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Novembre 2003

FICHE PRATIQUE DE SÉCURITÉ ED 98


Les appareils de protection
respiratoire sont nombreux et
variés, différents types
correspondant à des domaines
d’intervention ou des situations de
travail spécifiques. Aussi le choix
en est-il délicat. Cette fiche se veut
une introduction à ce domaine
vaste qui requiert la connaissance
préalable des risques auxquels
sont exposés les salariés et des
conditions réelles de leur
utilisation. Après un rappel de la
réglementation et des
préconisations d’usage, les
différents types de modèle sont
présentés de manière synthétique
et illustrée. Ne sont pas traités :
les appareils de plongée
subaquatique ni, de manière plus
générale, les appareils destinés à
© A. Gonnin - EDF

intervenir à des pressions


différentes de la pression
atmosphérique.
Un équipement dont le choix est adapté à une situation de travail précise…

Les appareils
de protection respiratoire

Avant de recourir au port d’un appareil de pro- d’altération de sa santé par inhalation d’un air CHOIX D’UN APPAREIL
tection respiratoire, il est indispensable de s’as- pollué par des gaz, des vapeurs, des poussières, DE PROTECTION RESPIRATOIRE
surer que d’autres solutions de prévention sont des aérosols ou d’un air appauvri en oxygène
bien techniquement impossibles à mettre en (teneur inférieure à 17 % en volume). D’une manière générale, l’emploi des appareils
œuvre, comme la substitution des produits de protection respiratoire devrait être limité aux
dangereux, la suppression de la source de Il existe de nombreux types d’appareils, cha- situations exceptionnelles (nettoyages, transva-
l’émission des polluants ou le captage à la cun adapté à des situations très précises ; le sements, évacuations d’urgence...) car le port
source par des procédés d’encoffrement et de choix ne peut être fait que par une personne d’un tel appareil représente une gêne et rend le
ventilation (articles R. 232-5-1 à 232-5-14 du code compétente, lorsque la situation de travail a travail plus pénible ; il ne protège que l’utilisateur
du travail). été analysée. Certains types d’appareils de et non les personnes qui sont à proximité. Par
L’utilisation d’un appareil de protection respira- protection respiratoire disposent en effet ailleurs, la protection apportée par les appareils
toire est nécessaire à chaque fois qu’une per- d’une capacité d’épuration limitée pouvant filtrants et les appareils isolants autonomes (voir
sonne se trouve confrontée à un risque conduire à des situations de fausse protection. classification) est limitée dans le temps.
Le choix d’un appareil de protection respira- On choisira un appareil isolant :
toire ne peut se faire qu’après une étude ! si la concentration en oxygène est inférieure
sérieuse des conditions d’utilisation ; en à 17 % en volume ou risque de le devenir au
particulier, il faut évaluer avec la meilleure cours des travaux (espaces clos confinés tels
précision : silos, citernes...) ;
! la teneur en oxygène ; ! si la concentration en poussières ou gaz de
! la nature et la concentration des polluants toxicité aiguë (amiante, cyanure d’hydrogène,
(gaz, aérosols solides ou liquides) ; chlore, hydrogène sulfuré…) atteint ou dépasse
! les caractéristiques toxicologiques des pol- des teneurs de l’ordre de 30 à 50 fois la valeur
luants, les valeurs limites de concentration limite ;
admises sur les lieux de travail ; ! dans tous les cas, si la concentration en pol-
! la dimension des particules s’il s’agit d’un luant dépasse des teneurs de 2000 fois la
aérosol ; valeur limite et si elle est très élevée ou est
! les conditions de température et d’humi- inconnue ;
dité ; ! en présence de monoxyde de carbone ; Fig
! l’activité physique de l’utilisateur ; ! en cas d’incendie ;
! la durée du travail à effectuer ; ! en cas d’intervention d’urgence sur une fuite tection respiratoire en fonction de l’état de
! les conditions d’accès à la zone de travail. gazeuse ; santé et des contraintes liées à la tâche à effec-
! pour l’évacuation de zones contaminées, tuer.
Les niveaux de protection apportés par les lorsque les concentrations en polluants sont Les appareils disponibles dans un établissement
appareils de protection respiratoire se tradui- élevées ou inconnues. doivent être répertoriés et enregistrés. Chaque
sent par différents coefficients qui correspon- appareil qui n’est pas à usage unique doit faire
dent aux niveaux d’étanchéité : l’objet d’une fiche de suivi. Les appareils doivent
! le Facteur de Protection Nominal (FPN) est être entretenus régulièrement, nettoyés après
calculé d’après la fuite totale vers l’intérieur chaque utilisation et stockés dans un endroit
de l’appareil de protection respiratoire com- propre. Ils doivent être désinfectés régulière-
plet. Il est mesuré selon des essais normali- ment et systématiquement à chaque change-
sés ; ment d’utilisateur.
! le Facteur de Protection Assigné (FPA) est
le niveau de protection atteint en situation de
travail par 95 % des opérateurs formés au port
des appareils de protection respiratoire et utili- CLASSIFICATION DES APPAREILS
sant correctement, après contrôle, l’appareil DE PROTECTION RESPIRATOIRE
considéré bien entretenu et bien ajusté.
La protection respiratoire est assurée par deux
Pour une situation donnée, on doit rechercher familles d’appareils :
le facteur de protection requis, par exemple, le ! Les appareils filtrants
rapport de la concentration ambiante en pol- Ils purifient l’air environnant par filtration. Ces
luants à la valeur limite d’exposition. Ce facteur appareils ne doivent en aucun cas être utilisés
est ensuite comparé aux FPN et, lorsqu’ils exis- Fig 6 dans une atmosphère pauvre en oxygène.
tent, aux FPA des différents appareils proposés. ! Les appareils isolants
Le choix se portera sur l’appareil dont FPN et Recommandations Ils sont alimentés en air respirable à partir
FPA sont supérieurs au facteur de protection d’une source non contaminée. L’utilisateur est
requis. Les appareils d’évacuation et de survie ne doi- indépendant de l’atmosphère ambiante.
vent jamais être utilisés pour équiper un sau- L’appareil est généralement constitué de deux
Peu de résultats sur les FPA sont actuellement veteur ni pour effectuer des interventions, parties : une pièce faciale et, selon la famille
disponibles ; des discussions ont lieu au sein du même très brèves, dans une zone dangereuse d’appareil sélectionnée, soit un dispositif de
Comité européen de Normalisation pour éta- en raison de la consommation d’oxygène en filtration, soit un dispositif d’apport d’air respi-
blir une liste de FPA pour chaque type d’appa- phase d’effort qui réduit considérablement le rable.
reil de protection respiratoire. temps d’utilisation.
Pièces faciales
Les masques de chirurgiens
ne sont pas des appareils de L’élément de l’appareil de protection respira-
protection respiratoire. toire en contact avec le visage de l’opérateur est
la pièce faciale. Elle doit assurer l’étanchéité
Le personnel appelé à utili- entre l’atmosphère ambiante et l’intérieur de
ser des appareils de protec- l’appareil. L’utilisateur doit l’ajuster correcte-
tion respiratoire doit être ment. La présence de fuites rend inopérante
informé sur les risques toute protection respiratoire.
encourus à son poste de tra- Un test simple et rapide pour vérifier, à chaque
Fig 1 Fig 2 vail. Il doit recevoir une for- utilisation, l’ajustement et l’absence de fuite de
mation délivrée par des polluants vers l’intérieur de la pièce faciale : bou-
personnes compétentes et cher les entrées d’air avec la main ; s’il est encore
entraînées sur le fonctionne- possible de respirer, le masque fuit et doit être
ment de son appareil et ses mieux ajusté ou changé.
limites d’utilisation.
Un médecin peut être L’étanchéité d’une pièce faciale peut être
amené à juger au cas par cas anéantie par une barbe (même de deux
de l’aptitude d’une personne jours), des favoris, des cicatrices, des érup-
Fig 3 Fig 4 Fig 5
au port d’un appareil de pro- tions cutanées, des lunettes.

2 Fiche pratique de sécurité ED 98


! Les filtres de classe 1 (mar- Type Couleur Domaine d’utilisation
qués P1 ou FFP1 dans le cas A marron gaz et vapeurs organiques dont le point
des pièces faciales filtrantes) d’ébullition est supérieur à 65 °C.
sont à réserver pour protéger
des aérosols solides et/ou B gris gaz et vapeurs inorganiques sauf le
liquides sans toxicité spéci- monoxyde de carbone* (ex. Cl2, Br2, H2S,
fique. HCN...).
! Les filtres de classe 2 (P2 ou
FFP2) sont à utiliser contre les E jaune dioxyde de soufre (SO2) et autres gaz
aérosols solides et/ou et vapeurs acides (ex. HCl…)
liquides (mention indiquée
sur le filtre) dangereux ou irri- K vert ammoniac et dérivés organiques aminés
tants (carbonate de nickel,
dioxyde de manganèse). HgP3 rouge + blanc vapeurs de mercure
g7 ! Les filtres de classe 3 (P3 ou
NOP3 bleu + blanc oxydes d’azote
FFP3) sont utilisés contre les
La pièce faciale peut être du type : aérosols solides et/ou AX marron produits organiques à point d’ébullition
! demi-masque (fig. 1) liquides toxiques (béryllium, inférieur à 65 °C
Déconseillé aux barbus. chrome, amiante, particules
! masque complet (fig. 2) radio-actives). SX violet composés organiques spécifiques
Déconseillé aux barbus et porteurs de lunettes désignés par le fabricant
(sauf masques spéciaux avec verres correcteurs À mesure de leur utilisation,
incorporés). les filtres anti-aérosols se col- * Certains fabricants proposent des filtres spécifiques pour le monoxyde de
! casque (fig. 3) matent, opposant une résis- carbone (CO).
Assure une protection mécanique du crâne tance croissante au passage
contre les chocs. de l’air pour une efficacité intacte. Cette gêne de claquage pour chaque type de filtre dans
Utilisé avec des appareils filtrants ou isolants respiratoire détermine la durée d’utilisation des conditions données. On peut estimer que
munis d’un dispositif d’aspiration d’air. d’un filtre. la relation entre le temps de claquage et la
Déconseillé par fort vent latéral. Les filtres anti-aérosols font l’objet d’un mar- concentration en polluant est linéaire. Par
En cas de coupure d’air, le porteur doit immé- quage normalisé ; la couleur blanche leur est exemple, un filtre A2 qui, dans les conditions
diatement quitter la zone à risques et retirer réservée. de la norme, a un temps de claquage mini-
son casque. mum de 35 min. dans une atmosphère conte-
! cagoule (fig. 4) Filtres antigaz nant 5 000 ppm de cyclohexane, aura, avec
Utilisée avec des appareils filtrants ou isolants La nature des gaz qu’ils arrêtent détermine une bonne approximation, un temps de cla-
munis d’un dispositif d’aspiration d’air. leur « type », auquel est associé une couleur (cf. quage de 350 min. face à une concentration de
En cas de coupure d’air, le porteur doit immé- tableau ci-dessus). 500 ppm en cyclohexane dans les mêmes
diatement quitter la zone à risques et retirer sa conditions de débit respiratoire, humidité rela-
cagoule. Les filtres antigaz se répartissent également en tive et température.
! ensemble embout buccal (fig. 5) trois classes en fonction de leur capacité de
Réservé à l’évacuation. piégeage : classe 1 pour la plus faible capacité En cas de réutilisation, un filtre doit toujours
(galette), classe 2 pour une capacité moyenne être employé vis-à-vis du même gaz. L’utilisa-
Appareils filtrants (cartouche), classe 3 pour une grande capacité tion contre un gaz différent peut provoquer le
(bidon). relargage du premier gaz piégé. Pour les gaz
! Les appareils filtrants peuvent être à «venti- dangereux, un usage unique est recommandé.
lation libre» si l’air ne traverse le filtre que Le filtre antigaz fonctionne par adsorption Les filtres sont déconseillés lorsque les concen-
du seul fait des échanges respiratoires de du gaz polluant sur une surface de charbon trations en gaz sont trop élevées.
l’utilisateur (fig. 6) ou à «ventilation actif. Les sites d’adsorption disponibles sont
assistée» si l’air ambiant est aspiré au progressivement occupés par le polluant. Le Le marquage des filtres est normalisé et com-
travers du filtre par l’intermédiaire d’une « temps de claquage » d’un filtre correspond à porte entre autres l’indication du type et de la
pompe (fig. 7). la durée d’utilisation après laquelle le filtre se classe : A2, E3…
! Les « pièces faciales filtrantes » sont des sature rapidement. À saturation, le filtre Des filtres mixtes protègent simultanément
demi-masques jetables constitués du maté- laisse passer la totalité du gaz polluant. contre plusieurs types de gaz ou vapeurs (ex :
riau filtrant lui-même. Ils ne nécessitent pas
l’adjonction d’un filtre ; ils sont marqués FF En situation industrielle,
(fig. 8). ce temps de claquage est
! Les filtres sont conçus pour la protection souvent difficile à évaluer.
contre des polluants spécifiques. Il existe des Il dépend surtout de la
filtres contre les poussières (les aérosols concentration d’exposi-
solides ou liquides), les gaz et contre des com- tion, de la température,
binaisons des deux types de polluants. de l’humidité et du
rythme respiratoire de
l’utilisateur. Il n’existe pas
Filtres anti- actuellement de disposi-
aérosols (anti- tif fiable capable de
poussières) détecter la saturation
Trois classes ont été d’un filtre antigaz. Il est
définies en fonction donc préférable de les
d ’u n e e ff i c a c i t é remplacer périodique-
croissante : ment. La norme NF EN 141
Fig 8 fixe des temps minimum Fig 9

ED 98 Fiche pratique de sécurité 3


LA RÉGLEMENTATION

Mise sur le péenne. Comme preuve de cette conformité,


marché les appareils portent le marquage «CE» suivi
Les appareils de du numéro de référence de l’organisme
protection respira- chargé du contrôle qualité du produit.
toire doivent obligatoirement subir un exa-
men de conformité aux exigences en Utilisation
matière de santé et de sécurité de la directive La directive européenne n° 89/656/CEE du
européenne 89/686/CEE du 21/12/89. Ces 30/11/89 relative à l’utilisation des équipe-
exigences portent principalement sur l’effi- ments de protection individuelle (EPI), pré-
cacité, le confort, l’ergonomie et l’innocuité cise les obligations des employeurs en
pour l’utilisateur. La conformité est évaluée matière d’évaluation des risques, de sélec-
par le biais d’un respect des spécifications tion de l’EPI le mieux adapté, d’attribution et
Fig 10 des normes européennes qui est établi par d’entretien de ces équipements, d’informa-
un organisme notifié par le gouvernement tion et de formation des salariés au port et à
de l’un des pays membres de l’Union Euro- l’utilisation correcte des EPI.
A2B2, A1K1...) ou sont combinés antigaz et anti-
aérosols (ex : A2P2, B2E2Pl, A2B2P2…).

Appareils isolants d’air comprimé sont mieux adaptés à des tra-


vaux mobiles avec une pollution diffuse ou
L’utilisateur peut être raccordé à une source mal localisée autour du poste de travail.
d’air respirable par l’intermédiaire d’un tuyau
(appareils « non autonomes ») ou porter la Appareils autonomes
source d’air ou d’oxygène avec l’appareil (appa- ! Les modèles à air comprimé (fig. 11) peuvent
reils « autonomes »). également être « à la demande» ou «à la
demande, à pression positive». Ils sont dits «à
Appareils non autonomes circuit ouvert» si l’air expiré est rejeté dans l’at-
Le tuyau d’alimentation d’air peut être relié à mosphère.
une zone où l’air est respirable (« appareil à air ! Les appareils autonomes «à circuit fermé»
Fig 13
libre ») ou encore à une source d’air comprimé éliminent le dioxyde de carbone et la vapeur
(«appareil à adduction d’air comprimé») : d’eau de l’air expiré grâce à un dispositif interne
! les appareils à air libre sont «à assistance à l’appareil et enrichissent l’air de la quantité teneur en oxygène doit être de 21 ± 1 % en
motorisée» (fig. 9) lorsqu’une pompe fait circu- d’oxygène nécessaire pour le cycle respiratoire volume (air sec) avec des concentrations en
ler l’air dans le tuyau ou «non suivant. Il s’agit des appareils autonomes «à impuretés ne devant pas dépasser 0,5 mg/m3
assisté» lorsque l’air ne cir- oxygène comprimé» (fig. 12) qui comportent pour la teneur en huile, 500 ppm pour le
cule dans le tuyau que du une réserve d’oxygène, et des appareils «à géné- dioxyde de carbone, 15 ppm pour le monoxyde
seul fait des échanges ration d’oxygène» (fig. 13) où une substance chi- de carbone. Sur une ligne d’alimentation en air
respiratoires de l’utilisa- mique (KO2 ou NaClO3) réagit avec la vapeur comprimé, il peut être nécessaire d’installer
teur ; d’eau expirée pour former l’oxygène nécessaire divers dispositifs tels des pièges à eau, à huile,
! les appareils à adduc- au cycle respiratoire suivant. des systèmes de réchauffage ou de refroidisse-
tion d’air comprimé Les appareils à génération d’oxygène sont ment... Le débit d’alimentation doit au moins
(fig. 10) peuvent être «à essentiellement utilisés comme appareils être de 120 l/min et pouvoir dépasser
débit continu» si le flux d’évacuation (mines) 200 l/min en cas d’effort physique soutenu.
d’air est continu, «à la ou de survie.
demande» s’il comporte
un dispositif limitant La prise d’air neuf doit
l’introduction de l’air à être située dans un
Fig 11 la quantité nécessaire à endroit propre, LES PUBLICATIONS INRS
chaque inhalation, «à la exempt de toute forme
demande, à pression positive» s’il comporte le de pollution. La qualité ■ Les appareils de protection respiratoire,
même dispositif et qu’une légère surpression de l’air respirable en choix et utilisation. ED 780, INRS, 2003.
est maintenue. adduction doit être ■ Appareils de protection respiratoire et
conforme à la norme métiers de la santé. ED 105, INRS, 2003.
Les appareils à air libre sont plutôt adaptés à NF EN 12021. L’air ne ■ Utiliser l’appareil de protection
des travaux statiques avec un risque de pollu- doit avoir ni odeur ni respiratoire. ED 901, INRS, 2003.
tion localisé alors que les appareils à adduction goût significatif, sa Fig 12

Auteur : Michèle Guimon


Contact e-mail : michele.guimon@inrs.fr

Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles
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Fiche pratique de sécurité ED 98 Tiré à part de Travail & Sécurité, janvier 2002 • réimpression novembre 2003 • 5 000 ex. • Infographie : Wag • Réalisation : Atelier F. Causse • Imp. Chirat - N°9790

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