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adwait kulkarni 1

Calcul de la durée de vie d'un


volant d'inertie réalisé en acier
nitruré
adwait kulkarni 2

L’objet du TP :
L’objet de ce TP est de calculer la durée de vie d’un volant d’inertie réalisé en
acier nitruré. Pour cela, on a des relevés de données qui ont été effectués et
recueillis dans un tableur Excel. En exploitant ces données on va obtenir des
modèles de la pièce étudiée.

1. Spectre de charge :

Le spectre de charge est disponible sur Excel (la vitesse de rotation Vs Temps),

Ici, on utilise la méthode du RainFlow. On supprime plusieurs points avec la


même valeur.

On utilise une fenêtre flottante de 4 points pour trouver un cycle équivalent en


charge à celui fourni dans les données.

On considère que l’on a un cycle si pour ces 4 points on a :

∆23≤ ∆12

et ∆23≤ ∆34

Et on obtient,

On obtient aussi Matrice des extrema :

cycle/cyc ω+
le 0 ω -2000 ω 2000
0 0 0 0 résidu
ω -2000 2 2
ω 1
ω+
2000
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2. Courbe de contrainte résiduelle – lissage

Ici, on a les données de Nitruration. Les contraintes résiduelles ont été observées
dans le matériau. On souhaite ici effectuer un lissage de ces valeurs. Pour cela,
on utilise la méthode de moindres carrés.

On a

σicalc=a0+a1.profi+a2.(profi)2+…+a9.(profi)9
δ est donné par,

δ=((σicalc-σiexp)²)Nbre points-Nbre paramètres

On obtient,
δ min = 11,63

a0 a1
-308,111111
-345,564094 84,7987286
On trace la superposition des contraintes résiduelles calculées et expérimentales
en fonction de la profondeur, on obtient

-83,5823065 -1629,099
On constate que la qualité du lissage est en effet de bonne qualité, les deux
courbes étant quasiment identiques.

-0,00011743 0,00581588
3. Calcul de la profondeur
On veut calculer la profondeur du matériau.

-77,1072005 -1432,5429
-48,2083629 -2761,4780
-50,0027297 -2611,5489
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5
6
1 7
9
3 4

2 8

Pour cela il faut délimiter la pièce avec les critères suivants, ceux-ci pris
aux limites de la pièce :
1) X-30
2) 30+z
3) et 4) si z<-18 alors min (|45-x| ; |115-x|)
5) r=x-552+(z+18)² ; r-10
6) r=x-1052+(z+18)² ; r-10
7) si x≥55 et x≤105 ; 8+z
8) si x≥115 ; 25+z
9) 125-x

Après calcul dans Excel, on obtient bien des valeurs profondeurs entre 0 et 1
mm. On constate également qu’au-delà d’1 mm du bord de la pièce, la pièce
n’est plus affectée par le traitement de nitruration.

4. Essais de fatigue
Ici, on va utiliser le critère de Crossland. On a les données des contraites
alternées de Von mises ainsi que la pression hydrostatique, pour un certain
nombre de cycle.

On trace alors la contrainte de Von mises en fonction de la pression


hydrostatique afin d’obtenir la pente du critère de Crossland. Dans notre cas et
pour le matériau nitruré, on différencie le matériau à cœur et en surface.

P R
-
en 305,58037
surface: 8 -0,4324
-
0,990133
au cœur: 168,56492 33
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Ici, on fait l’hypothèse que dans la couche nitrurée, la dureté est fonction
de la profondeur suivant une loi linéaire, puis la dureté reste constante dans le
matériau à cœur.

➢ Courbes de Wölher

Dans notre étude, on modélisera le critère de Crossland par la formule :

σalt Mises=α N×Phmax+β (N)

Avec α la pente du critère et β l’ordonnée à l’origine :

α=σ2-σ1p2-p1

β0=σ2.p1-σ1.p2p2-p1

Dans les données fournies, on peut distinguer 4 parties :


– Matériau de base en surface R=-1
– Matériau de base en surface R=0,05
– Matériau nitruré en surface
– Matériau nitruré à cœur

Dans ces quatre cas, on trace σalt en fonction de N, et on lisse chaque


courbe pour en déterminer les coefficients Ai, Bi, Ci et Di :

711,3761 81256,67
A=
14 C= 76
1,38E+1 3,339465
B=
9 D= 7

Et on obtient,

δ= 42,27

461,8835 98688,97
A=
54 C= 45
5,3354E D= 2,283670
B=
+13 98
δ= 36,74
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1056,891 4664,173
A=
82 C= 76
12013,79 D= 0,346449
B=
δ= 61 42,3 79

497,2959 1,020223
A=
81 C= 3
8037,633 D= 0,300932
B=
δ= 45 31,03 04

➢ lissage global :

Comme pour les contraintes résiduelles, deux méthodes de lissage


existent. La première a été de lisser chaque courbe une par une et ainsi
récupérer un premier résultat.

De même, il existe une seconde méthode consistant à modéliser la pièce


dans son ensemble et d’effectuer le lissage sur toutes les données.

Cette seconde méthode s’appuie sur la première dans la mesure où les


valeurs des Ai, Bi, Ci et Di vont servir de point de départ pour le solveur dans cette
méthode globale.

On a maintenant :
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σalt Mises=α N, matériau×Phmax+β (N,matériau)

Dans le matériau nitruré, on a les relations suivantes :

σ=321-R(p-p0)

p=2σ3(1-R)+p0

Ici, R et p prendront les valeurs calculées précédemment :

P R
-
en 305,58037
surface: 8 -0,4324
-
0,990133
au cœur: 168,56492 33

P0 étant la valeur du décalage à l’origine.

Avec ces formules précédentes, on trouve :

σ=α.p0+β1-32α(1-R)

Il reste donc à calculer α et β.

• On choisit que α ne dépend pas du matériau, soit :

αN,matériau=αN=σ1-σ2p1-p2

• On choisit que β sera linéaire en fonction de la profondeur, soit :

β=β0+β1.prof

En surface, on a prof=0 (en surface), d’où :

β0=σ2.p1-σ1.p2p2-p1

De même, pour une profondeur de 1mm (à cœur), on a :

σc=α.profc+β0+β1

β1=σc-α.profc-β0

β1=σc1-2.α31-Rc-α.profc-β0

De même que pour les contraintes résiduelles, on utilise la méthode des


moindres carrés pour calculer δ, soit :

δ=((σicalc-σiexp)²)Nbre points-Nbre paramètres


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Afin de calculer la durée de vie du disque, on utilise la règle du cumul


d’endommagement. Dans notre expérience, on vient de voir que l’on a 4 cycles
différents :

➢ Cycle 1 : de ω-2000 à ω
➢ Cycle 2 : de ω-2000 à ω+2000
➢ Cycle 3 : de ω à ω+2000
➢ Cycle 4 : de 0 à ω+2000

Le but ici étant de déterminer par le calcul la contrainte alternée de Von


Mises ainsi que la pression hydrostatique max pour obtenir le critère de fatigue
qui est le nombre de cycle Ni( i=1,…4). On obtient cette valeur en résolvant
l’équation :

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