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INTRODUCTION
1.Les composantes de la matière
– Régime matrimonial
– Droit des successions
– Droit des libéralités
2.Le patrimoine et la famille : ens des dts et oblig d'1pers (actif et passif)
3.L’interdépendance du droit du patrimoine et du droit de la famille : dt bien et dt
fam. Code civil 1804 : lien par le sg uniquement. Aujourd'hui : lien d'alliance et de
parenté.
Section I. La solidarité
§ II. La solidarité des époux ou des partenaires à l’égard des tiers : 220
et 515-4 : Solidaire pour le paiement des dettes ménagères
A. La solidarité ménagère des époux : Dure tant que le M dure. La
solidarité ne se présume pas : légale ou conventionnelle
1. Fondement et nature de la solidarité ménagère : entretien du
ménage et éducation des enfants
2. Domaine des dettes ménagères solidaires : Notion plus
restreinte que les charges du M
a. L’objet et la nature de la dette : 220 al 1 : ppe dettes
quotidiennes, entretien, loyer
b. L’exception de l’article 220 alinéa 2 du code civil : caractère
manifestement excessif de la dette : pouvoir souverain du juge de
fds. Pas de solidarité pour dépenses excessives au regard du train
de vie.
c. L’exception de l’article 220 alinéa 3 du code civil : l’exclusion de la solidarité
pour les achats à tempérament, et pour les emprunt ménagers non modestes et non nécessaires aux
besoins de la vie courante : Si époux accord achat à tempérament et emprunt = solidarité.
Section II. L’autonomie des membres du couple marié ou pacsé : Epoux : pleine
capacité de dts : 216
§ I. L’autonomie courante des époux et des partenaires : bancaire et
mobilière
A. Les opérations bancaires
1. Le cas des époux Arrêt 3/01/2001 : Art 221 : règle de
pouvoir exclusif. Chacun peut se faire ouvrir un compte bancaire sans le
consentement de l'autre.
Rég légal : Présomption de communauté.
Séparation de biens : Présomption d'indivision
2. Le cas des partenaires Pas de texte : Présomption
d'indivision. 515-5 al 3 : Présomption de pouvoir en matière mobilière. Peut
utiliser ce texte pour preuve
B. Les opérations mobilières : Présomption que bien meuble soit
détenu individuellement. Epoux : 222 Pacsés : 515-5 al 3 protège meubles
meublants.
§ I. Le degré de participation
Epoux : Règ légal = seul les biens acquis après le M st Cns. Rég conv =
seul reg Cté universelle , les biens sont Cns.
Partenaires : Règ indivision aux acquêts = biens acquis après pacs sont
indivis. Rég légal = aucun bien indivis.
C. Le partage
Actif = ts les biens Cns au moment de la dissolution. Evaluation au jour le
plus proche du partage = égalité des copartageants. Actif + solde des récompense qui
st du à la Cté (car créance de la Cté).
Passif = retranche le solde des récompenses dues à la Cté et dues au tiers
et devenues exigibles.
Comte d'indivision : prend en cpte les tranferts des valeurs entre les biens
indivis et les personnels d'un épx 815 et svts.
Si actif pas suffisant pr payer les dettes, le passif subsiste.
1. L’égalité dans le partage peut ê rompu à titre de sanction d'un
copartage : recel de la Cté.
a. Le principe d’égalité dans le partage Chaque épx dt se voir attribuer un
lot de valeur égale à sa part dans l'indivision. Cas DC : le partage se ft entre épx
survivant et héritiers . Lot de nature équivalente : biens difficilement partageable,
technique de la préférence d'attribution, exception au partage en nature, évite le
morcellement de l'héritage. Partage en valeur 826 al 1.
Répartition des biens : si épx désaccords : règle de priorité des biens de
nature pro 831 et 831-2 règles attribution préférentielle départ juste pour
exploitation agricole familial mais depuis ref 2006 englobe ttes formes de société.
Pr logement, dissolution par DC, l'attribution préférentielle est de dt pr le
conjt survivant à condition qu'il occupe les lieux avt le DC.
b. La rupture de l’égalité : le cas du recel 1477 tte fraude commise
sciemment par un épx en vue de repdre l'égalité ds le partage. Sanction : bien recélé
est attribué en nature au conjt victime ou héritiers en cas de DC sinon somme égale à
la valeur du bien recélé : peine privée. Le receleur est privé de sa part dans le partage
du bien recélé mais pas des autres.
2. L’effet déclaratif du partage rétroactif 843 l'épx est censé être proprio
de son lot depuis le départ. L'effet de la date du bien remonte à la dissolution.
D. Le passif après la dissolution de la communauté 1482 à 1490 les
créanciers ne pvt pas saisir les biens indivis mais pvt dder le partage de l'indivision
conformément à l'art 815-17 en saisissant le juge. Difficulté sur le passif Cn : dette né
pdt la Cté mais non payé moment de la dissolution.
1. l’obligation à la dette après la dissolution de la communauté : l'épx a
l'initiative de la dette est tenu pr la totalité des dettes existtes 1482. Le conjt est tenu
que pr la moitié des dettes entré en Cté du chef de l'autre 1483. Pb : pas de
distinction si créancier agit avt ou après le partage.
2. La contribution à la dette après la dissolution de la communauté : dettes
à titre définitif (dettes ménagères) 1485 : chacun des épx dt contribuer pr moitié. Les
dettes pr lesquelles il y a récomp 1485 al 2 seul l'épx à l'origine de la dette dt
supporte au titre de la contribution.
3. Le sort des dettes professionnelles après le divorce : Loi 2/08/2005 art
1381-1 charge exclusive des dettes consenties dans la gestion d'une entreprise à celu
qui conserve le patrimoine pro.
Sous-section II. Les communautés conventionnelles
§ I. Les clauses relatives à la réparation des biens
A. La clause de meubles et acquêts
B. La communauté universelle
§ II. Les clauses relatives à la répartition des pouvoirs : l’administration
conjointe
§ III. Les clauses relatives au partage
A. La clause de prélèvement moyennant indemnité
B. Le préciput
C. La stipulation de parts inégales
1. Attribution d’une quotité différente à chacun des époux
2. Attribution intégrale de la communauté à un époux
Sous-Section III. L’indivision d’acquêts
§ I. L’actif
A. Les acquêts indivis
B. Les biens personnels des partenaires
C. Le degré d’association
§ II. La gestion des acquêts indivis
A. Les règles supplétives de gestion
B. Les stipulations relative à la gestion
§ III. Le passif
A. L’obligation à la dette
B. La contribution à la dette
§ IV. La dissolution du Pacs
A. La réparation de l’actif
B. La réparation du passif
C. Les sanctions patrimoniales en cas de violation des devoirs nés du Pacs
Section III. L’association en valeur : la participation aux acquêts
§ I. Le fonctionnement du régime pendant le mariage
A. Le principe de séparation
1. La séparation quant à l’actif et au passif
a. La séparation quant à l’actif
b. La séparation quant au passif
2. Les limites au principe de la séparation
§ II. La dissolution du régime
A. Les causes de la dissolution
B. La détermination de la créance de participation
1. La détermination du patrimoine originaire
a. Ce qui est inclus dans le patrimoine originaire
b. Ce qui est exclu du patrimoine originaire
2. La détermination du patrimoine final
C. Le règlement de la créance de participation
1. Le principe : règlement de la créance en argent
2. L’exception : règlement en nature
Section IV. L’absence d’association patrimoniale : le régime conventionnel de la
séparation de biens des époux et le régime légal des partenaires pacsés
§ I. Association personnelle sans association patrimoniale
A. L’absence d’association patrimoniale du couple
1. Le cas du Pacs
2. Le cas du mariage
B. Régime matrimonial sans association patrimoniale
§ II. La séparation des patrimoines
A. La séparation quant à l’actif
1. Le principe
2. Les tempéraments
a. Existence de biens indivis
b. Enrichissement sans cause
c. Acquisition, par un époux, d’un bien financé par son conjoint
B. La séparation quant au passif
1. Le principe
2. L’exception
C. Les questions de preuve de la propriété des biens
§ III. La gestion des biens
A. L’autonomie de gestion
B. L’intervention exceptionnelle du juge dans la gestion des biens d’un
époux
§ IV. La liquidation du régime
A. Créances entre époux ou partenaires
B. Le partage des biens indivis
§ V. L’adjonction d’une société d’acquêts à la séparation de biens