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1 12 1
0,911. 10−30 1,673. 10−27 1,675. 10−27 donc : 1𝑢𝑚𝑎 = 12 𝑁 = 𝑁 𝑔
Propriétés
f/ L’électron-Volt :
Charge
(C)
−1,60. 10−19 1,60. 10−19 Nulle Par définition est l’énergie acquise par un électron
accéléré par une d.d.p de 1V.
𝐸 = −𝑞𝑉 = 1,602. 10−19 . 1 = 1,602. 10−19 𝐽
Z Le nombre de protons
III. L’élément est trop lourd ⟹ 𝛼 = 44𝐻𝑒
(Le Numéro Atomique) IV. L’élément excite 𝛾 = 𝑅 é𝑙𝑒𝑐𝑡𝑟𝑜𝑚𝑎𝑔𝑛é𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒
Démonstration :
𝐸 = 𝐸𝑐 + 𝐸𝑝 ↔ 𝐻 ̂ = 𝑇̂ + 𝑉̂ ̂ ΨdV =
∫ Ψ∗𝐻 ∫ Ψ ∗ 𝐸ΨdV
−ℎ2 𝜕² 𝜕² 𝜕² −ℎ2 𝑒𝑠𝑝𝑎𝑐𝑒 𝑒𝑠𝑝𝑎𝑐𝑒
𝑇̂ = ( + + )= ∆ =1
2𝑚 𝜕𝑥² 𝜕𝑦² 𝜕𝑧² 2𝑚
𝑍𝑒² ̂ ΨdV = 𝐸 (
∫ Ψ∗𝐻 ∫ Ψ ∗ Ψ 𝑑𝑉)
𝑉̂ = −
4𝜋𝜀0 𝑟 𝑒𝑠𝑝𝑎𝑐𝑒 𝑒𝑠𝑝𝑎𝑐𝑒
ℎ 𝜕𝜑
(𝑇̂ + 𝑉̂ )𝜑 = 𝐸= ̂ ΨdV
∫ Ψ∗𝐻
𝑖 𝜕𝑡
𝑒𝑠𝑝𝑎𝑐𝑒
𝜑(𝑥, 𝑦, 𝑧, 𝑡) = Ψ(𝑥, 𝑦, 𝑧, )𝑒 𝑖𝜔𝑡
ℎ 𝜕𝜑
(𝑇̂ + 𝑉̂ )𝜑 = 𝚿 En coordonnées sphériques :
𝑖 𝜕𝑡
ℎ 𝜕𝜑 𝑥 𝑟 0≤𝑟≤∞
𝑇̂𝜑 + 𝑉̂ 𝜑 = 𝑦 𝜃 0 ≤ 𝜃 ≤ 𝜋 𝑑𝑉 = 𝑑𝑥𝑑𝑦𝑑𝑧 =
𝑖 𝜕𝑡
𝑧 𝜑 0 ≤ 𝜑 ≤ 2𝜋
ℎ 𝜕Ψ𝑒 𝑖𝜔𝑡 𝑟² sin 𝜃 drd𝜃𝑑𝜑
𝑇̂Ψ𝑒 𝑖𝜔𝑡 + 𝑉̂ Ψ𝑒 𝑖𝜔𝑡 =
𝑖 𝜕𝑡
1 𝜕 𝜕 1 𝜕 𝜕 1 𝜕²
∆= (𝑟² ) + (sin 𝜃 )
𝑟² 𝜕𝑟 𝜕𝑟 𝑟² sin 𝜃 𝜕𝜑 𝜕𝜑 𝑟² sin 𝜃 𝜕𝜑²
−ℎ2 ℎ
∆ Ψ𝑒 𝑖𝜔𝑡 + 𝑉̂ Ψ𝑒 𝑖𝜔𝑡 = Ψ𝑖𝜔𝑒 𝑖𝜔𝑡 Dans ces conditions Ψ(𝑟, 𝜃, 𝜑) peut mise sous
2𝑚 𝑖
forme : Ψ(𝑟, 𝜃, 𝜑) = 𝑅(𝑟)Θ(𝜃)𝜙(𝜑)
−ℎ2 𝑅(𝑟) : nécessite l’introduction de « n » et « l »
∆ Ψ + 𝑉̂ Ψ = ℎ𝜔Ψ Θ(𝜃) : nécessite l’introduction de « l » et « m »
2𝑚
𝜙(𝜑) : nécessite l’introduction de « m »
2
−ℎ 𝑍𝑒² h 2π Donc : Ψ(𝑟, 𝜃, 𝜑)𝑛,𝑙,𝑚 = 𝑅(𝑟)𝑛,𝑙 Θ(𝜃)𝑙,𝑚 𝜙(𝜑)𝑚
( ∆− )Ψ = EΨ
2𝑚 4𝜋𝜀0 𝑟 2π h
H/ Les nombres Quantiques :
(𝑇̂ + 𝑉̂ )Ψ = EΨ ↔ 𝐻 ̂ Ψ = 𝐸Ψ Le nombre quantique principale « n »
̂ ) et la FO (𝛹) :
e/ Condition pour L’op (𝐻 Il définit l’énergie de l’atome(e-) et la couche
quantique : 𝑛 ∈ ℕ∗ (𝑛 ≥ 1)
∫ |Ψ|2 𝑑𝑉 = 1
n 1 2 3 4 5
𝑒𝑠𝑝𝑎𝑐𝑒
Couche K L M N O
Hermétique : Le nombre quantique secondaire ou azimutal « l »
∫ Ψ ∗ 𝐻Ψ 𝑑𝑉 = ∫ Ψ𝐻 ∗ Ψ ∗ 𝑑𝑉 Il quantifie la norme du moment cinétique
𝑒𝑠𝑝𝑎𝑐𝑒 𝑒𝑠𝑝𝑎𝑐𝑒 0 ≤ 𝑙 ≤ 𝑛 − 1 𝐿 = √𝑙(𝑙 + 1)h
On a : Le nom de la sous couche est lié à la valeur de « l »
̂ Ψ = 𝐸Ψ Et
𝐻 𝐻∗Ψ∗ = 𝐸∗Ψ∗ l 0 1 2 3 4
S.couche s p d f g
Le nombre quantique magnétique « m »
∫ Ψ ∗ 𝐸Ψ 𝑑𝑉 = ∫ Ψ𝐸 ∗ Ψ ∗ 𝑑𝑉 Quantifie la projection 𝐿𝑍 du vecteur moment
𝑒𝑠𝑝𝑎𝑐𝑒 𝑒𝑠𝑝𝑎𝑐𝑒
=1 =1
cinétique sur l’axe Oz.
−𝑙 ≤ 𝑚 ≤ 𝑙 ⇒ (2𝑙 + 1)𝑣𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠
⇒𝐸( ∫ Ψ ∗ Ψ 𝑑𝑉) = 𝐸∗ ( ∫ ΨΨ ∗ 𝑑𝑉 ) Le nombre quantique de spin « s »
𝑒𝑠𝑝𝑎𝑐𝑒 𝑒𝑠𝑝𝑎𝑐𝑒
C’est le moment magnétique de spin avec :
⇒ 𝐸 = 𝐸 ∗ ⇒ 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑟é𝑒𝑙𝑙𝑒
1 1 J/ Probabilité :
𝑠 = (↑) ; 𝑠 = − (↓)
2 2 a/ Fonction de répartition radiale :
L’état d’e- C.-à-d. son niveau énergétique et |Ψ|² = |𝑅(𝑟)Θ(𝜃)𝜙(𝜑)|²
caractérisé par 4 nombres quantique n, l, m et s. On fixe 𝜃 𝑒𝑡 𝜑, la probabilité de présence de l’e- à
I/ Les orbitales atomiques : une distance r |𝑅(𝑟)|² ça s’appelle probabilité
a/ orbitales « s » : radiale en un point (ou probabilité ponctuelle)
Le volume représentatif des orbitales ns est une Soit dV un élément de volume compris entre deux
sphère (symétrie sphérique) car la PPe- varie de la sphères de rayon r et r+dr
même façon dans toutes les directions autour du 4
noyau. 𝑙 = 0 𝑒𝑡 𝑚 = 0. 𝑉 = 𝑉𝑠𝑝ℎè𝑟𝑒 = 𝜋𝑟 3
3
𝑑𝑉 = 4𝜋𝑟²𝑑𝑟
𝑑𝑃𝑟𝑎𝑑 = 𝑅 2 (𝑟)𝑑𝑉
𝑑𝑃𝑟𝑎𝑑 = 4𝜋𝑟²𝑅 2 (𝑟)𝑑𝑟
𝑑𝑃𝑟𝑎𝑑
= 𝐷(𝑟) = 𝑅 2 (𝑟)4𝜋𝑟²
𝑑𝑟
𝐷(𝑟) : Densité de probabilité radiale.
K/ Les atomes poly électroniques :
b/ orbitales « p » : a/ l’équation de Schrödinger : 3𝐿𝑖 +
𝑒 −1
On parle des orbitales px , py et pz ayant la
𝑟1 𝑟1,2
même forme, mais chacune est allongée sur
une des trois axes perpendiculaires. N 𝑟2
Une orbitale p possède un "plan nodal", dans 𝑒 −2
lequel la probabilité de trouver l'électron est ̂
𝐻 Ψ = 𝐸Ψ
nulle. Ce plan passe par le noyau. (𝑇̂ + 𝑉̂ )Ψ = EΨ
−ℎ2
𝑙 = 1 ; −1 ≥ 𝑚 ≥ 1 ↔ 𝑚 = −1,0,1 → 3 𝑜𝑟𝑏𝑖𝑡𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑝 ( ∆ + 𝑉̂ ) Ψ = EΨ
2𝑚
−𝑍𝑒² −𝑍𝑒² 𝑒²
𝑉̂ = − +
4𝜋𝜀0 𝑟1 4𝜋𝜀0 𝑟2 4𝜋𝜀0 𝑟1,2
−1 𝑍𝑒² 𝑍𝑒² 𝑒²
𝑉̂ = ( + − )
4𝜋𝜀0 𝑟1 𝑟2 𝑟1,2
−ℎ2 1 3𝑒² 3𝑒² 𝑒²
c/ orbitales « d » : [ ∆− ( + − )] Ψ = 𝐸Ψ
2𝑚 4𝜋𝜀0 𝑟1 𝑟2 𝑟1,2
Elles correspondent à 𝑙 = 2 𝑒𝑡 𝑚 = −2; −1,0,1,2
Et « n » quelconque, Il y a donc 5 orbitales que l’on b/ Règle de SALTER :
note « nd »
𝑍𝑖∗ = 𝑍 − ∑ 𝜎𝑗 𝑎𝑣𝑒𝑐 (∆𝑛 = 1)
𝑛𝑑𝑥𝑦 = 𝑅𝑛,2 (𝑟) sin² 𝜃 sin 2𝜑
𝑗≠𝑖
𝑛𝑑𝑦𝑧 = 𝑅𝑛,2 (𝑟) sin 𝜃 cos 𝜃 sin 𝜑 𝑍𝑖∗ 𝑒 : La charge fictive telle que 𝑍𝑖∗ < 𝑍
𝑛𝑑𝑧² = 𝑅𝑛,2 (𝑟)(3 cos² 𝜃 − 1) 𝜎𝑗 : Cte d’écran d’un e- (j) sur l’e- (i), on a donc
2
𝑛𝑑𝑥𝑧 = 𝑅𝑛,2 (𝑟) sin 𝜃 cos 𝜃 cos 𝜑 𝑍∗
pour chaque e- : 𝐸𝑖 = −13,6 𝑛𝑖∗ 2 (𝑒𝑉)
𝑛𝑑𝑥²−𝑧² = 𝑅𝑛,2 (𝑟) sin² 𝜃 cos 2𝜑
𝐸𝑇 = ∑ 𝐸𝑖
a/ Les periods :
%=
|𝜒𝐴 − 𝜒𝐵 |
100
Hamza ABBOUDI
𝜒𝐴 − 𝜒𝐵
Filière SMP
𝑆𝑖 𝜒𝐴 ≫ 𝜒𝐵 𝑜𝑛 𝑜𝑏𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑙𝑖𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛 𝑖𝑜𝑛𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑨: 𝑩
Faculté Des Sciences De Tétouan
𝑆𝑖 𝜒𝐴 𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑟𝑜𝑐ℎ𝑒 𝑑𝑒 𝜒𝐵 𝑜𝑛 𝑜𝑏𝑡𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑙𝑖𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛
𝑐𝑜𝑣𝑎𝑙𝑒𝑛𝑡𝑒 𝑨 ÷ 𝑩