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UNIVERSITE DE KINSHASA
Par
TINDA MUSALA Eunice
Travail de fin de cycle présenté en vue de l’obtention du grade de gradué en
sciences
Groupe : Environnement
EPIGRAPHE
Celui qui cultive son champ est rassasié des pains mais celui qui poursuit
des choses vaines est tributaire des autres.
Sagesse de Salomon
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DEDICACE
Je dédie ce travail.
REMERCIEMENTS
SIGLES ET ABREVIATIONS
INTRODUCTION
Problématique
Les activités de soins hospitaliers produisent une quantité croissante
des déchets. Diverses enquêtes ont montré que les conditions actuelles
d’éliminations des déchets hospitaliers ne sont pas toujours satisfaisantes.
Certains déchets ne présentent pas de risques particuliers et peuvent être
assimilable aux ordures ménagères. Toutefois, d’autres présentent des
risques infectieux et des risques de contamination.
Une gestion rigoureuse de l’ensemble des déchets en milieu
hospitalier est très importante. Elle participe à l’amélioration continue de la
qualité de la sécurité des soins hospitaliers qui posent des très sérieux
problèmes environnementaux et peuvent causer des dangers pour la santé
des habitants en général.
Dans notre pays nous constatons que la plupart de nos hô pitaux
entassent les déchets collectés dans un seul endroit et très souvent dans
l’enceinte de l’établissement, et cela constitue une source potentielle de
danger pour la santé et l’environnement.
- En 2003, les résultats d’une étude de l’OMS conduite dans 22 pays en
voie de développement ont montrés que la proportion des
établissements de santé qui n’éliminent pas correctement leurs
déchets de soin est de 18 à 64%. Cette étude montre qu’en plus des
risques pour la santé publique en l’absence d’une bonne gestion, les
risques d’être infecté par le HBV, le HCV et le VIH est respectivement
de 30%, 1,8% et 0,3%après piqure accidentelle avec une aiguille
utilisée sur un patient infecté (OMS, 2011).
- L’OMS estimait en 2004 que les injections au moyen de seringues
contaminées ont été responsable de 21 million d’infections à virus de
l’hépatite B(HBV), 2 millions d’infections à virus de l’hépatite C (HCV)
et au moins 260 mille infections à VIH
- On estime que 16 milliards d’injections sont pratiquées chaque année
dans le monde. Toutes les aiguilles et les seringues ne sont pas
correctement évacuées, ce qui crée un risque de blessure et
d’infection et il existe un risque de réutilisation du matériel. (OMS,
2011)
- Le nombre d’injections pratiquées avec des aiguilles et des seringues
contaminées a considérablement baissé dans les pays à revenu faible
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Objectifs
Objectif général
Evaluer le système de gestion des déchets hospitaliers et le niveau
des connaissances des agents sur l’hygiène et l’assainissement dans la
clinique Da-mwange
Objectifs spécifiques
Réaliser une enquête au sein de cette clinique afin d’identifier les
acteurs impliqués dans la gestion des déchets ainsi qu’analyser le système
de gestion de ces déchets et proposer un système de gestion des déchets
dans cette institution de santé.
Choix et intérêt du sujet
Le choix de ce sujet est motivé par une présence des déchets dans des
hô pitaux de la ville de Kinshasa et je choisis la clinique Da-mwange pour
effectuer mon travail.
Etant donné que la gestion des déchets hospitaliers est un domaine
d’hygiène et assainissement qui s’intéresse à la santé publique pour la
prévention des maladies et autres dangers liées à l’insalubrité, nous avons
voulu connaitre le niveau de connaissance, attitude et pratique du
personnel sur la gestion des déchets au sein de la clinique pour éviter
toutes sortes des maladies nosocomials et toutes contamination chez les
patients et rendre l’environnement propre.
Le présent travail offre aux chercheurs, étudiants et surtout au monde
scientifique une base sur la gestion des déchets dans les hô pitaux de la ville
de Kinshasa particulièrement dans la clinique Da-mwange pouvant servir
de repère pour les études futures.
Délimitation du travail
Notre travail porte sur une période de six mois, soit allant de Juin
jusqu’à Décembre 2019. Elle se déroule à la clinique Da-mwange, se situant
dans la commune de Ngaliema quartier Ngomba Kinkusa à Kinshasa, en
République Démocratique du Congo.
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Subdivision du travail
Hormis l’introduction et la conclusion, le présent travail est subdivisé
en trois chapitres :
Chapitre 1 : Généralités sur la gestion des déchets hospitaliers
Chapitre 2 : Etat de lieux de la gestion des déchets au sein d’une institution
hospitalière (clinique Da-mwange)
Chapitre 3 : Proposition ou projet d’un modèle de gestion des déchets d’un
établissement hospitalier
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Un déchet est un objet ou une substance ayant subi une altération physique
ou chimique, ou qui ne présente plus d’utilité et/ou qui est destiné à
l’élimination ou au recyclage.
Le mot vient de l’ancien français déchiet ou dechié « la quantité perdue dans
l’usage d’un produit », ce qui en reste après son utilisation. Au début du
XXIéme siècle le déchet est de plus en plus considéré comme un héritage
problématique de la révolution industrielle et de l’urbanisation. Pour
effacer la connotation négative du mot et l’image dévalorisante qu’il
véhicule, l’accent est d’avantage mis sur la réutilisation et le recyclage.
Nous avons trois sortes des déchets de par sa nature, nous citons : les
déchets solides, les déchets liquides et les déchets gazeux. Parmi ces
déchets, nous avons des déchets du type biodégradables (ce sont des
déchets qui peuvent se décomposer facilement) et non biodégradables (ce
sont des déchets qui se décompose difficilement, cela peut même prendre
un siècle pour se décomposer).www.futura-sciences.com
Les déchets ultimes qui ne sont plus susceptibles d’être traités dans
les conditions techniques et économiques du moment. Eux seuls
devraient encore pouvoir être mis en décharge
Les déchets spéciaux et déchets industriels dangereux (DID)
anciennement appelés déchets industriels spéciaux (DIS), à la
différence des déchets banals qui peuvent entrer dans la catégorie
des déchets dangereux, dont font partie des déchets toxiques et les
déchets radioactifs qui doivent faire l’objet d’un traitement
particulier en raison de leur nocivité particulière liée à la
radioactivité (www. Wikipédia)
Ce sont des résidus des matières solides ou liquides qui peuvent être
putrescibles ou non putrescibles.
Le problème d’assainissement étant une préoccupation de plus d’un pays
dans le monde, ce domaine demande beaucoup d’effort. Dans ce travail
nous allons parler de différentes productions, gestion et éventuellement des
conséquences qui surviennent des déchets des soins en milieu hospitalier
(www.futura-sciences.com)
Déchet : tout élément qui est abandonné est un déchet. Selon le code
de l’environnement (art. L541-1) un déchet est tout résidu d’un
processus de production, toute substance, matériau, produit ou plus
généralement tout bien, meuble abandonné ou que son détenteur
destine à l’abandon (www.futura-sciences.com) ;
Déchets hospitaliers : les déchets hospitaliers sont des déchets
solides ou liquides (eaux usées, réactifs de laboratoire, solvant etc.)
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qui sont produits par des établissements de soins ou tous les déchets
générés par le fonctionnement d’un hô pital tant au niveau de ses
services hospitalisation et des services paramédicaux administratifs
et de ses dépendances (www.futura-sciences.com)
Maladie : toute altération de l’état de santé, toute condition anormale
du corps ou dans l’esprit d’un être vivant qui cause l’inconfort ou le
dysfonctionnement ;(Wikipédia)
Contamination : toute infection produite par une maladie
contagieuse ou l’envahissement d’un organisme vivant ou d’une
chose par le micro-organisme pathogène ;(www.larousse.fr)
Infection : c’est toute contamination par un agent pathogène
(bactérie, virus, parasite…)www.doctissimo.fr
Les principales sources des déchets liées aux soins de santé sont les
hô pitaux et autres établissements des soins.
Le classement se fait sous les critères suivants :
- En fonction de la source des déchets, tous ceux qui proviennent de
service médical (chirurgie, obstétrique, laboratoire, gynécologie, etc.)
sont automatiquement considérés comme déchets hospitaliers ;
- En fonction du risque infectieux exposé par le personnel, nous avons
le matériel tranchant et contaminé présentant un risque de blessure
lors de son transport et de sa manipulation. Ils sont considérés
comme déchets à risque mécanique ;
- En fonction de raisons psychologiques, des objets et des pansements
souillés de secrétions humaines de petites pièces anatomiques (par
exemple : le placenta, une partie de jambe amputé) pourraient
percuter le personnel. Ils sont considérés comme déchets
pathologiques.
Ces déchets peuvent également causer d’autres effets néfastes sur la santé,
par exemple :
- Brulures par irradiation ;
- Blessures causées par des objets pointus ou tranchants ;
- Intoxication et pollution dues au rejet de produits
pharmaceutiques, en particulier les antibiotiques et
médicaments cytotoxiques ;
- Pollution des eaux usées, intoxication et pollution par des
éléments ou des composés toxiques tels que le mercure ou les
dioxines libérées au cours d’une incinération
II.1.4. Climat
Le climat de la ville-province de Kinshasa connait un climat de type tropical,
chaud et humide. Celui-ci est composé d’une grande saison de pluie d’une
durée de 8mois, soit de la mi-septembre à la mi-mai, et une saison sèche qui
va de la mi-mai à la mi-septembre, mais aussi, une petite saison de pluies et
une petite saison sèche, qui court de la mi-décembre à la mi-février. Quant
à la température, deux grands courants de vents soufflent pendant toute
l’année sur la ville, aussi bien en altitude qu’au niveau de basses couches.
II.1.5. Hydrographie
Le réseau hydrographique de la commune de Ngaliema ne compte que des
rivières qui sont à ses limites avec d’autres communes : Rivière Binza,
Rivière Lukunga et Rivière Makelele.
II.1.6. Sol
Dans la commune de Ngaliema on y rencontre principalement un sol argilo-
sablonneuse avec des parties entièrement dominées par l’argile et d’autres
dominées par le sable
II.1.7. Situation géographique
La commune de Ngaliema est bordée au Nord par le fleuve Congo et la
Gombe et au Nord-Est par la commune de Kitambo ; à l’Est par les
communes de Bandalungwa et Selembao ; à l’Ouest et au Sud par la
commune de Mont-ngafula
II.1.8. Vision de l’hôpital
La vision de la clinique est la prise en charge des personnes entre autre
démuni, les personnes n’ayant pas les moyens de s’assurer les soins de
santé primaire et la mise en disponibilité d’un système d’éducation
sanitaire
II.1.9. Services organisés
La clinique possède 5 services : Maternité, chirurgie, laboratoire, soins
infirmiers et banque de sang
II.1.10. Mode de gestion actuelle des déchets à la clinique
Actuellement la clinique utilise le mode d’enfouissement et d’incinération
pour les déchets solides et pour l’évacuation des eaux usées la clinique
utilise les puits perdus et les toilettes
28
II.1.11. Organigramme
28
MEDECIN DIRECTEUR
II.2. MATERIEL ET METHODES
II.2.1. Matériel
Les fiches d’enquêtes ont constitué notre matériel
Administrateur Gestionnaire
II.2.2. Méthodes
Pour la réalisation de cette étude, nous procédons à un certain nombre des
méthodes pour pouvoir rassembler suffisamment des données que nous
présentons dans ce travail.
Chirurgien
Nous avons utilisé Médecin Généraliste
les méthodes et techniques suivantes
- Observation,
Infirmier Titulaire Médecins
- Interview,
- Enquête avec les questionnaires,
- Et l’analyse documentaire.
A la fin deInfirmiers S.Finformations,
la collète des données et des Titulaire T.L Titulaire
nous passons à un
dépouillement manuel et informatique
II.2.2.1. Déroulement de l’enquête
Fille de Salle
Avant Sentinelle
d’organiser S.F
l’enquête proprement nous avonsT.L
dite,S.F procédé à T.L
la
pré-enquête qui nous a permis de localiser et identifier la zone d’étude.
Pour ce faire, nous sommes allés dans la clinique Da-mwange pour avoir
l’idée générale de la clinique, connaitre le nombre des services et des
personnels.
II.2.2.2. Difficultés rencontrées
Nous avons pris beaucoup de temps à mener notre enquête parce qu’il était
difficile de trouver un grand nombre de personnel par jour et d’en trouver
d’autres le jour suivant. Et il y avait de ceux qui ne possédaient pas assez
d’information sur la gestion de déchets dans la clinique
II.2.2.3. Instruments ou équipements de collecte de données
Nous avons utilisé notre téléphone portable, les questionnaires d’enquête et
nous avons interviewé le personnel pour la collecte des données.
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dans la clinique,ce constat rejoint celui de Gentilini (1993) dans son étude
menée sur le taux d’occupation selon les tranches d’â ge qui est chez les
adultes entre 15 et 49 ans et estime aux alentours
Tableau n°3 : Nous constatons que nos enquêtés sont à 52% licencié, 32%
de niveau graduat. C’est une opportunité pour se sentir responsable des
actes posés par rapport à l’étude sur les connaissances, attitudes et
pratiques du personnel sur la gestion des déchets en milieu hospitalier de
l’Institut supérieur des techniques médicales I.S.T.M/Goma, plus de 50%
des enquêtés étaient au bas de l’école
Les tableau n°4 stipule que 40% des répondants sont mariés et 36% de
célibatairece constat joint celui du travail de la gestion de déchets
hospitaliers de l’université de Alassane Ouattara de Bouaké, 60% des
répondants étaient mariés
A la lumière de ce tableau n°5 nous constatons que la plupart de nos
enquêtés sont des infirmiers avec 48% et 24% de médecin ces résultats
sont contraire à celui de SEDRATI Nourethouda sur Etats des lieux de la
gestion des déchets hospitaliers au niveau de l’hô pital d’EL KHROU
Notre montre qu’une grande partie du personnel est du kongo central avec
36% et c’est la langue la plus parlé dans la cliniquetableau n°6
III.3.2.2. QUESTIONs SPECIFIQUEs
Le tableaun°7montre que l’établissement dispose des poubelles à 100%,
mais le nombre de poubelles est insuffisant par rapport au nombre de
service. Chaque service devait au moins avoir des poubelles distinctes mais
la clinique n’a que 8 poubelles avec 5 services, c’est la raison pour laquelle
nous avons remarqué de manque de poubelles dans certains coins de
l’établissement, par rapport au travail de Khelladi Fatima Zohra de
l’université de ABOU BEKR BELKAID-T sur la gestion des déchets
hospitaliers et risques environnementaux dans l’hô pital Remchi, les
résultats montrent que les poubelles sont installées dans les services à 64%
Notre tableau n°8 montre que dans la clinique on utilise les poubelles en
plastique à 78% et les poubelles en sachet à 28%, ils ont un système de
mettre les sachets dans les poubelles pour faciliter l’évacuation, comparé à
Khelladi Fatima Zohra sur son travail de la gestion des déchets hospitaliers
et risques environnementaux de l’hô pital Remchi les résultats montrent
que 41,1% des enquêtés utilisent les poubelles en métal inox ou en
plastique sans couvercle
28
Le tableau n°9 : Le personnel affirme à 100% que le tri des déchets se fait,
mais nous avons constaté que leur manière de trier n’était pas efficace
parce qu’il ne possède pas assez des poubelles dans l’enceinte de
l’établissement
A la lumière de ce tableau n°10 nous constatons que la clinique produit
plus les déchets hospitaliers présentant un danger de blessure (objets
tranchants) avec 44%, suivi des déchets infectieux présentant un danger de
contamination avec 36%
Au regard de notre tableau n°11 nous voyons clairement que le personnel
a un niveau moyen avec un pourcentage élevé de 100, cela nous emmène à
comprendre la raison pour laquelle la clinique ne possède pas un système
très efficace d’une gestion des déchets hospitaliers, comparé à ceux de
Robert Nancy, dans son étude sur la gestion des déchets d’activités de soins
que 50% des enquêtésconsidèrent les déchets comme un résidu sans valeur
La culture d’une personne peut avoir un impact positif ou négatif face à la
façon de gérer les déchets. Le fait de ne pas garder les déchets longtemps
dans le service est une bonne attitude. Le tableau n°12 montre à 100% que
le personnel a une attitude positive face à la gestion des déchets
hospitaliers
D’après le tableau n°13, le système d’enfouissement est de 56% et celui de
l’incinération est de 44% c’est les deux méthodes utilisées dans la clinique
contrairement à celui de la clinique Matondo qui n’utilise que le système
d’enfouissement
Le tableau n°14 affirme que la clinique a un système de gestion des
déchets avec un pourcentage de 100, mais seulement leur système de
gestion des déchets n’est pas très efficace et ce n’est pas tout le personnel
qui sait comment utiliser ce système
Le tableau n°15 ressort que l’enfouissement est le moyen le plus utilisé
pour l’évacuation des déchets hospitaliers organiques avec 68% avec 32%
d’incinération, les personnes enquêtées savent qu’on utilise un produit
pour le traitement des déchets organiques mais ils ignorent le nom de ce
produit
Pour l’évacuation des eaux usées, le tableau n°16 nous montre que la
clinique le fait souvent dans les puits perdus avec 76% et 24% dans les
toilettes, et les personnes enquêtées nous ont fait comprendre que c’est un
moyen qui ne les arrange pas, l’hô pital Biamba Marie Mutombo utilise un
28
1. Transport interne
Les moyens de transport interne à l’établissement peuvent être de
plusieurs sortes : brouettes, conteneurs sur roulettes, chariots
Voir photo :
Incinération
D.B
S.I D.T
D.O D.B
D.B
Valorisation
Chirurgie D.T
D.O
D.B D.T
LABO
D.T
Enfouissement
D.B
Banque de Sang
D.T
Légende
D.T : Déchets Tranchants
D.O : Déchets Organiques
D.B : Déchets Biodégradables
S.I : Soins Infirmier
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Collecte
Maternité Transport
Traitement
S.I
BIODISQUE
Chirurgie
LABO
Banque de Sang
Légende
S.I : Soins Infirmiers
28
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
OUVRAGES GENERAUX
OMS, Gestion des déchets biomédicaux. Genève, 2003
OMS, Promotion de l’assainissement. Genève, 1991
Manuel de gestion des déchets médicaux. Comité internationale
de la croix rouge(CICR), Genève, Suisse
Etats des lieux de la gestion des déchets hospitaliers. Mémoire
en ligne 2016-2017, Université des Frères Mentouri Constantine 1
Guide_rejets_liquides_hospitaliers, Agence de l’environnement et
de la Maitrise de l’Energie
Gestion des déchets hospitaliers et risques environnementaux,
mémoire en ligne 2014-2015, université ABOUBEKR BELKAID
Plan de gestion des déchets biomédicaux, février 2012(actualisé
juillet 2012)
Chimie de l’environnement, notes de cours
OMS, Guide de l’assainissement individuel. Genève, 1995
OMS, Traitement et élimination des déchets. Genève 1976
Gestion insuffisante des déchets médicaux, COPYRIGHT 2017
Chimie de l’environnement Pollutions et nuisances, Editions
Presses Universitaire de Kinshasa, Kinshasa 2016
B. SITES INTERNETS
www.futura-sciences.com
www.wikipédia
www.larousse.fr
www.doctissimo.fr
Solidarites-sante.gouv.fr
www.dicto-env.com
www.banquemondiale.org
www.africmemoire.com
www.memoireonline.com
https://fac.umc.edu.dzmmf
www.hospihub.com
28
TABLE DE MATIERES
EPIGRAPHE.............................................................................................................................................ii
DEDICACE..............................................................................................................................................iii
REMERCIEMENTS...................................................................................................................................iv
SIGLES ET ABREVIATIONS.......................................................................................................................v
INTRODUCTION......................................................................................................................................1
Problématique....................................................................................................................................1
Hypothèse..........................................................................................................................................2
Objectifs.............................................................................................................................................3
Objectif général..................................................................................................................................3
Objectifs spécifiques...........................................................................................................................3
Choix et intérêt du sujet.....................................................................................................................3
Délimitation du travail........................................................................................................................3
Subdivision du travail.........................................................................................................................4
CHAPITRE I : GENERALITE SUR LA GESTION DES DECHETS HOSPITALIERS..............................................5
I.1. Notion sur les déchets..................................................................................................................5
I.2. Classification générale..................................................................................................................5
I.3. Notion sur les déchets hospitaliers...............................................................................................6
I.4. Définitions des concepts...............................................................................................................6
I.4. Source de production..................................................................................................................8
I.5. Classification de déchets hospitaliers..........................................................................................8
I.6. Circuit des déchets hospitaliers....................................................................................................9
I.6. Risques de déchets hospitaliers..................................................................................................10
I.7. Impact sur l’environnement.......................................................................................................11
CHAPITRE II. ETAT DE LIEU DE LA GESTION DES DECHETS AU SEIN DE l’INSTITUTION HOSPITALIERE
« DA-MWANGE »..................................................................................................................................12
II.1. PRESENTATION DU MILIEU D’ETUDE.........................................................................................12
II.1.1. Localisation.........................................................................................................................12
II.1.10. Mode de gestion actuelle des déchets à la clinique.........................................................13
II.1.11. Organigramme..................................................................................................................14
II.2. MATERIEL ET METHODE............................................................................................................15
II.2.1. Matériel..............................................................................................................................15
28
II.2.2. Méthode.............................................................................................................................15
II.3. PRESENTATIONS, ANALYSE DE DONNEES ET INTERPRETATION DES RESULTATS.......................16
II.3.1. Présentations et analyse des données................................................................................16
II.3.2. INTERPRETATIONS DES RESULTATS...................................................................................20
CHAPITRE III. PROPOSITION OU PROJET D’UN MODELE DE GESTION DES DECHETS HOSPITALIERS
DANS LA CLINIQUE DA-MWANGE........................................................................................................24
III.1 IDENTIFICATION DU PROJET......................................................................................................24
III.3.1. Définition du projet...........................................................................................................24
III.1.2 Objectif du projet...............................................................................................................24
III.1.3 Objectifs spécifiques...........................................................................................................24
III.1.5 Résultats attendus du projet..............................................................................................25
III.1.6 Faisabilité du projet............................................................................................................25
III.2. Elaboration du plan de gestion des déchets hospitaliers solides..............................................25
III.2.1 TRI, COLLECTE ET STOCKAGE..............................................................................................25
III.2. 2 TRANSPORT.......................................................................................................................27
III.2.3 TRAITEMENT ET ELIMINATIO..............................................................................................28
III.3. Elaboration du plan de gestion des eaux usées........................................................................30
III.3.1. Biodisque...........................................................................................................................30
CONCLUSION GENERALE......................................................................................................................32
BIBLIOGRAPHIE.....................................................................................................................................34
TABLE DE MATIERES.............................................................................................................................35