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Télévision
RTL RTL Matin
Date : 01/09/2006
Heure : 08:15:04
TF1 Journal de 20h00
Durée : 00:03:28
Date : 02/09/2006
Heure : 20:23:57 Présentateur : Christophe HONDELATTE
Durée : 00:01:57
Présentateur : Claire CHAZAL
Europe 1 Ecolographie
Date : 10/09/2006
France 3 Le 19/20 Edition Paris Ile-de-France Heure : 16:06:24
Date : 04/09/2006 Durée : 00:08:19
Heure : 19:14:55 Présentateur : Michel FIELD; Catherine
Durée : 00:02:02 CHABAUD
Présentateur : Laura MASSIS
Radio
RFI Priorité santé
Date : 07/09/2006
Heure : 11:40:49
Durée : 00:19:07
France culture Journal de 22h00 Présentateur : Claire HÉDON
Date : 03/09/2006
Heure : 22:06:40
Durée : 00:01:28
Présentateur : Gérard GROMER
COLLOQUE 01/09/06
Quand l'environnement menace notre santé
L
'air que l'on respire, la cigarette que l'on fume, la colle de la moquette,
la peinture pour refaire la chambre de bébé : autant de petits gestes
banals qui ont des répercussions trè s concr ètes sur notre santé. On
connaît bien sû r les risques respiratoires. On conna ît moins les
difficultés que rencontrent certains couples pour avoir des enfants. Les
résultats des derni ères études seront pré sentés dès samedi lors de la
Conférence internationale d' épidémiologie et d'exposition
environnementales qui se tient à Paris jusqu'au 6 septembre.
es enfants sont de plus en plus
confrontés à des problèmes d'asthme En images En vidéo Plus d'infos A lire aussi
(AFP)
Plusieurs hypothè ses sont évoqu ée : l'exposition du papa ou de la maman (ça dé pend) à certains pesticides,
phtalates, pr ésents dans les produits en PVC, les nappes, rideaux de douche ; les éthers de glycol ; certains sous produits
Voil à pour la pollution subie. Et puis aussi, si la mè re fume pendant la grossesse, elle induit des risques sur son b
ce b ébé deviendra homme, son sperme sera de moins bonne qualit é. Preuve que les risques se transmettent
vient de créer un observatoire de la fertilité pour répondre à toutes ces questions. Un millier de couples vont être suivis.
Les enfants sont plus à risque que les adultes, et encore plus tôt qu’on ne l’imaginait. L’impact de la pollution commenc
ventre de la mère. Avant la naissance, le fœ tus n'est pas protégé, bien au contraire. C ’est le moment o ù les organes se form
http://www.rtl.fr/info/article.asp?dicid=468997 04/09/2006
07/13 SEPT 06
Hebdomadaire Province
OJD : 27627
300, rue Leon Joulin
31101 Toulouse cedex 9 - 05 61 76 64 64
Surface approx. (cm²) : 161
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ISEE Eléments de recherche : - ISEE ou Société Internationale d'Epidémiologie Environnementale, toutes citations - ISEA ou Société Internationale
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La France découvre la santé environnementale Page 1 sur 2
HIER A DÉBUTÉ à la Cité des sciences et de l'industrie de Paris la première grande conférence
internationale sur la santé environnementale organisée en France. Elle est consacrée notamment à la
santé des enfants et à l'environnement, à l'impact sanitaire de la pollution de l'air (extérieur et int érieur)
ainsi qu'à la mesure des expositions aux polluants.
Pas moins de 1 500 études vont être présentées, dont la plupart ont été conduites par des laboratoires
anglo-saxons et d'Europe du Nord. En effet, bien que les pollutions suscitent de nombreuses inquiétudes,
l'étude de leur impact sur la santé ne mobilise qu'un petit nombre d'équipes scientifiques dans notre pays.
La canicule de 2003 a déclenché une prise de conscience, mais n'a pas suffi. «La médecine française a une
conception de la santé centr ée d'abord sur la maladie. Les pays anglo-saxons ont une démarche de
prévention», explique Michèle Froment-Védrine, directrice de l'Afsset (Agence française de sécurité
sanitaire de l'environnement et du travail) et elle-même médecin. L'Afsset est à la fois l'instigatrice et
l'organisatrice de la Conférence internationale d'épidémiologie et d'exposition environnementale.
L'épidémiologie, qui cherche à établir des corrélations entre pathologies et facteurs environnementaux,
tient dans les pays anglo-saxons une place importante dans l'élaboration des politiques publiques. Elle a
permis, par exemple aux États-Unis, de découvrir avant tout le monde que le tabac provoquait des cancers
du poumon. «En Grande-Bretagne, on peut savoir combien d'enfants âgés de 5 à 10 ans ont fait chaque
année des chutes de bicyclette», ajoute la directrice de l'Afsset. En France, les répertoires des décès des
enfants sont tellement peu documentés qu'ils sont inexploitables pour des études statistiques.
Les organisateurs et les participants de cette conférence esp èrent que les résultats scientifiques qui y
seront présentés seront aussi un signal à destination de l'opinion publique et des politiques. En effet,
l'impact sanitaire de certains produits chimiques et de la pollution atmosphérique n'est plus contestable
(voir ci-dessous). «Nous ne sommes pas un lobby d'activistes», plaide Denis Zmirou, spécialiste de
l'impact de la pollution atmosphérique sur la santé (faculté de médecine de Nancy/Inserm).
Arbitrages à Matignon
«La santé environnementale représente aux États-Unis près de la moitié des programmes des écoles de
santé publique», ajoute André Cicolella, de l'Ineris (1), qui a été un des premiers à mettre en évidence la
toxicité des éthers de glycol. L'impact de l'environnement sur la santé constitue une question
particulièrement explosive en France. «C'est un sujet pionnier extrêmement polémique, tr ès grand public,
avec des volets économiques importants», résume en une seule formule Michèle Froment-Védrine.
Question transversale par excellence, la problématique santé-environnment concerne aussi bien les
ministères de la Sant é, de l'Environnement, de l'Agriculture ou de l'Industrie, ce qui éveille bien entendu
de nombreuses susceptibilités. «Pour la recherche, cela se traduit par une très forte viscosité, reconnaît
Alfred Spira, épidémiologiste (université Paris-XI/Inserm). Quand on veut faire avancer un programme,
trois ministères sont concernés. Les conflits de territoire nécessitent des arbitrages à Matignon. C'est lourd
et c'est long.» Il aura fallu par exemple attendre 2006 pour que l'Observatoire des résidus des pesticides
voie le jour. Sa création avait été annoncée en 1999, mais le ministère de l'Agriculture a longtemps
cherché à contr ôler son fonctionnement.
L'Afsset est l'agence appel ée à porter la problématique santé-environnement en France. Plac ée sous la
tutelle des ministères de la Sant é, de l'Écologie et du Travail, elle dépend très étroitement
d'administrations qui fournissent son budget de 18 millions d'euros et lui donnent ses missions. «En
Grande-Bretagne, les agences sont indépendantes et directement responsables devant le Parlement. Ce
http://www.lefigaro.fr/sciences/20060904.FIG000000039_la_france_decouvre_la_san... 04/09/2006
La France découvre la santé environnementale Page 2 sur 2
dernier vote leur budget et examine leur rapport d'activité», compare Alfred Spira. Ce type d'organisation
permet une gestion plus directe et transparente. Créée en 2002, l'Afsset est une petite structure
employant l'équivalent de 86 personnes à temps plein. Un nain à côté de certains de ses homologues
européens.
Lobby industriel
Contrairement à l'Afssa (2), l'Afsset est une agence tête de réseau. Elle n'a pas ses experts attitrés et doit
faire appel à des candidats extérieurs. Cette situation lui a valu de sérieux déboires, notamment en 2003 à
propos d'une expertise sur les risques des antennes relais. Les associations avaient dénoncé, à cette
époque, le fait que plusieurs experts commissionnés avaient déjà travaillé pour les opérateurs
téléphoniques. L'Afsset a tiré les leçons de cet épisode et sa directrice met actuellement en place un code
de déontologie qui oblige les experts à déclarer leurs éventuels conflits d'intérêt. Cette exigence suscite la
sourde réprobation de plusieurs d'entre eux qui la jugent superflue et y voient une sorte de suspicion.
Chez nos voisins, l'encadrement de l'expertise est considéré comme le seul moyen d'asseoir sa cr édibilité.
Un impératif dans un domaine aux lourdes implications économiques.
La prise en compte de la santé environnementale est venue en grande partie de Bruxelles. Le plan national
santé environnement (PNSE) a été rédigé en urgence à l'occasion de la conférence ministérielle sur
l'environnement et la santé qui s'est tenue à Budapest en juin 2004. Aujourd'hui encore, alors que le
programme européen Reach (enregistrement, évaluation et autorisation de produits chimiques), consacré
à l'évaluation de la toxicité de milliers de substances, est en train de se mettre en place au grand dam des
défenseurs de l'environnement qui accusent Bruxelles d'avoir cédé face au lobby industriel, les pouvoirs
publics n'ont toujours pas fait savoir qui allait se charger de l'expertise côté français.
http://www.lefigaro.fr/sciences/20060904.FIG000000039_la_france_decouvre_la_san... 04/09/2006
07 SEPTEMBRE 06
Quotidien Paris
OJD : 116457
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07 SEPTEMBRE 06
Quotidien Paris
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SCIENCES
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ENVIRONNEMENT - SANTE -
L'Europe confirme donc son retard sur le sujet, la plupart de ses villes dépassent le
seuil journalier de 25 microgrammes alors que l'atmosphère américaine franchit
rarement la barre des 20. Cet effet est connu, il dérive de la préférence
européenne pour la motorisation diesel, plus productrice de particules que celle à
essence. Denis Zmirou-Navier doute même de l'amélioration de l'air urbain en
France, avancée par un rapport de l'Institut français de l'environnement. Selon
l'Ifen, le niveau des 4 polluants les mieux observés (ozone, dioxyde de soufre et
d'azote, particules fines) a baissé de 10 % en 2004-2005 par rapport aux deux
années précédentes. Pour le scientifique, les méthodes de mesure sont trop
anciennes, les standards actuels montrent plutôt une stabilité des pollutions.
Le congrès parisien a aussi confirmé tout le mal que pensent les chercheurs de la
pollution de l'air intérieur. Plus que l'air atmosphérique encore, car il concerne 90 %
du temps de vie des populations. Presque ignorée il y a quelques années, cette
problématique fait désormais l'objet de recherches surtout dans les pays anglo -
saxons, qui représentent 80 % des publications en toxicologie environnementale.
« On sait que, depuis trente ans, la qualité de l'air intérieur a baissé car le choc
pétrolier a débouché sur une forte isolation des logements qui ne respirent plus.
Cela, alors que de nouveaux matériaux, toxiques, sont apparus », rappelle Michèle
Froment-Védrine, directrice de l'Agence française de sécurité sanitaire de
l'environnement et du travail.
MATTHIEU QUIRET
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04 SEPTEMBRE 06
Quotidien Paris
Le 4/9/2006 à 19:42
AFP Fil : ERS
Slug : Santé-environnement-pollution-UE
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2/3 SEPT 06
Quotidien Paris
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11 RUE BERANGER
75154 PARIS - 01 42 76 17 89
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Ecologie. A Paris, une conférence internationale sur l'environnement et la santé.
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29 AOUT 06
Quotidien Paris
OJD : 96253
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D
evrons-nous tous faire un (Californie) où
jour comme les adeptes s'accumulent les polluants photo-
de la religion jaïniste, oxydants comme l'ozone, du fait
en Inde, qui portent des notamment du fort ensoleillement.
masques sur la bouche afin de ne En Grande-Bretagne également,
pas avaler le moindre moucheron? une équipe de chercheurs abonde
En France, ce serait bien sûr dans ce sens. Ces derniers ont dé-
pour éviter d'inhaler polluants montré l'existence d'une relation
atmosphériques et fines parti- nette entre la forte concentration de
cules. Mais la question mérite cellules respiratoires «nettoyeuses»
d'être posée, tant le risque de (les macrophages alvéolaires) et la
développer des infections respi- baisse de la capacité respiratoire:
ratoires chroniques (telles que jusqu'à IO à 20 % à l'âge de 5-6 ans !
les bronchites et bronchiolites) Ainsi, de jeunes enfants exposés à
ou des problèmes cardiaques, i long terme au trafic routier sur leur
voire un cancer du poumon, i lieu d'habitation ou à l'école pâtis-
varie certes selen l'âge et l'état i sent d'un moindre développement
de santé préalable, mais aussi et de leurs poumons. «Les conséquen-
peut-être surtout en fonction de la ces d'une exposition précoce peuvent
qualité de l'atmosphère respirée par être graves, car le système respiratoire
la population. n'est mature qu'à 10-12 ans», pour-
Plusieurs études épidémiolo- suit Denis Zmirou.
giques ont été réalisées, ou sont À cette pollution urbaine peut
encore en cours, afin de quantifier s'ajouter l'impact d'un air inté-
l'importance de cette question fon- rieur vicié, aussi bien dans les
damentale de santé publique. Ainsi habitations que dans les écoles ou
la « cohorte francilienne », à savoir le autres lieux de vie. L'atmosphère
suivi de 3 000 enfants vivant en mi- ambiante, souvent mal aérée, peut
lieu urbain à fort trafic automobile être riche en acariens, moisissures
par l'équipe d'Isabelle Mormas, de et bactéries. «Avec l'avènement
la faculté de pharmacie de l'univer- de nouveaux produits chimiques
sité de Parisv, permet-elle d'expli- (PVC, bois traités) et l'habitude de
quer pour partie l'augmentation des vivre en milieu confiné par souci
maladies asthmatiques par l'expo- d'économie d'énergie, cet aspect de
sition aux oxydes d'azote et aux fi- la qualité de l'environnement est
nes particules, dus notamment aux relativement nouveau et devient très
moteurs diesel. «On observe deux à préoccupant», assure Denis Zmi-
trois fois plus de cas d'asthme que rou. Une vingtaine de «composés
durant les vingt dernières années», organiques volatils» sont corrélés
explique Denis Zmirou, professeur avec l'incidence de l'asthme chez
de santé publique à l'université de l'enfant. Un champ de réglemen-
Nancy et co- tation encore en friche en France,
De jeunes enfants président de contrairement à d'autres pays tels le
exposés à long la Conférence Danemark et la Suède qui ont pris
terme au trafic internationale conscience du problème.
routier sur leur d'épidémiologie Quant à l'action de la pollution
lieu d'habitation environnemen- atmosphérique à long terme sur les
ou à l'école taie de Paris. adultes, elle fait l'objet de longues
pâtissent Autres cieux, enquêtes en Europe et aux États-
d'un moindre même constat, Unis, comme celle des « Six cities » :
développement dans la région le suivi de 8000 adultes pendant
de leurs poumons, de Los Angeles seize ans dans six villes américai-
nes a mis en évidence une étroite
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29 AOUT 06
Quotidien Paris
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26 AOUT 06
Hebdomadaire Paris
OJD : 441963
14 BOULEVARD HAUSSMANN
75438 PARIS CEDEX 09 - 01 57 08 50 00
Surface approx. (cm²) : 588
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TAMTAM
STATUFIES
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d'écolier de votre
enfance, un
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p> |es transformer MADONNA
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leur offre une de sa forme, en tournée,
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3 QUESTIONS À DENIS ZMIROU-NAVIER, Project Design De quoi vous consoler
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place pou r ses concerts
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SONT PARTOUT» 31 août. s G
Ou 2 au 6 septembre se tient "10KILOS C'EST LE PO! DS Éditions Why Nat, 24,90 €,
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d'épidémiologie et d'exposition SOIT 7 KILOS DE TROP wwweditionswhynot com
environnementales". Les substances
SALUONS LINITIATIVE
chimiques dans les produits
de consommation sont dans DU CONSEIL GÉNÉRAL
le collimateur. Coprésident D INDRE-ET-LOIRE QUI
de la conférence, le P' Zmirou- LANCE UNE OPERATION
Navier fait le point. «CARTABLES LEGERS.» LES
f a-t-il des raisons d'avoir peur7
LIVRES SONT DISTRIBUES
EN DOUBLE EXEMPLAIRE
soient parfaitement avertis des précautions à prendre UN POU R LA MAISON
londe leur utilisation. Or, aujourd'hui, cene ET UN POUR LA CLASSE
information n'est ni suffisante ni mise en valeur comme
elle le devrait. Il ne faut cependant pas dramatiser,
si ces produits ne nécessitent pas de manipulation,
le risque est minime. ~~ "
MODÈLES RÉDUITS
Conseilles par leur coach perso, nos petits sortent de >rmais siglés
• Les « fashion victims» de2à 12 ans vont craquer o •ani la ligne Icônes de
q u i sont s u r l e m i K * Vuitton On adopte pour la rentree le caban comme rr man et on garde I en
expertise compléte. C'est dans ce but qu'a été conçu semble imprime logo pour le week-end '
le dispositif européen Reach, qui obligera • Les ados vont se la louer «sixties» avec la nouvel!* igné Baby lane créée
les industriels à informer le consommateur de la par le tandem elements Ribeiro pour Cacharel Au pre ramme vestes à bou-
composition du produit et de ses dangers. tons dores salopettes en velours côtelé et doudoune rayees multicolores
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NATHALIE BOUVARD SOPHIECARQUAIN, CAROLINE DRZEWIECKI, ÉRIC NEUHOFF ÉLISABETH PAILLÉ.
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07 SEPTEMBRE 06
Quotidien Prov. avec dim.
OJD : 72221
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Les scientifiques n'ont pas, à ce jour, démontré les dangers des téléphones mobiles sur la santé. Ils relativisent
les risques et développent des études sur le long terme.
007AE59250905A09620E4E54C50385D12505E50800A86F0E41A4876
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Edition de Toutes editions
Recueilli par
Bernard LE SOLLEU.
Pour la première fois, en France, une étude baptisée ELFE (Étude longitudinale
française) va suivre 20 000 enfants, pendant 15 ans, pour mesurer l'influence
de l'environnement sur leur santé.
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7 SEPTEMBRE 06
Quotidien Prov. avec dim.
OJD : 77030
Page 1/1
LOCALITE
SUJET Rubrique se penchant sur les éventuels effets nocifs des téléphones portables. Selon le Pr
Alfred Spira, porte-parole de la conférence internationale d'épidémiologie et d'exposition
environnementales, l'utilisation des portables multipliant par quatre le risque d'accidents de
la circulation, ce sont les seuls effets prouvés de façon certaine.
Cet éditeur interdit la diffusion numérique des articles de presse extraits de ses publications. C'est la raison pour laquelle l'Argus de la Presse vous adresse
cette alerte. L'article de presse original vous est envoyé par Poste. A défaut d'original, l'Argus de la Presse vous fournit une copie papier acquittée du
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7 SEPTEMBRE 06
Quotidien Prov. avec dim.
OJD : 119401
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LOCALITE
SUJET Les scientifiques montent au créneau et attirent l'attention des autorités concernées sur les
effets nocifs que peuvent avoir les téléphones mobiles et les antennes relais sur la santé
des utilisateurs. Selon le Professeur Alfred Spira, porte-parole de la Conférence
Internationale d'Épidémiologie et d'Exposition environnementales, l'usage des téléphones
mobiles accroît le risque d'accidents de la circulation.
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7 SEPTEMBRE 06
Quotidien Prov. avec dim.
113 BOULEVARD DE STRASBOURG OJD : 15094
76066 LE HAVRE CEDEX - 02 35 19 17 17
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LOCALITE
RUBRIQUE
SUJET Gros plan sur les téléphones mobiles dont les éventuels effets nocifs suscitent actuellement
l'intérêt des scientifiques. Il est, entre autres, précisé que l'utilisation d'un téléphone mobile
au volant aurait un lien étroit avec le nombre croissant d'accidents de la circulation. Par
ailleurs, le professeur Alfred Spira, porte-parole de la conférence internationale
d'épidémiologie et d'exposition environnementales, donne son avis sur le sujet.
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7 SEPTEMBRE 06
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OJD : 45890
214 route de Grenoble
06290 NICE Cedex 3 - 04 93 18 28 38
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LOCALITE
SUJET Document évoquant les éventuels effets nocifs des téléphones mobiles ou des antennes
relais. Une communication de 4 secondes avec un mobile expose autant la tête que de
passer 24 heures à proximité d'une antenne relais. Ces éléments ont été abordés lors de
la conférence internationale d'épidémiologie et d'exposition environnementales.
Cet éditeur interdit la diffusion numérique des articles de presse extraits de ses publications. C'est la raison pour laquelle l'Argus de la Presse vous adresse
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8 SEPTEMBRE 06
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LOCALITE
RUBRIQUE
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7 SEPTEMBRE 06
Quotidien Prov. avec dim.
113 BOULEVARD DE STRASBOURG OJD : 13196
76066 LE HAVRE CEDEX - 02 35 19 17 17
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LOCALITE
RUBRIQUE
SUJET Lors d'une conférence à Paris, les scientifiques ont témoigné leur intérêt de démontrer les
effets nocifs des téléphones mobiles ou des antennes relais sur la santé. Plus loin,
explications du Pr Alfred Spira, porte-parole de la conférence internationale d'épidémiologie
et d'exposition environnementales.
Cet éditeur interdit la diffusion numérique des articles de presse extraits de ses publications. C'est la raison pour laquelle l'Argus de la Presse vous adresse
cette alerte. L'article de presse original vous est envoyé par Poste. A défaut d'original, l'Argus de la Presse vous fournit une copie papier acquittée du
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07 SEPTEMBRE 06
Quotidien Province
OJD : 61342
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Trouver le bon
ou mauvais mobile
avec un mobile expose autant
PORTABLE LES EFFETS la tête que de passer 24 heu-
NOCIFS RESTENT REDOUTÉS res à proximité d'une antenne
MAIS NON DÉMONTRÉS relais, dans un lieu où l'intensi-
té du champ électrique corres-
L'utilisation de téléphones pond à I Volt/mètre, explique-
mobiles multiplie par quatre le t-il. Si l'on prend en compte le
risque d'accidents de la circu- corps entier, l'exposition pen-
lation, ce sont les seuls dant 24 heures à I V/m près
« effets prouvés de façon cer- d'une antenne relais équivaut
taine ». Les termes du Pr
à IO minutes l'oreille collée au
Alfred Spira, porte-parole de la
conférence internationale téléphone mobile. Pour la tête,
d'épidémiologie et d'exposi- le rayonnement est IO DOO
tion environnementales, résu- fois plus élevé lors d'une con-
ment à quel point le sujet versation téléphonique qu'un
demeure un vaste champ de champ de I V/m près d'une
recherche. Alors que les anten- antenne relais, insiste ce cher-
nes relais suscitent les crain- cheur, qui envisage des recher-
tes de riverains, Martin Rôôsli ches sur le rôle éventuel des
de l'Université de Berne relati- ondes émises par les « bases »
vise les risques. Une communi- de téléphones sans fil dans
cation de quatre secondes l'apparition d'insomnies.
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9 SEPTEMBRE 06
Quotidien Prov. avec dim.
OJD : 760367
10 RUE DU BREIL
35051 RENNES CEDEX 09 - 02 99 32 60 00
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LOCALITE Dirinon
RUBRIQUE
SUJET Rubrique nous apprenant que l'Isee mènera, du 18 septembre au 17 octobre, une enquête
sur les changements dans l'organisation du travail et l'utilisation professionnelle de
l'informatique auprès des salariés résidants en France.
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N°0/2006
Parution irrégulière
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EDITORIAL
Dr Michèle FROMENT-VÉDRINE
Directrice générale de IAFSSET
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8460708000504/SG/MJP d'Analyse des Expositions, toutes citations - CONFERENCE INTERNATIONALE D'EPIDEMIOLOGIE ET ...
N°0/2006
Parution irrégulière
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05 JUILLET 06
Quotidien Paris
OJD : 42979
21 RUE CAMILLE DESMOULINS
92789 ISSY LES MOULINEAUX - 01 73 28 12 70
Surface approx. (cm²) : 360
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Epidémiologie environnementale
Une conférence internationale à Paris
Deux ans après le Pnse (plan long des diverses conferences qui maîs aussi celle datant de la pé- lie Kosciusko-Monzet, députée
national d'action pour la scanderont ces cinq jours figurent riode prénatale « Nous avons re UMP de l'Essonne et presidente
Santé et l'Environnement), en priorité les sujets traitant de la marque l'apparition de troubles du groupe d'études des parlemen-
l'Afsset (Agence française de pollution environnementale et de de la reproduction et de cancers taires sur la sante et l'environne-
sécurité sanitaire de ses effets sur les humains « Seize chez: des enfants issus de mere ment, témoignera en tant que rap-
l'environnement et du travail) pour cent des demandes prove- ayant pris du distilbene Et, porteure de la loi qui a introduit
a été choisie par ('Isee nant des scientifiques de diverses chose plus surprenante, des effets le principe de precaution dans la
(Société internationale nationalités souhaitant partici- négatifs également chez Ies petits Constitution française et parta
d'épidémioloqie per a cette série de conferences enfants ' » géra la vision du domaine envi-
environnementale) et I11 sea abordaient le sujet de la pollution ronnement santé et du dialogue
(Société internationale de l'air et ll % celui des enfants Gènes et environnement. Les avec la societe dans un contexte
d'analyse des expositions) et de l'environnement », précise polymorphismes genetiques in- d'incertitude et de precaution
pour organiser la Conférence Adnenne Pittman chargée du pro- fluencent la distribution des taux avec scientifiques et represen-
internationale d'épidémioloqie jet Isee-Isea 2006 d'incidence des maladies a travers tants d'agences internationales en
et d'exposition les populations, y compris celles charge de la protection de I envi-
environnementales qui se Enfants et dangers environne- liées aux dangers environnemen- ronnement et de la sante hu
tiendra du 2 au 6 septembre à mentaux. Au cours dcs diffe taux Lelucidation des caracteris maine David Schwartz, directeur
Paris. Elle rassemblera plus rentes sessions et des présenta- tiques genetiques qui jouent un du National Institute of Environ
de 1 200 participants venus tions de posters prévues durant rôle dans l'expression du pouvoir mental Health Sciences, aux
du monde entier. Parmi eux, cette semaine consacree a l'expo- nocif d'un agent environnemental Etats-Unis, soulignera également
chercheurs et médecins sition environnementale sera est un defi scientifique important les possibilités offertes par les
feront connaître leurs travaux aborde, entre autres le cas des ex- En outre, cette elucidation aide a nouvelles technologies pour Tana
en rapport avec le futur de positions intra utérines, ainsi que souligner des risques accrus pou lyse des expositions et expliquera
l'environnement et de la santé celles qui ont des repercussions vant affecter certains sous- comment cela peut améliorer la
publique. chez l'enfant, bien plus graves que groupes de population, qui au- conception et l'interprétation des
chez l'adulte « Comme les effets raient ete dilués si certaines etudes epidemiologiques Pour
A L'HEURE du réchauffement de la dus au tabac pendant la gros caractéristiques n avaient pas ete Marti Jantunen, coprésident de la
planete et de l'effet de serre, il est Besse, qui peuvent modifier l'ap- prises en compte De nouvelles conference Isea, les risques ex-
de bon ton en societe d engager la pareil reproducteur de l'enfant », pistes de recherche, notamment ternes d'environnement qu'en-
discussion sur l'environnement Ou souligne le Pr Alfred Spira, profes- en ce qui concerne les outils sta- court notre sante s'envisagent
sur les risques encourus par la seur de sante pubbque et d'epide- tistiques, sont en cours, grâce a comme étant un problème fonda
Terre a cause de notre comporte- miologie a l'école de medecine de l'analyse de la relation entre les mental « On ne peut arrêter l'ex-
ment C'est pour faire avancer le l'université Pans-XI et chef du de- genes et ces dangers environne- position a certaines substances
debat dans ce sens que l'Isea et partement de sante publique et mentaux La session pleniere sou ou objets, comme le chauffage ou
risée ont choisi d'organiser d'epidemiologie a l'hôpital Bi- hgnera ainsi les activites actuelles les rechauds a gaz, dans beau
conjointement et pour la premiere cêtre Ou encore l'importance de de recherche concernant Tinter coup d'endroits du monde Notre
fois en France une conference qui l'alimentation artificielle qui peut face entre les genes et l'environ- devoir est donc de trouver égale
aura pour thème « Science, diver- modifier le developpement de l'en- nement, et les avantages attendus ment des solutions pour dimi-
site des populations, veille et pre- fant, ainsi que « Vobesite enfan- pour l'epidemiologie et l'évalua- nuer les risques d'exposition aux
caution » Et lorsque l'on apprend tine, qui risque d'avoir un im tion des risques environnemen produits chimiques, maîs aussi
que de IO à 15 % des pathologies pact sur l'espérance de vie a la taux Elle adressera également les de trouver des produits substitu-
sont des conséquences directes naissance dans les années a defis analytiques, ainsi que les tifs pour éviter ces expositions a
des modifications de l'environne- venir », a-t-il ajoute Parmi les nouvelles methodes d'analyse risque »
ment, on ne peut qu'apprécier l'ur- themes touchant l'enfance figu- Enfin, la derniere journee sera > JESSIE CONVERS
gence d'un tel evenement rent également l'exposition aux consacree aux defis en sante par
Parmi les themes abordes tout au pesticides pendant la grossesse, rapport a l'environnement Natha- Informations www qfssetjr
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Date de lecture de la page : 11/09/2006
FICHE D'IDENTITE
EXTRAIT DE CITATION
modéré par :
vjay
La radioactivité due au radon serait responsable en France de 5% à 12% des décès par cancer du poumon, soit
1.234 à 3.100 pour l'année 1999, selon Olivier Catelinois de l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire.
Très nocif, ce gaz souterrain s'insinue dans le sol via les fissures des sols et des murs. Incolore et inodore, il
est également présent dans de nombreux matériaux de construction.
(...)
Source : batiactu.com
DESCRIPTION DU SITE
Médiaterre concourre à la mise en oeuvre du développement durable dans l'espace francophone par la
diffusion et l'échange d'informations. Il s'appuie sur deux principes : le premier considérant l'information
et les connaissances comme un bien public, le second, issu des principes de gouvernance multiacteurs,
vise les échanges au sein d'une large communauté nationale et internationale concernée par
l'environnement et le développement durable.
DESCRIPTION DU SITE PAR L'ARGUS DE LA PRESSE NOTATION DU SITE PAR L'ARGUS DE LA PRESSE
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TEMOIGNAGES 06 SEPTEMBRE 06
6 RUE EMILE ROLLAND Quotidien Province
97828 PORT CEDEX - 02 62 55 21 21
Page 1/3
D
ès l'instant où et politique Des règles de pru- pour le grand public Dans ce teurs météorologiques, chimi-
l'Homme a cherche à dence sont souvent adoptées par nouveau contexte, chaque partie ques et micro biologiques), pol-
comprendre rationnel- les scientifiques, de manière plus prenante peut interroger les don- lution atmosphérique (cancer,
lement les causes de la ou moins explicite, lorsqu'ils pro- nées, la logique scientifique pour- reproduction), et la pollution de
maladie, il n'a cessé cèdent à l'interprétation de leurs suivie et l'équilibre de la décision l'air et l'environnement urbain,
d'être confronté à l'ignorance et données et apprécient l'évidence finale Ainsi, la pression de l'opi- les expositions et la gestion des
à l'incertitude Le développement scientifique Cette prudence nion publique qui s'exerce forte- risques, les conséquences des
ininterrompu de nouveaux outils, prend aussi d'autres formes au ment sur le décideur agit comme désordres sur la reproduction
de nouvelles méthodes, de nou- cours du processus de décision, par ricochet sur le scientifique (fertilité, défauts de naissance),
velles théories ont permis de tels que les facteurs dits -d'incer- La conférence commune de l'influence des champs
repousser à chaque fois les limi- titude" qui sont employés en rou- 1SEE/ISEA Paris 2006 est l'occa- magnétiques (EMP, téléphone
tes du savoir Cependant, la tine lors de la fixation de «nor- sion pour la communauté scien- portable, les rayonnements ioni-
grande diversité des populations mes- environnementales Le tifique concernee par le futur de sants), l'impact sur la santé des
— diversité des expositions aux processus itératif d'élaboration notre environnement — notre vil- changements climatiques, les
risques environnementaux du savoir scientifique, construit lage, notre planète — et par la effets sur la santé mentale des
comme diversité des sensibilités sur des allers-retours entre éva- sante publique — celles des géné- conséquences des conflits
face à ces risques — constitue luation et décision, est rations actuelles et à venir — de années pour les civils, des désas-
toujours et encore une source aujourd'hui profondément remis s'interroger sur la façon dont le tres écologiques et des accidents
importante d'incertitude C'est en cause par l'irruption du -prin- -principe de précaution» peut industriels de travail, les relations
sans doute l'un des plus grands cipe de précaution" Le change- changer sa mamère de travailler entre cancer et environnement,
défis posés à la communauté ment essentiel réside dans le fait Les thèmes couverts par ce ras- les relations entre eau et santé,
scientifique Décider quel niveau que les échanges habituels — et semblement sont nombreux On l'examen des populations expo-
de protection assurer pour diffé- souvent discrets — entre science peut citer l'enfant et l'environ- sées aux pesticides, et le rapport
rents groupes de population est et gestion du risque sont sommes nement (susceptibilité, asthme entre une politique de l'environ-
une question à la fois scientifique de se dérouler dorénavant de et allergies, cancer), l'environne- nement et la justice Que des
mamère explicite et transparente ment et la veille (risques de fac- thèmes fondamentaux pour l'ave-
nir de la planète et de l'Homme
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13 SEPTEMBRE 06
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Date de lecture de la page : 15/09/2006
FICHE D'IDENTITE
EXTRAIT DE CITATION
ADMON WAJNBLUM
Afin de mieux déterminer quels endroits d'une habitation il convient d'isoler en priorité, il suffit de voir par où
part la chaleur intérieure. D'une manière générale, il apparaît que les déperditions thermiques dans une maison
non ou mal isolée filent préférentiellement par le toit, les murs extérieurs et les fenêtres (voir infographie page
2). Il s'agit donc des trois postes qu'il convient de privilégier pour des travaux de rénovation.
En commençant par la toiture, laquelle constitue le maillon faible de l'habitation mais a également l'avantage
de pouvoir être isolée par le propriétaire ou le locataire lui-même, au contraire des murs et du sol, qui
requièrent l'intervention d'un professionnel.
Afin d'obtenir la meilleure performance d'isolation thermique et acoustique, le mieux est d'isoler la totalité de
l'espace disponible en tablant sur un strict minimum de 12 cm d'isolant. Si l'on en croit le simulateur conçu
par Isoterra, la plate-forme d'information qui regroupe les plus importants fabricants d'isolants minéraux , le
placement de 12 cm d'isolant (de la laine minérale en l'occurrence) dans la toiture d'une maison 4 façades
standard de deux étages par le propriétaire lui-même représente un investissement de 1.234 euros (1.717 euros
si on recourt à un professionnel), lequel peut être amorti en un an dans la mesure où il génère une économie
annuelle de 1.360 euros.
Et pour 18 cm d'isolant, l'investissement se chiffrera à 1.597 euros (2.035 euros par un entrepreneur) pour un
gain de 1.422 euros/an, soit, grosso modo, un temps d'amortissement d'un an et demi.
Mais isoler la toiture seule ne suffit pas à garantir un confort thermique ni une économie d'énergie (donc
financière) optimale. Pour ce faire, tout le volume chauffé d'une habitation doit être isolé. Partant d'un
exemple où on mandaterait un entrepreneur spécialisé pour poser 18 cm d'isolant en toiture, 5 cm d'isolant sur
les murs intérieurs et la même épaisseur sur le sol, toujours selon les simulations calculées par Isoterra,
l'investissement consenti se chiffrerait à 11.292 euros. Un investissement important qu'il serait néanmoins
possible d'amortir en un peu moins de deux ans et demi à raison d'une économie d'énergie annuelle de l'ordre
de 4.770 euros. Sachant qu'on habite dans sa maison pendant 15 à 20 ans, ou plus si affinités, c'est peu dire
07 SEPTEMBRE 06
Quotidien Province
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Date de lecture de la page : 21/09/2006
FICHE D'IDENTITE
EXTRAIT DE CITATION
20/09/2006
Brèves santé
Redoutés par certains, mais non démontrés, les éventuels effets nocifs des téléphones mobiles ou des antennes relais continuent de
mobiliser les scientifiques. Pour preuve, la question a encore été longuement abordée à Paris, lors de la récente conférence
internationale d'épidémiologie et d'exposition environnementales. " La seule certitude, c'est que l'emploi du téléphone portable a
multiplié par quatre les risques d'accident de la circulation ", a indiqué le Pr Alfred Spira, le porte-parole de la conférence.
Quant aux antennes relais, qui suscitent les craintes des riverains, Martin Röösli, de l'Université de Berne, préfère relativiser les
risques. " Une communication de quatre secondes avec un mobile expose autant la tête que de passer 24 heures à proximité d'une
antenne relais, dans un lieu où l'intensité du champ électrique correspond à 1 Volt/mètre (V/m) ", soutient-il.
Pour la tête, le rayonnement est 10 000 fois plus élevé lors d'une conversation téléphonique qu'un champ de 1 V/m près d'une
antenne relais, insiste le Dr Röösli, qui envisage des recherches sur le rôle éventuel des ondes émises par les " bases " de téléphones
sans fil ou des antennes relais dans l'apparition d'insomnies. Mais il faut alors aussi tenir compte des ondes des émetteurs de radio et
de télévisions, des fours micro-ondes, de la bande Wi-Fi, soulignent de concert le chercheur suisse et des experts français. En ce qui
concerne les téléphones mobiles, des effets physiologiques (échauffements des tissus, modification de sécrétions hormonales ou de
l'électroencéphalogramme.) ont été constatés. " Mais cela ne signifie pas pour autant qu'il y a risque pour la santé ", estiment les
chercheurs.
Les résultats globaux de l'étude Interphone, conduite dans 13 pays - dont le Japon, la Nouvelle-Zélande, l'Australie, Israël et des
pays européens - pourraient apporter des réponses statistiquement plus significatives que les analyses françaises, dit pour sa part
Elisabeth Cardis, du Centre international de recherche sur le cancer).
Cette étude compare les usages de téléphones portables, pendant dix ans, de personnes âgées de 30 à 59 ans et souffrant de tumeurs
du nerf acoutisque, des glandes salivaires ou du cerveau, avec les pratiques de personnes indemnes de telles tumeurs. Or, les
premiers résultats n'ont pas permis de prouver un lien de cause à effet entre téléphone et tumeurs.
Le VIH en Zambie
Comparé à la fuite des cerveaux, le VIH-Sida affecte bien davantage les ressources humaines du secteur de la santé, en Afrique
subsaharienne. Exemple avec une étude menée dans un district de Zambie.
Dans les dix prochaines années, le Sida devrait y faucher la vie de près de 37 % des infirmières et de. 70 % des officiers de santé.
D'après les calculs du Pr Frank Feeley de l'Université de Boston, seuls 23 % du total des professionnels de santé quitteront leur
poste pour travailler à l'étranger.
Autre exemple : en 2000, en Zambie, quelque 298 infirmières sont mortes du sida tandis que 169 autres quittaient le pays pour
travailler au Royaume-Uni. " Arrêter l'hémorragie de la fuite des cerveaux, cela requiert un investissement bien plus important que
de prendre en charge les patients séropositifs ", souligne l'auteur. " D'autant plus que nous avons les outils pour traiter les patients
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Date de lecture de la page : 12/09/2006
FICHE D'IDENTITE
EXTRAIT DE CITATION
Selon Matti Jantunen, professeur de santé environnementale à l'Institut finlandais KTL, l'expologie est la science de
l'évaluation des expositions aux agents toxiques ou réputés tels. C'est une science de l'observation qu'il ne faut pas
confondre avec la toxicologie.
Faut-il en faire une science rigoureuse ou n'est-elle encore qu'une série de recettes pour la mesure et l'évaluation.
Parions que l'expologie sera vite une science, si elle ne l'est pas encore, compte tenu de la multiplication des risques
auxquels les individus (humains et aussi animaux) sont confrontés dans l'environnement naturel et urbain. Il s'agit de
mesurer l'intensité, la fréquence et la durée du contact d'un individu ou d'une population avec des agents toxiques.
Mais il ne faut pas confondre exposition à un produit toxique et risque de celui-ci. Dioxine et monoxyde de carbone sont
également dangereux. Par contre le second tue des milliers de personnes dans le monde par intoxication, ce que ne
fait pas la première. Pour évaluer un risque, la variabilité de l'exposition compte autant que la toxicité.
Un des objectifs du projet européen REACH (Registration, evaluation and authorization of chemicals) plusieurs fois
évoqué dans notre revue, est de jauger cette variabilité en demandant aux industriels des scénarios d'exposition ? ce à
quoi ils sont réticents, au prétexte du coût. Il s'agit de décrire l'ensemble des conditions selon lesquelles un produit
chimique est fabriqué et utilisé durant son cycle de vie, et comment le fabricant ou l'importateur contrôle les expositions
de l'homme et de l'environnement à ce produit.
Les buts et moyens de l'expologie ont été discutés lors de la Conférence Internationale d'épidémiologie et
d'exposition environnementales qui s'est tenue les 2/6 septembre 2006 à la Cité des sciences et de l'industrie de
Paris.
DESCRIPTION DU SITE PAR L'ARGUS DE LA PRESSE NOTATION DU SITE PAR L'ARGUS DE LA PRESSE
L'obésité frappe doublement les femmes, plus enclines à développer des maladies et davantage ostracisées que leurs égaux
masculins. Telle est la conclusion d'une experte, Berit Heitmann, qui était présente au 10e Congrès international sur l'obésité de
Sydney. Selon elle, les femmes victimes d'un surpoids font l'amère expérience de la discrimination dès l'enfance, rejetées par leurs
pairs dès l'âge de trois ans. Tant les enseignants que le cadre familial ou les professionnels de santé font preuve d'une plus grande
impartialité envers les filles et les femmes qui accusent une surcharge pondérale qu'envers les hommes obèses, dit-elle encore,
précisant que ce préjudice se traduit dans le système éducatif par un nombre plus faible de bourses scolaires octroyées aux femmes
obèses. Et de résumer : " Les femmes obèses sont privées d'amis, de relations intimes, de liens sociaux, d'éducation, de salaires et de
respect. "
L'OMS s'inquiète de l'émergence de tuberculoses à bacilles ultrarésistants et " pratiquement impossibles à traiter ". Des souches
mortelles qui poussent l'Organisation à demander aux États de renforcer leurs mesures de lutte, " principalement en Afrique ". Une
réunion d'experts, organisée par le Conseil de la Recherche médicale en Afrique du Sud, s'est d'ailleurs récemment déroulée à
Johannesburg, la capitale sud-africaine. Elle y a évalué " les actions requises pour s'attaquer au problème crucial de la
pharmacorésistance ", autrement dit la résistance de plusieurs bacilles aux antituberculeux actuels. Ce fléau menace sérieusement
les populations d'Afrique subsaharienne, déjà durement touchées par le VIH-Sida. Et ce n'est pas un hasard. Comme il déprime les
défenses immunitaires, le VIH multiplie par 30 le risque, pour une personne, de développer la tuberculose après un contact avec le
bacille tuberculeux.
Alors que la reprise de l'épidémie de chikungunya semble " inévitable " à La Réunion à l'approche de l'été, le gouvernement français
table sur la mise à disposition, fin 2006 " ou début 2007 ", d'un médicament pour traiter cette maladie. " Nous avons bon espoir que
ce médicament puisse être disponible en toute fin d'année ou au tout début de 2007 ", a déclaré la semaine dernière le ministre de la
Santé, Xavier Bertrand, à sa sortie d'une réunion interministérielle sur le chikungunya présidée à l'hôtel Matignon par le Premier
ministre français, Dominique de Villepin.
Pour rappel, depuis février 2005, plus de 266 000 Réunionnais, soit 40 % de la population de la Réunion, ont été victimes de cette
maladie transmise par un moustique et qui a causé la mort, directement ou indirectement, de 266 personnes. " Aujourd'hui, 75
personnes ont pu faire l'objet de tests cliniques de ce médicament, dérivé d'un anti-paludéen. Ces tests sont prometteurs. Il faut qu'il
y ait davantage de patients testés pour être sûr que ce médicament est totalement efficace ", explique le ministre français.
S'agissant de la mise sur le marché d'un vaccin, il a indiqué que la France avait signé le 6 septembre avec les États-Unis, un accord
pour " avancer dans cette voie ". Le ministre Bertrand poursuit : " J'ai rencontré le 14 août le ministre américain de la Santé qui m'a
confirmé l'accord des autorités américaines pour nous donner la base du vaccin américain disponible il y a quelques années. "
L'accord franco-américain devrait permettre, selon lui, " de gagner cinq ans pour la mise à disposition d'un vaccin ".
DESCRIPTION DU SITE
DESCRIPTION DU SITE PAR L'ARGUS DE LA PRESSE NOTATION DU SITE PAR L'ARGUS DE LA PRESSE
Qui dit isolation des murs, dit également isolation des vitrages, lesquels sont généralement responsables de 15
à 20 % des déperditions thermiques d'une habitation. On trouve aujourd'hui sur le marché un grand choix de
vitrage (simple, double, triple, à haut rendement...).
Le coefficient de transmission thermique est exprimé par la valeur U, c'est-à-dire la quantité de chaleur
transmise (en Watt) à travers 1 m 2 de surface vitrée pour une différence de 1 degré Kelvin entre l'intérieur et
l'extérieur. Plus basse est la valeur U, meilleure sera le niveau d'isolation thermique.
Eu égard à ses performances (2,9 W/m 2 .K contre 5,7 W/m 2 .K pour un simple vitrage), le double vitrage est
désormais devenu la norme, mais un double vitrage n'est pas l'autre. Ceux-ci se déclinent en plusieurs qualités
d'isolation thermique. Il existe le double vitrage standard (deux vitres avec une lame d'air entre les deux), dont
le coefficient U est de 2,9 W/m 2 .K mais aussi le double vitrage à haut rendement, dont la vitre intérieure est
traitée par une couche d'oxydes métalliques dite à basse émissivité (1,8 W/m 2 K).
Ce traitement peut être conjugué avec l'utilisation d'un gaz rare (généralement de l'argon) en remplacement de
l'air compris entre les deux vitres, qui améliore encore l'isolation thermique du double vitrage (U = 1,3 W/m 2
K). Ces derniers vitrages, dits super-isolants, représentent, certes, un investissement conséquent (en moyenne
250 euros/m 2 ), mais leur efficacité est à l'avenant. Et avec les primes régionales et la déduction fiscale
octroyée par l'Etat fédéral (40 % de réduction d'impôts), on peut, là encore, amortir le choc financier en un
temps relativement bref.
Généralement, ce gaz se dilue rapidement dans l'atmosphère dès qu'il atteint la surface du sol. Il n'en va pas de
même lorsqu'il s'infiltre à travers pores et fissures des matériaux de construction jusqu'aux caves et pièces
d'habitation de nos maisons souvent calfeutrées. Piégé, il peut alors s'y accumuler et parfois atteindre des
concentrations importantes. Si l'on en croit le réseau Eco-Consommation, « une meilleure ventilation de
l'habitation peut contribuer à réduire la quantité de radon ». Le fait d'ouvrir la fenêtre peut momentanément
la faire chuter.
La quantité de radon est exprimée en Becquerel par mètre cube, en abrégé Bq/m 3 . La valeur moyenne en
Flandre se situe entre 35 et 40 Bq/m 3 . Elle est plus élevée en Wallonie (particulièrement en Ardenne, en
raison du sous-sol rocailleux qui contient souvent plus d'uranium), où elle oscille entre 70 et 80 Bq/m 3 .
Limiter dans l'habitat la radioactivité due au radon à 100Bq/m 3 permettrait d'éviter environ 300 décès par an.
Or, en France, quelque 370.000 logements seraient exposés à une radioactivité supérieure à 400 Becquerels...
Aucun chiffre n'est disponible en Belgique.
Avant d'entamer la construction d'une nouvelle habitation, il est donc fortement conseillé de s'informer sur la
situation locale du radon, surtout si l'on veut s'implanter en Ardenne. Il est alors recommandé de mettre en
oeuvre des mesures de prévention pour éviter l'infiltration de radon, via, notamment, le placement d'une
couche plastique imperméable au radon, entre la chape et le sous-sol, ainsi que des mesures visant à une
bonne ventilation (surtout les pièces du sous-sol comme la cave, le garage).
Les particuliers peuvent toujours se renseigner auprès du Centre provincial de santé de leur région.
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LE RENDEZ-VOUS DU MOIS
Conférence internationale
Isee/Isea - Épidémiologie
et environnement
Paris - La Villette
• 2 au 6 septembre
i l'Afsset « porte » ces journées qui ont lieu en - la pollution atmosphenque et l'environnement urbain,
CI ïmernationûl Socle ty for Environmpnml Fpidi malcgy - Sociêté internationale d épidémiologie em ironnememale
(21 International Society ofExpasure Analysis - Societe internationale d analyse des expos lions
ISEE Eléments de recherche : - ISEE ou Société Internationale d'Epidémiologie Environnementale, toutes citations - ISEA ou Société Internationale
4840057000501/BM/MKA d'Analyse des Expositions, toutes citations - CONFERENCE INTERNATIONALE D'EPIDEMIOLOGIE ET ...
08 MAI 06
Hebdomadaire Paris
BP 31
27230 PIENCOURT - 02 32 46 19 60
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Agenda
Les 1er et 2 juin
I "Transport aerien et developpement durable",
colloque organisé par la chaire Développement
durable de Sciences-Pô, à Pans
S'inscrire auprès de Julie Cohen, tel Ol 45 49 72 Ol
julie cohen@sciences-po fr
Du 13 au 16 juin
» "WHEC 2006", 16eme conférence mondiale de
l'hydrogène energie, en liaison avec le challenge
Bibendum de Michelin (du 8 au 12 juin), à Pans
www whec2006 com ou www afh2 org
Du 2 au 6 septembre
> "Conférence internationale d'epidemiologie et
d'exposition environnementales", organisé par
l'AFSSET (agence française de securité sanitaire de
l'environnement et du travail), à Pans
Du 4 au 6 octobre
ISEE Eléments de recherche : - ISEE ou Société Internationale d'Epidémiologie Environnementale, toutes citations - ISEA ou Société Internationale
2075986000502/AGB/MJV d'Analyse des Expositions, toutes citations - CONFERENCE INTERNATIONALE D'EPIDEMIOLOGIE ET ...
MAI 06
Mensuel
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5536927000502/ASC/MKA d'Analyse des Expositions, toutes citations - CONFERENCE INTERNATIONALE D'EPIDEMIOLOGIE ET ...
03 JUIL 06
Hebdomadaire Paris
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Agenda
Du 9 au 11 août, Marciac (Gers)
Territoires ruraux comment débattre
des sujets qui fâchent ?
Mission agrobiosciences
W www agrobiosciences org
Du 2 au 6 septembre, Paris
Conférence internationale d'épidémiologie
et d'exposition environnementales
Afsset
@ afsset2006@colloquium fr
W www pans2006 afsset fr
Du 4 au B septembre, Nice
Hydromformatics 2006
AIRH
W www hic06 org
7 septembre, Lyon
L'individualisation des contrats
de fourniture d'eau où en est-on,
trois ans après ?
Office international de l'eau
T 05 55 11 47 70
@ j pronost@oieau fr
W www oieau org
Du 13 au 15 septembre, Toulouse
Réseaux expo 2006
ETAI
T 01 41 98 40 26 F 01 41 98 40 70
@ gcelery@etai fr
W www Ssalons com
17 et 18 septembre, Pans
Assises de l'Union nationale pour la
pêche en France et la protection du milieu
aquatique
UNPF
T 01 48 24 96 OO F 01 48 01 OO 65
@ union peche@unpf fr
W www unpf fr
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1117457000503/TH/MPC d'Analyse des Expositions, toutes citations - CONFERENCE INTERNATIONALE D'EPIDEMIOLOGIE ET ...
JUIN 06
Bimestriel
21 AVENUE DE LA MOTTE PICQUET
75007 PARIS - 01 40 62 96 49
Surface approx. (cm²) : 294
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Rendez-vous partenaire
Valeurs Vertes
15 au 17 juin - Paris, porte de Versailles.
21 et 22-Strasbourg (67)
Dans le cadre du Salon des Energies Renouvelables,
13 au 15 juin-Pans(75) 25Bme Congrès National
Danielle Nocher animera le 16 juin la table ronde
ASLOG (Association
Transports Publics, « Quels investissements pour les énergies
française pour la
le salon européen de renouvelables » (hall 7 niveau 7.3).
logistique) - EUROLOG
la mobilité, fera le point sur 100 exposants sont attendus qui présenteront
2006 sur le thème « La
l'actualité du secteur les dernières avancées de la filière des énergies
logistique dans la Chaîne
et permettra de découvrir les renouvelables (solaire thermique, éolien, biogaz, etc.).
de valeur • conceptrice ou
dernières innovations. www.energie-ren com exécutante ? »
wwwtransportspubtics expo com www.aslog org
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5146927000503/SG/MSB d'Analyse des Expositions, toutes citations - CONFERENCE INTERNATIONALE D'EPIDEMIOLOGIE ET ...
www.capefrance.com
Date de lecture de la page : 13/06/2006
FICHE D'IDENTITE
EXTRAIT DE CITATION
Intervenants
Dr Michèle Froment-Védrine
Directrice générale de l'Afsset
Adrienne Pittman
Coordinatrice scientifique et technique de la conférence « AFSSET, Paris 2006 »
Pr Alfred Spira
Conseiller scientifique « AFSSET, Paris 2006 », professeur de Santé Publique et d'Epidémiologie et
chercheur à l'INSERM
Dr Rémy Slama
Conseiller scientifique « AFSSET, Paris 2006 », docteur en santé publique (épidémiologie) et chercheur à
l'INSERM
Plus d'infos
La conférence commune ISEE/ISEA, sous le Haut Patronage de Monsieur Jacques Chirac, Président de la
République, est l'occasion pour la communauté scientifique et les pouvoirs publics, concernés par le futur de
notre environnement et par la santé publique, de se mobiliser pour souligner l'importance des travaux de
recherche en santé ? environnement et leur nécessaire prise en compte dans la mise en œuvre des politiques
publiques.
1. Présentation des organisateurs, de la manifestation dans son ensemble et des différents partenaires.
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QUALITÉ GRAPHIQUE
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15 JUIN 06
Quotidien format revue
13 AVENUE DE L'OPERA
75001 PARIS - 01 40 15 17 89 Surface approx. (cm²) : 216
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JUIL/AOUT 06
Mensuel
OJD : 3639
Page 1/2
Agenda
domaine de la gestion de l'eau dimension européenne permettra www.preventique.org
La conference de Nice offrira a I ensemble des acteurs concernes
une opportunite unique pour les de faire etat de la structuration de
professionnels, les scientifiques, la filière des DEEE et d en préciser
les gestionnaires et les decideurs
Concours lc cadre juridique
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13 JUILLET 06
biMensuel
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Agenda
> AACC Annual meeting
& Clinical Lab Expo 2006
Chicago Étatsunis
23-27 juillet 2006
Renseignements
tél 2028570717
fax 202 887 50 93
> www aacc org
>XXXI" World congress
of the International society
of hematology
San Juan, Porto Rico
9-12 août 2006
Renseignements
tél I 770 751 7332
fax I 770 751 7334
> s clemmons@imedex com
> Conférence internationale
d'épidémiologie
et d expositions
environnementales
Cite dés sciences et de l'industrie,
Paris
2 6 septembre 2006
Organisée par I Agence française
de securite sanitaire de I environ
nement et du travail (Afsset)
Renseignements
> afsset2006@colloquium fr
> pans2006@afsset fr
> 1a Joint meeting
of European national
societies
of immunology
16* European congress
of immunology - ECI
Palais des congrès, Pans,
6-9 septembre 2006
Renseignements
ECI Pans 2006 Cio Colloquium
12 rue de la Croix Faubm
75011 Pans France
Tél + 3 3 1 4 4 6 4 1 5 1 5
Fax + 3 3 1 4 4 6 4 1 5 1 6
>eci2006@colloquiumfr
> www eci pans2006 com
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5 JUIL 06
Mensuel
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5 JUIL 06
Mensuel
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JUIL/AOUT 06
Mensuel
OJD : 3639
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5748777000506/AGG/MSB d'Analyse des Expositions, toutes citations - CONFERENCE INTERNATIONALE D'EPIDEMIOLOGIE ET ...
Conférence d'épidémiologie et d'exposition environnementales Page 1 sur 2
ISEE et ISEA sont deux associations internationales de droit américain qui font RECHERCHER SUR LE SIT
référence comme sociétés savantes internationales en santé environnement. Elles
organisent des congrès conjoints, tous les trois ans environ, dans un pays différent,
traitant de thèmes basés sur les préoccupations et la sécurit é sanitaire d ’actualité.
Sur la rubrique
Cette manifestation d’envergure va réunir plus de 1000 participants, issus des
meilleures équipes scientifiques du monde entier. En effet plus de 1250 soumissions
scientifiques ont été reçues, permettant l’élaboration d’un programme de sessions
orales et poster-discussions complet et très chargé, ce qui a restreint le Conseil
Scientifique International de la Conférence à ne retenir que 26 des 76 propositions de
symposia reçues.
Le congrès sera l’occasion pour la communauté scientifique internationale concernée
par le futur de notre environnement et par la santé publique, de réaffirmer, face à une
assemblée internationale de chercheurs, de scientifiques et de praticiens, leur
engagement et leurs actions dans le champ santé-environnement et celui de la santé
au travail, à l’heure où ce thème est désormais une préoccupation majeure pour de
nombreux pays à travers le monde.
http://www.actu-environnement.com/ae/agenda/manif/2204.php4 08/07/2006
Conférence d'épidémiologie et d'exposition environnementales Page 2 sur 2
Le cancer et l'environnement
Les méthodes d'évaluation des impacts sanitaires
Les expositions alimentaires (nourriture, boissons et eau)
L'eau et la santé : exposition aux risques chimiques et microbiologiques
Les produits chimiques dans les produits de consommation : expositions et risques
L'exposition de la population aux pesticides et aux polluants organiques persistants
Surveillance de la qualité des milieux et surveillance sanitaire
Modélisation des multi-expositions
La biosurveillance et les biomarqueurs d'exposition
Utilisation des SIG pour la recherche épidémiologique et l'évaluation des risques
La pollution sonore : expositions, perceptions et risques
Perception sociale et politique du risque
Justice environnementale
Public : Professionnel
Tarif : 520.00€
Contact : afsse
Actu-Environnement n'est pas organisateur des manifestations indiquées dans l'agenda. Pour plus d'information,
veuillez vous mettre en relation avec le contact indiqu é ci-dessus.
http://www.actu-environnement.com/ae/agenda/manif/2204.php4 08/07/2006
Pro-Environnement.com | Agenda: Conférence internationale d'épidémiolog... Page 1 sur 2
Pro-Environnement.com
Toute l'information sur l'environnement et le DD :
acteurs, expertises et techniques
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Conférence internationale
d'épidémiologie et d'exposition
environnementale
par La rédaction DPE/SAP , mardi 7 mars 2006 - 03:29
La conférence commune ISEE/ISEA Paris 2006 est l’occasion pour la communauté scientifique concernée par
le futur de notre environnement – notre village, notre planète – et par la santé publique – celles des
générations actuelles et à venir – de s’interroger sur la façon dont le « principe de précaution » peut changer
sa manière de travailler.
Commentaires désactivés
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Accueil > Actualités > Conférence internationale d ’épidémiologie 2006 samedi 8 juillet 2006
La prévention en un clic
Les enjeux de la prévention Conférence internationale d’épidémiologie 2006
pour l'entreprise
L'évaluation des risques La "conf érence internationale d’épid émiologie et d’exposition environnementales
S'engager dans la prévention 2006" a lieu du 2 au 6 septembre, à Paris (Centre des congr ès de la Villette). Elle est
Les acteurs de la prévention l’occasion pour la communauté scientifique concernée par le futur de notre
La politique de prévention environnement et par la santé publique, de s’interroger sur la fa çon dont le 395 667
"principe de précaution" peut changer sa mani ère de travailler. C'est le nombre de CAC
Etudes et dossiers
(certificat d'aptitude
en sécurit
Cette conf érence est organisée par l ’Agence Fran çaise de Sécurité Sanitaire
Environnementale et du Travail (AFSSET), en partenariat avec la Société internationale
d'épidémiologie environnementale (ISEE) et la Société internationale d'analyse des les chiffres :
expositions (ISEA).
L'indemnisation en un clic
Accidents du travail
Les personnes protégées Au programme : science, diversité des populations, veille et précaution...
Les risques indemnisés Accidents de trajet
"Dès l’instant où l’homme a cherché à comprendre rationnellement les causes de la
Les formalités et déclarations maladie, il n’a cessé d’être confront é à l'ignorance et à l'incertitude. Le développement Maladies professionn
Aides et indemnisations ininterrompu de nouveaux outils, de nouvelles méthodes, de nouvelles théories ont
Synth
Contentieux permis de repousser à chaque fois les limites du savoir. Cependant, la grande diversité
des populations (diversit é des expositions aux risques environnementaux comme
diversité des sensibilit és face à ces risques) constitue toujours et encore une source
importante d'incertitude."
Les sessions et ateliers de la conf érence couvrent de nombreux th èmes, parmi lesquels :
La cotisation en un clic
Le calcul des taux Caisses r
l L'enfant et l'environnement (asthme et allergies, impacts des substances
d'assurance maladie, I
Les incitations financières neurotoxiques, cancer, sensibilité sp écifique)
l Les personnes âgées et l'environnement (facteurs météorologiques, risques Eurogip...
Les recours des employeurs
chimiques et microbiologiques)
l Les perturbateurs endocriniens (cancer, reproduction) tous les sites utiles
l La pollution atmosphérique et l'environnement urbain
l L'air int érieur : sources d'exposition et gestion du risque
l Troubles de la reproduction et du d éveloppement
l Les champs électromagnétiques (EMF, téléphonie mobile, rayonnements
La branche AT / MP ionisants)
l Les g ènes et l'environnement Actualité
l Les impacts sanitaires du changement climatique global
l Les syndromes m édicalement non expliqués Annuaires
© Copyright 2004
l Les effets de santé mentale des désastres industriels et politiques
Charte des AT / MP
(conséquences des conflits armés pour les civils, désastres écologiques et
naturels, accidents industriels) Etudes et dossiers
l Le cancer et l'environnement
l Les m éthodes d'évaluation des impacts sanitaires
l Les expositions alimentaires (nourriture, boissons et eau)
l L'eau et la santé : exposition aux risques chimiques et microbiologiques
l Les produits chimiques dans les produits de consommation : expositions et
risques
l L'exposition de la population aux pesticides et aux polluants organiques
persistants
l Surveillance de la qualité des milieux et surveillance sanitaire
l Modélisation des multi-expositions
l La biosurveillance et les biomarqueurs d'exposition
l Utilisation des SIG pour la recherche épidémiologique et l'évaluation des
risques
l La pollution sonore : expositions, perceptions et risques
l Perception sociale et politique du risque
l Justice environnementale
Renseignements : afsset2006@colloquium.fr
www.paris2006.afsset.fr
HAUT DE PAGE
http://www.risquesprofessionnels.ameli.fr/fr/actus1/actus1_conference-afss... 08/07/2006
N°758/2006
Mensuel
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Manifestations
3 5 O C T , QUEBEC (CANADA) Modern Ra 11 ways
SEPTEMBRE Vincente Network
12e édition du Salon
industriel de Québec +495119910000
2-6 SEPT., CENTRE DES CONGRES Contact Esther Schwencke
DE LA VILLETTE, PARIS André Pageau Inc +495119910270
Conférence internationale Contact Bernard Smou www coatings de
d'épidémiologie et 0611 768396
d'expositon 0240606609 2 5 O C T , PARIS
environnementales, www salonmdustrielque- Journée d'information
ISEE/ISEA bec com spécialisée
Agence française de sécurité Les alliages d'aluminium :
sanitaire environnementale 3 6 O C T , BILBAO ( E S P A G N E ) une surface à traiter f
et du travail (Afsset) Proma 2006 Cacemi-Cnam
Afsset2006@colloqummfr Salon professionnel 0140272449
internationale de www cnamfr/cacemi/js htm
26 29 S E P T , BESANÇON l'environnement
Micronora Expomedia
Salon international des Contact Marianne Lebrun NOVEMBRE
microtechniques et de la Amstutz 0559311166
haute précision www expomedia fr
17 18 O C T , S E N L I S 79 NOV , FRIEDRICHSHAFEN
Micronora 0381521735 CleanMeca 2006 (ALLEMAGNE)
www micronora com
Congrès européen des 4th parts2clean
technologies propres et Salon de la technologie du
sûres en mécanique nettoyage industriel
OCTOBRE Cetim Contact Jérôme
FairXperts +49702584340
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Ribeyron 0477794144
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IFETS Pratique : I IO N O V , PARIS NORD
le nouveau bordereau VILLEPINTE
18-20 O C T , A N V E R S Midest
"déchets" de A à Z (BELGIQUE)
MC Communication Salon international de la
Pumps & Valves 2006 sous-traitance industrielle
Ol 44 26 46 90
mcognacq@free fr 11e édition . Accents Reed Exhibitions France
intensifiés sur la 0147565201
maintenance et les services www midest com
3-5 OCI., BARCELONE (ESPAGNE)
Eurocoat Fairtec +3233540880
www pumps-valves com 14 17 NOV , PARIS EXPO
Salon international et PORTE DE VERSAILLES
congrès pour les industries Metal Expo 2006
des peintures, vernis, 19 20 O C T , MULHOUSE 5e édition du salon du
encres, colles et adhésifs ECOLROMAT métal dans la construction
ETAI 0141984031 European Conference on the Reed Exhibitions
www eurocoat-expo com Protection and Decoration of 0147565094
www metalexpo.com
ISEE Eléments de recherche : - ISEE ou Société Internationale d'Epidémiologie Environnementale, toutes citations - ISEA ou Société Internationale
3751387000509/FC/MYE d'Analyse des Expositions, toutes citations - CONFERENCE INTERNATIONALE D'EPIDEMIOLOGIE ET ...
N°187/2006
Trimestriel
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INFORMATIONS
I. CONGRÈS ET COLLOQUES 1
Août 2006
Ul 20 - 25 août à Vienne (Autriche) Q 19-20 octobre 2006 à Paris (Collège de France)
ll 1 " International Symposium on Microbial Ecology (ISME Symposium d'Immunologie Bernard Halpern
ll) : The Hidden Powers - Microbial Communities in Action -» Site web : http://www.pasteur.fr / infosci / conf / Program-
—» Site web : www.fems-microbiology.org > Events > FEMS meSympB.Halpern2006.pdf
Meetings (Source : FEMS Circular 59 (January 2006»
Ul 8 - 12 octobre à Villars-sur-Ollon (Suisse)
Ul 27 août - I" septembre à Pau 2°d FEMS-ESCMID Conference
I2 th International Symposium on Phototrophic Prokaryotes -* Site web : www.fems-microbiology.org > Events > FEMS
-» Pau Congrès Service, 4 rue Saint-Louis, 64000 Pau. Tél. 05 Meetings (Source : FEMS Circular 59 (Januay 2006))
59 98 06 49, téléc. 05 59 98 54 65 (Source : Bull Soc Fr
Microbiol, 21, I, 2006).
Septembre 2006 Novembre 2006
Ul 2 - 6 septembre à Paris
Conférence Internationale d'Epidémiologie et d'Exposition Ll 5 - 8 novembre à Lyon
environnementales. Emerging diseases and Bioterrorism : Preparedness and
—* Site web : http://www.pasteur-international.org / Implementation issues.
Conferences /congres.html -» Dodet Bioscience, 66 cours Charlemagne, 69007 Lyon. Tél.
04 72 41 17 06, téléc. 04 72 41 17 14 ; courriel :
Ul 6 - 9 septembre à Paris michele.michaud@dodetbioscience.com
16"1 European Congress of Immunology, under the auspices of
(Source : Bull Soc Fr Microbiol, 21, I, 2006).
EFIS (European Federation of Immunological Societies) - lsl
joint Meeting of European National Societies of Immunology
-» Site web : www.pasteur-international.org / Ul 23 - 24 novembre à Agadir (Maroc)
conferences / congres.html Journées francophones de Microbiologie des Milieux
Hydriques
U) 11 - 14 septembre à York (Grande-Bretagne) -» Pr. R. MIMOUNI. Courriel : r_mimouni@yahoo.fr ; Pr. A.
159th Society for General Microbiology. MOUKRIM, courriel : moukrim@univ-ibnzohr.ac.ma ;
-» J. DUNN, Events & Activities Administrator, SCM, Malbo-
Faculté des Sciences, BO 8106, Agadir, Maroc. Tél. 212 48
rough House, Basingstoke, Spencers Wood, Reading RG?
22 09 57, téléc. 212 48 22 Ol OO (Source : Bull Soc Fr
IAC, Grande-Bretagne. Tél. 44 118 988 1805, téléc. 44
118 988 5656. Site web : www.sgm.ac.uk Microbiol, 21, I, 2006).
(Source : Bull Soc Fr Microbiol, 21, I, 2006).
Octobre 2006 Décembre 2006
Q 18 - 20 octobre à Vienne (Autriche)
IVW 2006 : Influenza Vaccines for the World. U) 6 décembre à Paris
-» J. HERRIOT, Tél. 44 I 483 427 770, téléc. 44 I 483 428 Réunion de la section des Antimicrobiens.
516. Courriel : jherriot@meetingsmgmt.u-net.com. Site -» SFM, 28 rue du Dr Roux, 75724 Paris Cedex 15. Tél. Ol 45
web : www.meetingsmanagement.com (Source : Bull Soc 68 81 79, téléc. Ol 45 67 46 98. Courriel : cmurphy@pas-
Fr Microbiol, 20, 4, 2005). teur.fr (Source : Bull Soc Fr Microbiol, 21,1, 2006).
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N°19/2006
Trimestriel
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Agenda
Août »
Seconde réunion internationale sur la
résistance et les alternatives à la
domination de la dette
vj Premier congrès européen de la biologie
Du 14 au 20 septembr Campagne internationale qui
de la conservation (Hongrie) aura lieu lors de l'Assemblée generale de la Banque
Du 20 au 22 aout La section europeenne de la Society mondiale et du FMI les 19 et 20 septembre 2006 a Singa
for Conservation Biology organise son premier congres pour Pour signer la declaration et/ou participer activement
scientifique pour la sauvegarde de Ia biodiversite a Eger en a la mise en œuvre de cet appel CADTM, 345 Avenue
Hongrie de I Observatoire, 4000 Liege Belgique
Inscription sur Internet uniquement Tel (32) 4 226 62 85
Site wwweccb2006org-Fax +3628419647 Site wwwcadtmorg Courriel virgimetgcadtm org
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N°19/2006
Trimestriel
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Tél 05 62 60 12 69 rues de Calvi
Courriel contact@arbre-et-paysage32 com Contact Festival du vent, 22 rue de Douai, 75009 PARIS
Tel Ol 53 20 93 OO Site www lefestivalduvent com
.--• Insectes et biodiversité (Aveyron) Courriel orgamsation@lefestivalduvent com
Du 6 au S oi lobn Le Conseil Genéral de I Aveyron et
Micropolis et la Cite des Insectes organisent un colloque
scientifique sur les insectes et la biodiversité « Insectes Novembre
et changement global, paysages, espaces protèges et agri
culture » Pour s'inscrire Courriel evaluation@cg!2 fr ou » Environnement et santé - f colloque de fans
peddgogie@micropohs biz Le 9 novemb Après le succès du « premier colloque
Lieu Micropolis, la cité des insectes, 12780 Saint Leons de Paris » (auquel le dossier de L'Ecologiste n° 13 est
Tel 05 65 58 50 50 consacre) le professeur Belpomme organise un deuxième
Site www micropolis biz colloque international Inscription avant le 30 septembre
Courriel resa@micropohs biz 2006 Individuels 35 € Institutionnels 250 € Adhé-
rents de l'ARTAC 20 € Etudiants/chômeurs 7 €
» La fête des simples (Aveyron) Dejeuner bio 20 €
Ixes 7 et 8 octobre : Rencontre nationale des producteurs Lieu Maison de l'UNESCO, Salle I, 125 Avenue de
de plantes médicinales et aromatiques Suffren, 75015 Pans
Marche de 25 producteurs de France Conferences de Site www artac info
Pierre Lieutaghi, (MNHN) Didier Fontanel, Alam Rénaux Adresse Congrès ARTAC, 57-59 Rue de la Convention
(CNRS) et sorties botaniques 75015 Pans
Lieu Village de Nant
Exposition sur le monde des poissons et
» Pastoralismes et Grands Espaces (Isère) des crocodiles d'Afrique (Paris)
IV u ,.. i Les septièmes éditions du Festival lusuu'ju ">! <!«.< mltfi °0(V Exposition organisée par
du Film « Pastoralismes et Grands Espaces » et des la Reunion des musees nationaux (RMN), linstitut de
Rencontres Internationales du Pastoralisme se tiendront du recherche pour le développement (IRD) et l'Aquarium du
2006 a Prapoutel Les 7 Laux dans le village de Vacances Palais de la Porte Dorée, en collaboration avec le Muséum
«les Ramayes» national d'Histoire naturelle de Pans
Tél 04 76 71 IO 20 Courriel festival71aux@tiscali fr Lieu Aquarium de la Porte Dorée, 293, avenue Daumesnil
75012 Pans
Rencontres internationales du Réseau Site www aquarium portedoreefr
pour l'Après-Développement (Italie) Tarifs dentrée 5,70 € Tél Ol 44 74 85 Ol
i L ->/i ^fi Trois journees de réflexion des rencon-
tres ROCADe organisées par l'AGER, Associazione per la
descrescita et lassociation Terra, Bocchi, Genie et
Memone sur un nouvel équilibre entre l'homme et la
nature se dérouleront dans le Château de San Sebastiano
da Po Contact Association Solidarite RP 52 81602
Gaillac CEDEX Elise Riondel, tel 05 63 41 Ol 14
Courriel contact@apres-developpement org
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01 SEPTEMBRE 06
Quotidien Paris
Le 1/9/2006 à 06:00
AFP Fil : ECF
Slug : agd
- VENDREDI I SEPTEMBRE -
ECO
(+) 11H30 - Inauguration du salon prêt à porter Paris par Christine Lagarde, ministre
déléguée au Commerce extérieur - Paris Expo, porte de Versailles - Jusqu'au 4
DIVERS
- 10HOO - Conférence de presse de rentrée de M6 - Cirque Phenix Junior - Jardin
d'Acclimatation - Bois de Boulogne - Entrée Madrid - avenue du Mahatma Gandhi 75016 Paris
(+) 15HOO - Conférence de presse de Didier Houssin, Délégué interministériel à la lutte
contre la grippe aviaire - Ministère de la Santé, 14 avenue Duquesne 75014 Paris
- SAMEDI 2 SEPTEMBRE, -
DIVERS
- Conférence internationale d'épidémiologie et d'exposition environnementales ISEE/ISEA
"Science, diversité des populations, veille et précaution" - Cité des Sciences et de l'Industrie - La
Villette - Centre des congrès (niveau -I) - 30, avenue Corentin-Cariou 75019 Paris - Jusqu'au 6
sept indus
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Un appel pour renforcer la qualité de l’air en Europe Page 1 sur 2
L
Soci été a future directive européenne sur la qualité de l’air est trop laxiste, s ’alarment
Spé cial Prisons des scientifiques sp écialistes des effets de la pollution sur la santé humaine.
Social Soutenus par trois soci étés savantes, ces experts ont rendu publique une
Culture pétition demandant aux responsables européens d’adopter des normes plus
Spé cial Festivals strictes afin d’éviter des milliers de d écès prématurés dus à la pollution de l’air.
Sports
Sciences
Ce sont les particules PM10 et PM2,5 qui sont au cœur du débat. Plusieurs études
Multim édia
People publiées ces dernières années en Europe ont montr é que ces particules de taille
Galeries photos inférieure à 10 ou à 2,5 micromètres étaient la cause de maladies pulmonaires et
Infographies de décès prématurés dans les villes européennes. Les scientifiques qui ont
Vid éos participé à ces travaux, comme l’étude APHEIS, ont déjà alerté la Commission
Débats européenne l’ann ée dernière pour que la directive CAFE (Cleaner Air For Europe)
Blogs abaisse les normes en vigueur.
Revues de presse
Commentaires Selon les derniers résultats de
Forums en direct l’étude APHEIS menées dans
Sondage : 23 villes d’Europe, 16.926
Dérèglement décès pr ématurés, liés à des
climatique... problèmes cardio-pulmonaires
Dossiers ou à des cancers du poumon,
Espace abonnés pourraient être évités chaque
Mots crois és année si le taux de PM 2,5 était
Sudoku
réduit à 15 microgrammes par
Quotidien Auto
mètre cube (µg/m3) dans
Mode & Beaut é chaque ville. Or la directive
Immobilier CAFE ne prévoit pour l’instant
Prix du m
2 qu’un seuil maximal de 25
Prix du locatif µg/m3. Aux Etats-Unis la
Annonces norme est fixée à 15 µg/m3.
Achat spectacles
Shopping Pour les PM10 , la future
Boutique DVD
High -Tech
directive ne prévoit pas de baisser la norme fixée à 40 µg/m3. Les signataires de
la pétition rappellent que la pollution atmosphérique serait responsable de 348.000
décès chaque ann ée en Europe. Les déput és européens doivent discuter de la
Emploi
directive CAFE le 26 septembre et les ministres de l’Environnement le 13 octobre.
Formation
Enseignement
Sant é - Nutrition
L’ISEE (International Society for Environmental Epidemiology) et l’ISEA
(International Society for Exposure Analysis), qui organisent en ce moment un
congrès d’épidémiologie à Paris, ainsi que l’ERS (European Respiratory Society),
Tour du monde soutiennent cette pétition européenne.
Arts&Spectacles
Séances Cinéma
http://permanent.nouvelobs.com/sciences/20060905.OBS0565.html 05/09/2006
05.09.2006 14:38 utc SOCIEDAD
EUROPA-CONTAMINACION
La relación entre salud y medioambiente "es cada vez más visible"
París, 5 sep (EFE).- La relación entre salud y medioambiente "es cada vez más visible", lo que
explica el auge participativo en la conferencia internacional que desde el sábado reúne en la
Villette, al noreste de París, a 1.400 expertos procedentes de 60 países, indicaron hoy a EFE
los organizadores.
Frente a los 700 especialistas esperados, se han contabilizado de momento hasta 1.400 en este
encuentro conjunto que cerrarán mañana las Sociedades Internacionales de Epidemiología
Medioambiental (ISSE)) y las Sociedades Internacionales de Análisis de las Exposiciones (ISEA),
organizado por la agencia estatal francesa AFSSET, subrayó su directora general, Michele Froment-
Vedrine.
"Es la primera vez que hay tanta gente", porque las relaciones entre la salud y el medio ambiente,
urbano, rural o laboral "están convirtiéndose en temas muy visibles", resaltó.
La jornada de ayer quedó marcada por una declaración conjunta de los científicos del ISEE y del
ISEA y sus colegas de la Sociedad Europea de Neumología (ERS), reunidos en Munich (Alemania),
en la que pedían normas europeas más estrictas sobre calidad del aire, capaces de evitar "miles de
muertes prematuras cada año".
Estas muertes serían el efecto directo de la directiva de la UE, actualmente en preparación, sobre la
calidad del aire, cuyo extremo laxismo conllevaría "una grave reducción de la protección de la salud
pública", en opinión de los expertos.
Según el diario "Le Figaro", la contaminación atmosférica causa en Europa "348.000 muertes
prematuras anuales" y "los retrocesos" de la Comisión en la elaboración de la nueva directiva se
deben, "según los científicos", a las presiones ejercidas por ciertos intereses como los de los grandes
aeropuertos europeos, que deberían reducir su tráfico, si la normativa europea fuese más estricta.
Normalmente, explicó al respecto Froment-Védrine, las directivas europeas son más exigentes que
las nacionales, pero en este caso, "de manera sorprendente", la relativa a la calidad del aire prevé
fijar "índices de contaminación extremadamente elevados".
Por lo que su aprobación echaría por tierra los esfuerzos que se realizan desde hace años en la
materia, resaltó.
Sería "un retroceso increíble", lo que llevó a los científicos de París y Munich a elaborar su petición y
a pensar que "si hay un proyecto normativo de ese nivel es porque ha habido presiones", aunque no
puedan probarlo, manifestó.
En Francia y en otros países europeos, la reflexión sobre salud y medioambiente es muy reciente,
pero no en Estados Unidos y Canadá, donde los científicos "hace mucho tiempo que trabajan" sobre
el tema.
De hecho, las sociedades ISSE e ISEA "son más bien estadounidenses -país donde surgieron- y
canadienses", señaló.
En París, las dos delegaciones hispanas más voluminosas son la mexicana, con 33 miembros, y la
española, con 29, mientras que Brasil aporta 13 especialistas y Chile y Nicaragua uno, señaló.
En España, la reflexión quizá comenzó también tardíamente, pero se "ha comprendido la importancia
del tema", resaltó la directora general de la Agencia francesa de Seguridad Sanitaria del
Medioambiente y del Trabajo (AFSSET).
A modo de ejemplo, citó el Instituto Catalán del Medioambiente actualmente en creación, que
proyecta contratar a 500 personas, frente a las 86 que trabajan en AFSSET, organismo en cierta
forma equivalente, creado en 2002.
Destacó, asimismo, que México organizará del 5 al 9 de septiembre de 2007 la que será la XIX
conferencia del ISSE.
"Esto muestra bien el interés de México, país muy contaminado", cuya capital conoce una situación
que ciudades como Londres superaron gracias a la aplicación de "medidas drásticas", comentó.
El ISEE, sociedad de científicos especializados en la enfermedad, y el ISEA, en la exposición a la
contaminación, organizan sus respectivos congresos con carácter bienal o trienal, y también cada dos
o tres años se reúnen conjuntamente, como ahora, por primera vez, en París, o dentro de dos años
en Los Angeles (EEUU), recordó.
Froment-Vedrine resaltó, asimismo, que esta es también la primera vez que ambas sociedades
científicas celebran su conferencia conjunta en un país europeo desde 1999. EFE lg/ma
lg/ma:Firma París:Origen 654:NumPalabras U:Prioridad XZ2009:Clave (MUN EXG):Destinos (07000000 13004000 11006000):Iptcsrc
(SOC:SOCIEDAD-SALUD,SALUD CYT:CIENCIA-TECNOLOGIA,AMBIENTE-NATURALEZA POL:POLITICA,GOBIERNO):Tesauro
Depuis l’entrée en vigueur de la directive communautaire 98/8/CE dans les États Sur la rubrique
membres, soit le 14 mai 2000, tout produit biocide ne peut être mis sur le marché que s’il a
été, au préalable autorisé, au niveau national. En France, cette autorisation est délivrée
par le Ministre de l’écologie et du développement durable. Parmi les conditions
d’autorisation, on note le fait que ses substances actives doivent être inscrites sur les listes
positives établies au niveau communautaire. En revanche, le ministère dispose de
l’autorité compétente pour proposer à la commission européenne, l’inscription d’une
substance active biocide dans la liste communautaire. Les évaluations préalables à ces
décisions sont réalisées par diff érents instituts (INERIS, INRS, AFSSA, AFSSAPS…)
coordonnés par l’AFSSET. Ces évaluations portent sur les risques sur la santé et
l’environnement comme sur l’efficacité du produit. Actuellement, une vingtaine de dossiers
de substances actives biocides sont en cours d'examen en France. Il s’agit de substances
destinées à des produits rodenticides, de traitement du bois, des insecticides et répulsifs,
et des désinfectants. Mais à ce jour, aucune substance n'est inscrite dans les listes
communautaires , a précisé le ministère.
Un inventaire volontaire des produits biocides mis sur le marché français ayant été réalisé
fin 2004, plusieurs centaines de produits biocides non conformes ont donc été retirés du
marché à compter du 1er septembre 2006, dans le cadre de l'harmonisation
communautaire de la réglementation relative à ces produits*, a annoncé le ministère de
l'Ecologie vendredi dans un communiqué. Pour Nelly OLIN, Ministre de l’Ecologie et du
Développement Durable, cette échéance du 1er septembre 2006 constitue une étape
importante de la politique de gestion des risques environnementaux et sanitaires qui
peuvent résulter de l ’utilisation et de la production de substances chimiques.
Toutefois, il n'existe pas à ce jour de liste exhaustive de l'ensemble des produits biocides
présents sur le marché car ces produits ne font pas, en règle général et en attendant leur
prise en charge complète par le dispositif biocide, l'objet d'une autorisation de leur mise
sur le marché. C’est justement l’objectif du dispositif mis en place par la directive 98/8/CE
du 26 février 1998 : corriger cette situation et limiter la mise sur le marché aux produits
biocides dont l'efficacité et les risques ont été évalués.
C’est dans ce contexte que le gouvernement prévoit, dans le cadre du projet de loi sur
l’eau actuellement en discussion au Sénat, de rendre obligatoire une déclaration auprès du
ministère des produits biocides actuellement présents sur le marché, avant le 31
décembre 2007. Cette déclaration donnera lieu à l'octroi d'un numéro, qui pourra servir à
http://www.actu-environnement.com/ae/news/1910.php4 05/09/2006
Conférence internationale sur la santé environnementale - News Autour du Bio - Act... Page 1 sur 2
l'habitation et
l'équipement Article suivant
7 utilisateur(s) e
du foyer (dont
http://www.autourdubio.fr/modules/news/article.php?storyid=80 05/09/2006
Environnement-online Page 1 sur 2
06/09/2006 18:56:02
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Pollution : l ’Europe trop laxiste sur POLLUTION : L’EUROPE TROP LAXISTE SUR LES PM2,5
les PM2,5
(06/09/2006)
Des scientifiques réunis actuellement (du
2 au 6 septembre) à Paris pour une
conf érence internationale d ´épidémiologie
et d´expositions environnementales ont [Air / Air] [Santé / Health]
lancé une pétition pour réclamer des
normes plus strictes de concentration des
particules en suspension dans l ’air. Des scientifiques réunis actuellement (du 2 au 6 septembre)
à Paris pour une conférence internationale d´épidémiologie
Communication : le changement
et d´expositions environnementales ont lancé une pétition
climatique sur grand écran
Apr ès ‘Fahrenheit 9/11 ’ et ‘Supersize me’, pour réclamer des normes plus strictes de concentration des
l’Amérique nous sert un nouveau particules en suspension dans l’air.
documentaire sur grand écran censé
dénoncer ses propres maux.
Les ministres européens de
Un Code des march és publics l’environnement se réuniront le mois
durable prochain pour statuer sur un projet
Le 1er septembre, le nouveau Code des de directive qui, dans sa premi ère
marchés publics sera applicable.
version, fixe à 25 µg/m 3 pour 2015 la
teneur maximale dans l ’air des PM2,5 ,
les particules de diamètre inférieur à
2,5 microns émises, entre autres, par
les véhicules Diesel (lire EM n ° 1650,
p. 11). Le texte fait partie du
programme Cafe (Clean Air for
Europe) de Bruxelles. Selon les
pétitionnaires, ce laxisme, auquel ils préfèreraient une valeur plus
stricte de 15 µg/m 3 comme aux Etats-Unis, conduirait à «des
milliers de décès prématurés par an», les particules fines pénétrant
plus profondément dans les poumons. Ils souhaitent aussi avancer
la date butoir à 2010.
Guillaume Maincent
http://www.environnement-online.com/info_env/une.asp?uid=&id=466&p=redactions... 06/09/2006
Environnement-online Page 2 sur 2
http://www.environnement-online.com/info_env/une.asp?uid=&id=466&p=redactions... 06/09/2006
Conférence internationale sur la santé environnementale - News Autour du Bio - Act... Page 2 sur 2
la pollution de l’environnement
la planète
31/8/2006 9:10:00 - La pollution menacerait l'avenir de l'esp èce humaine
Votez ! 30/8/2006 14:30:00 - Les émissions de CO2 des voitures neuves ont baissé,
Résultats mais...
Auteur Conversation
© 2006 - CNIL N °1168548 - Autour du Bio édité par GL2B & Co. - Parent Solo
Annuaire Artiste - Spectacle Enfant - Animation Evénementielle - Production Spectacle
http://www.autourdubio.fr/modules/news/article.php?storyid=80 05/09/2006
La liste exhaustive des produits biocides susceptibles de présenter un risque sanitaire ... Page 2 sur 2
C.SEGHIER
*Annexe III : la liste des substances actives existantes ayant été identifiées mais pour
lesquelles aucune notification n'a été accept ée ni aucun État membre n'a manifesté
d'intérêt. Ces dernières ne sont donc pas inscrites à l'annexe I de la directive et seront
considérées, à dater de l'entrée en vigueur, comme n'ayant pas été mises sur le marché
avant le 14 mai 2000. Leur commercialisation et leur utilisation devra donc cesser à partir
du 1er septembre 2006
Lancer la recherche
http://www.actu-environnement.com/ae/news/1910.php4 05/09/2006
www.avmaroc.com
Date de lecture de la page : 07/09/2006
FICHE D'IDENTITE
EXTRAIT DE CITATION
PARIS (AFP) - Redoutés par certains, mais non démontrés, les éventuels effets nocifs des téléphones
mobiles ou des antennes relais continuent de mobiliser les scientifiques, selon des travaux et projets
présentés lors d'une conférence à Paris.
L'utilisation de téléphones mobiles multiplie par quatre le risque d'accidents de la circulation, ce sont les seuls
"effets prouvés de façon certaine", a résumé le Pr Alfred Spira, porte-parole de la conférence internationale
d'épidémiologie et d'exposition environnementales.
Alors que les antennes relais suscitent les craintes de riverains, Martin Röösli (Université de Berne) relativise
les risques.
Une communication de quatre secondes avec un mobile expose autant la tête que de passer 24 heures à
proximité d'une antenne relais, dans un lieu où l'intensité du champ électrique correspond à 1 Volt/mètre
(V/m), explique-t-il.
Si l'on prend en compte le corps entier, l'exposition pendant 24 heures à 1 V/m près d'une antenne relais
équivaut à 10 minutes l'oreille collée au téléphone mobile, ajoute-t-il.
En France, le maximum autorisé est de 41 à 56 V/m pour les antennes relais GSM et de 61 V/m pour l'UMTS,
le téléphone mobile de troisième génération, l'intensité du champ électrique décroissant avec la distance.
Pour la tête, le rayonnement est 10.000 fois plus élevé lors d'une conversation téléphonique qu'un champ de 1
V/m près d'une antenne relais, insiste le Dr Röösli, qui envisage des recherches sur le rôle éventuel des ondes
émises par les "bases" de téléphones sans fil ou des antennes relais dans l'apparition d'insomnies.
Mais il faut alors aussi tenir compte des ondes des émetteurs de radio et de télévisions, des fours micro-
ondes, de la bande Wi-Fi, soulignent le chercheur suisse et des experts français qui préparent une étude de
mesure d'expositions dans les villes de Lyon et Besançon.
En ce qui concerne les téléphones mobiles, des effets physiologiques (échauffements des tissus, modification
de secrétions hormonales ou de l'électroencéphalogramme...) ont été constatés, mais cela ne signifie pas pour
autant qu'il y a risque pour la santé, selon le Dr Röösli et d'autres chercheurs.
Les résultats globaux de l'étude Interphone conduite dans 13 pays (Europe, Japon, Nouvelle-Zélande,
Australie, Israël), qui doivent être publiés très prochainement, pourraient apporter des réponses
statistiquement plus significatives que les analyses nationales déjà diffusées, selon Elisabeth Cardis (Centre
international de recherche sur le cancer).
Cette étude compare les usages de téléphones portables pendant dix ans de personnes de 30 à 59 ans
souffrant de tumeurs du nerf acoutisque, des glandes salivaires ou du cerveau (gliome, méningiome) avec les
pratiques de personnes indemnes de telles tumeurs.
Les premiers résultats n'ont pas permis de prouver un lien de cause à effet entre téléphone et tumeurs. En
Suède, un accroissement du risque de tumeurs bénignes du nerf acoustique avait été signalé en 2004.
Une autre étude suédoise publiée en 2005 fait état d'un surcroi des tumeurs du cerveau chez les utilisateurs
de portable dans les zones rurales.
D'autres études internationales sont en cours, notamment sur les sept à 19 ans (résultats attendus en 2009) et
un suivi pendant 25 ans de 200.000 adultes est programmé à partir de 2007.
En 2004, l'Organisation mondiale de la santé avait jugé "hautement prioritaire" d'étudier le risque de cancer
du cerveau chez les enfants, recommandant la prudence dans l'usage des mobiles en attendant.
DESCRIPTION DU SITE PAR L'ARGUS DE LA PRESSE NOTATION DU SITE PAR L'ARGUS DE LA PRESSE
FICHE D'IDENTITE
EXTRAIT DE CITATION
En France, où la radioactivité due au radon est surtout élevée en Bretagne, dans le Massif central et en Corse,
ce gaz inodore et incolore serait responsable de 5% à 12% des décès par cancer du poumon, soit de 1.234 à
3.100 pour l'année 1999, selon Olivier Catelinois (Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire).
Une étude portant sur neuf pays européens, publiée fin 2004 dans une revue médicale britannique, avait
montré que le radon accroît les effets négatifs du tabac, le jugeant responsable de 9% des décès par cancer du
poumon en Europe et de 2% de l'ensemble de la mortalité par cancer en Europe.
A exposition égale au radon, le risque de cancer du poumon est environ vingt-cinq fois plus élevé pour les
fumeurs que pour les personnes n'ayant jamais fumé, a rappelé Sarah Darby (Oxford, Grande-Bretagne) lors
de la conférence internationale d'épidémiologie et d'exposition environnementales.
Le risque augmente proportionnellement à la concentration de radon dans les logements habités pendant une
trentaine d'années avant l'apparition de la maladie. Il s'accroît de 8,4% à chaque fois que la radioactivité due
au "radon mesuré" augmente de 100 bq/m3.
Pour les personnes n'ayant jamais fumé, le risque de cancer du poumon avant l'âge de 75 ans passe de 0,4%,
pour une concentration nulle de radon, à 0,7% pour 400 Bq/m3. Pour les fumeurs, le risque d'avoir ce cancer
atteint 10% en l'absence de radon et 16% pour une concentration de 400 Bq/m3.
Avec AFP
(06/09/2006)
DESCRIPTION DU SITE
DESCRIPTION DU SITE PAR L'ARGUS DE LA PRESSE NOTATION DU SITE PAR L'ARGUS DE LA PRESSE
FICHE D'IDENTITE
EXTRAIT DE CITATION
Redoutés par certains, mais non démontrés, les éventuels effets nocifs des téléphones
mobiles ou des antennes relais continuent de mobiliser les scientifiques, selon des travaux
et projets présentés lors d'une conférence à Paris.
Une communication de quatre secondes avec un mobile expose autant la tête que de passer 24
heures à proximité d'une antenne relais, dans un lieu où l'intensité du champ électrique
correspond à 1 Volt/mètre (V/m), explique-t-il.
Si l'on prend en compte le corps entier, l'exposition pendant 24 heures à 1 V/m près d'une
antenne relais équivaut à 10 minutes l'oreille collée au téléphone mobile, ajoute-t-il.
En France, le maximum autorisé est de 41 à 56 V/m pour les antennes relais GSM et de 61
V/m pour l'UMTS, le téléphone mobile de troisième génération, l'intensité du champ électrique
décroissant avec la distance.
Pour la tête, le rayonnement est 10.000 fois plus élevé lors d'une conversation téléphonique
qu'un champ de 1 V/m près d'une antenne relais, insiste le Dr Röösli, qui envisage des
recherches sur le rôle éventuel des ondes émises par les "bases" de téléphones sans fil ou des
antennes relais dans l'apparition d'insomnies.
Mais il faut alors aussi tenir compte des ondes des émetteurs de radio et de télévisions, des
fours micro-ondes, de la bande Wi-Fi, soulignent le chercheur suisse et des experts français qui
préparent une étude de mesure d'expositions dans les villes de Lyon et Besançon.
En ce qui concerne les téléphones mobiles, des effets physiologiques (échauffements des
tissus, modification de secrétions hormonales ou de l'électroencéphalogramme...) ont été
constatés, mais cela ne signifie pas pour autant qu'il y a risque pour la santé, selon le Dr Röösli
et d'autres chercheurs.
Les résultats globaux de l'étude Interphone conduite dans 13 pays (Europe, Japon, Nouvelle-
Zélande, Australie, Israël), qui doivent être publiés très prochainement, pourraient apporter des
réponses statistiquement plus significatives que les analyses nationales déjà diffusées, selon
Elisabeth Cardis (Centre international de recherche sur le cancer).
Cette étude compare les usages de téléphones portables pendant dix ans de personnes de 30 à
59 ans souffrant de tumeurs du nerf acoutisque, des glandes salivaires ou du cerveau (gliome,
méningiome) avec les pratiques de personnes indemnes de telles tumeurs.
Les premiers résultats n'ont pas permis de prouver un lien de cause à effet entre téléphone et
tumeurs. En Suède, un accroissement du risque de tumeurs bénignes du nerf acoustique avait
été signalé en 2004.
Une autre étude suédoise publiée en 2005 fait état d'un surcroi des tumeurs du cerveau chez les
utilisateurs de portable dans les zones rurales.
D'autres études internationales sont en cours, notamment sur les sept à 19 ans (résultats
attendus en 2009) et un suivi pendant 25 ans de 200.000 adultes est programmé à partir de
2007.
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QUALITÉ GRAPHIQUE
PARIS, 6 sept 2006 (AFP) - Les éventuels effets nocifs des téléphones mobiles ou des
antennes relais, redoutés par certains mais non démontrés, continuent de mobiliser les scientifiques,
selon des travaux présentés lors d'une conférence à Paris.
L'utilisation de téléphones mobiles multiplie par quatre le risque d'accidents de la
circulation: ce sont les seuls "effets prouvés de façon certaine", a résumé le Pr Alfred Spira,
porte-parole de la conférence internationale d'épidémiologie et d'exposition environnementales.
Alors que les antennes relais suscitent les craintes de riverains, Martin Rôôsli (Université de
Berne) relativise les risques.
Une communication de 4 secondes avec un mobile expose autant la tête que de passer
vingt-quatre heures à proximité d'une antenne relais, dans un lieu où l'intensité du champ électrique
correspond à I Volt/mètre (V/m), explique-t-il.
Si l'on prend en compte le corps entier, l'exposition pendant 24 heures à I V/m près d'une
antenne relais équivaut à IO minutes l'oreille collée au téléphone mobile, ajoute-t-il.
En France, le maximum autorisé est de 41 à 56 V/m pour les antennes relais GSM et de 61
V/m pour l'UMTS, le téléphone mobile de troisième génération, l'intensité du champ électrique
décroissant avec la distance.
Pour la tête, le rayonnement est 10.000 fois plus élevé lors d'une conversation téléphonique
qu'un champ de I V/m près d'une antenne relai, insiste le Dr Rôôsli, qui envisage des recherches
sur le rôle éventuel des ondes émises par les "bases" de téléphones sans fil ou des antennes relais
dans l'apparition d'insomnies.
Mais il faut alors aussi tenir compte des ondes des émetteurs de radio et de télévisions, des
fours micro-ondes, de la bande Wi-Fi, soulignent le chercheur suisse et des experts français qui
préparent une étude de mesure d'expositions dans les villes de Lyon et Besançon.
En ce qui concerne les téléphones mobiles, des effets physiologiques (échauffements des
tissus, modification de sécrétions hormonales ou de l'électroencéphalogramme...) ont été constatés,
mais cela ne signifie pas pour autant qu'il y a risque pour la santé, selon le Dr Rôôslin et d'autres
chercheurs.
Les résultats globaux de l'étude Interphone conduite dans 13 pays (Europe, Japon,
Nouvelle-Zélande, Australie, Israël), qui doivent être publiés très prochainement, pourraient
apporter des réponses statistiquement plus significatives que les analyses nationales déjà diffusées,
selon Elisabeth Cardis (Centre international de recherche sur le cancer).
Cette étude compare les usages de téléphones portables pendant dix ans de personnes de 30
à 59 ans souffrant de tumeurs du nerf acoutisque, des glandes salivaires ou du cerveau (gliome,
méningiome) avec les pratiques de personnes indemnes de telles tumeurs.
Les premiers résultats n'ont pas permis de prouver un lien de cause à effet entre téléphone et
tumeurs. En Suède, un accroissement du risque de tumeurs bénignes du nerf acoustique avait été
signalé en 2004.
Une autre étude suédoise publiée en 2005 fait état d'un surcroît des tumeurs du cerveau chez
ISEE Eléments de recherche : - ISEE ou Société Internationale d'Epidémiologie Environnementale, toutes citations - ISEA ou Société Internationale
9978118000506/MS/MPC d'Analyse des Expositions, toutes citations - CONFERENCE INTERNATIONALE D'EPIDEMIOLOGIE ET ...
06 SEPTEMBRE 06
Quotidien Paris
Le 6/9/2006 à 10:51
AFP Fil : ECF
Slug : tel-env-san
ISEE Eléments de recherche : - ISEE ou Société Internationale d'Epidémiologie Environnementale, toutes citations - ISEA ou Société Internationale
9978118000506/MS/MPC d'Analyse des Expositions, toutes citations - CONFERENCE INTERNATIONALE D'EPIDEMIOLOGIE ET ...
www.neuf.fr
Date de lecture de la page : 07/09/2006
FICHE D'IDENTITE
EXTRAIT DE CITATION
Des techniciens installant des relais téléphoniques sur le toit d'un immeuble parisien
© AFP/Archives
Redoutés par certains, mais non démontrés, les éventuels effets nocifs des téléphones mobiles ou des antennes relais continuent de
mobiliser les scientifiques, selon des travaux et projets présentés lors d'une conférence à Paris.
L'utilisation de téléphones mobiles multiplie par quatre le risque d'accidents de la circulation, ce sont les seuls "effets prouvés de façon
certaine", a résumé le Pr Alfred Spira, porte-parole de la conférence internationale d'épidémiologie et d'exposition
environnementales.
Alors que les antennes relais suscitent les craintes de riverains, Martin Röösli (Université de Berne) relativise les risques.
Une communication de quatre secondes avec un mobile expose autant la tête que de passer 24 heures à proximité d'une antenne relais,
dans un lieu où l'intensité du champ électrique correspond à 1 Volt/mètre (V/m), explique-t-il.
Si l'on prend en compte le corps entier, l'exposition pendant 24 heures à 1 V/m près d'une antenne relais équivaut à 10 minutes l'oreille
collée au téléphone mobile, ajoute-t-il.
En France, le maximum autorisé est de 41 à 56 V/m pour les antennes relais GSM et de 61 V/m pour l'UMTS, le téléphone mobile de
troisième génération, l'intensité du champ électrique décroissant avec la distance.
Pour la tête, le rayonnement est 10.000 fois plus élevé lors d'une conversation téléphonique qu'un champ de 1 V/m près d'une antenne
relais, insiste le Dr Röösli, qui envisage des recherches sur le rôle éventuel des ondes émises par les "bases" de téléphones sans fil ou des
antennes relais dans l'apparition d'insomnies.
Mais il faut alors aussi tenir compte des ondes des émetteurs de radio et de télévisions, des fours micro-ondes, de la bande Wi-Fi,
soulignent le chercheur suisse et des experts français qui préparent une étude de mesure d'expositions dans les villes de Lyon et Besançon.
En ce qui concerne les téléphones mobiles, des effets physiologiques (échauffements des tissus, modification de secrétions hormonales ou
de l'électroencéphalogramme...) ont été constatés, mais cela ne signifie pas pour autant qu'il y a risque pour la santé, selon le Dr Röösli et
d'autres chercheurs.
Les résultats globaux de l'étude Interphone conduite dans 13 pays (Europe, Japon, Nouvelle-Zélande, Australie, Israël), qui doivent être
publiés très prochainement, pourraient apporter des réponses statistiquement plus significatives que les analyses nationales déjà diffusées,
selon Elisabeth Cardis (Centre international de recherche sur le cancer).
Cette étude compare les usages de téléphones portables pendant dix ans de personnes de 30 à 59 ans souffrant de tumeurs du nerf
acoutisque, des glandes salivaires ou du cerveau (gliome, méningiome) avec les pratiques de personnes indemnes de telles tumeurs.
Les premiers résultats n'ont pas permis de prouver un lien de cause à effet entre téléphone et tumeurs. En Suède, un accroissement du
risque de tumeurs bénignes du nerf acoustique avait été signalé en 2004.
Une autre étude suédoise publiée en 2005 fait état d'un surcroi des tumeurs du cerveau chez les utilisateurs de portable dans les zones
rurales.
D'autres études internationales sont en cours, notamment sur les sept à 19 ans (résultats attendus en 2009) et un suivi pendant 25 ans de
200.000 adultes est programmé à partir de 2007.
En 2004, l'Organisation mondiale de la santé avait jugé "hautement prioritaire" d'étudier le risque de cancer du cerveau chez les enfants,
recommandant la prudence dans l'usage des mobiles en attendant.
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QUALITÉ GRAPHIQUE
Le 6/9/2006 à 12:04
AFP Fil : PRS
Slug : Environnement-radioactivité-santé-radon
PARIS, 6 sept 2006 (AFP) - Le radon, un gaz radioactif d'origine naturelle qui peut
s'accumuler dans les habitations, serait responsable d'environ 1.900 décès par an en Allemagne, de
1.200 à 3.1 OO en France et jusqu'à 9% des morts par cancer du poumon en Europe, selon des
travaux présentés lors d'une conférence qui s'achève mercredi à Paris.
En Allemagne, où 37.700 personnes meurent chaque année d'un cancer du poumon, environ
5% soit 1.896 seraient attribuables au radon, dont 1.436 chez les hommes, selon Heinz-Erich
Wichmann (Centre de recherche sur l'environnement et la Santé - Université de Munich).
Limiter dans l'habitat la radioactive due au radon, gaz souterrain qui s'insinue dans l'air
ambiant via les fissures des sols et des murs, à I OO becquerels (désintégrations radioactives par
seconde) par mètre cube permettrait d'éviter quelque 300 décès en Allemagne.
En France, où la radioactivité due au radon est surtout élevée en Bretagne, dans le Massif
central et en Corse, ce gaz inodore et incolore serait responsable de 5% à 12% des décès par cancer
du poumon, soit de 1.234 à 3.100 pour l'année 1999, selon Olivier Catelinois (Institut de
radioprotection et de sûreté nucléaire). Quelque 370.000 logements sont exposés en France à une
radioactivité supérieure à 400 Bq/m3, alors que la moyenne des départements français se situe à 68
Bq/m3, selon IRSN.
Une étude portant sur neuf pays européens publiée fm 2004 dans une revue médicale
britannique avait montré que le radon accroît les effets négatifs du tabac, le jugeant responsable de
9% des décès par cancer du poumon en Europe et de 2% de l'ensemble de la mortalité par cancer
en Europe.
A exposition égale au radon, le risque de cancer du poumon est environ vingt-cinq fois plus
élevé pour les fumeurs que pour les personnes n'ayant jamais fumé, a rappelé Sarah Darby (Oxford,
Grande-Bretagne) lors de la conférence internationale d'épidémiologie et d'exposition
environnementales.
Le risque augmente proportionnellement à la concentration de radon dans les logements
habités pendant une trentaine d'années avant l'apparition de la maladie. Il s'accroît de 8,4% à
chaque fois que la radioactivité due au "radon mesuré" augmente de 100 bq/m3.
Pour les personnes n'ayant jamais fumé, le risque de cancer du poumon d'ici l'âge de 75 ans
passe de 0,4% pour une concentration nulle de radon, à 0,7% pour 400 Bq/m3. Pour les fumeurs, le
risque d'avoir ce cancer atteint 10% en l'absence de radon et 16% pour une concentration de 400
Bq/m3.
ah/pc/def
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Date de lecture de la page : 07/09/2006
FICHE D'IDENTITE
EXTRAIT DE CITATION
Les antennes relais suscitent les craintes de riverains. Le docteur Martin Röösli, de l'Université de Berne, a
relativisé les risques lors de la conférence internationale d'épidémiologie et d'exposition environnementales.
Une communication de quatre secondes avec un portable expose autant la tête que passer 24 heures à
proximité d'une antenne relais, a-t-il expliqué.
Pour la tête, le rayonnement est 10'000 fois plus élevé lors d'une conversation téléphonique qu'un champ
électrique de 1 Volt/mètre près d'une antenne relais, a insisté M. Röösli.
4x plus de risques d'accident
Le scientifique bernois envisage des recherches sur le rôle éventuel des ondes émises par les «bases» de
téléphones sans fil ou des antennes relais dans l'apparition d'insomnies. Le seul effet de l'utilisation du
téléphone portable qui a pu être démontré «de façon certaine» est la multiplication par quatre du risque
d'accident de la circulation, a résumé le professeur Alfred Spira, porte-parole de la conférence.
FICHE D'IDENTITE
EXTRAIT DE CITATION
17:19:10 Les inégalités entre pays en développement et pays industrialisés face aux effets de l'environnement sur la santé
ont été dénoncées lors d'une conférence internationale d'épidémiologie et d'exposition environnementales qui s'est tenue à
Paris du 2 au 6 septembre.
Les pays en développement apparaissent particulièrement fragiles face aux bouleversements environnementaux, a fait valoir
mercredi Atanu Sarkar, chercheur au département d'études des politiques publiques de l'université de New Delhi (Inde)
lors de la clôture de cette conférence.
"Par exemple, ce sont les pays en développement qui souffriront le plus des conséquences du réchauffement climatique" -
bouleversement des cultures, désertification, montée des eaux etc, a-t-il estimé devant la presse.
Or ce phénomène est du à l'accumulation de gaz à effet de serre, dont le principal est le dioxyde de carbone (CO2) produit
essentiellement par les pays industrialisés.
Atanu Sarkar, auteur de plusieurs ouvrages scientifiques sur la santé environnementale en Inde ("Saturnisme et pauvreté",
"Perspectives socio écologiques de la malaria" etc.) a également cité le cas de la contamination des eaux par des produits
comme le plomb ou l'arsenic.
Les conséquences de ce genre de pollution sont aggravées pour les habitants des pays les plus pauvres du fait de la
malnutrition et de l'absence d'information, a-t-il souligné.
Pour les participants à cette conférence, les exemples anglais et indien apparaissent ainsi "emblématiques des inégalités
sociales et environnementales".
Quelque 1.540 personnes, un nombre record, ont participé à cette conférence, a annoncé de son côté Michèle Froment-
Védrine, directrice générale de l'Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail (Afsset).
L'Afsset avait été choisie par la Société internationale d'épidémiologie environnementale (Isee) et La Société internationale
d'analyse des expositions (Isea) - deux associations de droit américain reconnues pour leur expertise, afin d'organiser pour
la première fois, en France, leur conférence conjointe triennale.
© AFP.
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EXTRAIT DE CITATION
L'utilisation de téléphones mobiles multiplie par quatre le risque d'accidents de la circulation, ce sont
les seuls "effets prouvés de façon certaine", a résumé le Pr Alfred Spira, porte-parole de la
conférence internationale d'épidémiologie et d'exposition environnementales.
Alors que les antennes relais suscitent les craintes de riverains, Martin Röösli (Université de Berne)
relativise les risques.
Une communication de quatre secondes avec un mobile expose autant la tête que de passer 24
heures à proximité d'une antenne relais, dans un lieu où l'intensité du champ électrique correspond à 1 Volt/mètre
(V/m), explique-t-il.
Si l'on prend en compte le corps entier, l'exposition pendant 24 heures à 1 V/m près d'une antenne relais équivaut à 10
minutes l'oreille collée au téléphone mobile, ajoute-t-il.
En France, le maximum autorisé est de 41 à 56 V/m pour les antennes relais GSM et de 61 V/m pour l'UMTS, le
téléphone mobile de troisième génération, l'intensité du champ électrique décroissant avec la distance.
Pour la tête, le rayonnement est 10.000 fois plus élevé lors d'une conversation téléphonique qu'un champ de 1 V/m
près d'une antenne relais, insiste le Dr Röösli, qui envisage des recherches sur le rôle éventuel des ondes émises par
les "bases" de téléphones sans fil ou des antennes relais dans l'apparition d'insomnies.
Mais il faut alors aussi tenir compte des ondes des émetteurs de radio et de télévisions, des fours micro-ondes, de la
bande Wi-Fi, soulignent le chercheur suisse et des experts français qui préparent une étude de mesure d'expositions
dans les villes de Lyon et Besançon.
En ce qui concerne les téléphones mobiles, des effets physiologiques (échauffements des tissus, modification de
secrétions hormonales ou de l'électroencéphalogramme...) ont été constatés, mais cela ne signifie pas pour autant qu'il
y a risque pour la santé, selon le Dr Röösli et d'autres chercheurs.
Les résultats globaux de l'étude Interphone conduite dans 13 pays (Europe, Japon, Nouvelle-Zélande, Australie, Israël),
qui doivent être publiés très prochainement, pourraient apporter des réponses statistiquement plus significatives que
les analyses nationales déjà diffusées, selon Elisabeth Cardis (Centre international de recherche sur le cancer).
Cette étude compare les usages de téléphones portables pendant dix ans de personnes de 30 à 59 ans souffrant de
tumeurs du nerf acoutisque, des glandes salivaires ou du cerveau (gliome, méningiome) avec les pratiques de
personnes indemnes de telles tumeurs.
Les premiers résultats n'ont pas permis de prouver un lien de cause à effet entre téléphone et tumeurs. En Suède, un
accroissement du risque de tumeurs bénignes du nerf acoustique avait été signalé en 2004.
Une autre étude suédoise publiée en 2005 fait état d'un surcroi des tumeurs du cerveau chez les utilisateurs de
portable dans les zones rurales.
D'autres études internationales sont en cours, notamment sur les sept à 19 ans (résultats attendus en 2009) et un suivi
pendant 25 ans de 200.000 adultes est programmé à partir de 2007.
En 2004, l'Organisation mondiale de la santé avait jugé "hautement prioritaire" d'étudier le risque de cancer du cerveau
chez les enfants, recommandant la prudence dans l'usage des mobiles en attendant.
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FICHE D'IDENTITE
EXTRAIT DE CITATION
Selon Matti Jantunen, professeur de santé environnementale à l'Institut finlandais KTL, l'expologie est la science de
l'évaluation des expositions aux agents toxiques ou réputés tels. C'est une science de l'observation qu'il ne faut pas
confondre avec la toxicologie.
Faut-il en faire une science rigoureuse ou n'est-elle encore qu'une série de recettes pour la mesure et l'évaluation.
Parions que l'expologie sera vite une science, si elle ne l'est pas encore, compte tenu de la multiplication des risques
auxquels les individus (humains et aussi animaux) sont confrontés dans l'environnement naturel et urbain. Il s'agit de
mesurer l'intensité, la fréquence et la durée du contact d'un individu ou d'une population avec des agents toxiques.
Mais il ne faut pas confondre exposition à un produit toxique et risque de celui-ci. Dioxine et monoxyde de carbone sont
également dangereux. Par contre le second tue des milliers de personnes dans le monde par intoxication, ce que ne
fait pas la première. Pour évaluer un risque, la variabilité de l'exposition compte autant que la toxicité.
Un des objectifs du projet européen REACH (Registration, evaluation and authorization of chemicals) plusieurs fois
évoqué dans notre revue, est de jauger cette variabilité en demandant aux industriels des scénarios d'exposition ? ce à
quoi ils sont réticents, au prétexte du coût. Il s'agit de décrire l'ensemble des conditions selon lesquelles un produit
chimique est fabriqué et utilisé durant son cycle de vie, et comment le fabricant ou l'importateur contrôle les expositions
de l'homme et de l'environnement à ce produit.
Les buts et moyens de l'expologie ont été discutés lors de la Conférence Internationale d'épidémiologie et
d'exposition environnementales qui s'est tenue les 2/6 septembre 2006 à la Cité des sciences et de l'industrie de
Paris.
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Page 1/1
Des travaux présentés lors de la conférence internationale d'épidémiologie et d'exposition environnementales -qui s'est achevée mercredi à Paris-
révèlent que le radon, gaz radioactif d'origine naturelle qui se concentre notamment dans les logements, serait responsable de 1.200 à 3.100 décès
par an en France et jusqu'à 9% des morts par cancer du poumon en Europe.
La radioactivité due au radon serait responsable en France de 5% à 12% des décès par cancer du poumon, soit 1.234 à 3.100 pour l'année 1999, selon
Olivier Catelinois de l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire. Très nocif, ce gaz souterrain s'insinue dans le sol via les fissures des sols et des
murs Incolore et inodore, il est également présent dans de nombreux matériaux de construction.
Sa concentration varie d'une région à l'autre En France, quelque 370.000 logements sont exposés à une radioactivité supérieure à 400 Becquerels
(désintégration radioactive par seconde) par mètre cube, alors que la moyenne des départements français se situe à 68 Bq/m3, selon l'IRSN. La radioactivité
liée au radon est surtout élevée en Bretagne, dans le Massif Centrale et en Corse.
En Allemagne, sur les 37 700 personnes qui meurent chaque année d'un cancer du poumon, 5% des décès seraient attribuables au radon, selon le Centre de
recherche sur l'environnement et la Santé/Université de Munich) Or, selon des travaux de recherche, limiter dans l'habitat la radioactivité due au radon à
100Bq/m3 permettrant d'éviter environ 300 décès par an.
Des études prouvent par ailleurs que le radon accroît les effets négatifs du tabac ! Selon une étude portant sur neuf pays européen publiée fin 2004 dans une
revue médicale britannique, le radon serait en effet responsable de 9% des décès par cancer du poumon en Europe
Sarah Darby (Oxford, Grande-Bretagne) ainsi rappelé lors de la conférence internationale d'épidémiologie et d'exposition environnementales qu'à
exposition égale, le risque de cancer du poumon est environ 25 fois plus élevé pour les fumeurs que pour les personnes n'ayant jamais fumé Ce risque
augmente proportionnellement à la concentration de radon dans les logements habités pendant une trentaine d'année avant l'apparition de la maladie II
s'accroît de 8,4% à chaque fois que la radioactivité due au «radon mesuré» augmente de 100 Bq/m3.
A noter d'autre part que pour les personnes n'ayant jamais fumé, le risque de cancer du poumon d'ici l'âge de 75 ans passe de 0,4% pour une concentration
nulle de radon, à 0,7% pour 400 Bq/m3. Et preuve, que les fumeurs courent plus de dangers, ce risque passe de 10% en l'absence de radon à 16% pour 400
Bq/m3.
- Assurer l'étanchéité des voies d'entrée du radon (obturation des fissures dans les murs et les planchers, joints entre les sols et les murs...)
- S'assurer de la bonne étanchéité du bâtiment à l'eau
- Ventiler les vides sanitaires ou le sol en dessous du bâtiment
-Assurer une bonne aération du logement en ouvrant les fenêtres.
S. G. avec AFP
ISEE Eléments de recherche : - ISEE ou Société Internationale d'Epidémiologie Environnementale, toutes citations - ISEA ou Société Internationale
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Date de lecture de la page : 07/09/2006
FICHE D'IDENTITE
EXTRAIT DE CITATION
La radioactivité due au radon serait responsable en France de 5% à 12% des décès par cancer du poumon, soit
1.234 à 3.100 pour l'année 1999, selon Olivier Catelinois de l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire.
Très nocif, ce gaz souterrain s'insinue dans le sol via les fissures des sols et des murs. Incolore et inodore, il
est également présent dans de nombreux matériaux de construction.
Sa concentration varie d'une région à l'autre. En France, quelque 370.000 logements sont exposés à une
radioactivité supérieure à 400 Becquerels (désintégration radioactive par seconde) par mètre cube, alors que la
moyenne des départements français se situe à 68 Bq/m3, selon l'IRSN. La radioactivité liée au radon est
surtout élevée en Bretagne, dans le Massif Centrale et en Corse.
En Allemagne, sur les 37.700 personnes qui meurent chaque année d'un cancer du poumon, 5% des décès
seraient attribuables au radon, selon le Centre de recherche sur l'environnement et la Santé/Université de
Münich). Or, selon des travaux de recherche, limiter dans l'habitat la radioactivité due au radon à 100Bq/m3
permettrant d'éviter environ 300 décès par an.
Des études prouvent par ailleurs que le radon accroît les effets négatifs du tabac ! Selon une étude portant sur
neuf pays européen publiée fin 2004 dans une revue médicale britannique, le radon serait en effet responsable
de 9% des décès par cancer du poumon en Europe.
Sarah Darby (Oxford, Grande-Bretagne) ainsi rappelé lors de la conférence internationale d'é;pidémiologie
et d'exposition environnementales qu'à exposition égale, le risque de cancer du poumon est environ 25 fois
plus élevé pour les fumeurs que pour les personnes n'ayant jamais fumé. Ce risque augmente
proportionnellement à la concentration de radon dans les logements habités pendant une trentaine d'année
avant l'apparition de la maladie. Il s'accroît de 8,4% à chaque fois que la radioactivité due au «radon mesuré»
augmente de 100 Bq/m3.
A noter d'autre part que pour les personnes n'ayant jamais fumé, le risque de cancer du poumon d'ici l'âge de
75 ans passe de 0,4% pour une concentration nulle de radon, à 0,7% pour 400 Bq/m3. Et preuve, que les
fumeurs courent plus de dangers, ce risque passe de 10% en l'absence de radon à 16% pour 400 Bq/m3.
- Assurer l'étanchéité des voies d'entrée du radon (obturation des fissures dans les murs et les planchers, joints
entre les sols et les murs.)
- S'assurer de la bonne étanchéité du bâtiment à l'eau
- Ventiler les vides sanitaires ou le sol en dessous du bâtiment
-Assurer une bonne aération du logement en ouvrant les fenêtres.
S. G. avec AFP
06/09/2006
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l'on retrouve sur batiemploi et batirama).
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EXTRAIT DE CITATION
Selon de récents travaux, il provoquerait jusqu'à 9% des morts par cancer du poumon en
Europe
PARIS Le radon, un gaz radioactif d'origine naturelle qui peut s'accumuler dans les habitations, serait
responsable d'environ 1.900 décès par an en Allemagne, de 1.200 à 3.100 en France et jusqu'à 9% des morts
par cancer du poumon en Europe, selon des travaux présentés lors d'une conférence mercredi à Paris.
En Allemagne, où 37.700 personnes meurent chaque année d'un cancer du poumon, environ 5%, soit 1.896
seraient attribuables au radon, dont 1.436 chez les hommes, selon Heinz-Erich Wichmann (Centre de
recherche sur l'environnement et la Santé - Université de Munich).
Limiter dans l'habitat la radioactivité due au radon, gaz souterrain qui s'insinue dans l'air ambiant via les
fissures des sols et des murs, à 100 becquerels (désintégrations radioactives par seconde) par mètre cube
permettrait d'éviter quelque 300 décès en Allemagne.
En France, où la radioactivité due au radon est surtout élevée en Bretagne, dans le Massif central et en Corse,
ce gaz inodore et incolore serait responsable de 5% à 12% des décès par cancer du poumon, soit de 1.234 à
3.100 pour l'année 1999, selon Olivier Catelinois (Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire).
Une étude portant sur neuf pays européens, publiée fin 2004 dans une revue médicale britannique, avait
montré que le radon accroît les effets négatifs du tabac, le jugeant responsable de 9% des décès par cancer du
poumon en Europe et de 2% de l'ensemble de la mortalité par cancer en Europe.
A exposition égale au radon, le risque de cancer du poumon est environ vingt-cinq fois plus élevé pour les
fumeurs que pour les personnes n'ayant jamais fumé, a rappelé Sarah Darby (Oxford, Grande-Bretagne) lors
de la conférence internationale d'épidémiologie et d'exposition environnementales.
Le risque augmente proportionnellement à la concentration de radon dans les logements habités pendant une
trentaine d'années avant l'apparition de la maladie. Il s'accroît de 8,4% à chaque fois que la radioactivité due
au "radon mesuré" augmente de 100 bq/m3.
Pour les personnes n'ayant jamais fumé, le risque de cancer du poumon avant l'âge de 75 ans passe de 0,4%,
pour une concentration nulle de radon, à 0,7% pour 400 Bq/m3. Pour les fumeurs, le risque d'avoir ce cancer
atteint 10% en l'absence de radon et 16% pour une concentration de 400 Bq/m3.
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QUALITÉ GRAPHIQUE
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EXTRAIT DE CITATION
Des scientifiques réunis actuellement (du 2 au 6 septembre) à Paris pour une conférence internationale
d´é;pidémiologie et d´expositions environnementales ont lancé une pétition pour réclamer des normes plus
strictes de concentration des particules en suspension dans l'air.
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Date de lecture de la page : 07/09/2006
FICHE D'IDENTITE
EXTRAIT DE CITATION
06/09/2006 11:39
PARIS (AFP) - Téléphone mobiles, antennes: la traque d'éventuels effets nocifs se poursuit
Redoutés par certains, mais non démontrés, les éventuels effets nocifs des téléphones mobiles ou des antennes
relais continuent de mobiliser les scientifiques, selon des travaux et projets présentés lors d'une conférence à
Paris.
L'utilisation de téléphones mobiles multiplie par quatre le risque d'accidents de la circulation, ce sont les seuls
"effets prouvés de façon certaine", a résumé le Pr Alfred Spira, porte-parole de la conférence internationale
d'épidémiologie et d'exposition environnementales.
Alors que les antennes relais suscitent les craintes de riverains, Martin Röösli (Université de Berne) relativise
les risques.
Une communication de quatre secondes avec un mobile expose autant la tête que de passer 24 heures à
proximité d'une antenne relais, dans un lieu où l'intensité du champ électrique correspond à 1 Volt/mètre
(V/m), explique-t-il.
Si l'on prend en compte le corps entier, l'exposition pendant 24 heures à 1 V/m près d'une antenne relais
équivaut à 10 minutes l'oreille collée au téléphone mobile, ajoute-t-il.
En France, le maximum autorisé est de 41 à 56 V/m pour les antennes relais GSM et de 61 V/m pour l'UMTS,
le téléphone mobile de troisième génération, l'intensité du champ électrique décroissant avec la distance.
Pour la tête, le rayonnement est 10.000 fois plus élevé lors d'une conversation téléphonique qu'un champ de 1
V/m près d'une antenne relais, insiste le Dr Röösli, qui envisage des recherches sur le rôle éventuel des ondes
émises par les "bases" de téléphones sans fil ou des antennes relais dans l'apparition d'insomnies.
Mais il faut alors aussi tenir compte des ondes des émetteurs de radio et de télévisions, des fours micro-ondes,
de la bande Wi-Fi, soulignent le chercheur suisse et des experts français qui préparent une étude de mesure
d'expositions dans les villes de Lyon et Besançon.
En ce qui concerne les téléphones mobiles, des effets physiologiques (échauffements des tissus, modification
de secrétions hormonales ou de l'électroencéphalogramme...) ont été constatés, mais cela ne signifie pas pour
autant qu'il y a risque pour la santé, selon le Dr Röösli et d'autres chercheurs.
Les résultats globaux de l'étude Interphone conduite dans 13 pays (Europe, Japon, Nouvelle-Zélande,
Australie, Israël), qui doivent être publiés très prochainement, pourraient apporter des réponses
statistiquement plus significatives que les analyses nationales déjà diffusées, selon Elisabeth Cardis (Centre
international de recherche sur le cancer).
Cette étude compare les usages de téléphones portables pendant dix ans de personnes de 30 à 59 ans souffrant
de tumeurs du nerf acoutisque, des glandes salivaires ou du cerveau (gliome, méningiome) avec les pratiques
de personnes indemnes de telles tumeurs.
Les premiers résultats n'ont pas permis de prouver un lien de cause à effet entre téléphone et tumeurs. En
Suède, un accroissement du risque de tumeurs bénignes du nerf acoustique avait été signalé en 2004.
Une autre étude suédoise publiée en 2005 fait état d'un surcroi des tumeurs du cerveau chez les utilisateurs de
portable dans les zones rurales.
D'autres études internationales sont en cours, notamment sur les sept à 19 ans (résultats attendus en 2009) et
un suivi pendant 25 ans de 200.000 adultes est programmé à partir de 2007.
En 2004, l'Organisation mondiale de la santé avait jugé "hautement prioritaire" d'étudier le risque de cancer
du cerveau chez les enfants, recommandant la prudence dans l'usage des mobiles en attendant.
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QUALITÉ GRAPHIQUE
FICHE D'IDENTITE
EXTRAIT DE CITATION
modéré par :
vjay
La radioactivité due au radon serait responsable en France de 5% à 12% des décès par cancer du poumon, soit
1.234 à 3.100 pour l'année 1999, selon Olivier Catelinois de l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire.
Très nocif, ce gaz souterrain s'insinue dans le sol via les fissures des sols et des murs. Incolore et inodore, il
est également présent dans de nombreux matériaux de construction.
(...)
Source : batiactu.com
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Médiaterre concourre à la mise en oeuvre du développement durable dans l'espace francophone par la
diffusion et l'échange d'informations. Il s'appuie sur deux principes : le premier considérant l'information
et les connaissances comme un bien public, le second, issu des principes de gouvernance multiacteurs,
vise les échanges au sein d'une large communauté nationale et internationale concernée par
l'environnement et le développement durable.
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Selon de récents travaux, le radon, un gaz radioactif d'origine naturelle qui peut s'accumuler dans les habitations, serait
responsable de 1.200 à 3.100 victimes en France et jusqu'à 9% des morts par cancer du poumon en Europe, selon des
travaux présentés lors d'une conférence mercredi à Pans.
En France, où la radioactivité due au radon est surtout élevée en Bretagne, dans le Massif central et en Corse, ce gaz inodore
et incolore serait responsable de 5% à 12% des décès par cancer du poumon, soit de 1.234 à 3.100 pour l'année 1999, selon
Olivier Catelmois (Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire).
Une étude portant sur neuf pays européens, publiée fm 2004 dans une revue médicale britannique, avait montré que le radon
accroît les effets négatifs du tabac, le jugeant responsable de 9% des décès par cancer du poumon en Europe et de 2% de
l'ensemble de la mortalité par cancer en Europe.
A exposition égale au radon, le risque de cancer du poumon est environ vingt-cinq fois plus élevé pour les fumeurs que pour
les personnes n'ayant jamais fumé, a rappelé Sarah Darby (Oxford, Grande-Bretagne) lors de la conférence internationale
d'épidémiologie et d'exposition environnementales.
Le risque augmente proportionnellement à la concentration de radon dans les logements habités pendant une trentaine
d'années avant l'apparition de la maladie. II s'accroît de 8,4% à chaque fois que la radioactivité due au "radon mesuré"
augmente de 100 bq/m3.
Pour les personnes n'ayant jamais fumé, le risque de cancer du poumon avant l'âge de 75 ans passe de 0,4%, pour une
concentration nulle de radon, à 0,7% pour 400 Bq/m3. Pour les fumeurs, le risque d'avoir ce cancer atteint 10% en l'absence
de radon et 16% pour une concentration de 400 Bq/m3.
Avec AFP
ISEE Eléments de recherche : - ISEE ou Société Internationale d'Epidémiologie Environnementale, toutes citations - ISEA ou Société Internationale
6845318000502/MR/MPR d'Analyse des Expositions, toutes citations - CONFERENCE INTERNATIONALE D'EPIDEMIOLOGIE ET ...
Retombées Américaines
Subject: Updates on IARC, INTERPHONE, and the WHO
Date: Wed, 06 Sep 2006 12:08:40 -0500
FRANCE
Key words: RF, risk assessment, cancer, IARC, WHO
News Brief
SEPTEMBER 6, 2006
A November 2007 RF EMF evaluation would give the agency time to prepare all
the data from the 15 centers that participated in the INTERPHONE study for
presentation, allow time to select and invite the experts needed for the RF Working
Group, and provide the chance that their calendars would be free. Cardis said the
monograph planners could announce a final date as early as next week.
She also stated firmly that the WHO's International EMF Project will certainly not
move ahead of IARC's carcinogenesis evaluation with its own RF risk assessment,
or preparation of its environmental health criteria monograph. The "WHO cannot
give its evaluation until IARC is done with the carcinogenicity evaluation," Cardis
said. "I think Mike Repacholi has said that in every presentation he has given in
recent years," she added. "It's quite clear, the order in which these things will take
place."
Cardis also told the RF Gateway that she now has all data in hand from all centers
that took part in the INTERPHONE study, that a final paper with overall meta-
results has been circulating in draft form to the 15 principal investigators for their
comments and amendments, and that she fully expects to submit a manuscript to a
peer-reviewed journal for publication well before the end of this year.
The INTERPHONE study coordinator added that she has not asked principal
investigators in all INTERPHONE study centers whether they plan to publish
"national papers" with results only from their own countries. Cardis said, however,
she feels fairly certain that not all participating nations will seek to publish in the
international peer-reviewed literature, in English.
Some of the smaller nations will have had lower participation rates or fewer
numbers of cases and, consequently, not very strong results or evidence to justify a
separate publication. This is one of the strengths of the INTERPHONE Study
design, Cardis added: Pooling data from 13 countries that all used the same
methods gives the investigation a unique strength to answer the question. "Some
of the smaller countries may just decide to publish national reports in their own
language, not in English for the international journals" she suggested.
INTERNATIONAL
Key words: RF, epidemiology, COSMOS, CEFALO, INTERPHONE KIDS,
MTHR
Meeting Report
SEPTEMBER 11, 2006
Feychting said cases are being collected retrospectively from April 2004 to
June 2006, then contemporaneously from June 2006 to the end of April
2008, through contact with cancer registries and hospitals. A pilot study of
50 cases and controls conducted in the UK in spring, 2006, with software-
modified phones helped to develop the final questionnaire now being used as
part of the computer-assisted personal interview with subjects and their
parents, she said. Two controls for each case will be identified for an
expected study total of 530 cases and more than 1000 controls matched on
age, sex and geographic region, according to Feychting.
CEFALO investigators plan to collect data for analysis of SMS vs. talk use
of the phone, tumor laterality, use of hands-free kits, and use of cordless
phones, and will include information on frequency and duration of calls,
obtained from mobile operators. Feychting reported that so far, investigators
for the CEFALO study have had very good participation, and "very few
refusals." Case and control families both have been "surprisingly willing" to
take part, Feychting remarked.
The next talk was by Mireille Toledano of Imperial College, London, who
outlined methods of one-year pilot studies conducted in the UK, Denmark,
Sweden, and Finland in preparation for the international prospective cohort
study of mobile phone users (COSMOS) led by her colleague, Paul Elliott.
Earlier at the Paris epidemiology meeting, Elliott had told the RF Gateway
that he expects this study will be among the first to be launched in the UK
Health Protection Agency's new MTHR 2 program.
The official start date of the COSMOS study is October 2006, Elliott said,
"but early 2007 is probably a more realistic actual beginning," he added.
Among Elliott and Toledano's co-investigators for the study are Anders
Ahlbom, head of environmental epidemiology at the Karolinska Institute,
Stockholm; Anssi Auvinen et al. at STUK, Helsinki, and Joachim Schuz,
Jurgen Olsen, et al. in Denmark.
Toledano said they plan to enroll 200,000 adults age 18 and over (90,000 in
the UK; 60-80,000 in Denmark; 30-50,000 in Sweden, and 10,000 in
Finland) and to follow them for 25 years to evaluate possible health risks
from long-term use of mobile phones. These include "risk of chronic
diseases of the brain and of the head and neck, such as cancer, benign
tumors and neurological and vascular diseases, as well as change in
occurrence of specific subacute and chronic symptoms over time, including
headache, sleep disorders, depression and tinnitus," according to the
abstract. Toledano said specifically that brain tumor, acoustic neuroma,
salivary gland tumor, multiple sclerosis, ALS, Parkinson's disease, and eye
and skin disease rates will be analyzed in the cohort. The study will also
attempt to "determine the extent to which use of a mobile phone influences
health-related quality of life," the authors add.
In the talk immediately following, Aslak Harbo Poulsen of the Danish arm
of the COSMOS study provided more details about the assessment methods
to be used in creating exposure groups of "High," "Medium," and "Low"
mobile phone users for the analyses.
Poulsen said that he and counterparts in the others COSMOS countries have
found that by using minutes per day spent on the mobile phone and asking
network operators for 3 months of traffic records (calls in and out) for each
subject, he and colleagues have been able to create three distinct user
groups. The user data will be updated annually for each subject with another
3 more months of call information from the network operator, he added.
This method worked well in the pilot studies, Poulsen said, and he showed
graphs indicating what he called good differentiation of exposure groups.
During the question period following these talks, two members of the
audience with mobile phone industry affiliation expressed concern about the
precision of the exposure assessment method. Joe Wiart of France Telecom
told Poulsen that in a very few years, people may be using their mobile
phones more for data access than for talking to each other. That is, rather
than holding the phone to one ear, users may be reading the screen for many
more minutes per day. Network operators will not be able to tell researchers
how many minutes per day are used for calls and how many minutes for
reading text or other data, he added. Poulsen acknowledged that the minutes
per day metric is "optimized for current technology," but he said the
COSMOS research team is prepared for the potential future change in use
patterns. He did not have time to elaborate.
FRANCE
Key words: ELF, epidemiology, cancer, adult, residential exposure, corona ions
SEPTEMBER 6, 2006
Paris, FRANCE---In a Monday-morning EMF session here at the 18th Conference of the
International Society for Environmental Epidemiology (ISEE), epidemiologist Mireille
Toledano of Imperial College, London, described an ongoing study of adult cancer risk
among people living near and away from 275- or 400-kV transmission lines in England
and Wales. Preliminary results of ther work, which is led by senior researcher Paul
Elliott, could be available in mid-2007, she said.
The Paris meeting reportedly drew twice as many participants as expected, 1,600
instead of 800, to a capital city still warm from summer heat and to a conference center
without air conditioning. Participants' discomfort was evident in the Monday morning
EMF session, where about 70 or 75 people were crammed into a closed room intended
for 40. They sat on the floor or stood in the aisles; Toledano told the ELF Gateway that
she felt ready to faint when it was her turn to speak.
Toledano explained that the Imperial College researchers plan to test 2 hypotheses,
one positing that residential magnetic field exposure could be a disease risk for adult
cancers, the other positing that electric fields near high-voltage transmission lines
charge pollution-, virus-, or bacteria-laden aerosols (corona ions) near the lines to
create unhealthy clouds of electrically charged particles that concentrate downwind of
the lines where residents might breathe in the aerosols. The endpoints to be assessed
in this part of the study are skin melanoma, lung cancer, cancer of the larynx, and
mouth cancer. Controls will be drawn from people diagnosed with cancers not related
previously to EMF within the same time period.
©2006 This material may not be distributed outside the RF Gateway member companies without the express permission of Resource Strategies,
Inc., Madison, Wisconsin, USA. For more information visit our Web site at www.rs-inc.com or contact us at +1 (608) 251-5904.
To address the magnetic field hypothesis, Toledano said that she and colleagues will
use an adapted version of the exposure assessment methods developed by John
Swanson of National Grid Transco for Gerald Draper at the University of Oxford and the
UK Childhood Cancer Research Group (CCRG) for their 2005 study of childhood
leukemia risk and ELF EMF exposure [see ELF Gateway archives: June 3, 2005]. To
test the corona ion hypothesis, Toledano and colleagues are using an improved version
of the "quadrant" method of exposure assessment developed by Alan Preece and Denis
Henshaw of the University of Bristol, she said.
Subjects for the unmatche d case-control study are 15 to 74 years old and have been
diagnosed with certain cancers (breast, central nervous system, leukemias, malignant
melanoma) between 1974 and 2003, with an address at diagnosis within 1000 meters of
a 275- or 400-kV transmission line in England or Wales, Toledano said.
The exposure assessment for 50-Hz magnetic fields will use ADDRESS-POINT, a
mapping/GIS data product, to obtain the X-Y coordinates of the residential address of
each control and each case at diagnosis, a more precise approach than using postal
code, Toledano added. Three metrics also will be employed. For the first, magnetic
fields will be modeled using the EM2D method developed by Swanson et al. at National
Grid for homes within 200 meters of the lines at 1 and 5 years before diagnosis date,
Toledano said. For the second, exposure will be modeled for "bands" of distance-to-line
for these dates as in the Draper study, for example, 0 -49 m, 50-99 m, 100-199 m, 200-
299 m, etcetera, up to greater than 600 m to the line. Finally, exposure will be modeled
using distance as a continuous variable.
For analysis of a possible effect of corona ions from transmission lines on cancer risk,
the electric field and residence's distance to the line will be calculated for each case or
control address using the GIS coordinates, Toledano said. Then a 4-part North-South-
oriented grid laid over the residence location will be used to determine an "exposed"
quadrant that is downwind of the prevailing Southwest wind in England and Wales, and
the diagonally opposite quadrant will be designated as the "unexposed" quadrant. The
addition of the "unexposed," upwind quadrant as a reference makes this model "more
sophisticated," according to Toledano, than the one originally used by Preece and
Henshaw.
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During the question period, Toledano was asked whether s he and colleagues plan to
assess the possible effect of migration on their results, and whether they know the
average length of time that families live in the same home in England and Wales.
Toledano and a co-investigator, David Briggs of Imperial College, answered that they
are aware that migration could have an effect on their results and that they intend to try
to account for that variable. Briggs added that people in general stay about 10 years in
the same home in the UK, but residential migration patterns are complex, and "very
age- and SES-dependent," in his words.
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Forum
When we were children, we used to think that when we were grown up we would no longer be vulnerable. But to grow
up is to accept vulnerability. . . . To be alive is to be vulnerable.
Madeleine L'Engle
Walking on Water: Reflections on Faith and Art (1980)
Allergies
When it comes to allergies, not all fungi are created equal, according to a study by University of Cincinnati researchers
published in the September 2006 issue of Pediatric Allergy and Immunology . Exposure to certain fungal spores can
make children more susceptible to developing allergies to mold, pollen, dust mites, pet dander, or foods, the study
revealed. On the other hand, exposure to other types of fungal spores may be protective.
Fungi and future effects. Exposure to spores of certain fungi may predispose
children to developing more allergies, while exposure to others, such as those of
the mold Cladosporium (inset), may confer a protective effect, resulting in
sensitivity to fewer allergens.
images: Top to bottom: Dennis Kunkel Microscopy, Inc.; Trent Chambers/iStockphoto
Fungal samples were collected in 2003 and 2004 from the homes of 144 infants under age 10 months as part of the
five-year Cincinnati Childhood Allergy and Air Pollution Study, supported by the NIEHS. Fungal measurement included
long-term air sampling—48 hours, compared to the 5–10 minutes typical of such studies —which improved exposure
assessment. The team then analyzed the spore samples, comparing the breakout with allergy symptoms exhibited by
the infants (such as sneezing and runny nose) and skin -prick tests for 17 allergens with specific fungal spore counts.
Children who were exposed to higher levels of spores from Basidiomycota (club fungi) and Penicillium/Aspergillus
(whose spores are very similar) were more likely to develop multiple allergies, says coauthor Tiina Reponen, a
professor in the University of Cincinnati Department of Environmental Health. Those exposed to Basidiomycota were
more likely to exhibit allergy symptoms; those exposed to Penicillium/Aspergillus and Alternaria (one of the most
common fungi in outdoor air) were more likely to have a positive skin-prick test.
Meanwhile, exposure to Cladosporium (a black mold) had the opposite association, with exposed children testing
positive for sensitivity to fewer allergens. This contrasts with the experience of adults, in whom Cladosporium has been
associated with greater allergic sensitization.
The researchers did not find any correlation between the total fungi count and allergies. "The [observed] associations
http://www.ehponline.org/docs/2006/114-10/forum.html 22/11/2006
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would have been missed if the exposure was assessed by using the total [fungal spore] count only," Reponen says.
The study indicates that the relationship between exposure to airborne fungal spores and health effects is more
complicated than researchers believed.
The indoor environment is indeed complicated. According to the authors, allergens can mix with pollutants and
toxicants in synergistic ways, effects that were not addressed in this study. "We believe that contrasting relationships
among the various fungal genera to the health outcomes investigated in this study might actually cancel the effect that
total concentration may have on these outcomes," the researchers write.
Although researchers still know little about how infants develop allergies to environmental agents, the new study offers
new insights into the health effects of fungi, according to Zalman Agus, associate dean of continuing medical education
at the University of Pennsylvania. The study lends credence to the so-called hygiene hypothesis, which posits that an
ultraclean environment may wipe out innocuous organisms and collaterally alter some parts of children's developing
immune systems.
Yet researchers don't know how some microbes might induce a protective effect. One hypothesis is that Cladosporium
exposure may inhibit the response of Th2 lymphocytes, white blood cells that block dangerous microbes or foreign
organisms from invading the body's cells.
Longer-term follow-up of this cohort will better elucidate the clinical implication of the findings, Reponen says. In the
meantime, the researchers advise in the paper that "clinicians and researchers should be attentive to the composition
of the fungal spore profile and the respective concentrations of the fungal genera present rather than the total or
culturable spore count alone."
Julie Wakefield
Meeting Report
Children's health was the focus of almost 30 different sessions at the International Conference on Environmental
Epidemiology and Exposure, held 2–6 September 2006 in Paris. Exposure to environmental toxicants early in life, and
even parental exposure prior to conception, may lead to metabolic effects, cardiovascular disease, and reproductive
problems later in life, said researchers speaking at the meeting.
According to Germaine Buck Louis, an epidemiologist from the National Institute of Child Health and Human
Development, there is scientific evidence to support a relationship between maternal and paternal exposures prior to
conception and testicular dysgenesis syndrome, a collection of adverse effects in testes, as well as the less well-
studied ovarian dysgenesis. Said Buck Louis, "Periconception is a vital stage for research on exposures."
George Davey-Smith, a researcher in the University of Bristol Department of Social Medicine, told plenary attendees
that prenatal and early-life exposures to environmental factors such as infectious agents and tobacco smoke have
been associated with effects on blood pressure, insulin resistance (possibly leading to obesity), and cardiovascular
disease in adults. Smith says that so-called predictive adaptive responses—developmental "programming" in response
to adverse environmental cues—may underlie some of these associations. Evolutionarily, these responses are
intended prepare the developing organism for a life of hardship. For example, a mother's poor nutrition during
pregnancy may "predict" a life of nutritional hardship for her fetus. The resulting changes in fetal metabolic and
cardiovascular development can prove maladaptive if the child is not, in fact, nutritionally deprived; the result can be
http://www.ehponline.org/docs/2006/114-10/forum.html 22/11/2006
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metabolic syndrome.
In a particularly packed session on children's health and environmental chemicals, Brenda Eskenazi, a professor of
epidemiology at the University of California, Berkeley, presented the as yet unpublished, compiled results of studies
from three NIEHS/EPA Children's Environmental Health Centers (UC-Berkeley, Columbia University, and Mount Sinai
Medical Center) that showed similar associations between exposure to organophosphate pesticides and
neurodevelopmental effects. Said Eskenazi, "The children's centers have begun to come of age, and we can now reap
the benefits of harmonizing the methods for our longitudinal birth cohort studies. It demonstrates the importance of
conducting similar studies in different populations."
Promotion of research on how adverse environmental exposures affect children is the primary goal of a new society
announced at the Paris meeting. The International Society for Children's Health and the Environment is dedicated to
protecting children from adverse environmental influences—chemical, physical, biological, and social—through
research, training, policy making, clinical care, and education. The society also seeks to promote children's health by
enhancing the quality of their environments.
Bruce Lanphear, director of the Children's Environmental Health Center at Cincinnati Children's Hospital Medical
Center, is a founding member of the new society. He said, "It has become increasingly clear that children are
particularly vulnerable to numerous environmental hazards. This society is being formed to combine and enhance our
efforts to protect children from these hazards." The society is currently recruiting members.
Protection of children's health is part of the basis for a joint declaration by scientists of the International Society for
Environmental Epidemiology and the European Respiratory Society, presented at the meeting, which calls for
European Union authorities to strengthen proposed air quality directives. Bert Brunekreef, a professor of environmental
epidemiology at the University of Utrecht, said, "It is now widely recognized that the [current] levels are not completely
or sufficiently protective of public health." He added that the proposals "lack teeth" because they do not include
mandatory requirements for reduction of fine particle pollution, which is associated with increases in asthma attacks
and decreased pulmonary function in children. The European Commission is expected to review the proposed
directives on 13 October 2006.
Reproductive Toxicology
Pregnant women are famously exhorted to faithfully take their daily prenatal vitamins, which often contain iron and
other minerals. But new research suggests that a weekly iron supplement coinciding with the renewal of the small
intestine's mucosal lining cells (where nutrient absorption occurs) works better than a daily supplement and prevents
problems resulting from too much iron at the wrong times.
Maternal iron deficiency and anemia early in gestation can result in premature birth and low birth weight. These, in
turn, can trigger further problems ranging from slow physical growth and motor development to impaired emotional
control. In severe cases, both maternal and fetal survival can be threatened at or near birth. Thus, there exists a near-
global public health policy of maternal iron supplementation during pregnancy.
The new study appears in the July 2006 issue of Archives of Medical Research. A team including nutritionist and
epidemiologist Esther Casanueva of the National Institute of Perinatology Isidro Espinosa de los Reyes (INPerIER) in
Mexico City and colleagues elsewhere in Mexico City and California studied 116 women receiving prenatal care at
INPerIER. All had come to INPerIER for prenatal care by gestational week 20.
None of the women were anemic at that point, but 66% had low levels of ferritin (the principal form of stored iron),
suggesting low iron nutritional status. Half took 60 mg of iron as ferrous sulfate with 200 µg of folic acid and 1 µg of
vitamin B12 once a day; the others took double this dose once a week. The researchers checked the women's levels of
hemoglobin (which transports oxygen) and ferritin every four weeks through the end of pregnancy.
More of the women taking the weekly dose were mildly anemic (with hemoglobin levels shown not to carry any risk for
mothers and infants) compared with the women taking the daily dose. However, by weeks 28 to 36, women taking the
daily supplement had a significantly higher prevalence of hemoconcentration, a condition defined as hemoglobin levels
above 145 g/L. Ironically, both early gestational iron-deficiency anemia and hemoconcentration later in pregnancy
increase the risk of premature birth and low birth weight. Thus, the researchers suggest that excess iron
supplementation can cause the same problems it is supposed to correct.
Animal studies suggest that excess iron can also trigger formation of free radicals in the intestinal mucosa and other
tissues, and that both iron deficiency and iron overload can damage nuclear DNA and mitochondrial DNA. This kind of
damage has been implicated in cancer induction.
http://www.ehponline.org/docs/2006/114-10/forum.html 22/11/2006
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The intestinal mucosa is renewed every 5 to 6 days and will absorb as much iron as necessary to maintain iron
balance; however, mature cells will stop absorbing iron entirely if they are flooded with it, even if there is an iron deficit.
"Maintaining a high iron environment in the intestine by ingesting significantly more iron than needed every day
overwhelms this safety system," says coauthor Fernando E. Viteri. A more subtly calibrated iron supplementation
during pregnancy may be as effective as current public health recommendations, and perhaps safer.
Valerie J. Brown
Education
Environmental health science is getting short shrift in some K–12 schools, according to an analysis in the May 2006
Journal of Geoscience Education. Students in some states "study the air, water, rocks, plants, and animals, but don't
study any object or process caused by humans. In other states, human–environment (H-E) interactions are shoved into
all sorts of nooks and crannies in the science standards," says lead author Kim Kastens, a senior research scientist at
Lamont-Doherty Earth Observatory of Columbia University.
Kastens and Margaret Turrin, education coordinator at Lamont-Doherty, examined science education standards in 49
states (Iowa has no statewide standards), focusing on courses required for graduation. All state standards included at
least minimal discussion of H -E interactions, but 15 state standards included less than 1 discussion of H-E topics a
year, on average. Only 2 states averaged more than 5 discussions a year.
State curricula more often included information on how humans affect the environment than on how the environment
affects humans and human society. Curricula were least likely to include information on ways the actions and decisions
of individuals in their daily lives impact the environment; only 57% of state standards included such information.
The paucity of H-E information is at odds with the National Science Education Standards developed by the NAS, says
Bora Simmons, director of the National Project for Excellence in Environmental Education of the North American
Association of Environmental Educators. Indeed, it counters surveys conducted by Roper Reports/NOP World for the
National Environmental Education & Training Foundation showing that 95% of adults and 96% of parents support
teaching children about the environment. This general support for H-E education may not be reflected in some
standards because of concerns that such topics could generate controversy, says Simmons. "Many standards have not
one word on global warming," adds Kastens.
Kastens and Turrin did find H-E information in standards for other disciplines including health, geography, and
consumer studies. For example, in some states children are taught that recycling is healthy, says Kastens, but they
don't necessarily learn the scientific reasoning behind such assertions—information that could well be taught in science
class.
The analysis calls for more and better-integrated H-E education so students can build their understanding of
environmentally sustainable choices and actions. Kastens says, "An education system that never asks students to
think about the impact of their actions on the environment now and in the future is a flawed system."
Kris Freeman
http://www.ehponline.org/docs/2006/114-10/forum.html 22/11/2006
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More than 22,000 people came together in the late summer of 2002 in Johannesburg, South Africa, for the UN World
Summit on Sustainable Development. According to Using Indicators to Measure Progress on Children's Environmental
Health: A Call to Action, a report presented at the summit, 2 million children under the age of 15 perish due to acute
respiratory infections each year, diarrheal diseases cause the deaths of just under another 2 million, and more than 1
million children succumb to malaria. The majority of these disease cases are attributable to poor environmental
conditions. A number of significant commitments and initiatives were agreed upon during the summit in a bid to combat
these figures. One of these was the Global Initiative on Children's Environmental Health Indicators, led by the WHO
and described on its website at http://www.who.int/ceh/indicators/globinit/en/index.html .
The initiative homepage outlines the effort's three main objectives: to formulate and advocate the use of children's
environmental health indicators, to improve ways to assess children's environmental health and monitor how well
interventions are working, and to work with policy makers to improve the environments where children live. This page
also provides background information on how the initiative works.
The initiative will launch a series of regional pilot projects to develop children's environmental health indicators, collect
data for these indicators, and use the findings to better inform policy making at all levels of government. The leaders of
each regional project choose for themselves how to approach these tasks. The initiative encourages the use of low-
cost approaches that take advantage of existing data and indicators, and that work toward "a more harmonized and
complete assessment of the state of children's environmental health in the longer term."
A pdf version of Using Indicators to Measure Progress on Children's Environmental Health: A Call to Action is available
for download from the site. Also accessible from the initiative homepage is an overview presentation with additional
background information on the need for indicators in this area and on the information such indicators could yield. The
overview presentation also looks at options that can be pursued in implementing pilot projects.
The Regional Initiatives link on the homepage takes visitors to an introduction to the seven regional pilot programs that
have been set up. Many of these programs began in the past 18 months. This page describes how the pilot programs
function and puts forth ideas on how they can best be managed. Clicking on a region name takes visitors to information
on which agencies lead the programs, the status of the programs, and how indicators have been developed, if this has
been accomplished. Related Links at the bottom of each pilot project page include lists of entities that have agreed to
partner with the initiative. These include governmental agencies, international organizations such as the UN
Environment Programme, NGOs, and others.
The global initiative will work to help meet the goals of another project launched at the summit, the Healthy
Environments for Children Alliance. The mission of this alliance is to reduce environmental risks to children's health
through education, increasing political will, mobilizing resources, and fostering focused and urgent action on this issue.
Erin E. Dooley
The Beat
http://www.ehponline.org/docs/2006/114-10/forum.html 22/11/2006
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In the summer of 2007 Dow Chemical and the Blue Planet Run
Foundation will cosponsor the first Blue Planet Run, a worldwide
relay with runners coursing across 22 countries, 24 hours a day, for
more than 3 months. The aim of the run is to raise awareness of and
funds for sustainable projects to provide safe drinking water for
people around the world. Waterborne diseases are the single largest
contributor to human sickness and health-related deaths, with more
than 25,000 people falling victim to unsafe water each day. The
foundation has already funded a number of projects—40 were
implemented in 8 countries in 2005. The runs are planned to be a
biannual event.
A Bevy of Biodegradables
http://www.ehponline.org/docs/2006/114-10/forum.html 22/11/2006
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The containers remain stable on store shelves, but decompose under composting conditions;
they can also be recycled. British supermarket giant Sainsbury's has also introduced
biodegradable wrap and trays for organic foods, and other UK grocery chains are starting to
use biodegradable films and grocery bags. Coca-Cola is looking into compostable bottles for
its drinks as well, and Nestlé has come up with trays for chocolates sold in Britain that
disintegrate on contact with water.
images (top to bottom): Ryan Tacay/iStockphoto; Flavia Bottazzini/iStockphoto; Blue Planet Run Foundation;
bluestocking/Shutterstock
http://www.ehponline.org/docs/2006/114-10/forum.html 22/11/2006
INRA - Environmental Epidemiology & Exposure Page 1 sur 1
International Conference on
Environmental Epidemiology & Exposure
Paris (France) - September 2 -6, 2006
The conference will include a symposium on avian influenza, with the participation of INRA:
Print "From Avian to Human Influenza", by Antoine Flahault (Inserm, Paris) and Christian Ducrot
(INRA, Saint-Genès Champanelle, France).
> Programme
Head office: 147 rue de l'Université 75338 Paris Cedex 07 FRANCE - tel: +33(0)1 42 75 90 00 | copyright © INRA 2005 |
http://www.international.inra.fr/layout/set/print/all_the_news/events_and_symposia/se... 22/11/2006