Sunteți pe pagina 1din 9

MARIE FILLE DE CONSTANTIN IX MONOMAQUE

Author(s): A. V. Soloviev
Source: Byzantion, Vol. 33, No. 1 (1963), pp. 241-248
Published by: Peeters Publishers
Stable URL: https://www.jstor.org/stable/44169079
Accessed: 02-06-2020 12:18 UTC

JSTOR is a not-for-profit service that helps scholars, researchers, and students discover, use, and build upon a wide
range of content in a trusted digital archive. We use information technology and tools to increase productivity and
facilitate new forms of scholarship. For more information about JSTOR, please contact support@jstor.org.

Your use of the JSTOR archive indicates your acceptance of the Terms & Conditions of Use, available at
https://about.jstor.org/terms

Peeters Publishers is collaborating with JSTOR to digitize, preserve and extend access to
Byzantion

This content downloaded from 193.255.46.184 on Tue, 02 Jun 2020 12:18:53 UTC
All use subject to https://about.jstor.org/terms
MAKIE FILLE DE CONSTANTIN IX MONOMAQUE

Le jeune sigillographe Valentin Janin (lisez : Ianine) et le


byzantiniste Georges Litavrin (Litavrine) viennent de publier
dans le Recueil historico-archéologique de l'Université de
Moscou un article très intéressant (x) qui démontre combien
de découvertes peuvent encore être faites dans le domaine
de la sphragistique russo-byzantine, si longtemps délaissée
après la disparition de l'archéologue connu Nicolas Lichačev.
Comme le dit V. Janin, c'est à Novgorod que l'on trouve
toujours de nouveaux sceaux, détachés des chartes ayant
toutes péri. Les eaux du Volchov, en reculant après la crue
printanière, laissent chaque année sur leurs rives, surtout
près de l'ancien château princier (Gorodišče) des dizaines de
bulles de plomb, et N. P. Lichačev en a possédé des centaines.
On en trouve beaucoup dans le Musée de Novgorod. En 1960,
une nouvelle bulle y fut cataloguée. Bien conservée, d'assez
grandes dimensions (26-28 mm), elle porte des légendes en
grec.
Son avers présente l'effigie de St Basile de Cesaree, avec
ces mots en deux colonnes : ATIOC/RACIAIOC. Le revers
porte le légende suivante, en huit lignes :

(1) V. L. Janin, G. G. Litavrin, Novye materiały o proischotdenii


Vladimira Monomacha. Istoriko-archeologičeskij Sbornik, izdanie
MGU. Moscou 1962, pp. 204-221. V. L. Janin a déjà publié une serie
d'articles sur la sigillographie dans la Sovetskaja Archeologija depuis
1953 et dans les Materiały i issledovanija po archeologii SSSR depuis
1956. Il vient de publier un livre, Novgorodskie posadnikit M. 1962,
où il démontre, entre autres, que les dix bulles énigmatiques, trouvées
à Novgorod et portant la légende grecque : Iīqcoto7iq0£0qov Evadá-
diov ¡Às GxÉTiEy doivent appartenir au posadnik (burgrave) de Nov-
gorod Zavid, conseiller du prince Théodore-Mstislav dans la seconde
moitié du xie siècle.

16

This content downloaded from 193.255.46.184 on Tue, 02 Jun 2020 12:18:53 UTC
All use subject to https://about.jstor.org/terms
242 A. V. SOLOVIEV

C0PAT Z(pgay[lç ]
RA CI AIO Bao iXíov
TOUnANGU rov navev-
rGNGC TA TY yeveorárov
APXONTOC à qxovtoç
PQCIACTY Pœoiaç rov
MONOMA Movojuá-
X xM

C'est un type ju
ficile d'identifi
tenu au célèbre
duc de Russie en
comme il l'atte
čenie). Jusqu'à p
à ce prince, mai
russe : « Seigneu
celles-ci ajoute à
de Russie » (kn
le titre « archôn
sur les sceaux d
époque (1083-10
sceau de Théoph
V. L. Janin affi
des grecques n'

(1) Connue déjà de N. P. Lichačev, Materiały po uizanłijskoj i


russkoj sfragistike, I, Len. 1928, p. 156.
(2) Publié par Zofija Wartolowska, Gród czerwieński Sutiejsk,
Warszawa 1958 ; cf. A. V. Soloviev, * APXQN PQCIAC , Byzantion
XXXI, 1961, pp. 237-248.
(3) Publié par G. Schlumberger, Sigillographie byzantine , Paris,
1884, pp. 432-433 et expliqué par Chr. Loparev, Vizantijskij Vremen -
nik9 1. I, SPb. 1894, p. 159 ; cf. A. V. Soloviev, Domination byzantine
ou russe au Nord de la Mer Noire à V époque des Comnènes?, Akten
des XI. Intern. Byzantinisten-Kongresses 1958, pp. 569-580.
(4) Le premier de cette série « gréco-russe » était un sceau de St
Vladimir, avec les restes d'une légende « gréco-russe » : ... RATOR...
A CE ETO ... trouvé en 1909 et décrit par N. I. Petrov dans les Trudy
Kievskoj Duchovnoj Akademii , mai 1913, p. 62 ; cf. A. V. Solo-
viev, O pečati i tutile Vladimira Svjatogo , By zantinos lavica, t. X
(1948), pp. 31-44.

This content downloaded from 193.255.46.184 on Tue, 02 Jun 2020 12:18:53 UTC
All use subject to https://about.jstor.org/terms
MARIE FILLE DE CONSTANTIN IX MONOMAQUE 243

type « gréco-russe » disparait complètement de la sphragisti-


que russe depuis le début du xne siècle. C'est pourquoi l'au-
teur date ce sceau des années 1070-1080, lorsque le jeune
Vladimir apparaît déjà comme prince de Černigov, après
quoi suivraient les vingt bulles à légende russe, en commençant
par celle au titre : « knjazju russkomu » qui aurait remplacé
pour un court laps de temps celui d'« archôn Rhôsias ».
Cette trouvaille si importante permit à l'auteur d'identifier
deux autres sceaux gréco-russes, jusqu'à présent inédits. L'un
avait appartenu à N. P. Lichačev et est reproduit dans son
Album sphragistique, resté en manuscrit depuis trente-cinq
années ; ce sceau a été trouvé au bord du Dnieper, non loin
de Pereiaslavl (x). L'autre, dont la provenance est inconnue,
avait appartenu au collectionneur Goudkov-Belikov et est
entré en 1960 dans la Section numismatique du Musée His-
torique de Moscou. Les deux sceaux sont identiques, repro-
duits par les mêmes matrices ; leurs dimensions diffèrent légè-
rement : 23-27 mm pour le premier, 21-28 mm pour le second.
L'avers représente l'apôtre André, avec une croix sur l'épaule
droite, et les restes de la légende : O AN/ A. €.
Le revers porte une légende grecque en six lignes, qui peut
être déchiffrée à peine et seulement grâce à la confrontation
des deux exemplaires :
+C0PAr, +E(pqa'ylç'
MAPIACMO Maçiaç Mo
• AXIC THC • a%i]ç Trjç
6 U rGNGC TA evysvsará-
TICAPXON T t]ç àoy ov-
TICIC tioorjç.
Comme le dit justement l'auteur,
saint patron masculin et d'un nom f
c'est le sceau d'une princesse, femm
André. C'est pourquoi on ne pourra
une « Maria monache », d'autant mo
rait pu mettre sur son sceau, par hum

il) Près du débarcadère de Chodorovo. Y. Janin-G. Litavrin,


o.e., p. 212.

This content downloaded from 193.255.46.184 on Tue, 02 Jun 2020 12:18:53 UTC
All use subject to https://about.jstor.org/terms
244 A. V. SOLO VI EV

cien titre ďarchontisse ; au surplus,


ou de nonne n'est connu en Russie.
Il est donc facile d'attribuer cette bulle à la femme du qua-
trième fils de Iaroslav le Sage, Vsevolod, né en 1030, plus
tard grand-duc en 1078-1093. N. V. Lichačev avait déjà
connu six sceaux (J) avec légende : Kvqis ßorjQei râ> aã>
ôovAct) 'Ayôgsícp rã> E(e)ßXaöo) qu'il attribua justement à ce
Vsevolod, d'autant plus que ce prince avait fondé en 1086
un monastère de Saint André à Kiev, sûrement en l'honneur
de son patron. La chronique dite de Nestor mentionne briè-
vement qu'en 1053, il lui naquit un fils Vladimir « ot carice
Greč'koe », d'une basilissa grecque.
Les chroniques russes s'intéressent toujours très peu aux
princesses ; elles en parlent à peine ou se taisent sur elles
complètement (2). Il est cependant clair que Vladimir II
Monomaque a reçu son surnom de sa mère, cette princesse
grecque anonyme. Il existe encore deux mentions de cette
princesse. La chronique Gustynska (compilée au xvne siècle)
dit qu'après la campagne malheureuse de 1043, « après trois
ans Jaroslav fit la paix avec les Grecs et prit la fille de Con-
stantin Monomaque, tsar des Grecs, pour son fils Vsevolod » (3).
Et l'historien du xvme siècle V. N. Tatiščev sait qu'en 1067
« mourut la princesse (= femme) de Vsevolod Jaroslavič,
fille du tsar Constantin Monomaque » (4). Toutefois ces deux

(1) N. P. Lichačev, Materiału, I, pp. 147-151 (ill. 68-71 et 80).


(2) Par exemple, la Chronique ancienne ne dit, sous 6558 (1051),
à propos de la femme de Jarosław le Sage, que : « La femme de Jaros-
lav, la princesse, décéda le 10 février », sans même donner son prénom.
Cependant nous savons par des sources scandinaves que ce fut la
fille du roi de Suède, Ingigerd, et le métropolite Hilarión la nomme
dans son fameux Discours sur la Loi et la Grâce par son nom chré-
tien d'Irène.
(3) Janin-Litavrin, o.e., p. 216.
(4) V. Tatiščev, Islorija Rossijskaja, t. II, Moscou 1773, p. 122.
Il se peut que cette notice remonte au « manuscrit du vieux-croyant »,
écrit sur parchemin et disparu après la mort de l'historien. Sur les
sources de Tatiščev, v. S. A. Peštič, Russkaja istoriografija XVIII
veka, Len., 1961, pp. 250-251 ; cet auteur démontre que Tatiščev
avait souvent développé et embelli les données trop courtes des chro-
niques ; cependant, il est difficile d'admettre qu'il aurait inventé une
notice si sèche.

This content downloaded from 193.255.46.184 on Tue, 02 Jun 2020 12:18:53 UTC
All use subject to https://about.jstor.org/terms
MARIE FILLE DE CONSTANTIN IX MONOMAQUE 245

témoignages tardifs ne trouvaient pas assez de confiance chez


les historiens russes, et récemment encore D. S. Lichačev,
dans son commentaire à la Chronique ancienne, dit avec ré-
serve que la femme de Vsevolod serait « une princesse de la
famille de Constantin Monomaque » (*).
A présent, on peut établir le nom de cette princesse : elle
se nommait Marie et fut la mère de Vladimir Monomaque.
Il faut souligner la grande ressemblance des sceaux de la
mère et du fils : la légende presque identique, commençant par
le mot « sphragis », les titres d'« archonte » et « archontissa »,
l'épithète si rare d'« evyevearárr] » qui est élargie en « navev-
yevéararoç » dans le sceau du fils. Comme le dit V. Janin,
ce sont deux « jumeaux sphragistiques», probablement élaborés
par le même artisan. L'auteur suppose que le sceau de Vladi-
mir a été confectionné dans les années 1070-1080 (2). Il pense
avec raison que le nom de Marie doit être Movo/iá%rjz, avec
l'omission de ofx ou du ov, sur le sceau. Nous sommes d'avis
que l'on peut y discerner MOIMAXIC,e t que la graphie de-
N

vait être MO/MAXIC, mais que le graveur omit le N su-


perscriptum.
La seconde partie de l'article (écrite par G. Litavrin) s'oc-
cupe à rechercher cette Marie parmi les parents de Constan-
tin IX. Les sources byzantines, toujours si pauvres en don-
nées sur la Russie, se taisent sur le traité de paix qui a pu
avoir lieu en 1046, de même que sur le mariage d'une Mono-
machide avec le prince Vsevolod. Cependant, V. A. Mošin
a analysé un acte du protat du Mont-Athos de 1048, relatant
que les moines russes du monastère de Xylourgou avaient subi
des dommages de la part de leurs voisins grecs ; en mai 1048,
les moines de Xylourgou adressèrent une plainte à l'empereur
Constantin IX qui blâma ces actes d'arbitraire et ordonna
au protat de résoudre ce litige, ce qui fut fait en faveur des

(1) Povesť Vremennych Lei , t. II. Moscou 1950, pp. 387-388 (Com-
mentaire).
(2) Cependant le lieu de la trouvaille - Novgorod - nous fait
penser que ce sceau fut attaché à une lettre adressée par Vladimir
Monomaque à son fils Mstislav, qui gouvernait Novgorod de 1088
à 1117. C'est donc entre ces dates qu'il faut placer cette bulle.

This content downloaded from 193.255.46.184 on Tue, 02 Jun 2020 12:18:53 UTC
All use subject to https://about.jstor.org/terms
246 A. V. SOLOVIEV

Russes. V. Mošin en tira la concl


Grecs avait eu lieu lors de la guerr
et que la supplique à l'empereur,
ne serait possible qu'après le trai
par des liens matrimoniaux, ce qu
de la chronique Gustynska (x). L'a
y ajoute un texte de Mauropous
qu'en 1047, les Russes aidèrent l
rébellion de Léon Tornikios. Moš
mariage de Vsevolod aurait dû avoi
il dit que ce serait probablement u
que celui-ci avait épousée, mais que
où même une sœur de l'empereur
G. Litavrin soumet à une analyse
Psellos et des autres chroniqueur
de Constantin IX, qui n'y conna
trouve chez Psellos (2) la mention d
Hélène et Euprépie, vers 1047 ; m
était le dernier-né dans sa famille
ans à cette époque, aucune de ces
vait devenir femme de Vsevolod, n
sonnement s'applique à une certain
maque, mentionnée dans une lett
après la mort du basileus en 1055
La première femme de Constantin
se remaria à la fille de Basile Sklé
gyre) et, comme le démontre G.
avoir lieu encore avant 1025, date de la mort de Basile II,
mentionné comme mécontent de ce lien avec la famille de
Skléros (3). En 1042, Constantin, de nouveau veuf, prit pour
troisième épouse l'impératrice Zoé, âgée de 64 ans. Le plus
probable est donc qu'il ait eu un fille de son second mariage,
qui dura de 1025 à 1033. Cette fille aurait été du même âge
que Vsevolod et devait devenir sa femme. Il est impossible

(1) V. A. Mošin, Russkie na Afone. Byzantinoslavica, IX (1947),


p. 67 seq.
(2) Michel Psellos, Chronographie, Paris, 1928, t. II, pp. 14-15.
(3) Psellos, ib., I, p. 125.

This content downloaded from 193.255.46.184 on Tue, 02 Jun 2020 12:18:53 UTC
All use subject to https://about.jstor.org/terms
MARIE FILLE DE CONSTANTIN IX MONOMAQUE 247

de penser à une fille de Théodose Monomaque, cousin de Con-


stantin IX ; cette parente éloignée du basileus ne serait pas
nommée « carica » dans la chronique russe (*). On ne l'aurait
considérée que comme princesse, « knjažna ».
Ajoutons que l'épithète «carica», donnée à la mère de
Vladimir Monomaque par la Chronique ancienne sous 1053,
ne peut signifier que « femme de tsar » ou « fille de tsar ».
C'est ainsi que la même Chronique nomme la fille de Romain
II (sœur de Basile II et de Constantin VIII), Anne, lors de
son mariage avec Saint Vladimir en 988 et jusqu'à sa mort
en 1011 (2). Il semble donc exclu que Marie Monomaque ait
été seulement une parente de Constantin IX ; elle a dû être
sa fille. Disons encore que le métropolite Nicéphore de Rus-
sie, un Grec sûrement bien informé, écrivait entre 1113 et
1121 à Vladimir Monomaque: «Dieu ťa sanctifié et oint
depuis ta naissance, ťayant formé dans les entrailles (de ta
mère) de sang impérial et princier » (3). Il est donc clair que
Vladimir était né de sang impérial par sa mère Marie, fille
de Constantin IX qui est nommé par Psellos « le dernier reje-
ton, dans l'ordre de filiation, de la souche antique des Mono-
maques » (4), ce qui doit signifier que celui-ci n'avait pas eu de
successeurs mâles, mais pouvait bien avoir une fille (5).

(1) Encore moins pourrait-on penser à une jeune fille des familles
alliées à Constantin par suite de son second mariage, les Skleroi,
Argyroi, Diogènes, etc. Aucune d'elles ne mettrait le nom de Mono-
machê sur son sceau. Janin-Litavrin, o.e., p. 220.
(2) Anne est nommée sept fois « carica » dans la chronique ancienne.
Povést Vremennych Let., t. I, pp. 76, 77 et 88. La Vie de St Stéphane
de Surož dit également : « Anna že carica ». V. Vasiljevskij, Russko-
vizantijskija izsledouanija , t. II, SPb, 1893, p. 101. Le mot « carevna »
pour désigner une fille de tsar, n'apparaît qu'au xve siècle. I. Srez-
nevskij, Materiału dlja slovarja drevne-russkaao jazuka, t. III, SPb.
1903, col. 1433 et 1460.
(3) Cette missive bien authentique n'est conservée qu'en traduction
russe. Karamzin, Istorija , t. II, note 213.
(4) Psellos, t. I, p. 124.
(5) Psellos, dit également qu'en la personne de Constantin VIII,
« avait pris fin la famille impériale issue de Basile le Macédonien »
(ib. I, p. 32), quoique Constantin eût laissé deux filles, Zoé et Théo-
dora ; donc, les filles ne comptent point.

This content downloaded from 193.255.46.184 on Tue, 02 Jun 2020 12:18:53 UTC
All use subject to https://about.jstor.org/terms
248 A. V. SOLOVIEV

Notons encore l'épithète assez rar


sur le sceau de Marie ; Psellos l'ap
sang impérial - à l'impératrice Zoé
de l'empereur Nicéphore Phocas (
donnée aux grands-princes et aux
d'anciens souverains. Il souligne l'o
Monomaque, de même que le super
de navevyevéaxaro; dont se pare
sceau. Ce même superlatif se tro
Comnène dans sa missive à l'emper
Nous pouvons donc conclure que le
nomaque était petit-fils de l'emp
sa mère Marie, morte probablemen
nées de la chronique Gustynskaia e
de foi.

A. V. Soloviev.

(1) Psellos, I, p. 98 et 5. Plus tard cette épithète sera appliquée


aux grands-ducs de Moscou - Siméon le Fier, son frère Jean II, Dimitri
Donskoi ( Acta Graeca, I, 267, 268, 338, 525) et aux autres princes
russes - Dimitri de Volynie, au grand-prince de Smolensk, à celui
de Tver et autres (ib. I, 265, 425, 524, 530, 586 et 590).
(2) Anne Comnène, Alexias, 1. III, p. 93. Le Grand Lexicon de
Démétrakos (p. 5380) ne donne que trois exemples de ce superlatif :
chez Anne Comnène, I.e., chez un écrivain du xvme siècle, Cés. Da-
pontès, qui l'applique également à la ßaaiXela, et chez Théophy-
lacte de Bulgarie qui s'adresse ainsi à son correspondant Tarchanite
en lui donnant aussi le titre recherché de fieyatenupavéotare fiov
aòOévrrj. Pair. Graeca, t. 126, p. 531 et 525.

This content downloaded from 193.255.46.184 on Tue, 02 Jun 2020 12:18:53 UTC
All use subject to https://about.jstor.org/terms

S-ar putea să vă placă și