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b zJ + zL √ √ √ √
K zK = ⇐⇒ zL = 2zK − zJ = − 2 + i 2 − i 2 = − 2
2
b
√ 2
L O 3. On a |zA |2 = 12 + 12 = 2, |zB |2 = 12 + (−1)2 = 2, |zJ |2 = 2 =2
2
√ 2
b b
|zL | = − 2 = 2.
C B √
On a donc OA = OB = OJ = OL = 2, et ainsi les points √ A, B, J et
L appartiennent à un même cercle de centre O et de rayon 2.
4. ABCD est un carré ; on peut raisonner pour le démontrer de nombreuses manières : en calculant les
longueurs AB, AD et DB et en utilisant le théorème de Pythagore ; en montrant que z− AB
→ = z−−→
DC
donc que ABCD est un parallélogramme, et en calculant le produit scalaire (avec les coordonnées
−→ −−→
cartésiennes) AB · AD ; ou encore en utilisant le point O, intersection et milieu des diagonales. . .
−→ −−→
Par exemple, z− → = zB − zA = −2 et z−−→ = zC − zD = −2, d’où AB = DC et le quadrilatère ABCD
AB DC
est donc un parallélogramme.
√
De plus, AB = z− → = |−2| = 2, et AD = z−
AB
−
AD
→ = |−2| = 2, et DB = z−−→ = |2 − 2i| =
DB
8.
2 2 2
Ainsi, AB + AD = DB donc, d’après le théorème de Pythagore, le parallélogramme ABCD est
un rectangle, et comme de plus AB = AD, c’est un carré.
7 1 x
Partie A f (x) = − (e + e−x )
2 2
1 x
1. a) On a lim ex = +∞ et lim e−x = 0, et donc par addition et multiplication lim −
e + e−x =
x→+∞ x→+∞ x→+∞ 2
−∞ d’où lim f (x) = −∞.
x→+∞
b) f est dérivable sur IR, comme somme et composée de fonctions qui le sont, avec
1 x 1
−ex + e−x
f ′ (x) = 0 − e + −e−x =
2 2
x x
Or, −e + e > 0 ⇐⇒ e > e ⇐⇒ −x > x ⇐⇒ −2x > 0 ⇐⇒ x < 0.
−x −x
Ainsi, pour x > 0, f ′ (x) < 0 et on en déduit que f est strictement décroissante sur [0; +∞[.
7 1 5
c) On a f (0) = − (e0 + e0 ) = > 0 et lim f (x) = −∞. Comme de plus f est dérivable,
2 2 2 x→+∞
donc continue, et strictement décroissante sur [0; +∞[, on en déduit d’après le théorème de la
bijection (ou des valeurs intermédiaires) que l’équation f (x) = 0 admet une unique solution α
sur l’intervalle [0; +∞[.
Par balayage, ou dichotomie, on trouve que f (1, 924) ≃ 2.10−3 > 0 et f (1, 925) ≃ −5.10−4 < 0
et donc que 1, 924 < α < 1, 925.
7 1 −x 7 1
2. Pour tout réel x, on a bien f (−x) = − e + e−(−x) = − (e−x + ex ) = f (x) (ce qui
2 2 2 2
signifie que f est paire).
On a en particulier f (−α) = f (α) = 0, et pour tout x < 0, x 6= α, f (x) = f (−x) 6= 0, car
−x ∈ [0; +∞[ et que α est l’unique solution de l’équation f (x) = 0 sur [0; +∞[.
En résumé, l’équation f (x) = 0 admet exactement deux solutions dans IR, α et −α.
Partie B
5
1. La hauteur d’un arceau est f (0) = .
2
2. a) Pour tout réel x, on a :
2
2 1 x
1 + (f (x)) = 1 +
′
(−e + e ) −x
2
1 x 2 x −x 2
=1+ (−e ) + 2 × (−e ) × (e ) + (e )
−x
4
1
= 1 + (e2x − 2 + e−2x )
4
2
e2x + 2 + e−2x (ex + e−x )
= =
4 4
q
b) Comme pour tout x, on a e > 0, on a donc aussi e +e > 0 et alors (ex + e−x )2 = ex +e−x .
x x −x
On obtient alors Z αp
I = 1 + (f ′ (x))2 dx
0
Z α x
e + e−x
= dx
0 2
1h iα
= ex − e−x
2 0
1 α
= (e − e−α )
2
Cette intégrale est, par symétrie de la courbe, la demi-longueur d’un arceau. La longueur d’un
arceau est donc égale à 2I = eα − e−α mètres.
soit environ 42 m2 .