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BIDEN, FOSSOYEUR INVOLONTAIRE DES DÉMOCRATES ET DES


MOLLAHS
30.11.2020 de Kennedy à Biden, 60 ans de fraude électorale aux États-Unis !

Les mollahs ne cessent de dire qu’ils seront sauvés par Biden. C’est un point de vue très
simpliste dans un monde qui est face à des bouleversements et des mutations majeures. Un
décryptage des relations irano-américaines s’impose.

Au travers de ce prisme qui implique parfois l’Irak et de ce fait, la France également, nous
vous proposons un état des lieux de l’Amérique et du monde, que l’on peut comparer à un
océan déchaîné. Puis nous exposerons le cas des mollahs que l’on dirait assis dans une
coquille de noix ou dans le Titanic, ce qui est du pareil au même dans une telle tempête, car
ils n’auront quoiqu’il arrive aucun canot de sauvetage.

Fausses rumeurs de fraude ?


Qui a gagné l’élection présidentielle américaine ? Est-ce Biden ou Trump ? Ce dernier
évoque une fraude massive notamment en faisant remarquer que Biden a eu plus de votes
que lui en raison de bulletins par correspondance truqués, ou qu’il a eu plus de suffrages
dans les régions qui ont par ailleurs voté en même temps pour des candidats républicains
pour siéger à la chambre des représentants ou au sénat. Ces événements n’ont rien de
surprenant, car la fraude électorale n’est pas un fait inédit aux États-Unis !

Il est de notoriété publique que John F. Kennedy, issu de la plus puissante mafia américaine,
c’est-à-dire celle des Irlandais, beaucoup plus ancienne que celle des Italiens, a été élu
grâce à une vaste fraude de vote par correspondance avec l’aide de toutes ces mafias face
à Nixon, partisan de la détente, avec la mission de provoquer les Russes et prendre le
pouvoir dans de nombreux pays sous influence russe ou anglaise. Nixon n’avait pas alors
contesté les résultats de l’élection pour ne pas diviser et affaiblir les États-Unis.

© IRAN-RESIST.ORG

JFK a placé aussitôt son frère Robert à la justice pour bloquer les possibles recours pour les
prochains mandats. Il voulait aussi contrôler le FBI et assurer les intérêts de ses protecteurs
mafieux irlandais. La mafia italienne se sentant menacée a prêté main-forte à Edgar J.
Hoover, l’ultra puissant patron du FBI, pour éliminer finalement les deux frères.

Nixon, dernier président indépendant des États-Unis.


Après un mandat et demi très décevant Lyndon Johnson (vice-président et successeur de
Kennedy), Nixon a séduit les électeurs en obtenant 301 des grands électeurs américains.
Mais il a été immédiatement ceinturé par les démocrates sans doute grâce à son mentor
politique républicain, Prescott Bush (père de George Herbert Bush) ancien associé des
Rockfeller qui a pu lui imposer Kissinger dans son équipe gouvernementale. Nixon,
conscient qu’il était piégé, s’est protégé en nommant Alexander Haig comme adjoint de
Kissinger (leur connivence est d’ailleurs visibles sur de nombreuses photos). Comme Trump
aujourd’hui, Nixon a ainsi pu se rapprocher de la Chine grâce à Haig. Les démocrates ont
contré Nixon en introduisant grâce à Prescott Bush son fils George Herbert Bush au poste
clef d’ambassadeur des États-Unis à l’ONU qui est l’équivalent d’un ministre des Affaires
étrangères bis.

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Par ailleurs, Nixon s’est également opposé à Kissinger et son projet de déstabilisation du
Moyen-Orient en poussant les Saoudiens à provoquer Israël. Il a misé sur le Shah, qui par
sa force militaire, sa neutralité et son pacifisme, mais aussi grâce à de bonnes relations avec
l’Arabie Saoudite et Israël, et à son rôle fondateur dans l’OPEP, a défendu une utilisation
responsable du pétrole, en pétrochimie et non en énergie. Il était un leader écouté et un
garant de la stabilité et la sécurité du Moyen-Orient.

Le Shah rencontre le mythique Roi Fayçal d’Arabie


Le Shah reçoit Meir Ezrī (‫)ﻣﺌﯿﺮ ﻋﺰری‬, l’ambassadeur d’Israël en Iran de 1958 à 1979

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Rappelons qu’il proposa une résolution pour un Moyen-Orient dénucléarisé et adopta les
premières mesures écologiques au monde en finançant plusieurs projets de production
d’énergies moins polluantes, voire non polluantes. Il s’était aussi engagé à rapprocher les
Égyptiens et les Israéliens, ce qui a plus tard abouti aux accords de paix de Camp David
quelques années plus tard.

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Les pétroliers américains n’ont pas apprécié cette indépendance du Shah et de Nixon et ont
mis au point un nouveau scénario pour les discréditer et les renverser.
On sait depuis longtemps que c’est George Herbert Bush qui a trahi Nixon en validant de
fausses confidences secrètes au Washington Post accusant Nixon d’espionnage électoral
dans les bureaux du candidat démocrate situé dans le maintenant célèbre immeuble
Watergate. Or Nixon avait 80 % d’intention de vote et n’avait pas besoin de tricher. Il a
d’ailleurs été élu en s’octroyant 520 grands électeurs sur 537.

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Mais ces accusations véhiculées par les démocrates l’ont éliminé d’office malgré son succès
dû à un bilan exemplaire. Nixon a démissionné et son équipe a explosé, excepté Kissinger
qui a été récupéré par le vice-président Gerald Ford, successeur de Nixon. Ford et Kissinger
ont refusé de soutenir le Shah et de lui livrer des armes commandées en le décrivant comme
un facteur d’instabilité de la région.
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1973, année charnière.


Ford a nommé le traitre Bush responsable des relations avec la Chine. Puis, il s’est
rapproché de Giscard pour créer sur les conseils du Council on Foreign Relations, dominé
par Huntington et Brzezinski, stratège de la diplomatie anti-russe et anti-Chinoise des États-
Unis, une organisation franco-américaine à leur service sous le nom de French Américain
Foundation (FAF).

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Cette organisation lancera par la suite le programme Young Leaders qui aura très peu de
membres américains dont notamment Bill Clinton, son épouse Hillary et Obama.
Rétrospectivement, les recrutements ont montré que les caciques démocrates avaient envie
de contrôler toute la classe politique française et que par ailleurs, ils n’avaient pas envie
d’élargir leur propre cercle de décisionnaires.

Auparavant, les Américains volaient toujours des agents islamiques ou gauchistes maçons
aux Anglais (ex. Mossadegh qui s’est avéré non fiable), avant de développer également
leurs propres réseaux islamo-gauchistes comme les Moudjahiddines du peuple, comme ce
fut le cas en Iran.
1974, Shah contre Saddam.
Selon une grande majorité de politiciens iraniens, les Américains ont demandé alors au Shah
d’attaquer l’Irak. On dit qu’il s’agissait de bloquer la modernisation de ces deux pays. Mais, il
s’agissait plus vraisemblablement aussi de provoquer un conflit chiite-sunnite pour agiter
toute la région et porter atteinte au Koweït, petit royaume chiite liée à l’Angleterre et aussi
permettre aux chiites saoudiens de se rebeller contre les princes saoudiens également très
impliqués dans l’OPEP pour in fine, faire exploser l’OPEP.

Le Shah, très conscient des objectifs pétroliers de ses ennemis américains, a acheté les
armes proposées par les Américains pour cette guerre, mais il a définitivement repoussé leur
demande. Il a utilisé les nouvelles armes comme une super force de dissuasion et a réussi à
imposer un accord de paix à l’Irak en marge d’une conférence de l’OPEP en Algérie. Grâce à
cette initiative positive, il a renforcé sa position d’allié incontournable pour tous les pays
arabo-musulmans ou pétroliers.

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1976, French American Foundation


Ford, premier président faussement républicain, a aussi nommé George Herbert Bush, tête
de gondôle des républicains simulateurs, à la tête de la CIA au moment du lancement de la
French American Foundation pour aider la transition vers une administration démocrate qui
devait prendre le relais.

1977-79, Projet Green Belt des démocrates.


Vint alors le démocrate Jimmy Carter, présenté comme un saint homme avec dans ses
bagages Brzezinski et son incroyable projet d’islamisation des pays souvent laïques du
moins progressistes alliés aux États-Unis et situés au sud de la Russie pour islamiser les
pays de l’Asie Centrale soviétique afin de détruire l’URSS, avant d’islamiser à son tour le
Cachemire pour exploser la Chine et in fine s’emparer des richesses pétrolières russes et
chinoises pour exploser la suprématie pétrolière mondiale des Anglais.

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Carter et Brzezinski ont ainsi renversé Bhutto par le général islamiste Zia Ul-Haqq, mis sur
pied les Talibans en Afghanistan et donné le feu vert à la Révolution islamique contre le
Shah avec l’aide de Giscard.

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Les Anglais ont rapidement validé le projet en évoquant un projet d’invasion russe du
Moyent-Orient pour en faire partie. ils ont réussi et ont noyauté le projet en y introduisant
Khomeiny et ont volé la révolution islamique aux démocrates en ridiculisant Carter par une
prise d’otages des diplomates qui avaient œuvré pour la victoire des mollahs. Les Russes
pourtant ennemis historiques des Anglais ont été jusqu’à prêter main-forte à ces derniers en
éliminant le principal ayatollah proche de Washington en lui offrant du thé empoisonné.

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Les mollahs soutenant les Anglais ont attaqué les démocrates par un vaste réseau terroriste
visant les intérêts américains au Moyen-Orient (en Arabie Saoudite et au Liban). C’est à
partir de là que le projet démocrate est devenu un véritable fiasco, malgré tout mais ils ont
sans cesse improvisé des relances qui ont débouché sur de nouveaux fiascos pour eux et
des fractures terribles pour le Moyen-Orient.

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Les mollahs, agissant pour les Anglais, ont aussi apporté leur soutien aux chiites irakiens
malmenés par Saddam, car l’Irakien était alors en secret un allié des démocrates en raison
de ses relations très développées avec la France phagocytée par la FAF. Les Anglais
entendaient démontrer qu’ils pouvaient aussi provoquer un conflit sunnite-chiite pour
déstabiliser davantage les démocrates alors en difficulté.
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Le Raïs irakien a alors surpris les Anglais en attaquant les mollahs. Les démocrates crurent
bon de prendre leur revanche en profitant de l’affaiblissement militaire iranien par la faute
des purges des militaires iraniens par Khomeiny et sa clique. Les démocrates espéraient
évidemment engendrer une guerre sunnite-chiite à leur projet.

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La France qui avait hébergé, protégé et soutenu Khomeiny et les agents iraniens des
démocrates a cette fois couvert Saddam pour punir Khomeiny qui avait trahi et éliminé les
agents des démocrates.

D’autres Européens assujettis aux démocrates via d’autres fondations amicales ont apporté
leur soutien militaire à Saddam.

Mais malgré ces appuis, l’Iran a été sauvé grâce aux ex-militaires du Shah, appelés à la
rescousse par les mollahs. Grâce à un plan préventif mis au point avant la révolution, 200
pilotes iraniens ont détruit en un seul raid toute la flotte aérienne française de Saddam
éparpillée dans 8 bases différentes !
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Par ailleurs, les Anglais ont bloqué le projet américain de guerre sunnite-chiite en incitant
Koweït, leur protégé chiite, à soutenir Saddam. Assad, chiite également, mais aussi pro-
russe, a apporté son soutien à Saddam pour priver les démocrates de leur chaos espéré.

Le gentil Carter n’a pu être réélu en raison de la prise d’otages et aussi l’échec de sa guerre
improvisée.

Fausses alternances.
Les républicains ont pu reprendre la main avec comme candidat Reagan qui avait critiqué la
politique anti-Shah des démocrates. Mais les démocrates ont placé Bush père à ses côtés
comme vice-président. Reagan a persisté dans ses positions pro-Shah. Alors, un attentat a
visé Reagan ouvrant la voie à George Herbert Bush.

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Heureusement Haig, ministre des Affaires étrangères de Reagan s’est imposé en remplaçant
ce dernier hospitalisé afin d’empêcher Bush d’accéder aux commandes. Les médias déjà
bien démocrates à l’époque ont vivement critiqué Haig, laissant supposer qu’il avait
commandité l’attentat pour prendre le pouvoir. Il a dû se retirer. Reagan s’est soumis et a
joué le jeu des démocrates. Le parti républicain n’a pas protesté non plus, ils ont tous
accepté la domination des hauts responsables du parti démocrate. Les républicains ont
même par la suite accepter de simuler la fausse alternance avec Bush et son fils.

Les démocrates ont continué ainsi sans crainte d’une sanction politique de leurs donateurs
pétroliers. Reagan mis au pas a continué leur guerre ratée entre l’Iran et l’Irak, en apportant
du soutien à la fois à Saddam (voyage de Rumsfeld), mais aussi aux mollahs (vente d’armes
secrètes par Oliver North), et ce dans l’espoir du collapsus initial imaginé par Brzezinski. La
guerre a duré 8 ans au nom de la patrie par la volonté des mollahs qui avaient peur que sa
fin entraîne la leur. Les Américains ont tout fait pour y mettre fin, car elle était la preuve de
leur incompétence.

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Reagan sous pilotage Bush-démocrate a tenté une réconciliation avec les mollahs. Mais ils
ont refusé par soumission aux Anglais. Reagan a laissé sa place au vrai patron de son
administration : George Herbert Bush.
1990 : 1re guerre du Golfe.
Un an après son élection comme président, George Herbert Bush a annoncé de lourdes
sanctions contre les mollahs sans les appliquer vraiment. Les mollahs ont simulé une
ouverture à l’Occident avec le faux modéré Khatami, ex-patron des assassinats d’opposants
en exil et responsable de la purge des universités. Bush et les démocrates, assistés de leurs
Young Leaders, ont validé le projet dans l’espoir d’une vraie ouverture. Mais ils n’ont rien
obtenu.

Bush a alors relancé le projet de la guerre entre sunnites et chiites en incitant Saddam à
attaquer le Koweït. Les Américains ont appelé cela la première guerre du Golfe (persique),
car il visait en fait ce territoire et l’Iran, essentiel en raison de sa taille et sa position
géographique pour déstabiliser la Russie. Les mollahs à bout de force n’ont pas pu intervenir
et le conflit sunnite-chiite n’a pu avoir lieu.

Geroge Herbert Bush a alors bombardé le Koweït occupé par Saddam au prétexte de sa
libération avant de soumettre la facture de ses frais militaires aux Koweïtiens, histoire de les
ruiner et les contraindre à devenir ses serviteurs. Mais cela a encore échoué.

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Les mollahs se sont sentis menacés par cette persistance guerrière. Ils ont enrichi leurs jeux
de simulations avec un grand nombre de faux opposants issus des réseaux révolutionnaires
de Carter pour faire espérer les démocrates sans jamais leur céder un pouce de terrain.

1993 : Bill, la menace.


Bill Clinton, seul Young Leader américain, a succédé à George Herbert Bush avec la mission
d’étendre l’islamisme en Europe de l’Est pour contrer les Russes (avec l’aide de Young
Leader Wesley Clark) et aussi s’imposer en Afrique pour contrer les Chinois.

Concernant l’Iran, Clinton a opté pour l’ouverture, mais en l’absence de succès, a évoqué
des sanctions en modifiant sans cesse les motifs quand celles-ci risquaient de balayer les
mollahs. Il est ainsi passé de la menace terroriste (basée sur des faits réels) à une supposée
menace balistique et nucléaire (fictive et facilement oubliable), car les mollahs ne sont même
pas fichus de fabriquer des joints de portières pour les Peugeots montées en Iran.

En 1996, juste avant la fin de son 1er mandat, Bill a légèrement durci le ton en qualifiant les
mollahs de voyous (Rogue State) et en adoptant à leur encontre la loi Amato-Kennedy au
motif très exagéré du développement des armes de destruction massive par ces derniers.

Mais Bill a laissé une chance aux mollahs en affirmant qu’il ne pouvait appliquer des
sanctions en raison de l’opposition des dirigeants européens. Ces derniers étant des
complices, il s’agissait de faire durer le chantage sans pour autant appliquer les sanctions et
mettre en danger le régime islamique si cher au parti démocrate.

Rattrapages improvisés et échecs en cascade.


In fine, à mi-chemin de son second mandat, Bill, pressé d’avoir un résultat, a activé les
sanctions. Mais craignant la disparition du régime islamique, il a autorisé les mollahs à signer
des contrats pétroliers avec les Européens et les Asiatiques avant la date de mise en
application des sanctions de la Loi Amato-Kennedy.

Cela a sans doute fâché les pétroliers américains qui étaient en concurrence avec ces
pétroliers étrangers. Les démocrates certains de perdre le pouvoir se sont alors détachés de
leurs donateurs en devenant écologistes et anti-pétrole avec Al Gore...

Mais George Herbert Bush a empêché la rupture de la relation très lucrative avec les
pétroliers américains en proposant la candidature de son fils George Walker Bush avec un
gouvernement 100 % issu des milieux pétroliers américains, pour faire miroiter des deals aux
mollahs. Mais Bush junior a échoué.

Ce drôle de gouvernement pétrolier de George Walker Bush a essayé de se rattraper en


négociant le passage de gazoducs vers l’Asie Centrale avec les Talibans. Mais les Talibans
se sont méfiés et le deal n’a pas eu lieu.

Vint alors le 11/09 qui a justifié l’intervention des démocrates pour valider une attaque
massive sur la région qui leur résistait depuis si longtemps. Avec le soutien des démocrates
(en particulier Biden), Bush a attaqué l’Afghanistan, mais pas les mollahs, mais plutôt l’Irak
qui n’était nullement impliqué afin d’y installer une République islamique pro-américaine, et
en même temps, lancer un message de menace aux mollahs pour les forcer à rejoindre sa
grande armée d’islamistes.
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La France a tenté d’empêcher cette attaque pour préserver les champs pétroliers Al-
Majnoon, le plus grand gisement pétrolier français, obtenu dans le sud irakien chiite grâce à
ses relations privilégiées avec Saddam, le tueur des chiites. En vérité, la France aurait dû y
aller ou défendre Saddam. Elle a passé la main en raison de ses liaisons secrètes. Les
Anglais y sont allés et ont obtenu le gisement.

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Les mollahs, paniqués par la menace et le risque d’une entente anglo-démocrate, ont lancé
un message au prince Reza Pahlavi en reconnaissant d’avoir menti en accusant son père, le
Shah de crimes inexistants. Mais ils n’ont vu aucun deal entre les Anglais et les démocrates.
Rassurés, ils ont profité du désordre provoqué par l’intervention en Irak, en investissant sur
ce chaos dans leur intérêt et celui des Anglais.

Les Bush et les démocrates ont continué à improviser en invitant les mollahs au dialogue en
Irak. Mais ils n’ont rien obtenu d’eux et grâce à leur dialogue, ils ont légitimé l’ingérence des
mollahs en Irak. Ils ont encore improvisé en cherchant un deal avec Assad sur le Hezbollah
et ont échoué encore une fois.

Pour continuer leur chantage, Bush junior et les démocrates ont inventé l’hypothèse d’une
option militaire contre l’Iran, de quoi faire peur aux mollahs, mais aussi rassurer leurs
donateurs pétroliers toujours plus mécontents de ne pas obtenir les contrats des Anglais et
des Russes. Cette option militaire a plu au peuple iranien qui le voyait comme une
opportunité pour se débarrasser des mollahs. Alors Washington a renoncé à cette prétendue
option, et a confié cette tactique d’intimidation à Israël, mais son exécution a été suspendue
par un manque prétendu de forces aériennes suffisantes. Israël comme d’autres pays de la
région aura sans cesse dû composer avec les désidératas démocrates sans pouvoir tenir
réellement compte de ses propres intérêts.

Par ailleurs, pour parer à une éventuelle coupure de financement des pétroliers, Bush et les
démocrates ont misé sur la bulle financière afin de s’enrichir avant de la faire éclater pour
ruiner la Chine durant ses coûteux Jeux olympiques et gagner la guerre contre elle. Ils n’ont
pas pu y arriver et ont seulement ruiné leurs propres citoyens et leurs alliés européens.

Les Printemps Arabes, Boomerang idéologique.


Après Bush junior et ses frasques, les démocrates ont repris la main avec Obama, dernier
élève de Brzezinski. Ils se sont alors rapprochés des Chinois en se disant qu’ils pouvaient
les engraisser avant de les manger. Mais ils ont encore échoué.

Malgré ces si nombreux échecs stratégiques, soit 40 ans de fiasco de leur islamisme en Iran,
en Afghanistan et en Irak, les démocrates ont relancé leur effort avec l’idée d’une nouvelle
révolution islamique (le Printemps Arabe) du Maghreb au Caucase en passant par la
Jordanie et la Syrie, essayant de prendre les Russes à revers via le Caucase alors qu’ils
venaient déjà d’échouer dans leur tentative d’islamistation de la Tchétchénie (avec un
financement imposé aux Saoudiens).

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Ce projet de Printemps Arabe leur a échappé aussi. Les mollahs ont simulé une fausse
révolution pour légitimer leur régime. Le peuple en a profité pour déstabiliser le régime, mais
Obama a refusé d’appuyer les Iraniens.

Par ailleurs, les Français ont mis un veto pour son application au Maroc, tandis que les
Anglais ont protégé la Jordanie.

Obama s’est focalisé sur la Syrie (qui était soutenue par la Russie). Les Européens pro-
démocrates et les Anglais ont validé cette guerre islamiste contre un État laïc. Mais le peuple
syrien, bien que mécontent d’Assad, a refusé d’aider les jihadistes cagoulés de Washington
et ses alliés. Les démocrates ont persisté dans leur impossible projet en inventant Daesh
(avec un financement imposé aux Qataris suite au refus des Saoudiens sous l’influence
naissante de MBS). L’extrême violence de Daesh a discrédité la présence américaine et a
permis à la Russie d’intervenir au Moyen-Orient et d’en devenir un acteur majeur, ce qu’elle
n’imaginait même pas dans ses rêves les plus fous. Cette fois-ci, les pétroliers américains
ont refusé de suivre davantage les démocrates qui avaient échoué tout le temps et partout.

Obama vert de rage.


Les démocrates sont alors devenus totalement écolos anti-pétrole pour discréditer et punir
leurs ex-donateurs qui ne voulaient plus les aider et aussi pour paralyser la Chine. Ils ont
d’abord parlé d’un réchauffement en profitant d’un réchauffement naturel dû à la proximité
cyclique de la terre avec le soleil. Mais cela a échoué en Chine et a porté préjudice à
l’économie américaine. En l’absence des catastrophes climatiques évoquées comme la
disparition de certains pays sous les eaux, ils continuent à présent à agiter les dangers des
dérèglements climatiques et de la pénurie d’eau.

Cette pénurie ne devrait pas exister, car un Français (Marc Parent) a inventé une machine
éolienne, Eole Water, qui produit 1000 litres d’eau par jour et peut fertiliser la terre entière...

2016 : Divorce pour fautes !


Les pétroliers et les industriels américains ont alors fait appel à Trump qui avait été le
seul membre du parti républicain à le quitter pour désaccord avec le système mis en place
par les démocrates avec l’aide des Bush en critiquant notamment leur projet essentiel d’une
révolution islamique en Iran.

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Le choix s’est avéré bon, car Trump a séduit les industriels et les pétroliers américains en
esquissant une stratégie de détente avec la Russie pour contenir ensemble la suprématie
pétrolière anglaise et l’appétit des Chinois nettement renforcés par les mauvaises approches
mondialistes des démocrates.

Trump a aussi séduit les électeurs par ses critiques contre l’État profond, qui désigne en
réalité le groupe d’administrateurs qui servent les dirigeants démocrates et les Bush en
battant Hillary Clinton qui avait le soutien de tout le groupe y compris des Bush.

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Dès son investiture, les démocrates et leurs médias, mais aussi leurs Young Leaders
européens l’ont attaqué et l’ont taxé de débilité alors qu’il est un joueur d’échecs classé et
dirige près de 500 entreprises. Il n’a aussi pas facilement pu trouver des alliés au sein des
services secrets, qui étaient depuis longtemps devenus des agents des démocrates.

Trump, vilipendé par les médias mainstream, a privilégié Twitter. Mais les patrons des GAFA
l’ont régulièrement bloqué en raison de son projet de les taxer pour équilibrer leur rôle dans
l’économie américaine. Ils l’ont sans cesse censuré en le taxant d’ennemi de l’écologie alors
qu’ils sont les plus grands pollueurs en raison de leur besoin en métaux rares. On retrouve là
la méthode d’inversion accusatoire qui a été utilisée par les démocrates fraudeurs accusant
Nixon de triche ou Haig de putsch.

Succès incontestables.
Malgré toutes ces oppositions, Trump a radicalement changé la diplomatie américaine en se
rapprochant de la Corée du Nord avec l’aide de Poutine pour affaiblir la Chine. Il est même
parvenu à contenir l’offensive économique chinoise. Il a aussi isolé les mollahs en les
sanctionnant vraiment, en apportant son soutien à un changement de régime et il a aussi
réduit la nuisance terroriste des mollahs en pacifiant le Moyen-Orient grâce à son respect
des intérêts des Arabes et des Israéliens.

Trump a aussi réveillé l’économie américaine en créant des millions d’emplois et a ouvert un
champ de confort pour les plus démunis en faisant baisser les prix des médicaments de
90 %.

Par ailleurs, il a lancé des enquêtes sur la corruption des principaux dirigeants démocrates et
leurs complices républicains notamment grâce à l’arrestation d’Epstein.

Les démocrates humiliés par ses succès, mais aussi menacés d’arrestation ont sans cesse
refusé le débat avec Trump en remettant en cause sa légitimité grâce à une prétendue
tricherie avec les Russes pour le renverser. Les dirigeants européens, souvent issus des
réseaux Young Leaders, ont participé à ces campagnes diffamatoires. Mais l’impeachment
des démocrates a échoué grâce à un sursaut inattendu de la majorité des républicains et
même certains ténors républicains habituellement pro-démocrates.

COVID19, un rhume fantastique.


En décembre dernier, alors que Trump venait de signer un accord majeur bénéfique à son
pays avec les Chinois et de déclencher par un système légal des sanctions plus lourdes
contre les mollahs ; une université américaine, Johns Hopkins, connue pour ses liens avec
les démocrates, et condamnée pour des essais microbiques sur des enfants sud-américains
a fait état d’une pandémie fulgurante d’origine chinoise, en exagérant l’interprétation des
données grâce à des courbes de mortalités cumulées et une modélisation informatique
déconnectée des réalités médicales. Les appareils d’information des pays alliés aux
démocrates ont validé cette annonce et ont mis en place une crise sanitaire avec un virus
inoffensif pour une écrasante majorité des gens. Des chiffres de mortalité des années
passées bien plus élevés ont été modifiés pour imposer un confinement qui n’avait pas lieu
d’être.

© IRAN-RESIST.ORG

Iran-Resist.org a immédiatement évoqué un plan de guerre démocrate contre Trump et


aussi contre la Chine. Les big Pharma ont pris la partie des démocrates pour se venger de
la baisse forcée des prix des médicaments imposée par Trump. Les patrons Gafam ont
rejoint le projet, ravis du monde où ils allaient dominer tous les échanges commerciaux, en
somme, toute la nouvelle vie économique mondiale. Ils allaient aussi ruiner les commerces
traditionnels et les avaler. Les agents européens des démocrates ont aussi appliqué le
confinement sans se soucier des intérêts de leurs propres pays.

En Europe, seuls les pays de l’Est, plus patriotes (anti-Soros=anti-démocrates), ont refusé
cette ingérence au prétexte sanitaire.

La Suède qui est aussi une puissance pétrolière l’a refusé pour ne pas être ruinée et
exposée à l’OPA des démocrates ou des Gafam.

Les Anglais ont d’abord refusé l’opération avant de participer à fond les ballons pour avoir
leur mot à dire dans la gestion du plan. Mais ils n’ont pas pu y arriver, car sans cesse
attaqués par les agents européens des démocrates. Ils ont même fait chuter le prix du baril
pour léser les succès de Trump afin d’entrer dans le jeu, mais ils n’ont pas pu s’assurer
contre l’OPA de leurs ennemis démocrates de toujours en trouvant une place à leur côté.

Les démocrates ont préservé la direction des opérations et ont fait durer la pandémie conçue
pour empêcher la réélection de Trump. Face à lui, ils n’ont pu choisir que le vieux Biden, car
il est le dernier membre impliqué dans leur modèle corrompu et sans scrupule, appliqué tour
à tour par les Bush, les Clintons et Obama. Et de fait, le seul à avoir l’intérêt de les préserver
au lieu de balancer leurs secrets et sortir le parti démocrate de cette dérive sans fin qui a
toujours pénalisé les États-Unis en premier. Les Gafam ont validé cette candidature. Les
Anglais ont aussi affiché leur soutien à Biden via le Guardian pour entrer dans le jeu.

Les big Pharma que l’on accuse de tout ont été les moins actives pour aider Biden par peur
d’être avalées par les super-prédateurs Gafam et aussi parce qu’un monde pandémique,
dominé par une seule maladie n’est pas rentable.

De fait, on peut dire que la guerre contre Trump se fait par les jeunes geeks des Gafam et
les vieux démocrates qui veulent s’éviter des procès et conserver ad-vitam le pouvoir. C’est
une alliance de deux super-prédateurs. Ils finiraient même par s’entre-déchirer pour être
seuls à dominer le monde pandémique lugubre que chacun d’eux souhaite nous imposer.

Victoire virtuelle de Biden.


Les Américains ont dans l’ensemble boudé ce candidat, car il n’a pas réussi à les mobiliser
une seule fois même sur Twitter. Il n’a même pas pu augmenter le nombre de ses followers
malgré le profil soi-disant jeune et geek de ses électeurs !

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