Université Hassan II – Casablanca

Faculté des Sciences Juridiques, Economiques et Sociales – Ain chock

S6 Gestion. E 1 Pr : L. EL GNAOUI
Contrôle de Gestion

Cochez la bonne réponse.

1) La méthode des moindres carrés :

A. Est une méthode statistique d'analyse de la qualité du processus de production
B. Est une méthode statistique de prévision des ventes
C. Est une méthode de régression linéaire

2) Les budgets commerciaux concernent :

A. Les budgets prévisionnels et les budgets effectifs
B. Tous les budgets des encaissements
C. Le budget d'objectifs (ventes) et de moyens (frais commerciaux)

3) La programmation linéaire :
A. Est un programme ou les ventes sont linéaires
B. Est une méthode de recherche opérationnelle qui permet d'optimiser un programme
C. Est une technique permettant de lisser les variations linéaires

4) Dans le cadre de la programmation linéaire, on peut distinguer trois types de contraintes :

A. Les contraintes de logique économique, les contraintes commerciales et les contraintes techniques
B. Les contraintes financières, commerciales et logistiques
C. Les contraintes internes, les contraintes externes et les contraintes concurrentielles

5) Le budget de production est :

A. La traduction monétaire du plan d'activité
B. La traduction monétaire du plan de production
C. La traduction monétaire du plan d'affaires

6) L'écart global sur main d'œuvre directe est :

A. La somme de l'écart sur taux de salaire et de l'écart sur volume
B. La somme de l'écart sur budget et de l'écart sur volume
C. La somme de l'écart sur taux de salaire et de l'écart sur temps de travail

7) Le budget flexible est :

A. Un budget calculé pour plusieurs niveaux possibles de consommations dans un centre d'analyse
B. Un budget qu'il est possible de ne pas respecter
C. Un budget ne contenant que des charges variables

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8) L'écart global sur charges indirectes est :
A. La différence entre l'écart sur volume et l'écart sur rendement
B. La somme de l'écart sur budget et de l'écart sur activité
C. La différence entre l'écart total et l'écart sur volume

9) Données pour les questions 9 ; 10 et 11. Une entreprise fabrique deux produits : P1 et P2, qui passent par trois
ateliers successifs A1 ; A2 et A3. La fabrication de P1 nécessite 30mn dans A1 ; 60mn dans A2 et 45mn dans A3.
Prix de vente unitaire 360dh ; Coût variable unitaire 225dh. La fabrication de P2 nécessite 30mn dans A1 ; 60mn
dans A2 et 45mn dans A3. Prix de vente unitaire 430dh ; Coût variable unitaire 245dh. Les capacités disponibles
des ateliers : A1 : 8 250 h ; A2 : 6 500 h et A3 : 6 500 h. Le budget des ventes prévoit la vente de 6 800 unités de P1
et 4 200 unités de P2. L'établissement du tableau de chargement permet de constater :
A. Un goulot d'étranglement de 4 500 h dans A2 et 1 750 h dans A3
B. Un goulot d'étranglement de 2 750 h dans A1 et 1 750 h dans A3
C. Un goulot d'étranglement de 1 750 h dans A2 et 4 500 h dans A3

10) Dans l'hypothèse d'une production simultanée ; la marge totale qui correspond au programme de production
optimal est de :
A. 1 076 750dh
B. 1 000 050dh
C. 1 509 810dh

11) Dans l'hypothèse de la non simultanéité de la fabrication ; le programme de production optimal est de :
A. 4 200 P1 et 2 300 P2
B. 2 300 P1 et 4 200 P2
C. 6 800 P1 et 0 P2

12) Données pour les questions 12 et 13. Le programme de production annuel d'un produit PF est estimé à 150 000
unités. Une unité de PF nécessite en moyenne une consommation de 0,25 kg de matière première ; Prix d'achat
standard : 4,5dh le kg ; Coût de passation d'une commande s'élève à 140dh ; Coût de possession du stock
représente annuellement 9% de la valeur du stock moyen ; Stock initial : 4 900 kg. Selon le modèle de Wilson,
combien de commandes faut-il passer par an ? (Nombre arrondi à l'unité inférieure).
A. 8 commandes
B. 6 commandes
C. 7 commandes

13) Le lot économique est égal :

A. 5 357,14 kg
B. 4 687,5 kg
C. 5 433,33 kg

14) Pour un produit donné, l'écart global est de 12 500dh (défavorable) et l'écart sur volume est 2 000dh
(favorable). Que peut-on déduire sur le coût total :
A. Coût total réel = Coût total préétabli
B. Coût total réel < Coût total préétabli
C. Coût total préétabli < Coût total réel
15) Pour une activité prévue de 5 000 heures machines, le coût total d'un atelier est de 120 000dh dont 50 000dh de
coût fixe. L'activité réelle est de 6 000 heures machines. Quel est le budget flexible de cet atelier (pour l'activité
réelle) ?
A. 144 000dh
B. 134 000dh
C. 130 000dh

16) Que signifie un écart global favorable :

A. Le chiffre d'affaires réel réalisé sur le produit est supérieur aux prévisions
B. Les quantités réelles de produits vendus sont supérieures aux prévisions
C. Le coût réel unitaire du produit est inférieur aux prévisions

17) Données pour les questions 17 et 18 : Soit un produit fini PF et une matière MP. Prévisions : Pour 2 000 unités
de PF, la matière MP consommée est de 2 000 kg à un coût unitaire de 20dh. Réalisation : 2 400 unités ; MP
consommée 3 600 kg à un coût de 18dh. Que représente la valeur : 48 000dh ?
A. Coût réel de MP pour la production réelle de PF
B. Coût préétabli de MP pour la production réelle de PF
C. Coût préétabli de MP pour la production préétablie de PF

18) On analyse la charge MP ; Quel écart est égal à 16 800dh défavorable ?

A. L'écart global
B. L'écart sur coût
C. L'écart sur quantité

19) La gestion budgétaire comprend trois étapes :

A. Prévision, réalisation, re-prévision
B. Prévision, analyse, décision
C. Prévision, chiffrage, contrôle

20) L'articulation budgétaire consiste à établir les budgets dans l'ordre :

A. Budget d'approvisionnement ; Budget de production ; Budget de vente
B. Budget de vente ; Budget de production ; Budget d'approvisionnement
C. Budget d'approvisionnement ; Budget de vente ; Budget de production