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Séquence N° 1 / « Les vagabondes », introduction et études des travaux de Gilles Clément.

Benalouache Youcef

Fiche de Lecture
Architecture des milieux de Frédéric BONNET.

Référence bibliographique de l’article


Frédéric Bonnet, « Architecture des milieux », Le Portique [En ligne], 25 | 2010, document 12, mis
en ligne le 25 novembre 2012, consulté le 2 avril 2020.
https://journals.openedition.org/leportique/2493

Courte biographie de l’auteur


Frédéric Bonnet, est un architecte, urbaniste, Enseigne également depuis 2013 à l’école nationale supérieure de la
ville et des territoires Paris-Est. Maître d'œuvre français. Il a pratiqué avec l'agence OBRAS, qu'il a cofondé en
2003, une architecture associant un travail très en amont, « tirant parti des problématiques climatiques et
environnementales pour améliorer la qualité urbaine des projets » à un une exigence sociale et programmatique et
un souci de la réalisation. Il reçoit en 2014 le Grand prix de l'urbanisme.
Brève bibliographie de l’auteur en lien avec le séminaire

« Lire pour le paysage, plaisir de la diversité », in J. Deval (dir), Guide de l’Atelier Paysage en Île-de-France DREIA
Île-de-France / MEDDTL, 2011 ; « Helsinki, Ville Nature », in Diagonale, février 2009 ; « Éléments de nature,
éléments d’architecture, ou la culture constructive et les éléments de nature » in Philosophie, ville et architecture. La
renaissance des quatre éléments, Paris, La Découverte, novembre 2002, pp. 175-189.

Questions ou problématique posées par l’auteur


Comment répondre aux questions écologiques et sociales sans un renouvellement de la pensée
Urbaine et architecturale, et des pratiques associées ?

Réponse apportée ou analyse développée par l’auteur (synthèse)

-D’une vision fondamentale, l’auteur est considéré L’architecture des milieux comme une hypothèse
Pour nourrir ce travail, à la fois réparateur et refondateur.
- L’architecture n’est plus seulement l’art de construire. Mais aussi la pensée à l’architecture, c’est
une question politique et philosophique.
-L’architecture des milieux s’interroge à la manière de faire, la structure de réflexion et des
disciplines. Elle est de créer des liens, l’art de construire n’en étant qu’une modalité Particulière.
C’est aussi une alternative épistémologique à une définition très Compartimentée des connaissances
et des métiers.
- De fortes éléments qui relient l’architecture à la nature, Le rapport entre nature et architecture des
milieux c’est ’une manière de faire, de considérer le temps et les limites de toute Action, ou
l’architecture des milieux passe à une approche par intégration, Où le construit est pensé en accord
avec les dynamiques des milieux naturels dont le “Milieux“ c’est la résultante construite, toujours
vivante de ces deux mouvements (architecture et nature).

-L’architecture des milieux propose de construire par la pensée et l’action une théorie de la juste
Mesure, rapports entre l’effort et l’effet, de leurs modulations dans le temps
- La « juste mesure » s’appuie sur quatre grands termes : la responsabilité du petit sur le grand
(chaque action, même la plus modeste, a une responsabilité qui excède très largement Son
périmètre.), L’entrelacement des échelles (la géographie, le site, le plan et la matière, L’architecte,
le paysagiste, l’urbaniste, le philosophe), les encres et passeurs entre lieux et milieux (qui s’appuie
sur une double figure de Continuité et de discontinuité). Et la notion de résistances et ressources.

Résumés plus détaillés des idées principales que l’auteur traite dans son article.

1- Une architecture des milieux doit, au-delà de la conception classique de l’architecture.


2- Mais l’architecture des milieux n’est pas un simple concept, elle ne s’inscrit ni dans
l’abstrait ni dans le virtuel, elle renvoie à une pratique avant tout politique de la société
vivante moderne.
3- L’architecture est toujours une transformation, Ces transformations ne se limitent pas au
Construit : l’architecture n’est pas seulement l’édifice, mais engage une portion plus vaste de
territoire.
4- Les éléments qui relient l’architecture à la nature : l’eau, l’air, la terre et le feu, la gravité,
l’usure et l’altération, la résistance et les ressources de la matière et la lumière et le vivant.
5- L’architecture des milieux propose à ce titre un hors champ permanent, qui relie chaque
Action à une série de situations potentielles.
6- L’architecture des milieux est une hypothèse heuristique, jubilatoire, qui se nourrit
effectivement de ces réflexions, aussi d’une exploration permanente, par le projet ou les
récits.

Commentaires et réflexions

Cette partie vous permet de noter l’ensemble de vos idées personnelles, les axes de réflexion
auxquels vous pensez et qui pourront vous aider à développer une analyse plus poussée lors d’un
examen, de la présentation d’une recherche ou d’un projet.

N’hésitez pas à relier la problématique de l’auteur à d’autres recherches, écrits, voire de l’illustrer de
situations, d’expériences, d’aménagement, en lien avec le propos.
L’architecture des milieux est une hypothèse Pour nourrir ce travail, à la fois réparateur et refondateur.

L’architecture c’est l’art de bâtir, mais aussi la pensée à l’architecture, c’est une question politique et
philosophique.
L’architecture n’est plus seulement l’art de construire. Mais aussi la pensée à l’architecture, c’est une
question politique et philosophique.
L’architecture des milieux s’interroge à la manière de faire, la structure de réflexion et des disciplines.
Elle est de créer des liens, l’art de construire n’en étant qu’une modalité Particulière. C’est aussi une
alternative épistémologique à une définition très Compartimentée des connaissances et des métiers.

Nous héritons d’un environnement urbain fondamentalement inéquitable et non durable,


Consommateur en énergies et en ressources. Que faire ? Que penser ? autrement, expérimenter de
nouvelles pratiques, d’autres configurations, d’autres partages, où chaque action engage une vision
politique plus générale ?

-Une architecture des milieux doit, au-delà de la conception classique de l’architecture,

-Mais l’architecture des milieux n’est pas un simple concept, elle ne s’inscrit ni dans l’abstrait ni dans le virtuel,
elle renvoie à une pratique avant tout politique de la société vivante moderne

L’architecture est toujours une transformation, Ces transformations ne se limitent pas au


Construit : l’architecture n’est pas seulement l’édifice, mais engage une portion plus vaste de territoire
(voyages et promenades, dans l’espace public, le paysage, aux voisinages des
Bâtiments.) L’architecture des milieux propose à ce titre un hors champ permanent, qui relie chaque
Action à une série de situations potentielles.

De fortes éléments qui relient l’architecture à la nature,

Les éléments qui relient l’architecture à la nature : l’eau, l’air, la terre et le feu, la gravité, l’usure et
l’altération, la résistance et les ressources de la matière, la lumière et le vivant.
Le rapport entre nature et architecture des milieux c’est ’une manière de faire, de considérer le temps
et les limites de toute Action, ou l’architecture des milieux passe à une approche par intégration,
Où le construit est pensé en accord avec les dynamiques des milieux naturels.
« Milieux » la résultante construite, toujours vivante des deux mouvements (architecture et nature).

Echelle juste mesures

L’architecture des milieux propose de construire par la pensée et l’action une théorie de la juste
Mesure, rapports entre l’effort et l’effet, de leurs modulations dans le temps.

La « juste mesure » s’appuie sur quatre grands termes : la responsabilité du petit sur le grand (chaque
action, même la plus modeste, a une responsabilité qui excède très largement
Son périmètre.), L’entrelacement des échelles (la géographie, le site, le plan et la matière, L’architecte,
Le paysagiste, l’urbaniste, le philosophe), les encres et passeurs entre lieux et milieux (qui s’appuie sur
une double figure de Continuité et de discontinuité). Et la notion de résistances et ressources.

Héritages et inventions, réenchantements

L’architecture des milieux est une hypothèse heuristique, jubilatoire, qui se nourrit effectivement de
ces réflexions, aussi d’une exploration permanente, par le projet ou les récits.
Les rapports entre nature et architecture des milieux ne se réduisent pas à une question de dispositif : il
ne suffit pas d’entremêler, d’insérer ou d’alterner. Non, il s’agit plutôt d’une manière de faire, de
considérer le temps et les limites de toute action.

On entend par « milieux » la résultante construite, Mais toujours vivante des deux mouvements
(architecture et nature), et non pas uniquement sa seule composante « naturelle ».

L’architecture des milieux propose de construire par la pensée et l’action une théorie de la juste
mesure, des justes rapports entre l’effort et l’effet, de leurs modulations dans le temps.

Dans l’architecture des milieux, la question du territoire peut ainsi être très étroitement liée à la culture
constructive, à son imaginaire et à ses mesures associées.

La notion de « Milieux » s’appuie sur une double figure de


continuité et de discontinuité

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