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RAPPELS DE TRIGONOMETRIE RAPPELS DE GEOMETRIE

Valeurs et formules remarquables • Théorème de la médiane : soit ABC un triangle quelconque,


BC 2
et I le milieu de [BC], on a AB 2 + AC 2 = 2 AI 2 +
π π π π 2
x 0 • Dans un triangle quelconque, l’équivalent du théorème de
6 4 3 2
3 2 1 Pythagore est la relation d’Al Kashi : a 2 = b 2 + c 2 − 2bc cos α
cos x 1 0
2 2 2
• L’aire d’un triangle est donné par : On en déduit :
1 2 3 1 1 1 sin α sin β sin γ
sin x 0 1 S = bc sin α = ac sin β = ab sin γ = =
2 2 2 2 2 2 a b c

• Dans un repère orthonormal, un cercle de centre Ω( x 0 ; y 0 ) et de


⎛π ⎞ ⎛π ⎞
cos⎜ − x ⎟ = sin x sin ⎜ − x ⎟ = cos x rayon R a pour équation : (x − x 0 )2 + ( y − y 0 )2 = R2
⎝2 ⎠ ⎝2 ⎠
⎛ π ⎞ ⎛ π ⎞
cos⎜ + x ⎟ = − sin x sin ⎜ + x ⎟ = cos x
⎝2 ⎠ ⎝2 ⎠ DERIVEE Æ PRIMITIVE
u′
Formules d’addition 2 u
u
u′
cos(a + b ) = cos a cos b − sin a sin b tan a + tan b ln u
tan (a + b ) = u
cos(a − b ) = cos a cos b + sin a sin b 1 − tan a tan b u′ 1
sin (a + b ) = sin a cos b + cos a sin b tan a − tan b −
tan (a − b ) =
2
u u
sin (a − b ) = sin a cos b − cos a sin b 1 + tan a tan b u ′e u eu
(v ′ u ).u ′ (v u )
Formules de linéarisation u n +1
u nu′
n +1
cos(2a ) = cos 2 a − sin 2 a = 2 cos 2 a − 1 = 1 − 2 sin 2 a nu n −1u ′ un
sin (2a ) = 2 sin a cos a 1
2
= 1 + tan 2 x tan x
cos x
Résolution d’équations sin (ax + b )
cos(ax + b )
a
cos x = cos α ⇔ x = α [2π ] ou x = −α [2π ] cos(ax + b )
sin (ax + b ) −
sin x = sin α ⇔ x = α [2π ] ou x = π − α [2π ] a
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COMPLEXES Notations trigonométriques et exponentielles
z = r (cos θ + i sin θ ) est la forme trigonométrique d’un complexe. On a
Equation du second degré Re( z ) = r cos θ et Im( z ) = r sin θ . z = re iθ est la forme exponentielle.

az ² + bz + c = 0 ∆ = b ² − 4ac Formule de Moivre : (e )


iθ n
= e inθ
−b− ∆ −b+ ∆ e iθ + e − iθ e iθ − e − iθ
z1 = et z 2 = Formules d’Euler : cos θ = et sin θ =
2a 2a 2 2i
az ² + bz + c = a ( z − z1 )( z − z 2 )

Utilisation en géométrie
Module
Considérons trois points distincts A, B et C dans un repère (O, i , j ).
z = x ² + y ² est la longueur qui sépare l’origine et le point d’affixe z.
• z = z B − z A = ( x B − x A ) + i ( y B − y A ) donne l’affixe de AB .
z z AB
zz ' = z . z ' z + z ' ≤ z + z ' (inégalité triangulaire) = zA + zB
z' z' • zI = avec I le milieu de [AB].
2
az + bz B
• zG = A avec G le barycentre de {( A; a ), (B; b )} .
Conjugué a+b

• ( ) ⎛ z − zA ⎞
AB; AC = arg( z C − z A ) − arg(z B − z A ) = arg⎜⎜ C ⎟⎟[2π ]
Le conjugué de z = x + iy est z = x − iy . On a les relations : ⎝ zB − z A ⎠
z+z ⎛ z − zA ⎞
z.z = x ² + y ² z.z ' = z.z ' Re( z ) = • AB et AC sont colinéaires ⇔ arg⎜⎜ C ⎟⎟ = 0[2π ]
2 ⎝ B
z − z A ⎠

1 z ⎛z⎞ z z−z ⎛ z − zA ⎞ π
= ⎜ ⎟= Im( z ) = • AB et AC sont orthogonaux ⇔ arg⎜⎜ C ⎟⎟ = [2π ]
z z² ⎝ z' ⎠ z' 2 ⎝ zB − zA ⎠ 2

Arguments Transformations
⎛z⎞ • M(z) Æ M'(z+a) est la translation de vecteur v (a).
arg( zz ') = arg z + arg z ' arg⎜ ⎟ = arg z − arg z '
⎝ z' ⎠ • ( )
M(z) Æ M ′ ze iθ est la rotation de centre O et d'angle θ .
arg( z n ) = n arg z arg(− z ) = arg z + π • z − z A = r définit le cercle de centre A( z A ) et de rayon r.

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LIMITES – ASYMPTOTES DERIVEE

Formes indéterminées Nombre dérivé


+ ∞ − ∞ : factorisation du terme dominant (+ haut degré). f ( x 0 + h) − f ( x 0 ) f ( x) − f ( x 0 )
∞ : factorisation du terme dominant, simplification. f ' ( x 0 ) = lim = lim

h→0 h x → x0 x − x0
0 : factorisation du terme tendant vers 0, simplification.
0 Pour que f soit dérivable en x 0 , il faut que les nombres dérivés à
0 × ∞ : peut en général se ramener à ∞ ou 0 . gauche et à droite de x 0 soient finis et égaux. La tangente au point
∞ 0
Si des racines carrées interviennent, on pourra multiplier par la d'abscisse x 0 a pour équation y = f ' ( x 0 )( x − x 0 ) + f ( x 0 )
quantité « conjuguée ».

Propriétés Bijection
• g ( x) ≤ f ( x) ≤ h( x) et lim g ( x) = lim h( x) = l ⇒ lim f ( x) = l f est dérivable est strictement croissante sur [a;b] donc f réalise une
• f ( x) − l ≤ g ( x) et lim g ( x) = 0 ⇒ lim f ( x) = l bijection de [a;b] sur [ f (a ); f (b)] et pour tout α de [ f (a ); f (b)]
• lim f ( x) = b et lim g ( y ) = l ⇒ lim g f ( x) = l l’équation f (x) = α admet une solution unique dans [a;b].
x→a y →b x→a

Limites usuelles Inégalités des accroissements finis


La limite d'une fonction polynôme en + ∞ ou en − ∞ est la limite du f est dérivable sur [a;b] et pour tout x de [a;b] on a :
terme dominant. La limite d'une fonction rationnelle en + ∞ ou en − ∞ • m ≤ f'(x) ≤ M ⇒ m(b-a) ≤ f(b)-f(a) ≤ M(b-a)
est la limite du quotient des termes dominants du numérateur et du
• |f’(x)| ≤ M ⇒ |f(b)-f(a)| ≤ M |b-a|
dénominateur.
sin x cos x − 1
lim = 1 et lim =0
x →0 x x →0 x
Position de la courbe par rapport à la tangente
Asymptotes La position de (C) la courbe représentative de f par rapport à (T) la
courbe représentative de g est donnée par le signe de h(x)=f(x)-g(x)
• lim f ( x) = ±∞ ⇒ asymptote verticale d'équation x=a h>0 : (C) est au dessus de (G)
x→a
h<0 : (C) est au dessous (G)
• lim f ( x) = b ⇒ asymptote horizontale d'équation y=b
x → ±∞ h=0 : intersection des courbes (C) et (G)
• lim f ( x) − (ax + b) = 0 ⇒ asymptote oblique d'équation y=ax+b
x → ±∞

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RECURRENCE FONCTION PUISSANCES
Soit une propriété P dépendant d’un entier n et n 0 un entier fixé.
- Initialisation : Si P(n 0 ) est vraie, f ( x) = x α = e α ln x est définie et dérivable sur ]0;+∞[ . La dérivée
- Transmission : et si P(n) ⇒ P(n + 1) pour tout n ≥ n 0 , f ′( x) = α .x α −1 est du même signe que α d’où la monotonie de f.
- Conclusion : alors P(n) est vraie pour tout entier n ≥ n 0 .
ln x ex
Pour α > 0 : lim =0 lim x α e − x = 0 lim = +∞
x → +∞ x α x → +∞ x →+∞ xα

LOGARITHME NEPERIEN
• ln est une bijection strictement croissante de ]0;+∞[ sur ]− ∞;+∞[ PARITE / SYMETRIE
′ ln (x + 1)
• (ln u )′ = u lim

=1 lim n = 0 (n > 0 )
→ +∞
ln x
u x 0 x x x • f est paire ⇔ f est centré en 0 et f(-x)=f(x)
• f est impaire ⇔ f est centré en 0 et f(-x)=-f(x)
• ln(a.b) = ln a + ln b ln(a n ) = n. ln a
⎛a⎞ 1 • ( x 0 ; y 0 ) est centre de symétrie ⇔ f ( x 0 + h) + f ( x 0 − h) = 2 y 0
• ln⎜ ⎟ = ln a - ln b ln a = ln a
⎝b⎠ 2 • x = x 0 est axe de symétrie ⇔ f ( x 0 + h) = f ( x 0 − h)

FONCTION EXPONENTIELLE EQUATIONS DIFFERENTIELLES


• exp est une bijection strictement croissante de ]− ∞;+∞[ sur ]0;+∞[
y ′ = ay a pour solutions l'ensemble des fonctions définies par
• (e )′ = u ′.e
u u
lim
ex −1
=1 lim
xn
=0 (n > 0) •
x →0 x x → +∞ e x f ( x) = k .e ax avec a et k des réels. La solution de l’équation
e na = (e a )
n ea différentielle vérifiant la condition initiale y ( x 0 ) = y 0 est la
• e a +b = e a . e b e a −b =
eb fonction définie par f ( x) = y 0 .e x − x0 .

• y ′′ + ω 2 y = 0 a pour solutions l'ensemble des fonctions définies


par f ( x) = A cos ω .x + B sin ω . y avec ω , A et B des réels. La
solution de l’équation différentielle vérifiant la condition initiale
y ( x 0 ) = y 0 est la fonction définie par y ′( x 0 ) = y 0′ .

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INTEGRALES Intégration par parties

u (t ).v ′(t )dt = [u (t ).v(t )]a − ∫ u ′(t ).v(t )dt


b b

b
Définition a a

f (t )dt = [F (t )]a = F (b) − F (a ) est l’intégrale de f entre a et b.


b
∫ Calcul de volumes
b
a
x
∫a
f (t )dt est la primitive de f qui s'annule en a. Pour un solide dont l'intersection avec le plan de cote z a pour aire
S(z), le volume entre les plans de cote a et b est donné par :
Si pour tout x ∈ [a; b] on a f ( x) ≤ g ( x) , alors l'aire de la partie du plan
b
V = ∫ S ( z )dz
a
comprise entre les deux courbes et les droites d'équations x=a et x=b
∫ (g (t ) − f (t ))dt .
b
est donnée en unité d'aire par
a

SUITES
Propriétés

• ∫
b a
f (t )dt = − ∫ f (t )dt ∫
b b
(kf )(t )dt = k ∫ f (t )dt Suites arithmétiques
a b a a
a a
• f est paire ⇔ ∫
−a
f (t )dt = 2∫ f (t )dt
0
• U n +1 = U n + r
a • U n = U p + (n − p )r ⇒ U n = U 0 + nr
• f est impaire ⇔ ∫ −a
f (t )dt = 0
n −1 n(n − 1) U + U n −1
a +T T
• Σ U i = nU 0 + r = n× 0
• f est périodique de période T ⇔ ∫a
f (t )dt = 2 ∫ f (t )dt
0
i =0 2 2
c c b
• ∫a
f (t )dt = ∫ f (t )dt + ∫ f (t )dt
b a
(relation de Chasles)
Suites géométriques
( f + g )(t )dt = ∫ f (t )dt + ∫ g (t )dt
b b b
• ∫a a a
(linéarité)
• U n +1 = U n q
Théorème de la moyenne • U n = U p × q n− p ⇒ U n = U 0 × q n
• q ≤ −1 ⇒ (U n ) n’a pas de limite et diverge de U 0
La valeur moyenne de f est donnée par µ =
1 b
⋅ ∫ f (t )dt 0 ≤ q < 1 ⇒ (U n ) converge vers U 0
b−a a q > 1 ⇒ (U n ) tend vers ± ∞
f est dérivable sur [a;b] et pour tout x de [a;b] on a :
b n −1 1− q n U 0 −U n
• m ≤ f(x) ≤ M ⇒ m(b-a) ≤ ∫ a
f (t )dt ≤ M(b-a) • Σ Ui =U0 ×
i =0 1− q
=
1− q

b
• |f(x)| ≤ M ⇒ f (t )dt ≤ M(b-a)
a
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Suites monotones, bornées, périodiques
Propriétés
• Si la fonction f est croissante sur [a;+∞[ , la suite définie par
U n = f (n) est croissante pour n ≥ a . Attention : la réciproque
• On peut changer l'ordre des points pondérés.
est fausse (la suite peut-être croissante alors que la fonction ne
l’est pas). • On peut multiplier tous les coefficients par un nombre k ≠ 0 .
• Une suite à la fois majorée et minorée est appelée suite bornée. • On peut remplacer une partie des points par leur barycentre
• (U n ) est périodique de période p lorsque U n + p = U n . partiel affecté de la somme leurs coefficients (associativité).
• Les coordonnées ou l’affixe du barycentre sont données par :
Σ (α i z i ) Σ (α i x i ) Σ (α i y i )
n n n

Limites de suites zG = i =0
xG = i =0
yG = i =0
n n n
Σ αi Σ αi Σ αi
• lim U n − l = 0 ⇒ lim U n = l i =0 i =0 i =0

• U n − l ≤ V n et lim V n = 0 ⇒ lim U n = l
Vn ≤ U n ≤ Wn Isobarycentre
• ⇒ lim U n = l (Théorème des gendarmes)
lim V n = lim W n = l
• lim U n = l et lim V n = l ' et U n ≤ V n ⇒ l ≤ l '
• L'isobarycentre des points {Ai }1≤i ≤ n est le barycentre de ces
• lim U n = l et lim V n = l ' et l < l ' ⇒ U n < V n
points tous affecté du même coefficient non nul.
• Les termes de (U n ) appartiennent à l’intervalle de la fonction f :
• L’isobarycentre de deux points A et B est le milieu de [AB].
lim U n = l et lim f ( x) = l ' ⇒ lim f (U n ) = l ' • L’isobarycentre de trois points A, B et C est le centre de gravité
n → +∞ x →l n → +∞
du triangle ABC (point d'intersection des médianes).

BARYCENTRE Ensemble de points

n
( )
v = Σ α i MAi est le vecteur associé à un système de points pondérés.
i =0
• MG = r ⇒ dans le plan : cercle de centre G et de rayon r.
dans l’espace : sphère de centre G et de rayon r.
dans le plan : médiatrice de [G1 G 2 ]
n
• Σ α i = 0 ⇒ v est constant, il est indépendant de M. • MG1 = MG 2 ⇒
dans l’espace : plan médiateur de [G1 G 2 ]
i =0
n
• Σ α i ≠ 0 ⇒ il existe un point G appelé barycentre du système, • MG1 = MG 2 = 0 ⇒ plan : cercle de diamètre [G1 G 2 ]
i =0

et vérifiant les deux propriétés équivalentes : espace : sphère de diamètre [G1 G 2 ]


n
(
Σ α i MAi )
n

i =0
(
Σ α i GAi = 0 ) ⇔ MG = i =0
n
Σ αi
i =0 6/10
DENOMBREMENT Propriétés des combinaisons
Cnp + Cnp +1 = Cnp++11 (somme) Cnp = Cnn − p (parité)
n −1
Cardinal d’un ensemble C = C =1
0
n
n
n C =C
1
n n =n

Le cardinal d’un ensemble fini est le nombre d’éléments de cet Les C np sont données par le triangle de Pascal :
ensemble. Soit A et B deux événements d’un univers fini Ω .
Dans tous les cas, Card ( A ∪ B ) = Card ( A) + Card (B ) − Card ( A ∩ B ) .
Si A et B sont incompatibles, Card ( A ∪ B ) = Card ( A) + Card (B ) .
Si complémentaires, Card ( A ∪ B ) = Card ( A) + Card (B ) = Card (Ω ) .
Pour déterminer les cardinaux de certains ensembles, on s’aide de
diagrammes, tableaux ou arbres ou schémas à case.

Arrangements
Un arrangement est une liste ordonnée de p éléments distincts
choisis parmi les n éléments d’un ensemble. On l’utilise par exemple
pour un tirage avec ordre et sans remise. Les coefficients des égalités remarquables sont ceux du triangle de
n! Pascal. La formule du binôme de Newton les résume :
Anp = n × (n − 1) × (n − 2) × … × (n − p + 1) =
(a + b )n = Cn0 a nb 0 + Cn1a n−1b1 + Cn2 a n−2b 2 + … + Cnn a 0b n = pΣ=0 Cnp a n− pb p
n
(n − p)!

Permutations n
Pour a=b=1, on a un cas particulier et Σ Cnp = Cn0 + Cn1 + … + Cnn = 2 n
p =0
Une permutation est un arrangement des n éléments de l’ensemble. Le nombre de combinaisons d’un ensemble à n éléments est 2 n .
On l’utilise par exemple pour trouver tout les anagrammes d’un mot.
Ann = n! = n × (n − 1) × (n − 2) × … × 1
Introduction aux probabilités
Combinaisons • Les formules pour les probabilités sont similaires à celles du
cardinal (incompatibilité, complémentarité…).
Une combinaison est une liste non-ordonnée de p éléments choisis • Lorsque tous les éléments d’un univers ont même probabilités,
parmi les n éléments d’un ensemble (une combinaison est une partie). il y a équiprobabilité. La probabilité pour chaque élément est
On l’utilise pour un tirage sans ordre et sans remise. Card ( A)
et pour tout événement A, on aura p( A) =
1
.
n × (n − 1) × (n − 2) × … × (n − p + 1) Anp n! Card (Ω ) Card (Ω )
Cn =
p
= =
p! p! p! (n − p)!
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PROBABILITES Etude d’une variable aléatoire
• On détermine la loi de probabilité de X en trouvant toutes les
probabilités des événements associant une partie de l’univers
Probabilités conditionnelles aux différentes valeurs prises par la variable aléatoire.

A et B sont deux événements et p(B ) ≠ 0 . La probabilité conditionnelle xi … xn n

Σp
x1 x2 = p1 + p 2 + … + p n = 1
de A sachant que B est déjà réalisée est définie se note : i
pi p1 p2 … pn i =1
p( A ∩ B )
p( A B ) = ⇔ p ( A ∩ B ) = p ( A B ) × p (B )
p (B )
• La fonction de répartition est définie par F ( x) = p( X ≤ x i )
A et B sont indépendants lorsque p ( A ∩ B ) = p ( A) × p (B ) . On a donc : pour tout réel x. C’est une fonction en escalier qui présente des
p ( A B ) = p ( A) et p (B A) = p (B ) « sauts ». Elle est croissante, minorée par 0 et majorée par 1.

• L’espérance mathématique, ou moyenne de X, est définie par :


n
Arbres pondérés E ( X ) = Σ x i p i = x1 p1 + x 2 p 2 + … + x n p n
i =1

La somme des probabilités des • La variance de la variable aléatoire est un réel positif défini par :
branches issues d’un même nœud
⎛n ⎞
V ( X ) = Σ p i ( x i − E ( X ) ) = ⎜ Σ x i2 p i ⎟ − [E ( X )]
n
2 2
est toujours égale à 1.
La probabilité d’un chemin est le i =1 ⎝ i =1 ⎠
produit des probabilités des
branches de ce chemin. • L’écart type de X est le nombre réel positif défini par :
La probabilité d’un événement est σ (X ) = V (X )
la somme des probabilités
conduisant à cet événement.
Schéma de Bernoulli
Une épreuve de Bernoulli est une expérience aléatoire ne comportant
Variable aléatoire que deux issues : le succès ou l’échec. Un schéma de Bernoulli est la
répétition n fois, de façon indépendante, d’une épreuve de Bernoulli.
Une variable aléatoire X est une application de l’univers Ω dans R.
X : Ω = {ω1 ,ω 2 ,…,ω n } Æ X (Ω ) = {x1 , x2 ,…, xn } La loi binomiale permet de calculer la probabilité d’obtenir k succès.
Soit p la probabilité du succès à chaque épreuve et X la variable
(X = x i ) est l’ensemble des éléments de Ω qui ont pour image x i . aléatoire qui compte le nombre de succès au cours des n épreuves :
La probabilité de l’événement ( X = x i ) est noté p( X = x i ) = p i . Pk = Cnk × p k × (1 − p )
n−k

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PRODUITS SCALAIRE - VECTORIEL Produit vectoriel
• Le produit vectoriel de deux vecteurs est un troisième vecteur
normal au plan formé par les deux autres vecteurs :
Produit scalaire ∧
OA ∧ OB = OA × OB × sin ( AOB )
• Le produit scalaire est une valeur numérique réelle. Soit H le
projeté orthogonal du point B sur la droite (OA) :
(O; OA; OB; OC ) est une base directe

OA ⋅ OB = OA × OH = OA × OB × cos ( AOB ) • u ∧ v = −(v ∧ u ) (ku ) ∧ v = k (u ∧ v ) u ∧ (v + w) = u ∧ v + u ∧ w

• u ⋅v = v ⋅u (ku ) ⋅ v = k (u ⋅ v ) u ⋅ (v + w) = u ⋅ v + u ⋅ w Colinéarité et alignement


Norme et produit scalaire • u ∧ v = 0 ⇔ u et v sont colinéaires.

• = u 2 ⇒ u = u ⋅u u ±v = u + v ± 2(u ⋅ v ) • AB ∧ AC = 0 ⇔ A, B, C sont alignés.


2 2 2 2
u
+ v − u −v
2 2 2
u
• (u + v ) ⋅ (u − v ) = u − v
2 2
u ⋅v = Expression analytique
2
• Soit u ( x; y; z ) et v ( x ′; y ′; z ′) dans un repère orthonormal, on a :
Orthogonalité dans l’espace
u ⋅ v = xx ′ + yy ′ + zz ′
• u ⊥ v ⇔ u ⋅v = 0 ⇔ u ± v = u + v
2 2 2
u = x +y +z 2 2 2

⎛ y y′ ⎞
⎜X = = yz ′ − zy ′ ⎟
• Un vecteur est normal à un plan si et seulement si il est orthogonal ⎜ z z′ ⎟
à deux vecteurs non colinéaires de ce plan. ⎜ ⎟
z z′
u ∧ v ⎜Y = = zx ′ − xz ′ ⎟
• Deux plans sont perpendiculaires si et seulement si un vecteur ⎜ x x′ ⎟
⎜ ⎟
normal à l’un est orthogonal à un vecteur normal à l’autre. ⎜ x x′ ⎟
⎜Z = y = xy ′ − yx ′ ⎟
⎝ y′ ⎠
• L’ensemble des points M de l’espace tel que AM ⋅u = 0 est le plan
passant par A et de vecteur normal u ≠ 0 .
u ∧ v = ( yz ′ − zy ′)i + (zx ′ − xz ′) j + (xy ′ − yx ′)k

Orientation de l’espace • La norme du produit vectoriel de deux vecteurs est égale à l’aire
du parallélogramme construit à partir de ces vecteurs. L’aire du
Un repère est dit positif ou direct lorsque ses vecteurs unitaires triangle ABC est donc égale à la moitié de cette norme.
respectent la règle des trois doigts de main DROITE.
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COURBES PARAMETREES Vecteur dérivé en un point

• S’il n’est pas nul, le vecteur dérivé v(t 0 )( f ′(t 0 ); g ′(t 0 ) ) est un
Représentation paramétrique d’une droite vecteur directeur de la tangente à la courbe en M (t0 ) .

Le système d’équations paramétriques de la droite (D) passant par le • f ′(t 0 ) = 0 ⇔ la courbe admet une tangente verticale en M (t0 ) .
point A( x A ; y A ; z A ) et de vecteur directeur u (a; b; c ) détermine g ′(t 0 ) = 0 ⇔ la courbe admet une tangente horizontale en M (t0 ) .
l’appartenance ou non d’un point de l’espace à la droite.
• Méthode pour tracer une courbe paramétrique :
⎧ x = ta + x A Les coefficients du système sont - rechercher l’ensemble de définition des fonctions f et g

M ( x; y; z ) ∈ D ⇔ ⎨ y = tb + y A les coordonnées d’un vecteur - réduire le domaine d’étude par périodicité et symétrie
⎪ z = tc + z directeur de la droite. - faire un seul tableau de variation pour f et g
⎩ A
- placer les points remarquables et les tangentes
- joindre dans le sens des t croissants en lissant au mieux
- compléter par les intervalles de symétrie et périodicité.
Equation cartésienne d’un plan
L’équation cartésienne du plan (P) passant par le point A( x A ; y A ; z A )
et de vecteur normal n (a; b; c ) détermine l’appartenance ou non d’un ThAt’s aLL !
point de l’espace au plan.

M ( x; y; z ) ∈ (P ) ⇔ AM ⋅ n = 0 Les coefficients de l’équation Ces fiches de cours ont été réalisées par
a ( x − x A ) + b( y − y A ) + c ( z − z A ) = 0 sont les coordonnées d’un SoULiAne <cubix@caramail.com>
ax + by + cz + d = 0 vecteur normal au plan.
avec l’aide de quelques livres, du cours du prof
Astuce : si on connaît trois points non alignés du plan (P), on pourra et de l’excellent site http://xmaths.free.fr
se servir du produit vectoriel pour trouver un vecteur normal à (P).
Faites attention tout de même et vérifiez toujours avec
le cours de votre prof car je ne suis pas à l’abris des
fautes de frappes !! Merci de me signaler les erreurs
Courbes paramétrées que vous trouverez en m’écrivant à l’adresse ci-dessus.

• Soient f et g deux fonctions définies sur un intervalle donné. Ensuite, quand vous aurez le bac, vous pourrez
Lorsque la variable t décrit cet intervalle, le point M(t) de télécharger les fiches pour le DEUG MIAS sur
coordonnées ( f (t ); g (t ) ) décrit une courbe paramétrée. http://mathinfo.free.fr (c’est mon site de cours).
⎧ x = f (t )
⎨ est la représentation paramétrique de la courbe.
⎩ y = g (t )
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