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A

Acquisition – le precessus de traitement de l’information et de mémorisation qui aboutit à une


augmentation des savoirs et savoir-faire langagiers et communicatif d’un apprenant, à une modification
de son interlangue (appelé aussi système intermédiaire, ou compétence transitoire, ets.).

Activité – ce terme polysémique peut renvoyer:


1. aux opérations cognitives, souvent inconscientes, auxquelles donne lieu tout processus mental
(repérer, comparer, mémoriser, etc., en lisant un journal, par exemple);
2. aux exercices eux-même (répondre à des questions, résumer, participer àun jeu de rôle, etc.)’
3. au support utilisé pour apprendre (dialogue, actualités télévisées, chanson, exercice de
grammaire, etc.);
4. à l’ensemble cohérent de ces trois premières acceptions: l’activité d’apprentissage peut être
définie comme un lien entre ce que font effectivement les élèves (leur tâche sur un support
donné) et l’objectif visé (qu’apprend l’élève?).
Les activités peuvent s’insérer dans trois phases d’apprentissage:

 les activités de découverte;


 les activités de systématisation;
 les activités d’utilisation.

Apprenant – est un récepteur ou réceptacle d’informations fournies unilatéralement par une autre
personne, l’enseignant, personne qui suit un enseignement.

B
Barème –est la table de notation élaborée par un évaluateur préalablement à l’évaluation de productions
orales ou écrites. Cette table comprend une liste de critères auxquels l’évaluateur attribue une certaine
valeur, un certain nombre de points en fonction de ses objectifs d’évaluation. La fonction du barème est
d’obtenir plus de fidélité (adéquation) dans les évaluations établies par différents évaluateurs.

But – but et objectif sont souvent confondus. Toutefois but relève plutôt du vocabulaire de la langue
courante et convient pour des activités pédagogiques très partielles alors qu’objectif relève plutôt d’une
terminologie éducative, avec une connotation plus large de résultat à atteindre pour satisfaire une
demande.

C
Civilisation – est un mode d’être, établi historiquement, et qui constitue une totalité, faite de
cohérences et de contradictions. Elle se définit surtout par différences avec d’autres civilisations
plus vagues et plus floues que de culture.
Communication – dans sa conception la plus large, elle définit un domaine d’investigation (les
sciences de l’information et de la communication) ; dans un sens trés restreint, elle qualifie l’une
des raisons d’être du langage (la fonction de communication ou référentielle, chez Jakobson). En
didactique des langues, l’évolution des conceptions de la communication implique de
s’intéresser non seulement à l’émmetteur, au canal, au message, et au récepteur mais aussi à
l’interprétation, et aux effets produits sur celui-ci.
Compétence – ce terme recouvre trois formes de capacité cognitive et comportamentale :
compétence linguistique, comunicative et socioculturelle. Chomsky a introduit la notion de
compétence linguistique pour référer aux connaissances intuitives des règles grammaticales
sousjacentes à la parole qu’un locuteur natif idéal a de sa langue et qui le rendent capable de
produire et de reconnaître les phrase corrects.
Compréhension – est l’aptitude résultant de la mise en oeuvre de processus cognitifs, qui
permet à l’apprenant d’accéder au sens d’un texte qu’il écoute (compréhension orale) ou lit
(compréhension écrite).
Compréhension orale ; compréhension écrite – il faut distinguer l’écoute et la lecture, qui sont
des pratiques volontaires, des processus cognitifs, largement involontaires. L’écoute et la lecture
conduisent, en fonction de l’objectif poursuivi, à percevoir soit de manière exhaustive tous les
éléments (discrimination orale ou écrite), soit de manière sélective certains de ces éléments
(écoute ou lecture sélective) pour mener à une compréhension qui peut porter sur la totalité du
texte ou sur une partie du ce texte, et qui peut être globale ou détaillée.
Connaissance – est un savoir dont on peut <<administrer la preuve>>, est capable de démontrer
et de transmettre à un autre individu par un discours réglé, explicatif et explicable selon des
règles rationnelles.
Connaissance partagée- est celle qui comprise et maitrisée paraillement par des individus
différents et qui facilite la communication entre eux.
Consigne – discours visant la réalisation d’une tâche. Comprendre une consigne pose que
l’apprenant en dénote les informations explicites(données et stimulus), les éléments
implicites(informations non formulées, attentes de l’enseignant) afin de se former une
représentation correcte de la tâche et de mettre en œuvre une procédure de réalisation. Une
consigne peut être refusée ou détournée en raison d’un conflit culturel concernant le thème ou le
type d’activité.
Curriculum- est la forme que prend l’action de rationalisation conduite par des décideurs de
l’éducation pour faciliter une expérience d’apprentissage auprès du plus grand nombre
d’apprenants.
D
Didactique du FLE – désigne de façon générale ce qui vise à enseigner, ce qui est propre à
instruire. Il a désigné le genre rhéthorique destiné à instruire, puis l’ensemble des théories
d’enseignement et d’apprentissage. La didactique du français comme langue étrangère a aussi
cconnu des développements originaux par rapport aux autres didactiques du fait de spécifficité
de public d’apprenants.
E
ENSEIGNANT- est le personne spécifique dont le röle est la gestion et le transfert des savoirs
du groupe, et plus généralement d'inculquer ses valeurs et croyances identitaires aux enfants et
aux nouveaux membres.
ENSEIGNEMENT - signifie initialement précepte ou leçon et, à partir du xvir siècle, action de
transmettre des connaissances. Dans cette acception, il désigne à la fois le dispositi global
(enseigne ment public/prive, enseignement primaire/ secondaire/supérieur) et les perspectives
péda- discipline (enseignement du français, des langues, des mathématiques, etc.)
EXERCICE ce terme soit souvent employé au même sens qu'activité d'appren- tissage,
l'exercice renvoie à un travail métho- dique, formel, systématique, homogène, ciblé vers un
objectif spécifique. Au sein d'un ensemble construit d'activités, l'exercice est conçu pour
répondre à une difficulté parti- culière. Même si, par ses origines historiques, le terme est
souvent relié au travail grammatical, on peut l'utiliser pour désigner l'ensemble des travaux
d'apprentissage linguistique et communicatif.
Exercices à trous- que l'on peut catégoriser en exer- cice de répétition, de substitution et de
transformation, invite l'éleve à manipuler de façon quidée et intensive des structures grammma
ticales et articulatoires.
EXERCICE DE REEMPLOI - Les exercices de réemploi visent à faire créer par les élèves, a
l'orale comme à l'écrit de nouveaux énoncés à partir d'éléments linguistiques ou communicatifs
déjà observés et mémorisés. Ils visent a favoriser la capacité à produire personnelle ment des
messages. En méthodologie audio orale, l'exercice de réemploi cherche à faire des répliques des
dialogues de base.

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