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La Place de l’Anthropologie dans la pensée: Merleau-Ponty lit Lévi-Strauss

Dans son texte em hommage à Claude Lévi-Strauss, Maurice Merleau-Ponty


esquisse une analyse rapide de l’Anthropologie. Selon le philosophe, l’Anthropologie, à
son debut, avait l’intention de traiter les faits sociaux comme des choses, selon les bien
connue mots de Durkheim, et pas comme un système d’idées objectivées. « Mais dès
qu’elle essayait de clarifier le social, ne pouvait le définir comme « psychique ». C’était,
disait-on, de « répresentations » qui étaient tout simplement « colectifs » plutôt
qu’individuelle »1 (MERLEAU-PONTY ; 1980a :193). Il manquarait, donc, une
pénetration patient dans object, aussi bien qu’une communication avec cet object. Une
bouleversement qui pourrait résoudrer cette problématique commence avec Marcel
Mauss – neveu et compagnon de rechêrche de Durkheim – qui, en concevant le social
comme symbolisme, en explorant les totalité ou ensemble articulés, a pu respecter les
realités individuelles et sociales sans les faire imperméables l’unes à l’autres. Pour que
nous comprenons, il semble suffisant rappeller le petit essay sur les pratiques du corps,
auquel Mauss nous montre comme la compréhension du corps et la façon de faire face
au corps font des questions culturelles : le nage, la marche, la position de la femme dans
l’accouchement.
Selon Merleau-Ponty, dans la pensée de Mauss on trouvera dejà l’idée de
structure tel quel developée par Lévi-Strauss. C’est une idée complexe mais essentielle
à la compréhension et à l’étude de la méthode structuraliste. Encore selon Merleau-
Ponty, le développement des rechêrches strucutralistes aurait causé une innovation dans
le champs des sciences humaines et dans la philosophie à partir du moment qui
permettrait à la fois les sciences et la philosophie, une nouvelle perspective sur la
résolution des problèmes relatifs au comportement humain, à les organisations sociales
et à compréhension de l’humanité même. Ce texte a comme but une analyse sur la
fonction et l’object de l’Anthropologie alliant la pensée de Lévi-Straus à la pensée de
Merleau-Ponty.
Alfred Kroeber, qui Lévi-Strauss cite textuellement, disait qui quelque chose qui
n’était complètement amorphe aurait structure. Mais la notion de structure ne dépend
pas d’une définition inductif, fondé dans la comparaison et dans l’abstration des
éléments communs. Ce qui devrait poursuivre dans l’idée de structure c’est la structure
1
“Mas, tão logo tentava precisar o social, só conseguia defini-lo como ‘psíquico’. Tratava-se, dizia-se,
de ‘representações’ que simplesmente eram ‘coletivas’ em vez de serem individuais” (selon la traduction
bresilienne ici utilisée).

1
du sens que cette idée-même avait. « Le principe fondamentale c’est qui la notion de
structure sociale ne se réfère pas à la réalité empirique, mais aux modèles construits
conformément à la présente »2 (LÉVI-STRAUSS ; 1967 :317). Les bases de la
construction de ces modèles ne sont que des rélations sociales. Ils font que, à partir des
modèles construits, manifeste les structures et, en se détennant dans la compléxité et
multiplicité des rélations sociales, ne réclament pas une domaine propre. Les faits
sociales cessent d’être choses, comme dans Durkhiem, et deviennent des structures :
systèmes de parenté, la filiation, le système d’échange linguistique ; d’échange
économique, de l’art. C’est l’interaction des ces systèmes qui composent la societé et à
être considerés comme des structures se distinguent des idées cristallisées, des monades
des philosophies sociales.
Il devient évident qui la question de la définition de la structure est un problème
épistémologique, car elle est lui-même un statu pour la connaissance. Il est nécessaire
savoir comment la connaissance s’opérationallise afin qu’on sache ce qu’on connait.
Selon Lévi-Strauss, la structure ne peut être observée à partir des modèles qui répondent
à quatre conditions :
a) Disposer d’un caractèr de système. La modification d’un de ses
éléments implique la modification de l’ensemble ;
b) Appartenir à un groupe de transformations chacun en correspondance
à un modèle de la même famille, en constituant un groupe de modèles
c) Doit être capable de prédire la réponse en cas de modification ;
d) Doit être constitué de telle sorte que son fonctionnement explique les
faits observés
Pour rendre cette idée plus compréhensible, prenons l’exemple donné par
Merleau-Ponty. Les sujets vivant dans une societé n’ont pas nécessairement la
connassaince des principes qui lui régissent. En ce qui concerne les échanges
linguistiques, par exemple, un sujet parlant n’a pour besoin, pour qu’il parle, passer par
l’analyse linguistique de sa propre langue. La structure de cette langue lui est pratiquée
de façon assez évidente. Néanmois, le modèle construit sur la langue, la langue même,
formel, est un système soumis à des transformations dont le mode de fonctionnement
explique la forme qu’elle se manifeste. Les modèles peuvent être, alors, conscientes ou
inconsciente (comme dans le cas de la langue), en fonction du niveau dans lequel ils

2
“O princípio fundamental é que a noção de estrutura social não se refere à realidade empírica, mas aos
modelos construídos em conformidade com esta” (selon la traduction bresilienne ici utilisée).

2
opèrent. Un groupe de phénomènes se prête beaucoup plus à l’analyse structurale le
moins il as à sa disposition un modèle consciente qui lui justifie. Les modèles peuvent
aussi être mécaniques, comme dans les lois sur le mariage dans des sociétés primitives
pù les individus sont divisés en classes de parenté ou d’un clain ; ou statistiques, comme
dans les lois du marage de notre société, qui dépendent des lois très générales.
Bien que nous ne pouvons pas insister sur la quéstion méthodologique au risque
de s’éloigner de notre objectif, l’idée rélatif aux modèles est nécessaire pour
comprendre l’objet de notre analyse : l’idée de structure. Quand on dit que la rechêrche
structurelle vise à étudire les relation sociales à l’aide des modèles, et il est supposé
q’un modèle bien construit doit fait partie d’un groupe de modèles, on remplace un
modèle les antinomies par des relations de complémentarité. Le gros qui implique la
rechêrche anthropologique est un problème inhérent au objet même de l’Anthropologie :
l’éxperience anthropologique c’est la de notre insertion en tant que des sujets sociales
dans un ensemble dont la synthèse est dejà fait. D’autre part, y si trouve la tâche plus
spécifique de l’anthropologie : le couplade de l’analyse objective avec le vécu, ce qui
rend à l’Anthropologie l’éxperience de leurs propres convictions, la preuve incessante
de soi-même par l’autre. L’Anthropologie, par l’analyse structurelle cesse d’être une
spécialité et devient une façon de pensér. Selon Merleau-Ponty, en méttant en question
l’altérité comme question, l’Anthropologie apporte à la discussion métaphysique et
fournit un instrument pour élargir la raison car elle a en vue une universalité constitue
par des relations de complementarité puis de se retrouver dans une ontologie.
Pas seulement Kroeber, cité plus haute, mais aussi Radcliffe-Brown a pensé
l’idée de structure. Non seulement, le terme « structure sociale » évoque directement
son nom. Mais dans sa théorie, la structure apparaît comme un concpt intermédiaire
entre l’anthropologie et la biologie. Radcliffe-Brown réduit les études de parenté au
niveau de la morpholgie et de la physiologie descriptives, ne distinguant pas clairement
structure sociale et relations sociales. L’empirisme de Radcliffe-Brown lui avait fait
croire que lea structure pourrait être directement appréhendé dans la réalité concrète, ce
qui a provoqué la critique de Fortes, soustenue par Lévi-Strauss selon lorsqu’on cherche
la définition, on se trouve au niveau de la grammaire et de la syntaxe et non de la langue
parle. Lévi-Strauss ne fait que combiner la méthode d’investigation de la lynguistique à
l’ethnologie. Ce qui Saussure avait fait avec la lynguistique sera faite par Lévi-Strauss
dans l’Anthropologie : mettre en évidence les structures inconscientes des relations
sociales. Travailler au niveau du signifiant, à partir de la signification en apportant, par

3
exemple, les études de parenté au plan communicatif, car, en tant qu’héritier de Boas,
Lévi-Strauss prend l’idée que la nature des phènoménes sociaux est inconscient et
assume, devant la lynguistique, une homologie de méthode et une heteronomie du objet.
De même façon que la structure de la langage est incsonciente, au fond des
systèmes sociaux y apparaît une infrastructure formel inconscient, comme si l’ordre de
la culture humaine était une ordre naturel. La notion de structure apparaît comme
n’étant pas empirique car ce qu’est observé empiriquement c’est le phènoméne
manifesté inconsciemment : la langue, des systêmes de parenté, des croyances. Ce qui
est fait est la création des modèles qui nous permettent d’arriver à les structures, dès les
phènoménes. Durkheim, par exemple, a traité les faits sociaux comme une réalité
extérieure à l’individu, comme si le social était la base de l’explication de qualque fait.

« Mais le social peut fournir ce service seulement s’il n’est pas une
chose, en investissant dans l’individu, lui demander et menacer au
même temps, s’en perdant et s’em racontrant dans la relations avec les
autres consciences, enfin si le social n’était pas “conscience collectif”,
mais intersubjectivité, relation vivante et tension entre les individus » 3
(MERLEAU-PONTY; 1980b: 184)

Il donce tenir en compte les faits comme aspects des liasons humaines, réel et
fantastique, telle quelle elaborée par la civilisation considerée. Ce qui le structuralisme
est capable de faire, à la mesure laquelle identifie les bases inconscients du monde
symbolique de la culture, c’est d’atteindre l’attitude humaine qui constitue l’esprit
dd’une societé. En suivant l’idée de Merleau-Ponty, l’anthropologie structuraliste
reprendre la métaphysique car elle existe partout où, cessant la experiénce dans la
évidence de l’objet, rend compte de la subetivité radicale de tout experiénce.
L’accusation d’anti-subjectivisme dirigé au structuralisme deviant, en fait, dépassement
et chagement d’orientation dans la querelle sujet-objet. En se recherchant les sturctures
relatives à la parenté, par exemple, à travers des modèles de mariage est révelée la
coexistence de toutes les êtres qu’on puisse avoir idée.
La métaphysique sert à Merleau-Ponty, comme contribuition à penser sur la
necessité de l’Ethnologie. Selon le philosophe, la métaphysique était l’intention
délibérée de décrire le paradoxe de la conscience et de lá vérité. Dès l’instant où on
reconnaitre l’exeperience comme unique et personelle, la question sur ce qui n’est pas
3
“Mas o social só pode prestar esse serviço se não for uma coisa, se investir no indivíduo solicitá-lo e
ameaçá-lo ao mesmo tempo, se cada consciência, ao mesmo tempo, se perder e se reencontrar na
relação com as outras consciências, enfim, se o social não for ‘consciência coletiva’, mas
intersubjetividade, relação viva e tensão entre os indivíduos” (selon la traduction brésilienne ici utilisé)

4
propre, personelle, c’est à dire, je, est ouvert. Cette vie individuelle évéille à
l'étonnement de la confrontation avec ses contraires. Ainsi comprise, la métaphysique
est le contraire du système, car la métaphysique a son truc dans les objets de
l’éxperience quotidienne et crée pas, donc, un monde fantastique paralèlle au monde
empirique, mais affirme, que le monde empirique lui-même est fantastique, plein des
preuves problematiques et donc, métaphysique. A métaphysique devient, pour la
solution des ces problèmes, la reconnaissance et la déscription des paradoxes de l’aterité
de l’identité fondatrice de l’éxperience et de la pensée. La vie elle-même, pourtant.
Prenez, par exemple, « La Pensée sauvage », par Lévi-Strauss. Dans le premier
chapitre, l’éthnologue montrent que le fonctionnement de la raison entre les gens de
différentes cultures ou différents «étapes», en bref, les peuples dits primitifs et les gens
modernes, est donné de la même façon. Pendant longtemps, on a cru que les indiens ne
connaissaient de la nature que ce qui était utile pour eux, soit pour guérir ou pour
nourritoure. Il faut dire que la verité est contraire : la nature n’est pas connue parce que
elle est utile, mais elle est fait utile parce que elle est dejà connue. Les indiens
Coahuilla, para exemple, provenant d’une région désertique de la Californie, où les
caucasiens mal existent, vivent dans l’abondance, en connaissant 60 plantes alimentaires
et 28 autres avec propriétés narcotiques, stimulants ou médicinales. Les examples sont
nombreux : la langue tewa emploi des termes différents à chaque pièce ou presque
toutes les parties du corps des oiseaux et des mammifères. « Bien sûr, une connaissance
développée de façon si systematique ne peut pas dépendre uniquement de son utilité
pratique »4 (LÉVI-STRAUSS; 2006: 23).
Le même arrive à la magie, surtout si l'on prend comme référence la psychologie
et de la psychanalyse.

Selon la méthode de la double critique, propre à l’éthonologie, il faut


[...] voir la psychanalyse comme mythe et le psychanaliste comme
sorcier ou chaman. Nos enquetes psychosomatiques nous permettent
de comprendre la guérison chamanique, ou, par exemple, comme le
chamn aide une parturition difficile. Mais le chaman nous permettre
aussi de comprendre que la psychanalyse est la notre sorcellerie. 5
(MERLEAU-PONTY; 1980a: 202).
4
“É claro que um conhecimento desenvolvido tão sistematicamente não pode ser função apenas de sua
utilidade prática” (Dans l’édition brésilienne ici utilisée)
5
“Segundo o método da dupla crítica, peculiar à etnologia, trata-se [...] de ver a psicanálise como mito
e o psicanalista como feiticeiro ou xamã. Nossas investigações psicossomáticas permitem-nos
compreender a cura xamanística, ou, por exemplo, como o xamã auxilia um parto difícil. Mas o xamã
também nos permite compreender que a psicanálise é a nossa feitiçaria” (Selon l’édition brésilienne ici
utilisée)

5
L’Éthonologie est concerné, alors, dans ce contexte, de ne pas donner la raison
de la primitive ou même de lui donner raison contre nous, mais d’installer, l'un et
l’autre, sur un terrain où ils soit intelligibles. Elle devient, pourtant, nécessaire, car elle
élarge notre raison de façon à la tourner capable de comprendre ce qui, à la fois en nous
et chez les autres, au-dessus et au-delà la raison même. Par Merleu-Ponty, cette ordre
humaine découle de la fonction symbolique. Temps, histoire, travaille comme négation
de la nature, ne peuvent se produire dans un « ordre symbolique » qui se caractérise
avec le possible et avec l’avenir. Là, l’anthitèse entre la nature et la culture devient
moins forte. Soulève, en outre, le problème de l’historiographie : il faut réveiller le
passé en le remplaçant dans le présent. Problème relative à l’anachronisme, discuté par
Luvien Febvre, qui a montré que le problème de la croyance XVIe Siècle (tout l’univers
mental de Rabelais), ne pouvait pas être décrit dans notre langue, même pensé avec nos
catégories. En ce qui concerne cette question, le structuralisme est capable de penser en
dehors du monde des événements situés à l’époque datée en s’introduisant dans une
histoire que connait les mythes et les activités humains au-delà des événements versés.
Ainsi, pour Merleau-Ponty, l’Éthnologie fournirait un service à la Philosophie :
d’élargir la raison en attendrant à une onthologie dans lequelle la dichotomie sujet /
objet, pourrait être surmonté. Cela ne signifié pas, bien sûr, quie l’éthonolgie prendrait
la place de la philosophie. La question, pour le philosophe français, c’est qui la
Philosophie ne peut pas dispenser les catégories scientifiques, ainsi comme les sciences
ne peuvent pas dispenser les concepts philosophiques. En général, l’éthonologie serait
un grand rejet et donc apporterait desavantages tant à la science qu’à la philosophie :
elle se rejet à accepter les donné commo réel. Puis, cet acte apparament simple serait
contenue la possibilité d’un véritable progrès à la pensée humaine à l'époque que cela
supposerait l'intelligibilité, l'identification, ou, dans les mots de Merleau-Ponty, la
communication entre les choses qui nous parlent. Nous avons juste besoin de se
concentrer un peu pour les comprendre.

Bibliographie

LÉVI-STRAUSS, Claude. Antropologia Estrutural. Rio de Janeiro: Tempo Brasileiro,


1967.

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_____________________ O Pensamento Selvagem. Campinas: Editora Papirus;
2007.

MERLEAU-PONTY, Maurice. De Mauss a Claude Lévi-Strauss. In. Os Pensadores.


São Paulo: Abril Cultural, 1980a.

______________________ O Metafísico no Homem. In. Os Pensadores. São Paulo:


Abril Cultural, 1980b.

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