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Année Académique 2005 - 2006

RÉPUBLIQUE DE CÔTE D’IVOIRE Union-Discipline-Travail

Centre Universitaire Professionnalisé

FORMATION: INFORMATICIENS CERTIFIÉS CISCO SYSTEMS

Support de cours

Chargé de Cours: M.Charles TÉAH

Enseignant - Formateur

NB:Toutdroitdereproduction decedocumentest formellement interdit et passible de

poursuites judiciaires.

Centre Universitaire Professionnalisé 06BP 1352 Cidex 1 Abidjan 06 Tél : (225) 22 48 64 27/24

Tél. / fax : (225) 22 44 02 15 ; Cél : 07 98 50 00

Décembre2005

PROGRAMME

PREMIERE PARTIE : INITIATION A LA COMPTABILITE GENERALE

Chapitre 1………………..L’entreprise et l’environnement comptable

Chapitre 2………………..la comptabilité à partie double

Chapitre 3 ………………..Le syscoa : introduction

DEUXIEME PARTIE : LES OPERATIONS AFFECTANT LA VIE

DE L’ENTREPRISE

Chapitre 4………………….Le opérations courantes

Chapitre 5…………………..La Taxesur la valeur ajouté

Chapitre 6………………….Les opérations courantes comptes tenu

De la taxe sur la valeur ajoutée

Chapitre 7………………….Les charges de personnel

Chapitre 8…………………Les amortissements

Chapitre 9…………………Les provisions

TROISIEME PARTE : LES TRAVAUX DE FIN D’EXERCICE

Chapitre 10………………..Elaboration des états financiers

Chapitre 11………………..Nécessité des travaux d’inventaire

Chapitre 12………………...Les fonctionnalités d’un logiciel comptable

PREMIERE PARTIE :
Initiation à la Comptabilité Générale

CHAPITRE 1: L’ENTREPRISE

I- L’entreprise

L’entreprise peut être définie comme une organisation qui se procure

des moyens de production et les utilise pour l’élaboration de biens et de

service destiné à être vendus à une clientèle.

La différence ente les recettes de payés par lavente des biens et

services, et les dépenses engendrées par l’exploitation fait ressortir un

‘’résultat’’.

Les entreprises peuvent être classées suivant divers critère :

¾ sur le plan juridique (notion de propriété)

- les entreprises privées

- les entreprises publique ou semi-publique

¾ d’après leur dimension

-effectifs

-CA

-Capitaux utilisé

¾ d’après leur domaine d’activité

- les entreprises commerciales

- les entreprises individuelles

- les entreprises agricoles

II- La comptabilité et les besoins d’information

La comptabilité permet un enregistrement méthodique de toutes les

opérations. La comptabilité doit informer :

- le chef d’entreprise

- les actionnaires

- les travailleurs de l’entreprise

- les tiers en relation avec l’entreprise fournisseurs, clients,

banquiers

- l’Etat

- le public en général
Il faut distinguer 2 grandes parties de la comptabilité :

• Il y a tout d’abord la Comptabilité Générale qui sera celle que nous

étudierons particulièrement dans ce cours. Elle a un caractère

objective et va enregistrer les flux externes de l’entreprise. Elle

seront de divers périodiquement les documents de synthèse (Bilan

et compta de résultat) e de faire apparaître :

- la situation active et passive du patrimoine

- le résultat de la période considérée

• Il y a la comptabilité analytique d’exploitation. Comme son nom

l’indique, elle est destinée à analyser les flux internes de

l’entreprise. Elle n’est pas obligatoire mais de plus en plus

nécessaire puisqu’elle permet au chef d’entreprise de mieux

maîtriser les flux de son entreprise.

III- L’organisation comptable

La comptabilité doit être organisée detelle sorte qu’elle permette :

-La saisie complète, l’enregistrement chronologique et la

conservation des données de base

- la disponibilité des informations élémentaires et l’établissement en

temps opportun, l’état doit la production est prévu ou reprise

- le contrôle de l’exactitude des données et des productions de

traitement

Pour l’entreprise, l’organisation se concrétise par l’adoption d’un

plan de compte, les choix des supports et des procédures de traitement.

On appelle support, les documents, livres comptables, et de façon

générale, tout ce qui permet, dans les conditions de conservation

prescrites, d’enregistrer les données de base et de prendre

connaissance des informations.

La procédure de traitements sont les moyens et les méthodes

utilisées par l’entreprise pour que les opérations nécessaires à la tenu

des compte et à l’obtention des états prévus ou repris soient effectives

dans les meilleurs conditionsd’efficacité et au moindre coût sans par


autant faire obstacle au respect par l’entreprise de ses obligations légale

et réglementaires.

IV- Les livres comptable

Toute entreprise tient :

- un livre journal qui enregistre les opérations au jour le jour

- un grand-livre pour l’ouverture et el suivi de ses comptes en

concordance avec les totaux des écritures du livre journal.

Il y a relation d’égalité entre les totaux des écritures du livre journal et

les totaux des écritures du grand livre.

Toute entreprise fait, au moins une fois par an, un inventaire de ses

éléments actifs et passifs et arrête tous ses comptes en vue d’établir ses

documents de synthèse.

Les livres ou documents visés ci-dessus peuvent être tenus par tous

les moyens ou procédés appropriés conférant un caractère d’authenticité

aux écritures et compatible avec les nécessités de contrôle de la

comptabilité.

V- La tenue des comptes

La comptabilité est tenue en FCFA.

Les écritures rappellent les numéros et l’intitulé des comptes. Chaque

écriture s’appuie sauf exception valable justificatif datée et susceptible

d’être présenté à toute demande.

Les opérations sont enregistrées dansles comptes dont l’intitulé

correspond à leur nature. Toute compensation est interdite sauf

lorsqu’elle est explicitement prévue par les dispositions en vigueur.

VI- Notion de patrimoine

Le patrimoine d’une personne normale ou physique est la différence

entre ses biens et créances et dettes. C’est ainsi que le patrimoine peut

être positif, nul ou négatif.

VII- Evaluation des patrimoines

Pour évaluer le patrimoine, il faut passer par le classement, de

comptage et d’évaluation des éléments qui entrent dans le calcul du


patrimoine.

Ce travail abouti à un tableau qui représentent les éléments positifs

et els éléments négatifs :

Actif Passif

Bien

créances

Dettes

L’actif représente les biens et les créances (éléments positifs). Le

passif représente les dettes (éléments négatifs).

VIII- Les ressources et les emplois

Toutes acquisitions de moyens de production (emplois)

s’accompagne obligatoirement d’un financement mis à la disposition de

l’entreprise (ressources).

Les ressources sont de 3 sortes :

- celles fournie par les actionnaire ou les associés

- celle fournie par les tiers (banque, fournisseurs)

- celle engendrée par l’entreprise elle-même (bénéfice)

Elles peuvent être décomposée en capitaux propres à l’entreprise et

capitaux emprunté à des tiers.

Les emplois sont l’utilisation faite de ses ressources. On distingue :

- les emplois permanents (terrains, immeubles…)

- les emplois circulants ( stocks, clients)

Au Bilan, le classement des emplois et des ressources se fait selon

leur destination ou provenance, c’est-à-dire selon leur fonction dans le

processus d’activité économique.

Il en résulte la présentation suivante :

Actif = emplois Passif= ressources

Actif immobilisé (emploi fixe)

Actif circulant (emploi circulant)

Compte de régularisation

Capitaux propres (ressources propres)


Provenance pour risque et charges

Dettes

Compte de régularisation

Analyse du résultat

Le Bilan fait apparaître un résultat, mais ne permet pas de mettre

en évidence les opérations qui ont permisde le constituer, c’est plutôt le

compte résultat qui lui, fait ressortir, les recettes encaissées, et celles qui

seront encaissées, puis les dépenses payées et celle qui le seront.

IX- Notions de principes comptables

Les principes généralement admissont souvent l’œuvre de la

jurisprudence et de la doctrine. Ces principes sont à la base de la

comptabilité.

Le syscoa , système comptable ouest africain de la sous –région,

et désormais ouvert aux autresEtats Africains désireux de

l’adopter,prévoit certains principes.

PRINCIPES COMPTABLES ( SYSCOA)

Principe de prudence (art 3 et 6 ):

Pour une appréciation raisonnable des évènement et des

opérations à enregistrer, afin d’éviter de transférer sur l’avenir des

risques actuels ;

La transparence (art 6,8,9,10,11)dont la mise en œuvre permet à

l’entreprise de donner une présentation claire et loyale de l’information ;

L’importance significative (art 33):

En vertu de ce principe ,tout élément susceptible d’influencer le

jugement que le destinataire des états financiers peuvent porter sur le

patrimoine, la situation financière etle résultat de l’entreprise doit leur

être communiqué ;

L’intangibilité du bilan (art 34):

Le bilan d’ouverture (N) d’ouverture doit correspondre au bilan de clôture

(de N-1) ;

Le coût historique ( art 35 et 36):


Les biens acquis par l’entreprise sont inscrits au bilan coût

historique , qui est le coût d’acquisition exprimé en unité monétaire

courantes ;

La continuité d’exploitation :

L’entreprise est présumée poursuivre ses activités sur un horizon

temporel prévisible. Lorsque la continuité de l’exploitation de l’entreprise

n’est plus assurée, les méthodesd’évaluation doivent être

reconsidérées.

Il en est de même en cas de non continuité d’utilisation d’un bien.

La permanence des méthodes (art 40) :

Les méthodes d’évaluation etde présentation utilisées pour

l’élaboration des états financiers ne doivent pas changer d’un exercice à

l’autre ;ceci afin d’assurer lacomparabilité de l’information de

l’information dans le temps et dans l’espace .

Seule la recherche d’une image fidèle peut motiver une dérogation à ce

principe.

La spécialisation des exercices (art 59):

Il est rattaché à chaque exercice les produits et les charges qui le

concerneNt et uniquement ceux-là.

La prééminence de la réalité sur l’apparence:

Ce principe consiste à donner dans les états financiers la priorité à

la réalité économique sur la forme juridique . Ainsi donc, par exemple,

l’application de ce principe vise à inscrire à l’actif du bilan de l’utilisateur,

la valeur du bien pris en crédit-bail comme s’il en était propriétaire en

dépit de l’apparence juridique (selon laquelle l’utilisateur n’est pas

encore propriétaire du bien tant qu’il n’aura pas exercé l’option d’achat

aux conditions prévues dans le contrat ).

L’application de ce principe dans le SYSCOA sont les suivantes :

-inscription à l’actif du bilan comme si l’entreprise était propriétaire

des biens détenus avec réserve de propriété ainsi que des biens mis à la

disposition du concessionnaire par le client ;


-inscription à l’actif du bilan de l’utilisateur du bien utilisé dans le

cadre d’un contrat de crédit-bail ;

-inscription à l’actif du bilan des effets remis à l’escompte et non

encore échus ou honorés ;

-inscription dans les charges de personnel ,du personnel facturé par

d’autres entreprises.

CHAPITE II: LA COMPTABILITE A PARTIE DOUBLE

I- L’analyse de la situation de l’entreprise : le bilan

La situation de l’entreprise est périodiquement renommée dans un

tableau appelé bilan. Par situation,il faut entendre ceque l’entreprise

doit, et tout ce que l’entreprise possède et tout cequ’on lui doit.

A l’origine, le mot bilan en latin qui se décompose en bis (qui

signifie 2) et en lans (qui signifie plateau), signifie tableau composé de 2

partie, absolument équilibrées :

- la partie droite, s’appelle PASSIFet récapitule toute ce que

l’entreprise doit

- la partie gauche, l’ACTIF du bilan, représente toute ce que

l’entreprise possède et tout ce qu’on lui doit.

Sur le bilan financier :

- le passif indique les ressources de l’entreprise et l’origine des

capitaux mis à sa disposition

- l’actif représente els emplois quiont été faits de ces ressources.

ACTIF PASSIF

Biens possédés par l’entreprise

Créances sur les tiers

Dettes de l’entreprise :

- vis-à-vis des associés

- vis-à-vis des organismes financiers

- vis-à-vis des tiers

a) A l’actif

Les éléments de l’actif se décompose en en 3 grandes rubriques :


- l’actif immobilisé (immobilisationsincorporelles, immobilisations

corporelles, immobilisations financières) ;

- l’actif circulant(stocks, créances , valeurs mobilières, disponibilité) ;

- les comptes de régularisation.

b) Au passif

Le pasSif du bilan se décompose en4 grandes rubriques que sont :

- les capitaux propres( capital,réserves, report à nouveau,…..)

- les provisions pour risques et charges ;

- les dettes (emprunts, dettes fournisseurs , dettes sociales et

fiscales,….)

- les comptes de régularisation.

Le bilan est la photographie de l’entreprise à un moment donné .

II- Le principe dela partie double

La comptabilité générale éclate chaque élément du bilan et du

compte de résultat en compte suivant le schéma suivant.

Schéma à compléter par l’auditeur

Actif bilan passif

Commentaire de l’auditeur :

N.B :Ces comptes n’enregistrent que les opérations qui les

concernent et uniquement ceux-là. Et en fin de période, en récapitulatif

de ces compte est faits sur dans des documents de synthèses que sont

le bilan et le compte de résultat.

a)Le compte :

Le compte est un tableau composé de 2 colonnes :

- la partie gauche appelé dédit ;

- la partie droite appelé crédit.

Exemple : (tableau à remplir par l’auditeur tel que expliquer au cours par

l’enseignant)

caisse

b)Le solde d’un compte :

Le solde est ……………………………………………………………….


- Si dédit est supérieur à crédit, le solde est débiteur ;

- Si crédit est supérieur à dédit, le solde est créditeur ;

- Si crédit = débit, le solde est nul.

Lorsque sur un compte donné, on inscrit un montant à son débit ou à

son crédit, on dit qu’on fait une imputation .

Lorsque ce montant est inscrit à son débit, on dit qu’on débite un compte

Lorsque ce montant est inscrit à son crédit, on dit qu’on crédite ce

compte.

La difficulté ,lorsqu’on s’initie à lacomptabilité générale, consiste à

savoir dans quel cas il faut débiter un compte ou le au contraire le

créditer .Il convient donc de connaître parfaitement les règles

fondamentales suivantes :

FONCTIONNEMENT DES COMPTES EN T

BILAN

ACTIF PASSIF

LES COMPTES ici :

Augmentent par débit

Diminuent par crédit

LES COMPTES ici :

Augmentent par crédit

Diminuent par débit

COMPTE DE RESULTAT

CHARGES PRODUITS

LES COMPTES ici :

Augmentent par débit

Diminuent par crédit

LES COMPTES ici :

Augmentent par crédit

Diminuent par débit

OU
BILAN

D compte d’actif C D compte de passif C

COMPTE DE RESULTAT

D compte de chargesC D compte de produits C

Notons par ailleurs que le compteest crédité s’il enregistre une

ressource et débité s’il enregistre un emploi

b)La partie double :

C’est le principe fondamental de la comptabilité générale :

A TOUT COMPTE DEBITE , CORRESPOND UN OU PLSIEURS

COMPTES CREDITES PAR LE MEME MONTANT OU

INVERSEEMNT.

D’OU l’égalité :

Emploi = ressource

Cela signifie que toutes opération de l’entreprise concerne au moins un

compte crédité et un compte débité pour le même montant.

™ Cas d’application à traiter :

‰CAS D’APPLICATION N°1

Présenter le schéma des flux et lejeu des comptes correspondant aux

opérations suivantes :

1. Achat de marchandise à crédit au fournisseur André………100.000

2. Achat d’un camion dont 800.000 payé par la banque et le reste

faisant l’objet d’un prêt à 4 ans…………….……………….1.200.000

3. Achat de marchandise à crédit au fournisseur...…….……….150.000

4 .Achat de marchandise à crédit au fournisseur ………………..30.000

5.Ventes de marchandise à crédit au client …………….………250.000

6. Ventes de marchandise à crédit au client ……………..……..300.000

7. Ventes de marchandise à crédit au client …………………….400.000

8. Achat de marchandise au comptant par la …………………....75.000

9. Achat de marchandise au comptant par ……………………..…80.000

10. Achat de marchandise au comptant par ……………………..160.000


11. Achat de marchandise au comptant par la ……………………83.000

‰CAS D’APPLICATION N° 2:

Dans le cadre de se affaires, Monsieur Konan a réalisé les opérations suivantes :

- 5 janvier : apport de 100.000 déposé à la BICICI à titre de capital ;

- 6 janvier : il achète une caisse enregistreuse à 150.000 par chèque

n°00012.

- 7 janvier : il achète à créditde marchandise pour 200.000 ;

- 15 janvier : il vend à crédit des marchandise pour 275.000

- 15 janvier : il vend à crédit des marchandise pour 100.000 et au

comptant (espèces) pour 50.000 ;

- 16 janvier : il verse 25.000d’espèces à la banque.

TAF :

Présenter les opérations du grand-livre à l’aide de compte

schématique.

‰CAS D’APPLICATION N° 4 :

Mr Koffi consacre une partie de son épargne à une entreprise

qu’il a crée et réalise les opérations suivantes.

- 5.01 : création d’une entreprisepar versement à la banque

500.000

- 6.01 : retrait d’espèces à la banque de 30.000

achat de marchandise à crédit 100.000

- 7.01 : ventes au comptant d’espèces contre espèces 82.000

- 8.01 :achat par chèque d’un véhicule de transport 130.000

- 9.01 : achat par chèque de marchandise 64.000

- 10.01 :règlement d’un fournisseur 50.000

- 15.01 : règlement en espèces des rais téléphonique 20.000

- 30.01 : ventes à crédit de marchandise 14.000

- 31.01 :réglé par chèque lafactures d’eau 10.000

TAF :

Présenter le journal , le grand-livre , la balance.

III- Notion de flux en comptabilité


L’activité de l’entreprise génère des mouvement avec les divers

prestataire ,générant ainsi des flux( flux matériels, immatériels, interne,

externe).

Retenons qu’à l’origine d’un flux , existe une ressource.

a) L’enregistrement des flux en comptabilité

On enregistre en comptabilité les flux externes générant un emploi

ou une ressource à valeur exprimée en unité monétaire en respectant

l’équilibre entre RESSOURCE et EMPLOI dans les comptes.

‰CAS D’APPLICATION N° 3 :

- 01.08.N : Mr Réné apporte 2.000.000 en espèce pour la création

de son entreprise ;

- 02.08.N : il achète au comptant en espèce des

marchandise :1.000.000

- il vend au comptant des marchandises contre chèque bancaire :

150.000

- 04.08.N : versement d’espèces en banque : 300 .000

- 29.12.N : achat de mobilier debureau en espèces : 50.000

TAF :1. Analyser ces opérations

2.enrégistrer les dans un compte schématique

b)Le plan comptable sous-régional : le syscoa

Un plan de compte est une liste detous les comptes utilisé par une

entreprise classée rationnellement. Le syscoa à prévu à cet effet une

liste de compte qui part de la classe 1 à la classe8.

Ces comptes se classe en 2 grandes catégories :

- les comptes de bilan ;(classe 1,2,3,4,5)

- les comptes de gestion.(classe 6,7,8).

E t la classe 9 pour la comptabilité analytique et les engagement horsbilan.

IV – Le journal, le grand-livre, la balance :

Toute entreprise tient obligatoirement un livre-journal, un grand-livre et

un livre d’inventaire.

Le livre-journal , ou encore simplementle journal, peut être spécifié par


souci de clarté et d’organisation, à savoir :

- journal de ventes ;

- journal des achats ;

- journal de ventes ;

- journal des opérations diverses ;…..

Les opérations enregistrées dans les journaux sont reportées dans le

grand-livre qui lui regroupent l’ensemble des comptes utilisé par

l’entreprise .

Le grand-livre servira à élaborer la balance générale de comptes .La

balance est un instrument de contrôle, elle se présente sous forme de

tableau d’au moins six colonnes ( syscoa) et permet de présenter le

principe de la partie double.

™Propriété arithmétique de la balance :

Total des débits de la balance = total des crédits de la balance

On arrive également à la conclusion suivante :

Total des soldes débiteurs = total des soldes créditeurs

V- Le Etats financiers

1. Système d’organisation comptable

Un système comptable, est un système qui permet d’enregistrer, de

classer , de résumer , et de synthétiser l’ensemble des opérations

effectuées par l’entreprise.

Toutes les opérations réalisées par l’entreprise doivent être justifiées par

une pièces comptables, à l’exception de certaines opérations (charges

ou produits calculées)

Tout système doit être organisé dans l’ordre ci-dessous, à savoir :

Pièces comptables (sourcesinternes ou externes)

Journal (d’achat, de ventes, d’opérations diverses,…….)

Comptes et grand-livre

Balance générale des comptes

Bilan,compte de résultat

3 types de systèmes sont généralement utilisés, à savoir le système


classique, le système centralisateur, le système informatique.

DESCRIPTION DU SYSTEME INFORMATIQUE

DESCRIPTION DE QUELQUES COMPTES USUELS

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