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Averroès et la jonction

Ittisal en arabe.

Jonction entre intelligences humaine et divine (Dieu ou premier principe).

L’homme est l’être qui fait la passerelle entre monde sublunaire et supralunaire. S’il ne fait pas cette
jonction le monde s’écroule. Mais impossible que cette jonction disparaisse pour les Arabes, on peut
juste la renforcer.

Fil conducteur : commentaire 36 du livre III du Grand commentaire du De anima.

Commente la fin de De anima, III, 7 : dans ce texte là, Aristote pose cette question : L’intelligence,
« Peut-elle avoir l’intellection de quelqu’un des êtres séparés, sans être elle-même séparée de la
grandeur, ou non, il faudra l’examiner plus tard ». Mais Aristote ne va jms l’examiner ! D’où le fait
que les successeurs vont vouloir y répondre à sa place.

On sait bien que chez Aristote l’Intellect (ie divin) est séparé. Séparation monde sublunaire et
supralunaire.

Intelligible séparé n’est pas abstrait. Séparé = toujours pas là. Abstrait = extrait en partant du sensible.

Question : de quoi l’homme en son corps est-il intellectuellement capable ? Ou : jusqu’où peut aller la
puissance intellectuelle tant qu’on est dans notre corps ? L’homme peut saisir de l’intelligible abstrait
(dépouillement des images et sensations pour accéder aux concepts), de l’intelligible séparé aussi ?

Selon Aristote : l’âme ne pense pas sans image. Contre Platon. Pas slt on pense par les images mais on
pense dans les images : l’intelligible est dans les images et nulle part ailleurs, n’existe pas séparément
de l’image. Image n’est pas un simple tremplin pour aller vers l’intelligible (cf Platon pense cela dans
le Banquet avec les beaux corps).

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