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3 grandes catégories de sources : les traites internationaux (droit écrit), la coutume et les
principes généraux de droit (pas écrits) et les actes unilatéraux.
Le rapport entre normes internationales : Le DIP se caractérise par l’articulation des normes
que le composent et l’interaction entre les différents sources (entre les modes de formation de
ces normes). Le DIP se caractérise par une forte spécificité par rapport a ce que nous
connaissez sur le droit interne o européen. En tant que le droit interne ou l’européen est
hiérarchisé (pyramide de normes), le DIP est en principe, peu hiérarchisé (il y a certains
éléments de hiérarchisation de normes internationales entre elles). L’idée générale est
l’horizontalité/ équivalence des différentes sources. Une norme de nature conventionnel
(contenue dans un accord/ traité) est aussi obligatoire qu’une norme coutumiene. Les normes
de formation internationale sont équivalentes. Ce n’est pas si simple, il y a jus cogens (normes
impératives avec effet normative renforcé) donc on a une équivalence générale entre sources
de DIP avec néanmoins certains concepts particulaires qui permet de ne parles d’une
équivalence totale entre les normes internationales.
Les sujets du DIP (les acteurs) : « les acteurs » est un terme qui s’utilise dans les relations
internationales. Le concept de « sujets » est différent, on ne parle pas de volonté ou action,
mais de droits et de obligations. Le concept de sujet est juridique et el le concept d’acteur est
plus large et s’adapte mieux aux relations internationales.
Quels sont les sujets du DIP ? Le sujet peut être titulaire de droits et obligations découlants des
normes du DIP. L’état, les organisations internationales et les personnes privées (c’est 3
catégories de sujets clairement distantes en DIP).
- L’état est le sujet originaire du DIP, sans l’état le DIP n’existerai pas, ni sur le plan
historique ni conceptuel. Sur le plan juridique l’état est le sujet susceptible d’avoir une
plénitude de droits et obligations, c’est le sujet qui de manière la plus complète peut
être titulaire de droits et obligations. C’est une réalité séculaire. Au cours du 19eme
siècle et 20 eme un nouveau type d identite a emerge qui a été progressivement
reconnu comme une véritable personne morale.
La différence entre l’ONU et l est que le yevá est une simple réunion recurrent de
répresentants d’état et l’ONU est une personne morale (une entité qui peut être
titulaire et est effectivement titulaire de droits et obligations dans l’ordre juridique
international). On est donc ici en presence d’un autre type de sujets du dip ui dans
certains états c’est analogue a l’etat, un sujet en principe public qui exerce un certain
pouvoir pour réaliser certaines fonctions ce qu’est le cas également de l’état. Les orgas
internationales présentent certaines différences par rapport à les etats : la principale
c’est l’absence de surrecte, la absence de competence. Les orgs exercisent seulemnet
les pouvoirs qui les sont attribués, elles ne sont pas compétentes de manière générale,
elles sont compétentes seulement dans une certaine mesure, spécificité de ce sujet du
droit international.
Au début du 20 ème siecle, la liste de sujets du dip était pas large. Mais depuis la
seconde guerre mondiale les personnes privés peuvent egalemnet êtres titulaires de
droits et obligations du dip. Par personnes privés on entend d’une part les personnes
physiques et de l’autre les personnes morales (pas d’existence physique ou matérielle
mais avec une existence juridique, e.g. association, société, etc.). Les personnes privés
peuvent être titulaire de droits et obligations en DIP mais, comme dans les orgs, nous
sommesen preence d un sujet different de l’état surtout dans le cadre doctrinal-
l’origin conceptuelle des droit et obligations des personnes privés
Et encore plus que pour les orgs
Une autre différence importante entre les droits et les obligations des personees
prives et ces des etats c’est que le contenu materiel se manifeste dans certains
domaines particulaires. Il y a certaines branches materielles de dip qui manifestent la
subjectivite international de personnes prives beaucoup plus que d’autres. Le droit
international de l’homme a pour finalite créer de droit de personnes humaines et
morales et tant que sujets de droits. Un autre domain dans lequel le droit de
personnes prives se manifeste, est le domaine economique. Le droit des invetissemtns
etrangeres reconu par les accordes internatioonaux, le droit international penal- droit
que defini certains certains infractions et sanctions attachés,.
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La definition du dip -page 1 manuel
Une autre solution possible pour définir le dip consiste a s attacher a certaines
relations- le dip est le droit applicable aux relations internationales (p.1). le dip
constitue par l ensemble de normes et des insituttions designé a regir la societe
international. C’est le droit applicable aux rels internacs. Les auteurs ont de mal a
écrire une definition.
Il y a une troisième option (preferée par le professeur) qui consiste a définir le dip
selon ses sources. Le dip est l’ensemble de normes qui ont été produites selon des
modalités particulaires. Quelles sont ces modalités ? ce sont les modalités qu’ont
defini en mettant les sources (le mode de production du DIP)
On vera que dans cette efnition la definition du dip selon ces sources correspond à l’ensemble
de normes applicable pour règler des diferences internationaux. L article 38 du statut de la
court international de justice a un rôle très important dans ce sujet.
Cette liste de sources du dip, en expliquant quelle types denormes la court inter peut
appliquer- définir les sources et le dip. Le dip est L’ensemble de normes qui se sont formés
selon ce modalités, les normes qui derivent de ces sources. Sont les sources qui definent la
norme internationale par rapport a la norme interne. On verra que cette definition repressent
également la logique du ordre juridique internat parce que si les sources sont telles que elles
sont parce que les normes internationales se forment d’une manière compatible avec les
caracteristiques de la societe international (le mode de fonctionnement des relations
internacs).
Ainsi defini le dip est en réalité le droit internac public- expression utilise depuis le 19eme
siecle mais il est important de la distinguer des autres concepts similaires mais différentes.
Dans les notes il y a une ouvrage 1680 (introduction to principlesof morals and legisa)- premier
ouvrage dans lequel le terme international est utilisé. A l époque c’était un neologisme, le
terme ne existait pas, en réalité le terme n se utilisait pas sur les relations internationales. Le
terme s affirmait au milieu du 19eme siecle. Le concepte du dip est un concept relativement
recent (19eme siecle).
Le concept es distant du concept de relations internacs. Le DI est une branche du droit, est
composé de normes juridiques (propositions linguistiques qui peuvent déterminer les règles de
conduit qui sont susceptibles d’avoir un effet obligatoire). Lá reside la difference entre di et les
rels, les rels euvent couvrir un grande nombre de phénomènes et conduits en interaction que
ne sont pas dictés par de normes juridiques. Le concepte d etat de droit bien connu en d
interne et beaucuopu moins solide en DI. Les rels internationales correspond à un concept
sociologique. Des resl sont des interactions dans la societe internationale, donc sulemnet en
partie sont des relations juridiques. Le dip est la partie de la réalité rels internacs qui
correspond à des normes juridiques. Le DI n’est pas la seule forme de droit. Il partage avec les
autres ensembles normatifs le fait d’être composé de normes mais le DIP est distant du droit
interne.
La distinction entre DI et droit interne dépend de la manière dont les normes sont produites.
Dans l’ordre interne : constitution, etc. qui n’existent pas en dip. Les sources sont
conceptuellement différentes. De plus en plus il y a une superposition du dip et d interne. Au
début de 20 eme distintion etange. Des accords et traites internacs ont une valeur très imp,
sont sources pour les droit interne. En ce qui concerne les libertés publique et le droit de l
homme il y a une superposition materielle de norme. Il s agit de déterminer le droit applicable
aux certain situations.
Le DI n’a pas un système de ce type parce qu’il n’y a pas des organes qui
auraient la fonction de production normative équivalente à celle d’un
parlement ou à celle du peuple- la production normative est décentralisé. Le
DI a des différentes sources et est produit collectivement par les différents
états, il n’y a pas un organe central qu’est chargé de la production des
normes juridiques internationales. Il existe des organisations internationales
universelles mais sur le plan juridique elles n’ont pas le pouvoir de produire
les actes analogues à la loi ou aux actes juridiques internes.
-Les normes primaires sont les normes matérielles qui régis directement la
conduit des sujets.
-Les normes secondaires sont les normes sur les normes, celles relatives à la
production d’autres normes juridiques ou celles comme le droit de la
responsabilité, qui règle les conséquences des infractions du droit primaire.
L existence du di n’est pas une question juridique, mais oblige a revenir sur
la queste de l’effectivvite du DI. Au 20eme siecle l’existence du DI n’a pu
être discute sur le plan juridique, mais sur le plan de la correspondece entre
le droit et le fait. Les auteurs anglox ont note de la juridicite du di
À tous les moins toutes les normes internationales ratifiées par la France sont
aussi des normes de droit français. Cettes normes peuvent être appliquées par
l’administration ou par les juridictions françaises avec une autorisation
supérieure dans la hiérarchise de normes- article 55 Constitution de Ve
République Française.
Malgré tout, la urisdiction internac existe et cela contribue également a
l’éffectivité du DI. Jusqu’à la fin de 19eme siècle on pouvez douter de la
juridicité du DI parce que jusqu’à le 20eme siècle il n’y avait pas de
juridiction, seulement avait d’arbitrage. Mais depuis le 20eme siècle il existe
des juridictions permanents (la première était la Cour Permanent de Justice
Internationale au 1920) et aujourd’hui le paysage juridictionnel international
on ne peut pas parler d’une inexistence d’un jure international.
En DI il n’y a pas cette verticalité. Il prime l’horizontalité parce que tous les
sources sont équivalentes, les normes primaires et secondaires sont
hierarchisement équivalentes. Par exemple, la Convention de Vienne sur le
Droit de Traités est un code qui règle la formation des traités mais elle est un
traité comme un autre dans le plan conceptuel. Le DI n’a pas une structure
pyramidale, dont c’est plus difficile d’expliquer pourquoi les normes
obligatoires sont obligatoires.
Cette approche n’a pas de moins parce qu’elle s’agit de permettre aux
acteurs de se sentir ne seulement concernés mais aussi partie de la
production de normes (p. 8-10). Approche associée à une doctrine des
auteurs Enriche Triepel et Anzilotti qui au début de 20 -ème siècle ont donné
une véritable cohérence a cette approche. Approche résumée dans une affaire
de la Cour Permanente de Justice Internationale- l’affaire du Lotus, France
contre Turquie (7 septembre, 1927) : Moodle- extrait résume parfaitement
cette approche volontariste. Tous les normes de DI viennent de la volonté
des états, volonté manifestée dans les traités, conventions et accords ou dans
les usages acceptés consacrant les principes de droit. Toutes les normes de
DI procèdent de la volonté des états sorbéranes. Les états sont sorbéranes
(indépendants) dont la seule manière logique de justifier la limite à
l’exercice de la souveraineté (des engagements) c’est de rattacher ces
rangements à l’acceptation.
Après la 2-ème Guerre Mondiale, cette approche est un peu en décalage avec
d’autres idées largement acceptées à la société internationale, et surtout avec
la remisse de la toute-puissance des états. Phénomène avant tout politique.
Certainement à partir de 1945 il y avait d’approches objectivistes qu’en
réalité sont très anciennes.
Question assez générale. Un grand nombre de domaines sont ouvertes par le DI (sur le
plan historique- expansion du DI à l’histoire, surtout u 20-ème siècle). Il existe de
normes de DIP sur un grand nombre de questions, surtout dans certains domaines il y a
plusieurs normes internationales et on peut parler de branches du DI. Il n y a pas une
catégorisation preetrabli, par exemple concernant le d francais, il n y a pas l equivalent
du contrat especiaux, mais il y a néanmoins certains questions que sont traites par le
droit internac :
Les relations consulaires son anciennes parce qu’il a eu besoin de protection des
ressortissants étrangères. Il y a des traités de codification qu’ont la volonté de régir
l’ensemble de questions à la matière. Il y a aussi beaucoup de jurisprudence sur les plan
interne et international mais on est en présence d un domaine materielle du di très
ancinne et très …sur le plan normatif.
En revanche, le DI couvre aussi les espaces non terrestres, e.g. les espaces marines-
dans quelle mesure les états peuvent-ils exercer leur compétence dans les espaces
marines ? l’ensemble ces questions sont codifiées dans la Convention de Montego Bay
sur le droit de la mer (1982). Elle est le dernier traité de codification sur le plan
chronologique et elle a connu des difficultés remarquables à la négociation. Par
exemple, les États Unis n’en sont pas parti mais le droit etabli dans ce traite corresponde
au droit coutumier, de manière générale le DI regis les questions de l’exercice de
competence dans les espaces marins.
Pénal : domaine relativement récent. On ne doit pas le confondre avec le droit pénal
international. Le droit pénal international : équivalent au DI Privé mais pénal, c’est une
partie de droit interne en matière pénale concernant les situations dans lequel le droit
pénal s’applique en présence d’un élément d’extranéité : par exemple, dans quelle
mesure les juridictions d’un certain état sont compétentes pour connaitre des infractions
commis à l’étranger. Le DI Pénal est une branche du DIP. Ce la branche qui établit
certaines infractions internationales (interdictions relatives à certaines conduits), en
associant des sanctions pénales. Le DI Pénal a des frontières relativement vagues parce
que en réalité il a deux catégories de infractions qu’on peut qualifier d’internationales.
Les infractions internationales ne sont pas définis par un texte, il a des infractions
simplement internationalisées (ce sont des infractions établis en droit interne mais qui
sont encadrés en parti par le DI : e.g. la corruption est l’objet de conventions tant dans le
cadre de Nations Unis que dans le cadre de la Organisation pour la Coopération et le
Développement Économique ) et d’autre part on a des crimes internationaux (pas
simples infractions internationalisés mais une catégorie plus restrant de crimes qui sont
établis de manière limite dans le statut de Rome 1998. La définition et la répression des
crimes internationaux sont assures à l’échelle international. Ils sont les génocides, les
crimes de guerre, les crimes contre l’humanité et les crimes d’agression. Les 4 crimes
comprennent un ensemble de crimes (longue liste de crimes prévus) mais seulement ces
4 catégories sont constitutives de crimes internationaux et sont définis par le statut de
Rome et réprimés par les jures internationales dans le cadre de la Cour Pénale
Internationale.
Orientation : parce que le fait de conclure les traités internationaux et, en général, la
production normative, est avant tout le résultat de l’expression de points de vue, très
souvent de véritables négociations et puis a donné une orientation du conduit des
acteurs concernés. Il s’agit de l’idée du conduit des acteurs concernés.
I. Approche générale
Le terme « source » est un terme classique en DI mais ambigu, l’image de la source est
une métaphore. Il s’agit de comprendre d’où sortent les normes du droit international.
On peut avoir deux versions de sources. D’une part on a des sources en sens matériel et
d’autre les sources formelles.
Formelles : elles font la cohérence du DI et sont les plus importantes. Quelles sont les
modes de formation des normes, les procédés de formation des normes du DI. Question
juridique parce que la manière dont les normes juridiques se forment relève des normes
secondaires. S’interroger sur les sources formelles d’un système juridique = s’interroger
sur la structure du système juridique, donc sur sa logique.
Il faut distinguer le concept d’acte juridique. Acte juridique : grande ambiguïté lors
qu’on dit que les accords et traités sont sources du DI – les traites sont en réalité deux
choses à la fois : la mode de formation du DI et aussi un acte juridique. Il faut distinguer
le procédé et le résultat du procédé. La source c’est le procédé et l’acte juridique c’est le
résultat de ce procédé. L’acte juridique c’est une manifestation de volonté qui vis à
produire des effets juridiques typiquement on l’oppose aux faits juridiques qui
produissent des effects independentment de l’existence d’une volonté. On parle de faits
internationnelemet illicites quand il n y a pas de volonté de violer le DI, sont simples
faits. Un acte juridique est le resultat d une volonté.
Volonté de plusieurs sujets du DI (pas vrai excatemente, il ya aussi des actes unilateraux
et des actes colletif parmi lequels le plus imp est les traités) et le sources sont el proceso.
On peut avoir actes qui sont produit de volonté multiraterelle mais inconventionelles,
parce que ils ne sont pas susceptibles de produire des effets juridiques.
B. Validité et opposabilité