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La nature exacte de la lumière demeure un sujet fascinant, car les travaux consacrés à l’étude
de la lumière et les nombreux débats qui en naquirent occupent un chapitre important de
l’histoire des sciences, Depuis l’Antiquité on y croise de nombreux savants et scientifiques
qui ont étudié la lumière afin de mieux comprendre sa nature. Auparavant la lumière semble
avoir fait l’objet d’une interprétation symbolique, contemporaine del’apparition de la pensée
« abstraite ». Élément vital pour les hommes préhistoriques, à qui ils prêtèrent certainement
une vertu surnaturelle, la flamme, source « apprivoisable » de lumière, fut l’un des quatre
éléments de la philosophie de la Grèce antique. L’illumination devint un pilier théologique,
de la symbolique « lumière divine ». Pour les Grecs, l’œil n’était pas le récepteur, mais la «
source » de la vision. Autrement l’oïl détecte la lumière et aussi elle peut détecter les trois
couleurs (rouge Blue, vert)
En effet, la lumière est une onde électromagnétique se propageant dans l'espace et le temps,
nous baignons dans un champ électromagnétique, c'est-à-dire un espace rempli de particules
chargées se déplaçant, lorsque qu'une perturbation de ce champ a lieu, celle-ci engendre une
onde électromagnétique qui se déplacera y compris dans le vide, car lui-même possède un
champ magnétique.
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Etude théorique:
1. Détecteur électronique :
Ce type de détecteur comporte un circuit électronique qui commande une ou plusieurs sorties
statiques.
Il existe des détecteurs pour tension continue, d'autres pour tension alternative mais on
rencontre aussi des détecteurs qui se branchent indifféremment sur une tension alternative ou
continue, malgré la nécessité d'alimenter en énergie le circuit électronique, ce type de
détecteur ne comporte que deux fils.
Le détecteur détecte la grandeur d'entrée à l'aide d'un élément sensible puis convertit
l'information d'entrée en une grandeur de sortie directement traitable par la partie commande.
2. Détecteurs de lumière:
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détecteurs de lumière sont très utiles et très précis, surtout grâce à leur enregistreur de
données et spécialement grâce à la correction complète du cosinus de l'angle de la lumière
incidente. Ces détecteurs de lumière ont une fonction de mémoire pour les valeurs de mesure
pour son évaluation.
A- Les détecteurs de type barrage : Ils sont constitués d'un émetteur et d'un récepteur.
Lorsque l'objet à détecter coupe le faisceau, le récepteur en l'absence de faisceau Lumineux
commute la sortie. L'inconvénient de ce type de détecteur c'est qu'il ne détecte pas les objets
transparents.
B- Les détecteurs de type reflex : Ils sont constitués d'un émetteur et d'un récepteur placés
Dans le même boîtier. Le faisceau est réfléchi par un réflecteur. Lorsque l'objet à détecter
Coupe le faisceau le récepteur en l'absence de faisceau lumineux commute la sortie.
L'inconvénient de ce type de détecteur est qu'il y a risque de détection sur les objets
Transparents et réfléchissants.
C-Détecteurs de type proximité : Ils sont constitués d'un émetteur et d'un récepteur placés
dans le même boîtier. Le faisceau est réfléchi par l'objet à détecter lorsque l’objet a réfléchi
le faisceau le récepteur en présence du faisceau lumineux commute la Sortie.
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2.1.2 Détecteur de lumière - Photo Transistor :
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La compréhension de ce phénomène entre dans le cadre de la théorie des bandes, les
électrons libres et les trous d'électron ainsi produits abaissent la résistance du matériau.
Les LDR sont la solution la plus adaptée pour utiliser les variations d'intensité lumineuses
même les capteurs (barrettes CCD, caméras) ne deviennent intéressants que lorsqu'ils sont
aussi utilisés pour autre chose en plus de la captation de niveau de luminosité
*Principe :
Le détecteur LDR est une photorésistance, une cellule photo-électrique sensible à
l’intensité lumineuse qu’elle traduit en produisant un petit courant électrique sensible à la
quantité de lumière reçue. Une variation de lumière provoque une variation de signal.
La sensibilité du détecteur LDR est proportionnelle à la lumière reçue : Plus le flux
lumineux sera intense, plus le nombre d’électrons disponibles pour assurer la conduction sera
grand l’efficacité est fonction de la longueur d’onde de la lumière.
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Caractéristiques de détecteur de la lumière :
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3.1Coefficient de réflexion :
C'est le rapport quantité de lumière (flux lumineux) réfléchie par l'objet à détecter par la
quantité de lumière (flux lumineux) reçue par cet objet .Les objets renvoient plus ou moins la
lumière qu'ils reçoivent et ceci en fonction de leur nature de la longueur d'onde de la lumière
reçue .En général, les détecteurs lumineux fonctionnent par rapport à une quantité d'énergie
lumineuse reçue.
3.2 Coefficient de transmission :
Les objets transmettent plus ou moins la lumière au travers de leur corps et ceci en fonction
De leur nature et de la longueur d'onde de la lumière. Dans le cas d'un barrage, la capacité à
détecter un objet dépendra directement du facteur de transmission de l'objet à détecter.
La commande d'éclairage avec les détecteurs de présence se base d'une part sur les
mouvements enregistrés et d'autre part sur la mesure de luminosité, les détecteurs de
présence mesurent en permanence la luminosité de la pièce grâce à cette mesure permanente
de luminosité le détecteur de présence est en mesure d'allumer l'éclairage artificiel lorsque la
lumière du jour est insuffisante, mais également de l'éteindre lorsque la luminosité naturelle
suffit une opération simple en apparence. Toutefois, dans les faits, le détecteur de présence
doit être capable de juger alors que l'éclairage artificiel est encore allumé, si la lumière du
jour restera suffisante une fois la lumière artificielle éteinte.
Une différence supplémentaire entre détecteur de mouvement et détecteur de présence réside
dans la mesure de luminosité, un détecteur de mouvement mesure la luminosité à une seule
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reprise, lorsque l'éclairage s'allume du fait d'un mouvement s’il continue ensuite d'enregistrer
des mouvements, par exemple le matin dans un bureau, l'éclairage reste allumé alors que la
lumière du jour devrait suffire et que le seuil de luminosité paramétré est dépassé depuis
longtemps. L'éclairage reste allumé sans que cela soit nécessaire. À l'inverse, les détecteurs
de présence mesurent la luminosité en permanence: si une valeur de luminosité réglée
individuellement est dépassée, le détecteur de présence éteint l'éclairage, même s'il détecte
encore des mouvements.
Pour pouvoir commander l’éclairage en fonction des besoins, il faut non seulement détecter
la présence de personnes mais aussi mesurer la luminosité ambiante.
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Les détecteurs de mouvement classiques ne disposent souvent que d’un système de mesure
de lumière très simple. Si le niveau de luminosité est insuffisant, l’éclairage s’allume.
Ensuite, la mesure de la lumière est perturbée par la lumière artificielle et donc désactivée.
Cela signifie que la lumière ne s’éteindra pas automatiquement lorsque l’éclairage naturel
sera suffisant mais seulement au moment où la pièce ne sera plus occupée. A ce moment-là
la mesure de lumière sera de nouveau activée. Ce comportement peut être satisfaisant dans
les zones de passage, mais ne l’est pas dans les pièces occupées en permanence.
Ainsi le détecteur de présence peut éteindre et allumer l’éclairage à tout moment en fonction
du niveau de luminosité. Alors que la mesure sélective de la lumière naturelle inhibe la
lumière artificielle par filtrage, le système à lumière composite mesure la lumière naturelle et
la lumière artificielle pareillement. Pour éteindre l’éclairage artificiel au moment voulu
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lorsque la lumière du jour augmente, le détecteur de présence doit connaître le taux de
lumière artificielle.
Il apprend cette valeur lui-même en analysant en permanence toutes les commutations de
l’éclairage dans une pièce. Ainsi, il peut à tout moment calculer le niveau de luminosité de la
lumière du jour à partir de la luminosité totale mesurée.
ETUDE PRATIQUE :
A-Premier circuit :
1-source
2-plaque d’essai
3-Transistor (BD235)
4- Photo résistor (LDR).
5-LED pour remorque
6-Les files.
7-Resistance (1k).
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B-Deuxième circuit :
1- Plaque d’essai
2-Transistor (2N222A).
3-Photo resistor (LDR).
4-Connecters.
5- LED pour camion
6-Les fils.
7-Resistance (10k).
*La photorésistance LDR est une forme de capteur de lumière sa résistance change de valeur
en fonction de la lumière
*Dans notre projet le but des circuits ci-dessous c’est de savoir manipulé les détecteurs de
lumières basées sur le principe de la conversion de la lumière en courant électrique, et à
l’aide d’un Porteous qui est un logiciel de développement et de simulation d'application via
un environnement graphique simple et interactif, et la modélisation de circuit électronique,
il permet d'obtenir la visualisation du circuit et d'affecter des valeurs aux composants
électroniques et de les simuler en temps réel.
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A-Explication de premier circuit
Ce circuit détecte la lumière tombant sur la cellule photo-électrique (LDR) pour allumer la
LED, La sensibilité réglable contrôle est nécessaire pour définir le niveau auquel le circuit
est activé.
Lorsque le pot de sensibilité est tourné de manière à ce qu'il présente la résistance la plus
faible, une grande quantité de lumière doit être détecté par le LDR pour sa résistance soit
basse, on obtient ainsi un diviseur de tension composé de la résistance de LDR et LED.
Comme la résistance de la LDR diminue, la tension aux bornes de augmente et le circuit est
activé dans les figure suivantes :
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Figure5 :une LED éteinte en présence de la lumière environnementale.
Lorsque la commande de sensibilité est prise sur le rail de 0V, sa résistance augmente et cela
ajoute efficacement la résistance à LED. La partie inférieure du diviseur de tension dispose
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désormais d'une plus grande résistance et cela est en série avec la LDR. Moins de lumière est
nécessaire.
Le principe est assez simple : plus il y a de la lumière, plus la résistance est basse donc selon
la loi d ohm :
U
U=RI → I = R Si R diminue≤courant IBaugmente V1= ( RL+R1 ) IB+VBE
.L'obscurité provoque une résistance importante.¿ courant I Bdiminue et devient presque nulle
le transistor travaille en commutation
Quand le transistor est utilisé en commutation, deux cas sont possibles Soit le courant de
base est nul et le transistor est bloqué.
Il est équivalent à un interrupteur ouvert. Soit le courant de base est suffisant et le transistor
est saturé. Il est équivalent à un interrupteur fermé.
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Le blocage est caractérisé par un courant de base nul ou négatif (VCE n’est pas nulle)
RC = 50Ω
VCE sat = 0, 2 V R1 = 1KΩ VCE SAT = 0,2 V VBE= 0,7 V 200 < ß < 300 Le point de
départ pour le calcul d'une résistance de base R1 est le courant IC. Ce courant est calculé en
fonction de la résistance de la charge et de la tension à ses bornes. La tension VCE SAT est
proche de 0V mais pas nulle.
IB-min = 0,176 / 200 = 0,88 mA On prend un coefficient de sécurité de k= 2 pour être sûr
que le transistor soit bien saturé : IB-SAT = IB- min x 2 = 1,76 mA
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B-Explication du deuxième circuit :
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Figure(7) :Une LED éteinte en présence de la lumière environnementale
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Figure8 : Une LED allumée en absence de la lumière environnementale.
Définitions :
1-Photorésistance :
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cristal augmente de plus en plus d'électrons qui étaient immobilisés dans les liaisons
covalentes s'échappent et peuvent participer à la conduction.
650nm, dans le rouge du spectre lumineux, d'autres matériaux comme le sulfure de plomb
sont plutôt utilisés dansl'infrarouge (>670nm) voir dans la figure suivante :
Le dessin localisé en dessous est le symbole d’une photorésistance utilisé dans la plupart de
schémas de circuit électrique.
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1.3 Les avantages d’une photorésistance :
Faible coût.
Sensibilité élevée.
2-Résistances :
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Figure 10 : une Resistance
2-1Principaux types :
Elles sont obtenues par une dépose par pyrolyse de carbone sur un bâtonnet en céramique.
Ce sont celles que l'on utilise le plus souvent.
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-Les résistances à couche métallique :
Elles sont obtenues par l'évaporation de métaux sur un bâtonnet en céramique ou en verre,
elles sont souvent utilisées comme résistance de précision.
-Les résistances bobinées :
Elles sont obtenues par un bobinage de fil résistant sur un support ayant une bonne tenue en
température, elles sont souvent utilisées comme résistance de puissance
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2-2Repérage :Pour connaitre la valeur ohmique d'une résistance, il faut identifier les
couleurs présentes sur la résistance et l'associer au code universel des couleurs.
3-Transistor :
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Le transistor bipolaire est un composant électronique de la famille des transistors. Ce
composant est basé sur 2 jonctions PN, qui peuvent soit être placé pour former une jonction
NPN ou PNP. Pour faire simple sur l'utilité du composant, il est possible de spécifier que la
troisième 3 patte de ce triple (composant à 3 pattes) permet de contrôler le passage du
courant entre les 2 autres pattes.
Le transistor bipolaire peut se représenter sur un schéma électronique avec un symbole d'un
composant à 3 pattes :
- Les constructeurs donnent en général les valeurs ci-dessous à ne pas dépasser afin d’éviter.
La détérioration du transistor :
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Figure 13: Schéma d’un transistor 2N222A
-Type - n-p-n
-Tension collecteur-émetteur: 60 V
-Collecteur-Base Tension: 60 V
-Tension de l'émetteur-base: 5 V
-Courant de collecteur: 2 A
-Dissipation du collecteur - 25 W
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Figure 14 : Schéma de transistor BD235
5-Ampoule LED :
Une ampoule LED est un terme issu de l'abréviation LED signifiant light-meeting diode, ou
DEL en français pour diode électroluminescente. Il s'agit d'un composant électronique
émettant de la lumière lorsqu'un courant le traverse. Cela paraît très moderne mais en réalité,
cette technologie est utilisée depuis de nombreuses années pour les veilleuses des appareils
électriques. Aujourd'hui, nous sommes en pleine évolution autour de la LED. Même si l'on
possède désormais des ampoules de grandes puissances et que les produits ne cessent
d'évoluer.
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Résumé de notre travail
Ce projet a été complété dans le cadre de l'obtention d'une licence et se concentre sur
l'achèvement de deux structures:
La première installation, qui est utilisée comme alarme antivol, la résistance LDR située à
l'intérieur de la pièce et est commandée par l'ouverture ou la fermeture de la porte
La deuxième installation peut être utilisée dans l'éclairage public où les lampes brillent la
nuit et s'éteignent pendant la journée
This project was completed in the framework of obtaining a bachelor's degree and focuses
on the completion of two structures:
The first installation, which is used as a burglar alarm ,the LDR resistance located inside the
room and is controlled by opening or closing the door
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The second structure can be used in public lighting where the lamps glow at night and
extinguish during the day
انجز هذا المشروع في إطار الحصول على شهادة الليسانس ويركز على انجاز تركيبين
التركيب األول الذي يستعمل كجهازانذار ضد السرقة ،المقاومة توجد™ داخل الغرفة نتحكم فيها بفتح أو غلق الباب
اما التركيب الثاني يمكن استعماله في اإلنارة العمومية حيث المصابيح تتوهج في الليل وتنطفئ™ في النهار
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CONCLUSION
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