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OU
PRÉCIS DE GEOMETRIE
FONDÉE
DES
PARALLÈLES
PAR
9. Laliatehelfshat,
KASAN
IMPRIMERIE DE L'UNIVERSITÉ.
1855 .
k 19
Напечатано по опредѣленію Совѣта и микрлторскаго Казанскаго
Университета , 1888 г. Мая 21 дня .
Секретарь Совѣта В. Оковь .
MU
H SE
TIS UM
BRI
3
PANGEOMÉTRIE .
1
4
II (p) + 11 (-p) =
ainsi pour tout angle A > o et < t on pourra trouver une ligne p
T
telle que TI ( p) = A , où la ligne p sera positive si A < Recipro
quement il existe pour toute ligne p un angle A tel que A = 11 (p ).
j'appelle cercle limite le cercle dont le rayon est infini , il pourra
être tracé par approximation en en construisant de la manière sui
vante , autant de points qu'on voudra. Prenons un point sur une droite
indéfinie , nommuns ce point sommet et cette droite axe du cercle
n
Supposons d'abord que E = m, n etant deux nombres en
m
tiers, divisons l'arc s en m parties égales. Par les points de division
menons des droites parallèles à l'axe des cercles limites, ces paral
lèles diviseront chacun des arcs s' , s " etc. en m parties égales entre
elles. Soit AB la première partie de s, A' B' la première partie de s ',
A ' B ' la première partie de s " etc. Å , A' A .... les points situées
sur l'une des parallèles données et posons A' B' sur AB de manière
que A et A ' coincident et que A' B ' tombe sur AB. Répétons cette
S n
il
superposition n fois de suite . Puisque par supposition 52
S. "
s' = S E
P' = PE "
1 -E
1 -E
rique rectangle dont les côtés sont II ( B ), I (c), 1](a) et les angles
rectangle dont les cotés perpendiculaires entre eux soient a ' , a , dont
l'hypotenuse soit g, dont II (a) soit l'angle opposé au coté a et II ( u )
l'angle opposé au coté a '. Passons de ce triangle au triangle sphéri
que qui lui correspond de la même manière que le triangle sphérique
kmn correspond au triangle ABC. Les cotés de ce triangle sphérique
seront conséquemment
II ( u) , II (g ), JI ( a)
et les apgles opposés
11 ( '), 17 ( a '),
et il aura ses parties égales aux parties correspondantes du triangle
sphérique k mn, car les côtés de ce dernier étaient
IT ( C) O ( B) II ( a)
et les angles opposés
JT
17 (6 ), II (a') , 2
II (a) II (B)
---
--
-
- 11
Dans le triangle dont les côtés sont les arcs de cercle limite
P, 9, 1 nous aurons
p = r sin II (Q ); q = r cos II (a )
En multipliant la première de ces deux équations par Eribi il viendra
p Ef (0 ) = r sin II (a ). Erib) ,
Mais
p Emb) = L (a)
L (6 ) = r sin II (B )Erla )
.
e, cela donnera, en remarquant que f(o) = 0 et 1](n) =
1 = sin IT ( c ) Eric ) ou
1
Er( c)
sin II (C)
pour toute ligne c.
cos II (a ) = sin II ( B ) E (R )
1
et substituons y à la place de Erin ), elle prendra la forme
sin II ( a)
suivante
cus II (a ) sin II (a ) = sin II (B ) (2)
4
=
si on devra avoir a = ; A
(
A
)
cos p sin D = cos B
cos x sin B = cos D
(
)
C
cosB = cos p sin D
cos D = cos x sin B
Les équations ( 6), (7) , (8 ), (9) sont les mêmes qu'on donne or
dinairement dans la trigonométrie sphérique et qu'on démontre à l'aide
de la géométrie ordinaire.
tang : II ( x ) =
cos 11 (x ) =
e
19
cos [ (x ) + cos II ( y)
cos II (x + y) = 1 + cos n (2) cos II (y)
1 x
cos Il (x) -COS (y)
cos II (x - y ) =
cos ( ) cos II ( y)
sin II (x) sin I ( y)
tang II (a + y )
cos 11 (2) + cos (y ).
aurons pour tout triangle rectiligne rectangle , dont les côtés sont
sés B, C - D,
ima
sin 0 ( 6 )
sin I (P) = sin 11 (c )
1
équations qui ont été démontrées pour tout triangle rectiligne rec
tangle. Si la perpendiculaire p tombe hors du triangle sur le pro
longement de c , et ajoute une ligne x à la ligne c et un angle D
à l'angle C , il se forme deux triangles rectangles, les côtés de l'un
Les équations ( 13) , ( 14) sont aiosi démontrées pour tout trian
gle rectiligne.
cos 77 (0) + cos II (a) cos I7 (6) cos IT (c) cos A cos B — cos / 7 ( a) cos B
cos IT (6 ) cos A = 0.
De la même manière nous trouvons
cos II(a) + cos TI (a) cos II (6) cos II (c) cos B cos C - cos II(6) cos C
-
cos II (c) cos B = 0.
cos ' II (a )
{ cos A + cos B cos C } ' = { cos C + cos A cos B } '
cos ' II (c)
Divisant les deux membres de cette équation par sin ' C -- sio’A
el extrayant la racine carrée il viendra
sin B sin C
sin II (a )
cos A + cos B cos C
23
équation sont tous les deux positifs . En effet 17(a) < , BCA ,
( < a, d'où il suit que les sinus de ces angles sont positifs ; ensuite
cos } (A + B + C)
sera positif ainsi que
cos } ( B + C - A ),
en ajoutant à chacun des deux membres de la dernière équation le
nombre positif sin B sin C nous trouvons
{ 1 — cos Il (a) cos I7 (b)cosC } {1 — cos TI( )cos [7(c) cos A = sinºIT6)
à laquelle on peut après l'exécution de la multiplication indiquée dans
le premier membre donner la forme suivante :
cos ' II (6 ) - cos II (a) cos II (6 ) cos C - cos II (6) cos II (c) cos A
cos II (6) + cos II (a) cos II (6) cos II (c) cos A cos C - cos. II (a) cos 6
cos II (c) cos A = 0. ( 1-7 ).
Mais nous trouvons d'après l'équation ( 13)
1
(
)
sin B sin C
9
cos A + cos B cos ( =
sin II (a)
cos II (6)
cođang A sin C sin II (6 )+ cos C =
cos II (a)
cos II (2 ) = %.
a = b + c - 2bc cos A
cos A + cos ( B + C ) = 0
a sin (A + C) = b sin A.
25
A + B + C = .
2 = le te je
OU sin II (y) = tang : 17 (x ).
En substituant dans cette équation au lieu de sin ' J7 (a), 1 + cos (a)
leurs valeurs en tang II (a ) et en introduisant la valeur de tang ' | (a)
tirée de l'équation ( 21 ) il vient
2 tang ? II (y)
sin II ( 20) sin IT (y) =
1 + 2 tangº II ( 4)
et ensuite
2 sin II ( )
sin II ( 20) =
+ sinº II ( 4)
d'où nous déduisons
1+ sin II (y) }
2 cos ' } ] (a' ) =
1+ sin II (y )
1 sin II (y) }
2 sin ’ } II (ac'
1+ sin II (y)
En divisant la dernière de ces équations par l'avant - dernière
et extrayant la racine carrée , nous aurons
1 - sin II (y )
tang 3 ( ') =
1+ sin II (y)
1 - tang ; II ( ac ')
d'où sin II (y) =
1 + tang į II (ac')
et par conséquence
sin 17 (y) = tang : IT ( )
comme nous avons trouvé plus haut.
21
sin tang II (p) = tang II ( r)
n
Mais il est connu que
291
limmsin = 27
{ 12 }
pour n = 00 , tandis que
1 2
lang I (P ) =
ne?-05)
et n
( 2_2 = 2np
avec une approximation d'autant plus grande, que n est plus grand
et conséquement p est plus petit . Après quoi
circonférence (r) = np = 21 cotg II (r )
c'est à dire circonférence (r) = (é - e
= ")
ce qui donne pour r très petit
circonférence (n ) = 271
comme dans la géométrie ordinaire.
Déterminons encore l'arc s de cercle limite au moyen des co
ordonnées: y perpendiculaire abaissée d'une extrémité de l'arc s sur
l'axe menée par l'autre extrémité, x partie de cette axe comprise
entre le sommet de l'arc et le pied de la perpendiculaire. Soit c la
corde de l'arce s ; soient de même c , C , C, ..... les cordes des arcs
1 1 1
Nous avons démontré plus haut ( équat. 21 ) que
7 % zas, 22
cotg II (y) = 2 colg II ( ; c ).
semblablement on a
cotg II (1c) = 2 colg II (10. )
cotg II(56,) = 2 cotg II (10,)
cotg ( c ) = 2 cotg 11 ( c )
C, - A.
C
29
cos II (y)
cos II (r) { tang 1- tang II (a) cos II x ) }
où « est la distance entre les deux arcs s et s ' . Cette équation mon
tre que la constante E , introduite plus haut pour désigner le rap
port constant de deux arcs de cercle limite compris entre deux pa
rallèles, dont la distance est égale à l'unité, est égale à e , c'est
à -dire à la base des logarithmes Népériens.
ce qui est par conséquence l'équation d'une droite qui passe par
l'origine des coordonnées e et fait un angle L avec l'axe des x , ce
qui s'accorde avec l'équation ( 10 ) .
Considérons maintenant un quadrilatère , dont deux côtés a, y
sont perpendiculaires au troisième côté X. Soit c le quatrième coté
et o l'angle entre a et c tandis que l'angle entre c et y est droit.
Menons la diagonale r qui passe par le sommet de l'angle 9 et par
le sommet de l'angle droit opposé. Cette diagonale divise le qua
drilatère en deux triangles rectangles. Les côtés de l'un de ces deux
(
H
)
sin II (y ) cos (9 - X) = cos A
ce qui est toujours possible tant que L > II (a ), c'est - à -dire tant
que la droite ne coupe pas l'axe des X. Portons cette droite l sur
l'axe des a à partir de l'origine des coordonnées du côté des « po
sitifs ou négatifs selon le signe de l. Érigeons à l'extrémité de la
ligne l une perpendiculaire à l'axe des x , prolongeons la jusque à ce
qu'elle rencontre la ligne donnée et soit b la partie de cette per
pendiculaire comprise entre la droite donnée et l'axe des x . L'angle
sous lequel cette perpendiculaire rencontrera la droite donnée doit
être druit d'après l'équation (26 ). Si nous convenons maintenant de
prendre le pied de la perpendiculaire b pour origine des coordonnées,
nous aurons d'après l'équation (25)
cos II (6) = cos IT (y ) sio II ( x) (27 )
ce qui est l'équation générale d'une droite qui ne coupe pas l'axe
des x . Nous pouvons poser dans cette équation y = a et en même
temps x = -l ce qui donne
sin II (y )
de "
ds =
V dy? +
sin II (y )
Pour le cercle limite on a
.
sin D (y) =
Veda — 1
s = Ve**
ou autrement $ = cotg II (y )
ds = do cotg II (r ) ;
NT
en intégrant depuis p = 0 jusqu'à 8 = et en multipliant le résul
2
tat par 4 nous trouvons l'expression suivante de la circonférence du
cercle de rayon r
20 cotg II (r)
qui coïncide avec celle que nous avons trouvée plus haut.
20 cotg D (y )
d'où il suit que
s = cotg 1 (y)
e dx colg II (y )
ds
e- 1
sin II (y) = e
ds =
cotg IT (y ).
음1 dy cos II (y) colg
37
Après quoi nous trouvons pour l'aire comprise entre deux droi
tes parallèles, dont l'une perpendiculaire à y , menées par les deux
extrémités de y et prolongées indéfiniment du coté du parallèlisme,
la formule
In — II (y).
A l'aide de cette formule nous pouvons déterminer l'aire d'un
triangle rectiligne en fonction des aogles de ce triangle. Soient pour
cela les côtés du triangle a, b, c et les angles opposés A = II (a ),
IT
B = 0 ( B ), 2; prolongeons l'hypotenuse c au delà du sommet de
N — II ( B )
= fi- II (6).
JT
Après quoi la somme de I (B) et de -100) dimi
2
N
puée de -- If (c + B) sera l'expression de l'aire du triangle, qui
2
38
- 11 ( 6) — || ( B) + 11 (c + B) .
Mais nous avons démontré que
II (b) = II (a) + II ( c + B ).
En substituant dans l'expression de l'aire du triangle rectiligne ,
rectangle celle valeur à la place de TI (6 ), l'expression de cette aire
prend la forme suivante
— II ( a) — II (B)
c'est - à -dire que l'aire d'un triangle rectiligne rectangle est égale à la
différence entre deux angles droits et la somme des trois angles du
triangle ; d'où il suit encore que l'aire de tout triangle rectiligne est
égale à l'excés de deux angles droits sur la somme des trois an
gles du triangle. Cela suit de ce que l'aire de tout triangle rectiligne
est la somme des aires de deux triangles rectilignes rectangles.
Il est facile de déduire de ce qui précède , que l'aire de tout
quadrilatère est égale à l'excés de quatre angles droits sur la
somme des quatre angles du quadrilatère et en général que l'aire
de lout polygone de n cotés est égale à l'excés de ( n − 2 ) It sur la
somme des angles du polygone.
di cos II (a)
ſ
V sinº II (2) cosº II (a )
ce qui donne
dar
11 - w = cos II (a) J (N)
Vcos II ( ) - cos' II (a)
L'aire d'une courbe plane peut - être divisée en éléments par des
droites toutes parallèles à une droite donnée par exemple à l'axe des y.
Si nous menons par l'extrémité de l'abscisse x une droite parallèle
à l'axe des y , cette droite fera avec l'axe des a un angle = [ (x );
la droite menée par l'extrémité de l'abscisse ac + dx fera de même
avec l'axe des a un angle égal à II (x + d.r), d'où il suit que l'aire
- 40 -
d'où il suit que la partie de cette aire qui est située entre la courbe
et l'axe des x , c'est - à - dire l'élément de l'aire de la courbe, aura
pour expression :
ds = - ( 1 — e - ) d II (w ).
Pour calculer l'aire d'un cercle de rayon r , il faut dans l'ex
pression générale de l'élément de l'aire d'une courbe trouvée aupa
ravant, expression qui élait
ds = dx cotg II (y)
27 I let ? ")?
sin II (r) a
-as sin II (r )
41 -
- =
V cos ' A - cos T ()
42
N sin A
C = arc sin
sin II (c)
cos II ( 2)
cos II (r)
COS A
CUSIA(177
sin II (r) = VaccCos ) )
1 1 cotg* IT (0 )
cos II(X )
sin II ( y) 11 - COS a )
sin II (2) sinº (2 ) cos A
sin A cos II (0 )
ctg TI (y)
이의
sin A - cos ? II )
trouvons
sin A sin w
cotg IT (y)
v sin A — sina
43
tang w do
hla
A - B sin A
V sin ’ A - sin ’ w
ds = d] (a -- B - « ) ( 1 - 6-4 ).
- 44
cos [ (2 )
cos 0 (u) =
cotg Csin w sio [ (x ) + cos w
puis
cotg C sin w sio II (x ) + cos w + cos II (2)
e²u
cotg C sin ( sin II (x ) + cos w - cos II ( )
Mais
sin II ( B — a )sin
sin II (x) = sin {( — a) ( - a + )}= 1 cos II(8 — a)cosw i
\cos II (B - a ) - cosa
cos II (x ) =
1 - cos II ( B- a) cos w*
eu =
dll (a - B - x ) == Q (B - a + x)=
= -dw
1- A - B - C = -W +
Saw cotge sin 11( .-— a)sin "( 4.2 cos6—(1 + cosºc»)cos/l(B — a)
cotg Csio II (B - a) sinºw + cos II (B - a )sin’
45
n = cotg D (y)
% = cotg II ( 3);
el = sin II (2 ).
Les aires des surfaces courbes ont pour mesure la somme des
aires des triangles, qui forment un reseau continu dont tous les som
mets sont situés sur la surface. Cette mesure sera d'autant plus exacte
que les dimensions des triangles seront plus petites.
2 11 (6) = II (0 + B ) + 11 ( - B);
2 II (B ) = (c - a) — 1 (c + a ).
2 ( c) = 1 ( a - a') - II a + a')
De la méme manière un a
2 11 (a ) + 2 [l (B = A- 2 (a' +6 ') ,
après quoi l'aire du triangle A est donnée par l'expression suivante :
tang 3A = e-de- 8 =
eito + 1 ek + 1 e- * + 1 +
tang S =
e® 1 ec 1 ek
et + 1 °C - + 1
lang Sa (028 — 1 ) ( eº — 1 )
i
(ec + 1) (ek + 1)' + 2ek ( eu — 1) (ec * -
1) (ec- 1)
cette formule donne , si l'on néglige les puissances supérieures de
s, h, c vis à vis des inférieures
Sach
4
50
1 1 1 2
-1
P== V sin II ( a ) sin' II (6) sinº II (c)+ sin (a)sin I( ) sin (6+
51
1 1
P= 2 1+ 1 + 17
sin II (a ) sin 11 ( 6 sin II (C)
2
1
+ +
sin II (a) sin II (0)
1 1
cos B = lang II (c) tang II (a) { sin 11(
C) sin 11(
a)
sin II (6 )
1 1
cos C = tang II ( a) tang II (b) { sin II(a) sin II(6
)
sin II
52
2 cos' } (A + B +
C) = tangº II (6) tang' 17 (c) P
+
tang I7b)tang'77(c)PJ 1 1 1
1 ܐܘ
sin II (6 )sio 17 (c) sin /7a) (ܬܬܘc)
sin /76) ܘsin
+1 '
sipII a )
1
1 + c ; tang 1 ( @ ) = (1 - 4 )
sin II (c )
sin ; 0 = : ya + e
a ' + bºt c
V 2
sin II (y)
dy {sin
sinº II (3) + dy "
Chrym }
dos 1 dz 1 dz 1
Card +
duc dic 2 sin ( 3) dac sinº II ( y) dy
do + sin ’ 1y) sinº I (7 )
= f (x , y).
dy = cos II ( )
et ensuite
sin C (r)
Multiplions par d II (y) et intégrons depuis sin II (y)
sin II(a )
jusqu'à II (y) = \ 1 , il viendra :
ds cos II (r)
= 22 sin II ( 0)
d II (0) sinº II (r )
Posons
cos y = tang U (r) cotg II (y)
sin
cos 11 (x ) = cos (r) sin
et introduisons les nouvelles variables y, 9 au lieu de x, y dans
l'expression de l'élément de la surface de la sphère de rayon r que
nous avons en vue.
Nous trouvons
= 0 = 2
donnera la surface de la sphère entière. En égalant celle expression
de la surface de la sphère entière à l'expression de la même surface
que nous avons trouvé plus haut , nous concluous que
M
T
dy ſ do siny vī cos 11 ( r) sinº W sinº
( 30 )
sin 0 (r) ſ du Sap 1 — cosº II (r) sinº y
E ( a ) = ſdp V1 — «?sinº
πα dx E (x)
sin II (r ) = s
(1 — °) Vaº -
dy do sin y sin R
TRE
SS
11 — sin ' y sing sinº R
1+ sin q sin R
p log
AR = d
S sin 9 sin sin R
67
1
e + 1 + 2e sin R
R = do log
၂ ။ e 220 + 1- 2e sin R
R (ea ! - 1 ) e". x da
N ( 31 )
sin R fo + 2e * cos 2 R + 1
Flo
e x dx
n =
81
dy log cotgi y = 0
x dx
کل = jI a .
et - a + e - * +
(e - e- ) x dx
: e2 * tema te- a + e- ** ca Idea )
On a donc
d P = dž dn dy.
cotg II (y ) = ne - P
es - 00 = sin 0 (7) sin 0 (y )
on trouve
dn 1
; dut = ds :
dy sin II (y) sin II (3)
d'où il suit que
d' P 1
2 colg R'
S = Se - 40
les axes d'une surface de sphère limite, axes qui sont menés par
tous les points du contour d'une partie de cette surface infiniment
petite dans tout sens.
sin =
K
Toutes les fois que l'observation aura donné pour une étoile
par rapport à laquelle l'angle désigné par dest zero , deux angles
a, ß différents les deux dernières équations donneront x et a expri
més au moyen de la ligne prise pour unité dans la Pangéométrie.
Ayant ainsi la ligne » qui correspond à un angle de parallèlisme
[ i (20) on pourra calculer l'angle de parallèlisme a (y) pour toute
ligne y donnée .
20 JU 81
M
BUSEU
.
ERRATA .