Documente Academic
Documente Profesional
Documente Cultură
APRÈS NOVALIS
In memoriam Karine.
PREMIER HYMNE
DEUXIÈME HYMNE
TROISIÈME HYMNE
QUATRIÈME HYMNE
Maintenant, je sais,
Quand le dernier matin viendra - -
Lorsque la lumière
La nuit et l'amour ne sont plus chassés - -
Quand on dort
Sans se réveiller,
Et juste un rêve constant,
Je sens un épuisement divin en moi,
Mon pèlerinage a été long et ardu
Vers la tombe sacrée,
Et le fait que je sois brisé était la croix.
L'onde de cristal,
Impalpable au bon sens,
Dans le ventre sombre de la colline s'élève
Au pied de laquelle se brise le flot du monde,
Celui qui l'a goûté, c'est celui-là,
Qui se tenait à la frontière montagneuse du monde
Et regardait vers la nouvelle terre,
Dans la demeure de la nuit - -
En vérité, il ne se transforme plus
Dans le tumulte du monde, sur la terre,
Dans lequel la lumière
Vivre dans des troubles perpétuels.
Sur ces hauteurs, il construit
Pour lui-même le Tabernacle - --
Le Tabernacle de la paix - -
Là-bas, il se languit, il aime et il regarde par là,
Jusqu'au e plus saint des saints,
Dans les eaux de la source se dessine - -
Au-dessus de lui plane la terre
Et reviendra dans les tempêtes,
Mais que se passe-t-il quand on touche,
Pour qui l'amour est devenu sacré,
Coure librement à travers des chemins cachés
Vers la région au-delà,
Où l'on ressent des parfums
Mélangé à l'amour dans votre sommeil - -
CINQUIÈME HYMN
SIXIÈME HYMNE
Dans l'Antiquité
A propos des familles étendues
Un destin de fer pour l'humanité
Avec une force silencieuse.
Une sombre oppression couverte
Leurs âmes lourdes - -
La terre était sans limite - -
La maison des dieux et leur foyer
Des temps éternels se sont dressés
Leur structure mystérieuse.
Au-delà des collines rouges le matin,
Dans le sein sacré de la mer,
J'ai vécu le soleil,
La lumière vivante et universelle.
Un vieux géant se lève
Dans le monde de la béatitude.
Rapidement, sous les montagnes se trouvait
Les premiers-nés de la Terre Mère.
Impuissants dans leur rage destructrice
Contre la nouvelle et glorieuse race des dieux
Et leurs parents au grand coeur.
L'abîme vert foncé de l'océan
C'était le ventre d'une Déesse - -
Dans les grottes de cristal
Un peuple enthousiaste,
Rivières, arbres, fleurs et animaux
Avait un cerveau humain,
Plus doux a goûté le vin - -
Déversé par les jeunes - -
Un Dieu dans les raisins - -
Une Déesse aimante et maternelle,
Qui a poussé en plein épis dorés - -
La sainte ivresse de l'amour
Était une douce adoration
De la plus belle des Déesses - -
La vie s'est précipitée à travers les siècles
Comme un ressort,
Un festival toujours récompensé
Des enfants du ciel et de la terre.
Toutes les races aiment les enfants,
La flamme éthérée, mille fois plus grande
Comme la seule chose sublime au monde.
Il n'y avait qu'une seule idée,
Une forme de rêve - -
SEPTIÈME HYMN
C'était effrayant,
Pour les tables d'amusement,
Elle y a enveloppé l'esprit
Dans l'horreur sauvage,
Les dieux eux-mêmes,
Ce qu'aucun conseiller ne savait ni ne montrait,
Pour aider les cœurs anxieux,
Pour être rempli d'une lumière réconfortante.
Mystérieuse était la route difficile du monstre,
Dont la rage ne pouvait ni prier
Toujours en hommage;
C'était la mort,
Qui a brisé le banquet dans la terreur,
Avec l'agonie, une douleur terrible
Et des larmes amères.
HUITIÈME HYMNE
NEUVIÈME HYMNE
DIXIÈME HYMN
ONZIÈME HYMNE
À toi, ô Marie,
Mille cœurs vous tendent la main...
Dans cette vie d'ombres,
C'est vous seul qu'ils désirent.
En vous, ils espèrent le salut
Avec une attente visionnaire - -
Si seulement toi, ô être sacré,
Vous voulez les tenir sur votre poitrine!
DOUZIÈME HYMN
Infinie et mystérieuse,
Un frisson, un doux tremblement - -
Comme si elle résonnait ainsi de loin,
Un soupir semblable à notre deuil,
Nos proches aspirent autant que nous
Et nous a envoyé cette brise ardente!