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Chapitre 4.

Résultats et discussions

4.1 Introduction

Cette partie est consacrée à la présentation des résultats obtenus au cours de notre étude.
Le but de notre étude est de comprendre l’influence produit par l’application d’une injection
pariétale, sur l’écoulement d’un jet confiné dans une cavité rectangulaire.
Cette configuration est retrouvée dans plusieurs applications industrielles, on cite par exemple
l’industrie de la coulée continue, les chambres de combustion, les réservoirs de fusée ….etc.
On commence par une étude préliminaire qui consiste à la validation du modèle
mathématique.
Par la suite, nous détaillerons les principaux résultats obtenus lors de cette étude.
Ce chapitre comporte deux grands axes :

Le premier axe, consiste à expliquer la dynamique de l’écoulement du jet principal en


présence de l’injection.

Le deuxième axe consiste à mettre en évidence l’impact produit par l’injection sur la
température du jet principal et l’échange thermique entre la paroi et la zone de mélange.

4.2 Validations de la méthode numérique

Afin de valoriser les résultats obtenus et justifier le choix du modèle mathématique


utilisé, on présente des comparaisons des profils de vitesse obtenues avec le modèle RSM et
le modèle k-ɛ avec les résultats expérimentaux de Lawson et al.(2005), il est bien claire que
le modèle RSM donne une meilleure concordance avec les travaux expérimentaux que le
modèle k-ɛ (Figure 4.1), on a opté pour le modèle du deuxième ordre RSM pour entreprendre
notre étude .

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Chapitre 4. Résultats et discussions

1,5
LDA (LAWSONet al.)
K-(LAWSON et al.)
RSM ( présente étude)

1,0

V/V1

0,5

0,0
0 -2 -4 -6 -8 -10 -12 -14 -16 -18
Y/d1

Figure 4.1 : Comparaison des profils de la vitesse longitudinale

(a) (b)

Figure 4.2 : validation des contours de la vitesse moyenne

(a) LDA ( LAWSON) ; (b) Présente étude

On a effectué aussi une validation des isocontours de vitesse moyenne et on a comparé les
isocontours trouvés avec le modèle RSM avec ceux de LAWSON et al. (2005), une très bonne
concordance a été observée en comparaison avec les résultats expérimentaux ; on peut
conclure que le modèle RSM, est assez adéquat pour ce type d’écoulement.

4.3 Paramètres géométriques et conditions aux limites de l’étude 


On considère un jet d’eau plan transversal de température fixe Tj, de densité ρ sortant
d’une buse d’épaisseur D avec une vitesse d’entrée V. Le jet rencontre un autre jet secondaire

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Chapitre 4. Résultats et discussions

latéral sortant d’une buse d’épaisseur d dans une cavité rectangulaire. La nature elliptique des
équations du mouvement nécessite des conditions aux limites au niveau de toutes les
frontières du domaine de calcul pour toutes les variables indépendantes. Sur la Figure (4.3)
nous schématisons les paramètres géométriques et les conditions aux limites adoptées à notre
configuration qu'on distingue comme suit :

a- L’entrée du jet principal : A l’entrée du jet principal, on impose un profil de vitesse


uniforme, une énergie cinétique et un taux de dissipation constants. Le jet principal est
injecté à une température Tj =350k 
b- l’entrée de l’injection : on impose un profil de vitesse uniforme, une énergie cinétique et un
taux de dissipation. Le jet est injecté à la température T i =300K durant l’étude dynamique
et on prendra une gamme allant de 300K à 350 K, dans la l’étude thermique.
c- Les parois de la cavité : la paroi latérale ou se trouve l’injection, est considérée
adiabatique dans l’étude dynamique, et elle est chauffée à une température Tp=300 K.
d- La sortie : La sortie du fluide de la cavité constitue une frontière libre, c’est une zone
d’entrainement où les composantes des vitesses U et V sont déduites à partir de l’équation
de la continuité, la pression est égale à la pression atmosphérique, et les gradients des
autres variables suivant la direction normale sont nuls.
 Le fluide considéré est l’eau incompressible avec des propriétés constantes (ρ, ν, λ, Pr,
Cp). Car il s’agit d’un problème de convection forcée.
 Le problème est bidimensionnel.

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Chapitre 4. Résultats et discussions

Figure 4.3 : Paramètres géométriques du problème et conditions aux limites


Les paramètres dynamiques et thermiques de cette étude sont donnés dans le tableau 4.1

paramètres Dimensions
Longueur de la cavité (L) 58.5 cm
Largeur de la cavité (w) 25 cm
Diamètre du jet principal D=14 mm
Longueur du confinement (S) S=9.5 cm
Diamètre due l’injection d=0.5 cm
Emplacement de l’injection H=3 cm

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Chapitre 4. Résultats et discussions

Vitesse du jet principal V=3 m/s


Vitesse de l’injection 1≤ u≤ 8 m/s
Reynolds par rapport à l’injection 4976 ≤Re(d)≤39808
Nombre de Reynolds par rapport au
42000
jet principal
Température du jet principal Tj=350 K
Température de l’injection 300 ≤Ti≤350 K
Température de paroi Tp=300 K

Tableau 4.1 : Paramètres géométriques et physiques

Des quantités adimensionnelles géométriques sont choisies sur la base de ces paramètres pour
permettre une étude globale de l’interaction jet – cavité.

 Le paramètre dynamique choisi dans cette étude est le nombre de Reynolds basé sur la
vitesse de sortie du jet V ,’épaisseur de la buse D et les viscosités cinématique du fluide ν
VD
ℜ= (4.1)
ν

Et on définit aussi le ℜ(d ): C’est le nombre de Reynolds calculé par rapport à l’injection
ud
ℜ(d )= (4.2)
ν

μ −8 2 −1
Avec ν : viscosité cinématique de l’eau ν= =17 894∗10 m s
ρ

 La longueur du recollement LR est définie par la grandeur donnée par :


La contrainte de cisaillement τ p

τ p=μ ( dudy ) paroi


(4.3)

Le paramètre thermique qui caractérise le transfert de chaleur instantané en tout point de


chaque paroi de la cavité est le nombre de Nusselt.
 Le nombre de Nusselt local pour la paroi latérale
h dT
Nu=−( ) (4.4)
T p−T ∞ dy

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 Le nombre de Nusselt moyen au niveau de la paroi latérale


S− H −d S
1
Nu=
´ ∫ Nu+ H1 ∫ Nu dy
L−H−d −(L−S)
(4.5)
S −H

4.4 Etude du champ dynamique et validation 


Dans cette partie, on va étudier la structure globale de l’écoulement d’un jet confiné dans une
cavité rectangulaire soumis à une injection pariétale.
4.4.1 Lignes de courants
La Figure 4.4 illustre les contours des lignes du courant pour différentes vitesse
d’injection u avec un nombre de Reynolds Re=42000 pour le jet principal, prédite par le
modèle RSM., On observe une formation de deux vortex en haut de l’injection vortex 1 et
vortex 3 comme il est indiqué sur la figure 4.5, le premier (vortex 1) est moins important que
l’autre (vortex 3), cependant leurs tailles ne dépendent pas de la vitesse d’injection, on
retrouve aussi une autre recirculation en bas de l’injection vortex 2, cette recirculation dépend
de la vitesse d’injection u, on constate que plus la vitesse augmente plus la longueur de
recollement de la recirculation diminue.
Quand on se rapproche de la sortie de la cavité, une autre recirculation apparait vortex 4.la
longueur de cette dernière augmente en fonction de la vitesse.
L’application de l’injection engendre l’apparition de 4 tourbillons ; deux au dessus de cette
injection et deux au-dessous de celle-ci ; le volume des tourbillons au dessus ne change pas
pour tous les cas étudiés, par contre ceux qui sont au dessous change d’un cas à un autre.

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Chapitre 4. Résultats et discussions

u=1 m/s u=2m/s u=3m/s u=4m/s

u=5m/s u=6m/s u=7 m/s u=8 m/s

Figure 4.4 : isocontours Les lignes de courant pour différentes Re(d)

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Chapitre 4. Résultats et discussions

Vortex 4

Figure 4.5 : indication des vortex sur le contour de ligne de courant

4.4.2L’impact de la vitesse de l’injection sur la longueur de recollement LR

L’étude comparative des Longueurs de recollement LR en fonction de la vitesse


d’injection u au niveau de la ligne x= 0.125m, -0.49<y<0.095m est résumée successivement
sur la Figure 4.6 (a-b) qui montre l’évolution de la contrainte de cisaillement au niveau de la
paroi où se trouve l’injection.
On remarque qu’au niveau pour cette ligne qui correspond à x=0.125m, -0.49<y<0.095m,
deux recirculations apparaissent et ça confirme ce qu’on a trouvé dans les contours des lignes
de courant, le premier vortex 1et vortex 2.
Pour le premier vortex 1, on voit bien que sa longueur est la même pour tous les cas étudiés et
on peut dire que l’effet de l’injection ne modifie pas les dimensions de ce vortex, alors que
pour le second vortex 2, cette longueur dépend de la vitesse d’injection u.
La discontinuité observée sur tous les graphes est dû à la position de l’injection.

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Chapitre 4. Résultats et discussions

Figure 4.6 : la contrainte de cisaillement au niveau de la ligne x=0.125m, -0.49<y<0.095m


pour différentes vitesse d’injection

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Chapitre 4. Résultats et discussions

Le tableau4.2 montre la variation de la longueur de recollement du jet, en fonction de la


vitesse de l’injection pour le vortex 2 de l’injection.
On voit bien que plus la vitesse de l’injection pariétal augmente, plus la longueur de
recollement du vortex 2diminue, jusqu’à atteindre une valeur de 0.23 m pour une vitesse de
8m/s.
Dans le domaine industriel, on peut recommander des vitesses d’injection importante pour
atteindre la zone de mélange rapidement et efficacement.

u (m/s) 1 2 3 4 5 6 7 8

Re(d) 4976 9952 14928 19904 24880 29856 34832 39808

LR(m) 0.35 0.33 0.31 0.30 0.29 0.27 0.25 0.23

Tableau 4.2 : Longueur de recollement en fonction de la vitesse d’injection pour


le vortex 1

0,5
LR1(Simulation)
-6
Correlation LR1=0.3668-3.37*10 Re(d)
LR2=0.046m
0,4

0,3
LR(m )

0,2

0,1

0 5000 10000 15000 20000 25000 30000 35000 40000 45000


Re(d)

Figure 4.7 : Corrélation en fonction de Re(d) et la Longueur de la cavité (L)

Pour le vortex 1, on remarque clairement que la longueur de recollement est pratiquement la


même pour tous les cas étudiés.

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Chapitre 4. Résultats et discussions

Une corrélation est proposéeLR1 = (0.3668-3.37*10-6 ℜ(d )), qui donne la variation de la
longueur de recollement LR en fonction du nombre de Reynolds. Figure 4.7.

Figure 4.8 : la contrainte du cisaillement τp en fonction de Y au niveau de la ligne


x= - 0.125m, -0.49<y<0.095m

Pour le vortex 3 on remarque qu’il y a une superposition des courbes des contraintes de
cisaillement pour les différentes vitesses de l’injection comme indique la Figure 4.8.
On constate que les dimensions du vortex 3 ne dépendent pas de la vitesse de l’injection.

1,2

1,0

0,8

0,6

0,4
LR 3(m )

0,2

0,0

-0,2

-0,4

-0,6

-0,8
0 5000 10000 15000 20000 25000 30000 35000 40000 45000
Re(d)

Figure 4.9 : Evolution de la longueur de recollement Pour le vortex 3 en fonction de la vitesse


d’injection

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Chapitre 4. Résultats et discussions

La Figure 4.9 montre l’évolution de la longueur de recollement pour le vortex 3 en fonction


du nombre de Reynolds à l’injection, la longueur de recollement est pratiquement la même
pour tous les cas étudiés. Ceci confirme les contours des lignes de courants présentés au début
de cette étude, (figure4.4).
4.4.5 Isocontours de la vitesse moyenne

u=1m/s u=2m/s u=3m/s u=4m/s

u=5m/s u=6m/s u=7m/s u=8m/s

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Chapitre 4. Résultats et discussions

Figure 4.10 : isocontours de la vitesse moyenne


Le rapport de la vitesse moyenne par rapport à la vitesse de sortie du jet (V/V1) est illustré
dans la Figure 4.10, l’augmentation de la vitesse de l’injection entraine un épaississement du
tourbillon au niveau de la zone de recirculation, ceci entraine une diminution de la longueur
de recollement du jet dévié.
4.4.4 Isocontours de la pression statique 

u=1m/s u=2m/s u=3m/s u=4m/s

u=5m/s u=6m/s u=7m/s u=8m/s

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Chapitre 4. Résultats et discussions

figure 4.11 : Isocontours de la pression statique (Pa)


Les isocontours de pression figure 4.11, montre l’existence d’un gradient de pression
favorable (gradient de pression négatif), au niveau de la zone de recirculation, ce gradient est
due à l’effet Coanda, le point d’attachement du jet principal correspond à la valeur de la
longueur de recollement pour chaque cas étudié.

4.4.5 Isocontours de l’énergie cinétique turbulente 

u=1m/s u=2m/s u=3m/s u=4m/s

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Chapitre 4. Résultats et discussions

u=5m/s u=6m/s u=7m/s u=8m/s


Figure 4.12 : isocontours de l’énergie cinétique turbulente

Si on compare les différents isocontours de l’énergie cinétique turbulente figure 4.12, deux
gammes sont observées selon la vitesse de l’injection, la première gamme correspond au cas
ou la vitesse de l’injection est inférieure à celle du jet principal (1≤ u≤3), l’énergie cinétique
turbulente est plus importante au niveau du jet principal, dans la deuxième gamme l’énergie
cinétique est plus intense au niveau de l’injection.
On constate aussi que l’énergie cinétique turbulente est très importante au niveau de la zone
de mélange, cette énergie est intensifiée en fonction de la vitesse de l’injection Figure 4.12.

4.4.6 Profil de l’énergie cinétique turbulente 


En examinant les profils de l’énergie cinétique turbulente sur la ligne y= -0.0625 m,
-0.125<x<0.125, On peut diviser ces profils en deux gammes u≤3m/s et u>3m/ ; pour pouvoir
discuter du phénomène physique trouvé on s’est référé au cas sans injection ou une symétrie
parfaite des deux couches cisaillées qui compose le jet principal est observé, toutefois deux
gamme ont été trouvées en fonction de la vitesse injectée.

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Chapitre 4. Résultats et discussions

La première gamme, la couche cisaillée qui se trouve du coté de l’injection est nettement
inferieure à l’autre couche, le phénomène inverse est trouvé dans la deuxième gamme (4 ≤u ≤
8).

Figure 4.13 : Profils de l’énergie cinétique turbulente pour différentes vitesse

Donc l’effet de l’injection commence à se ressentir à partir ou la vitesse injectée est plus
grande que celle du jet principal Figure 4.13.
L’injection fait intensifier le tourbillon au niveau de la zone de mélange.
4.4.6 Les Iso-contours de vorticité

u=1m/s u=2m/s u=3m/s u=4m/s

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Chapitre 4. Résultats et discussions

u=5m/s u=6m/s u=7m/s u=8m/s

Figure 4.14 : Isocontours de vorticité


L’augmentation de la vorticté au niveau de la paroi autour de la zone de l’injection justifie
l’apparition des deux vortex observés au niveau de celle-ci.
Les isocontours de la vorticité et les lignes de courant mettent en évidence l’impact produit
par l’injection ; on remarque que plus la vitesse du fluide injectée est grande plus la vorticité
augmente Figure 4.14.
 Dans cette partie, on a étudié la structure globale de l’écoulement d’un jet turbulent
Confiné dans une cavité rectangulaire soumis à une injection pariétale.
On a changé le taux de vitesse du fluide injecté et on a vu l’influence que produit ce ci sur
l’écoulement du jet principale.

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Chapitre 4. Résultats et discussions

4.5 Etude du champ thermique

4.5.1 Isocontours de température statique

u=1m/s u=2m/s u=3m/s u=4m/s

u=5m/s u=6m/s u=7m/s u=8m/s

Figure 4.15 : isocontours de la température statique

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Chapitre 4. Résultats et discussions

Dans La figure 4.15 on voit bien l’impact de la vitesse injectée sur les isocontours de la
température statique, en augmentant la vitesse, la zone de mélange s’épaissit de plus en plus,
ceci est dû surement au phénomène de diffusivité thermique.
Ce phénomène est provoqué par le gradient de température entre le fluide du jet principal et le
fluide injecté au niveau de la zone de mélange, ceci est étroitement lié à l’agitation
moléculaire entre les deux fluides.

4.5.2 Profils de la température

L’effet de l’augmentation de la vitesse de l’injection est bien visible sur les iso
contours de la température, on voit bien qu’une bonne partie au niveau de la zone de mélange
est refroidit juste par l’augmentation de la vitesse injectée, ceci est due au phénomène de
diffusion.
Les profils de température sont représentés à la ligne y=-0.05, -0.125<x<0.125, sur toute la
largeur de la cavité Figure 4.16.
On remarque que l’effet de la vitesse sur la température du jet principal commence à se
ressentir partir ou la vitesse injectée est plus importante que celle du jet principal.

Figure 4.16 : le profil de la température pour différentes vitesses à la ligne


y=-0.05, -0.125<x<0.125
4.5.3 Calcul de la température du mélange
Cette température est calculée, en prenant la ligne y=-0.05, -0.125<x<0.125,

w /2
1
T m= ∫ T dx (4.6)
W −w/ 2

55
Chapitre 4. Résultats et discussions

Re(d)) 4976 9966 14958 19904 24880 30000 34832 39808

315.113 313.839 312.402


Tm(K) 316.3638 313.0077 311.879 311.386 310.8621
7 7 7

Tableau 4.3 : température moyenne en fonction de la vitesse

Le tableau 4.3 représente l’évolution de la température moyenne en fonction du nombre de


Reynolds calculé par rapport à la vitesse de l’injection, comme montre la figure 4.17, il est
clair que la température moyenne du mélange diminue en fonction de la vitesse d’injection.
Une corrélation est proposée montrant l’évolution de la température moyenne en fonction du
nombre de Reynolds calculé para rapport à l’injection.
Plus que la vitesse injectée est importante, plus que la température moyenne diminue.

Présente étude
Correlation
316 -9 2 -4
Tm=3.33278*10 Re(d) -3.00696*10 Re(d)+317.76

314

Tm(K)

312

310
0 10000 20000 30000 40000
Re(d)

Figure 4.17 : corrélation de la température moyenne en fonction du nombre de Reynolds Re(d)

4.5.4 Effet de la température de l’injection sur la paroi

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Chapitre 4. Résultats et discussions

Figure 4.18 : effet de la température de l’injection sur la paroi

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Chapitre 4. Résultats et discussions

La figure 4.18, représente l’évolution du nombre de Nusselt pour chaque vitesse injecté et
pour plusieurs température au niveau de l’injection, il est clair que plus la vitesse et la
température est importante plus l’échange thermique entre la paroi et le mélange est intense.

On constate aussi que l’échange thermique entre la zone de mélange et la paroi avoisinante
atteint sa valeur maximale au voisinage du point de recollement du jet principal.

La discontinuité observée est due à l’injection.

4.5.5 Le nombre de Nusselt moyen

Figure 4.19 : Evolution de nombre de Nusselt moyen

La figure 4 .19, illustre l’évolution du nombre de Nusselt moyen en fonction de la température


injecté et cela pour différentes vitesses, on constate aussi que l’échange thermique est
intensifié a en fonction de température de l’injection.
L’échange thermique est très important aux températures et vitesses maximales injectées.

En conclusion, on peut dire que plus la vitesse injectée n’est importante, plus la zone de
mélange n’est plus fraiche, et aussi l’échange thermique entre la paroi et le mélange dépend
de la vitesse et de la température injectée et l’échange thermique est plus important au niveau
du point de rattachement du jet principal.

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Chapitre 4. Résultats et discussions

4.6 Conclusion

Dans ce chapitre nous avons présenté les principaux résultats obtenus par l’approche
numérique qui repose sur un modèle de turbulence du deuxième ordre (le modèle RSM). Ce
modèle a permis de décrire assez correctement la structure globale de l’écoulement et le
transfert de chaleur entre le jet et l’injection et le jet avec la paroi latérale de la cavité. La
vitesse de l’injection a une forte influence sur la structure de l’écoulement à savoir la position
de rattachement du jet principal, l’énergie cinétique turbulente ; la pression statique ; et la
verticité.
L’échange thermique est très important aux températures maximales, est aux valeurs
importantes des vitesses injectées.

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