UN IV ER S I TE DE FI A NA R AN TS OA

EC OLE N OR MA LE S U PERI EU R E

Mention : Sciences de l’éducation

DEUXIEME ANNEE DE MASTER EN FORMATION D’ADULTE ET

DEVELOPPEMENT

FICHE DE LECTURE

FITAHIANA MAHAFALY Solofondray François

N° 19063/M2/SE/D

2019
 I.- CONCERNANT DES OUVRAGES SUR L’ÉDUCATION ET DÉVELOPPEMENT

Titre de l’ouvrage : Territoires et enjeux du développement régional

Auteur : Sous la direction de Amédée Mollard et Emmanuelle Sauboua et Maud
Hirczak
Édition : Editions Quæ
Collection : Update Sciences & Technologies
Date de publication : 2006
Nombre de pages : 240
Titre de page tirée : Développement régional et processus de production agricole pp. 137 à 141

Résumé

Les recherches PSDR portent sur les relations entre agriculture et territoire,
appréhendées dans un cadre régional. Il s’agit d’une part de mieux apprécier comment les
dynamiques d’évolution des activités agricoles régionales contribuent de manière plus ou
moins directe au développement des territoires. D’autre part, on renouvelle l’analyse des
processus de production agricole en recherchant ce qui, dans l’ancrage local ou régional d’un
type d’agriculture, peut constituer des facteurs, favorables ou non, de durabilité de son
développement.

Titre de l’ouvrage : L’évaluation, levier du développement professionnel ?

Tensions, dispositifs, perspectives
Auteur : Sous la direction de Léopold Paquay et Catherine Van Nieuwenhoven et
Pascale Wouters
Édition : De Boeck Supérieur

Collection : Pédagogies en développement

Date de publication : 2010

Nombre de pages : 328

Extrait : Introduction. L'évaluation, frein ou levier du développement

professionnel ? pp. 8 à 34
Résumé

Les pratiques d’évaluation dans le monde professionnel et dans le monde de la

formation sont nombreuses et diverses. Leurs visées le plus souvent affichées sont d’améliorer
les processus de production et/ou de certifier l’atteinte d’objectifs. Parfois aussi tout
simplement de contrôler la qualité du processus ou du produit. Mais quelle que soit leur visée,

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ces pratiques d’évaluation ont-elles des effets sur les personnes (les employés de l’entreprise,
les formés...) ? Peuvent-elles contribuer à un développement de compétences de ces acteurs
engagés dans un travail ou dans un projet de formation ? Si oui, à quelles conditions ?

Titre de l’ouvrage : Le pari des sciences de l'éducation

Auteur : Rita Hofstetter et Bernard Schneuwly

Édition : De Boeck Supérieur

Collection : Raisons éducatives

Date de publication : 2001

Nombre de pages : 352

Extrait : La recherche expérimentale en éducation de 1890 à 1940 pp. 29 à 56

Résumé

Il nous semble qu'on peut soutenir la thèse que l'historiographie de l'éducation a été
jusqu'à présent « aveuglée » par les préoccupations auto-justificatives des pédagogues, ce qui
explique d'ailleurs pourquoi la relation entre la recherche pédagogique et le contexte social a
longtemps été négligée et souvent mal comprise. Selon nous, ce constat s'applique non
seulement à la période pour laquelle nous avons élaboré une étude d'histoire comparée sur les
origines et le développement de la recherche dite « expérimentale » dans l'éducation
occidentale (Depaepe, 1993), mais également à notre époque

II.- CONCERNANT LES ARTICLES SUR LES MASS MEDIAS,

LA PUBLICITÉ ET LES RÉSEAUX SOCIAUX

Titre de l’article : Les médiamorphoses du (néo)libéralisme. Propagande, idéologie dominante,

pensée unique
Auteur : Geoffrey Geuens

Édition : Dans Quaderni 2010/2 (n° 72)

Date de publication : 2010

Nombre de pages : pages 47 à 48

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 Résumé

Forme impalpable de l’idéologie, la « ?pensée unique? » (Néo)libérale est le symbole

d’un marché désincarné et sans visage, évoquant une représentation insaisissable du pouvoir,
entre dispersion et disparition, dissémination et dissolution? ; L’exact opposé, en quelque
sorte, de l’imaginaire propagandiste en tant qu’il renvoie lui à une représentation
instrumentaliste et intentionnaliste du pouvoir. Agissant par simple contagion, sans médiation
institutionnelle, la « ?pensée unique? », concept anhistorique et anti-sociologique, procède
donc d’une forme d’aliénation de l’idéologie. La présente contribution montre également
comment, confondant un système économique avec sa justification philosophique, adversaires
et tenants de la globalisation (néo)libérale, se révèlent être les deux pôles d’un même discours
englobant. En ce sens, si l’utopie de la société de marché est étrangère au capitalisme réel, elle
remplit néanmoins une fonction bien précise : confondre ce dernier avec sa justification
philosophique, qu’on la qualifie de propagande, d’idéologie dominante ou encore de « ?
pensée unique? ».

Titre de l’article : Publicité et déontologie

Auteur : Joël Moret-Bailly

Édition : Dans Les Tribunes de la santé 2014/4 (n° 45)

Date de publication : 2014

Nombre de pages : pages 31 à 36

Résumé

Les déontologies visent notamment à distinguer les professions qui en sont dotées des
activités commerciales. Les règles relatives à la publicité (en général prohibée) constituent,
dans ce contexte, tant un éloge de la discrétion qu’une réglementation de la concurrence
professionnelle. L’objectif réside alors dans l’information du public la plus objective possible.
La réglementation déontologique s’applique, en outre, au-delà des professionnels, notamment
aux personnes morales qui les emploient. Elle pourrait, enfin, évoluer du fait des conceptions
européennes.

Titre de l’article : Le rôle des réseaux sociaux dans la création d'une activité financière

Auteur : Élise Penalva Icher

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Édition : Dans Management & Avenir 2009/7 (n° 27)

Date de publication : 2009

Nombre de pages : pages 106 à 118

Résumé

Dans cet article, nous profitons d’un objet d’étude encore récent et incertain, le marché
financier de l’investissement socialement responsable (ISR), pour examiner le rôle de
relations sociales. On observe qu’il existe des stratégies relationnelles de la part des acteurs
financiers. Ces stratégies leur permettent d’organiser la sous-traitance : en évitant une forme
de sous-traitance « en cascade », ils peuvent ainsi acquérir plus d’autonomie. Cette autonomie
fait d’eux des entrepreneurs institutionnels du marché. En les qualifiant, elle qualifie
également les valeurs qu’ils soutiennent pour établir l’outil de gestion qu’il manque encore à
ce marché qui cherche ses propres procédures.