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Certes, les robes du soir étaient très décolletées mais les toilettes de

ville, avec un petit col de dentelle, dissimulaient le corps, des Oreilles


jusqu’aux pieds. Les bras étaient complètement couverts par de longs gants.
Il y eut alors une véritable passion pour les plumes d’autruche, très chères,
ainsi que pour les boas de plumes qu’on enroulait autour du cou.
Pourtant, la toilette féminine était généralement beaucoup plus légère
qu’elle ne l’avait été depuis longtemps. Toutes les femmes semblaient être
habillées pour se render à une garden-party sur la côte d’Azur. Ce était
d’ailleurs pas totalement faux. La Riviera attirait toute la haute société de
France, d’Angleterre et de Russie. Ce fut l’âge d’or des plaisirs luxueux et
des fêtes inoubliables. Poiret racont celle qu’il dona en 1911, baptisée la «
Mille et Deuxième Nuit » et qui restera gravée dans toutes les mémoires pour
sa somptuosité. Les invites devaient s’y presenter en costume persan, puis
ils « passaient dans un second salon oú un nègre demi-nu, drape dans des
soies de Boukhara, armé d’une toche et d’un yatagan les conduisait jusqu’á
moi. Ils tranversaient d’abord une cour sable oú, sous un velum bleu et or,
des fontaines jaillissaient dans des vasques de porcelaine (…). Ils
remontaient quelques marches et se trouvaient devant une immense cage
d’or, grillangée de ferrures en torsades, à l’intérieur de laquelle j’avais
enfermé ma favorite (Mme Poiret)».
Les couleurs des vêtements reflétaient l’optimisme des nantis. On raffolait
des tons pastels—rose, bleu, mauve--, des lames noirs à pailletes blanches
et des étoffes arachnéennes—crêpe de chine, mousseline de soie, tulle, satin
—brodés ou peintes à la main. Les touffes de rubans firent leur réapparition.
Chaque robe nécessitait un prodigieux travail; il faut remonter au début du
XVlll siècle pour en trouver l’équivalent.
Le corsage devint un vêtement très raffiné, agrémenté de broderies, de
dentelles, de volants ou de fourrure. Le bolero connut, à l’époque, une
grande popularité. Les manches ballon de 1890 étaient complètement
abandonees; l’avant-bras était moulé et la manche couvrait la moitié de la
main.
Un des traits importants de la période est le développemement du
costume tailleur. C’était devenu la tenue ptivilégiée des jeunes femmes qui,
de plus nombreuses, se mettaient à gangner leur vie comme gouvernante,
secrétaire ou vendeuse. Ce costume fut aussi adopté par les femmes des
classes aisées quqnd elles partaient à la campagne ou en voyage. Les
tailleurs anglais, qui paissaient—à juste titre—pour les meilleurs du monde,
se firent alors une large clientele.
Pour les homes, le haut-de-forme et le frac continuaient leur carrière mais le
le complet-veston porté avec un chapeau rondo u molon était de plus
répandu. Il y eut un grand engouement pour les chapeaux de paille, de
Panama ou d’Italie. Les pantaloons, désormais plus étroits, se portaient avec
des revers et un pli devant, consequence de l’inventoin du presage à la
vapeur. Les cols des chemises en cotton blanc empesé couvraient cou et
gorge, faisant echo aux hauts cols de dentelle baleiné.
C’est vers 1908 que la la silhouette feminine se modifia sérieusement.
Plus de poitrine projetée en avant, ni de croupe rejetée en arriére. Les
corsages cintrés, affinant la taille et soulignant les hanches, passérent de
monde et les femmes se mirent à portrer des robes en tissue léger censées
rappler les tenues Empire, qui aplatissaient les lignes. Ce changement est
clairement perceptible si l’on consulte les réclames de corsets de l’époque.
Les chapeux s’agrandirent, cela ayant pour effet de render les hanches plus
étroites encore.
Mais c’est en 1910 que se produisit la veritable revolution du costume
feminine qui eut pour origine les délires d’enthousiasme suscités par les
ballets russes de Diaghilev. Le success spectaculaire de Schébérazade,
accueilli par de frénétiques applaudissement, provoqua une vaque
d’orientalisme qui submerge Paris et les autres capitals de la musique. Paul
Poiret s’inspir des costumes de Léon Bakst et créa une silhouette feminine
totalement nouvelle. Les couleurs flamboyantes de ses robes séduisirent

d’emblée la haute société, sonant le glas de roses fanés et des mauves


tenders. Les bustes corsetés et les jupes cloches cédèrent la place à des
toilettes fluides agrémentées de plis o de drapes legers. Les jupes, étroites
à l’ourlet, obligèrent les femmes à marcher à petits pas. Pour prévenir les
déchirures, on les agrémentait de gallons épais qui étaient autant de chaînes.
Il est d’ailleurs curieux de constater qu’à l’époque oú les suffragettes faisaient
leur apparition, les dames cherchaient toutes á resembler á es esclaves
orientales. Les plus audacieuses allèrent meme jusqu’á porter des culottes «
de harem », visibles sous la jupe et jugées scandaleuses. Les jupes étant de
plus en en plus droites, les chapeaux purent s’agrandir. Les proportions de la
silhouette féminine s’étaient donc totolment inverses, s’évasant des pieds
jusqu’á la tête á la manière d’un triangle pose sur pointe. On délaissa
garnitures de dentelles les boutons décoratifs.
En Angleterre, Lucille travaillait, comme Poiret á Paris, sur les themes
orientaux. Elle s’ètait fait connaître en dessinant le costume de l’actrice Lily
Elsie pour la Veuve joyeuse, en 1907. Costume Charles Creed et Redfern,
célèbes tailleurs, elle ouvrit bientôt un salon de couture á Paris.
L’anné 1913 connut un autre bouleversement. Les cols hauts furent
abandonnés pour les fameux décolletés en V, si caracteristiques de l’époque.
Cette innovation fit beacoup de bruit. L’Eglise dénonçason indécence, les
médecins ses dangers pour la santé. Malgré les risques pneumonie, le
profonds décolleté en V se répandit trés rapidement. Sur la nuque, le col
remontait un peu, á la manière d’un col Médicis.
Juste avant la dèclaration de guerre, une autre tendance se fit jour.
Sour la jupe entravée, on se mit á porter une sorte de tunique venant au
genou. Les petites têtes revinrent á la monde et l’on abandonna les grands
chapeaux, mais les plumes étaient toujours en vogue. A partir de 1914,
beacoup de femmes, obliges de travailler, jugèrent trop encombrante la
double jupe. Elles abandonnérent donc le fourreau de dessous et gardérent
uniquement la tunique. Le tailleur, sobre et strict, restait très populaire. Bien
évidemment, la guerre influença profondément la mode mais les effets ne s’e
firent réellement sentir que plus tard. Durant le conflit, on tenta de lancer, en
Angleterre, une robe pratique, avec des agrafes á la place des oeillets et
lacets, qui devait server á la fois de robe d’intérieur, d’extérieur, de toilette
d’aprés-midi, du soir et de chemise du nuit.

En 1919, lorsque les secteurs de la mode et la couture reprirent leur


activité, on vit apparaître la robe «tuyau» et les bustes plats. Le mot corset
avait soudain pris une odeur rance, mais les femmes se jetèrent sur les
nouvelles gaines élastique de manière á obtenir la fameuse silhouette
androgyne caractéristique de l’époque. La taille n’était plus marquée et les
premiéres robes-foulards ou-chemisiers firent leur apparition.
En 1925, pour la premiére fois dans l’histoire de l’Europe moderne, la
jupe découvrit le genou. Ce fut un veritable scandale. L’archevêqye de
Naples alla meme jusqu’á dire que le tremblementde terre qui venait de
détruire Amalfi avait été proqué par le courroux divin face aux jupes courtes.
Les traditionalistes était tout aussi choqués aux Etats-Unis qu’en Europe.
Plusieurs Etats tentérent d’interdire la robe courte, bien que l’histoire du
costume ait prouvé l’inefficacité des édits de ce genre. Dans l’Utah, une
femme sortant dans la rue avec une jupe á plus de 7,5 centimètres au-
dessus de la cheville risquait une amende et une peine de prison. Dans
l’Ohio, il était prescrit á «toute femme de plus de quatorze ans» de porter une
jupe venant sur le cou-de-pied. Ce fut en vain.
Un nouveau type de femmes était né: jeunes, sportives et cherchant
par tous les moyens á ressembler aux garçons. Les vêtements et sous-
vêtements effaçaient toutes les courbes du corps féminin qui avaient
enchanté les siècles précédents. Soudain, comme pour parfaire cet idéal
adolescent, surgit la coupe á la garçonne. Même les femmes mûres furent
contraintes de l’adopter, car il était de porter le chapeau avec une logue
chevelure. Rien ne distinguait plus la jeune femme d’un collégien, si ce n’est
les lévres fardèes et les sourcils redessinés par le maquillage qui commença
alors á se répandre dans toutes les couches sociales.

Curieusement, ces bouleversements eurent pour imprévisible


conséquence de menacer l’hégémonie de Paris sur la scène internationale
de la mode. En effet, les Françaises avaient plus de mal que les Anglo-
Saxonnes á jouer les silhouettes longues et plates. Un contemporain note
que « l’Anglaise anguleuse, dont le manque d’embonpoint avait fait la risée
de la Vie Parisienne pendant deux générations, est devenu l’idéal de beauté
». Certains illustres couturiers comme Doucet, Doeuillet ou Drescoll, gloires
de la Belle Epoque, durent fermer leur porte. Poiret lui-même, le grand mage
des années 1910, était maintenant dépassé. De nouveaux noms se firent
connaître: Mme Paquin, bien qu’installée depuis longtemps, sut suivre les
nouvelles tendances que Madeleine Vionnet défendait également avec
enthousiasme. Mais on ne jurait plus que par Coco Chanel, bientôt
concurrencé par Elsa Schiaparelli. Ces deux femmes n’étaient pas
simplement des stylistes. Elles participérent á toute l’effervescence artistique
de l’époque. Elsa Schiaparelli entretenait d’intimes relations avec les Dali.
Mlle Chanel était l’amie de Cocteau, de Picasso et de Stravinski. «Chanel est
l’esprit même du XX siécle, écrit Diana Vreeland. Elle fut la premiére á
habiller la femme moderne-celle qui après la Première Guerre mondiale se
mit á travailler, prendre le métro, dîner au restaurant, boire des cocktails,
farder ses joues et montrer ses jambes-, á transposer son audace et son
indèpendance dans le vêtement. Elle eut l’audace de vêtir les nouvelles
èlègantes comme des secrètaires.
«Elle conçut des robes simples et des tailleurs en jersey de laine. Ses
clientes portaient des robes droites des èpaules aux genoux – coupe sans
prècèdent á l’èpoque -, des esembles de jersey greige et brun aux jupes
confortables, des pantalons et des pullovers. Leurs cheveux coupès court
comme ceux de Coco, ponctuès de bèrets de velours, de chapeaux cloches
en feutre, leur dessinaient une petite tête. Pour le soir, Chanel crèa des robes
de dentelles et paillettes beiges, ècarlates ou vert-de-gris aux lignes simples
qui dèterminaient une allure nette et èlègante. D’un seul èlan, elle a supprimè
tout ce qui n’ètait pas la femme elle-même, pour ne conserver que l’essentiel
tous ces vêtements que nous qualifions aujourd’hui de "tenues de base"».
La rèussite commerciale de Chanel fut prodigieuse; on estimè qu’en
1930 le chiffre d’affaires annuel de sa maison, rue, Cambon, ètait d’environ
cent vingt millions de francs. Elle faisait travailler plus de deux mille employès
dans ses vingt-six ateliers. Schiaparelli bouleversa le monde de haute
couture en donndant ses lettres de noblesse aux « bons vêtements de
travail »; confortables, simples et pratiques, ils ètaient dotès d’on èlègance et
d’on chic que tout le monde enviait et imitait.
La mode est changeante par essence. A la fin des annèes vingt, il était
clair que le costume devait encore se modifier. Les jupes raccourcirent en
1927, ce qui n’était pas fait pour claire átout le monde. Si les fabricans de bas
s’en fèlicitaient, les industriels du textile ne voyaient pas chose d’un bon œil.
On chercha par consèquent á les rallogen, en commençant, èvidemment, par
les tenues soirèe. La robe restait au genou mais elle ètait recouverte d’une
gaze plus longue, ou prolongèe par des pans sur les côtès ou dans le
dos. Ces compromis durèrent environ un an. C’était la fin des « Annèes
folles », dont le cèlèbre dessinauter Ertè, qui commença sa carrièr en
travaillant pour Paul Poirent, èvoque dans ses Mèmories le goût de
l’excetricitè: « A l’èpoque, j’avais conseillè d’èpiler partiellement les sourcils
pour leur donner une forme en harmonie avec le reste du visage. D’ailleurs
cette mode est restèe jusqu’á nos jours ainsi que celle des ongles vernis
multicolores, que j’avais suggèrèe. Je me souviens d’une jeune Amèricane
très belle, dont j’ai oubliè le nom, qui s’ètait fait raser les cheveux
entièrement, et avait recouvert son crâne nu d’une penture d’or. Une autre
femme fasait teindre la fourrure toute blanche de son petit chien ténériffe
pour l’assortir á la couleur de sa robe.
« J’ai vu une dame qui, s’étant fait arracher quelques dents, les
remplancer par des pierres précieuses. »
A la fin de la décennie, les jupes finirent tout de même par rallonger et
la taille remonta á sa juste place. En un sens, les couturiers semblaient dire á
leurs clientes: « La fête est finie, mesdames! » Oui, les perspectives
s’assombrissient – économiquement, avec la grande dépression et
politiquement, avec la montée de l’hitlérisme. Les temps étaient á
l’assagissement. Le chapeau cloche, unique et tyrannique couvre-chef
féminin pendant presque dix ans, fut abandonné. Les femmes laissèrent donc
repousser leurs cheveux. On revit bientôt les manches longues, mais la
silhouette restait, dans l’ensemble, élancée et fluide. Greta Garbo, avec sa
large carrure et ses hanches minces, incarnait un idéal de beauté incontesté.
C’était là une grande nouveauté: dans les années trente, les actrices de
cinéma devinrent les modèles d’élégance et les arbitres de la mode,
s’influençant les unes les autres suivant leur coute auprès du public qui, á
son tour, était influencé par elles.
Selon une loi aujourd’hui bien vérifiée, puisque les jambes se
couvraient, il fallait dénuder une autre partie du corps. Ce fut le dos que les
femmes dévoilèrent, le soir comme le jour, jusqu’á taille. Bien des robes
d’ailleurs semblent conçues pour être vues le dos. La jupe moule les hanches
et, pour première fois, révèle le galbe fesses.
Il semblerait que cette évolution soir liée á l’histoire du costume de bain.
Vers 1920, les vêtements de bain étaient extrêmement pudiques. Les
photographies de monde de l’époque nous montrent des mannequins
habillés, sur la plage, d’amples robes á peine décolletées. Tout change dans
les années trente, avec la vogue non plus seulement des bains de mer, mais
des bains de soleil – á Juan-les-Pins - , soudain considérés comme
indispensables á la santé et á la beauté. Il fallait donc dénuder le maximum la

p
eau. La jupe de bain devint une jupette extrêmement courte, alors que les
emmanchures et le décolleté du costume s’élargirent. Les premiers dos nus
apparurent bientôt, moins audacieux toutefois que ceux des robes du soir.
Outre la natation, d’autres sports eurent une influence sur le costume
de ville, tandis que, parallèlement, les vêtements de sport se développaient
selon leurs exigences propres. L’évolution de la tenue de tennis est, de ce
point de vue, particulièrement nette. Au début, les joueuses s’habillaient de
vêtements d’été ordinaires, même si la jupe longue gênait, á l’évidence, leurs
mouvements. Dans les années vingt, les jupes de tennis raccourcirent
comme les autres, mais ne rallongèrent pas au retour du long en 1930. Il eût
été absurde de revenir aux vêtements peu pratiques d’autrefois. En avril
1931, la Señorita de Alvarez joua dans une jupe-culotte couvrant le genou et,
deux ans plus tard, Alice Marble, une Américaine de San Francisco, apparut
sur le court en shorts venant juste au-dessus du genou. Mrs. Fearnley-
Whittingstall fut la première á se montrer sans bas á Wimbledon, ce qui ne
manqua pas de provoquer une véritable émeute, mais cette innovation était
trop naturelle pour ne pas être aussitôt adoptée par toutes les joueuses.
On assiste á une évolution similaire du costume des patineuses. En
1930, la jupe, très évasée, arrivait au genou mais elle ne tarda pas á se
raccourcir. Pour faire de la bicyclette – sport désormais très populaire – les
jeunes femmes se mirent aux sports.
Mais revenons aux toilettes féminines du début des années trente. Les
robes sont étroites, bien dessinées aux épaules. Les filles grandes étant très
á la mode, les couturiers s’efforcent d’allonger au maximum la silhouette. Les
petites têtes y contribuent avec des coiffures assez plates et une légère
ondulation sur la nuque.
Les chapeaux, gais et mutins, couvrent un œil. Les robes de jour
viennent á mi-mollet, mais celles du soir descendent jusqu’aux pieds. Elles
s’agrémentent souvent d’une petite capeline. Le boléro est á nouveau très
populaire. On voit alors apparaître, sans doute par mesure d’économie, des
tenues soirée en coton, en laine ou en drap, tissus jusqu’alors réservés au
jour.
Cert, că rochiile de seară erau foarte decoltate, dar toaletele de oraş cu
un guler mic de dantelă, disimilau corpul, urechile pînă jos.
Braţele erau complect acoperite cu mănuşi lungi. Era o veritabilă pasiune
pentru penele de struţ, foarte scumpe, cît şi pentru un boa de pene pe care îl
învîrtea în jurul gîtului.
Totuşi, toaleta feminină era general mult mai uşoară legeră ca
niciodată. Toate femeile păreau să fie îmbrăcate pentru a se duce in gradina
de pe Riviera pe coasta de azur. Aceasta nu era în toalitate fals. La Riviera
atrageam toată societatea înaltă a Franţei, Angliei şi Rusiei. Era epoca de aur
a plăcerilor luxoase şi a sărbătorilor. Invitaţii trebuiau să se prezinte în costum
persan apoi ei „treceau în un al doilea salon unde un negru pe jumătate gol,
drapat în mătase de Buhara, armat de o torţă şi un iatagan, îi conducea pînă
la mine. Eu traversam mai întîi o curte de nisip unde sub un val albastru
auriu, fontane izvorînd din vasuri de porţelan. Eu urcam cîteva trepte şi se
trezeau în faţa unei imense colini de aur, greajată de grătii.
Culorile hainelor reflectau optimismul persoanelor bogate. Se adora
tonurile pastel-roz, blue, mov-negru cu paete albe şi stofele-crepşinul,
ţesătura de mătase, satin-brodate sau pictate cu mîna. Smocul de panglică
îşi făcură reapariţia. Fiecare rochie necesită un lucru prodigios; trebuie să
ajungi la începutul sec. XVIII pentru ai găsi echivalentul.
Corsajul devine o haină foarte rafinată, agrementată de broderii,
dantele, volane sau de blană. Boleroul cunoscuseră o mare popularitate.
Mînicile balon din 1890 erau complet abandonate, avînd braţul mulat şi
mîneca acoperea pe jumătate mîna.
Una din trasăturile importante a perioadei este dezvoltarea costumului
taior. Aceasta deveni ţinuta privilejiată a tinerilor. Croitorii engleji, care erau
pe bună dreptate socotiţi cei mai buni aveau o clientelă foarte mare.
Pentru oameni pălariile cilindrice şi înalte cu marginea mică şi fracul
continua cariera lor dar completu – veston purtat cu o pălărie rotundă şi
bombată era din ce în ce mai răspîndită. Era o mare pasiune pentru pălăriile
din paie din Panama sau Italia.
Pantalonii, mai strîmţi, se purtau cu revere şi un buzunar înainte.
Gulerele cămaşilor din bumbac alb acopereau gîtul făcînd ecou la gulerele
înalte de dantelă feminine.
În 1908 silueta feminină se modifică serios. Nu se mai proecta pieptul inainte,
nici partea posterioară în urmă. Corsajul boltit, avînd talia subliniind şoldurile,
trecură de moda şi femeile începură să poarte rochii de ţesătură uşoară
reaminteşte ţinutele Imperiilui.
Această schimbare este clar perceptibilă dacă sar consulta reclamele de
corsete de epocă. Pălăriile deveniră mai mari, pentru a face ca şoldurile să
pară mai înguste. Dar în 1910 cînd sa produs adevărata revoluţie a
costumului feminin care avură la origine delirul entusiasmului suscitat de
baletul rus a lui Diaghilev. Succesul spectacular a lui Scheberazade, primit de
frenetice aplaude, provocă un val de orietalisme care supuse parisul şi alte
capitale muzicale. Paul Poirent se inspiră lui Leon Bakst şi crea o siluetă
fiminină total nouă. Culorile aprinse a rochiilor seduce societatea înaltă,
sunînd dangîtul roşului decolorat, pal şi al molvului tandru. Busturile corsetate
şi fustele cloş cedară locul toaletelor fluide agrementate cu pliuri sau drapate
leger. Fustele, înguste cu tiv, obligau femeile să meargă cu paşii mici. Pentru
a preveni ruperile, le înfrumuseţau cu lentă. E curios să constaţi că la epoca
dată, damele cătau sa se asemene cu sclavele orientale. Cele mai odioase
au ajuns pînă a purta şalavari de haren, vizibili de sub fustă şi judecate
scandalos. Fustele fiind din ce în ce mai drepte, pălăriile puteră să se
mărească. Proporţiile siluetei femenine sau inversat totalmente, semănînd cu
un triunghi cu vîrful în jos. S-a înlocuit dantela cu butoane decorative.
Anul 1913 cunoscu un nou buleversement. Gulerele înalte au fost
abandonate în favoarea decolteului V atît de caracteristice epocei. Această
inovaţie a făcut multă gălăgie. Biserica denunţă indencenţa sa medicii –
pericolul pentru sănătate. Necătînd la toate riscurile de pneumonie, decolteul
profund V se răspîndi foarte repede pe ceafă guleru se ridica puţin în manera
gulerului medici. Chiar înainte de a se începe razboiul o altă tendinţă îşi făcu
apariţia pe fusta lungă impedicată, începu să se poarte un fel de tunică pînă
la genunchi. Capurile mici reveniră la modă şi se parasi pălăriile mari, dar
penele erau încă în vogă. Din 1914 multe femei, obligate sa lucreze, judecau
prea încărcată usta dublă. Ele abandonaseră deci, fusta lungă de desupt şi
păstrară numai tunica. taiorul sobru şi strict rămînea foarte popular. Evident
că războiul influenţa profund moda dar efectele nu s-au sinţit real decît mai
tîrziu. Pe parcusul conflictului se încerca să se lanseze, în anglia, o rochie
practică, cu agrafe în loc de garoafe şi şireturi, care trebuia să servească în
acelaşi timp rochie de interior, de exterior, de toaletă de după amiază de
seară şi cămaşă de noapte.
În 1919, cînd sectorul de modă şi croire îşi reluă activitatea lor, se văzu
apărînd rochia „ţeavă” şi busturile plate. Cuvîntul corset luase deodată o
odare rencedă dar femeile se avîntară pe noile corsete de manieră ca să
obţină faimoasa siluetă caracteristică epocii talia nu mai era marcată şi
primile rochi – fular sau cămaşe şi-au făcut apariţia. În 1925 pentru prima
dată în istoria Europei moderne, fusta descoperi genunchiul. Era un veritabil
scandal. Arhiepiscopul din Napola a mers chiar pînă a spune că cutremurul
de pămînt care a distrus Almafi a fost provocat din mînia devină faţă de
fustele scurte. Tradiţionaliştii erau şocaţi atît din SUA cît şi din Europa. Mai
multe state au încercat să interzică rochia scurtă. În Utah, o femeie eşind în
stradă în fusta mai mult de 75 centimetri de asupra merişorului risca o
amendă şi o pedeapsă cu închisoarea. În Ohio era prescris „orice femeie mai
în vîrstă de 14 ani” să poarte o fustă lungă. Era totul în zadar.
Un nou tip de femeie sa născut tinere, sportive, şi căutînd orice mijloc
sa semene băieţilor hainele şi cele dedesupt ştergeau orice curbură a
corpului feminin care au încîntat secolele precedente.
Deodată, ca pentru a preface acest ideal adolescent apăru frezura a la
garsone scurtă. Chiar şi femeile mai în vîrstă fuseseră constrînse de a se
adapta, fiindcă erau imposibil să porţi o pălărie clopoţel cu seveloră lungă.
Nimic nu mai distingea o femeie de o adolescentă dacă nu erau buzele
fardate, sprîncenele redesenate şi machiajul care începea a se răspîndi în
toate păturile sociale.
Curios, aceste buleversări avură consecinţe neprevăzute de a ameninţa
hegemonia parisului pe scena internaţională a modei. Întradevăr,
franţuzoaicele se simţeau mai rău decît Anglo – Saxoncele de a juca siluete
lungi şi plate.
Un contemporan noteaza că Englezoaica ţipătoare a cărui lipsă de
înplinire făcuseră de rîs, badjocură viaţa Parizeană timp de două generaţii,
devenise idealul frumuseţii. Cîţiva iluştri croitori cum ar fi Ducet, Doie sau
Drescal, glori ale epocii frumoase ar fi trebuit sa-şi închidă uşile lor. Poiret
însuşi marele mag al anilor 1910 era acum depăşit. Au apărut nume noi Mme
Pachin a ştiut să urmeze noile tendinţe pe care Madlen Vione le apăra cu
entusiasmul, Coco Şanel şi Elza Şiaparele. Aceste doua femei nu erau
simple stiliste. Ele participaseră la toate efervescentele artistice ale epocii.
Elza Şiaparele întreţinea relaţii intime cu al de Dale Şaneli era prietena lui
Coco, Picasso şi Stravinschi „Şaneli este spiritul sec. XX scria Diana Vrilant.
Ea fuse prima care a îmbrăcat femeia modernă cea care după primul război
mondial a început să lucreze, să ia metroul, să cineze la restaurant, să bea
coctail, să-şi fardeze obrajii şi să-şi arate picioarele a transpus îndrăzneala şi
independenţa sa în haine avu îndrăzneala să îmbrace noile haine elegante ca
şi secretarele. Ea a conceput rochii simple de tricot de lînă. Clientele sale
purtau rochii drepte din umeri pînă la genunchi – tăietură fără precedent la
epocă – în totalitate din tricot de culoare gri – bej şi brună pentru fuste
confortabile, pantaloni şi pulovere. Părul la scurt ca a lui Coco, punctat de
berete din velur, pălării clopoţel din fetru le arăta un cap mic.
Pentru seară Şanele crea rochii din dantelă şi paiete bej, purpurii sau
verde gri pentru lengerie simplă care determinau o alură netă i elegantă
dintrun singur elan ea a suprimat tot ce nu ers femeie, a păstrat doar
esenţialul toate acele haine pe care noi le calificăm azi ca ţinută de bază.
Reuşita comercială a lui Şanele fu prodigioasă: sa estimat că în 1930
cifra de afaceri anuală acasei sale de pe strada Cambon, era 120 000 000 de
Franci. Ea a dat de lucru la mai mult de 2000 angajaţi în 26 de ateliere.
Şiaparele buleversă lumea cu hainele sale de lucru, confortabile, simple
şi practice, care erau dotate de o eleganţă şi de un farmec pe care toată
lumea invidia şi imita.
Moda este schimbătoare prin esenţă. La sfărşitul anilor 20 era clar că
costumul trebuia de modificat fustele scurtate în 1927 nu era pe placul
tuturor. Dacă fabricanţii de ciorapi se felicitau, industriaşii de textile se uitau
chiorîş. Se căuta prin urmare sa fie alungite începînd evident, cu ţinutele de
seară, rochia rămînea pînă la genunchi dar era acoperită cu un tifon mai lung
sau prelungită cu parte flotantă din părţi sau la spate. Aceste compromisuri
dură un an. Era sfărşitul anilor nebuni, în care celebru desinator este Erte,
care începu cariera sa lucrînd pentru Poli Puare, evocă în amintirile sale
gustul de excentrism. „atunci, eu îl sfătuisem să epileze parţial sprîncenele
pentru a le da o formă în armonie cu restul feţei. De atunci această modă a
rămas pînă-n zilele noastre cît cea a unghilor vernisate multicolor, pe care i
le-am sugerat... Îmi amintesc de o tînără americană foarte frumoasă, a cărei
nume leam uitat, care şi a ras părul şia acoperit craniul gul cu vopsea aurie.
O altă femeie tunse blana albă a căţeluşului pentru a asorta cu rochia sa.
„Eu am văzut o dama, care şi-a scos cîţiva dinţi, şi şia pus în loc pietre
preţioase”
La sfărşitul deceniului au fost totuşi alungite. Modelierii păreau săzică
clientelor sale: „sărbătoarea sa terminat, doamnelor”. Da, perspectivele se
umbreau – economic cu mare depresie şi politic cu creşterea hitlerismului.
Timpul era de deşteptare. Pălăria clopoţel unică şi tiranică care era
capodopera feminină timp de zece ani, fu abandonată. Femeile au lăsat să
crească părul. Se revine la mînicele lungi, dar silueta rămînea în asamblu
relasată şi fluidă. Greta Garbo, cu spatele largi şi şelele înguste încarna un
ideal de frumuseţe încontestată. Era o noutate mare: în anii 30, actriţele de
cinema deveniră modele de eleganţă şi arbitrii ai modei influenţinduse unele
pe altele ca pe cot la cot cu publicul, care la rîndul lui, era influenţată de ele.
Conform unei legi de azi bine verificată întrun cît picioarele se acopereau,
trebuia sa dezgoleşti o altă parte a corpului. Aceasta fu spatele pe care
femeile îl descoperă. Rochiile erau concepute cu spatele gol. Fustele strînse
pe şolduri şi conturau fesele.
Păreau că această evoluţie să fie legată de istoria costumului de baie.
Spre 1920 hainele de baie extrem de pudice. Fotografiile de modă din acea
epocă ne arată manechine îmbrăcate pe plajă, cu rochii ample abia decoltate.
Totul se schimbă în anii 30 în vogă nu numai baile în mare, dar şi băile la
soare – la Huan-les Pins – deodată considerate ca indispesabile pentru
sănătate. Trebuia deci denudate maximum de piele. Fusta de baie devine o
fustiţă foarte scurtă încît mînicile şi decolteul costumului devin mai largi.
Primele spate goale apărură în curînd, mai puţin îndrăzneţe decît cele ale
rochiilor de seară.
În afară de înot, alte sporturi avură o influenţă asupra costumului de
oraş în timp ce, paralel hainele sportive se dezvoltau conform exicenţelor
proprii. Evoluţia ţinutei de tenis este din acest punct de vedere, în particular
netă. La început, judecătoarele se îmbrăcau cu haine de vară ordinare chiar
dacă fusta lungă jena evident mişcările lor. În anii 20, fustele de tenis se
scurtară ca şi altele dar nu se lungesc ca în 1930. ar fi fost absurd de a reveni
la hainele puţin practice de aşltă dată. În aprilie 1931, seniorita de Alvarez
jucă într-o fustă – culot acoperînd jenunchiul, doi ani mai tîrziu, Alice Marble,
o americană din San – Francisco apăru pe teren în şorţi venind drept
deasupra genunchilor. Mrs. Fernley – Whittingstall a fost prima care a eşit
fără ciorapi la Wimbeldon, ceia ce nu lipsea să provace o veritabilă răscoală,
dar această inovaţie era prea naturală ca să nu fie îndată adoptată de toate
jucătoarele.
Se asistă la o evoluţie similară a costumului patinatoarelor. În 1930,
fusta foarte evazivă, ajungea la genunchi dar nu a întîrziat să se scurteze.
Pentru a face ciclism – sport foarte popular – tinerele îmbrăcară şorţi.
Dar să revenim la toaletele feminine la începutul anilor 30. rochiile sunt
strîmpte, bine desenate la umeri. Fetele mari fiind la modă, creatori de modă
se forţeau să alungească la maximum silueta. Capurile mici contribui la
coafuri destul de plate şi o uşoară undulaţie pe ceafă. Pălăriile vesele şi
rebele acoperă un ochi. Rochiile de zi vin pînă la jumătatea pulpei piciorului
iar cele de seară pînă jos. Elle se agrementau cu un mantou fără mîneci
boleroul este din nou la modă popular. Apăreau fără îndoială, cu scop de
economie, ţinute de seară din bumbac, lînă sau postav, ţeseturi care pînă
atunci erau rezervate pentru haine de zi.
1. Certes, les robes du soir étaient très décolletées mais les toilettes de
ville, avec un petit col de dentelle, dissimulaient le corps, des Oreilles
jusqu’aux pieds.

Robes – Rochiile

Une vestiment sont portés par les dames et les robes des filles.

2. Le corsage devint un vêtement très raffiné, agrémenté de broderies, de


dentelles, de volants ou de fourrure.

Dentelle-Dantele

Dentelles sont certains détails qui appliquent aux robes.

3. Les cols des chemises en cotton blanc empesé couvraient cou et


gorge, faisant echo aux hauts cols de dentelle baleiné des dames.

Cols-Gulere

Col est un détail qui est appliqué á la vestimentele parties supérieurs


du corp.

4. Il y eut un grand engouement pour les chapeaux de paille, de Panama


ou d’Italie.

Chapeaux-Pălariile

Chapeaux sont portés par les hommes comme couvre-chef.

5. En 1919, lorsque les secteurs de la mode et la couture reprirent leur


activité, on vit apparaître la robe «tuyau» et les bustes plats.

Mode-Modă

Mode de moyens changer le style de vêtements,chaussures et


coiffures.

6. On délaissa garnitures de dentelles les boutons décoratifs.

Butons-Butoane

Boutons sont des objets doneut au vêtement un plus agréable.


7. Les jupes, étroites à l’ourlet, obligèrent les femmes à marcher à petits
pas.

Jupes-Fustele

Jupes sont portés par les femmes et ont des longueurs différents.

8. Le mot corset avait soudain pris une odeur rance, mais les femmes se
jetèrent sur les nouvelles gaines élastique de manière á obtenir la
fameuse silhouette androgyne caractéristique de l’époque.

Corsets-Corsete

Corsets portés par les femmes de montrer leur figure corps.

9. On revit bientôt les manches longues, mais la silhouette restait, dans


l’ensemble, élancée et fluide.

Manches-Mîneci

Manches peuvent étre longues,courtes,larges, étroits et appliquées à la


robe.

10. Les tailleurs anglais, qui paissaient—à juste titre—pour les meilleurs
du monde, se firent alors une large clientele.

Tailleurs-Croitori

Tailleurs sont les personnes qui découpent les détails des


vêtements.
QUESTIONS

1. Quelle année silhoute féminine se modifia sérieusement?

2. Quelle année ont été modifiés modelierii jupes et ce que leurs clients
leur a dit?

3. Ce que Greta Garbo et portaient des robes, quelle année ils sont
devenus des modèles élégance actrices?

4. Tout comme les chapeaux et elles ont été faites, ont été menées avec
festimente?

5. Quelle révolution année ya eu de véritables costumes?

RÉSUMÉ
Certes, les robes du soir étaient très décolletées mais les toilettes de
ville, avec un petit col de dentelle, dissimulaient le corps, des Oreilles
jusqu’aux pieds.
Pourtant, la toilette féminine était généralement beaucoup plus légère
qu’elle ne l’avait été depuis longtemps. Ce fut l’âge d’or des plaisirs luxueux
et des fêtes inoubliables.
Les touffes de rubans firent leur réapparition. Chaque robe nécessitait
un prodigieux travail; il faut remonter au début du XVlll siècle pour en trouver
l’équivalent. Un des traits importants de la période est le développemement
du costume tailleur.
C’est vers 1908 que la la silhouette feminine se modifia sérieusement et
les femmes se mirent à portrer des robes en tissue léger censées rappler les
tenues Empire.
Mais c’est en 1910 que se produisit la veritable revolution du costume
feminine,Paul Poiret créa une silhouette feminine nouvelle.
Les bustes corsetés et les jupes cloches cédèrent la place à des
toilettes fluides agrémentées de plis o de drapes legers. Dans l’anné 1913
les cols hauts furent abandonnés pour les fameux décolletés en V, si
caracteristiques de l’époque.
En 1919 on vit apparaître la robe «tuyau» et les bustes plats. En 1925
la jupe découvrit le genou. Un nouveau type de femmes était né: jeunes,
sportives et cherchant par tous les moyens á ressembler aux garçons.
Soudain, comme pour parfaire cet idéal adolescent, surgit la coupe á la
garçonne. De nouveaux noms se firent connaître: Mme Paquin sut suivre les
nouvelles tendances que Madeleine Vionnet défendait également avec
enthousiasme.
La mode est changeante par essence. A la fin des annèes vingt, il était
clair que le costume devait encore se modifier. Les jupes raccourcirent en
1927, ce qui n’était pas fait pour claire átout le monde. . C’était la fin des
« Annèes folles », dont le cèlèbre dessinauter Ertè, qui commença sa carrièr
en travaillant pour Paul Poirent, èvoque dans ses Mèmories le goût de
l’excetricitè. Les premiers dos nus apparurent bientôt, moins audacieux
toutefois que ceux des robes du soir. Outre la natation, d’autres sports eurent
une influence sur le costume de ville, les vêtements de sport se
développaient selon leurs exigences propres. Mais revenons aux toilettes
féminines du début des années trente. Les robes sont étroites, bien
dessinées aux épaules. On voit alors apparaître, sans doute par mesure
d’économie, des tenues soirée en coton, en laine ou en drap.

Ministerul Educatiei a Republicii Moldova


Universitatea Tehnica din Moldova
TEMA:

A elaborat: Damian Zinaida grupa IPTP-101

A efectuat: Gorilă Svetlana

Chişinău 2011

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