Il n’a pas doute que cette pandémie a changé
la façon de vivre de toute le monde, avec les
différentes mesures dans tous les pays le gens
et les entreprises ont dû aménager la manière
de travailler en ramenant le travail à la maison.
Bien qu’il y a beaucoup des emplois qui
peuvent être adaptés à ces conditions, il y a
des autres qui requièrent presque toujours
contact humain comme le travail des
musiciens.
Avec la suspensión des récitals, des concerts et
des autres activités culturelles les musiciens
ont dû s’adapter à la virtualité pour partager
leur expressions artistiques, par exemple les
orchestres autour le monde ont fait des vidéos
dans lesquels au moyen de édition digital les
musiciens sont mis ensemble en faisant de la
musique de chambre ou musique pour
orchestre mais ce n’est pas seulement une
activité des grands orchestres parce que les
autres musiciens qui n'appartiennent pas à
aucune orchestre ils l’en ont fait, par exemple
dans la Colombie beaucoup de groupes de
musique populaire, jazz et autres genres ont
fait des vidéos de la même façon et ils avons
ont obtenu une quantité considérable de
reproductions sur internet.
Cependant, alors que certains musiciens se
réinventent et apprennent à faire de la musique
dans la virtualité, quelques autres, surtout ceux
qui vivaient en jouant dans la rue passer un
moment sombre, un problème invisible qui se
perd parmi tant d'autres problèmes que
l’humanité souffre au cours de cette pandémie.
Les musiciens de rythme populaire latin ont
été fortement touchés par le virus aussi, Il n'y a
plus de grandes fêtes, ni d'événements
familiaux, ni de foires régionales, peu à peu,
mariachis, trios et groupes de musique de
danse ont été forcés de descendre dans la rue,
risquant leur vie et frappant de porte á porte
avec son musique, pour que les résidents leur
donnent de l’argent pour payer le dîner.
D'autres victimes invisibles sont des musiciens
en formation, étant donné que l'enseignement
de la musique et en particulier la musique
instrumentale est une pratique en face à face
avec beaucoup de contacts entre l'enseignant et
l'élève, c'est pourquoi réinventer
l'enseignement de la musique a été difficile
pour les conservatoires et les académies de
musique qui persévèrent aujourd'hui avec les
cours de visioconférence.
la musique est une grande partie de l'espoir qui
nous soutient dans cette crise. Nous sommes à
côté de nos musiciens et nous continuerons à
applaudir chaque pièce qu'ils nous donnent,
depuis chez nous,
pour le moment.
Sebastian Soto
Julian Agudelo