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n Objec=f
• Sélec=onner,
affecter,
former,
évaluer,
suivre
le
personnel
pour
éviter
tout
incident
associé
à
un
défaut
de
compétence
individuelle
ou
collec=ve
et
assurer
la
sécurité
et
la
santé
au
travail
du
personnel
ainsi
que
la
protec=on
de
l’environnement.
n Organisa=on
• La
ges=on
du
personnel
repose
sur
:
− le
Responsable
rela=ons
humaines,
gardien
des
règles
de
sélec=on,
affecta=on,
évalua=on
du
personnel
− le
Responsable
de
la
forma=on
du
site
qui
s’assure
des
processus
d’habilita=on,
de
forma=ons
ini=ales
et
de
recyclages
périodiques
− la
hiérarchie
impliquée
dans
le
processus
d’évalua=on,
de
forma=on
de
son
personnel
− le
médecin
du
travail
associé
au
suivi
de
la
santé
du
personnel
− des
revues
périodiques
pour
l’aNribu=on
des
postes
et
la
ges=on
des
changements
de
personnel
n Ou=ls
n La
défini=on
des
postes
cri=ques
repose
sur
les
conséquences
poten=elles
d’un
acte
ou
d’une
décision
entrepris
par
une
personne
dans
le
cadre
de
sa
fonc=on
en
l’absence
de
l’analyse
cri=que
et
appropriée
d’une
hiérarchie
de
niveau
supérieur.
On
considère
donc
qu’un
poste
est
cri=que
si
une
défaillance
dans
une
décision
ou
un
acte
non
maîtrisé
par
un
niveau
supérieur,
peut
conduire
à
un
accident
majeur.
n CeNe
défaillance
peut
être
due
à
une
incompétence
dans
la
tenue
d’un
poste
liée
à
un
défaut
de
forma=on,
à
une
inap=tude
ponctuelle
(stress,
fa=gue,
…).
C’est
pour
ces
raisons
que
le
suivi
des
personnes
occupant
les
postes
cri=ques
iden=fiés
est
renforcé
:
• sélec=on
et
affecta=on
faisant
l’objet
d’un
changement
maîtrisé
avec
la
prise
en
compte
des
compétences,
de
l’expérience
nécessaire
et
des
besoins
de
forma=on
spécifiques
• l’évalua=on
annuelle
fait
l’objet
d’une
apprécia=on
de
l’ap=tude
à
tenir
le
poste
et
de
l’efficacité
de
la
forma=on
• au
quo=dien,
certaines
industries
pra=quent
des
tests
inopinés
de
contrôles
de
consomma=on
de
drogues
et
alcools.
Cela
sous
entend
à
la
prise
de
poste,
un
engagement
n Dans
les
grands
groupes
industriels,
le
personnel
est
en
constante
évolu=on
:
• l’encadrement
est
amené
à
changer
de
poste
périodiquement
à
l’intérieur
d’un
même
site
ou
dans
d’autres
sites
du
groupe.
Ces
changements
peuvent
s’ils
ne
sont
pas
maîtrisés,
entraîner
une
perte
de
compétence
pouvant
conduire
à
des
défaillances
décisionnels
et
à
des
accidents
poten=els
• les
opéra=onnels,
de
part
la
pyramide
des
âges
va
voir
son
expérience
s’é=oler
si
le
remplacement
des
départ
à
la
retraite
n’est
pas
an=cipé
suffisamment
à
long
terme
• les
restructura=ons/réorganisa=ons
conduisent
parfois
à
des
suppressions
de
postes
sur
les
quels
le
système
de
management
SHE
peut
poten=ellement
reposer.
La
suppression
d’un
poste
peut
donc
générer
des
modifica=ons
de
responsabilités
dans
la
ges=on
n Le
main=en
d’une
expérience
collec=ve
doit
faire
l’objet
d’une
revue
lors
de
ces
changements
de
personnels.
Pour
cela,
il
apparaît
nécessaire
:
• d’iden=fier
les
membres
de
l’encadrement
nécessitant
une
connaissance
approfondie
du
site
(années
d’expériences
sur
le
site).
• d’iden=fier
un
nombre
minimum
de
membre
à
maintenir
dur
le
site
− Exemple
:
parmi
les
membres
d’une
équipe
de
direc-on
cons-tuée
de
7
fonc-ons,
4
sur
7
doivent
avoir
une
expérience
de
3
ans
minimum
sur
le
site
et
parmi
les
responsables
de
l’exploita-on,
2/3
doivent
avoir
une
expérience
de
5
ans
sur
le
site
avec
au
moins
2
ans
en
exploita-on.
• d’appréhender
avec
un
recul
suffisant
la
pyramide
des
âges
du
personnel
posté
− Exemple
:
10
ans,
c’est
le
temps
minimum
nécessaire
pour
faire
d’un
opérateur
un
encadrant
de
1er
niveau
• d’assurer
la
conduite
d’un
changement
d’organisa=on
en
iden=fiant
les
risques
pour
la
pérennité
du
système
de
management
SHE.
Pour
cela,
il
n L’ensemble
du
personnel
doit
avoir
les
forma=ons
nécessaires
à
la
tenue
de
son
poste.
Le
programme
de
forma=on
iden=fie
le
besoins
inhérents
:
• aux
compétences
requises
pour
la
tenue
du
poste
:
ini=ale
et
perfec=onnement
• aux
besoins
de
recyclage
pour
assurer
le
main=en
et
la
mise
à
niveau
des
connaissances
n Chaque
poste
est
associé
à
un
certain
nombre
de
tâches
qui
doivent
faire
l’objet
d’une
analyse
des
risques
pour
la
sécurité
et
la
santé
des
personnels
les
pra=quant.
Les
tâches
doivent
faire
l’objet
d’un
recensement,
de
l’évalua=on
de
leur
cri=cité,
d’un
classement
et
d’un
plan
d’ac=on
en
fonc=on
de
leur
cri=cité.
n L’objec=f
est
de
ne
pra=quer
que
des
tâches
d’un
niveau
de
risque
acceptable,
l’encadrement
se
doit
donc
de
meNre
en
œuvre
les
plans
d’ac=ons
nécessaires
à
la
réduc=on
du
niveau
de
risque
ou
à
l’élimina=on
du
risque.
Les
ou=ls
développés
faisant
appels
à
des
méthodologies
d’analyses
de
risques,
ils
seront
détaillés
dans
le
chapitre
“ges=on
des
risques”.
n Cet
aspect
du
management
de
la
sécurité
a
permis
aux
industriels
ayant
mis
en
œuvre
un
système
de
management
SHE
de
répondre
au
décret
de
novembre
2001
obligeant
le
chef
d’entreprise
à
la
rédac=on
d’un
n Des
ou=ls
d’analyses
complémentaires
sont
pra=quées
tout
au
long
de
la
vie
de
l’installa=on.
n Elle
fait
par=e
du
processus
d’analyse
des
risques
des
nouvelles
installa=ons.
Elle
concerne
aussi
les
installa=ons
existantes
qui
ont
évolué
au
cours
du
temps
avec
un
respect
plus
ou
moins
constant
des
règles
de
concep=on
et
de
construc=on.
Elle
nécessite
beaucoup
plus
de
temps
et
ne
“laisse
rien
au
hasard”
puisque
toutes
les
lignes,
tous
les
équipements
sont
étudiés
avec
une
interroga=on
constante
:
• que
se
passe-‐t-‐il
si
j’ai
une
montée
en
pression,
en
température,
en
débit,
…
?
• l’équipement
est
il
protéger
?
Comment
?
• que
se
passe-‐t-‐il
si
l’équipement
de
sécurité
est
défaillant
?
n On
en
déduit
des
anomalies
qui
feront
l’objet
d’un
plan
d’ac=ons
correc=ves
et/
ou
préven=ves
s’intégrant
dans
le
processus
de
ges=on
des
modifica=ons
de
l’établissement.
n Afin
de
meNre
en
œuvre
des
plans
d’ac=ons
per=nents,
l’évalua=on
du
niveau
de
risque
de
chacun
des
scénarii
de
dangers
iden=fiés,
passe
par
une
méthode
systéma=que,
communément
appelée
“matrice
de
risque”
qui
prend
en
compte
:
• la
probabilité
d’occurrence
du
scénario
de
danger
• la
gravité
réelle
et
poten=elle
du
scénario
de
danger
n La
matrice
de
risque
varie
d’un
site
à
l’autre,
mais
les
diverses
études
publiées
par
l’UFIP,
l’INERIS
…
suite
à
l’analyse
des
études
de
dangers
par
les
DRIRE
tendent
à
uniformiser
ces
critères
de
classement
des
risques.
n Des
critères
définis
pour
la
mise
en
œuvre
des
plans
d’ac=ons
associés
à
l’élimina=on
des
risques
iden=fiés
:
• la
classifica=on
du
niveau
de
risque
condi=onne
le
type
de
plan
d’ac=ons
:
n L’analyse
des
dangers
iden=fiés
est
réalisée
par
l’évalua=on
du
niveau
de
risque
permeNant
de
meNre
en
évidence
des
tâches
cri=ques
en
tenant
compte
de
:
• la
probabilité
d’occurrence
(=
P)
• la
gravité
réelle
et
poten=elle
(=
G)
• la
fréquence
d’exposi=on
au
scénario
de
danger
dans
le
cas
d’une
tâche
répé==ve
(exemple
:
émana=on
de
produit
toxique
au
cours
d’une
manœuvre
de
filtre
à
presse)
est
prise
en
compte
comme
un
élément
de
défini=on
du
niveau
de
risque
au
quel
est
exposé
le
personnel.
L’on
parle
alors,
non
plus
de
niveau
de
risque,
mais
de
“risque
intrinsèque”
n Certaines
sociétés
introduisent
un
coefficient
de
“maîtrise
du
risque”
meNant
en
évidence
les
moyens
de
protec=on
collec=fs
et
individuels
en
place
pour
en
mesurer
la
per=nence
et
l’efficacité.
CeNe
no=on
permet
de
passer
d’un
risque
intrinsèque
à
un
risque
résiduel.
n Schéma de liaison des ou=ls d’iden=fica=on des risques pour une mise à jour systéma=que.
n La
liste
des
procédures
et
modes
opératoires
est
gérée
selon
les
procédures
de
ges=on
documentaire
du
site
(voir
§
VIII
-‐
ges=on
de
la
documenta=on).
n Des
audits
sont
réalisés
par
la
hiérarchie
pour
vérifier
:
• la
mise
à
jour
des
procédures
ou
modes
opératoires
• la
mise
en
oeuvre
de
ces
procédures
en
s’assurant
qu’elles
sont
accessibles,
comprises,
appliquées
n Toute
mise
hors
service
où
défectuosité
détectée
lors
d’un
contrôle
fait
l’objet
:
• d’une
valida=on
par
l’encadrement
:
chef
de
quart
et
responsable
du
secteur
opéra=onnel
• d’un
rapport
d’anomalie
pouvant
aller
jusqu’au
rapport
d’incident
si
la
mise
hors
service
est
supérieure
à
un
délai
fixé
par
la
procédure
du
site
• de
la
mise
en
place
d’une
mesure
provisoire
de
contrôle
n La
liste
des
limites
opératoires
est
établie,
validée
et
mise
à
jour
par
le
service
“Technique”
de
l’établissement,
elle
est
accessible
et
connue
des
fabricants.
Elle
men=onne
pour
chaque
paramètre
:
• le
libellé
• le
jus=fica=f
de
la
limite
(condi=on
d’étude,
caractéris=que
de
l’équipement,
contrainte
matériel
suite
contrôle
inspec=on)
• l’alarme
associée
• la
date
de
valida=on
de
la
limite
n Tout
changement
rela=f
à
une
limite
opératoire
fait
l’objet
d’une
demande
de
modifica=on
validée
par
les
technologues
et
l’inspec=on
(voir
§
IV
-‐
ges=on
des
modifica=ons)
n Tout
dépassement
des
limites
fait
l’objet
de
règles
de
décisions
claires
et
précises
:
• il
est
interdit
de
sor=r
des
limites
opératoires
• en
cas
de
dépassement
le
chef
de
quart
a
autorité
pour
prendre
les
mesures
n La
mise
en
œuvre
de
la
ges=on
des
projets
et
modifica=on
repose
sur
une
expérience
collec=ve
:
• le
responsable
technique
est
garant
de
l’applica=on
des
procédures
de
ges=on
des
projets
et
des
modifica=ons
• la
fonc=on
experte
en
analyse
de
risque
est
systéma=quement
impliquée
dans
la
valida=on
et
gère
le
système
• une
fonc=on
est
iden=fiée
pour
assurer
un
rôle
de
coordina=on
des
modifica=ons
:
elle
récep=onne
les
demandes,
ini=e
le
circuit
de
valida=on,
assure
l’enregistrement
et
le
classement
des
dossiers
• le
groupe
de
travail
responsable
de
la
ges=on
des
projets
et
modifica=ons
est
impliqué
dans
leur
sélec=on,
leur
analyse
et
leur
valida=on
avec
notamment
une
par=cipa=on
ac=ve
du
personnel
de
“fabrica=on”
Plus
d’informa-ons
sur
ce
sujet
seront
discutées
dans
le
prochain
module
au
chapitre
‘’Ges-on
des
situa-ons
dégradées
et
des
modifica-ons’’
n Une
évalua=on
du
niveau
SHE
des
entreprises
est
réalisée
à
par=r
d’un
référen=el
:
• exemple
:
Le
Manuel
Assurance
Sécurité
Entreprise
(MASE)
,
document
rédigé
par
l’ensemble
des
entreprises
u=lisatrices
de
la
région
Étang
de
Berre
(France)
afin
d’assurer
une
évalua=on
du
niveau
de
sécurité
de
l’entreprise.
Les
entreprises
répondent
à
ces
exigences
par
leur
Plan
d’Assurance
Sécurité
(PASE)
les
obligeant
ainsi
à
s’approprier
le
système.
• un
ques=onnaire
interne
basé
sur
les
chapitres
du
système
de
management
SHE
du
site
peut
être
u=lisé.
n Une
procédure
est
clairement
établie
et
implique
le
Directeur
de
l’établissement
qui
valide
chacune
des
déroga=ons
nécessaires
:
• pour
des
gros
arrêts
nécessitant
un
nombre
important
d’entreprises
• pour
des
interven=ons
spéciales
et
ponctuelles
n Le
M.A.S.E
définit
les
minima
requis
pour
la
n Le
P.A.S.E
est
le
manuel
de
ges=on
élaboré
mise
en
place
d’un
système
de
préven=on
par
l’entreprise.
Il
formalise
la
poli=que
de
qui
s’ar=cule
autour
des
cinq
axes
suivants
:
l’entreprise
extérieure
et
définit
sa
mise
en
• l’engagement
de
direc=on
de
l’entreprise
applica=on
dans
les
cinq
domaines
décrits
ci-‐
• l a
c o m p é t e n c e
e t
l a
q u a l i fi c a = o n
dessus.
Ce
document
doit
définir
:
professionnelle
du
personnel
• les
objec=fs
SHE
• la
prépara=on
et
l’organisa=on
du
travail
• l’aNribu=on
spécifiques
des
responsabilités
• la
mesure
des
résultats,
l’analyse
des
écarts
et
des
autorités
dans
l’entreprise
et
les
ac=ons
correc=ves
• les
procédures,
méthodes,
et
instruc=ons
de
• le
suivi
et
engagements
permanents
travail
• spécifiques
n Le
M.A.S.E
traduit
par
conséquent
la
volonté
• le
principe
d’iden=fica=on
et
de
mise
en
de
formaliser
une
démarche
de
préven=on
place
des
entreprises
appelées
à
intervenir
sur
site
• d’ac=ons
correc=ves
et
préven=ves,
des
entreprises
u=lisatrices.
Ce
document
• les
méthodes
et
procédures
de
suivi
définit
les
exigences
à
meNre
en
œuvre
dans
permanent
de
les
cinq
domaines
cons=tuants
le
système
de
• l’efficacité
du
système
de
préven=on
préven=on.
• la
poli=que
de
forma=on
et
d’habilita=on
n Le
M.A.S.E
ne
se
subs=tue
en
aucun
cas
aux
• l’organisa=on
de
la
communica=on
sur
les
n Forma=on
aux
procédures
du
site
réalisée
par
le
service
sécurité
:
• accueil
sécurité
• permis
de
travaux
n Le
groupe
de
travail
chargé
de
l’enregistrement
et
de
l’analyse
des
accidents
internes
et
externes
au
site
est
cons=tué
d’une
équipe
pluridisciplinaire
présidée
par
un
membre
de
l’équipe
de
direc=on
qui
assure
:
• l’enregistrement
des
“accidents”
• la
vérifica=on
que
tout
“accident”
fait
l’objet
d’un
rapport
formel
• un
classement
de
tous
les
“accidents”
selon
des
critères
définis
• l’analyse
des
accidents/incidents
par
des
méthodes
systéma=ques
• la
valida=on
du
plan
d’ac=ons
• le
contrôle
de
l’avancement
des
plans
d’ac=ons
n Le
ges=onnaire
est
un
membre
du
service
sécurité,
il
assure
un
enregistrement
informa=que
de
tous
les
accidents
et
est
en
contact
permanent
avec
les
responsables
de
l’exploita=on.
n La
hiérarchie
de
l’accidenté
ou
le
responsable
du
secteur
associé
à
l’incident
est
responsable
de
la
rédac=on
du
rapport
d’incident/accident.
Il
propose
un
plan
d’ac=on
et
en
assure
le
suivi
après
valida=on.
Plus
d’informa-ons
sur
ce
sujet
seront
discutées
dans
le
prochain
module
au
chapitre
‘’Inves-ga-on
des
accidents/incidents’’
n Être
capable
de
déployer
un
plan
d’urgence
(POI(1)
ou
PPI(2))
en
se
préparant
de
manière
systéma=que
:
• par
des
exercices
réguliers
de
l’organisa=on
et
des
moyens
d’interven=on
• par
une
communica=on
avec
les
communautés
avoisinantes
n Une
organisa=on
nécessaire
et
suffisante
à
la
mise
en
œuvre
des
plans
d’urgence
est
définie
par
écrit
n Une
par=cipa=on
de
tous
le
membres
de
l’organisa=on
au
programme
de
communica=on
avec
les
communautés
:
n Un
programme
de
tests
des
équipements
de
protec=on
incendie
n Un
programme
de
tests
des
plans
d’urgence
par
des
exercices
simulant
des
scénarios
d’accidents
n Une
analyse
des
tests
pour
faire
évoluer
le
matériel,
l’organisa=on,
les
documents
guide.
n Définir
et
meNre
en
œuvre
les
moyens
nécessaires
pour
assurer
:
• l’iden=fica=on
des
documents
cri=ques
pour
:
− l’exploita=on
des
installa=ons
:
plans,
documents
fondateurs,
procédures
et
modes
opératoires,
données
constructeurs,
dossiers
de
vérifica=ons
des
équipements
− l’u=lisa=on
des
produits
manipulés
:
fiches
de
données
sécurité,
fiches
toxicologiques
− le
respect
des
textes
réglementaires
en
vigueur
• l’iden=fica=on
de
fonc=ons
responsables
de
ces
documents
• le
classement
et
l’accessibilité
de
ces
documents
en
des
lieux
iden=fiés
et
surs
• la
mise
à
jour
systéma=que
des
documents
de
référence
(documents
fondateurs,
procédures,
modes
opératoires,
plans)
n Une
liste
de
documents
accessibles
à
tous
et
qui
comprend
pour
chaque
document
iden=fié
:
• sa
référence
• sa
date
de
révision
• sa
fonc=on
propriétaire
• sa
fonc=on
ges=onnaire
• son
lieu
de
classement
officiel
“papier”
ou
“informa=que”
• sa
durée
d’archivage
DOCLEG002 RéglementaUon du travail Référence externe 22-‐mars-‐01 Directeur Responsable RH BA / Bureau 34/ A1 Permanent