essentielles du processus d’audits : 1
1
VILLALONGA (Christophe) : l’audit qualité interne, une approche innovante et pragmatique pour manager
avec efficacité son processus d’audit, édition DUNOD, Paris, 2003, PP.96-97.
CHAPITRE 2 : L’AUDIT QUALITE 58
1
Christophe Villalonga « l’audit qualité interne, une approche innovante et pragmatique pour manager
avec efficacité son processus d’audit » Ed DUNOD, Paris, 2003, P109-110.
CHAPITRE 2 : L’AUDIT QUALITE 60
Lors du suivi des résultats d’audits : le pilote de processus doit être informé des
résultats d’audit. Il peut, selon les cas, participer à la définition et au suivi des
actions correctives en cas d’écart constaté lors de l’audit. Il est aussi en mesure de
prendre en compte les éventuelles recommandations d’amélioration.
Lors du déroulement de l’audit : Les audits sont des éléments opérationnels
permettant d’apporter des réponses concrètes à des missions confiées aux pilotes
de processus.
Dans ce contexte, les audits qualité internes son, pour les pilotes de processus, une source
d’information pour :
- Engager des actions correctives ;
- Identifier des opportunités d’amélioration ;
- Proposer des actions préventives associées ;
- Rendre compte du monde de fonctionnement des processus ;
- Rendre compte de l’efficacité du processus.
1-2-5- L’audité :
Pour assurer l’efficacité du processus d’audit, les audités doivent faire preuve d’une réelle
implication dans la réalisation de l’audit qualité. Cette implication peut se traduire par :
- une disponibilité en cours d’audit ;
- une ouverture d’esprit dans la prise en compte des observations ;
- une totale transparence sur les réponses apportées.
L’audité doit être coopératif, disponible, attentif et honnête et doit inspirer confiance à
l’auditeur.
CHAPITRE 2 : L’AUDIT QUALITE 61
Cette préparation /planification est l’œuvre pour l’auditeur désigné, elle implique de :
Source : MOUGIN (Yvon) et KREBS (Geneviève) : Les nouvelle pratiques de l’audit qualité
interne : édition AFNOR, Paris, 2007, P.46.
1
MOUGIN (Yvon) et KREBS (Geneviève) : Les nouvelle pratiques de l’audit qualité interne : édition AFNOR,
Paris, 2007, PP. 45-47.
CHAPITRE 2 : L’AUDIT QUALITE 63
Source : MOUGIN (Yvon) et KREBS (Geneviève) : La nouvelle pratique de l’audit qualité interne : édition
AFNOR, Paris, 2007, P.47.
-La répartition du questionnaire peut être collective : il s’agit de s’interroger sur les
finalités et les objectifs à atteindre.
-Privilégier l’usage des intercalaires pour bien distinguer les parties et l’usage des
post-it également.
- S’entendre soi- même sur la codification et les annotations à utiliser dans ces
documents lors de l’audit au moment de la prise de notes pour une relecture sans
équivoque en suite.
Elaborer le plan d’audit :
Le plan d’audit est l’organisation détaillée d’une étape du programme d’audit, il facilite
l’ordonnancement et la coordination des activités d’audit. Le contenu du plan d’audit doit être
adapté en fonction de la taille et de la complexité de l’audit.
CHAPITRE 2 : L’AUDIT QUALITE 65
- Planning précis de l’audit : les dates, les lieux et les horaires des activités d’audit.
1
VANDEVILLE (Pierre) et GABIER (Christiane) : Conduire un audit qualité : Méthodologie et techniques,
édition AFNOR, France, 1996, P.12.
CHAPITRE 2 : L’AUDIT QUALITE 66
Dans de nombreux cas, une démarche simplifiée peut être adoptée, en fonction des objectifs et
du champ de l'audit.
L’examen :
Rigoureux, il se déroule en suivant le plan établi en respectant les délais impartis. Il s’agit de
procéder selon deux niveaux : les responsables en premier et les responsables opérationnels
après (l’inverse est vrai aussi).
Les questions générales posées pour l’ouverture de l’audit sont, pour la politique qualité et les
objectifs qualité par exemple : « Connaissez-vous la politique qualité de la
direction ? », « Pouvez-vous me l’exposer ? Me l’expliquer ? », « Connaissez-vous les
objectifs généraux de l’entreprise ? », « Comment en avez-vous pris connaissance ? (Réunion,
note, affichage) »
Et quand il s’agit d’exiger des preuves :
- Puis-je examiner…… ?
- Présentez-moi……… ?
Lorsqu’un problème est constaté, il faudrait l’exposer clairement à l’audité (il peut ne pas être
d’accord) et s’assurer de bien tout comprendre (reformulation).
L’audit terrain est organisé en trois (03) parties :
L’analyse documentaire :
L’analyse des documents et des enregistrements est une méthode de recueil de l’information
couramment pratiquée voir même surpratiquée. En effet, certains auditeurs passent encore
beaucoup de temps à analyser toute la documentation et les enregistrements associés.
Elle concerne en premier lieu le manuel de management de la qualité, accessoirement les
procédures, modes opératoires. Les premières questions peuvent être :
- Est-il disponible ?
- Est-il à jour ?
- Analyse des phases et taches décrites par rapport à leur apport dans le système (valeur
ajoutée) : on cherche à comprendre au regard d’un fil conducteur qui est la politique et par
delà elle, les objectifs, les indicateurs qualité
- Couverture des risques potentiels par les exigences spécifiées : pour dégager les axes
d’amélioration (qu’est ce qui ce passe quand….. ?).
- Enregistrement : Pour se prémunir de risques, pour tracer et prouver ce qui a été fait.
2- L’entretien d’audit :
L’audit est un exercice délicat qui demande de la diplomatie dans la façon de communiquer et
de recevoir les messages. Une mauvaise communication induit systématiquement un mauvais
audit. Il importe donc au moment de l’audit d’être vigilant sur les points suivants :
Au début de l’entretien « Présentation générale »
Cette phase crée un climat de confiance entre l’audité et l’auditeur en permettant à ce dernier
de se présenter et de rappeler les objectifs de l’audit.
L’auditeur peut débuter ses investigations en se faisant préciser le contexte et/ou en
demandant à l’audité de décrire son travail. Il est important de mener l’entretien sur le lieu de
travail habituel afin de faciliter les recherches. De plus, il faut éviter de débuter l’entretien en
posant pas directement sur les activités traditionnelles de l’audit par exemple : « Pouvez-vous
me citer la politique qualité de l’entreprise ? », « quels sont vos objectifs qualité ? »…. .
CHAPITRE 2 : L’AUDIT QUALITE 69
- Maîtriser le temps d’audit imparti (en cas de dériver, l’auditeur doit apporter rapidement
des corrections pour respecter son engagement définis dans le plan d’audit).
Il convient dans la mesure du possible comme on avait dit précédemment, de réaliser les
entretiens d’audits sur le lieu de travail habituel de l’audité. En effet, une telle pratique permet
à l’audité d’évoluer dans un environnement connu ce qui facilite grandement les
investigations.
A la fin de l’entretien « Phase de conclusion » :1
Cette phase permet de résumer les résultats de l’entretien et de remercier les personnes
interrogées pour leur participation et leur coopération. L’auditeur doit s’assurer qu’il possède
bien toutes les preuves d’audit pour pouvoir formuler ses constats d’audits. Il convient de
1
V ILLALONGA (Christophe) : l’audit qualité interne, une approche innovante et pragmatique pour manager
avec efficacité son processus d’audit, édition DUNOD, Paris, 2003, P.65.
CHAPITRE 2 : L’AUDIT QUALITE 70
précise uniquement à l’audité les points sensibles observés sans aucune idée de classement.
En effet, à ce stade de l’audit, il est parfois difficile de se prononcer sur le fait qu’une
observation fasse réellement l’objet d’une non-conformité.
4- La prise de notes :
Questionner, écouter, observer, assimiler et noter en même temps est un exercice difficile. La
prise de notes est essentielle dans la conduite d’un audit pour être en mesure de restituer de
manière synthétique et pertinente les conclusions d’audits.
Cet exercice est plus ou moins difficile en fonction du nombre d’auditeurs et de
l’environnement dans lequel se situe l’audit. De plus le fait de noter facilite la compréhension
au moment de l’audit, c’est un moyen de s’assurer de la compréhension effective des
explications données par l’audité.
CHAPITRE 2 : L’AUDIT QUALITE 71
Noter ne doit en aucun cas perturber la relation entre l’auditeur et l’audité. La prise de notes
doit se faire naturellement tout au long de l’audit, et ne dois pas saccader le rythme de l’audit.
Cet exercice demande beaucoup de concentration et une écoute active vis-à-vis de son
interlocuteur.
Source : V ILLALONGA (Christophe) : l’audit qualité interne, une approche innovante et pragmatique
pour manager avec efficacité son processus d’audit, édition DUNOD, Paris, 2003, P.81.
Réunion de clôture :
C’est la dernière étape du processus d’audit mettant en relation l’auditeur et l’audité ainsi que
ses représentants.
Avant la réunion de clôture, les membres de l'équipe d'audit se réunissent pour :
- Revoir les constats et toutes autres informations appropriées recueillies pendant l'audit,
CHAPITRE 2 : L’AUDIT QUALITE 72
- Un accord de l'audité,
Rapport d’audit :
Le rapport d’audit doit être le fidèle reflet de la restitution effectuée en réunion de clôture.
Selon le cas le rapport d'audit comprend également, ou fait référence au éléments suivants :
- les critères d'audit, y compris la liste des documents de référence sur lesquels s'est
appuyé l'audit,
- la preuve que les objectifs et le champs d'audit ont été respectés conformément au plan
d'audit,
L'audité est chargé de déterminer et de déclencher toutes les actions correctives nécessaires
pour traiter une non-conformité. Il convient de mener les actions correctives et les actions de
suivi ultérieures qui peuvent inclure des audits supplémentaires, dans les délais convenus. Il
convient que l'audité informe le client de l'audit de l'état d'avancement des activités d'action
corrective.
Il convient de vérifier les actions correctives conformément à la procédure documentée
appropriée. Un rapport de suivi peut être préparé et diffusé d'une façon similaire à celle du
rapport d'audit original.
CHAPITRE 3: PRESENTATION DE L’ORGANISME D’ACCUEIL 76
1-Historique:
L’ENAC a hérité d’un savoir faire issu des anciennes structures de SONATRACH (DTC et
ALCIP de 1967 à 1983), des grands projets qu’elle a réalisé (GC1 Ø42'', GZ3 Ø42'', GK2
Ø42", ART, OH3, OH4, et de tant d’autres), ainsi que de l’expertise d’ALEIP de 1975 à
1983 notamment dans le domaine de l’engineering et du contrôle qualité des travaux et de sa
propre expérience acquise depuis plus de trente années.
En juin 1999, l’ENAC a été transformée en société par actions (Spa) et devient filiale à 100%
du Groupe SONATRACH relevant du Holding SPP «Services Para Pétroliers» et de l’Activité
Amont.
L'Entreprise Nationale de Canalisations ENAC est une société pionnière dans la construction
et la pose de canalisations de transport d’hydrocarbures liquides et gazeux, l’ENAC dispose
d’un capital expérience riche de plusieurs années dans les travaux de pose de pipe-lines.
Ces atouts confortés par une expérience avérée dans l’international (Tchad, Tunisie, Inde) ont
fait de l'Entreprise ENAC, un instrument privilégié, occupant de par ses importantes
potentialités, un acteur dynamique au service du Développement du Secteur de l'Energie et
des Hydrocarbures au sein du Groupe SONATRACH dans le quel elle occupe un
positionnement prépondérant maintenant.
Implantation :
Siège Social : 132, RUE DE TRIPOLI, HUSSEIN DEY ALGER
Tel. 213 (0) 21 77 04 63/64
Base Logistique : Mohammadia (Alger)
Direction Régionale Est : Khroub (Constantine)
Direction Centre Logistique : Djelfa
Direction Centre Logistique : Ghardaïa
Direction Régionale Ouest : Bethioua (Oran)
Moyens Humains et Matériels de l’ENAC :
- Maîtrise : 1 595
L’ENAC dispose d’un parc matériel de 1818 unités à la hauteur de ses ambitions pour la
construction de Pipe-lines allant de 8 à 48 pouces réparti comme suit :
Transport : 703
Génie Civil : 240
Levage & manutention : 114
Production Energie : 386
Spécifique Pipe : 198
Auxiliaire : 177
CHAPITRE 3: PRESENTATION DE L’ORGANISME D’ACCUEIL 78
2-Missions de l’ENAC :
Dans le cadre de ses activités, l’entreprise nationale de canalisations assure les missions
suivantes :
3- Fonctionnement de l’ENAC :
Le Conseil d’administration :
Et en application de son article 610 (Décret législatif N° 93-08 du 25 Avril 1993), l’ENAC
est administrée par un conseil d’administration composé de 07 membres.
Le fonctionnement de son conseil d’administration est régi par les articles 610 à 641 du code
de commerce.
CHAPITRE 3: PRESENTATION DE L’ORGANISME D’ACCUEIL 79
En application du code du commerce, son chapitre III –Section IV , portant sur le contrôle des
sociétés par actions ( Art 715 Bis-4 ) l’ENAC est contrôlée par un commissaire aux comptes
désigné par le propriétaire de l’entreprise – SONATRACH (Société mère ) pour des mandats
de 03 exercices.
Il a pour mission permanente de vérifier les livres et les valeurs et de contrôler la régularité et
la sincérité des comptes sociaux.
Les objectifs de la direction énoncés sous forme d’axes stratégiques, sont déclinés sur tous les
processus aux moyens de la matrice de déclinaison des objectifs stratégiques au niveau
opérationnel.
La prise en charge de l’activité de l’entreprise s’appuie sur la mise en place d’une structure organisationnelle selon le détail suivant :
Figure n°12 : Organigramme général de l’ENAC
CHAPITRE 3: PRESENTATION DE L’ORGANISME D’ACCUEIL 81
2- Structuration de l’ENAC :
La structuration de l’ENAC Se présente par niveau :
Un niveau stratégique prise en charge par la direction générale
-Politique de l’entreprise
- Plan de développement de l’entreprise
- Programmes pluriannuels
- Etc.
Un niveau de pilotage pris en charge par les structures centrales
- Elaboration des programmes dé globalisés
- Budgets, Bilans et comptes prévisionnels
- Elaboration des procédures, normes et standards et méthodes de travail
- Contrôle budgétaire et tableaux de bord
Un niveau opérationnel pris en charge par les Directions Régionales pour les
projets et Centres de maintenance :
- Mise en œuvre des programmes
- Application des normes et procédures
- Mesure en temps réel des performances
- Correction et information
Intégrer l’objectif de maîtrise des coûts pour éviter une multiplication de structures et
niveaux hiérarchiques, coûteuse et source de dysfonctionnements.
CHAPITRE 3: PRESENTATION DE L’ORGANISME D’ACCUEIL 82
Organigramme de la DRH :
DIRECTION
Secrétariat
(CF)
CHAPITRE 3: PRESENTATION DE L’ORGANISME D’ACCUEIL 83
Tableau n° 7: La partie du programme d’audit pour l’année 2011 qui nous concerne.
Processus /
Critères d’audit Objectifs J F M A M J J A S O N D
Activités
Politique qualité
Procédure maîtrise
des documents
Procédure maîtrise
des enregistrements
Procédure gestion
des actions Vérifier la
correctives et conformité du
préventives processus par
Procédure de rapport aux
critères d'audit.
recrutement Vérifier la levée
Procédure Formation des écarts de
Gestion Procédure l'audit interne
des
d’évaluation des précédant.
ressources
compétences Vérifier la Levée
humaines
des écarts de
Suivi des non- l'audit tierce
conformités Vérifier la Levée
Efficacité des actions des écarts de
correctives et l'audit tierce de
préventives mise en l’année 2012 (s’ils
existent).
place
Mesure des objectifs
qualité.
Fiches de poste
Analyse des données
CHAPITRE 4 : AUDIT QUALITE INTERNE DE LA DIRECTION
RESSOURCES HUMAINES DE L’ENAC 86
Politique Qualité
Procédure maîtrise des documents
Procédure maîtrise des enregistrements
Procédure gestion des actions correctives et
préventives
Procédure de recrutement
Procédure Formation
Procédure d’évaluation des compétences
Suivi des non-conformités
Efficacité des actions correctives et préventives
mise en place
Mesure des objectifs qualité.
Fiches de poste
Analyse des données
Réunion de clôture :
. Validation des Constats d’audit
CHAPITRE 4 : AUDIT QUALITE INTERNE DE LA DIRECTION
RESSOURCES HUMAINES DE L’ENAC 87
2. Réalisation de l’audit :
2.1.Réunion d’ouverture :
Après une présentation mutuelle le RA expliqua les règles d’audit et son importance quant à
l’amélioration des processus et le maintien du SMQ.
2.2. Le questionnement :
Sur la base du check-list préétabli, des questions ont été posé à l’audité où à ses représentants,
et pour toute réponse des preuves tangibles ont été demandées pour la validation des constats
classés comme suit :
- Conformité.
- Non-conformité.
- Opportunité d’amélioration.
Check-list audit qualité interne direction ressources humaine
DATE
PAGE 1
Auditeurs :
Check list audit GRH
Processus Ressource Humains
Nombre de pages: 4
Critères se l’audit : Ecart
Chapitres de la norme
Iso 9001/2008 et OUI NON COMMENTAIRE
procédures ENAC QUESTIONS
Avez-vous la procédure de
maîtrise des documents ? X
Procédure maîtrise des
documents
Est-ce que la liste des documents La liste existe,
internes applicables est mise à X néanmoins elle n’est
jour ? pas mise à jour.
Avez-vous la procédure de
4.2.4 maîtrise des enregistrements ? X
Procédure maîtrise des Est ce que la liste des
enregistrements enregistrements applicables est
mise à jour ? X
La politique qualité
La politique qualité est-elle
5.3 est bien diffusée,
diffusé et compris par l’ensemble X
Politique qualité mais non compris
du personnel ?
par le personnel.
5.4.1 Comment les objectifs qualité
Fiche des objectifs sont-ils déclinés en cohérence X
qualité avec la politique qualité ?
CHAPITRE 4 : AUDIT QUALITE INTERNE DE LA DIRECTION
RESSOURCES HUMAINES DE L’ENAC 88
DATE
PAGE 2
Auditeurs :
Check list audit GRH
Processus Ressource Humains Nombre de pages: 4
Ecart
Critères d’audit :
Chapitres de la
norme QUESTION OUI NON
COMMENTAIRE
Iso 9001/2008 et
procédures ENAC
Les fiches de postes
Avez vous décliner les existent (mais il
responsabilités et autorités par manque quelques
X
poste de travail ? (fiches de fiches ex : Chargé
5.5.1/6.2.2
postes) d’étude de la
commercial)
Avez-vous l’organigramme de la
X
structure ?
Pouvez vous nous présenter la
5.5.2 décision de nomination du
X
responsable mangement qualité ?
Un plan d’action issu
Comment sont déclinées les de la revue de
actions issues de la revue de direction est établi
5.6 direction ? X aucun suivi ne nous a
été présenté.
CHAPITRE 4 : AUDIT QUALITE INTERNE DE LA DIRECTION
RESSOURCES HUMAINES DE L’ENAC 89
DATE
PAGE 3
Auditeurs : Check list audit GRH
Processus Ressource Humains
Nombre de pages: 4
Critères de Ecart
l’audit :
Chapitres de la COMMENTAIRE
norme OUI NON
Iso 9001/2008 et
QUESTION
procédures ENAC
Comment gérer vous les demandes
de besoin en ressources humaines
X
émanant des structures ?
Les recrutements se
Avez-vous le plan prévisionnel de
X font suite à des
recrutement 2011 ?
demandes ponctuelles
Pouvez-vous nous donner un
dossier administratif d’un Le dossier existe.
X
ingénieur management qualité.
Donnez nous :
5. Le contrat de travail ? X
Il n’y a pas
6. Les fiches
dévaluation des
d’appréciation après la X
travailleurs après la
période d’essai ?
période d’essai.
7. La politique qualité ? Absence de la mention
X
(approuvé et lu) approuvé et lu.
CHAPITRE 4 : AUDIT QUALITE INTERNE DE LA DIRECTION
RESSOURCES HUMAINES DE L’ENAC 90
DATE
PAGE
4
Auditeurs :
Check list audit GRH
Processus Ressource Humains Nombre de pages : 4
1- Données introductives :
Objectif de l’audit :
- Vérifier la conformité du processus par rapport aux critères d’audit.
- Vérifier la levée des réserves de l’audit interne précédent
Champ de l’audit :
Processus Gestion Ressources Humaines (siège de l’ENAC)
Les observateurs :
Néant
2- Synthèse générale :
Le processus est suivi à l’aide d’un tableau de bord qualité qui nous renseigne sur
l’évolution des indicateurs qualité, le pilote processus procède à l’analyse des résultats
de la mesure des indicateurs selon les fréquences de calcul, arrête le plan d’action pour
réduire les éventuels écarts et assure l’amélioration continue de la performance de son
processus.
Les dossiers du personnel sont bien classés et suivis.
Les besoins en formation de l’ensemble du personnel sont identifiés.
3- Observations et évaluations :
Après les résultats obtenus nous présenterons les observations de non conformités :
- La politique Qualité bien que diffusée (disque publique des stations informatiques,
écrans plasma, affichage dans des cadres), elle n’est pas compris par l’ensemble du
personnel).
- Le suivi du plan d’action issu de la revue de direction n’est pas assuré pour démontrer
leur efficacité.
- Les responsabilités et autorités sont définies et communiquées dans l’entreprise
néanmoins quelques postes sont identifiés dans l’organigramme sans que la fiche de
poste ne soit établie (ex : Chargé d’étude de la commercial)
- Le plan prévisionnel de recrutement n’est pas établi (les recrutements se font suite à
des demandes ponctuelles émanant des structures de l’entreprise)
- Les dossiers de personnel sont disponibles néanmoins les travailleurs ne sont pas
évalués après la période d’essai pour confirmer leur compétence.
Et un manque de sensibilisation sur la politique qualité.
- Les fiches d’entretiens pour les candidats non retenus au cours des tests ne sont pas
disponibles.
- L’évaluation à froid des formations n’est pas systématique, exemples : formations
AMDEC, maintenance (analyse des méthodes de défaillance).
L’évaluation et la réévaluation des organismes de formation ne se font pas
systématiquement (ex : INPED)
- La compagne d’évaluation des compétences de l’exercice 2012 n’est pas encore
entamée tel que prévue sur la procédure applicable.
- Des actions correctives et des actions préventives sont entreprises pour éliminer les
causes des non conformités réelles et potentielles mais aucun plan d’action n’est établi
pour la levée des écarts.
CHAPITRE 4 : AUDIT QUALITE INTERNE DE LA DIRECTION
RESSOURCES HUMAINES DE L’ENAC 93
En fonction des défaillances (non conformités) constatées au cours de l’audit de la DRH nous
proposons quelques suggestion et recommandation qui pourront aider l'entreprise à
s'améliorer dans les années avenir :
- la mobilisation et la sensibilisation du personnel.
- renforcer la communication sur le management de la qualité.
- la sensibilisation sur la politique qualité.
- optimiser l’exploitation des outils et méthodes d’amélioration de la qualité.
- l’amélioration des interrelations entre les processus.
- la mise à jour de la liste des documents internes applicables permettant la maîtrise des
documents.
- l’établissement d’un plan d’action pour la levée des écarts.
- l’établissement du plan prévisionnel de recrutement.
Conclusion
Générale
Conclusion Générale 95
Conclusion générale:
Nous voici à la fin de notre Travail qui s'intitule : Audit qualité interne au système
management qualité, un outil pour l’amélioration continue. Pour franchir la fin de notre
second cycle de licence. Ce projet était une bonne occasion pour sortir du cadre théorique et
appliquer les connaissances acquises lors des études universitaires dans un environnement réel
de travail qui nous a permis d'initier dans le domaine professionnel et d'apprendre plusieurs
attitudes et habitudes sociales telles que le travail en groupe et la collecte d’informations,
l’élaboration de cette ébauche n’était pas facile mais au delà de tout nous avons eu du plaisir à
travailler en équipe, plaisir de partagé, plaisir de vaincre des obstacles et surtout du plaisir à
réussir.
Tout au long de notre recherche, nous avons tenté de fournir une preuve que les audits
qualité interne tels que exigés par la norme ,constituent un moyen efficace pour l’entreprise
afin de maintenir et améliorer son système management de la qualité.
L’audit effectué a permis de vérifier la pertinence de ces actions. Aussi nous avons relevé
que les changements opérés dans l’organisation a affecté le système et celui-ci a été constaté
sur le rapport d’audit au nombre des non-conformités authentifiées.
De ce qui précède, nous pouvons conclure que l’audit qualité interne reste un moyen
nécessaire pour une amélioration d’un SMQ, car il permet :
- Une meilleure prise en charge des non conformités pour la vérification de l’efficacité
des traitements préconisés.
- Une diminution des frictions existantes entre les différents pilotes des processus
(représentants des différentes directions).
Ouvrages :
Travaux universitaires
- AZOUAOU KATIA, audit formation, mémoire de licence, institut national de commerce,
Alger2004
- DIAF et LATIOUI, essai de réalisation d’un audit social, mémoire de licence, institut national
de commerce, Alger2008
- BERTAL Salah, ENSSAD Fethi et LAKHDARI Badreddine, « Audit qualité interne, comme
outil de progrès au service management de la qualité, cas Groupe SAIDAL», Licence en sciences
commerciales, INC 2004.
Références normatives :
La norme ISO 9001/2008 : Système management qualité exigences.
La norme 190011
Sites web :
http://www.utc.fr/~tthomass/Themes/Unites/unites/infos/normes/Les_normes.pdf
http://www.kcg.com.sg/history-iso9000.html
http://commons.wikimedia.org/wiki/File:RoueDeDeming.PNG?uselang=fr
http://www.dissertationsgratuites.com/sujets/henry-mintzberg-organisation
http://www.performancezoom.com/qualite-age-amelioration.php
http://www.iso.org
http://www.qualite-info.net/Articles/Art22_preparerauditcertif.htm
http://www.qualite-info.net/Articles/Art22_preparerauditcertif.htm
http://fr.wikipedia.org/wiki/Audit#L.27audit_externe
http://www.dissertationsgratuites.com/dissertations/Audit-Qualit%C3%A9/129435.html
Glossaire
Glossaire:
Activité d'audit interne :
Assurée par un service, une division, une équipe de consultants ou tout autre praticien, c'est une
activité indépendante et objective qui donne à une organisation une assurance sur le degré de
maîtrise de ses opérations, lui apporte ses conseils pour les améliorer/et contribue à créer de la
valeur ajoutée. L'activité d'audit interne aide cette organisation à atteindre ses objectifs en
évaluant, par une approche systématique et méthodique, ses processus de gouvernement
d'entreprise, de management des risques et de contrôle, en faisant des propositions pour
renforcer leur efficacité.
Activités d'assurance :
Il s'agit d'un examen objectif d'éléments probants, effectué en vue de fournir à l'organisation une
évaluation indépendante des processus de gouvernement d'entreprise, de management des
risques et de contrôle. Par exemple, des audits financiers, de performance, de conformité, de
sécurité des systèmes et de due diligence.
Activités de conseil :
Conseils et services y afférents rendus au client donneur d'ordre, dont la nature et le champ sont
convenus au préalable avec lui. Ces activités ont pour objectifs de créer de la valeur ajoutée et
d'améliorer les processus de gouvernement d'entreprise, de management des risques et de
contrôle d'une organisation sans que l'auditeur interne n'assume aucune responsabilité de
management. Quelques exemples : avis, conseil, assistance et formation.
Appétence pour le risque :
Niveau de risque qu'une organisation est prête à accepter.
Atteinte :
Parmi les atteintes à l'indépendance du service d'audit interne et à l'objectivité individuelle
peuvent figurer le conflit d'intérêts personnel, les limitations du champ d'un audit, les restrictions
d'accès aux dossiers, aux personnes, et aux biens, ainsi que les limitations de ressources telles
que les limitations financières.
Cadre de référence international des pratiques professionnelles (CRIPP) :
Cadre de référence qui structure les lignes directrices édictées par l'IIA. Ces lignes directrices
sont soient (1) obligatoires soient (2) approuvées et fortement recommandées.
Caractère significatif :
Niveau d'importance relative d'un événement, dans un contexte donné et selon des facteurs
d'appréciation qualitatifs et quantitatifs tels que l'ampleur, la nature, l'effet, la pertinence et
l'impact de cet événement. Les auditeurs internes font preuve de jugement professionnel
lorsqu'ils apprécient le caractère significatif des événements selon des objectifs pertinents.
Charte :
La charte d'audit interne est un document officiel qui précise la mission, les pouvoirs et les
responsabilités de cette activité. La charte définît la position de l'audit interne dans
l'organisation; autorise l'accès aux documents, aux personnes et aux biens, nécessaires à la
réalisation des missions; définit le champ des activités d'audit interne. L'approbation finale de la
charte d'audit interne relève de la responsabilité du Conseil.
Code de Déontologie :
Le Code de Déontologie de l'Institut comprend les principes applicables à la profession et à la
pratique de l'audit interne, ainsi que les règles de conduite décrivant le comportement attendu
des auditeurs internes. Le Code de Déontologie s'applique à la fois aux personnes et aux
organismes qui fournissent des services d'audit interne. Il a pour but de promouvoir une culture
de l'éthique au sein de la profession d'audit interne.
Conflit d'intérêts :
Toute relation qui n'est pas ou ne semble pas être dans l'intérêt de l'organisation. Un conflit
d'intérêts peut nuire à la capacité d'une personne à assumer de façon objective ses devoirs et
responsabilités.
Conformité :
L'adhésion aux règles, plans, procédures, lois, règlements, contrats ou autres exigences.
Conseil :
Le Conseil est un organe de gouvernance d'une organisation. Il peut s'agir d'un Conseil
d'administration, d'un Conseil de surveillance, de l'organe délibérant d'un organisme public ou
d'une association ou de tout autre organe y compris le Comité d'audit auquel le responsable de
l'audit interne peut être rattaché sur le plan fonctionnel.
Contrôle (dispositifs de contrôle) :
Toute mesure prise par le management, le Conseil et d'autres parties afin de gérer les risques et
d'accroître la probabilité que les buts et objectifs fixés seront atteints. Les managers planifient,
organisent et dirigent la mise en œuvre de mesures suffisantes pour donner une assurance
raisonnable que les buts et objectifs seront atteints.
Contrôle adéquat :
C'est le cas lorsque le management s'est organisé de manière à apporter une assurance
raisonnable que les risques que court l'organisation, ont été gérés efficacement et que les buts et
objectifs de l'organisation seront atteints d'une manière efficace et économique.
Contrôles relatifs aux technologies de l'information :
Contrôles qui viennent en appui de la gestion et de la gouvernance de l'organisation et qui
comportent des contrôles généraux et des contrôles techniques sur les infrastructures des
technologies de l'information dans lesquelles on retrouve les applications, les informations, les
installations et les personnes.
Environnement de contrôle :
L'attitude et les actions du Conseil et du management au regard de l'importance du (dispositif de)
contrôle dans l'organisation. L'environnement de contrôle constitue le cadre et la structure
nécessaires à la réalisation des objectifs primordiaux du système de contrôle interne.
L'environnement de contrôle englobe les éléments suivants :
Intégrité et valeur éthique ;
philosophie et style dé direction ;
structure organisationnelle ;
attribution des pouvoirs et responsabilités ;
politiques et pratiques relatives aux ressources humaines ;
compétence du personnel.
Fraude :
Tout acte illégal caractérisé par la tromperie, la dissimulation ou la violation de la confiance sans
qu'il y ait eu violence ou menace de violence. Les fraudes sont perpétrées par des personnes et
des organisations afin d'obtenir de l'argent, des biens ou des services, ou de
s'assurer un avantage personnel ou commercial.
Gouvernance des technologies de l'information :
La gouvernance des technologies de l'information consiste à diriger et à définir l'organisation et
les processus qui permettent de soutenir et supporter la stratégie et les objectifs de l'organisation.
Gouvernement d'entreprise :
Le dispositif comprenant les processus et les structures mis en place par le Conseil afin
d'informer, de diriger, de gérer et de piloter les activités de l'organisation en vue de réaliser ses
objectifs.
Indépendance :
Le fait de n'être exposé à aucune situation susceptible d'altérer l'objectivité, en réalité ou en
apparence. Cette situation doit être gérée à différents niveaux :
Au niveau de l’auditeur interne ;
Au niveau de la conduite de la mission ;
Au niveau de l’audit interne et de son positionnement dans l’organisation.
Management des risques :
Processus visant à identifier, évaluer, gérer et piloter les événements éventuels et les situations
pour fournir une assurance raisonnable quant à la réalisation des objectifs de l'organisation.
Mission :
Une mission, tâche ou activité de révisions particulières telles qu'un audit interne, une revue
d'auto-évaluation, l'investigation d'une fraude ou une mission de conseil. Une mission peut
englober de multiples tâches ou activités menées pour atteindre un ensemble déterminé
d'objectifs qui s'y rapportent.
Norme :
Document d'ordre professionnel promulgué par « the Internal Auditing Standards Board »
(Comité interne à NIA chargé d'élaborer les Normes) afin de définir les règles applicables à un
large éventail d'activités d'audit interne et utilisables pour l'évaluation de ses performances.
Objectifs de la mission :
Enoncés généraux élaborés par les auditeurs internes et définissant ce qu'il est prévu de
réaliser pendant la mission.
Objectivité :
Altitude intellectuelle impartiale qui permet une indépendance d'esprit et de jugement et
implique que les auditeurs internes ne subordonnent pas leur propre jugement à celui d'autres
personnes. Leurs appréciations doivent être fondées sur les faits ou preuves indiscutables et
s’appuyer sur des travaux incontestables exempts de tout préjugé.
Prestataire externe :
Une personne ou une entreprise, extérieures à l'organisation, qui possèdent des connaissances, un
savoir-faire et une expérience spécifiques dans une discipline donnée.
Processus de contrôle :
Les règles, procédures et activités faisant partie d'un cadre de contrôle interne, conçues pour
assurer que les risques sont contenus dans les limites de tolérance fixées par le processus de
management des risques.
Programme de travail de la mission :
Un document énumérant les procédures à mettre en œuvre, conçu pour réaliser le plan de
mission.
Responsable de l'audit interne :
Le responsable de l'audit interne occupe un poste hiérarchique de haut niveau au sein de
l'organisation. En principe, dans une activité d'audit interne organisée de manière classique, ce
serait le Directeur de l'audit interne. Lorsque, les activités d'audit interne sont confiées à des
prestataires externes, le responsable de l'audit interne est la personne chargée de surveiller
l'exécution du contrat de services et l'assurance de la qualité de ces activités, et qui rend compte à
la Direction Générale et au Conseil des activités d'audit interne et du suivi des résultats des
missions. Le titulaire de ce poste peut également porter le titre d'auditeur général, de chef de
l'audit interne, de directeur d'audit interne ou d'inspecteur général.
Risques résiduels :
Les risques qui subsistent après les mesures prises par le management pour réduire l'impact
et la probabilité d'occurrence d'un événement défavorable et, notamment, les dispositifs de
contrôle mis en place en réponse à un risque.
Techniques d'audit informatisées :
Tout outil d'audit automatisé tel que les logiciels d'audit généralisés, les générateurs de
données de test, les programmes d'audit informatisés et les utilitaires d'audit spécialisés et
les techniques d'audit assistées par ordinateur.
Valeur ajoutée :
Les missions d'assurance comme les missions de conseil apportent de la valeur ajoutée en
augmentant les chances de réaliser les objectifs de l'organisation, en identifiant les
améliorations possibles sur le plan opérationnel, et/ou en réduisant l'exposition aux risques.
Annexes
Liste des annexes
Version : 03
Contrôlée
Signature
Nature des
Version Date Modifications
01 Création du manuel
14.07.2007
qualité
Modification :
Fiches interactions
15.03.2009 Déclinaison des
02
objectifs
opérationnels
Modification :
Fiches interactions
La liste des
03 21. 02 .2010 procédures
applicables.
L'organisation de
l'entreprise
Sommaire
2- Présentation de l’Entreprise
Création
L’Entreprise Nationale de
Canalisations -ENAC, a été crée
lors de la restructuration de
SONATRACH à partir de la
Direction travaux et construction
et la filiale ALEIP, par décret n°
81/175 du 01 Août 1981. La
substitution réelle à
SONATRACH a eu lieu LE 01
Janvier 1984 par arrêté n° 01 du
18Janvier 1984.
Le Conseil d’administration :
Missions de l’ENAC.
Dans le cadre de ses activités l’ENAC assure les missions :
L’engineering du transport
d’hydrocarbures par canalisations.
Structuration de l’ENAC.
SONATRACH
NAFTAL
SONELGAZ- GRTG
A O A (Algérie Oman lil Asmida)
Principaux Moyens
Le parc matériel de l’entreprise se compose d'unités reparties comme suit :
Secrétariat
Logistique
01 Responsable de Travaux
Directeur
Régional
Secrétariat
Directeur Régional
Adjoint
Service Service
Approvisionnement Technique
Et gestion Stocks
Service Service
Matériel et Essai + O.C
Maintenance
Projet (s)
Service Service Cost
Gestion de Base de Contrôle
vie
Développement de La qualité de nos Le développement des L’utilisation optimale et L’alliance avec des Réduction Maximale des
Objectifs l’agressivité commerciale de produits et des services Compétences et rationnelle de nos moyens professionnels partageant Coûts de Non Qualité
manière à assurer un plan fournis à nos clients l’amélioration des et capacité les mêmes valeurs
de charge conséquent et performances globales d’intervention.
régulier.
Processus
Déterminer le Assigner les objectifs et Assigner des objectifs Installation d’outils de Définir les axes Installation d’une
Management positionnement actionner les leviers afin opérationnels axés sur la gestion de projet d’alliance stratégique : comptabilité analytique
stratégique de de réduire les écarts spécialisation des performant apports complémentaires Veiller au respect du
l’entreprise : Projet en Assurer une revue de effectifs sur les projets en reporting coûts afin
EPC, concentration sur processus trimestrielle développement. d’établir une base de
les ouvrages de pure afin d’augmenter la données d’analyse
canalisation. réactivité
Installation d’une veille Animer les réunions de Evaluer les Augmenter le niveau de Réaliser des offres en Etablissement d’un
Commercial commerciale revue des exigences collaborateurs recouvrement des EPC avec des partenaires Reporting financier précis
Réussir le maximum Mesurer les risques des Proposer actions de créances ayant des capacités de
d’offres techniques et engagements formation management de projets et
commerciales de procurement
Analyse permanente de
la concurrence
Traiter les doléances du Respect des règles de Evaluer les Réduction des Se conformer aux Mettre en place un contrôle
Travaux client avec célérité l’art dans la réalisation collaborateurs Prestations Non références internationales coût (cost. control) interne
Maximiser les des ouvrages Proposer actions de Conformes en matière de au niveau de chaque phase
attestations de bonne formation management des projets de réalisation
exécution
Etudes Mise en valeur des Respect des plannings de Evaluer les Réduction des Se conformer aux Mettre en place un contrôle
solutions techniques conception en terme de collaborateurs Prestations Non références internationales interne au niveau de chaque
éprouvées. délais et Qualité Proposer actions de Conformes en matière de phase de conception
formation management des projets
Développement de
Objectifs l’agressivité commerciale La qualité de nos
Le développement des L’utilisation optimale et L’alliance avec des
Compétences et rationnelle de nos professionnels Réduction Maximale des
de manière à assurer un produits et des services
plan de charge conséquent l’amélioration des moyens et capacité partageant les mêmes Coûts de Non Qualité
fournis à nos clients
et régulier. performances globales d’intervention. valeurs
Processus
H.S.E Avancer les progrès en Respect des règles dans Evaluer les S’assurer de la S’assurer que les Diminuer les arrêts de
HSE pour une meilleure l’élaboration des offres collaborateurs conformité des partenaires partagent les travail dus aux accidents
attractivité vis-à-vis des techniques (plan HSE) Sensibiliser les équipements mêmes valeurs en
clients Assurer un intervenants Evaluer les risques et matière de HSE
environnement de travail Proposer actions de mise en œuvre des
sûr formation mesures de contrôle
Passation des Développer une approche Veiller à Evaluer les Minimiser les délais Etablir des relations de Mise en place de
marchés de prospection élargie afin l’approvisionnement collaborateurs d’approvisionnement et partenariat avec les fichiers fournisseurs et
de bénéficier des meilleurs dans les délais et au Proposer actions de de réapprovisionnement fournisseurs les mieux maîtrise de leurs
rapports qualité/prix et stockage adéquat des formation des projets. évalués (portefeuille évaluations
rendre les offres incorporables des fournisseur)
commerciales compétitives chantiers
Planification et Evaluer les Assurer une
Gestion Matériel & réalisation de la collaborateurs disponibilité maximale Assurer un entretien
Maintenance maintenance préventive Proposer actions de des ressources matériels adéquat du parc matériel
du parc matériel formation au niveau des projets afin de réduire les pertes
Acquisition de Mise à disposition des Mettre en place un plan Etablissement d’une Evaluer les apports des Sensibilisation au
compétences projets de ressources de formation axé sur la GPEC (gestion partenaires en terme de concept de gestion des
GRH commerciales en interne humaines compétentes spécialisation des prévisionnelle des savoir faire et de bonnes coûts (notion de coûts
(formation) ou externe Communiquer les effectifs techniques. emplois et compétence) pratiques (retour de non qualité)
(recrutement) objectifs aux personnels d’expérience) Développer un système
de Motivation pour les
idées de réductions des
pertes.
Mise à jour du site web Gérer le Logiciel de Evaluer les Gérer la Base de Eliminer les risques de
avec une interface suivi des projets collaborateurs données permettant perte de données
commercialement Mise à disposition de Proposer actions de d’arrêter des standards
Informatique accrocheuse et logiciels et veiller à leur formation et normes entreprise
ergonomique mise à jour
Objectifs La qualité de nos
Le développement des L’utilisation optimale et L’alliance avec des
Développement de
Compétences et rationnelle de nos professionnels Réduction Maximale des
l’agressivité commerciale produits et des services
pour un plan de charge
l’amélioration des moyens et capacité partageant les mêmes Coûts de Non Qualité
fournis à nos clients
performances globales d’intervention valeurs
Processus
Optimiser la
Acquisition de savoir
Contrôle planification des
faire dans le pré-
technique contrôles
Proposer des actions commissionning & le
Mise en valeur de la Evaluer les radiographiques
Correctives et commissionning Réduction les reprise
prestation QA / QC collaborateurs Maîtriser la disponibilité
préventives après des CND non concluants
délais/qualité Proposer actions de des équipements
analyse des P.N.C
formation stratégiques de contrôle
(sources radiographique,
films etc.)
Veiller à l’Ajustement
Planification de la planification au fur Etablir les rapports
Maîtrise du reporting
et a mesure de Maîtrise du reporting, et Instaurer un système de d’activité pour l’analyse
financier et
l’acquisition de implémentation des reporting adapté au plan des coûts de réalisation
implémentation des
nouveaux marché pour tableaux de bord de charge entreprise. Mise en place des
tableaux de bord
une meilleure pro standards de réalisation
activité commerciale
La mise en place d’un SMQ à ENAC a conduit à l’identification de 10 processus
répartis :
Processus Management
Commercial Travaux
EXIGENCES CLIENTS, LEGALE &
SATISFACTION CLIENTS
REGLEMENTAIRE
Etudes H.S.E
Processus Réalisation
G.R.H G.Matériel et
Informatique
maintenance
Processus Support
Les interactions entre les processus sont explicitées par les fiches d’interaction suivantes :
PROCESSUS COMMERCIAL
Travaux Analyse des résultats / Fiches NC / Rendements et Performances / Travaux
Contrats / ODS /Réclamations clients
Attachements
Etudes
Etudes Analyse des résultats / Fiches NC / Rendements et Performances Contrats / ODS / Réclamations clients
Contrôle Analyse des résultats / Rendements et Performances Contrats / ODS / Réclamations clients
Contrôle
Analyse des résultats / Règles HSE Exigences clients (CDC) / Réclamations clients H.S.E
H.S.E
Passation des marchés Prix des Fournitures & Consommables Réclamations clients
Passation des marchés
Coûts de la Main d’œuvre / Programme de Formation / Mise à Evaluation du personnel commercial / Proposition action de
Ressources Humaines Ressources Humaines
disposition d’un personnel Qualifié formation / Réclamations clients liées au personnel.
Commercial Commercial
Contrats / ODS / Réclamations clients . Analyse des résultats / Rendements et Performances.
Travaux
P R O C E S S U S CONTRÔLE
Contrat / Dossier Complet/ ODS WPQR / Procès verbal de qualification / Fiche d’interprétation. Travaux
Coûts de la Main d’œuvre / Programme de Formation / Mise à Evaluation du personnel t/ Proposition action de formation /
Gestion Ressources
disposition d’un personnel Qualifié Besoins en recrutement Gestion Ressources
Humaines
Humaines
Check list / Rapport d’Audit / Rapport d’inspection / Statistiques
Liste des activités / résultat dispositif HSE H.S.E
H.S.E accidents / Plan d’action
Commercial Commercial
Contrats / ODS / Réclamations clients. Analyse des résultats / Fiches NC / Rendements et Performances
Travaux Evaluation du personnel travaux/ Proposition action de formation / Coûts de la Main d’œuvre / Programme de Formation / Mise à Travaux
PROCESSUS ETUDES
Besoins en recrutement / disposition d’un personnel Qualifié
Coûts de la Main d’œuvre / Programme de Formation / Mise à Evaluation du personnel / Proposition action de formation / Besoins GRH
GRH
disposition d’un personnel Qualifié en recrutement /
Commercial Commercial
Réclamations clients liées au matériel Barème de Location Interne
P R O C E S S U S GESTION MATERIEL
Travaux Demandes de Matériel / Demandes d’intervention:/ Liste du matériel Mise à Disposition de matériel fiables / Entretien Du Matériel / Travaux
à étalonner matériel étalonné
Etudes
&MAINTENANCE
Etudes Demandes de Matériel / Liste des Equipements à étalonner Mise à Disposition de matériel fiables / Equipements étalonnés
Demandes de Matériel / Demandes d’intervention:/ Liste du matériel Mise à Disposition de matériel fiables / Entretien Du Matériel /
Contrôle
à étalonner matériel étalonné Contrôle
Passation des marchés Délais de Mise à disposition des fournitures / Mise à disposition Besoins en Fournitures & Consommables et Investissements /
des fournitures dans les délais requis / Spécifications techniques / PNC . Passation des marchés
Gestion Ressources Coûts de la Main d’œuvre / Programme de Formation / Mise à Evaluation du personnel / Proposition action de formation Gestion Ressources
Humaines disposition d’un personnel Qualifié / Besoins en recrutement / Humaines
P R O C E S S U S RESSOURCES HUMAINES
Commercial Evaluation du personnel commercial / Proposition action de formation Coûts de la Main d’œuvre / Programme de Formation / Mise à Commercial
/ Réclamations clients liées au personnel. disposition d’un personnel Qualifié
Travaux Evaluation du personnel travail/ Proposition action de formation / Coûts de la Main d’œuvre / Programme de Formation / Mise à
Travaux
Besoins en recrutement / disposition d’un personnel Qualifié
Evaluation du personnel / Proposition action de formation / Besoins Coûts de la Main d’œuvre / Programme de Formation / Mise à Etudes
Etudes
en recrutement / disposition d’un personnel Qualifié
Evaluation du personnel t/ Proposition action de formation / Besoins Coûts de la Main d’œuvre / Programme de Formation / Mise à
Contrôle
en recrutement disposition d’un personnel Qualifié Contrôle
Evaluation du personnel / Proposition action de formation / Besoins en Programme de Formation / Mise à disposition d’un personnel
H.S.E
H.S.E recrutement / Dispositif HSE / Rapport audit Qualifié / Dossier Administratif / Dossier Médical
Passation des marchés Evaluation du personnel / Proposition action de formation / Besoins en Programme de Formation / Mise à disposition d’un personnel
recrutement / Réclamations clients liées au personnel. Qualifié Passation des marchés
Evaluation du personnel / Proposition action de formation / Programme de Formation / Mise à disposition d’un personnel
Informatique Besoins en recrutement / Banque de Donnée / Equipements fiables / Qualifié / Alimentation de la Banque de Donnée / Besoin en Informatique
Mise à disposition d’une banque de donnée. équipements.
Processus Données d’entrées Données de sortie Processus
Commercial Commercial
Exigences clients (CDC) / Réclamations Clients
Analyse des résultats / Règles HSE
Travaux Liste des activités / Résultats Dispositif HSE Check list / Rapport d’Audit / Rapport d’inspection / Statistiques Travaux
PROCESSUS H . S . E .
accidents / Plan d’action
Programme de Formation / Mise à disposition d’un personnel Evaluation du personnel / Proposition action de formation / Besoins
Ressources Humaines Ressources Humaines
Qualifié / Dossier Administratif / Dossier Médical en recrutement / Dispositif HSE / Rapport audit
P R O C E S S U S M A N A G E M E N T & AMELIORATION
Commercial Politique/Objectifs/Budget Entreprise Commercial
PV Revue Processus/Analyse résultats/Indice Satisfaction Clients
Décision d’Amélioration
CONTINUE
PV Revue Processus/ Analyse des résultats/Proposer des actions
Contrôle Objectifs/Moyens/Orientations
correctives et préventives / Evolutions techniques Contrôle
Contrôle Contrôle
PROCESSUS TRAVAUX
WPQR / Procès verbal de qualification / Fiche d’interprétation Contrat / Dossier Complet/ ODS
Coûts de la Main d’œuvre / Programme de Formation / Mise à Evaluation du personnel travaux/ Proposition action de formation / Etudes
Etudes
disposition d’un personnel Qualifié Besoins en recrutement /
Coûts de la Main d’œuvre / Programme de Formation / Mise à Evaluation du personnel travaux/ Proposition action de formation /
Gestion Ressources
disposition d’un personnel Qualifié Besoins en recrutement / Gestion Ressources
Humaines
Humaines
Check list / Rapport d’Audit / Rapport d’inspection / Statistiques
Liste des activités / Résultats Dispositif HSE H.S.E
H.S.E accidents / Plan d’action
Délais de Mise à disposition des fournitures / Mise à disposition des Besoins en Fournitures & Consommables / Spécifications
Passation des marchés Approvisionnement
fournitures dans les délais requis . techniques des Fournitures / PNC .
- Equipement fiable.
Informatique - Alimentation d’une banque de donnée informatique. Informatique
- Mise à disposition d’une banque de donnée
- Besoin en équipements et en interventions
Processus Données d’entrées Données de sortie Processus
P R O C E S S U S INFORMATIQUE
Travaux - Alimentation d’une banque de donnée informatique. - Equipement fiable.
Travaux
- Besoin en équipements et en interventions. - Mise à disposition d’une banque de donnée
Passation des marchés - Alimentation d’une banque de donnée informatique. - Equipement fiable.
Passation des marchés
- Besoin en équipements et en interventions. - Mise à disposition d’une banque de donnée
Gestion Matériel& - Alimentation d’une banque de donnée informatique. - Equipement fiable. Gestion Matériel
maintenance - Besoin en équipements et en interventions. - Mise à disposition d’une banque de donnée & maintenance
- Equipement fiable.
- Objectifs / Moyens / Orientations - Mise à disposition d’une banque de donnée
Management - Alimentation d’une banque de donnée informatique. PV Revue Processus/ Analyse des résultats/ Management
- Besoin en équipements et en interventions. Proposition Actions d’amélioration /Rapport d’activité
Commercial Commercial
Réclamations Clients Prix des Fournitures & Consommables
Besoins en Fournitures & Consommables / Spécifications Délais de Mise à disposition des fournitures / Mise à disposition Etudes
Etudes
techniques des Fournitures / PNC. des fournitures dans les délais requis
Besoins en Fournitures & Consommables / Spécifications Délais de Mise à disposition des fournitures / Mise à disposition
Contrôle
techniques des Fournitures / PNC. des fournitures dans les délais requis Contrôle
Management
PV Revue Processus/ Analyse des résultats/Bilan sur les
Objectifs/Moyens/Orientations Management
Fournisseurs
Coûts de la Main d’œuvre / Programme de Formation / Mise à Evaluation du personnel Approvisionnement / Proposition action
Ressources Humaines Ressources Humaines
disposition d’un personnel Qualifié de formation / Réclamations clients liées au personnel .
Politique
Objectifs
Organisation
Manuel Planification
Qualité
Processus
& Pilotage des activités
Procédures Amélioration
Maîtrise des
Mode Opératoire Opérations
Instructions
Politique Qualité / /
Liste des personnes Habilitées / /
Tableau de Bord Qualité / /
Fiche d’interaction du processus management
Carte d’identité du processus management IMP-SMQ-DGE-01 02
Procédure de gestion et maîtrise des PRO-SMQ-DGE-01 02
documents
Managemen
Procédure de maîtrise des enregistrements PRO-SMQ-DGE-02 01
t Procédure de maîtrise des audits internes PRO-SMQ-DGE-03 03
Procédure de maîtrise des prestations non- PRO-SMQ-DGE-04 02
conformes
Procédure de gestion des actions PRO-SMQ-DGE-05 02
correctives et préventives
Procédure de pilotage des processus PRO-SMQ-DGE-07 01
Mode opératoire archivage MOP–SMQ–DGE-01 01
Mode opératoire veille normative MOP-SMQ-DPC-01 01
Fiche d’interaction du processus planification
Carte d’identité processus planification IMP-SMQ-DPC-01 01
Planification Procédure de planification des activités et PRO-SMQ-DPC-02 02
des ressources
Procédure communication PRO-SMQ-DPC-03 02
Fiche d’interaction du processus informatique
Carte d’identité processus informatique IMP-SMQ-DPC-01 02
Procédure sécurité Informatique PRO-SMQ-DPC-01 03
Informatiqu Procédure Acquisition et Affectation des PRO-SMQ-DSPE-05 02
e Equipements Informatique
Procédure Maintenance des Equipements PRO-SMQ-DPC-06 02
Informatique
Procédure Administration réseau PRO-SMQ-DPC-07 02
Fiche d’interaction du processus Gestion Ressources Humaines
Carte d’identité processus Gestion IMP-SMQ-DGE-01 02
Ressources Humaines
Procédure de recrutement « siége » PRO-SMQ-DRH-02 01
Ressources
Procédure de recrutement « centre PRO-SMQ-DRH-03 01
Humaines
logistique »
Procédure de recrutement « Direction PRO-SMQ-DRH-04 01
générale et projets »
Procédure de formation PRO-SMQ-DRH-05 02
Procédure d'évaluation des compétences PRO-SMQ-DRH-06 02
Fiche d’interaction du processus Gestion Matériel et Infrastructures
Gestion Carte d’identité processus Gestion Matériel IMP-SMQ-DVL-01 02
Matériel Procédure de gestion du matériel PRO-SMQ-DVL-01 02
Processus Titre du document Référence Version
.
(ENAC)
2008/9001
( )
.
.
Table des matières
Remerciement
Dédicace
Sommaire
Liste des tableaux
Section 2 : La normalisation…………………………….…………………………….. 18
1-A propos de la normalisation et de la norme ……………………………………………. 18
1-1- La normalisation ……………………………………………………………………….. 18
1-2- La norme ……………………………………………………………………….……….. 18
2- ISO et normes ISO ……………………………………………………………….……….. 20
2-1- Définition de l'ISO ……………………………………………………….…….……….. 20
2-2- Petit historique et évolution de l'ISO 9000 ……………………………………………. 21
2-3- La famille des normes ISO 9000 ………………………………………………………. 24
3-La norme ISO 9001 version 2008 ………………………………………………………… 25
3-1- Contenue de la norme …………………………………………………………………. 25
3-2- Les caractéristiques originales de la norme 9001/2008 ……………………………... 27
4-2-1- La documentation exigée par la norme ISO 9001/2008 :
A. Le manuelle qualité ………………………………………………………………….. 27
B- Les procédures ……………………………………………………………………………. 27
C- Les documents opérationnels ……………………………………………………………. 27
D- Les enregistrements …………………………………………………………………….. 28
3-2-2- Une structure de norme en quatre points ……………………………………… 29
3-2-3- Les huit principes du management de la qualité …………………………….. 29
Conclusion générale…………………................................................................. 94
Bibliographie
Glossaire
Annexes