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intro

La maladie de Parkinson est une maladie neurodégénérative caractérisée par la


perte des neurones dopaminergiques constituant la voie nigrostriale. Elle est au
second rang des maladies neurodégénératives. Cette pathologie touche
préférentiellement les sujets âgés, mais il existe des formes précoces. Les
symptômes de la maladie s'échelonnent entre formes légères et formes
sévères pouvant devenir alors très handicapantes. Pour lutter contre cette
maladie, il existe tout un arsenal thérapeutique, tant médical que paramédical
qui nécessite une coordination et une coopération entre les professionnels de
santé impliqués. La maladie de Parkinson et ses manifestations sont connues
depuis fort longtemps. Elle était déjà décrite dans le système médical indien
antique sous le nom de « kampavata ». Elle était alors traitée par une plante
reconnue depuis comme source de L-DOPA, la Mucuna pruniens. [1] En 1817,
James Parkinson, un médecin Londonien décrit un ensemble de symptômes
qu'il réunit sous le nom de « paralysie tremblante » (shaking palsy). Il concentra
ses recherches sur le tremblement. En 1872, Jean-Martin Charcot, pionnier de
la neurologie, donne à la maladie de Parkinson son nom actuel. Il l’étudia dans
sa globalité, ne concentrant pas ses recherches uniquement sur les symptômes
moteurs. [2] La maladie de Parkinson se définit par une symptomatologie
initiale qui regroupe la triade : tremblement/akinésie/hypertonie. Le
tremblement est un tremblement de repos, il cesse quand le patient initie un
mouvement. L'akinésie se traduit par un trouble à l'initiative motrice, associée
à une rareté d'exécution des mouvements automatiques et volontaires.
L'hypertonie est une tension excessive des muscles qu'on observe aussi au
repos. Le patient est crispé, voûté, la tête en avant.

Différentes parties du cerveau sont touchées, la maladie de Parkinson se


caractérise par une atteinte localisée au niveau de la substance noire (locus
niger), dans le mésencéphale. En plus de ces lésions, d'autres noyaux du tronc
cérébral et sous-corticaux sont touchés : le locus coeruleus et le nucleis basalis
de Meynert. Il existe un stigmate neuropathologique caractéristique dans cette
maladie : le corps de Lewy, retrouvé dans les régions du cerveau affecté par le
processus dégénératif.

La maladie de Parkinson est la cause la plus fréquente de syndrome


parkinsonien. C'est la seconde maladie neurodégénérative après la maladie
d'Alzheimer. C'est aussi la seconde cause de handicap moteur chez le sujet âgé
après les accidents vasculaires cérébraux. En France la maladie toucherait 15
personnes pour cent mille habitants, dans la population générale. La
proportion atteint 1,5 pour cent chez le sujet de plus de 65 ans. Les hommes
seraient légèrement plus touchés que les femmes. Cependant, le diagnostic de
certitude de la maladie est histologique et ne peut se faire du vivant. Les
données recueillies reposent sur le diagnostic clinique, les données
épidémiologiques sont donc à interpréter avec prudence. [5]

Intro 2
Pathophysiologie Le plus fréquent des troubles du mouvement est la maladie de Parkinson (MP).
Environ 85 % des patients diagnostiqués ont plus de 65 ans, et au sein de ce groupe d’âge, 1 à 2 %
souffrent de la maladie. [1] La MP est un trouble neurologique progressif chronique causé par une
perte de neurones dopaminergiques dans le pars compacta de la substantia nigra, qui entraîne une
perte de production de la dopamine. Comme les neurones dopaminergiques dégénèrent au fil du
temps, plusieurs mécanismes compensatoires retardent l’apparition des symptômes moteurs jusqu’à
ce que plus de 60 % soient perdus. Cependant, comme le nombre de neurones dopaminergiques
continue de diminuer, les symptômes moteurs hautement reconnaissables de la MP apparaissent. [2-
4]

La MP produit également des symptômes non moteurs. Le noyau moteur dorsal et les régions
olfactives, les neurones cholinergiques du noyau basal de Meynert, les neurones à noradrénaline, les
neurones du locus cœuruleus, les neurones sérotoninergiques du raphé médian et les neurones dans
le cortex cérébral, le tronc cérébral, la moelle épinière et le système nerveux autonome périphérique
sont également impliqués dans la pathologie de la MP, qui donnent lieu à des symptômes non
moteurs. [2-5] Voici quelques exemples de ces symptômes : perte de l’odorat, dépression et anxiété,
dysfonction autonome et problèmes cognitifs, entre autres. [6]

La MP constitue donc un enjeu de santé publique mondial car son incidence augmente au cours du
temps en raison du vieillissement de la population. Avec d’autres maladies neurodégénératives
comme la maladie d’Alzheimer, on s’attend à ce qu’elle dépasse le cancer au deuxième rang de la
mortalité vers l'année 2040. L’incidence et la prévalence de la maladie augmentent avec l’âge,
survenant chez environ 1 à 2 % des personnes âgées de plus de 65 ans et 3,4 % des plus de 75
ans.5(b) Les coûts directs et indirects des soins de la MP sont donc considérables.

I. Description

Communication neurale
Les neurones sont des cellules amniotiqyes qui constituent le système nerveux. La
communication neurale repose sur le transfert d’impulsions éléctriques  Le transfert
d'information d'un neurone à l'autre s'effectue au niveau des synapses. À ce niveau, les
membranes des neurones « en communication » sont proches l'une de l'autre mais séparées
par un espace synaptique. Les signaux électriques ne pouvant franchir cet espace, la
communication entre deux neurones se fait par l'intermédiaire de substances chimiques
appelées neurotransmetteurs. Ces neurotransmetteurs vont alors se fixer sur des récepteurs
spécifiques de la membrane du neurone postsynaptique. Cela provoque sa stimulation et la
naissance d’un nouveau message nerveux.

Figures : communication neurale

La dopamine :
La dopamine est un neurotransmetteur (messager chimique du cerveau) synthétisé
par certaines cellules nerveuses à partir de la tyrosine, un acide aminé (composant
des protéines de l’alimentation) L’hydroxylation du noyau phényle de la tyrosine par la
tyrosine hydroxylase conduit à la dihydroxyphénylalanine (DOPA). La dopamine est ensuite
obtenue par décarboxylation de la DOPA par la DOPA-décarboxylase comme on le voit sur la
figure ci-dessous . Elle est libérée dans differentes structures mais principalement a
niveau des ganglions de base ces ganglions sont de noyaux qui sont situés dans
chacune des emispheres du cerveau
Biosynthese de la dopamine

Figure : cerveau

synapse dopaminergique
Les neurones dopaminergiques de la pars compacta de la substance noire projettent majoritairement
dans la partie supérieure du striatum, constituée du noyau caudé et du putamen. La voie nigrostriée
représente 80 % des neurones dopaminergiques centraux. Ce réseau constitue un système
modulateur des aires corticales motrices et intervient dans le phénomène de contrôle des fonctions
motrices. Le manque de dopamine entraîne à l'autre bout de la chaîne un excès de production
d'acétylcholine, et des tremblements de repos.

fonctionnement d'une synapse dopaminergique

la maladie de parkinson
La maladie de Parkinson est une maladie neurodégénérative acquise par la perte de neurones
dopaminergiques situés dans la substance noire. C’est la disparition de ces neurones qui
entraine la maladie. La présence de corps de Lewy observés dans cette substance noire est la
signature de la maladie de Parkinson, ce sont des agrégats anormaux de protéines qui se
forment à l’intérieur même des cellules nerveuses. Ces protéines sont les seules marqueurs
anatomopathologiques qui permettent de dire qu’un patient souffre effectivement de Parkinson.
Cependant, les chercheurs ne savent toujours pas aujourd’hui, si ces corps de Lewy sont un
mécanisme protecteur sur des neurones qui subissent un stress ou une attaque et donc sont dus
à un symptôme de compensation et d’une réaction de l’organisme pour essayer de se préserver
ou alors si c’est un mécanisme pathologique qui va conduire à la mort du neurone à terme.

Les corps de Lewy se présentent classiquement sous la forme d’inclusions circulaires intraneuronales
cytoplasmiques de 5 à 25 μm de diamètre

Figure : corps de lewy

La disparition des neurones dopaminergiques entraine un disfonctionnement dans le réseau


des ganglions de la base. Ce système est formé d’un ensemble de cellules nerveuses
interconnectées. L’une des fonctions de ces ganglions est de sélectionner et de contrôler les
mouvements. Quand la substance noire est altérée par la perte des neurones
dopaminergiques, c’est d’abord la maitrise du mouvement de l’individu qui est affecté. Ces
ganglions sont impliqués, avec le cortex et le thalamus, dans une boucle fonctionnelle qui
permet de réguler différentes fonctions tels que les fonctions cognitives, les fonctions
motrices, et les fonctions associatives. Le fonctionnement des ganglions de la base repose
donc sur le fonctionnement électrique des neurones. Le réseau de ces ganglions contrôle le
mouvement volontaire et l’information motrice est véhiculée le long de ce réseau, ce qui va
permettre la sélection d’une action motrice, et l’exécution de celle-ci. Dans la maladie de
Parkinson, la dégénérescence des neurones dopaminergiques, fera que ce réseau
fonctionnera de manière anormale : le manque de dopamine bloque la communication entre
les neurones, la transmission de l’influx ne se fait pas de manière optimum, ce qui ne permet
plus la sélection de l’action, cela entrainera l’apparition de symptôme tel que le
tremblement.

II. Etiologie
Si le mécanisme est connu, les causes de la maladie de Parkinson sont toujours
inconnues. Cette situation est éprouvante pour les malades et leur entourage, la
recherche d’une cause étant une étape importante dans l’acceptation d’un événement.
De nombreuses hypothèses existent, certaines ont déjà été écartées comme l’origine
infectieuse ou auto-immune, mais deux d’entre elles retiennent l’attention des chercheurs
: l’hérédité et l’environnement.

1. L’heredité : 5 à 10 % des patients atteints par cette maladie neurodégénérative


présentent une mutation de gène(s) spécifique(s). La découverte en 1997 de mutations au
niveau du gène SNCA, codant pour l’α-synucléine et impliqué dans une forme rare de la MP,
a suscité l’intérêt pour l’étude des facteurs génétiques impliqués dans l'étiologie de la
maladie. Par la suite, d’autres mutations de gènes spécifiques codant pour des protéines
telles que parkin, ubiquitine C-terminal hydrolase L1 (UCH- L1), DJ-1, PINK1 et LRRK2 ont été
identifiés comme causes de formes héréditaires de la MP.
2. L’environement :
plusieurs produits chimiques entrant dans la composition d’herbicides, d’insecticides et de
pesticides et dont la cible était identique à celle du MPTP (N-methyl-4-phenyl1, 2, 3, 6-
tetrahydropyridine) qui est le : 1-methyl-4-phenyl-4-propionoxypiperidine (MPPP) un
analogue de la mépéridine( un analgésique opioïde de niveau 3, un antidouleur qui
comporte une molécule de synthèse proche de la morphine et qui se fixe aux mêmes
récepteurs que la morphine dans le cerveau. Il agit en bloquant les influx nerveux
véhiculant la douleur.) , furent suspectés d’être impliqués dans la genèse de la MP . Il faut
en effet rappeler que dans plus de 90 % des cas, la MP se manifeste de façon sporadique et
résulterait donc de facteurs environnementaux tels que l’exposition à des toxines. Cette
hypothèse est d’ailleurs soutenue par différentes études épidémiologiques montrant une
plus grande prévalence de la MP dans les zones d’agriculture intensive utilisant de façon
importante des insecticides, herbicides et pesticides.19 De même, l’exposition chronique à
certains métaux lourds tels que le cuivre, le manganèse ou le plomb pourrait constituer un
facteur de risque.
III. Symptomatologie :

1. Symptomatologie motrice

Les symptômes moteurs classiques de la MP ont été reconnus comme des


composants importants de la maladie depuis la description initiale de James
Parkinson.
Il a été constaté que ces symptômes moteurs sont variables d’une personne à
l’autre, ce qui a conduit à des tentatives de classification de la MP en sous-types23
sans qu’un consensus n’ait toutefois été encore établi. Des observations cliniques
empiriques suggèrent néanmoins deux sous-groupes principaux :
1) la MP avec les tremblements comme symptômes dominants (avec une absence
relative des autres symptômes moteurs)
2) la MP avec les tremblements comme symptômes non dominants.

Le tremblement de repos : est l'un des symptômes de la maladie de Parkinson,


souvent le plus connu du grand public. Il s'agit d'un tremblement au repos,
c'est-à-dire lorsque la partie du corps concernée ne participe à aucun
mouvement. De même, si la personne initie un mouvement,
le tremblement cesse.

Bradykinésie : Définie comme la lenteur de l'exercice volontaire, cette lenteur


peut même conduire à une incapacité totale à effectuer l'exercice appelé
dyskinésie. Cette décélération affecte non seulement les membres, mais
également le visage.

L’hypertonie( rigidité musculaire) : L'articulation reste figée dans la position où


elle se trouve après relâchement peut être mise en évidence lorsque le patient
étend son bras

2. symptomatologie non motrice


Une symptomatologie non-motrice variée est fréquemment rencontrée dans la MP.
Elle pourrait être le reflet de la dégénérescence ou de la souffrance neuronale
observée dans les stades avancés de la maladie et impliquerait très probablement
des systèmes de neurotransmission qui ne sont pas dopaminergiques (cholinergique
notamment). Ces symptômes sont occasionnels et souvent très précoces. On
observe, par exemple, des perturbations comportementales et psychiatriques, telles
que des hallucinations survenant chez 25 à 50 % des patients et qui peuvent s’avérer
tout aussi invalidantes que les symptômes moteurs. De plus, un disfonctionnement
olfactif, une déficience cognitive, des troubles du sommeil (insomnie) et digestifs
(constipation) et une perturbation du sommeil paradoxal sont également
régulièrement observés chez les parkinsoniens. Enfin, 50 % des malades développent
un état dépressif qui serait expliqué par le rôle important de la dopamine dans la
régulation de l’humeur, du tonus psychique et du plaisir. Par ailleurs, la MP
s’accompagne de troubles de l’attention et de la mémoire, lesquels sont constatés
dans 20 à 30 % des cas et rappellent ceux observés dans la maladie d’Alzheimer.
Comme dans toute maladie neurodégénérative, les lésions s’étendent
progressivement, et lentement, les symptômes s’accentuant petit à petit.
Malheureusement ces symptômes sont non-spécifiques et rarement considérés pour
établir un diagnostic précoce.

Médicaments et syndromes parkinsoniens

. Certains médicaments peuvent induire des syndromes parkinsoniens (liste non


exhaustive).
-Les antipsychotiques : fluphénazine, halopéridol, chlorpromazine, flupenthixol,
zuclopenthixol, amisulpride, aripiprazole, olanzapine, rispéridone, sertindole.

-Les antiémétiques : métoclopramide, métopimazine, dompéridone.

-Les neuroleptiques cachés : tiapride, buspirone, flunarizine.

IV. Traitement :

La guerison est-elle possible ?

Certes, on ne peut pas encore guérir de Parkinson mais la maladie se soigne, ce qui permet

d’améliorer la qualité de vie. Le neurologue prescrit des traitements médicamenteux visant à

pallier le manque de dopamine :

 soit en mimant l’action de la dopamine


 soit en administrant une substance qui sera transformée en dopamine
 soit en donnant une substance qui bloque la dégradation de la dopamine.

La décision de mettre en œuvre la pharmacothérapie et le choix de médicaments pour
traiter la MP doivent être personnalisés en fonction de l’âge du patient, la gravité des
symptômes, les comorbidités, la déficience fonctionnelle du patient, l’emploi et la
préférence du patient. Certains patients peuvent choisir de retarder la prise de
médicaments si la déficience fonctionnelle de la MP n’est pas présente.
Figure : site d'action des médicaments agonistes dopaminergiques qui agissent au niveau de la
synapse dopaminergique dans la maladie de Parkinson.
V. Nouvelles approches thérapeutiques :
1) Thérapie génique :
Cette thérapie consiste à introduire des gènes thérapeutiques de trois enzymes c’est-à-dire la
AADC (décarboxylase des acides aminés aromatiques), la TH (tyrosine hydroxylase) et la CH1
(GTP-cyclohydrolase1) dans des cellules ciblées (striatum) au moyen d’un vecteur viral rendu non
pathogène comme les lentivirus. Ils ont comme particularité de pouvoir pénétrer dans le noyau
de la cellule et d’y introduire leurs matériels génétiques (transgénèse). Ces cellules ciblées vont
être reprogrammées et pourront fabriquer et secréter de la dopamine.
Les résultats montrent que le traitement peut être efficace mais qu’il peut engendrer des effets
indésirables (dyskinésie) à cause de la quantité importante de dopamine produite. Les recherches
futures porteront sur l’amélioration de l’efficacité du vecteur viral.
2) Greffe neuronale :
Une autre approche thérapeutique consiste à greffer des neurones embryonnaires
dopaminergiques au niveau du striatum (cellules cibles). Ces travaux ont montré que les greffons
survivent longtemps au sein du striatum, réinnervent le striatum, libèrent la dopamine et
améliorent certains comportements moteurs. Néanmoins, le greffon ne rétablit pas les réseaux
endommagés et ne fait que restaurer partiellement les niveaux de dopamine. Cette thérapie
entraine également des effets indésirables comme des mouvements involontaires. Il n’y a pas de
résultat convainquant. Si l’on était sur de l’efficacité de ce traitement, on pourrait également
l’appliquer à d’autre maladie neurodégénérative.

3) La caféine : Cette étude a eu pour but d’évaluer l’effet de la caféine sur la somnolence de
personnes atteintes de Parkinson. Les résultats ont montré qu’il n’y avait pas d’effet sur la
somnolence mais qu’il y avait par contre une amélioration au niveau des symptômes moteurs
comme la raideur et la lenteur des mouvements.La caféine bloquerait un récepteur spécifique du
cerveau (adénosine A2A) qui serait impliqué dans le fonctionnement des neurones d’un individu
atteint de Parkinson. Plusieurs médicaments sont en cours de développement

4) Stimulation cérébrale :
Depuis plusieurs années la stimulation cérébrale est utilisée pour traiter la maladie de Parkinson
à un stade avancé. Une étude récente a évalué l’effet de la neurostimulation sur la qualité de vie
de patients opérés de façon plus précoce. Cette intervention neurochirurgicale consiste à
implanter de fines électrodes dans une zone profonde du cerveau impliqué dans les mouvements
(noyau sous-thalamique). Ces électrodes sont reliées à un boitier implanté sous la peau sous la
clavicule. Cette technique pourrait améliorer la qualité de vie de patients Parkinsoniens qui
répondent bien aux médicaments.

5) Duodopa :
Traitement qui consiste à infuser de la Levodopa en gel à l’aide d’une pompe externe relié à un
tube implanté dans l’intestin à travers la peau. Il permet une stimulation continue en dopamine
et un meilleur contrôle des symptômes moteurs parkinsoniens.
6) Facteurs de croissance :
Injection de facteurs de croissance pour protéger les cellules neuronales restantes.

7) Thérapie immunologique :
Cette étude est basée sur un vaccin ciblé contre une protéine impliquée dans le déclenchement
et la progression de la maladie : l’alpha-synucleine comme vu précédemment. Le vaccin doit
inciter le système immunitaire à produire des anticorps dirigés contre cette protéine mais sans
déclencher une réaction inflammatoire du cerveau.

VI. Conclusion :
Parkinson est une maladie neurodégénérative touchant hommes et femmes, le plus souvent à
partir d’un certain âge, entraine un grand nombre de troubles moteurs et psychologiques
(anxiété, manque de motivation, dépression). Elle n’est ni contagieuse, ni infectieuse, et peut se
présenter sous forme sporadique dans certains cas. Cette affection est due à une déficience de
dopamine au niveau des neurones qui empêche le mauvais transfert de l’influx nerveux de
neurones en neurones. Des études ont également montré qu’une autre molécule serait
impliquée. Il s’agit d’une protéine portant le nom d’alpha- synucleine jouant un rôle dans la
libération de la dopamine. Malgré les progrès du à la découverte de la Lévodopa, et à la
stimulation cérébrale profonde, il n’y à a l’heure actuelle aucun traitement qui permet de soigner
définitivement cette maladie. Les causes restant encore inconnues, toutes les thérapies visent à
améliorer la qualité de vie des patients et donc traiter les symptômes moteurs. Cette maladie
avance cachée, c’est pour cela qu’elle est difficile à étudier. La recherche est mondiale et d’autres
thérapies sont en cours de développement tels que les thérapies cellulaires, géniques, et
immunologiques. 
https://www.topsante.com/medecine/troubles-neurologiques/parkinson/parkinson-les-
idees-recues-sur-la-maladie-31851#:~:text=La%20maladie%20de%20Parkinson%20ne
%20se%20soigne%20pas,-FAUX&text=pas%20encore%20gu%C3%A9rir%20de
%20Parkinson,l'action%20de%20la%20dopamine

https://www.cen-neurologie.fr/deuxieme-cycle/maladie-parkinson
https://www.lanutrition.fr/outils/a-quoi-sert-la-dopamine-

file:///C:/Users/ASUS/Downloads/P20143311.pdf

https://www.franceparkinson.fr/la-maladie/causes/

http://mikeclaffey.com/psyc2/notes-cog-motivation-emotion.html

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