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Introduction au Droit International

Questions introductives, définitions du droit international et les lignes que le caractérisent, 1 ER


thème de droit positif : es sources du DIP, comment les normes que forment le DIP se forment
t’elles.

Les sources du DIP :

3 grandes catégories de sources : les traites internationaux (droit écrit), la coutume et les
principes généraux de droit (pas écrits) et les actes unilatéraux.

Le rapport entre normes internationales : Le DIP se caractérise par l’articulation des normes
que le composent et l’interaction entre les différents sources (entre les modes de formation de
ces normes). Le DIP se caractérise par une forte spécificité par rapport a ce que nous
connaissez sur le droit interne o européen. En tant que le droit interne ou l’européen est
hiérarchisé (pyramide de normes), le DIP est en principe, peu hiérarchisé (il y a certains
éléments de hiérarchisation de normes internationales entre elles). L’idée générale est
l’horizontalité/ équivalence des différentes sources. Une norme de nature conventionnel
(contenue dans un accord/ traité) est aussi obligatoire qu’une norme coutumiene. Les normes
de formation internationale sont équivalentes. Ce n’est pas si simple, il y a jus cogens (normes
impératives avec effet normative renforcé) donc on a une équivalence générale entre sources
de DIP avec néanmoins certains concepts particulaires qui permet de ne parles d’une
équivalence totale entre les normes internationales.

Les sujets du DIP (les acteurs) : « les acteurs » est un terme qui s’utilise dans les relations
internationales. Le concept de « sujets » est différent, on ne parle pas de volonté ou action,
mais de droits et de obligations. Le concept de sujet est juridique et el le concept d’acteur est
plus large et s’adapte mieux aux relations internationales.

Quels sont les sujets du DIP ? Le sujet peut être titulaire de droits et obligations découlants des
normes du DIP. L’état, les organisations internationales et les personnes privées (c’est 3
catégories de sujets clairement distantes en DIP).

- L’état est le sujet originaire du DIP, sans l’état le DIP n’existerai pas, ni sur le plan
historique ni conceptuel. Sur le plan juridique l’état est le sujet susceptible d’avoir une
plénitude de droits et obligations, c’est le sujet qui de manière la plus complète peut
être titulaire de droits et obligations. C’est une réalité séculaire. Au cours du 19eme
siècle et 20 eme un nouveau type d identite a emerge qui a été progressivement
reconnu comme une véritable personne morale.

La différence entre l’ONU et l est que le yevá est une simple réunion recurrent de
répresentants d’état et l’ONU est une personne morale (une entité qui peut être
titulaire et est effectivement titulaire de droits et obligations dans l’ordre juridique
international). On est donc ici en presence d’un autre type de sujets du dip ui dans
certains états c’est analogue a l’etat, un sujet en principe public qui exerce un certain
pouvoir pour réaliser certaines fonctions ce qu’est le cas également de l’état. Les orgas
internationales présentent certaines différences par rapport à les etats : la principale
c’est l’absence de surrecte, la absence de competence. Les orgs exercisent seulemnet
les pouvoirs qui les sont attribués, elles ne sont pas compétentes de manière générale,
elles sont compétentes seulement dans une certaine mesure, spécificité de ce sujet du
droit international.

Au début du 20 ème siecle, la liste de sujets du dip était pas large. Mais depuis la
seconde guerre mondiale les personnes privés peuvent egalemnet êtres titulaires de
droits et obligations du dip. Par personnes privés on entend d’une part les personnes
physiques et de l’autre les personnes morales (pas d’existence physique ou matérielle
mais avec une existence juridique, e.g. association, société, etc.). Les personnes privés
peuvent être titulaire de droits et obligations en DIP mais, comme dans les orgs, nous
sommesen preence d un sujet different de l’état surtout dans le cadre doctrinal-
l’origin conceptuelle des droit et obligations des personnes privés
Et encore plus que pour les orgs

Question de Comprendre si on est en présence de droits et obligations que le dip


constitue immédiatement au profit de personnes privés ou si on a des personnes
prives que se benefit de droits qui sont crées par les états et donc avec l’absence des
états ce droits ne existeraient pas.

Une autre différence importante entre les droits et les obligations des personees
prives et ces des etats c’est que le contenu materiel se manifeste dans certains
domaines particulaires. Il y a certaines branches materielles de dip qui manifestent la
subjectivite international de personnes prives beaucoup plus que d’autres. Le droit
international de l’homme a pour finalite créer de droit de personnes humaines et
morales et tant que sujets de droits. Un autre domain dans lequel le droit de
personnes prives se manifeste, est le domaine economique. Le droit des invetissemtns
etrangeres reconu par les accordes internatioonaux, le droit international penal- droit
que defini certains certains infractions et sanctions attachés,.

Les trois categories de sujets sont différents.

Institutions de droit international, comment le dip est mis en ouvre en pratique.


L’interaction entre droit interne et droit international. La place du dip en droit interne,
dans l ordre juridique francais. Quel est la place des accords internationales en France,
comment l administracion applique les accords internationaux.

La responsabilité internationale- quels sont les conséquences de la méconnaissance


des normes juridiques internationales. Parmi ces consequences certaines touchent à la
manière dont l ordre juridique et d’autres sujets reagis a ces faits internationalement
ilictes. Comment on peut califier la responsabilité internationale, c’est une
responsbailite ius generis, la responsabilite penal est une responsabilite specifique,
c’est defini d une certaine manière qui reflexe especifite de l ordre juridique
international.

Sanctions pas centralisés, descentralisées dans la forme de contremesures, de mesures


qui reagis a un fait internationalement ilicite. Celles contremesures parce que elles
sont illicites qui prima facie pris
Un etat qui ne respecte plus un accord international, l accord a été meconnu par une
des parts, le dip en cadre de … cette contremesure
Il y a pas toujours un jus competente (autorite centrale) qui determine les
consecuences de un fait international ilicite.

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La definition du dip -page 1 manuel

Il y a différents définitions du DIP parce qu’on peut suivre différents critères.


Historiquement different critères ont été choisis dans la doctrine international. Le
premier c’est un critere très lointain qui estait utilise jusqu’au début du 20eme siecle  :
il s’agit des sujets- selon cette definition le dip est l’ensemble de normes applicables
entre certains sujets. Historiquemente il s’agissait des états, juqu’à la fin de 19eme
siecle la definition de dip et de di aplicable entre relaitions entre etat, definition
correcte correspondait dans une large mesure a la réalité pratique au droit posititif- en
réalité les choses se sont compliqués au 20eme siecle, avec le sort de nouveaux sujets
de dip. déjà a l époque un certain nombre d entites étaient consideres comme de
sujets de dip alors même qu il n se agissait pas d états. Par exemple le sansiege a partir
de 19/870 ne correspond plus a un territoire, il n se agissait pas d un etat dans la
definition. Pourtant le sansiege a toujours été cnsidere comme sujet du dip. Dons déjà
a l époque ils ont change la definition pour dire que le dip était l ensemble de nomres
aux états et sujets analogues.
Ils a fallu ajouter les orgs internacs et aujourd hui on ajoute les personnes prives.
Aujourd la definition selon les sujets peut être très large, dip devrait être selon ce
critere= lénsemble de norme appicable entre états, orga internac et personnes prives.
N’a pas becaucoup de sens parce que chcun sicecle cettes relations sont souvent regis
par le droit interne. Donc ce critere de definition correspond mal a la réalité de dip
aujourd hui.

Une autre solution possible pour définir le dip consiste a s attacher a certaines
relations- le dip est le droit applicable aux relations internationales (p.1). le dip
constitue par l ensemble de normes et des insituttions designé a regir la societe
international. C’est le droit applicable aux rels internacs. Les auteurs ont de mal a
écrire une definition.

Il s agit de définir les relations internationals- difficule parce qu il retombe sur la


question des sujets.

Il y a une troisième option (preferée par le professeur) qui consiste a définir le dip
selon ses sources. Le dip est l’ensemble de normes qui ont été produites selon des
modalités particulaires. Quelles sont ces modalités ? ce sont les modalités qu’ont
defini en mettant les sources (le mode de production du DIP)

Liste dont on parlait tout d’ailleurs

- Traités, accords, conventions.


- Coutume.
- Principes del derecho
Actes no se que tb

On vera que dans cette efnition la definition du dip selon ces sources correspond à l’ensemble
de normes applicable pour règler des diferences internationaux. L article 38 du statut de la
court international de justice a un rôle très important dans ce sujet.

Cette liste de sources du dip, en expliquant quelle types denormes la court inter peut
appliquer- définir les sources et le dip. Le dip est L’ensemble de normes qui se sont formés
selon ce modalités, les normes qui derivent de ces sources. Sont les sources qui definent la
norme internationale par rapport a la norme interne. On verra que cette definition repressent
également la logique du ordre juridique internat parce que si les sources sont telles que elles
sont parce que les normes internationales se forment d’une manière compatible avec les
caracteristiques de la societe international (le mode de fonctionnement des relations
internacs).

Ainsi defini le dip est en réalité le droit internac public- expression utilise depuis le 19eme
siecle mais il est important de la distinguer des autres concepts similaires mais différentes.
Dans les notes il y a une ouvrage 1680 (introduction to principlesof morals and legisa)- premier
ouvrage dans lequel le terme international est utilisé. A l époque c’était un neologisme, le
terme ne existait pas, en réalité le terme n se utilisait pas sur les relations internationales. Le
terme s affirmait au milieu du 19eme siecle. Le concepte du dip est un concept relativement
recent (19eme siecle).

Le concept es distant du concept de relations internacs. Le DI est une branche du droit, est
composé de normes juridiques (propositions linguistiques qui peuvent déterminer les règles de
conduit qui sont susceptibles d’avoir un effet obligatoire). Lá reside la difference entre di et les
rels, les rels euvent couvrir un grande nombre de phénomènes et conduits en interaction que
ne sont pas dictés par de normes juridiques. Le concepte d etat de droit bien connu en d
interne et beaucuopu moins solide en DI. Les rels internationales correspond à un concept
sociologique. Des resl sont des interactions dans la societe internationale, donc sulemnet en
partie sont des relations juridiques. Le dip est la partie de la réalité rels internacs qui
correspond à des normes juridiques. Le DI n’est pas la seule forme de droit. Il partage avec les
autres ensembles normatifs le fait d’être composé de normes mais le DIP est distant du droit
interne.

La distinction entre DI et droit interne dépend de la manière dont les normes sont produites.
Dans l’ordre interne : constitution, etc. qui n’existent pas en dip. Les sources sont
conceptuellement différentes. De plus en plus il y a une superposition du dip et d interne. Au
début de 20 eme distintion etange. Des accords et traites internacs ont une valeur très imp,
sont sources pour les droit interne. En ce qui concerne les libertés publique et le droit de l
homme il y a une superposition materielle de norme. Il s agit de déterminer le droit applicable
aux certain situations.

sont très importants


Notes deuxième jour :

A. Quelques repères théoriques

1. La place du droit dans une société internationale dense, décentralisée,


conflictuelle, mais régulée

Décentralisation- différence importante par rapport au droit interne. La


société interne se construit selon un modèle fortement centralisé, les
autorités étatiques ont un rôle essentiel dans la production de normes et dans
le fonctionnement du système juridique. En revanche, la société
internationale se caractérise par une forte décentralisation tout d’abord en
termes de production de normes.

On cherche en vain dans la société internationale l’équivalence des notions


telles que la constitution ou la loi. En droit interne, la décision unilatérale de
la part des institutions publiques abouti à la production de normes/actes
juridiques qui priment sur les actes produits par les personnes privés : e.g. la
loi prévoit sur les contrats s’insère dans un système de production du droit
qui est consacré sur la constitution.

Le DI n’a pas un système de ce type parce qu’il n’y a pas des organes qui
auraient la fonction de production normative équivalente à celle d’un
parlement ou à celle du peuple- la production normative est décentralisé. Le
DI a des différentes sources et est produit collectivement par les différents
états, il n’y a pas un organe central qu’est chargé de la production des
normes juridiques internationales. Il existe des organisations internationales
universelles mais sur le plan juridique elles n’ont pas le pouvoir de produire
les actes analogues à la loi ou aux actes juridiques internes.

L’interprétation des normes juridiques est également fortement décentralisée


dans la societé internationale. Les interpréteurs des normes sont les auteurs.
Ici chaque etat peut interpréter le contenu des norme juridiques qui a
contribu a élaborer de manière individuelle. Il existe une jurisdiction
international mais leur rôle est beaucoup plus réduit qu’en droit interne. Tout
d abord parce que en réalité le nombre le cas dont le litiges sont règles par la
voi jurisdictionnelle est beaucoup plus feble qu’à la societé interne.

Sur le plan quantitatif, il y a des juridictions internationales mais les chiffres


de leur activité sont une mesure avec du nombre de différences qui existent à
la société internationale.

La Court Internationale de Justice International, qui est l’organe judicielle de


l’ONU, sur toute l’histoire de la juridiction depuis 1920 a connait 177
affaires dont une vingtaine ont été en réalité des affaires pas contentieuses-
relative faiblesse de contentieux environ 150 affaires sur toute l’histoire de la
juridiction.

Quant à l’arbitrage- c’est décentralisé, un tribunal arbitral est créé pour


chaque affaire. Si l’on se réfère a la Cour Permanent d’Arbitrage, les
arbitrages entre états ont été également rares. Depuis le demi du 20eme
siècle jusqu’à aujourd’hui il y a eu une trentaine d’affaires. Si l’on regarde
les juridictions spécialises on trouvera un nombre plus important d’affaires
(les tribunaux du Centre International de Règlement pour les differences
internationaux) a connu 800 depuis 1965, l omc presque, cedh on a arrive en
viron 20000 affaires par an. Le jures dans la s internationale ont un rôle
moindre sur le plan quantitatif.

La différence essentielle par rapport au droit interne ce qu’il n’y a pas un


principe général de compétences obligatoires- dans la juridiction interne les
défendeurs n’ont pas de choix, la compétence est établie de manière
centralisée par le textes législatives (e.g. compétence de juridictions pénales
et civiles, codes de procédure). Cette idée est absente au DI. La compétence
des juridictions internationales doit être accepté pour exister : chaque état est
libre d’accepter ou pas la compétence de telles juridictions internationales.
L’acceptation de la compétence peut se faire à l’avance (avant la naissance
d’une différence spécifique) et peut se faire aux catégories de différences :
pour toutes les différences relatives à l’application et à l’interprétation de
droit de l’organisation mondiale de commerce, l’organe de règlement des
différences de l’OMC a compétence obligatoire. Il y a des règles de
compétence obligatoire dans le cadre des organisations internationales mais
il n’y a pas un principe général de compétence international obligatoire, au
contraire, le principe est celui de consensualisme : il faut que tant les
demandeurs que les défendeurs acceptent la compétence d’une certaine
juridiction pour que cette juridiction puisse se prononcer. Quand les
demandeurs ont exprimé son acceptation de la compétence d’une juridiction
il faut dans tous les cas que les défendeurs ont accepte la compétence de la
juridiction.

Autre différence entre DI et le droit interne : la responsabilité. Son


fonctionnement pratique est bien différent de celui du droit interne. En DI il
faut en pratique que l’état laisse en hors cette responsabilité, il n y a donc
pas de fonction équivalent a celle d’un procureur qui en matiere penal peut
poursuivre certains infractions. L’état laisse en voc cette resonspab. La
manière dont la responsabilite est mis en ouvre n’est pas par un constat
juridictionnelle. La responsabilité est mis en ouvre par d’autres moyens
fortement decentralisés, on peut parler de justice privée qui se manifeste par
un concepte déjà mentionné le cocepte de contre mesure, de mesures mis en
ouvre par l etat que s estime laissé pour réagir un fait international illicite qui
compris les represalies part de comportement qui en tant que telles seraient
illicites. A certains conditions licites. La modalite classique et predominant
de mis en ouvre de la respons a l internac. (21 :03)

De DI fonctionne de manière beaucoup plus décentralisée par rapport au d


interne. Malgré toutes les tensions que ce mode de fonctionnement crée c’est
un système que fonctionne. Il y a certaines régulations dans la société
internationale que créent tensions mais ce n’est pas une société anarchique.

Cette régulation se présent de manière diffèrent par rapport au société


interne. Dans la société internationale la législation se présent de manière
périphérique. Le concept d’état de droit a une importance essentielle au droit
interne (notion dans laquelle l’ensemble du fonctionnement de l’état est régi
par le droit). Mais dans la société internationale le concept d’état de droit n’a
pas de sens, le concept es consubstantiel et liée au cadre juridique et
politique à celui de l’état, à la sphère internationale il n’y a pas une
collectivité qu’on peut dire que soit intégralement régi par le droit.

On peut parler de prééminence du droit- véritable principe constitutionnelle,


on pourrait se demander si dans quelle mesure l’ensemble de fonctionnement
de la société internationale est régi par le droit. Le DI n’a pas vocation à tout
régir, à être le seul moyen de régulation de la société internationale. Dans la
société internationale la régulation par la puissance est plus pesante qu’a la
société interne. La dialectise entre le droit et la régulation par la puissance se
présent de manière différente.

2. Existence et originalité du droit international

Il existe mais il a une nature spécifique et originale. Tout d’abord la question


de l’existence c’est la question de l’originalité (la particularité du DI par
rapport au droit interne).

Est- ce que le DI existe ? Il faut démontrer cette existence. D’une manière


formelle la question est vraiment théorique, il s’agit de s’entendre sur la
définition du droit (pour pouvoir dire si le DI appartient à la catégorie
« droit » c’est essentiel de s’entendre sur la définition de droit).

Jusqu’à le 19eme siècle, la définition était centrée sur l’existence d’une


sanction assurée par un contrat public/ potentiellement public (John Austin).
Selon lui, la définition du droit est liée à l’existence d’une sanction au sens
d’un contrat. Il n’est pas une surprise qu’au DI il n’ y a pas d’autorité
centralisée qui peut faire la contrance. En cadre de violation de normes
internationales, la réaction est décentralisée, il n’existe pas d’autorité
internationale qui pourrait exercer de la force sur les territoires des états. Il
n’existe un état qui peut exercer de la force sur le territoire des autres états.

Mais au 20eme siècle l’évolution conceptuelle du droit est devenu plus


abstract. Herbert Hart (HLA Hart- théoricien du droit britannique) identifiez
dans les systèmes normatives deux catégories de normes : primaires et
secondaires.

-Les normes primaires sont les normes matérielles qui régis directement la
conduit des sujets.
-Les normes secondaires sont les normes sur les normes, celles relatives à la
production d’autres normes juridiques ou celles comme le droit de la
responsabilité, qui règle les conséquences des infractions du droit primaire.

Cette distinction est aussi utile en droit interne- la distinction permet de


rendre compte de la fonction de la hiérarchie de normes- en droit interne la
constitution est supérieure à la loi pas seulement sur le plan matériel mais
aussi sur le plan juridique, à raison du fait que la constitution détermine la
manière dont la loi est produite. (p.13-24)

Il y a une autre définition de droit plus majoritaire : le droit est un système


normatif cohérent que comprend des normes primaires et secondaires. Il
suffit pour être qualifié comme système juridique de contenir des normes
relatives à la production et aux conséquences des violations d’autres normes.
Le DI remplis la définition parce qu’il yy a des normes secondaires (droit de
traites, droit de sources, de sujets, droit de la responsbailite) undeniabl le di
contient un gran nombre de normes de sources

L existence du di n’est pas une question juridique, mais oblige a revenir sur
la queste de l’effectivvite du DI. Au 20eme siecle l’existence du DI n’a pu
être discute sur le plan juridique, mais sur le plan de la correspondece entre
le droit et le fait. Les auteurs anglox ont note de la juridicite du di

Le droit internac est-il en crise ? Dans l’ensemble, le DI est respecté sans


dificulté. Il y a des violations du DI mais dans l’ensemble le DI est respecté.
Louis Henkin dit que la plupart des états respectent la plupart des normes du
DI la plupart de temps. C’est n’es pas toujours ou tous mais c’est une
effectivité d’ensemble, pas totale.

Le DI est de plus en plus intégré au système juridique interne. Autant que se


posent des questions sur le DI dans la société internationale autant on peut
constater que le DI vis aussi dans les ordres juridiques internes, parce qu’il
renforce son effectivité. une fois qu’on avez passé le cueille theorique de
vaoir si cette effectivite est plus au di en tant que t’elle ou au droit national
qui permet au DI de s epannoir en sons sens. Cette eppanouissance se
present.

Article 55 Constitution française :

« Les traités ou accords régulièrement ratifiés ou approuvés ont, dès leur


publication, une autorité supérieure à celle des lois, sous réserve, pour
chaque accord ou traité, de son application par l'autre partie »

À tous les moins toutes les normes internationales ratifiées par la France sont
aussi des normes de droit français. Cettes normes peuvent être appliquées par
l’administration ou par les juridictions françaises avec une autorisation
supérieure dans la hiérarchise de normes- article 55 Constitution de Ve
République Française.
Malgré tout, la urisdiction internac existe et cela contribue également a
l’éffectivité du DI. Jusqu’à la fin de 19eme siècle on pouvez douter de la
juridicité du DI parce que jusqu’à le 20eme siècle il n’y avait pas de
juridiction, seulement avait d’arbitrage. Mais depuis le 20eme siècle il existe
des juridictions permanents (la première était la Cour Permanent de Justice
Internationale au 1920) et aujourd’hui le paysage juridictionnel international
on ne peut pas parler d’une inexistence d’un jure international.

Originalité : le DI est un droit sans constitution, sans loi, la responsabilité est


mise en œuvre aussi de manière décentralisé (ensemble très forte de
décentralisation). Cette originalité peut être interpelé parce qu’en d interne
toutes les questions de caractère obligatoire de telle ou telles normes trouvez
réponse directe parce qu’on a la constitution et les textes réglementaires et
législatives. Avec la pyramide de Kelsen tout est simple.

En DI il n’y a pas cette verticalité. Il prime l’horizontalité parce que tous les
sources sont équivalentes, les normes primaires et secondaires sont
hierarchisement équivalentes. Par exemple, la Convention de Vienne sur le
Droit de Traités est un code qui règle la formation des traités mais elle est un
traité comme un autre dans le plan conceptuel. Le DI n’a pas une structure
pyramidale, dont c’est plus difficile d’expliquer pourquoi les normes
obligatoires sont obligatoires.

En DI c’est un problème persistent parce que les probleme de fondoment


theorique et phylosophiques du DI sont indépassable, on peut trouver des
réponses différentes selon la vision que l’on a de la societe internationale.
C’est ainsi que toutes les grandes nombres de la doctrine, spécialement
juqu’à début la premiere moitié du 20eme siècle ont une vision très
personnelle.

Il a deux grandes… qui sont indépassables pour résoudre pourquoi le DI est


obligatoire :

- Option/approche volontariste : n’importe quelle norme de DIP qu’est


obligatoire, est obligatoire parce que se forme sur la volonté des états. Cette
vision ramène la valeur obligatoire de normes de DI à la volonté des états. Il
ne s’agit pas ici de la volonté des sujets de droit international dans leur
ensemble. Lorsqu’on parlera de coutume on verra que dans une approche
volontariste orthodoxe ce qui compte est uniquement la pratique étatique et
le point de vue des états. Ce que font les organisations internationales ne
relève pas de la pratique parce que les organisations sont vues seulement
comme le cadre dans lequel s’exprime la pratique étatique.

En réalité même si l’approche est intuitive elle put avoir difficultés à


expliquer certains phénomènes de DI. La coutume est un bon exemple parce
que même si l’on accepte l’idée que les normes coutumières sont issues du
pratique étatique, il s’agit en réalité de l’opinion des états dans leur
ensemble, pas seulement de la volonté de chacun. Approche de grand
qualité, majoritaire dès le début de la fin du 19eme siècle. Permet assoir une
certaine légitimité de normes internationales sur l’accord politique dominant
à l’époque.

Cette approche n’a pas de moins parce qu’elle s’agit de permettre aux
acteurs de se sentir ne seulement concernés mais aussi partie de la
production de normes (p. 8-10). Approche associée à une doctrine des
auteurs Enriche Triepel et Anzilotti qui au début de 20 -ème siècle ont donné
une véritable cohérence a cette approche. Approche résumée dans une affaire
de la Cour Permanente de Justice Internationale- l’affaire du Lotus, France
contre Turquie (7 septembre, 1927) : Moodle- extrait résume parfaitement
cette approche volontariste. Tous les normes de DI viennent de la volonté
des états, volonté manifestée dans les traités, conventions et accords ou dans
les usages acceptés consacrant les principes de droit. Toutes les normes de
DI procèdent de la volonté des états sorbéranes. Les états sont sorbéranes
(indépendants) dont la seule manière logique de justifier la limite à
l’exercice de la souveraineté (des engagements) c’est de rattacher ces
rangements à l’acceptation.

Après la 2-ème Guerre Mondiale, cette approche est un peu en décalage avec
d’autres idées largement acceptées à la société internationale, et surtout avec
la remisse de la toute-puissance des états. Phénomène avant tout politique.
Certainement à partir de 1945 il y avait d’approches objectivistes qu’en
réalité sont très anciennes.

- Option objectiviste : caractère obligatoire du DI qui était considérée


comme résultat d’un contrat et pas comme le résultat d’une volonté ou
d’un choix. Anciennement (à l’Antiquité), cette nécessité objective était
une nécessité religieuse. À l’époque le fondement philosophique de cet
engagement (de la valeur obligatoire) était moral, de type religieux.
Grotius (père du DI) on été sur presente d un … fonde sur les
fondements religieuses et morales. (…)

Le passage de l’époque moderne (Traité de Versailles) dans les accords


de ce traite- le découplage du religieux et du temporel. Cela se manifesta
aussi en doctrine, ce passage du 17 siècle, dejan lo religuioso y pasan
ales normes internationales se relèvent de la logique- morale. La manière
dont à l’époque se déterminait du droit maritime des règles de loqique.

Au 20-ème siècle on peut parler d’objectivisme pour les auteurs comme


Scelle (objectivisme sociologique), les normes internationales redu d’une
nécessite social (contrat social) d’avantage que d’une volonté. Intéressant
parce qu’à la première moitié du 20-ème siècle Angilotti écrivait aussi-
débat doctrinal. Même les concepts de droit de l’homme sont
compatibles avec la vision objectiviste. Si vraiment il s’agit de droit
intrinsèque a la personne humaine il ne s’agit pas du monde à la
disposition des états, il s’agit de droit qu’on peut seulement reconnaitre-
son éxistence est un réalité préexistent à la reconnaissance.
En réalité ce débat entre les deux options (volont et objet) est
indépassable. Le choix est philosophique. Dans le débat doctrinale, l’idée
acceptée est le volontarisme dans la mesure effectivement auhourd hui
on peut dire que les normes internationales dependent de l’acceptation
des etats. En tous cas sur le plan théorique ce debat touche le structure
meme di et a son raison d’être.

3. Le problème du fondement du droit international : l’approche volontariste et


les approches objectivistes

B.A quoi sert le droit international ?

Question assez générale. Un grand nombre de domaines sont ouvertes par le DI (sur le
plan historique- expansion du DI à l’histoire, surtout u 20-ème siècle). Il existe de
normes de DIP sur un grand nombre de questions, surtout dans certains domaines il y a
plusieurs normes internationales et on peut parler de branches du DI. Il n y a pas une
catégorisation preetrabli, par exemple concernant le d francais, il n y a pas l equivalent
du contrat especiaux, mais il y a néanmoins certains questions que sont traites par le
droit internac :

1-Domaines couverts par le droit international : relations diplomatiques, relations


économiques, régime international des espaces, protection de l'environnement, droits
de l’homme, droit international pénal, etc.

Relations diplomatiques, question plus ancienne : Conventions de Vienne de 1961 sur


les Relations Diplomatiques et la Convention de 1963 sur les Relations Consulaires
(articles 3 et 5 de ces deux conventions). Les relation diplomatiques sont celles qui
entrentt a la repreentation d un etat auprès d un autre etat. les intérêts en jeux sont les
interest des etats. la manière dont ces questions sont faites se trouve sur le statut des
diplomates et les represent d etat, et sur la protection international que le droit offre ces
personnes en raison de ses fonctions (e.g. l’immunité). Ces questions sont codifies dans
ces accords, grands traites de codification des annés 60s, que sont le Traité de Vienne
sur les relations diplomatiques. Les relations consulairs concernent la représentations
d’interets pas d’états mais de resortissant etrangeres, personnes morales, interéts privés.

Les relations consulaires son anciennes parce qu’il a eu besoin de protection des
ressortissants étrangères. Il y a des traités de codification qu’ont la volonté de régir
l’ensemble de questions à la matière. Il y a aussi beaucoup de jurisprudence sur les plan
interne et international mais on est en présence d un domaine materielle du di très
ancinne et très …sur le plan normatif.

Relations économiques : comprend trois pilaires : le commerce, l’investissement et la


monnaie/ finance. Les trois représentent dans leur ensemble l’économie : la production
et l’échange de valeur. À la sphère internationale cela donne nombre à beaucoup de
questions qui se sont enrichies notamment au 20-ème siècle avec la question du
développement. Le droit international c’est ceci depuis longtemps des relations
économiques et il y a beaucoup de production normative à la matière :
En matière commerciale, il faut mentionner L’organisation mondiale du commerce avec
l’Accord de Marrakech de 1994 (texte fondateur). En réalité toujours en matière
commerciale il y a un grand nombre de accordes préférentielles, des accordes bilatéraux
qui sont distantes du droit multilatéral de l’organisation mondiale du commerce.

En matière d’investissement il y a un total de 3000 accords internationaux (Conférence


des Nations Unies pour le Commerce et le Développement) il s’agit principalement de
accords bilatéraux d’investissement (e.g. traités bilatéraux d’investissement- TBI, plus
de 2000 accords concernant la protection des investisseurs étrangers) mais il y a aussi
des accords régionaux ou multilatéraux (Convention de Washington 1965, le Centre
International pour le Règlement de Différences relatifs aux investissements). Les
relations économiques sont bien couvertes par le DI.

Régime internationale espace : le DI s’intéresse à la répartition de compétences non


seulement sur la terre mais aussi hors d’elle. Il n’y a plus de territoires sans mettre, le
terre est reparti entre états sorbérans. Il y a une seule exception, une seule région
particulaire qu’est celui de l’Antarctique et il fait l’objet du Traité de Washington sur
l’Antarctique (1959) mais il y a des autres territoires disputés.

En revanche, le DI couvre aussi les espaces non terrestres, e.g. les espaces marines-
dans quelle mesure les états peuvent-ils exercer leur compétence dans les espaces
marines ? l’ensemble ces questions sont codifiées dans la Convention de Montego Bay
sur le droit de la mer (1982). Elle est le dernier traité de codification sur le plan
chronologique et elle a connu des difficultés remarquables à la négociation. Par
exemple, les États Unis n’en sont pas parti mais le droit etabli dans ce traite corresponde
au droit coutumier, de manière générale le DI regis les questions de l’exercice de
competence dans les espaces marins.

On a le même pour les espaces extraterrestres. Il y a un accord sur la lune (entré en


vigueur 1984) avec la participation des certains états, il ne s’agit pas d’un accord
universel. Le di a parmi ces preocupations la questions de la répartition de
comepetences dans l’espace, tout ce qui peut être occupé par l’espèce humaine.

Protection de l’environnement : préoccupation de la société internationale. Production


normative importante. Accord de Paris de 2015, bien connu parce qu’il est récent. Mais
déjà avant l’Accord de Paris il y a eu des accords en matière environnementale- Le
Protocole de Kyoto de 1997 : un accord additionnel par rapport à un traité de base (la
convention cadre des nations unis sur le changement climatique qui remonte à 1983) et
donc la conference de parti est l’entite qui se reuni rgulierement. Et donc la 21 eme
reunion a été celle qui a adopté l’Accord de Paris. La cour 21 (la conference des parties)
a la convention cade des Nations Unis sur le changement climatique. La question de
changement climatique n’est pas la seule question mediambiental avec DI : la
biodiversité est aussi un domaine dans lequel il existe plusieurs normes internationales
(Convention de Washington de 1975 sur le commerce international des espèces, de
faune et de fleur sauvages en extinction- acronyme anglaise CITES). Avant les premiers
accords aux annés 60s, ils existent des principes coutumiers qui pouvait être appliqués
en matière environmental, par exemple le principe selon lequel un état ne put pas
utiliser son territoire de manière nuisible pour autres états (principe affirme relativement
tôt dans la jurisprudence internationale des années 30) et c’est un principe transversal
donc il peut être applique en matière environnemental.

DI des Droits de l’homme : droit humaine- nouvelle terminologie, pas la terminologie


classique. Pacte International sur les Droits Civiles et Politiques, Pacte International sur
les Droits Économiques et Socioculturels de 1966, Convention Européen des Droits de
l’Homme 1950. Sont des accord internationaux en matiere du droits de l homme

Pénal : domaine relativement récent. On ne doit pas le confondre avec le droit pénal
international. Le droit pénal international : équivalent au DI Privé mais pénal, c’est une
partie de droit interne en matière pénale concernant les situations dans lequel le droit
pénal s’applique en présence d’un élément d’extranéité : par exemple, dans quelle
mesure les juridictions d’un certain état sont compétentes pour connaitre des infractions
commis à l’étranger. Le DI Pénal est une branche du DIP. Ce la branche qui établit
certaines infractions internationales (interdictions relatives à certaines conduits), en
associant des sanctions pénales. Le DI Pénal a des frontières relativement vagues parce
que en réalité il a deux catégories de infractions qu’on peut qualifier d’internationales.
Les infractions internationales ne sont pas définis par un texte, il a des infractions
simplement internationalisées (ce sont des infractions établis en droit interne mais qui
sont encadrés en parti par le DI : e.g. la corruption est l’objet de conventions tant dans le
cadre de Nations Unis que dans le cadre de la Organisation pour la Coopération et le
Développement Économique ) et d’autre part on a des crimes internationaux (pas
simples infractions internationalisés mais une catégorie plus restrant de crimes qui sont
établis de manière limite dans le statut de Rome 1998. La définition et la répression des
crimes internationaux sont assures à l’échelle international. Ils sont les génocides, les
crimes de guerre, les crimes contre l’humanité et les crimes d’agression. Les 4 crimes
comprennent un ensemble de crimes (longue liste de crimes prévus) mais seulement ces
4 catégories sont constitutives de crimes internationaux et sont définis par le statut de
Rome et réprimés par les jures internationales dans le cadre de la Cour Pénale
Internationale.

On peut continuer presque in définitivement, avec toutes les questions il y a de DI


(transport, santé, etc.). Le DI trouve des applications dans nombreux domaines. Pour
résumer sa fonction : fonction d’orientation, de prévision, d’évaluation et de correction.

1.Les fonctions du droit international : orientation, prévision, évaluation, correction

Orientation : parce que le fait de conclure les traités internationaux et, en général, la
production normative, est avant tout le résultat de l’expression de points de vue, très
souvent de véritables négociations et puis a donné une orientation du conduit des
acteurs concernés. Il s’agit de l’idée du conduit des acteurs concernés.

Prévision : il s’agit aussi de prévoir parce qu’á la société internationale l’existence de


ces normes sert a pouvoir anticiper le comportement d’autres acteurs qui en principe
suivent l’orientation des normes existantes. Dans l’ensemble on peut effectivement
affirmer que dans la société internationale la plupart des états respectent la plupart des
normes la plupart de temps. Les normes internationales existantes sont une bonne
approximation pour savoir qui va se passer à la société internationale.
Évaluation : différents litiges émergents quant à l’effectivité de ces normes. Les normes
ont la fonction d’être les étalons de mesure pour l’évaluation des conduits des sujets
concernes. Il s’agit des paramètres selon lesquels on peut apprécier la licité ou ilicité des
comportements des sujets. Evaluation peut pas être toujours faite par un jure, elle peut
être faite par tous les acteurs et tous les sujets, surtout par tous les états. Chacun peut la
faire mais elle n’est pas arbitraire, elle se fait selon les normes internationales.

Correction : les faits internationalement illicites ont des conséquences que le DI


encadre. Le droit de la responsabilité est le droit relatif aux effets juridiques de actes-
quelques règles sur la nullité des accords internationaux. C’est l’ensemble des normes
relatifs à la correction de comportements (sanctions en sens général- au sens des
conséquences juridiques d’un fait internationalement illicite).

Partie I. Les sources du droit international public

I. Approche générale

A. Source, mode de formation, acte juridique, norme

Le terme « source » est un terme classique en DI mais ambigu, l’image de la source est
une métaphore. Il s’agit de comprendre d’où sortent les normes du droit international.
On peut avoir deux versions de sources. D’une part on a des sources en sens matériel et
d’autre les sources formelles.

Matérielles : ensemble de sources d’inspiration des origines matérielles de normes. On


peut dire par exemple qu’un texte produit par un état dans le cadre d’une négociation
qui est repris de manière intégrale dans un accord international. Matériellement, quant
au contenu sur le plan substantielle, l’accord a été indéniablement inspiré par ce texte et
les normes de cet accord viennent de ce texte dont ce texte est une source matérielle de
l’accord. Cette approche ne nous intéresse pas parce que les sources matérielles peuvent
être très variés. Elles correspondent à un énorme ensemble de finalités.

Formelles : elles font la cohérence du DI et sont les plus importantes. Quelles sont les
modes de formation des normes, les procédés de formation des normes du DI. Question
juridique parce que la manière dont les normes juridiques se forment relève des normes
secondaires. S’interroger sur les sources formelles d’un système juridique = s’interroger
sur la structure du système juridique, donc sur sa logique.

Il faut distinguer le concept d’acte juridique. Acte juridique : grande ambiguïté lors
qu’on dit que les accords et traités sont sources du DI – les traites sont en réalité deux
choses à la fois : la mode de formation du DI et aussi un acte juridique. Il faut distinguer
le procédé et le résultat du procédé. La source c’est le procédé et l’acte juridique c’est le
résultat de ce procédé. L’acte juridique c’est une manifestation de volonté qui vis à
produire des effets juridiques typiquement on l’oppose aux faits juridiques qui
produissent des effects independentment de l’existence d’une volonté. On parle de faits
internationnelemet illicites quand il n y a pas de volonté de violer le DI, sont simples
faits. Un acte juridique est le resultat d une volonté.
Volonté de plusieurs sujets du DI (pas vrai excatemente, il ya aussi des actes unilateraux
et des actes colletif parmi lequels le plus imp est les traités) et le sources sont el proceso.

On peut avoir actes qui sont produit de volonté multiraterelle mais inconventionelles,
parce que ils ne sont pas susceptibles de produire des effets juridiques.

Contrairement au ordre juridique interne, il n y a pas seulement des actes juridiques.


Des normes se forment d une manière non formalisé. Cas de la coutume et ppios
generales de derecho. soit de droit non ecrit, d spontané. Cont aux actes juridiques les
normes produits de cette manière nónt pas d une manifestation expresse.

Les acctes juridiques sont pas une manifestation expresse de volonté.

Le droit dise a orienter la conduit d acteurs …

A. Actes unilatéraux et actes concertés

Concertes : =négotiation. Formulation commune de leur volonté.

B. Validité et opposabilité

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