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Métallique
Travail :
SABRA BOUGOFFA
SIRINE BOUJELBEN
Département de Génie Civil
Encadré par :
ENIS
M.OMAR MEZGHANNI
2014/2015
Mini Projet
Charpente Métallique
Sommaire
Introduction
Introduction
à la charpente
métallique
I. La charpente métallique :
Le fer a commencé à faire son apparition comme matériau de construction au milieu du 18ème
siècle alors que les matériaux usuels de l’époque étaient le bois et la pierre. Ses fonctions
principales étaient l’ornementation et le renforcement des ossatures. Le rôle de nombreuses
pièces métalliques était aussi de maintenir les pierres dans leur position initiale par agrafage.
A la fin du 18ème siècle, les pièces métalliques n’étaient plus cachées dans les murs de pierre,
mais composaient l’ossature principale des constructions, contribuant ainsi à une nouvelle
forme d’architecture. Un des précurseurs de la construction en fer fut Victor Louis qui, en
1786, créa le premier ouvrage constitué entièrement d’une ossature métallique, le toit en fer
du théâtre français à Paris.
Avec le fer, les schémas ou méthodes de conception furent bouleversés. En effet le concepteur
ne travailla plus avec des éléments singuliers, en fonte, moulés en atelier, mais avec des
profilés standards (I,T,L), dont l’assemblage permettait d’aboutir aux solutions recherchées
2. Domaine d’utilisation :
Les domaines d'application des constructions métalliques sont très nombreux. Ils concernent
d'abord les bâtiments et les ouvrages d'art (ponts, grandes couvertures). Dans le cas des
bâtiments, les halles industrielles lourdes (aciéries) ou légères (usines de transformation ou de
stockage) constituent un secteur où l'emploi de l'acier est fréquent pour la réalisation des
ossatures et des bardages recouvrant celles-ci, et pour l'utilisation de ponts roulants. Même
dans les pays en développement, les charpentes industrielles se montrent compétitives, grâce à
la facilité du montage et de l'expédition des éléments constitutifs par voie maritime ou
terrestre. Les tours d'immeubles, nombreuses aux États-Unis, ont mis en lumière l'intérêt de la
rapidité du montage, qui permet d'économiser des frais financiers importants par rapport à des
solutions plus traditionnelles.
Présentation
du
projet
Il s’agit d’une structure métallique en portique simple. Cette structure a les caractéristiques
suivantes :
Portée du portique : 18m
Long-pan: 36m
Hauteur : 11m
Normes
et
mots clés
I. Norme:
La norme utilisée pour le calcul de dimensionnement manuel est « l’eurocode3 », le calcul est
assisté à l’aide du livre de JEAN MOREL.
Pour le calcul du vent la norme utilisée est « les règles neige et vent, NV 65 »
Par convention, les pressions dynamiques de base normale et extrême sont celles qui
s’exercent à une hauteur de 10 m au-dessus du sol, pour un site normal sans effet de masque
sur un élément dont la plus grande dimension est égale à 0,50 m.
2. surpression :
Une des faces d’un élément appartenant à une construction est dite
soumise à une pression (ou à une surpression) lorsque la force normale à
cette face est dirigée vers elle. Dans ce cas, par convention, c est positif.
3. Dépression :
Elle est dite soumise à une succion (ou à une dépression) lorsque la force
est dirigée en sens contraire. Dans ce cas, par convention, c est négatif .
4. perméabilité :
5. construction fermée :
Si les parois présentent des fuites et des petites ouvertures uniformément réparties, la
perméabilité moyenne de ces parois ≤ à 5%. si toutes les parois ont une perméabilité nulle,
c’est à dire si elles ne laissent absolument pas passé l’air même de façon accidentelle , la
construction est dite fermée étanche .
I. Désignation :
q : désigne la pression dynamique fonction de la vitesse du vent.
C : un coefficient de pression fonction des dispositions de la construction.
q H :la pression dynamique agissant à la hauteur H au-dessus du sol exprimée en mètres.
q 10 : la pression dynamique de base à 10 m de hauteur.
H : la hauteur totale du bâtiment.
K s : coefficient qui désigne la nature du site d’implantation de la construction.
H
λ a =
a
H
λ b =
b
Calcul manuel
qH H +18
=¿ 2.5
q10 H +60
b. Actions statiques :
h h
λ a= = 0.2 ; λ b= = 0.61
a b
Vent extérieur :
1er Cas:
2eme Cas:
Vent intérieur :
1er Cas:
eme
2 Cas :
C e −Ci
1er cas :
2eme cas :
Pression :
P = C pq = (C e −Ci ) q
q = 82.125 = 82
P= 10.25 10.25
2eme cas :
8.2 24.6
P= 41 16.25
P est en daN/m.
L’idée de faire entrer les pannes comme des charges ponctuelles sur les portiques de la
structure conduit à évaluer leurs charge et surcharges
1. Données :
a. Données générales :
Principes et suppositions :
Compte tenu de la pente des versants, donnée par la pente des fermes ou traverses de
portiques, les pannes sont posées inclinées d’un angle α et, de ce fait, les pannes sont en
flexion déviée.
Des charges verticales tel que (le poids propre, la neige, charges accrochées
éventuelles…) dont la résultante est une charge linéique « n »
- Un IPE 120
- Un IPE 80
- Un IPE 100
384 E I y
ep < (condition de la flèche)
200× 5 q z L3
Choisir un nombre de panne puis évaluer le poids engendré par mètre linéaire
Si ce poids est inférieur à celle estimé on passe à une vérification dite ‘vérification à
l’ELU’ : pour cela on vérifie si:
V y <V py
V z <V pz
My M
( )²+ z <1
M py M pz
Le choix est basé sur la comparaison entres les poids des profilés ainsi vérifiés, celui qui
admet le plus petit poids est le profilé le mieux à adopter.
Pour le projet à étudier l’IPE 120 est le profilé le plus économique pour les pannes avec un
espacement ep = 2.7 m
Les liernes sont mis en tension. L’effort de traction est évalué comme suit :
t = qy
l ep
T 1 =2.5×t × ×
2 2
l
T 2 =2.5×t × ×ep +T 1
2
l
T 2−T 1 +2.5 ×t × × ep
T3 = 2
2 sin β
ep
tg = l
β
2
max(T 1 ; T 2 ; T 3)
A> = 20.48 mm²
23.5
= 8 mm
A= 4.78 mm²
f y = 235 MPa
γ M0 = 1
N p = 11233
β A =1
|N c|< N bRd
Afy
Avec N bRd = χ β A = 1212
γM0
N c = -T 1 = -151.545
NC =4162,29053 daN
NT =8353,52488 daN
A (cm²)= 4,78
Sy (bar)= 2350
γ M= 1
classe = 1
βA= 1
α= 0,49
lf (m) = 1,32
iv= 0,97
λ= 1,361
λ1= 93,9
λ̄ = 1,449
Ø= 1,856
ASy
N pl = = 11233 daN > NT = 8353,52488 daN
γM0
Vérifié
1
χ v= = 0.4645
λ + √ ∅−λ
Vérifié
NC = 14296,4612 daN
NT = 7123,46293 daN
A (cm²)= 18,8
Sy (bar)= 2350
γ M= 1
classe = 1
βA= 1
α= 0,49
ASy
N pl = = 44180 daN > NT = 7123.46293 daN
γM0
Vérifié
1
χ v= = 0.3468
λ + √ ∅−λ
Vérifié
NC = 8086,73588 daN
NT = 16229,7055 daN
A (cm²)= 13,82
Sy (bar)= 2350
γ M= 1
classe = 1
βA= 1
α= 0,49
ASy
N pl = = 32477 daN > NT = 16229,7055 daN
γM0
Vérifié
Vérifié
NC = 17351,4645 daN
NT = 8645,67204 daN
A (cm²)= 13,82
Sy (bar)= 2350
γ M= 1
classe = 1
βA= 1
α= 0,49
ASy
N pl = = 32477 daN > NT = 8645,67204 daN
γM0
Vérifié
λ= 0,872 Ø= 1,110
Vérifié
∑ ( N iv N i R l i )
f= Ai avec
E
N iv = sont les efforts du à une charge unitaire concentré sur la moitié de la ferme.
E=21000 MPa
G=
poidsde la ferme
( ep )
+ poids de la couverture+ poidsde la panne ( IPE 120 ) ×e p × l ' espacement entre les portiques
G+Q=8.33.102 daN
f = 1.07579 cm
Cette valeur est vérifiée avec le ROBOT.
Assemblages
I. Introduction:
Les différentes formes d’assemblages ci-dessus mentionnés sont généralement réalisées par
les principaux modes d’assemblages suivants :
le soudage
le brasage
le boulonnage
F √3
n
Ac =¿ a c1 l c 1 ≥
fu
De ce fait il faut déterminer les différents paramètres pour laisser le l c 1 le seul inconnue à
déterminé.
Schéma:
V 1= 50-35.9= 14,1
N V
F 1= mont 2 = 1747,9392
V 1 +V 2 8
t=min(e mont ; e gouss)= 5
a c1 (mm) = 4 abac
F √3
l c 1 (mm) >=
f u ×a c1 ×n 21,024442
l c 1 min =min(V 1 +V 2;a c1)= 50
l c 1 (mm) =max(l c 1 min ; l c1 ¿ 50
N mont √ 3−sin α 2
Ac =¿na c2 l c 1 ≥
fu
t= 5
a c2 (mm)
= 4 abac
2
F √ 3−sin α
=¿
l c 2 (mm) f u × ac1 ×n
>= 41
Afy
N membr ≤ N p=
γM 0
d.
V
érification 4 : conception géométrique :
Il faut assurer de même la concurrence des efforts axiaux des différents profilés
construisant le nœud. On est alors obliger de modifier quelques dimensions des cordons
ainsi calculés pour assurer le non ajout d’un effort supplémentaire lors du montage du
nœud.