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Relation de soin et communication avec la personne soignée :

Définition de la douleur :
La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable associé à une lésion tissulaire
potentielle ou réelle.

Il existe 4 types de douleurs :


– douleur d'origine nociceptive : douleur qui se traduit par le message nerveux qui remonte de
la périphérique du corps vers des zones spécifiques du cerveau. Elle est sensible aux
antalgiques classiques. Mais il faut d'abord traiter la cause.
– La douleur d'origine neurogène : ce sont des douleurs qui sont en lien avec le
fonctionnement des nerfs (sciatique, oedème, trauma, rester pendant longtemps dans une
même position) sensation de décharge électrique, sensation de brûlure, fourmillement. On
les retrouve chez les gens qui ont eu une amputation (=membre fantôme). Il faut d'abord
traiter la cause. Mais les antalgiques classique ne sont pas efficace contrairement aux
antalgiques aux paliers élevé. Les Neuroleptiques sont également efficaces et les anti-
épileptiques.
– Les douleurs psychogène : contexte de difficulté psychologiques = périodes de stress et
dépression. Elles dépendent de la personnalité de l'individu (individu résilients). On essaye
de rechercher une cause physiologique. Traitement : causes de l'entourage et traitement
chimique (insomnie = somnifère, stress= anti stress...). Par exemple la migraine.
– Les douleurs chroniques : ce sont des douleurs qui reviennent tout le temps. On parle de
douleur chronique quand elles reviennent tout le temps toujours au bout de 3 (pour le
diagnostic) à 6mois (pour la sécurité sociale). La médecine a du mal à la soignée. Elle résiste
à toutes les tentatives thérapeutiques, c'est une douleur rebelle. Elle altère la personnalité du
patient , sa vie familiale, sociale et professionnelle. Le patient devient irritable, aigris,
susceptible, pénible, fatigué, replier sur lui même. Création de conflit relationnel.
Inefficacité dans le travail = perte de productivité.

Exemples :
– Me B s'est pincé le doigt dans une porte : douleur nociseptive
– Mr A présente des douleurs de son index sectionné comme s'il existait encore : douleur
neurogène
– Mlle C ressent des fourmillement le long de sa fesse et de sa cuisse gauche : douleur
neurogène
– Me E, 99 ans

Imagerie cérébrale de la douleur :

On regardera un EEG pour voir les stimulations électriques du cerveau.


On utilise les IRM fonctionnelle. On mesure la consommation d'oxygène d'une zone cérébrale. C'est
la technique la moins invasive et la plus parlante. On va stimuler une personne et on essaye de voir
la zone activée. On va aussi analyse l'efficacité des médicaments. On va aussi étudier l'efficacité des
placebo. L'effet nocebo est l'effet secondaire d'un placebo. Les effets nocebo sont présents chez
certaines personnes.
Le PET scan on injecte un traceur radioactif qui permet d'évaluer les variations des flux sanguins.
Le flux sanguin va être plus élevé quand la personne aura mal. Il permet aussi de cartographié la
distribution des récepteur aux opioïdes.
On utilise aussi les stimulations électriques. On utilise des stimuli électriques pour réduire la
sensibilité des récepteurs des cordons postérieurs de la moelle.
Bilan :
La douleur chronique est bien connu maintenant et la recherche s'oriente vers une amélioration de la
douleur chronique avec de meilleurs traitements.

Le cadre légal :

Loi de Kouchner : 4 mars 2002.


Avant 2002, si on avait besoin d'un antalgique, le médecin avait un carnet à souche et devait
justifier sur un dossier la raison pour laquelle il délivrait le médicaments. La prescription doit être
raisonnée. On a améliorer les différents types de médicaments antalgique.

On a travailler sur l'évaluation de la douleur.


« toute personne a le droit de recevoir des soins visant à soulager sa douleur. Celle ci doit être en
toute circonstance prévenue, évaluée, prise en compte et traitée. ».
on informe le patient, on évalue et on prend en charge. On doit réagir en prévention de la douleur et
en traitement de la douleur.

La prise en charge fait parti des certifications des hôpitaux.


Il existe aussi depuis 2004 le plan de lutte contre la douleur. Ce sont des objectifs nationnaux qui se
déclines au niveaux des établissements de santé. Il s'est focalisé sur la prise en charge de la douleur
chronique. Ils ont travailler sur la structuration de la poursuite des soins.
Traçabilité de la réalisation de l'examen et du traitement.

Prise en charge :

3 paliers de la douleurs :
– palier 1 (faible à modéré) = paracétamol, AINS
– palier 2 (modérées à sévères) = Opioïdes faibles comme codéine, tramadol
– Palier 3 (intense) = Opioïde forts comme morphine et ses dérivés.

Les ajduvents :
en urgence effet : 10 à 15min. Récupération immédiate.
Voie orale, voie rectale, voie veineuse, voie cutanée, sub-linguale (acupan), intra-téchale, intra
capsulaire.

Amélioration dans l'interventionnelle : neurolyse le long de la chaîne sympathique. Infiltration pour


diminuer inflammation.
Interventions plus élaborées. Neurolyse des ganglions céliaques. Simentoplastie. Alcoolisation,
radiofréquence de tumeur ossueuse. Ablation par radiofréquence laser de l'ostéome.
Destiné à augmenter le confort du patient, l'autonomie, la survie.

Hypnose = état de transe, manipulation de la patiente. Manipulation avec un bon objectif = réduire
la douleurs. On est concentré sur autre chose.
Formation de 2 ans.

Relation conflictuel au sein de l'équipe :

Burn out : syndrome d'épuisement professionnel : très mauvais sommeil. Moins productif, absences
au travail, irritabilité, isolement.
Le cadre doit repérer les signes de dépression, il doit dynamiser les équipe, faire une sorte de
repérage.
Motifs de violence : alcoolisation, reproches, temps d'attente excessif, provocation.
Formations de 3 jours pour la défenses. Pour renforcer leur confiance.
Les signalements ont augmentés.
Il y a des régions ciblées : Ile de France, Languedoc Rousillon...
Service les plus signalées : psychiatrie (24%), urgences (14%), imagerie (0,7%).
Avec le code pénal : Violence légère sans incapacité de travail : amende de 750€, incapacité de
travail inférieur à 8 jour : 1500 à 3000€, longue incapacité : 45 000€
Association pour parler de ses problème et des burn out.a

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