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Chapitre 3 : l’initiative de l’habitat alternatif en Tunisie:

I. où se situe l’habitat alternatif en Tunisie ?


L’habitat alternatif en Tunisie s’inscrit dans une phase primaire, une conscience qui n’a pas
encore aperçu son écho dans la mentalité de la communauté tunisienne. De fait, les créateurs
luttent par les évènements et quelques réalisations afin de montrer les avantages de cette
forme d’habitat. A premier vu, l’habitat alternatif est exhibé en Tunisie pour les mêmes
raisons mais à travers d’autres démarches.
1. Un mode d’habitat qui cherche sa stabilisée

L’architecture alternative commence à nouer dans l’intention d’une minorité de créateurs


tunisiens, en fait, une volonté semblable qui fait sa distinction dans des contextes bien
différents (environnemental, social, culturel). De ce fait, la nomination de ‘l’alternatif’ en
Tunisie n’est pas encore évoquée mais celui-là ne dicte pas l’absence de ces traces. En se
supportant sur l’initiative de concevoir avec des moyens de bord .L’architecte Lotfi Rjab
annonce dans une interview « Nous n’avons rien inventé, c’est une richesse à explorer  »1,
d’où, il opte dans ces déclarations que l’habitat alternatif comme une écoconception n’est
plus un luxe mais c’est une obligation qui porte des bénéfices pour l’état économique et un
moyen d’entretenir la technique de l’artisan dans la construction qui souffrent de la
négligence. D’autre comme Hatem Jamoussi, architecte et Ingénierie de construction, déclare
« ceci devient presque une nécessité, notamment en cas d’utilisation de techniques de
construction non classiques. Le but étant de favoriser une meilleure durabilité des logements
alternatifs ainsi que leur exploitation dans des conditions favorables. »2 Vrai que, les
créateurs tunisiens visent à répandre aux même finalités, mais, ce départ a perturbé leurs
visions et a limité leurs consciences de repenser à une « conception de solution »pour toutes
les crises. Il s'agit donc ici de dresser un état des lieux sur plusieurs questions : qu’elle est le
chaînon manquant pour que l’habitat alternatif puisse faire sa discrimination? Est-ce-t-elle la
faiblesse du discours de sensibilisation ou de l’entente de participation ? A ce propos,
Jamoussi répand en disant que l’habitat alternatif trouve sa position en Tunisie que par la
communication, le partage d’expérience, l’intervention et l’animation de la communauté
tunisienne dans une approche participative. Peut n’importe la réponse, malgré que le débat est

1 M’RAD Tarek, radio express, Lotfi Rejeb propose un guichet unique pour l’écologie pour promouvoir l’Eco-

construction en Tunisie, Tunisie, radio express, 2014, [en ligne], disponible sur:
<http://www.radioexpressfm.com/lire/lotfi-rejeb-propose-un-guichet-unique-pour-l-ecologie-pour promouvoir-l-
eco-construction-en-tunisie-5161 >, 15 min et 16s.
2
JAMOUSSI Hatem, convergence : le logement alternatif, [en ligne], 2011, disponible sur:<
http://convergenceasso.blogspot.com/2013/02/le-logement-alternatif.html >, (consulté le 08/10/2015).
déjà engendré, la participation des créateurs tunisiens dans ce dogme démarrent d’une
manière timide par rapport à l’échelle internationale et l’avenir de l’habitat alternatif en
Tunisie reste floue et moins contraignante. …
2. Les événements sociaux: un stimulus de progression de l’habitat alternatif
La situation actuelle témoigne une certaine évolution à partir des événements et des pratiques
qui stimulent la nécessité de l'intervention de ce type d’habitat dans la société. La progression
du logement alternatif s’est dévoilée dans des conditions différentes, où il y a celle construite
par nécessité d’hébergement, d’autre par choix, et d’autre pour une conscience
d’expérimentation. De ce fait, l’exemple de projet Projet Haidara .Une équipe de créateurs,
d’étudiants et de communauté pris l’initiative de construire une maison alternative pour une
pauvre famille dont l’une de ces nombre souffre d’une mobilité réduite. La réflexion décrit de
construire avec les matériaux locaux tout en prenant en considération les spécificités du lieu
de construction et les besoins de la famille bénéficiaire du projet. Delà, le groupement de
développement d’agricole ajoute en disant « Le GDA Sidi Amor organise chaque été un stage
sur la construction écologique destinée aux étudiants de la filière et les professionnels
sensibilisés aux solutions alternatives en construction moderne et traditionnelle.  »3.Ce projet
englobe une diversité de valeurs. D’où, il répand à un besoin social, il encourage les nouvelles
générations créatrices de respecter l’image du site et aussi d’enraciner dans leurs cultures la
notion de partage. Par conséquent, l’architecte, karim ladjili a eu l’occasion de construire son
propre second logement ‘maison en terre crue’ à hawariya où il a exploité l’architecture
alternative comme une création plus responsable et «  capable, à la fois, de répondre aux
évolutions sociétales et de favoriser la valorisation et le développement de savoir-
faire  « basse » technologie non-énergivore. »4. cet architecte a combiné son expérience en
terre crus avec la technique ancienne de construction pour aboutir à un habitat Tunisien
d’aujourd’hui , d’où il a cherché d’avoir une satisfaction culturel , identitaire et fonctionnelle
par cette création. Dans le même ordre d’idée, Dorra Truki, une jeune architecte opte le sens
de l’habitat alternatif comme une expérimentation qui demande une intervention direct dans le
chantier de construction du projet. Cette créatrice défendre les maisons en sac de sable et elle
manifeste à démontrer avec ces études et ces expériences que c’est un mode d’habitat qui
répond au besoin de la société Tunisienne. Avec le recul, faire avec les moyens de bord,
participer et étudier, ne sont pas des principes étranges de la culture de nos arrières grand
3
NAFFATI Houda, l’initiative tunisienne : le groupement de développement agricole de sidi amor, une
intelligence territoriale à l'œuvre, en Tunisie !, [en ligne], 2005, disponible sur: <http://www.craterre-ensag.>,
(Consulté le 17/10/2015).
4
BEN AMMAR Sabbalet, « Maison en terre», archibat, 2014, n°32, (pp.54-57)
père, cela est bien prouvé par les héritages en terre (troglodyte de Matmata, maison en terre
cuite de touzeur). Alors pourquoi l’habitat alternatif n’a pas trouvé sa divergence dans la
région tunisienne ? Pourquoi on ne se manifeste pas contre la densification qui coule notre
identité dans le béton en utilisant des matériaux récupéré de notre local ? Ces
questionnements stimulent à étudier l’existant pour comprendre et expérimenter en mettant la
main dans la patte afin de proposer un modèle d’habitat alternatif.

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