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* Névroses:
- W. Cullen en 1769: Le concept de névrose
- S. Freud 1895 : La psychanalyse
> - KLEIN 1962 : Angoisse aigue et chronique
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1-L'Attaque de panique ou la crise d'angoisse aigue
L'Attaque de Panique
Définition
Période bien délimitée de crainte ou de malaise intense, dans laquelle au minimum quatre des symptômes suivants sont survenus de façon
brutale et ont atteint leur acmé en moins de dix minutes.
Symptômes Physiques
Palpitations ou accélération du rythme cardiaque
Transpiration
Tremblements ou secousses musculaires;
Sensation de souffle coupé ou d'étouffement;
Sensation d'étranglement
Douleur ou gêne thoracique
Sensation d'instabilité ou impression
d'évanouissement
Nausée ou gêne abdominale
Sensation d'engourdissement ou de picotement
Bouffées de chaleur ou frissons
Symptômes Congnitifs
Dépersonnalisation ou déréalisation
Peur de devenir fou ou de commettre un acte non contrôlé
Peur de mourir
Symptômes Comportementaux
— Efficacité : 85 % des personnes ainsi traitées cessaient d'avoir des attaques de panique et ces résultats se maintiennent par la suite.
3-Anxiété Généralisée
* Le trouble anxiété généralisée (TAG) est caractérisé par une arfété persistante et «flottante » et par l’absence de symptômes spécifiques
de l’un des autres troubles anxieux.
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L'anxiété interfère avec d'autres aspects de la vie personnelle (concentration, irritabilité, troubles du sommeil)
La tension se manifeste le plus souvent par une respiration courte, des sueurs, des palpitations et différents symptômes gastro-
intestinaux…
Evolution:
o L'association avec un épisode dépressif majeure est variable selon les études: de 6 à 73%
o +++ autre troubles anxieux ( trouble panique, phobie sociale, phobique spécifique, TOC) et troubles liés à une substance.
Traitement:
4-Troubles phobiques
A)PHOBIE SPECIFIQUE
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2. La déconstruction de la peur
B-Agoraphobie :
Peur situationnelle
* Anxiété liée au fait de se retrouver dans des situations d'où il pourrait être difficile de s'échapper ou dans lesquelles on pourrait ne pas
trouver de secours en cas d'attaque de panique soit inattendue soit facilitée par des situations spécifiques ou bien en cas de symptômes à
type de panique.
C-Phobie sociale
o Peur persistante, intense, de se produire en public, d'être exposé à l'examen scrutateur des
5-TOC :
A. la présence d'obsession ou/et de compulsion (il existe de rares formes purement obsessionnelles ou purement compulsives)
B. les symptômes font perdre au moins une heure par jour au patient ou entrainent une souffrance cliniquement significative ou une
altération au niveau social, occupationnel ou dans un autre domaine important du fonctionnement.
C. Les symptômes obsessionnels et compulsifs ne sont pas dus aux effets physiologiques d'une substance ou d'une affection médicale
générale.
D. Les symptômes ne peuvent pas être mieux expliqués par les symptômes d'une autre pathologie psychiatrique.
Obsessions
(1) pensées, impulsions ou représentations récurrentes et persistantes qui, à certains moments de l'affection, sont ressenties comme
intrusives et inappropriées et qui entraînent une anxiété ou une détresse importante.
(2) les pensées, impulsions ou représentations ne sont pas simplement des préoccupations excessives concernant les problèmes de la vie
réelle.
(3) le sujet fait des efforts pour ignorer ou réprimer ces pensées, impulsions ou représentations ou pour neutraliser celles-ci par d'autres
pensées ou actions.
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(4) les sujet reconnaît que les pensées, impulsions ou représentations obsédantes proviennent de sa propre activité mentale, (elles ne sont
pas imposées de l'extérieur comme dans le cas des pensées imposées).
Compulsions
(1) comportements répétitifs (p. ex., lavage des mains, ordonner, vérifier) ou actes mentaux (p. ex., prier, compter, répéter des mots
silencieusement) que le sujet se sent poussé à accomplir en réponse à
une obsession ou selon certaines règles qui doivent être appliquées de manière inflexible.
(2) les comportements ou les actes mentaux sont destinés à neutraliser ou à diminuer le sentiment de détresse ou à empêcher un
événement ou une situation redoutés; cependant, ces comportements
ou ces actes mentaux sont soit sans relation réaliste avec ce qu'ils proposent de neutraliser ou de prévenir, soit manifestement excessifs.
L'événement traumatique
la reviviscence :
l'évitement :
les altérations négatives persistantes dans les cognitions et l'humeur ;
l'hyper-réactivité neurovégétative
8-Troubles de l'adaptation
— soit une souffrance marquée, plus importante qu'il n'était attendu en réaction à ce facteur de stress
C- La perturbation liée au stress ne répond pas aux critères d'un autre trouble mental et n'est pas simplement l'exacerbation d'un trouble
mental préexistant.
E- Une fois que le facteur de stress (ou ses conséquences) a disparu, les symptômes ne persistent pas au-delà de 6 mois.
Conclusions