ETUDE DE CAS HAPPY HOTEL

Q1 : LES DIFFERENTES THEMES ABORDEES

1. L’identification des différentes problématiques et enjeux du projet
2. La critique du système de gouvernance
3. L’analyse de la situation et les résultats dudit projet
4. Le projet sera-t-il rentable ou utopique à réaliser
 1. L’IDENTIFICATION DES DIFFERENTES PROBLEMATIQUES ET ENJEUX DU PROJETS
Pour ce qui est de ce cas, nous dégageons les problématiques suivantes :
 Comment arriver à concilier vie professionnelle et vie privée des salariés ?
 Et par la suite pour l’entreprise comment se faire une publicité et rendre ses offres
d’emploi attractives ?
Concernant les enjeux, HAPPY HOTEL se lance dans une innovation sociale en mettant en
place un projet de crèche d’entreprise afin de conserver d’abord son image de marque,
ensuite d’accroitre l’efficacité et la productivité des collaborateurs en les impliquant et enfin
de réduire le taux d’absentéisme.
Compte tenu des résultats des enquêtes, nous pouvons déjà dire qu’il y a des difficultés du
côté des employés qui sont entre autres un manque d’information sur la mise en place du
projet (extrait de l’entretien7), Une non-compréhension des attentes du projet. Par ailleurs
coté employeur nous pouvons évoquer la non-considération des attentes de certaines
parties prenantes (extrait de l’entretien 7, et 5) et aussi la diversité des opinions vis-à-vis du
projet.
Pour ce qui est des conséquences, nous pouvons faire allusion au désintéressement des
salariés face au projet (extrait entretien 9, 3 et 5), la nom implication pour le projet.

2. LA CRITIQUE DU SYSTEME DE GOUVERNANCE

L’entreprise veut améliorer les conditions de travail de ses salariés mais pour conduire un
changement, certains aspects sont à prendre en compte par exemple mener une réflexion
préalable pour accompagner les collaborateurs car happy hôtels s’est confronté à des
résistances cognitives certains pensent ne pas être concerner donc ne voit pas l’utilité du
projet et concernant les failles du système de gouvernance, les managers n’ont pas pu
prendre en compte toute les attentes des acteurs du projet il devait sensibiliser et
responsabiliser les salariés en leur impliquant totalement dans le processus.
En se mettant dans la peau du dirigeant, nous aurions organisé le projet en fonction des
informations et revendications des parties prenantes c’est-à-dire tenir compte de leurs
exigences concernant leurs vies personnelles dans l’aménagement du temps de travail afin
de leurs permettre de concilier vie professionnelle et vie privée.
 3. ANALYSE DE LA SITUATION ET DES RESULTATS DUDIT PROJET
Concernant le niveau de satisfaction entre la conciliation vie personnelle-professionnelle, il
en ressort que 57% des salariés sont plutôt satisfait (Tableau 1). Aussi, nous remarquons que
comme la pyramide de Maslow l’indique les besoins d’appartenance passe avant les besoins
de réalisations donc la famille occupe une place plus importante dans leur existence
contrairement à leur vie professionnelle même si celle-ci représente un impact considérable
dans leur vie personnelle.
Pour la plupart des salariés afin de mieux les aider dans leur vie professionnelle, l’idéal pour
l’entreprise serait d’octroyer des services offerts de type crèche cofinancées par l’entreprise
(30% Tableau 4) ainsi qu’un service d’aide occasionnelle à la garde des enfants (28% Tableau
4) ou chaque salariés parents de chaque enfant à une place réservé (66% Tableau 5).
Cependant, le sondage sociodémographique révèle que la majorité des intéressés serait le
en grande partie le genre féminin (77% Tableau 6) à l’opposé des hommes (23% Tableau 6)
ayant une tranche d’âge comprise entre 26-35ans et moins de 25ans.
La généralité des salariés affirme que leurs supérieurs hiérarchiques ne leur accordent que
très peu d’attention quant à leurs contraintes personnelles. En outre, leurs plages horaires
de travail son du moins imprévisible et très instables donc susceptible d’être toujours
aménagé par des heures supplémentaires sans pour autant mériter une compensation
(Tableau 8 et 9).
En définitive, chaque salarié à une perception différentes de l’entreprise en fonction de de sa
personnalité. Dans 78% & 93% des cas selon les salariés, le manager doit en plus d’offrir des
services, faciliter la vie personnelle des salariés et tenir comme des exigences de celle-ci (vie
privé) dans l’aménagement de temps de travail (Tableau 10).

4. LE PROJET SERA-T-IL REALISABLE OU UTOPIQUE A REALISER

D’après les résultats des entretiens, nous pouvons dire que le projet est réalisable malgré
certaines revendications. Car par exemple dans le tableau 5 on a 66% de réponses favorable
concernant le projet de cofinancement d’une crèche et la majorité des répondants est plutôt
satisfait. Maintenant pour favoriser une forte adhésion, il faut prêter attention aux moindres
exigences des salariés, valoriser leurs feedbacks, identifier les types de résistances, clarifier
les intentions et les méthodes comprendre leurs attentes et besoins et proposer des actions
d’accompagnement pour qu’il puisse voir au-delà de ce qui est présenté.
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