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CONVENTION COLLECTIVE

DE L’ENSEIGNEMENT PRIVE
CATHOLIQUE DU MALI

Septembre 2008

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CHAPITRE I : DISPOSITIONS GENERALES

Introduction

Reconnu par l’Etat Malien comme service privé d’intérêt


général, tout en conservant son organisation spécifique,
l’Enseignement Privé Catholique du Mali concerne une
population qui est le juste reflet du pluralisme ethnique, social
et religieux de la société malienne.

Ses rapports avec le Ministère de l’Education du Mali sont régis


par une convention Eglise –Etat.

Pour son existence et la réalisation de son projet éducatif


l’Enseignement Privé Catholique a besoin de la libre, consciente
et responsable adhésion de tous ses partenaires.

A – OBJET ET CHAMP D’APPLICATION

Article 1 : La présente Convention règle les rapports de travail


entre l’EPISCOPAT du Mali représenté par le DIRECTEUR
NATIONAL de l’Enseignement Privé Catholique et le Personnel
enseignant employé dans les différents établissements Privés
Catholiques ouverts conformément aux dispositions en vigueur,
représenté par le Secrétaire Général du Syndicat National des
Travailleurs de l’Enseignement Privé Catholique du Mali.

B - AVANTAGES ACQUIS

Article 2 : Les présentes clauses ne peuvent en aucun cas


être la cause de restriction ou de suppression des avantages
individuels acquis par les enseignants des établissements
susvisés à la date d’entrée en vigueur de la présente
CONVENTION. Les contrats individuels de travail qui
interviendront postérieurement à la date de mise en application
de la présente Convention seront soumis de plein droit à ces
clauses. Aucune clause restrictive ne pourra être inscrite
valablement dans lesdits contrats.

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C – DE LA DUREE ET DE LA DENONCIATION

Article 3 : La présente CONVENTION est conclue pour une


durée indéterminée. Elle pourra être dénoncée, renouvelée ou
révisée en tout ou en partie à tout moment, par l’une des
parties contractantes, après préavis de trois mois signifié à
l’autre partie contractante par lettre recommandée
conformément à la loi en vigueur.

Article 4 La partie qui prendra l’initiative de la dénonciation,


devra accompagner sa lettre d’un nouveau projet d’accord sur
les points mis en cause, afin que les pourparlers puissent
commencer sans retard après réception de la lettre
recommandée.
Les parties signataires s’engagent à ne recourir ni à la grève,
nie au lock-out pendant la négociation conformément aux
dispositions du code de travail en vigueur.

CHAPITRE II : DE L’EXERCICE DU DROIT SYNDICAL

Article 5 : L’observation des lois s’imposant à tout citoyen, les


parties contractantes reconnaissent la liberté aussi bien pour
l’employeur que pour les travailleurs de s’associer pour la
défense collective des intérêts afférents à leur condition
d’employeur ou de travailleur, ainsi que la pleine liberté pour
les syndicats d’exercer leur action dans le cadre de la législation
en vigueur.
L’employeur s’engage à ne pas prendre en considération le fait
d’appartenir ou non à une association ou à un syndicat
professionnel, les opinions politiques ou philosophiques, les
croyances religieuses ou les origines sociales, raciales ou
professionnelles du travailleur, pour arrêter ses décisions en ce
qui concerne l’embauchage, la conduite ou la répartition du
travail, les mesures de discipline, l’avancement ou le
congédiement.
L’employeur s’engage à n’exercer aucune pression ni contrainte
sur le personnel en faveur ou à l’encontre de telle ou telle
organisation syndicale.
Les salariés s’engagent de leur côté, à n’exercer aucune
pression ou contrainte sur leurs collègues.

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Si l’une des parties contractantes estime que le congédiement
d’un salarié a été effectué en violation du droit syndical, tel que
défini ci-dessus les deux parties s’emploient à examiner les
faits et à apporter au cas litigieux une solution équitable.
Cette intervention ne fait pas obstacle au droit pour les parties
d’obtenir judiciairement réparation du préjudice causé.

CHAPITRE III : DE L’ENGAGEMENT ET DE LA FIN DE


L’ENGAGEMENT.

A : DU RECRUTEMENT

Article 6 :
L’employeur fera connaître ses besoins de personnel à
l’Agence Nationale pour l’Emploi ou aux Bureaux Privés payants
de Placement. Il conservera en outre, le droit de recourir à
l’embauchage direct conformément aux dispositions du Code de
Travail en vigueur.
Tout engagement du personnel ne peut s’effectuer que sur
production préalable d’un dossier de candidature qui comprend
les pièces suivantes :
- Une demande manuscrite timbrée ;
- Un extrait d’acte de naissance ou d’un jugement
supplétif ;
- Un casier judiciaire de moins de trois mois ;
- Les titres, diplômes et toutes autres pièces de référence
justifiant sa qualification ;
- Un certificat médical délivré par un médecin agréé
attestant que le postulant est apte à enseigner.
L’engagement se fait selon un contrat de travail établi en
quatre
Exemplaires entre le travailleur et l’employeur, soumis au visa
de l’Inspecteur du travail
Territorialement compétent.
L’employeur pourra recourir au contrat à durée déterminée
(CDD) pour pourvoir les emplois temporaires conformément
aux dispositions légales et réglementaires en vigueur.

Article 7 : Le contrat doit comporter notamment les mentions


suivantes :

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- Les nom et prénom, date et lieu de naissance, nationalité,
filiation du travailleur,
- la raison sociale de l’employeur,
- les adresses complètes des deux parties,
- la date de prise d’effet, et la durée de l’engagement ;
- la catégorie et le grade exact du travailleur ;
- une élection de domicile du travailleur (qui sera le domicile
des vacances) ;
- les conditions de travail, le traitement afférent à ses titres
et grades ; éventuellement les indemnités en espèces ou
en nature attachée à l’emploi ;
- l’engagement, pour les deux parties, de respecter les
clauses de la présente CONVENTION COLLECTIVE.

Article 8 : En cas de nécessité de service, l’établissement


employeur pourra affecter un enseignant à un emploi afférent à
une catégorie inférieure ou supérieure à celle de son
classement normal. Dans ce cas l’enseignant concerné
conservera sa rémunération.
L’enseignante en état de grossesse, mutée provisoirement à
une autre fonction sur conseil médical, conservent le bénéfice
de sa rémunération pendant toute la durée de la mutation.

Article 9 : Toute modification d’un élément substantiel du


contrat tel que la classification, la rémunération, l’emploi
occupé et le lieu d’exécution, doit être constaté par écrit sous
forme d’avenant au contrat initial et soumis à la même
formalité de visa que le contrat conformément aux dispositions
légales en vigueur en la matière.

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B : DE LA RUPTURE DU CONTRAT DE TRAVAIL.

Article 10 : Toute rupture de contrat de travail doit faire l’objet


d’une notification écrite par la partie qui en prend l’initiative
suivant les conditions et modalités prévues le Code du Travail
en vigueur.

Article 11 : En cas de rupture, licenciement ou démission en


cours d’année scolaire, le personnel enseignant et l’employeur
sont tenus à l’observation des délais de préavis suivants :
- Pour les Directeurs : trois (3) mois ;
- Pour les autres membres du personnel enseignant : 1 (un)
mois.
La partie qui prend l’initiative de la rupture doit observer le
délai de préavis sous peine de verser à l’autre partie une
indemnité compensatrice ;
Le préavis doit être notifié par lettre recommandée avec avis de
réception ;
Sauf faute lourde laissée à l’appréciation de la juridiction
compétente, tout licenciement ou toute démission d’enseignant
en cours d’année scolaire est obligatoirement soumis à la
commission de réconciliation. Cette action ne fait pas obstacle
au droit pour les parties de demander judiciairement réparation
du préjudice causé.

Article 12 : En cas de licenciement, sauf faute lourde laissée à


l’appréciation de la juridiction compétente, l’enseignant licencié
percevra une indemnité de licenciement fixée conformément
aux dispositions du code de travail.

Article 13 : Les mutations effectuées par le responsable


National ou Diocésain, ne constituent pas un licenciement.

Article 14: Les licenciements collectifs non inhérents à la


personne du travailleur s’effectueront conformément aux
dispositions du code du travail en vigueur.

Article 15 : En ce qui concerne les délégués syndicaux, les


délégués du personnel et les membres des comités d’hygiène et
de sécurité, les parties s’en réfèrent aux lois et règlements en
vigueur

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C. DES COMMISSIONS PARITAIRES

C1 : DE LA COMMISSION DE RECONCILIATION

Article 16 : Il est institué une commission de réconciliation,


chargée de régler les différends ou conflits qui pourraient surgir
entre les deux (2) parties.
Cette commission renouvelable tous les deux (2) ans, est
composée comme suit :
a) Au niveau national :
Président : Le Directeur National ;
Membres :
- Un représentant des Directeurs diocésains élu par ses
pairs ;
- Deux représentants des travailleurs délégués par
l’organisation syndicale ;
- L’Aumônier National ou son représentant ;
- Un représentant des parents d’élèves.
b)Au niveau diocésain
Président : Le Directeur diocésain ;
Membres :
- L’Aumônier diocésain ou son représentant ;
- Un représentant des Directeurs d’école, élu par ses pairs ;
- Deux représentants des travailleurs délégués par
l’organisation syndicale ;
Un représentant des parents d’élèves.

C 2 : DE LA COMMISSION D’AVANCEMENT

Article 17 : Il est institué au niveau de chaque diocèse une


commission d’avancement composée comme suit :
Président : le Directeur Diocésain ;
Membres :
- L’Econome diocésain ou son représentant ;
- Un conseiller pédagogique ;
- Deux représentants titulaires des directeurs d’école élus
par leurs pairs ;
- Deux représentants suppléants des directeurs d’école ;
- Cinq représentants titulaires de l’organisation syndicale ;
- Cinq représentants suppléants de l’organisation syndicale.

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Les propositions d’avancement des commissions diocésaines
sont entérinées par le Directeur National de l’Enseignement
Privé Catholique.

CHAPITRE IV : DU CLASSEMENT ET DE LA


REMUNERATION.

A : DU CLASSEMENT

Article 18 : Le classement de chaque enseignant est fonction à


la fois de l’emploi tenu et de la qualification professionnelle.
Le personnel enseignant des établissements privés catholique
régis par la présente convention, est reparti suivant la
définition et la classification des emplois tels que prévus par
hiérarchies et corps des Statuts de l’enseignement public
national du Mali.

Article 19 : Chaque catégorie comporte des grades. Dans


chaque grade il y’a des échelons.

Article 20 : Le temps à passer dans chaque échelon est fixé à


deux ans, sauf pour le dernier échelon de chaque grade, où il
peut être ramené à un an.

Article 21 : Les avancements de grades et d’échelons se font


conformément aux principes de l’enseignement public national
du Mali et suivant l’article dix sept susvisé.

Article 22 : L’échelonnement indiciaire de chacune des


catégories d’enseignants est conforme à celui existant dans
l’enseignement public national du Mali.

B : DE LA REMUNERATION

Article 23 : La rémunération mensuelle du personnel


enseignant dans les établissements privés catholiques du Mali
est déterminée conformément à celle de leurs homologues de
l’enseignement public national du Mali.

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Article 24 : La rémunération mensuelle du personnel
enseignant comporte le traitement, les prestations familiales et
le cas échéant d’autres primes et indemnités. Outre ces
avantages pécuniaires, des avantages à caractère social en
nature peuvent être accordés à certaines catégories du
personnel et ou d’emploi.

Article 25 :
La rémunération du personnel enseignant dans les
établissements privés catholiques est exclusive de toute
prestation en nature, fournie à titre gratuit ou onéreux.
Toutefois, pour tenir compte des fonctions assumées par
certains agents et des charges particulières inhérentes à ces
fonctions, un accord écrit pourra fixer :
- la liste des prestations en nature ou en espèces pouvant
être allouées ;
- la liste des emplois ouvrant droit au bénéficie des
prestations en nature ;
- les conditions et les modalités d’octroi de ces prestations.
Les prestations ainsi allouées constituent un élément de
rémunération.

CHAPITRE V : DE LA DUREE DU TRAVAIL ET DES CONGES

A : DE LA DUREE DU TRAVAIL

Article 26 : La rémunération normale de plein exercice est


prévue pour un travail de classe d’une durée déterminée par la
législation scolaire nationale en vigueur, même si l’horaire
particulier d’une classe entraînait une durée inférieure.
Les directeurs et les adjoints doivent en outre assurer la
préparation de leurs cours, la correction des devoirs, la
surveillance des récréations.

Article 27 : Les régimes de récupération des heures perdues,


des prolongations de la durée normale du travail et des
équivalences, sont ceux fixés par la législation scolaire
nationale du Mali.

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Article 28 : Les heures effectuées au-delà de la durée légale
de travail sont considérées comme supplémentaires, et donnent
lieu à une majoration de salaire dans les conditions et selon les
modalités et les taux fixés par la législation scolaire nationale
du Mali.

B : DES CONGES

Article 29 : Le personnel enseignant de l’Enseignement Privé


Catholique bénéficie de congés payés dans les mêmes
conditions et conformément aux dispositions en vigueur dans
l’Enseignement Public national du Mali.

Article 30 : Ces congés payés sont accordés pendant les


grandes vacances scolaires.

Article 31 : La durée des vacances scolaires est celle fixée par
les textes règlementaires en vigueur dans l’Enseignement
Public national du Mali.

C : DES CONGES SPECIAUX

Article 32 : Conformément aux dispositions du Code du


Travail, des permissions exceptionnelles peuvent être données
dans la limite de dix jours par an, aux travailleurs à l’occasion
des évènements familiaux suivants :
- un mariage d’un enfant, d’un frère ou d’une sœur de
l’enseignant : 1 jour ;
- naissance d’un enfant : 3 jours ;
- décès d’un ascendant ou d’un collatéral, ou d’un enfant : 3
jours.
Ces permissions ne peuvent être déduites de la durée du
congé normalement acquis par les enseignants. Elles
n’entraînent aucune réduction du salaire du bénéficiaire. En cas
de force majeure, la direction de l’établissement pourra
autoriser une absence plus longue, mais elle devra en aviser
immédiatement le Directeur Diocésain.
Une absence non autorisée entraîne la suppression du
traitement correspondant à la durée de l’absence, sans
préjudice des sanctions.

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En cas de longue maladie, et sur avis du Conseil de Santé ou
d’un expert, l’enseignant a droit à un congé de deux ans, à
traitement plein, et un an de demi-traitement.

En cas d’accident de travail ou de maladie professionnelle


dûment constaté(e), l’enseignant victime a droit outre sa prise
en charge par l’Institut National de Prévoyance Social (INPS) à
un congé de trois ans à traitement entier, et de deux ans à
demi traitement. La Direction diocésaine a le droit de faire
visiter l’enseignant malade aussi souvent qu’elle le jugera utile
et sans préavis.

Article 33 : Toute enseignante en état de grossesse dûment


constaté a droit à la jouissance des congés de maternité tel
que prévus par la législation en vigueur(quatorze semaines ,
dont six semaines avant et huit semaines après
l’accouchement).

CHAPITRE VI : DES VOYAGES ET DES TRANSPORTS

Article 34 : En cas de mutation, l’enseignant des


établissements privés catholiques bénéficie des dispositions
prévues en la matière par le Code du Travail.
L’application de l’article du Code du Travail relatif à la classe de
passage et au poids des bagages, sont fixées conformément
aux dispositions du tableau suivant :

Classe de passage : + Train : 1ère classe


+ Bateau : 2ème classe
+ Avion : touriste
+ Route : transport en commun

Bagages : + Agent : 400 kg


+ Epouse : 200 kg
+ Enfants : 100 kg

CHAPITRE VII : DES MALADIES ET DES SOINS

Article 35 : L’employeur se conforme en matière


d’organisation médicale aux prescriptions du Code du Travail et
du Code de Prévoyance Sociale.

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Article 36 : L’employé malade qui est dans l’obligation de
suspendre son activité professionnelle est indemnisé pendant
la durée de la suspension dans les conditions fixées par les
Codes du Travail et de Prévoyance Sociale ainsi que l’article 32
(trente deux) dernier alinéa si haut visé dans la présente
convention.

CHAPITRE VIII : DE LA RETRAITE

Article 37 : D’accord parties, l’âge de départ à la retraite du


personnel enseignant dans les établissements privés
catholiques du Mali est fixé à :
- 58 (cinquante huit) ans pour la catégorie C,
- 59 (cinquante neuf) ans pour la catégorie B1 et B2,
- 60 (soixante) ans pour la catégorie A.
Les travailleurs ayant atteint l’âge de 55 (cinquante cinq) ans
peuvent cependant demander la liquidation de leur pension de
retraite.
Le départ à la retraite à partir de 55 (cinquante cinq) ans à
l’initiative de l’enseignant, ne constitue pas une démission.

CHAPITRE IX : DE LA DISCIPLINE

Article 38 : Un règlement intérieur déterminera les règles


relatives à l’organisation technique du travail, à la discipline,
aux prescriptions concernant l’hygiène et la sécurité et aux
modalités de paiement des salaires tel que prévu par le Code
du Travail en vigueur.

CHAPITRE X : DISPOSITIONS FINALES

Article 39 : La présente convention, après visa du Ministre


chargé du Travail, prend effet pour compter du jour qui suit son
dépôt au Secrétariat du Tribunal du Travail territorialement
compétent qui est celui de Bamako.

Article 40 : Sont nulles et de nul effet toutes clauses


antérieures contraires à celles de la présente convention.

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Ont signé :

Pour l’Episcopat du Mali,


Le Directeur National de L’Enseignement Privé Catholique.

Gabriel Nioumina BERTHE

Pour le Syndicat National des Travailleurs de L’Enseignement Privé


Catholique Pour le Syndicat National des Travailleurs de
L’Enseignement Privé Catholique.

M. Tiédiougou dit Jérôme DIARRA

M. Jean SAMAKE

Mme Aminata DABO

M. Issa SANOGO

Le Directeur National du Travail

Mahamadou DIAKITE

Le Ministre du Travail,
de la Fonction Publique et de la Réforme de l’Etat

Abdoul Wahab BERTHE

Le Président du Tribunal du Travail

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ANNEXES
ANNEXE 1 :
Pour les propres enfants des enseignants et pour leur(s) propre(s)
épouse(s), la gratuité des frais de scolarité est accordée dans tout
établissement de l’enseignement fondamental.
Pour les propres enfants des enseignants et pour leurs propres
épouses, en dehors de leur résidence, une réduction de 25 % des frais est
accordé dans les internats privés jusqu’à la 9 ème année. Pour les frères et
sœurs des enseignants, une réduction de 25 % est accordée pour chaque
enfant sur présentation d’un certificat d’emploi de l’Enseignement Privé
Catholique signé du Directeur de l’école où enseigne l’enseignant.

ANNEXE 2 :
La grille indiciaire des enseignants de l’Enseignement Privé Catholique du
Mali est identique à celle de leurs homologues de l’enseignement public
national du Mali (voir grille ci-après).
La valeur du point indiciaire est la même que celle de la Fonction Publique
Nationale du Mali.

GRILLE INDICIAIRE DES ENSEIGNANTS DE L’ENSEIGNEMENT


PRIVE CATHOLIQUE DU MALI
(Grille de la Fonction Publique en vigueur)

GRADES ECHELONS CLASSEMENT INDICIAIRE


A B2 B1 C
1 351 244 215 151
2 376 267 237 172
3ème classe 3 401 290 259 193
4 426 313 281 214
5 451 336 303 235
6 476 359 325 256

1 498 370 333 264


ème
2 classe 2 528 395 356 284
3 558 420 379 304
4 588 445 402 324

1 600 458 411 331


ère
1 classe 2 640 488 436 351
3 680 518 461 371

Classe 1 800 535 476 384


exceptionnelle 2 850 580 513 417
3 900 625 550 450

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