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projet SEN/99/003
I. Introduction
V. Proposition méthodologique
pauvreté (Option 1)
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I. Introduction
les personnes formant ces focus groups ne représentent pas nécessairement l’opinion de la
population en général, ni celle des pauvres en particulier. Les participants les « plus
actifs » à ces focus groups ne sont pas forcément représentatifs des « pauvres ». Même
s’il existe des techniques d’animation de groupe destinées à éviter ce type de problèmes,
il est très difficile d’en évaluer l’efficacité qui repose beaucoup sur l’habileté des
animateurs.
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Cette mission a comme but principal la proposition d’une « démarche méthodologique
cohérente en matière d’enquête de perception de la pauvreté ». Ainsi, ce rapport propose une
démarche en deux volets complémentaires : le volet qualitatif déjà élaboré par une équipe
nationale de sociologues et le volet statistique exposé dans ce rapport. La formulation de
cette démarche repose en grande partie sur une expérience récente en Mauritanie où cette
méthodologie a été utilisé.
Les enquêtes de perception de la pauvreté ont surtout utilisé des outils qualitatifs afin de
recueillir de l’information sur les perceptions et sur l’opinion des gens sur les thèmes reliés à
la pauvreté. Un des efforts importants des dernières années a été une série d’études
qualitatives effectuée dans le cadre du dernier Rapport mondial sur le développement publié
par la Banque mondiale. A notre connaissance, un récent projet du PNUD en Mauritanie est
une des rares enquêtes (peut-être la seule en Afrique) sur les perceptions de la pauvreté à
utiliser un outil statistique, et à combiner ces résultats avec ceux issus de méthodes
qualitatives.
En se basant sur les mêmes critiques des méthodes qualitatives énoncées dans l’introduction
du présent document, l’équipe en place à Nouakchott arriva à la conclusion qu’il était
probablement instructif de compléter l’approche qualitative par une enquête statistique. Les
deux volets ont été élaborés simultanément, permettant ainsi de construire un questionnaire
(volet statistique) et un guide d’entretien (volet qualitatif) abordant les mêmes thèmes, mais
par des approches différentes.
Dans chacune des six communautés ayant reçu la visite de l’équipe du volet qualitatif, deux
focus groups (un groupe homme et un groupe femme), des récits de vie et un historique
socioéconomique de la communauté ont été effectués. Le choix de ces six communautés (2
urbaines et 4 rurales) a été fait de façon à couvrir les principales réalités socioéconomiques
du pays.
Le plan de sondage de l’enquête statistique s’est construit sur celui de l’Enquête permanente
sur les conditions de vie (EPCV, l’équivalent mauritanien de l’ESAM) qui venait de débuter.
L’EPCV était composée de 240 grappes de 15 ménages chacune. Un sous-échantillon de 80
grappes a été tiré dans un premier temps, puis 15 ménages ont par la suite été choisis
aléatoirement. Malgré que les 80 grappes aient déjà été enquêtées par l’EPCV, les 15
ménages de chacune de ces grappes n’ont pas été les mêmes que ceux de l’enquête principale.
Ce plan de sondage a été choisi afin de profiter du travail déjà effectué dans le cadre de
l’EPCV. Le questionnaire a été élaboré par l’équipe de consultants (un sociologue et un
économiste-statisticien) en collaboration avec le bureau du PNUD à Nouakchott et du
personnel de l’Office nationale de la statistique (ONS). La collecte de données a été sous-
traitée à l’ONS.
L’analyse a été effectuée par une équipe comprenant Jean Le Nay (DAES), Selmane Lemine
(consultant national) et Harold Coulombe (consultant international). La forme du rapport se
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base surtout sur l’analyse du volet statistique, tandis que les résultats du volet qualitatif
permettent d’appuyer cette analyse par l’ajout d’éléments explicatifs et illustratifs. Ce
rapport mauritanien est en cours de finalisation.
Nous croyons que cette approche mixte à deux volets, et où le volet statistique permet
d’attribuer un quintile calculé par imputation à chacun des ménages de l’enquête statistique,
est la seule expérience « mixte » avec imputation de quintile réalisée à ce jour.
- que l’intégration de l’approche statistique et de celle des focus groups se fait relativement
bien. Les statistiques peuvent tester dans quelle mesure les conclusions des focus groups
peuvent être généralisées à l’ensemble de la population.
- que la taille de l’échantillon du volet statistique était trop faible pour analyser avec
confiance des groupes plus désagrégés (wilaya, par exemple) ;
- que le nombre de focus groups (6) était aussi trop faible pour avoir une l’analyse
poussée ;
- qu’il serait plus profitable que ce type d’enquêtes fasse partie d’enquêtes plus vastes afin
d’enrichir l’analyse de données socioéconomiques plus complètes ;
- que le questionnaire était adapté dans son ensemble, mais qu’une minorité de questions
devrait être révisée.
Il est important de souligner que l’élaboration du DSRP se fait dans une optique participative
où les décisions concernant, par exemple, les études sur la pauvreté à être effectuées doivent
être étudiées, discutées et décidées au sein de comités techniques et décisionnels.
L’élaboration du DSRP est sous la responsabilité d’un « Comité de pilotage » présidé par le
Mnistre de l’Économie et des Finances et composé de représentants des Ministères concernés
par le DSRP, ainsi que par des représentants des élus et de la société civile.
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Un problème qui sera possiblement rencontré si cette proposition méthodologique d’enquête
statistique est mise de l’avant est qu’une décision – par le « Comité technique » - a déjà été
prise quant à la méthodologie à être employée pour l’étude de la perception de la pauvreté. Il
sera souhaitable que ce comité soit formellement informé de la volonté du PNUD et de la
DPS d’effectuer cette activité aussitôt qu’une décision du PNUD sera prise sur le
financement de ce volet statistique. Cette acceptation par le « Comité technique » devrait être
facilité par le fait que le Directeur de la DPS, qui dirige ce comité, ait été très enthousiasme
lors des différentes discussions sur l’initiative proposée dans ce rapport.
Description générale
Nous avons argumenté précédemment qu’il serait souhaitable qu’une enquête statistique sur
la perception de la pauvreté soit intégré à une enquête plus générale sur la pauvreté. En plus
de profiter d’un plan de sondage et d’une logistique déjà établie, l’intégration d’une enquête
perception à une plus vaste enquête permet d’enrichir l’analyse des données. Aussi, les coûts
d’une enquête se servant du plan de sondage d’une autre enquête plus importante seront
nécessairement plus faibles que si elle est faite de façon indépendante. Dans le cas du
Sénégal, nous avons la chance de batir sur une importante enquête auprès des ménages en
cours de réalisation. Le début de cette enquête était prévu pour l’automne dernier, mais elle
débuta finalement le 4 juin 2001. Cette nouvelle enquête fait suite à une enquête similaire
réalisée en 1994/95 (ESAM I).
Les ménages enquêtés recevront la visite des enquêteurs lors de trois passages distincts avec
environ trois mois d’écart entre ces différents passages. Chacun des passages devrait durer
trois mois. En comptant les périodes de repos des enquêteurs entre les passages, la collecte de
données de l’enquête devrait se terminer en avril 2002. Par contre, un questionnaire léger a
été introduit lors du premier passage afin d’obtenir des données statistiquement valables et
analysables rapidement. La saisie de ce questionnaire se fera par scanner afin de mettre les
données à la disponibilité des analystes le plus rapidement possible. La base de données
complète issue de cette sous-enquête QUID devrait être disponible pour analyse en août
2001.
Le questionnaire QUID (Questionnaire Unifié sur les Indicateurs de Développement) est très
léger et les questions, surtout de nature qualitative, portent sur la démographie, la
fréquentation scolaire, la santé et les activités économiques des membres des différents
ménages. Au niveau des ménages, des questions sont posées sur leurs avoirs et sur les
caractéristiques du logement. De plus, le poids et la taille des enfants de moins de cinq ans
seront collectés.
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Avec un préavis de quelques mois, il aurait été possible de simplement incorporer à ce
questionnaire l’équivalent d’environ deux pages de questions sur les perceptions de la
pauvreté. Même si l’enquête QUID n’a pas encore démarré, la logistique et la nécessité de
former les enquêteurs interdit l’insertion dans le questionnaire actuel d’un « module »
perception dans un si bref délai.
Le plan de sondage de l’ESAM II consiste en trois passages au sein des mêmes ménages à
quatre mois d’intervalle. À l’intérieur d’un passage, la visite de tous les ménages se fait en
trois vagues d’environ 2 200 ménages chacune, pour un grand total de 6 600 ménages. Ces
vagues durent environ un mois chacune.
Habituellement, le tirage aléatoire des ménages à être enquêtés se fait avant le démarrage des
activités de collecte sur le terrain. Ainsi, à partir de la base de sondage constituée du dernier
recensement disponible, un échantillon aléatoire de ménages est tiré.
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Chronogramme prévu (dates approximatives)
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V. Proposition méthodologique
Parce que nous croyons que les approches qualitative et statistique sont complémentaires,
nous proposons une démarche méthodologique en deux volets. Le volet qualitatif a déjà été
retenu par le « Comité technique » et l’équipe en place nous semble sérieuse. Nous
proposons l’ajout d’un volet statistique afin de répondre aux deux principales critiques des
méthodologies qualitatives basées sur les focus groups émises au début de ce rapport. Pour
répondre à ces défis méthodologiques, nous nous devons de proposer une enquête avec un
grand échantillon statistiquement valide et ayant un questionnaire permettant de construire
une variable servant à discriminer les résultats selon le niveau de vie des répondants.
À la suite d’une série de rencontres entre la DPS et le consultant international, une seule
option méthodologique réaliste et techniquement possible semble s’offrir à nous. Par contre,
deux chronogrammes possibles semblent se présenter. Nous commencerons par décrire la
proposition méthodologique. Par la suite, nous discuterons de la « meilleure » période pour
mettre en oeuvre cette proposition méthodologique (volet statistique).
Un comité de la DPS a été formé afin de mener à termes les discussions et réflexions sur
notre proposition d’enquête. Il est composé de :
Plan de sondage
Afin d’éviter d’avoir à tirer un nouvel échantillon, une tâche délicate et coûteuse, et surtout
afin de pouvoir fusionner les données de l’enquête statistique sur les perceptions avec celles
de l’ESAM (y compris celles du QUID), nous proposons d’utiliser exactement le même
échantillon que l’ESAM II. Ces 6600 ménages formeraient un échantillon de grande taille
permettant une analyse des résultats à un niveau de désagrégation régionale souhaitable.
Questionnaire
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Calcul des quintiles
Dans la mesure où l’on cherche à mettre en valeur les perceptions et les opinions des pauvres
par rapport à celles des plus riches, il est nécessaire d’avoir un indicateur objectif du niveau
de vie des ménages enquêtés. Le calcul d’indicateurs monétaires demande un effort colossal
en termes de collecte de données, impossible dans ce genre d’enquête « légère ». Par contre,
il est possible d’ « imputer » des quintiles de consommation à partir de variables simples mais
fortement corrélées avec le niveau de dépense observé.
A partir des données de l’enquête ESAM I de 1994/95, nous pouvons estimer une relation
statistique entre le niveau de vie des ménages (variable dépendante) et une série de
prédicteurs (variables indépendantes). Par la suite, nous pouvons utiliser ces coefficients
pour calculer une valeur imputée du niveau de vie des ménages se trouvant dans notre
enquête de perception. Evidemment, cela suppose que les variables indépendantes se
retrouvent à la fois dans l’enquête EPCV et dans l’enquête de perception. Le questionnaire
proposé ci-dessus a été construit en conséquence. Une partie des prédicteurs viendront aussi
du Quid. Finalement, nous classerons les ménages de l’enquête Perception selon leur niveau
de vie imputé et nous les avons regroupés en cinq groupes ayant le même nombre de
ménages. Le premier quintile représente les ménages (20 %) les plus pauvres. Le deuxième
quintile inclus les ménages (20 %) un peu moins pauvres et ainsi de suite.
Ces quintiles seraient aussi utilisés par l’équipe de rédaction (DPS) du profil de pauvreté basé
sur le QUID.
Logistique
Dans la mesure où nous désirons intégrer notre enquête à celle de la DPS, la solution la plus
simple et efficace est de sous-traiter la collecte de données à la DPS. Basé sur l’utilisation
d’une équipe de 32 enquêteurs attitrés uniquement à l’enquête perception, une proposition
budgétaire de 30 000 000 FCFA a été présenté par la DPS. Par contre, l’utilisation de
véhicules du SNU et une négociation « serrée » devrait permettre de diminuer les coûts
d’environ 10 000 000 FCFA (confirmé par Madame Palacio, le 26 juin 2001).
Les principaux éléments qui devraient se retrouver dans des termes de référence concernant
la sous-traitance de la collecte de données se retrouve à l’annexe 3
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Rédaction du rapport
Il a été convenu entre la DPS et le PNUD que le rapport d’analyse soit rédigé conjointement
entre les deux parties. Le rapport ne présenterait que les résultats de l’enquête statistique
dans un premier temps.
Dans un premier temps, les tableaux d’analyse seront composés des réponses aux différentes
questions, ventilées selon la province de résidence, le quintile de dépenses et le sexe du chef
de ménages. L’analyse de ces tableaux devrait nous orienter sur les besoins en tableaux
supplémentaires.
Échéancier
Budget
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Il y aurait peut-être lieu de prévoir la rédaction d’un document de synthèse, incorporant les
résultats des volets qualitatif et statistique. Une alternative valable serait de laisser l’équipe
de rédaction du DSRP faire ce travail de synthèse.
Finalisation du questionnaire
9 juillet 01 – 15 juillet 01 : Collecte des données auprès des ménages de la première vague
16 juillet 01 – 22 juillet 01 : Saisie de la première vague, fichier ASCII à remettre au PNUD
23 juillet 01 – 29 juillet 01 : Collecte des données auprès des ménages de la deuxième vague
7 août 01 – 14 août 01 : Collecte des données auprès des ménages de la troisième vague
15 août 01 – 22 août 01 : Saisie de la troisième vague, fichier ASCII à remettre au PNUD
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Annexe 1 : Questionnaire proposé
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SECTION B : PERCEPTIONS
Situation
1. Nous aimerions vous demander votre opinion sur 1…C’est moins que satisfaisant par rapport aux besoins de mon
le niveau de vie de votre ménage au cours des 12 ménage
2…C’est satisfaisant par rapport aux besoins de mon ménage
derniers mois. 3…C’est plus que satisfaisant par rapport aux besoins de mon
ménage
4…non applicable
2. Selon vous, à quelle catégorie cette communauté (ce quartier) appartient-elle: /____/
1…très riche 2 …riche un peu 3…moyenne 4…pauvre un peu 5…très pauvre
3. Selon vous, en général, quels sont (en ordre d’importance) les quatre principaux signes de
manifestation de la pauvreté?
/__/__/ /__/__/ /__/__/ /__/__/
1…Quand on a des difficultés de nourrir sa famille 8…Quand on n'a pas de terre à cultiver
2…Quand on n’a pas un logement décent 9…Quand on ne peut pas entretenir une pirogue pour
3…Quand on ne peut pas aider ses parents et voisins aller pêcher en mer
4…Quand on n’a pas de travail 10…Quand on ne jouit d’aucune considération au sein
5…Quand on souffre physiquement ou mentalement de sa communauté
d’une incapacité 11…Quand on ne peut pas assurer la scolarisation de
6…Quand on n'a pas les moyens de se soigner et de ses enfants
soigner les membres de sa famille 12…Quand on ne sait ni lire ni écrire
7…Quand on ne possède aucun bétail 13…Quand on n’est pas en sécurité
14…Autre, à préciser
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4. Au cours des cinq dernières années, pensez-vous que dans cette communauté, la
pauvreté :
/____/
1…a diminué beaucoup
2…a diminué un peu
3…est restée stable
4…s’est aggravée un peu
5…s’est aggravée beaucoup
6…ne sais pas
5. Dans les cinq prochaines années, pensez-vous que dans cette communauté, la pauvreté :
/____/
1…va diminuer beaucoup
2…va diminuer un peu
3…restera stable
4…s’aggravera un peu
5…s’aggravera beaucoup
6…ne sais pas
1…très riche
2…riche un peu
3…moyenne
4…pauvre un peu
5…très pauvre
Priorités et solutions
7. A votre avis, quelles sont les 4 principales priorités de votre communauté (en ordre
d’importance) ?
/__/__/ /__/__/ /__/__/ /__/__/
8. Selon vous, quels sont les 3 meilleurs moyens de lutter contre la pauvreté dans cette
communauté (en ordre d’importance) ?
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9. A votre avis, quels sont les 2 principaux facteurs dans l’allègement de la pauvreté dans
votre communauté:
/____/ /____/
Tissu associatif
Rubrique 10. Existe-t-il une ou 11. Etes-vous membre 12. Pourquoi n’êtes-vous pas
plusieurs … dans cette à une ou plusieurs de à une de ces…?
communauté ? ces … ?
1…structure inefficace
1…Oui 1…Oui 2…manque de confiance
2…Non >>Q 12 2…Non 3…discrimination
3…Ne sais pas >>Q 12 4…gestion non démocratique
a. Coopérative
b. APE
c. ONG
e. Comité de santé
g. Parti politique
j. Tontine
k. Association religieuse
l.Ass. sportive et culturelle
(ASC)
m.Ass. villageoise de
développement (AVD)
n. Groupement d’intérêt
économique (GIE)
o. Groupement de
promotion féminine (GPF)
p.Comité de gestion de
l’eau (CGE)
13. Pensez-vous que les pauvres constituent une priorité dans les politiques de l’état ?
14. Pensez-vous que les politiques et programmes tiennent suffisamment compte des
préoccupations et besoins des pauvres ? /____/
14
1…suffisamment 2…faiblement 3…pas du tout
15. Pensez-vous que l’Etat aura les moyens d’appliquer les mesures annoncées dans sa
déclaration de politiques générale en vue d’améliorer le niveau de vie des populations ? /___/
1…oui 2…non 3…ne sais pas
17. Selon vous, dans quels domaines prioritaires l’Etat devrait-il concentrer ses efforts pour
améliorer les conditions de vie des population? (en ordre d’importance)
/___/___/ /___/___/ /___/___/
18. Pensez-vous que le fait de rompre avec la corruption et les détournements de deniers
publics peut contribuer à une réduction de la pauvreté? /___/
19. Pensez-vous que les nouvelles autorités pourront amener le pays à rompre avec la
corruption et le détournement des deniers publics ? /___/
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Accès aux services sociaux de base
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Annexe 2 : Documents consultés
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Annexe 3 : Projet de termes de référence pour l’enquête statistique sur la perception de
la pauvreté (Option 1)
Principaux éléments devant se retrouver dans des termes de référence de la DPS pour la sous-
traitance de la collecte de données.:
Questionnaire :
basée sur les commentaires de la DPS, une proposition de questionnaire sera élaborée
dans le rapport de mission du consultant international;
cette proposition sera ensuite commentée de nouveau par la DPS, et le SNU;
quatre pages au maximum;
le questionnaire sera testé par la DPS auprès d’une série de ménages.
Plan de sondage :
le même que l’ESAM II.
Données :
logistique élaborée et contrôlée par la DPS, en concertation avec le PNUD;
la DPS est responsable de la saisie et de l’épuration;
la DPS remet les données sur support informatique (ASCII), vague par vague, aussi tôt
que possible au PNUD;
la DPS remet simultanément, vague par vague, les variables de classification issues du
QUID. Ces variables seront définies préalablement;
le consultant international calcule les quintiles imputés (basés sur les données de l’ESAM
I) en étroite collaboration avec la DPS. Ces quintiles seront utilisés par le rapport sur le
QUID et le rapport sur les perceptions de la pauvreté.
Rapport :
le consultant international est responsable du traitement des données et de la
programmation des tableaux;
le rapport sera rédigé par une équipe PNUD/DPS, en septembre. Une version préliminaire
des tableaux sera disponible avant la rédaction du document, début septembre;
le rapport sera un produit conjoint entre le PNUD et la DPS;
le rapport se doit d’être prêt suffisamment tôt pour être inséré dans la DSRP.
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