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Il est défini un ensemble des règles de droit concernent les infractions susceptible
d’intervenir dans la vie des affaires, mais l’ensemble des règles économique peut être
sanctionné pénalement.
Les respects des droit pénal des affaires est assuré en partie par la juridiction pénale.
Ainsi le droit pénal des affaires comprend les infractions du droit commun applicables
au droit des affaires l’exemple : L’escroquerie, vol, l’abus de confiance et des
infractions spécifique au droit des affaires.
Chapitre 1 : L’escroquerie
L’escroquerie est un délit tendant, à l’appropriation frauduleuse de la fortune d’autrui.
Dans l’escroquerie c’est la tromperie qui détermine le consentement de la victime, qui
retient l’attention.
Le mensonge est suffisant. Il peut porter aussi bien sur l’utilisation d’un faux nom et
une fausse qualité.
L’usage d’une fausse identité par un faux nom ou prénom suffit à caractériser
l’escroquerie.
L’usage peut être écrit ou verbal. Le nom peut être aussi celui d’un tiers ou imaginaire.
Il suffit qu’il y ait entre cet usage et la remise de la chose, une relation de cause à effet.
La qualité peut être une fonction, une nationalité. L’usage d’une fausse qualité peut être
écrit, oral, réel ou imaginaire. Elle peut donc consister à prendre le faux titre de
mandataire ou de préposé d’un tiers, ou à se parer du faux titre de fonctionnaire public,
d’avocat, de chômeur pour inspirer la confiance. Autrement dit il est possible d’avoir eu
la qualité et de ne plus la posséder.
2. L’emploi des manœuvres frauduleuses
B. La remise de la chose
En matière d’escroquerie, le législateur donne la liste des biens qui peuvent être remise.
Il s’agit :
Des fonds c’est-à-dire des moyens financiers (Il faut exclure les fonds
immobiliers), peut également faire l’objet de remise les meubles c’est-à-dire
tout mobiliers susceptible d’appropriation et enfin les obligations c’est-à-dire
tout acte qui peut résulter d’un lien de droit à l’aide duquel est porté préjudice à
la fortune d’autrui.
C. L’existence d’un préjudice
D. L’intention frauduleuse
L’escroquerie est un délit intentionnel. L’auteur doit avoir conscience des moyens
frauduleux utilisés pour obtenir la remise de la chose.
II. La répression
La peine d’emprisonnement encourue est de 5 ans à 10 ans lorsque le faits ont été
commis par des personnes chargées de recueillir du public des souscriptions d’actions
ou obligations etc… quelconques soit d’une société.
Chapitre 2 : L’abus de confiance
« Selon l’article 487 du code pénal, est coupable d’abus de confiance quiconque aura
détourné ou dissipé au préjudice des propriétaires, possesseurs ou détenteurs des
animaux, des effets, marchandises, billets ou tous autres écrits contenant ou opérant
obligation ou décharge qui ne lui auraient été remis qu’à titre de louage, de dépôt, de
mandat, de prêt à usage ou pour un travail salarié ou non salarié, à charge de les rendre
ou les représenter, ou d’en faire un usage ou un emploi détermine. »
A. Le détournement ou la dissipation
1. La dissipation de la chose
2. Le détournement de la chose
Le bien remis existe toujours et pourrait donc être restituer. Cela consiste donc d’établir
le refus de restituer et la première démarche paraît être de mettre le détenteur en
demeure de restituer. Trois situations peuvent être rencontrées :
Une étude sur l’intention de coupable permettra d’une collaboration pénale sur
l’inexécution de contrat.
B. La notion de préjudice
L’article 487 du code pénale est formel il faut un préjudice. Mais ce préjudice peut
n’être qu’éventuel. Le préjudice doit être subi par les propriétaires, le posseseurs ou le
détenteur.
C. Les choses susceptibles de faire l’objet d’un abus de confiance
L’article 487 du code pénal énumère les choses dont le détournement ou la dissipation
constitue un abus de confiance.
Il vise aussi bien les meubles matériels que les écrits, document, choses fongibles, les
animaux etc…
Il n’y a abus de confiance que si les choses détournées ou dissipées ont été au
préalable remise par la victime au titre de l’un de contrat énumérés par l’article 487 du
code pénale.
1) Le louage
Le louage d’une chose ou d’ouvrage est un contrat par lequel l’une des parties s’oblige à
faire jouir l’autre d’une chose pendant un certain temps ou s’engage à faire quelque
chose pour l’autre, moyennant un certain prix.
EX : Dans un bail de cheptel, la vente d’un animal par le preneur constitue un abus
de confiance.
2) Dépôt
Il consiste à remettre un bien à une personne à charge pour elle de le représenter dans
des conditions déterminées. Il faut une distinction entre le dépôt irrégulier portant sur
un bien fongible qui peut être restitue en équivalent et le dépôt régulier qui exige la
restitution.
II. La répression
A. Peines délit simple
Emprisonnement au moins 1 an et au plus de 5ans ; avec une amende de 300 000 FDJ
au moins et 1 500 000 FDJ au plus.
Définition
Définition:
Le recel des choses est retenu contre ceux qui sciemment auront recelé, en tout ou
partie des choses enlevés, détournés ou obtenues à l’aide d’un crime et d’un délit ou
tout autres objets délictueux.
Pour que l’infraction du recel soit constituée, 4 éléments doivent être réunis à savoir :
2. La chose recelée
Il s’agit de la chose obtenue au moyen de la première infraction, le recel peut porter sur
objet matériel, une somme d’argent ou sur une chose fongible ou une chose non
fongible.
3. La détention de la chose
Receler signifie cacher quelques choses. il suffit néanmoins de détenir la chose même
pour le compte d’autrui ou de la recevoir tout on connaissant son origine délictueux.
4. L’intention coupable
Pour que l’intention soit caractériser il suffit que le receleur est reçue ou conservé un
titre quelconque la chose on connaissance de son origine délictueux.
Il paye également une amende de 1 500 000 FDJ maximum sans pouvoir être supérieur
à la moitié de la valeur de l’objet recelé.
Enfin, lorsque l’infraction première est punie d’une peine privative de la liberté, le
receleur sera puni de la même peine. Si l’infraction première est aggravée, le receleur
encourt la peine attaché à la circonstance aggravante.