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Tout d’abord nous remercions Dieu le tout puissant qui nous a guidé
et nous a éclairé le chemin pour arriver à ce stade d’études.
Nous n’oublions pas de remercier aussi tous les enseignants qui ont
contribué à notre formation.
DRIOUECHE Amine
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I. PRESENTATION DE L’OUVRAGE ET HYPOTHESES DE
CALCUL
1. INTRODUCTION GENERALE………………………………………………………………………1
2. PRESENTATION DE L'OUVRAGE………………………………………………………….………2
1. INTRODUCTION…………………………………………………………………………………..19
1. INTRODUCTION…………………………………………………………………………………33
2. ETUDE DE L’ACROTERE……………………………………………………………………….33
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4. ETUDE DU BALCON……………………………………………………………………………41
1. INTRODUCTION……………………………………………………………………………….55
1. INTRODUCTION……………………………………..…………………………………………75
1. GENERALITE S…………………………………………………………………………………..105
2. CARACTERISTIQUE DU SOL…………………………………………………………………106
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3. CHOIX DES FONDATIONS…………………………………………………………………..…….106
CONCLUSION
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CHAPITRE 1
1. INTRODUCTION GENERALE
Parmi les catastrophes naturelles qui affecte la surface de la terre, les secousses
sismiques sont sans doutes seules qui ont le plus d'effet destructeur dans les zones
urbanisées Peut on prévoir un tremblement de terre, Il semble qu'on ne puisse encore
apporter qu'une réponse fragmentaire à travers la convergence d'un certains d'observations
plus ou moins empiriques. Il est malheureusement certain que les séismes continueront à
surprendre l'homme. La seule chose que nous puisions prédire avec certitude. C'est que plus
nous nous éloignons du dernier tremblement de terre, plus nous sommes proche du suivant.
Face à ce risque et l'impossibilité de le prévoir, la seule prévention valable est la
construction parasismique.
Les phénomènes sismiques ne sont pas encore parfaitement connus, et le tremblement
de terre importants sont antérieurs a ce dont peut se souvenir la mémoire collective urbaine,
c'est pour quoi la plus part des nations ne sont pas encore mises à l'abri de ce risque social et
économique majeur. La plus part des habitants des zones à risque sont au courant des
antécédents sismiques plus par ouï-dire que par expérience personnelle directe. Or la prise
de conscience est indispensable mais elle ne suffit pas pour inciter à l'action. En général on
à tendance à surévaluer la probabilité des événements que l'on souhaites et à sous estimer la
probabilité de ceux qui l'on redoute. La sensibilisation à ce risque ne se fait que très
progressivement dans la population, le milieux professionnels et la puissance publique.
Pour que cette démarche puisse aboutir, il faut qu'elle trouve un écho au sein de tous le
milieux concernés.
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2. PRESENTATION DE L'OUVRAGE
L’ouvrage à étudier est un bâtiment en R+5 à usage commercial et habitation dans la
wilaya d'Alger. Le bâtiment est constitué de :
§ un RDC comportant des locaux à usage commercial,
§ des étages comportant des habitations,
§ Le bâtiment est dissymétrique dans les deux sens.
Nous présentons dans les figures 1.1, 1.2, 1.3, 1.4 respectivement une vue en plan du
niveau RDC, une vue en plan des étages courants, une vue en plan du dernier étage et une
coupe longitudinale de bâtiments.
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Fig1.1 – vue en plan du niveau RDC .
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Fig.1.2- vue en plan des étages courants .
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Fig.1.3- vue en plan du dernier étage .
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Fig.1.4-coupe en élévation .
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Fig.1.5- Vue en perspective de la structure du bâtiment .
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4. PRESENTATION DES REGLES CBA (93)
Le Document Technique Réglementaire DTRBC 2.41 "Règles de conception et de
calcul des structures en béton armé" (CBA 93) a pour objet de spécifier les principes et les
méthodes les plus récentes devant présider et servir à la conception et aux calculs de
vérification des structures et ouvrages en béton armé, et s’applique plus spécialement aux
bâtiments courants.
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4.3. Actions
Les actions sont l’ensemble des charges (forces, couples, charges permanentes,
climatiques et d’exploitation) appliquées à la structure, ainsi que les conséquences des
modifications statiques ou d’état (retrait, variations de température, tassements d’appuis,
etc.) qui entraînent des déformations de la structure. Elles sont classées en trois catégories
en fonction de leur fréquence d’apparition.
c. Actions permanentes (G)
Elles sont appliquées pratiquement avec la même intensité pendant toute la durée de
vie de l’ouvrage. Lorsqu’une action permanente est susceptible de subir des écarts sensibles
par rapport à sa valeur moyenne, il convient d’en introduire dans les calculs la valeur
escomptée la plus défavorable (maximale ou minimale) eu égard au cas considéré.
d. Actions variables (Qi, i=1, 2, n)
Ce sont des actions dont l’intensité est plus ou moins constante, mais qui sont
appliquées pendant un temps court par rapport aux actions permanentes. Les valeurs
représentatives sont fixées en fonction de leur durée d’application et de la nature des
combinaisons dans lesquelles elles interviennent.
e. Actions accidentelles
Elles ne sont à considérer que si des documents d’ordre public (comme le cas des RPA
en Algérie) le marché le prévoient.
f. Actions de la température climatique
A défaut de justification plus précise on adopte, pour les constructions situées à l’air
libre des variations uniformes de température suivante :
§ en Algérie du Nord (climat tempéré) :35° et -15°.
§ pour le proche et le moyen Sud : 45°C et -20° C.
§ pour l’extrême Sud : +50° C et -30° C.
Les déformations linéaires à considérer entre les températures initiales moyennes au
moment de la réalisation de l’ouvrage (généralement comprises entre +10° C et 25 ° C) et le
températures extrêmes peuvent être évaluées en admettant forfaitairement un coefficient de
-5
dilatation du béton égal à 10 .
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4.4. Sollicitations de calcul
4.4.1. Généralités
Les justifications produites doivent montrer pour les divers éléments d’une structure et
pour l’ensemble de celle-ci, que les sollicitations de calcul définies ne provoquent pas le
phénomène que l’on veut éviter.
Les sollicitations sont les efforts provoqués, en chaque point et sur chaque section de
la structure, par les actions qui s’exercent sur elle.
Elles sont exprimées sous forme de forces, d’efforts Normaux ou tranchants, de
moments de flexion ou de torsion, etc.
Les sollicitations sont calculées en utilisant pour la structure un modèle élastique
linéaire. Les justifications produites doivent montrer, pour les divers éléments constitutifs et
pour l’ensemble de la structure, que les sollicitations de calcul définies dans la suite ne
provoquent pas le phénomène qu’on veut éviter.
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1.35G max G min Q1 Q1 1.3 oi Qi
y Qi :
2i Valeur quasi-permanente d’une autre action variable.
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4.4.3. Sollicitations de calcul vis-à-vis des états–limites de service
Elles résultent des combinaisons d’actions ci–après, dite combinaisons rares.
G max Gmin Q1 y oi Qi
Il constitue en fait une actualisation qui s’avère nécessaire après prés de deux
décennies de pratique riche et diversifiée de la part des scientifiques et techniciens
nationaux des bureaux d’études et de contrôle, des entreprises et des institutions de
formation supérieure.
Cette actualisation tient compte également des leçons tirées des récents séismes
survenus en Algérie tels que ceux de Oued Djer (oct. 1988), Tipaza (oct. 1989), Mascara
(août 1994) ,ou à l’étranger, tels que Spitak / Arménie ( 1988), Sanjan / Iran ( 1990), Loma
Priéta / Californie ( 1989), Northridge /Californie ( 1994), Kobé/Japon ( 1995),ou
Izmit/Turquie(1999).
Cette actualisation a en outre bénéficié des grands progrès de la recherche dans ce
domaine aussi bien aux niveaux national qu’international.
Globalement, les préoccupations essentielles qui ont présidé à la présente révision qui
est la deuxième sont les suivantes :
§ Prise en compte de l’évolution récente de la réglementation internationale en la
matière.
§ Réponse aux questions et remarques des utilisateurs du RPA.
§ Valorisation de l’expérience acquise dans la pratique du génie parasismique .
§ Harmonisation du RPA avec les autres DTR complémentaires (CBA, CCM,
Maçonnerie, Fondations,...).
§ Réorganisation du contenu du RPA selon un schéma de plus en plus utilisé dans les
codes étrangers.
§ Amélioration de la présentation du RPA en tant qu’outil de travail très utilisé.
Les points qui ont été retenus pour sa révision se présentent comme suit :
§ Définir de manière plus précise l’objet du RPA .
§ Préciser davantage le domaine d’application du RPA .
§ Préciser les objectifs et les niveaux de protection parasismique recherchés pour les
différentes catégories de constructions qui relèvent du domaine d’application du
RPA.
§ Décrire les principes de conception parasismique à respecter, préalablement à tout
calcul (choix de site, implantation,...).
§ Revoir les différentes classifications (zonage sismique, sites et sols, catégories
d’ouvrages).
§ Préciser davantage les critères de régularité en plan et en élévation des constructions.
§ Identifier les systèmes structuraux en usage courant en Algérie.
§ Préciser les critères de choix de la méthode de calcul des forces sismiques (méthode
statique équivalente, méthode d’analyse modale spectrale).
§ Décrire la méthode statique équivalente avec les modifications apportées sur les
différents paramètres.
6.1.1. Définition
On appelle béton un matériau constitué par le mélange, dans des proportions
convenables de ciment, de granulats (sables et gravier) et de l'eau et éventuellement de
produits d'addition (adjuvant). Le matériau ainsi obtenu sera coulé et son durcissement aura
les qualités suivantes :
§ La résistance mécanique, essentiellement résistance à la compression simple, et pour
certains usages spéciaux, la résistance à la traction.
§ La résistance aux agent agressifs, eau de mer, acides, etc.,
§ Les déformations instantanées et surtout différées, qui l’on souhaite généralement la
plus faible possible.
§ La maniabilité au moment de la mise en œuvre, que peut être définie comme
l’aptitude du béton à remplir parfaitement le moule qui lui est offert sans
ségrégation.
§ L’on peut enfin rechercher certaines qualités spéciales, telles que la masse
spécifique, aussi élevée que possible (béton lourd) ou aussi faible que possible
(béton léger).
Selon le CBA 93 : Avant durcissement total à j jours tel que j ≤ 28 jours, la résistance
à la compression est :
10
fcj = 0.685 fc28 log (j+1)
et pour j ≥ 28 jours
fcj = 1.1 fc28
j. Résistance à la traction ƒtj :
La mesure directe de la résistance à la traction par un essai de traction axiale étant
délicate on a recours à deux modes opératoires différents :
§ Flexion d’éprouvettes prismatiques non armées.
§ Fendage diamétral d’une éprouvette cylindrique (essai Brésilien) .
La résistance caractéristique à « J » jours se déduit conventionnellement par la
relation :
f t 28 0.6 0.06 f c avec : f cj 40MPa
28
Pour f 28 f t 28 2.1MPa
25MPa
6.1.5. L’élasticité
Le module d’élasticité E est défini par le rapport :
E = (contrainte unitaire / déformation relative)
1/3
§ Pour un chargement d’une durée d’application < 24 h : Eij 11000 f cj
1/3
§ Pour un chargement d’une durée d’application >24 h : E vj 3700 f cj
6.2. Acier
6.2.1. Définition
L’acier est un alliage fer carbone en faible pourcentage, son rôle est d’absorber les
efforts de traction, de cisaillement et de torsion, on distingue deux types d’aciers :
§ Aciers doux ou mi-durs pour 0.15 à 0.25 % de carbone.
§ Aciers durs pour 0.25 à 0.40 ٪ de carbone.
Le module d’élasticité longitudinal de l’acier est pris égale à : Es =200 000 MPa.
6.2.2. Caractéristiques mécaniques :
Les valeurs de la limite d’élasticité garantie fe sont données
par le tableau [1.1] suivant :
Tableau 1.1– Valeurs de la limite d’élasticité garantie fe
Type Nuance ƒ e (MPas) Emploi
F e E 22 215 Emploi courant Epingle de levage
Ronds lisses
F e E 24 235 des pièces préfabriquées
Barre HA F e TE 40 400
Emploi courant
Type 3 F e TE 50 500
Fils tréfiles F e TE40 400 Emploi sous forme de
HA type 3 F e TE 500 Barres droites ou de treillis
TL 50 f > 6
Fil tréfiles mm 500 Treillis soudés uniquement emploi
lisses type 4 TL 52 f ≤ 6 520 courant
mm
Dans notre cas on utilise des armatures à haute adhérence avec un acier de nuance
FeE40 type 1, f e 400MPa
s
-10 - es
- es
10 Déformation s (‰)
-s
où
s
s ; Avec Es= 200 000 MPa.
Es
fe
Avec s
s
s : Coefficient de sécurité.
d
h C h
As A
σbc (MPa)
fbu
Parabole Rectangle
2 3.5 bc (‰)
Fig. 1.8– Diagramme parabole–rectangle des Contraintes–Déformations du béton
Avec :
0 . 85 f
§ fbu : Contrainte ultime du béton en compression f b u
cj b
§ b: Coefficient de sécurité du béton vaut 1.5 pour les combinaisons normales et 1.15
pour les combinaisons accidentelles.
§ θ : Coefficient qui dépend de la durée d'application du chargement. Il est fixé à 1
lorsque la durée probable d’application de la combinaison d’actions considérée est
supérieure à 24 h, 0.9 lorsque cette durée est comprise entre 1 h et 24 h, et à 0.85
lorsqu’elle set inférieure à 1 h.
t = min (0.13 ƒc28, 5 MPa) =3.25 MPa cas normal (fissuration peu nuisible)
t = min (0.10 ƒc28, 4 MPa) =2.5 MPa cas où la fissuration est préjudiciable.
s bc ≤ s bc
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ETAGE COURANT :
-Carrelage (0.02m)
-Chape de mortier (0.02m)
-lit de sable ( 0.03m)
-dalle en corps creux (0.20m)
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§ Plancher : terrasse inaccessible (Usage de d’habitation)
2 2
G = 665 kg/m ; Q = 100 kg/m
ere éme éme éme
§ Plancher : 1 et 2 et 3 et 4 (Usage de d’habitation)
2 2
G = 520 kg/m ; Q = 150 kg/m
§ Plancher RDC :( Usage de commerce)
G = 520kg/m2 ; Q = 500 kg/m2
BALCON:
Le balcon est constitué d’une dalle pleine dont l’épaisseur est conditionnée par :
L / 15< e < (L / 20) +7 on a : L = 1,25m
8.33 < e < 13.25
On adopte un e =12 cm.
15 5 10
Fig II.3 Cloisons extérieur
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§ Acrotère
12 10
La surface de l’acrotère est : 3
S= (0.03 0.22)/2+(0.07 0.22) + (0.1 0.50) = 0.068m² 7
Le poids propre de l’acrotère est :
l0=60
P= (0,058 2500)=171 Kg/m
G=171 kg/m
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§ volée :(paillasse)
§ Etage courant :
Matériaux Epaisseur Densité (kg/m³) Poids(kg/m²)
(cm)
Carrelage 2 2200 44
Mortier de 2 2000 40
pose
Poids des marches 17/2 2200 187
Paillasse 0.12/cosα 2500 577
Enduit plâtre 2 1400 20
Garde corps 15
G 660
Q 250
§ RDC :
3.1 Introduction
Il a pour but le calcul des sections des différents éléments résistants en utilisant les
Prescriptions du CBA93 et du RPA99/VERSION2003. Il est aussi important pour la
détermination d’une épaisseur économique afin d’éviter un surplus d’acier et de béton.
Les dalles sont des plaques minces dont l’épaisseur est faible par rapport aux autres
dimensions.la dalle peut reposer sur 2,3ou 4 cotés. L’épaisseur des dalles dépend le plus
souvent des conditions d’utilisation que des vérifications de résistance. Aussi, l’épaisseur
des dalles est déduite à partir des conditions suivantes :
On admet: e = 16 cm.
Pour tenir compte des bruits aériens, il est nécessaire d’avoir une épaisseur minimale
supérieure ou égale à 16cm.
Ø Dalles reposant sur trois ou quatre appuis : Lmax /50<e< Lmax /40.
Lmax : est la petite portée de panneau le plus sollicité. Dans notre cas, la dalle reposant sur
quatre appuis a une portée égale à : Lmax =Lx = Ly=3,8m
Donc on a : 7,6cm ≤ e≤9,5cm
On prend : e = 9cm
3.2.4. Condition de flèche
:
3.2.4. Condition de flèche
:
Lmax
- Si la portée Lmax est au plus égale à 5m f max
500
LX
-Si la portée Lmax est supérieure à 5m f max 0,5
1000
Dans notre cas (Lmax<5m), on doit vérifier la condition suivant: f max Lmax
500
Tel que:
g,q
3.80 m
e ≥15.01cm
e = max {15.01,16,9,16}(cm)
Conclusion :
h 30 cm.
b ≥ 20cm
h/b ≤4
b max ≤ 1.5h + b1
b1 ≤ Max (b1 /2, h1 /2)
h1
b b1 ≤ Max ( b1 /2 , h1 /2 )
h1
Le calcul de la section du béton sera faite en compression centrée, les règles CBA 93
préconisent de prendre une section réduite en laissant 1cm de chaque coté pour tenir
compte de la ségrégation du béton.
D’après l’article B.8.4.1 du CBA 93 : l’effort normal ultime Nu agissant sur un poteau doit
être au plus égal à la valeur suivante :
Nu ≤ α ((Br.fc28/0,9 γb) + (A.fe/γs)).
Et d’après les règles BAEL91, elles préconisent de prendre la section réduite Br:
Br ≥ Nu / ((fbc/0.9) +0.85(fe/ s) (A/Br))
Tel que :
Br : Section réduite du poteau (en cm²).
2
Poteaux rectangulaires ………………..B r = (a - 0,02) (b – 0,02) m
A : Section d’aciers comprimés prise en compte dans le calcul.
fc28 : Résistance à la compression du béton = 25MPa.
fbc : 0.85(fc28/ b) = 14.16 MPa.
fe :Limite d’élasticité de l’acier utilisé = 400MPa.
γb =1,5.
γs =1,15.
: Coefficient de correction dépendant de l’élancement mécanique λ des poteaux. Il prend
les valeurs :
- si λ 50 : α = 0,85 / (1 + 0,2 . (λ / 35)²) ;
- si 50 < λ < 70 : α = 0,60 (50 / λ)².
On se fixe un élancement mécanique λ=35 pour rester toujours dans le domaine de la
compression centrée d'ou : = 1.2
D’après le RPA99/version 2003 :
A/Br = 0,9% (zone III)
Br(cm2) ≥ 6,75 Nu(t)
3,80 m
§ Poteau central 4
Le poteau central le plus sollicité (D4),
2
à une surface de participation S =14,44m
on majore la surface de 15℅ pour prendre en compte D
le poids des éléments porteurs (poutres et poteaux)soit :
2
s=1.15x14.44=16.60 m
3,80m 3,80m
3,80 m
Charges et surcharges revenant aux poteaux centraux:
PLANCHER SURCHARGE
3,80 m
Le poteau de rive le plus sollicité (D1),
à une surface offerte S = 7.2m D
on majore la surface de 10℅ pour prendre en compte
3,80 m
le poids des éléments porteurs (poutres et poteaux)soit
2
s=1.1x7.2=7.92 m
3,80 m
PLANCHER
acrotère SURCHARGE
0.665X7.92 =
0.171x 3.8 =0.44 t 0.1x7.92 = 0.792t
TERRASSE 5.266 t
G = 5.266 t G = 0.44t Q = 0.792 t
0.520 x 7.92 = Mur sur poutre 0.150 x 7.92 =
ETAGE 4.118 t 2.71x2x0.72x2.85=1.07 1.188 t
COURANT
G = 4.118 t G = 1.07 t Q= 1.188 t
0.520 x7.92 = Mur sur poutre
0.5 x7.92 = 3.96 t
RDC 4.1184 t 2.71x2x0.68x2.85=1.31t
G=4.118 t G = 1.31 t Q =3.96t
§ Poteau d’angle 1
Le poteau d’angle le plus sollicité (A1),
2
à une surface offerte S = 3.6m
3,80 m
on majore la surface de 10℅ pour prendre en compte
le poids des éléments porteurs (poutres et poteaux)soit
2
s=1.1x3.6=3.96 m A
Charges et surcharges revenant aux poteaux d’angles
3,80 m
PLANCHER SURCHARGE
2
NIV G NG Q NQ NU Br(m ) Br (m) B obtenue
2
(cm )
5 5.70 5.70 0,79 0.79 8.88 0.05994 0.074 30x30
4 5.18 10.88 1,18 1.97 17.64 0.11907 0.102 30x30
3 5.18 16.06 1,18 3.15 26.40 0.17820 0.137 35x35
2 5.18 21.24 1,18 4.33 35.16 0.23733 0.142 35x35
1 5.18 26.42 1,18 5.51 38.64 0.26082 0.150 35x35
RDC 5.42 31.84 3,96 9.47 57.18 0.38596 0.181 40x40
Poteau angle b= 1
2 2
NIV G NG Q NQ NU Br(m ) Br (cm )
(m)
5 2.63 2.63 0.39 0.39 4.13 0.02787 0.052 30x30
4 2.059 4.58 0.59 0.98 9.08 0.06129 0.078 30x30
3 2.059 6.74 0.59 1.57 11.44 0.07722 0.087 30x30
2 2.059 8.80 0.59 2.16 15.12 0.10206 0.120 33x35
1 2.059 10.86 0.59 2.75 18.78 0.12676 0.122 35x35
RDC 2.059 12.92 1.98 4.73 24.53 0.16561 0.128 35x35
II b
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f
e2 = 4 .( 2 + αφ )
10 .h
§ Calcul de l’élancement
lf = 2.l0 =2x1 = 2 m.
I b .h3
i= I= ; B = b.h
B 12
i = 0,03
λ = 2/0,03 = 66.67
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= 0.02 m
2
e2 = 6 .2
4 2
10 . 0 ,12
ea = max(0,02 , 1/250) = 0,02m.
eT = 0,586+0,02+0,02 = 0,626m
Mu = Nu (e0 + e2+ea ) = 0.139 kN.m
Le calcul se fera par assimilation à une flexion simple.
ère
a. 1 étape : étape fictive
ε = 10%o
σs = 348MPA
rb 0.527 0.527
rb (1 rb
) (1 ) 0.217
2 3 2 3
M rb = m rb .s bc .b.d 0.217 15 1 0.1082 2
3.79.10 MN. m / ml
2
2
Aser = 0. 672 cm /ml
2.3.Condition de non fragilité :
f
t 28
Asmin ≥ 0.23×b×d = 0. 1.11 cm2/ml
fe
2.4.Armatures de répartition :
Ar = As / 4 = 0,5025 cm²
On adopte 3HA6 (As = 0.85)avec un espacement de 20 cm
2.5.Vérification au cisaillement :
Vu=1.5 Q = 0.23 t
2
0.23 10
Vu = 0.02Mpa
1 0.9 0.12
A : Coefficient de zone .
Cp : Facteur de force horizontale .
Wp : Poids de l’acrotère .
F : Force due à la main courante et sera majorée de 1.5
A 0.25(Z III )
Cp 0.80
Wp 0.171t / ml
F 0.230t / ml
Fp 0.136t / ml
Fp F Le ferraillage obtenu précédemment est maintenu.
3. Calcul des Escaliers
INTRODUCTION :
Pour une meilleure appréciation du comportement de la structure, il est préférable d'intégrer la
raideur de ces éléments au modèle, c'est-à-dire qu'on les fait explicitement participer
au comportement de la structure.
160cm
15cm
160cm
Remarque : comme l’écart entre les poids propres des deux niveaux (RDC ; EC) est petit,
le calcul sera effectué pour un seul niveau dont les résultats seront généralisés pour
l’ensemble des escaliers.
Le chargement peut être lu sur une poutre équivalente comme suit :
E.L.S : qser = G + Q
Pour :
Une épaisseur e = 0.12 m Une
bande de largeur b = 1m Hauteur
utile d = 0.9 x e = 0.108m
Ferraillage de la volée :
Ferraillage longitudinal :
L’escalier n’est pas exposé aux intempéries, donc le calcul de ferraillage s’effectue à
l’ELU.
Mu =20.78 kN.m
0.85 f c 0.85 25
fbu = = = 14,17 MPa
28
qg b 1 1.5
Mu
m = = 0.124
bd 2 f bu
0,124<0.186 Pivot A, section sans armatures comprimées (ssac) .
a = ( 1- 1 2m ) / 0.8 = 0,168
Z = d (1-0.4 a )=0,100
fe 400 348 MPa
s s= = =
gs 1.15
As = M u = 0.62cm 2 /ml
Z .s
s
Armatures de répartition :
As 2
Ar = = 0,15cm /ml
4 2
Soit : 5HA6 ( Ar = 0.85cm /ml ) ; soit : St = 20cm
3.2. Palier :
Le calcul sera effectué pour une bande de 1m de largeur.
les actions :
2
G = 5.66 KN/m 2 = 0.566 t/m
2
Q = 2.5 KN/m 2 = 0.25 t/m
2
qu = 1.35G + 1.5 Q = 0.889 t/m
les sollicitations :
Ferraillage longitudinal :
ü sur appuis :
Mua = 2.14 t.m/ml
M ua 21.4 10 3
μ= = = 0.129
bdfbu 2 1.0x0.1082 14,17
-3
= 0.129 ≤ 0.186 Pivot A s = 10.10 pas d’acier comprimé
1 1 2m
a = 0,174
0.8
z = d (1-0.4 a ) = 0.108 x (1-0.4x 0,174) = 0.102 m
s s = ƒe / g = 348 MPa.
s 3
21.4.10
As = M ua = 0.68 cm 2 / ml
Z .s s 0.102 348
Condition de non fragilité :
0.23bo df t 28
Amin > = 1,30 cm²
fe
2 2
As < Amin è on prend As = Amin = 1,30 cm Soit : 5 HA 6 (1,41 cm )
o Vérification au cisaillement :
On doit vérifier si : u < t u
Vu max
u =
bo d
Vu = 0,435 t/ml
V u max 4.35 10 3
u = 0,040MPa
=
bo d 0.108
t u = min (0,20 fc28 /; 5 MPa) pour fissuration peu nuisible.
b
= min (3.33 ; 5) = 3.33 MPa
u = 0.04Mpa < t u = 3.33 MPa è Il n’y pas un risque de cisaillement.
o Armature de répartition :
As 1,41
A r= 2
0.352cm /ml
4 4
2
Soit 5HA6 (Ar =1.01 cm ) avec un espacement de 25 cm.
4. ETUDE DU BALCON
4.1 PRE DIMENSIONNEMENT DES BALCONS :
Les balcons et les charges dont ils sont soumis sont représentés sur la figure suivante:
Q=3.5 KN/m2
Poutre de rive
Epaisseur e ≤ 0.20 0.25 0.30 0.35 0.40 0.45 0.50 0.55 ≥ 0.60
0.97 0.92
Hauteur H 1.00 0.95 0.90 0.85 0.80 0.75* 0.70*
5 5
Tab:4.1. Dimensions du garde-corps
Puisque le balcon est exposé aux intempéries, il sera calculé à l'ELU et à l'ELS.
16 cm
L = 1,32 cm
As
16 cm
100 cm
Hauteur utile : d = 0,9h =14,4cm
Avec :
h : l’épaisseur de la dalle pleine.
2
Charge permanente : g = 5,78Kn/m
2
Charges d’exploitation : q1 = 3.5 KN/m
Charge linéaire horizontale (en tête du garde-corps) : q2
Balcon 01 è B = 3,8 m è q2 = Min (0.4 ; 1.3/B)
= Min (0.4 ; 1.3/3.8) = 0.34 KN/m
Moment à ELU
2
Mu = (1.35 g + 1.5 q1) L / 2 + 1.5 q2 x 1 m
2
. = (1.35 x 5.78 + 1.5 x 3.5) (1,32) / 2 + 1.5 x 0.34 x 1
= 11,37 KNm/m
Moment à ELS
Moment réduit :
2 2
μ = Mu / bd fbu = 0.0113 /( 0.14 x 14,17) = 0,040 < 0.186 (BAEL 91) => pivot A
1/2
= 1 (1 2 ) / 0.8 = 0.051
z = d (1 0.4 ) = 0.14 m
Pivot A As = 0
-3
0.186 s = 10. 10 s = f( s) = 348 MPa.
-2
As = Mu / z. s = 1,13x 10 / (0.14 348)
2
As = 2,31 cm² soit: 3HA10 (As = 2,36 cm ).
Armatures de répartition:
2 2
At = A s/4 = 0, 59 cm /m (4HA8 As=2.01cm )
E.L.S:
s bc = 0,6 fc28 =15 MPa
s st = 201.63 MPa.
x = [n. s bc /(n s bc + s st )]d=0,075
m. z = (d-x/3) = 0,119 m.
M 1 = 1sbc.x.(d x ) = 0.066 MN.m
2 3
Mser M1 SSAC
-2
As = Mser / z. s = 0.76 10 / (0.140 201.63)
2
As =3,19 cm² soit 5HA10 (As =3,93 cm )
Condition de non fragilité :
. Données du Balcon 02 :
Balcon de 2,67m de longueur, 0,8m de portée, constitué de la même façon que le balcon 01.
Matériaux : béton de fc28 = 25 MPa et acier de fe = 400 MPa
0.85 fc28 fe 400
D’où : fbu = 14,17MPa et σsu = 348MPa
1.5 1.15 1.15
Puisque le balcon est exposé aux intempéries, il sera calculé à l'ELU et à l'ELS.
Moment réduit :
2 2
μ = Mu / d fbu = 0.00489 /( 0.14 x 14,17) = 0,0176 < 0.186 (BAEL 91) => pivot A
1/2
= 1 (1 2 ) / 0.8 = 0.022
z = d (1 0.4 ) = 0.142 m
Pivot A As = 0
-3
0.186 s = 10. 10 s = f( s) = 348 MPa.
-2
As = Mu / z. s= 0,489x 10 / (0.14 348)
2
As = 1,003cm² soit: 2HA10 (As = 1,57 cm ).
Acier transversal:
2 2
At = As/4 = 0,250 cm /m (3HA8 As=1,51cm )
E.L.S:
s bc = 0,6 fc28 =15 MPa
s st = 201.63 MPa.
x = [n. s bc /(n s bc + s st )]d=0,075
m. z = (d-x/3) = 0,119 m.
M 1 =1/2b s x(d-x/3)= 0.066 MN.m
bc
Mser M 1 SSAC
-2
As = Mser / z. s = 0.34 10 / (0.140 201.63)
2
As =1,20 cm² soit 3HA10 (As =2,36 cm )
5 HA 10
4HA8
20 60
Les poutrelles sont des éléments préfabriqués, leur calcul est associé à celui d’une
poutre continue semi encastrée aux poutres de rives.
Rugueux
> 40 mm 40
Périmètre de liaison > 20 mm
Pente préférable
160
dans ce sens.
Corps creux
Poutrelle
a) Les sollicitations :
Charges permanentes :
18
- poids propre de la poutrelle : 0,12x0, 04x25=0,12 kN/m.
4
- poids propre du corps creux : 0,60x0, 95 =0,57 kN/m. 12
G=0,69 kN/m Figure .4.3 Poutrelle préfabriquée
Surcharges d’exploitation du chantier : 0,60x1=0,60 kN/m
Q=0,60 kN/m
b) Les combinaisons :
L’expression du moment maximum dans une poutre isostatique est donnée par :
2
Mmax = ql /8 Dans notre cas : Lmax = 3,8 m
D’où on obtient :
2
(3,8)
MU 1,83 3,30 kN.m
8
(3,8)
MS 1,29 2 2,32 kN .m
8
L’effort tranchant maximal est donné par :
Tu max = qu L / 2 = 3,47 kN
Tser max = qser L / 2 = 2,45 kN
c) Ferraillage :
La poutrelle travaille en flexion simple.
B=12 cm
d=3,60 cm
h=4 cm
f bu
14,17 MPa
m
M U
1,49 mR 0,392 , AS ≠ 0
2
bd f bu
Les aciers comprimés sont nécessaires, il faut soulager la poutrelle par des
étaiements verticaux pour supporter les charges avant et lors du coulage sans qu’elle ne
fléchisse.
Les étaiement seront disposés de telle façon à annuler les armatures comprimées telle
que Lmax est calculée comme suit :
µser ¢ µ1µ
M ser
m 0,392
0,12.0,036.14,17
R
Les poutrelles sont des éléments préfabriqués, leur calcul est associé à celui d’une poutre
continue semi encastrée aux poutres de rives.
-18,48 -17,81
-13.79 -17,15 -16.48 -21,17
à E LS qs= Q + G
-9.88 -8.09
-9.88
3.15
3.15 4.05 4.05 7.26
7.26
-9.71
-13.02 -12.08 -11.61
-12.54
-14.91
5.2.FERRAILLAGE DES POUTRELLES :
Ferraillage longitudinal:
En travée :
ü à ELU : le moment est donné par l’expression suivante (dimensionnement à
l’ELU d’une section en Té en flexion simple) :
h0 0.04
M Tabl e b.h0 . f bu . d 0.60 0.04 14.17 0.18 54,44 KN .m 10,31KN .m
2 2 MU
L’axe neutre tombe dans la table de compression, la section en Té sera calculée comme une
section rectangulaire de largeur b=60cm et de hauteur h=20cm.
ü à ELS :
h0
s st (d )
M bt 3 bh 2
0
30(d h0 )
2
Fissuration préjudiciable : s min f ; max(0.5 ,110 1.6 ft 28 ) =267MPa
st
f e e
3
0.04
267(0.18 )
M bt 3 0.60 0.04
2
10.59KN . > Mser max= 7.26 KN.m
m
30(0.18 0.04)
1
Mser max < Mbt è L’axe neutre est dans la table è .b.x.s bc .z
M 2
1
15s bc x
avec : x .d ; z d ;s 0.6 f c 28
bc
15s bc s st 3
è s bc = 15 MPa ; x = 0.085m ; z = 0.133m è M 51.03 KN.m > Mserè S.S.A.C
1
h0
è z min z; min 0.176;0.133 0.133m
d 3
3
M se r 7.26 10
è Aser 2.04cm 2
=
z.s st 0.133 267
ü Condition de non fragilité :
f t 28 2
Ami (C.N.F) = 0.23 b d = 0.23 x (2.1/400) x 0.60 x 0.180 = 1.30 cm
fe
2 2
D’où : As = max (Asu ; Aser ; Amin) = 2.04 cm , on prendre 3HA10 (2.36 cm )
Sur appui :
ü à ELU : où : Mmax appui = 14.03 KN.m
Le moment est négatif, la table de compression est tendue, la section en té sera calculée
comme une section rectangulaire de largeur 12cm et de hauteur h=20cm.
3
Mu 14.03 10
èµ= 2 0.25 < µc = 0.306è A’s= 0
b.d . f b 0.12 0.182 14.17
1 1 2µ 1 1 2 0 . 25
a 0 ,373
0.8 0.8
z = d.(1-0.4 α) = 0.180 x (1-0.4 x 0.37) = 0.153m
Mu 14.03 10 3
Asu = 2.30cm
2
. Ferraillage transversal :
Armatures de répartition :
Les armatures de répartition A2 doivent vérifier :
2
A2 ≥ A1 / 2=0,71 cm ,
Soit 5T6 A2 1,41 cm et St=20 cm.
2
St St/2
TS t 6
100cm
St/2
St
100cm
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CT : Coefficient, fonction du système de contreventement, et du type de remplissage.
Il est donné par le tableau 4.6 du RPA99 / Version.2003. Pour les contreventements
assurés partiellement ou totalement par des voiles en béton armé CT = 0.050
3/4
T = 0.050 (19,74) T = 0.47s
Pour ce type de contreventement, on peut également utiliser la formule :
hN
T = 0.09
D
D : la dimension du bâtiment mesurée à la base dans la direction de calcul considérée.
Lx=25.62m
§ Sens longitudinal :
19.74 Vx
Tx = 0.09 0,359 sec
25.62 Ly=25.2m
§ Sens transversal :
Ty = 0.09 19.74 0.353sec Vy
25.2
Le même article (4.2.4) stipule de prendre la valeur la plus petite entre les deux pour
chaque direction de calcul considérée :
N.B : On remarque que toutes les périodes sont inférieures à T2=0.7 sec
2.5 0 T T2
2
T 2
D 2.5 3 T2 T 3.0 sec
T 5
2
T2 3 3.0 3
2.5 T 3.0 sec
3.0 T
Avec :
T2 : période caractéristique, associée à la catégorie du site donnée par le Tableau 4.7
art 4.2.3 des RPA 99/Version .2003.On a pour un site très meuble (S4) T2 = 0.7 sec.
: Facteur de correction d’amortissement donné par la formule :
7
0.7
2
W : poids de la structure qui est égal à la somme des poids Wi calculés à chaque niveau
(i) par la formule (4-5):
5
W= Wi avec Wi = WGi + β WQi
1
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W5= 448.604 t
§ Poids revenant niveau :4
W= (Plancher + balcon + poteaux + poutres + murs de façade + escalier)
+ 0,2 (Qec+ Qbalc + ½ Qesc)
W4= 435.06t
§ Poids revenant niveau : 3
W= (Plancher + balcon + poteaux + poutres + murs de façade + escalier)
+ 0,2 (Qec+ Qbalc + ½ Qesc)
W3= 476.77 t
§ Poids revenant au niveau : 2
W = (Plancher + balcon + poteaux + poutres + murs de façade + escalier)
+ 0,2 (Qec+ Qbalc + ½ Qesc)
W2 = 486.744 t
§ Poids revenant au niveau :1
W= (Plancher + poteaux + poutres + murs de façade + escalier + balcon)
+ 0,2 (Qec+ Qbalc + ½ Qesc)
W1= 485.06 t
§ Poids revenant au niveau : RDC
W= (Plancher + poteaux + poutres + murs de façade + escalier + balcon)
+ 0,2 (Qec+ Qbalc + ½ Qesc)
Wrdc= 476.74 t
Wt= 223.024 t
W5= 448.604 t
W4= 435.060 t
W3= 476.770 t
W2 = 486.744 t
W1= 485.060 t
Wrdc=476.740 t
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D’où, V est déterminée comme suit :
Sens X Sens Y
Zone III III
Groupe d’usage 2 2
A 0.25 0.25
D 1.90 1.90
Q 1.30 1.25
R 3.5 3.5
ADQ/R 0.176 0.169
W (t) 3032.02 3032.02
V (KN) Vx = 5336.35 Vy =5124.11
Avec :
Ft : force concentrée au sommet de la structure.
Fi : force horizontale au niveau i.
La force concentrée Ft au sommet de la structure permet de tenir compte de l’influence
des modes supérieurs de vibration. Elle doit être déterminée par la formule :
Ft = 0.07 T V
où T est la période fondamentale de la structure (en secondes). La valeur de Ft ne
dépassera en aucun cas 0.25 V et sera prise égale à 0 quand T est plus petite ou égale à 0.7
sec.
Pour T = 0.47 sec Ft =0.00 t
La partie restante de V soit (V – Ft) doit être distribuée sur la hauteur de la structure
suivant la formule :
V FT . W i . h i V .W .h
Fi n è F n
i i
i
W j .h j W .h
j j
j 1 j 1
Avec :
W i .h i
n
Niveau Wi (kn) hi ( m) W i .hi (kn.m) Fi KN Vi (KN)
W j .h j
j 1
W .h
i i
Niveau Wi (kn) hi ( m) W i .h i (kn..m) n
Fi KN Vi (KN)
W .h
j j
j 1
§ Sens longitudinal :
Niveau
Zi (m) Fix (KN) Vkx(KN) Mkx(KN.m)
terrasse 19.74 801.60 801.60 0
èm
5 étage 16.68 1362.45 2164.06 15823.58
èm
4 étage 13.62 1078.92 3242.98 51920.10
er
3 étage 10.56 916.733 4159.71 96089.49
er
2 étage 7.50 664.69 4824.41 140016.03
er
1 étage 4.44 392.140 5216.55 176199.10
RDC 1.38 119.792 5336.35 199360.58
206724.75
§ Sens transversal :
Niveau
Zi (m) Fix (KN) Vkx(KN) Mkx(KN.m)
terrasse 19.74 769.72 769.72 0
èm
5 étage 16.68 1308.28 2078.0 15194.27
èm
4 étage 13.62 1036.0 3114.03 49855.31
er
3 étage 10.56 880.27 3994.31 92268.40
er
2 étage 7.50 638.21 4632.5 134448.31
er
1 étage 4.44 376.5 5009.08 169192.06
RDC 1.38 115.02 5124.11 191432.38
198503.65
T Q
1,25A (1+ (2,5η -1)) 0≤T≤T1
T1 R
Q
Sa R
2,5η (1,25A) ( ) T1≤T≤T2
= Q T 2 2/3
g 2,5η (1,25A) (
R
) ( ) T2≤T≤3,0s
T
T2 3 Q
2,5η (1,25A) ( ) 2/3 ( ) 5/3 ( ) T≥3,0s
3 T R
Sa : spectre en accélération
g : accélération de la pesanteur
A : coefficient d'accélération de zone A = 0.25
Q : Coefficient de qualité Q = 1.20
Les irrégularités en plan et en élévation sont prises en compte par le modèle 3D .
R : coefficient de comportement global de la structure R = 3.5 structure en voile
porteur
T1, T2 : Périodes caractéristiques associées à la catégorie de site
Pour un site S3 : T1 = 0.15 sec et T2 = 0.7 sec
Commentaire :
D’après le tableau on remarque qu’il ya un couplage entre les modes de déplacement
suivant Y et les modes de torsion .
Dans notre cas, les conditions décrites ci-dessus (paragraphe c) ne sont pas satisfaites à
cause de l’influence importante des modes de torsion, le nombre minimale de modes (k) à
retenir doit être tel que :
k ≥ 3(N ½ ) et TK ≤ 0.20 SEC (art . 4.3.4. RPA99/version 2003)
ou : N est le nombre de niveaux au dessus du sol et TK la période du mode k
N=7 K 3 7 7.93 on prend N=8 modes
§ Coordonnée du centre de masse et de centre de torsion :
g. Vérification de la période
D’apré le article 4.2.4.du RPA 99/ VERSION 2003
Les valeurs de T calculées à partir des méthodes numériques ne doivent pas dépassés celles
estimés à partir des formules empiriques de 30%
T numérique ≤ 1.3 T empirique 0.41 ≤ 1.3x0.47
0.41 Sec < 0.611 sec vérifie
7. VERIFICATIONS SPECIFIQUES POUR L’ENSEMBLE DE LA
STRUCTURE
Introduction :
Depuis le séisme de 21 Mai 2003, la région Algéroise est passée d'une zone de
sismicité moyenne à une zone de forte sismicité. Du coup l’addenda 2003 du RPA
99 â renforcer les rôles de l’exploitation des éléments structuraux ainsi que
leur utilisation dans une structure à contreventement.
Ce dernier (RPA99/ version2003) définit plusieurs classes de contreventements dont :
Les forces sismiques reprises par les voiles > 75 % d’effort tranchant de l’étage
V2 : l’effort sismique reprise par les voiles
Spectre Fx Fy V2 (KN) 75%Fmax V2>75%Fmax
Sens X 4635.22 144.51 4837.96 3476.41 Oui
Sens Y 144.26 4509.37 5076.61 3382.02 Oui
Commentaire :
D’après ces résultats les conditions d’utilisation des classes de contreventement 4.
n’est pas justifiée On opte pour la classe de contreventement 2.
7.2. RESULTANTE DES FORCES SISMIQUES A LA BASE VT : (Art. 4.3.6 RPA
99/version 2003) :
Cette dernière est obtenue par la combinaison des valeurs modales et elle ne doit pas être
inférieure à 80 % de la résultante des forces sismiques déterminée par la méthode statique
équivalente V, soit : Vt > 0.8 V
Suite à l’application du spectre de calcul dans les deux sens de la structure, les
résultats sont comme suit :
Effort sismique dans le sens X, Fx = 1548.42 KN
D’où :
Spectre Fx Fy V (KN) 80%V 0.8V < F
Sens X 5635.22 244.51 5336.35 4269.08 Oui
Sens Y 244.26 5509.37 5124.11 4099.28 Oui
Nd
n 0.3
Bc . f c
Où : -n : effort normal réduit 28
Bien que les portiques ne reprennent que les charges verticales, Nous avons jugé important
de vérifier les poteaux sons les combinaisons sismiques.
Niveau RDC :
fc28 observatio
Elément poteaux Combinaisons Nd (KN) Bc (m²) 2 Bc*fc28 v
(KN/m ) n
C1 45x45 G+Q+EX -2101.25 0.2025 25000 5062.5 0.29 ≤0.30
C10 45x45 G+Q+EY -1298.9 0.2025 25000 5062.5 0.25 ≤0.30
C11 45x45 G+Q+EX -1150.07 0.2025 25000 5062.5 0.22 ≤0.30
C12 45x45 G+Q+EX -1150.07 0.2025 25000 5062.5 0.22 ≤0.30
C12 45x45 G+Q+EY -934.31 0.2025 25000 5062.5 0.18 ≤0.30
C13 45x45 G+Q+EX -586.76 0.2025 25000 5062.5 0.11 ≤0.30
C14 45x45 G+Q+EX -928.88 0.2025 25000 5062.5 0.18 ≤0.30
C15 45x45 G+Q+EY -1759.35 0.2025 25000 5062.5 0.30 ≤0.30
C16 45x45 G+Q+EX -1411.81 0.2025 25000 5062.5 0.27 ≤0.30
C17 45x45 G+Q+EX -801.77 0.2025 25000 5062.5 0.15 ≤0.30
C18 45x45 G+Q+EY -964.23 0.2025 25000 5062.5 0.19 ≤0.30
C2 45x45 G+Q+EX -2010.26 0.2025 25000 5062.5 0.28 ≤0.30
C21 45x45 G+Q+EX -1707.13 0.2025 25000 5062.5 0.14 ≤0.30
C22 45x45 G+Q+EY -1296.73 0.2025 25000 5062.5 0.25 ≤0.30
C23 45x45 G+Q+EX -2361.27 0.2025 25000 5062.5 0.15 ≤0.30
C24 45x45 G+Q+EX -1942.15 0.2025 25000 5062.5 0.3 ≤0.30
C25 45x45 G+Q+EX -1216.51 0.2025 25000 5062.5 0.24 ≤0.30
C26 45x45 G+Q+EY -1322.28 0.2025 25000 5062.5 0.26 ≤0.30
C27 45x45 G+Q+EX -1874.94 0.2025 25000 5062.5 0.30 ≤0.30
C28 45x45 G+Q+EX -1320.62 0.2025 25000 5062.5 0.26 ≤0.30
C29 45x45 G+Q+EY -1233.33 0.2025 25000 5062.5 0.24 ≤0.30
C3 45x45 G+Q+EY -1233.59 0.2025 25000 5062.5 0.24 ≤0.30
C30 45x45 G+Q+EY -836.78 0.2025 25000 5062.5 0.16 ≤0.30
C31 45x45 G+Q+EY -1301.38 0.2025 25000 5062.5 0.25 ≤0.30
C32 45x45 G+Q+EY -3440.4 0.2025 25000 5062.5 0.16 ≤0.30
C33 45x45 G+Q+EY -1301.53 0.2025 25000 5062.5 0.25 ≤0.30
C34 45x45 G+Q+EY -837.65 0.2025 25000 5062.5 0.16 ≤0.30
C35 45x45 G+Q+EX -1780.3 0.2025 25000 5062.5 0.25 ≤0.30
C36 45x45 G+Q+EX -1636.52 0.2025 25000 5062.5 0.30 ≤0.30
C37 45x45 G+Q+EY -1139.69 0.2025 25000 5062.5 0.22 ≤0.30
C38 45x45 G+Q+EY -1652.43 0.2025 25000 5062.5 0.28 ≤0.30
C39 45x45 G+Q+EY -965.16 0.2025 25000 5062.5 0.19 ≤0.30
C4 45x45 G+Q+EY -1763.35 0.2025 25000 5062.5 0.29 ≤0.30
C41 45x45 G+Q+EX -1655.02 0.2025 25000 5062.5 0.30 ≤0.30
C42 45x45 G+Q+EX -982.6 0.2025 25000 5062.5 0.19 ≤0.30
C43 45x45 G+Q+EX -927.89 0.2025 25000 5062.5 0.18 ≤0.30
C5 45x45 G+Q+EX -1940.4 0.2025 25000 5062.5 0.30 ≤0.30
C6 45x45 G+Q+EX -1632.97 0.2025 25000 5062.5 0.30 ≤0.30
C7 45x45 G+Q+EX -931 0.2025 25000 5062.5 0.18 ≤0.30
C8 45x45 G+Q+EX -2726.29 0.2025 25000 5062.5 0.26 ≤0.30
C9 45x45 G+Q+EX -1147.43 0.2025 25000 5062.5 0.22 ≤0.30
7.4 . VERIFICATION DES DEPLACEMENTS INTER ETAGES : (ART : 5.10 RPA
99/VERSION 2003)
Le déplacement horizontal à chaque niveau k de la structure est calculé comme suit :
k R ek
Avec :
R : coefficient de comportement global de la structure R=3.5
δek : Déplacement dû à la force sismique Fk donné par la formule suivante :
ak Fk g
ek 2
et ak
Wk
Le déplacement relatif du niveau k par rapport au niveau k-1 est égal à (Art 4.2.10 des
RPA 99/Ver.2003) :
K K K 1
Les résultats numériques sont présentés dans les tableaux .7.1 et 7.2
Sens longitudinal :
Commentaire :
D'après les résultats obtenus, l'ensemble des étages vérifient la limite des déformations
relatives inter-étages (<1% Hétage).
Sens transversal
Mresi = W x ly / 2= 30319. x 25.2/2 = KN.m
Mrenv y = Fi .Z i = 67039.317
KN.m
D’où :
§ Suivant le sens longitudinal :
Mrésist 388.89.6
5.55 > 1.5 è La condition est vérifiée
Mrenver 69816.430
§ Suivant le sens transversal :
Mrésist 382025.7
5.69 > 1.5 è La condition est vérifiée
Mrenver 67039.3
7.5. PRISE EN COMPTE DES EFFETS DU SECOND ORDRE (EFFET P-D) :
Les effets du second ordre dus aux forces de gravité peuvent être négligés si, à
chaque niveau (n), la condition suivante est satisfaite à chaque niveau:
qk = Pk D k / Vk hk £ 0.10
Pk : poids total de la structure et des charges d’exploitation associées au-dessus du
niveau k,
n
Pk W Gi
b W q
i k
Sens longitudinal
Sens transversal
D’après les résultats obtenus pour les deux sens considérés et selon les prescriptions du
code parasismique RPA 99/version2003 : q < 0.10 è l'effet du second ordre peut être négligé.
6.1 Pré dimensionnement des voiles
:
9797
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e ≥ he/20=306/22=13,90
cm
9898
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§ Schématisation de la variante proposée
:
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§ Schématisation de la variante proposée
: V
t 0.2 f 5MPa
b0 .d c 28
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§ Application aux voiles :
N M .v 1114.72 4279.83
σ1 = =
I 0,57 0.68
σ1=1.39 Mpa
N M .v 1114.2 4279.83 1.9
σ2 = =
I 0,57 0.68
σ2= -0.9 Mpa
L
e
L'
Lt
d
’
b)Calcul de L :
s 2 1.39
Lt= L( ) =3.8 ( ) = 1. 58 m
s1 s 2 1.39 0.9
’
L = L-Lt = 3.8 -1.58 =2.22 m
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’ N1 M 1 .v1
'
d= 1,47m
σ2 = '
= -0,069 Mpa
'
I
N1 M 1 .v
'
σ2 = ' ' = -0.9 Mpa
I
’ 3 4
I = (0,15×1,47 )/12=0,040m
'
v = 1,86/2=0,73m
’ 2
Ω = 0,16×1,86 =0,22m
Donc:
’ ’
N1= (Ω /2)×( σ2 + σ2 ) N1= -1172,97 KN
’ ’ ’
M1=(I /2v )×( σ2 - σ2) M1=250,5 KN
M1
e0 = = -0,214m < d/6 et N est un effort de traction S.E.T (section entier ment
N1
tendue).
’
Soit : c = c = 5 cm
e1= d/2 –e0 –c =0,494 m
’
e2=h/2 +e0 –c = 0, 920 m
2
As= N1×e2 / (e1+e2)×fe = 19.07m
’ 2
As = N1×e1 / (e1+e2)×fe =10.22cm
’ 2
As= As + As =29,30cm
2
As/ml/face =9.93cm
d)-Armatures minimales de RPA 99:
D’après le RPA 99 (Art 7.7.4.1):
ARPA=0.20% b Lt
b :épaisseur du voile
Lt : longueur de la section tendue
2
ARPA=0.20%×0.15×1.58=4.75cm
2
ARPA/ml/face=1,5 cm /ml/face.
e) Le pourcentage minimal :
2
Amin =0.15%×b×l =0.15%×0,15×3.8 =8.55cm
2
Amin/ml/face=12/(2×5)=1,12 cm /ml/face.
2
Donc : ASV = max (As ,Amin ,ARPA)= 29,31cm .
Le ferraillage sera fait pour la moitie de voile à cause de la symétrie :
2
AS= 2×7,6×(3.8/2) =37.74 cm .( pour les 2 face )
2
En zone courante : soit 24HA12. (AS=27,14 cm )
2
En zone d’about : soit. 10HA12 (AS=11,31 cm )
-f) espacement :
En zone courante : St ≤ min(1.5e, 30)=24 cm.
soit : St=16cm.
En zone d’about : Sta= St/2=8cm
Les tableaux suivants indiquent le ferraillage vertical pour des voiles considérés comme les plus
sollicités :
St d’about (cm) 11 11 8 12
St courante (cm) 22 22 16 22.5
Armatures
8HA16 4HA14 10HA16 8HA10
d’about/face (cm2)
Armatures
14HA14 10HA12 26HA20 20HA10
courantes/face (cm2)
2
As adoptée/face (cm ) 40.46 16.72 99.87 23.5
Tab:6.25. Calcul de Ferraillage des Voiles disposés dans le sens longitudinal (Vx1, Vx3 et Vx2)
Voiles disposés dans le sens transversal :
Tab:6.30. Calcul de Ferraillage des Voiles disposés dans le sens l transversal (Vy1, Vy2 et Vy3)
De même, la section des armatures est donnée par le BAEL comme suit :
At t 0.3 ft j .k
Avec une section minimale donnée par RPA 99, V. 2003 comme suit :
b0 .S t 0.8 f e
At min (RPA) =0.15 %× b0 × s
Espacement :
St ≤ min (1.5 b ; 30) en cm
Le tableau suivant indique le ferraillage horizontal pour l'ensemble des voiles :
2 2
Voiles At (cm ) St (cm) A min (cm ) Armatures
VX1 16 8HA10
5.855 0.5625
VX2 16 8HA10
5.855 0.5625
VX3 16 8HA10
5.2775 0.50625
VY1 16 8HA10
4.6875 0.45
VY2 16 8HA10
4.6875 0.45
VY3 16 8HA10
5.2775 0.50625
VY4 16 8HA10
5.2735 0.50625
VY5 16 8HA10
5.8595 0.5625
VY6 16 8HA10
5.85 0.5625
VY7 16 8HA10
5.855 0.5625
VY8 16 8HA10
5.855 0.5625
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s
Nser s sol s sol =1.3 bars=13 t/m²
Avec
S semelle
N
S
s sol
Les surfaces des semelles isolées revenantes à chaque poteau sont données par le
tableau suivant :
Semelle Nser S=Nser/ Semelle Nser S=Nser/ Semelle S=Nser/s
Nser (t)
s (t) s (m²) s (t) s (m²) s (m²)
1 48.40 3.92 15 63.75 4.90 29 56.88 4.375
2 94.03 7.22 16 63.96 4.92 30 52.92 4.07
3 83.29 6. 17 95.86 7.37 31 50.91 3.91
4 37.73 2.99 18 91.89 7.068 32 36.05 2.77
5 29.70 2.28 19 95.74 7.36 33 55.10 4.23
6 52.30 4.02 20 55.57 4.27 34 37.10 2.85
7 115.97 8.93 21 64.92 4.99 35 44.46 3.4
8 102.62 7.89 22 47.77 3.67 36 35.46 2.7
9 50.53 3.88 23 94.07 7.23 37 53.37 4.10
10 53.15 4.08 24 92.39 7.106 38 67.06 5.15
11 60.76 4.67 25 97.20 7.47 39 83.10 6.9
12 62.49 4.80 26 52.66 4.05 40 45.84 3.52
13 94.35 7.21 27 55.93 4.30 41 75.65 5.81
14 91.28 7.46 28 61.66 4.74
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Commentaire :
La somme du surface des semelles = 270,99$50 % du surface totale de notre bâtiment
N : effort normal
s sol : La contrainte admissible du sol ( s sol =1.3 bar =13 t/m²)
5-1- Dimensionnement des semelles filantes :
a) Le débord D :
Nous avons prévu un débord minimum prescrit par les règlements pour des raisons
techniques de réalisation dont la valeur est donnée par la formule suivante :
L
D L'
2
N i .x i
D’où : L'
NT
b) La largeur B :
s
La largeur de la semelle continue doit vérifier la condition suivante : B
l
S : surface de la semelle.
L : longueur de l’entre axes
c) La hauteur h:
c-1-) La hauteur de la semelle est donnée par la relation : h = d + 0.05
B b
avec : d
4
d : hauteur utile (en m)
b : Cotés du poteau (en m)
B b
h1 ≥ + 0.05 m
4
h1 ≥ 0.4 m
c-2-) Vérification de la longueur élastique : il faut vérifier que : Lmax Le× π/2
1
4EI 4
Le
Ks B
2
E : module d’élasticité du béton = 32160000 kN/m
2
K : coefficient de raideur du sol = 40000 kN/m
3
I : moment d’inertie de la semelle = B. h /12
B : largeur de la semelle
A partir de la longueur élastique on distingue 2 catégories de semelles filantes :
1. Semelle filante rigide, si Lmax Le× π/2
2. Semelle filante souple, si Lmax ≥ Le× π/2
Lmax :le plus grand entraxe entre les poteaux d’un fil de poteaux
Nous choisissons pour notre ouvrage la semelle rigide
4 4 1/3
D’ou :h 2≥ (48K L max /E π B )
Sens longitudinale :
semelle B (m) Lmax (m) h1 h2 h3 h (m)
S1 1.90 3.8 0.365 0.368 0.60 0.60
S2 1.67 3.8 0.3275 0.382 0.60 0.60
S3 1.77 3.8 0.3975 0.371 0.60 0.60
S4 2.48 3.8 0.5425 0.331 0.60 0.60
S5 1.94 3.8 0.4575 0.362 0.60 0.60
S6 1.90 3.8 0.4125 0.368 0.60 0.60
S6 1.95 3.8 0.475 0.369 0.60 0.60
Lmax
semelle N (KN) L (m) B (m) h (m) Le×p/2(m)
(m)
SF1 5833.13 22.80 1.90 0.6 4.331 3.8
SF2 4995.02 22.80 1.68 0.6 4.331 3.8
SF3 5465.97 22.80 1.84 0.6 4.331 3.8
SF4 4782.81 15.2 2.42 0.6 4.331 3.8
SF5 4123.97 15.2 2.08 0.6 4.331 3.8
SF6 3754.60 15.2 1.90 0.6 4.331 3.8
SF7 4264.25 15.2 2.15 0.6 4.331 3.8
Sens longitudinal :
Lmax
semelle N (KN) L (m) B (m) h (m) Le×p/2(m)
(m)
S1 1796.49 7.2 1.90 0.6 4.331 3.8
S2 4979.15 22.80 1.67 0.6 4.331 3.8
S3 5271.17 22.80 1.77 0.6 4.331 3.8
S4 7376.95 22.80 2.48 0.6 4.321 3.8
S5 5773.37 22.80 1.94 0.6 4.301 3.8
S6 5623.94 22.80 1.90 0.6 4.321 3.8
S7 1823.11 7.2 1.95 0.6 4.31 3.8
6-Vérification au non poinçonnement :
Sous l’action des forces localisées,il y a lieu de vérifier la résistance des semelles filantes au
poinçonnement par l’effort tranchant
Il faut vérifier que :
N ser 5ht
t 1 b / t
2 ht lim
B
3
Nser : l’effort normal au niveau de poteau le plus sollicite de chaque semelle
t lim 0.045 f c 28 / g : représente la valeur limite de la contrainte de
b
cisaillement.
t lim 0.045 25 / 0.75MPa 750KN / m 2
1,5
Les résultats des vérifications au non poinçonnement sont représentés dans les tableaux
suivants :
Sens transversale :
semelle Nser D adopte B adoptée h adoptée b t t lim
(KN) (m) (m) (m) (kPa)
(kPa)
SF1 5833.13 0.5 1.90 0.60 0.45 -1141.01 750
SF2 4995.02 0.5 1.68 0.60 0.45 -1105.07 750
SF3 5465.97 0.5 1.84 0.60 0.45 -1104.03 750
SF4 4782.81 0.5 2.42 0.60 0.45 -734.51 750
SF5 4123.97 0.5 2.08 0.60 0.45 -736.898 750
SF6 3754.60 0.5 1.90 0.60 0.45 -734.456 750
SF7 4264.25 0.5 2.15 0.60 0.45 -737.155 750
Sens longitudinale :
semelle Nser D adopte B adoptée h adoptée b t t lim
(KN) (m) (m) (m) (kPa)
(kPa)
S1 1796.49 0.5 1.90 0.60 0.45 -351.416 750
S2 4979.15 0.5 1.67 0.60 0.45 -1108.1 750
S3 5271.17 0.5 1.77 0.60 0.45 -1106.84 750
S4 7376.95 0.5 2.48 0.60 0.45 -1105.5 750
S5 5773.37 0.5 1.94 0.60 0.45 -1106.0 750
S6 5623.94 0.5 1.90 0.60 0.45 -1100.45 750
S7 1823.11 0.5 1.95 0.60 0.45 -347.48 750
7-Vérification des semelles sous l’effet de la force sismique
Les fondations superficielles seront vérifiées selon les combinaisons accidentelles
suivantes :
Sens transversale
M
semelle N (KN) e (m) 4 e (m) B (m) Vérification
(KN.m)
SF1 9366.85 2839.93 0.344 1.216 1.90 Vérifiée
SF2 5465.97 2029.75 0.376 1.482 1.68 Vérifiée
SF3 7313.36 3010.134 0.435 1.818 1.84 Vérifiée
SF4 4782.81 1851.083 0.384 1.54835 2.42 Vérifiée
SF5 4123.97 67.75 0.014 0.0658 2.08 Vérifiée
SF6 5120.98 226.52 0.042 0.1768 1.90 Vérifiée
SF7 4264.25 94.33 0.022 0.089 2.15 Vérifiée
Sens longitudinale
M
semelle N (KN) e (m) 4 e (m) B (m) Vérification
(KN.m)
S1 3516.29 45.92 0.013 0.052 1.90 Vérifiée
S2 6053.23 1058.96 0.174. 0.69 1.67 Vérifiée
S3 5946.8 263.74 0.044 0.177 1.77 Vérifiée
S4 5447.44 889.327 0.163 0.65 2.48 Vérifiée
S5 6334.2 645.19 0.10 0.407 1.94 Vérifiée
S6 6156.59 366.37 0.059 0.236 1.90 Vérifiée
S7 3532.2 103.92 0.029 0.116 1.95 Vérifiée
7-2- Vérification des contraintes : (combinaisons G+Q±E)
Les contraintes maximales et minimales valent : M
N 6M
σ1 = P
LB L2 B
N 6M
σ2 =
LB L2 B
Avec : e = M / P
3s 1 s 2 b
σmoy =
4
h
Les dimensions de la semelle doivent satisfaire
les condition suivantes :
s
moy 1.33 sol
2
le tableau suivant :
B
M σ1 σ2 σmoy 1.33xσsol
semelle N (KN) Observation
(KN.m) (MPa) (MPa) (Mpa) (Mpa)
SF1 11304.24 4373.15 0.176 0.146 0.168 0.172 vérifiée
SF2 9076.9 4373.15 0.1735 0.1421 0.165 0.172 vérifiée
SF3 5865.67 3096.24 0.119 0.090 0.112 0.172 vérifiée
SF4 5003.63 2370.043 0.122 0.0095 0.1153 0.172 vérifiée
SF5 5087.76 124.76 0.1257 0.1243 0.125 0.172 vérifiée
SF6 6393.91 223.98 0.1685 0.1639 0.1678 0.172 vérifiée
SF7 4981.7 2545.47 0.137 0.091 0.126 0.172 vérifiée
Sens longitudinale
M σ1 σ2 σmoy 1.33xσsol
semelle N (KN) Observation
(KN.m) (MPa) (MPa) (Mpa) (Mpa)
S1 4092.36 30.18 0.13 0.20 0.203 0.172 vérifiée
S2 7661.2 1318.21 0.612 0.087 0.14 0.172 vérifiée
S3 7718.13 191.43 0.14 0.142 0.14 0.172 vérifiée
S4 7891.06 871.35 0.00147 0.0010 0.0010 0.172 vérifiée
S5 8324.64 699.187 0.144 0.138 0.143 0.172 vérifiée
S6 8030.54 160.725 0.137 0.135 0.136 0.172 vérifiée
S7 4150.36 118.146 0.071 0.071 0.070 0.172 vérifiée
8. Ferraillage des semelles :
Ferraillage des semelles sous un fil des poteaux:
D'après les résultats obtenus dans les tableaux, on peut supposer que notre semelle est rigide
à conséquent le diagramme des contraintes dans le sol sera uniforme.
Alors, son calcul de ferraillage pourrait être assimilé au calcul d'une poutre renversée sur
deux appuis dont le chargement est la contrainte dans le sol ainsi les efforts normaux sont
les réactions dans cette poutre.
B 2
Semelle
(m)
h (m) L (m) Mmax (KN.m) As (cm ) choix
As sup
Travée 227.92 2 14.19 10HA20
(cm )
SF1 1.90 0.6 22.8 Appui
As inf
(Sous 453.16 2 30.3 10HA20
poteau)
(cm )
As sup
Travée 363.48 2 24.1 12HA16
(cm )
SF2 1.68 0.6 22.8 Appui
As inf
(Sous 489.11 2 32.8 12HA20
poteau) (cm )
As sup
Travée 290.51 2 19.1 10HA16
(cm )
SF3 1.84 0.6 22.8 Appui
As inf
(Sous 396.81 2 26.4 14HA16
poteau)
(cm )
As sup
Travée 178.82 2 9.6 7HA14
(cm )
SF4 2.42 0.6 15.2 Appui
As inf
(Sous 527.53 2 29.9 10HA20
poteau)
(cm )
As sup
Travée 331.53 2 21.8 10HA16
(cm )
SF5 2.08 0.6 15.2 Appui
As inf
(Sous 453.42 2 30.2 10HA20
poteau) (cm )
As sup
Travée 305.36 2 20.1 10HA16
(cm )
SF6 1.90 0.6 15.2 Appui
As inf
(Sous 417.62 2 27.8 8HA20
poteau)
(cm )
As sup
15.2Travée 106.20 2 6.8 6HA14
(cm )
SF7 2.15 0.6 15.2 Appui
As inf
(Sous 314.36 2 20.6 10HA16
poteau)
(cm )
Sens longitudinal
B 2
Semelle h (m) L (m) Mmax (KN.m) As (cm )
(m)
As sup
Travée 193.60 2
(cm )
12.6 7HA16
S1 1.90 0.6 7.2 Appui
As inf
(Sous 445.07 2 30.4 10HA20
poteau)
(cm )
As sup
Travée 270.76 2 17.8 9HA16
(cm )
S2 1.67 0.6 22.8 Appui
As inf
(Sous 299.23 2 19.7 10HA16
poteau)
(cm )
As sup
Travée 283.56 2 18.6 9HA16
(cm )
S3 1.77 0.6 22.8 Appui
As inf
(Sous 313.64 2
(cm )
21.9 11HA16
poteau)
As sup
Travée 597.46 2
(cm )
30.2 10HA20
S4 2.48 0.6 22.8 Appui
As inf
(Sous 534.83 2 29.54 10HA20
poteau)
(cm )
As sup
Travée 250.36 2 16.3 8HA16
(cm )
S5 1.94 0.6 22.8 Appui
As inf
(Sous 301.02 2 19.8 9HA16
poteau)
(cm )
As sup
Travée 168.83 2 11.02 8HA14
(cm )
S6 1.90 0.6 22.8 Appui
As inf
(Sous 409.75 2 27.2 8HA20
poteau)
(cm )
As sup
Travée 190.12 2 12.3 8HA14
(cm )
S7 1.95 0.6 7.2 Appui
As inf
(Sous 425.34 2 24.5 7HA20
poteau)
(cm )
a-Transversalement:
Elle agit comme une semelle rectangle sous poteaux, pour calculer le ferraillage nous
choisissons la méthode de bielles.
NB : lorsque on applique la méthodes des bielles, on aura une semelle rigide, et on
considérons que la contrainte du sol comme constante
q' B - b
Ar
8(h 0.05) s s
s 2 3s 1
q’ : q' s B / 4
4
N 'u 6e
s 1, 2 )
B
(1
S
e
M
N 'u
S : surface de la semelle.
: Poids spécifique de terre
D’ : ancrage des semelles.
Nous avons :
3
= 20 KN/m et D’ = 2m.
PTS S.g .D'
b- Longitudinalement :
Elle agit comme une poutre renversée continue avec les poteaux comme des appuis,
la poutre est charge par les contraintes de sol
Répartition du poids totale le long de la semelle :
La répartition des charges le long de la semelle est donnée par la formule suivante :
qu s sol B
B : largeur de la semelle
Les résultats du calcul sont représentes dans les tableaux ci-dessous
Sens transversale
2 2 As choisie
semelle B(m) h(m) q’ KN/m Ast (cm /ml)
(cm2/ml
SF1 1.90 0.60 158.76 0.340 1HA8 0.50
Sens longitudinale
2 2 As choisie
semelle B(m) h(m) q’ KN/m Ast (cm /ml) (cm2/ml
S1 1.90 0.60 130.76 0.280 1HA8 0.50
Les conclusions auxquelles a abouti le présent travail, sont résumées dans les points
suivants :
Présentement, le séisme en tant que chargement dynamique reste l’une des plus
importantes et dangereuses actions à considérer dans le cadre de la conception et du calcul
des structures.
L’analyse tri dimensionnelle d’une structure irrégulière est rendue possible grâce à l’outil
informatique et au logiciel performant de calcul, à savoir le ETABS
Grâce au logiciel ETABS, l’estimation (la modélisation) de la masse de la structure peut
être faite avec un grand degré de précision.
. La connaissance du comportement dynamique d’une structure en vibrations libres
amorties, ne peut être approchée de manière exacte que si la modélisation de celle ci se
ère
rapproche le plus étroitement possible de la réalité. Rappelons que la 1 étape de l’analyse
dynamique d’un modèle de structure consiste dans le calcul des modes propres
tridimensionnels et des fréquences naturelles de vibrations.
. L’étude du comportement dynamique d’une structure, dont la forme en plan est irrégulière
nous a permis de mieux visualiser la présence des modes de torsion.
. Il est indéniable que l’analyse sismique constitue une étape déterminante dans la
conception parasismique des structures. En effet des modifications potentielles peuvent être
apportées sur le système de contreventement lors de cette étape. Par conséquent, les
résultats déduits de l’étape de pré dimensionnement ne sont que temporaires lors du calcul
d’une structure.
. Cette étude nous a permis l’application de toutes les connaissances théorique acquise
durant notre formation. De plus elle nous a permis de maîtriser logiciel ETABS qui est
très pratique pour les bâtiments.
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